Constantin a écrit : 25 janv.19, 12:29
Autre chose la liste de livres apocryphes que vous citez et qui ont été écrits tardivement (4e siècle après J-C) par les ennemis du Christianisme pour semer la discorde ne m'intéressent guère.
Pour les livres brulés que vous citez, vous devez confondre l'histoire avec le coran complet que Othman à brûlé après avoir compilé le coran actuel...
Pour moi et pour beaucoup de personnes dans le monde Jésus est Seigneur.
Lorsque vous affirmez que Jésus n'est pas Seigneur, je vous affirme moi que Allah n'est pas Dieu car il n'est ni Père, ni Fils, ni Saint Esprit.
Lorsqu'un musulman me dit qu'on a le même Dieu, je lui demande si il est bien Père, Fils et Saint Esprit et là l'hypocrisie disparait tout de suite...
Constantin, la vérité sera sans aucun doute dévoilée, c'est une question de temps, lorsque Allah, le voudra, il ne fait que dire SOIT, et tout rentrera en ordre.
concernant les manuscrits cachés vers l'année 325 sous ordre du Roi romain Constantin, Allah a déjà agit pour faire dévoilée la vérité mais la main du diable est encore présente parmi nous et cherche encore de tenir secrète la vérité sur l'imposture qui est le christianisme.
Les manuscrits cachés aux temps du roi Constantin, ont étés trouvés cachés dans une jarre enterrée que des paysans Égyptiens qui travaillaient leur terre, ces manuscrits sont toujours entre les mains des Romains/chretiens:
A la fin de 1945, des fellahs égyptiens font sans le savoir l'une des plus grandes découvertes du XXe s. sur le christianisme des origines. La scène se passe près de Nag Hammâdî, au pied de la falaise du Gebel el-Tarif 2. Le groupe de paysans déterre sur le site d'un ancien cimetière situé près du hameau de Hamra Dom une jarre contenant 55 manuscrits sur papyrus. L'un de ces fellah, Mohammed Ali Samman, les ramène dans son village d'el-Qasr, distant de 2km, et les stocke dans sa cour ; on dit que la mère de Mohammed Ali, craignant que les vieux papyrus n'apportent des problèmes, en aurait détruit une partie.
Puis il les cède à un antiquaire ou à un prêtre copte, selon les versions, qui les ramène au Caire et les revend à d'autres antiquaires.
Le directeur du Musée copte acquiert le premier mansucrit en octobre 1946. La découverte est officiellement annoncée en 1948 par Togo Mina, directeur du Musée copte, H.-Ch. Puech, membre de l'Institut, et Jean Doresse, du CNRS. En 1956, pour éviter que les précieux manuscrits ne quittent le pays, le Département des Antiquités égyptiennes et l'administration égyptienne des musées déclarent propriété nationale les codex de Nag Hammâdî encore disséminés chez les antiquaires du Caire. Ils sont mis en dépôt au Musée copte du Caire 3, où ils ont pu être tous rassemblés.
liste des manuscrits découverts dans la jarre enterrée pour plus de 18 siècles:
- L'Evangile de Marie-Madeleine
- L'Apocalypse de Jacques
- L'Evangile de Thomas
- L'Evangile de Philippe
- Le Dialogue du Sauveur
- Eugnoste le Bienheureux
- La Sophia de Jésus Christ
- L'Hypostase des Archontes
- Le Tonnerre l'Esprit Parfait
- L'Apocryphon de Jacques
- L'Apocryphon de Jean
- L'Evangile de Vérité
- Les Actes de Pierre et des 12 Apôtres
- La Prière de l'Apôtre Paul
- L'Epître de Jacob
- L'Epître à Rheginus
- Tractatus Tripartitus
- Le récit sur l'âme
- Le Livre de Thomas
- L'Apocalypse de Paul
- L'Apocalypse d'Adam
MANUSCRITS
DE NAG HAMMADI
volume 1
L'ÉVANGILE DE MARIE-MADELEINE
L'APOCALYPSE DE JACQUES
L'ÉVANGILE DE THOMAS
L'ÉVANGILE DE PHILIPPE
LE DIALOGUE DU SAUVEUR
EUGNOSTE LE BIENHEUREUX
et
LA SOPHIA DE JESUS CHRIST
L'évangile selon st Thomas est un des textes de Nag Hammâdî qui ont fait le plus couler d'encre ; dans la tradition catholique, Thomas l'Apôtre est l'incrédule... et apparaît tout autre dans son évangile apocryphe. Peinture sur bois de Rembrandt .
Evidemment, cette découverte a fait couler beaucoup d'encre, suscité bien des polémiques et entgendré rumeurs et fantasmes. Bien sûr, l'Eglise catholique s'est émue de voir remis au jour des textes qu'elle avait combattus et dont certains allaient s'emparer à nouveau pour émettre des critiques à son égard. Le Vatican a réaffirmé sa position considérant ces textes comme n'étant pas reconnus comme compatibles avec la foi catholique. Mais on a beaucoup fantasmé sur les pressions du Vatican pour empêcher la diffusion et la publication des textes. Des ésotéristes en tous genres ont également spéculé sur la base de ces textes, en particulier dans les milieux rosicruciens.
Au-delà de ces questions d'opinion ou des véritables délires de certains, l'intérêt scientifique de ces textes est de permettre une meilleure approche de l'effervescence intellectuelle, philosophique et religieuse d'Alexandrie dans les premiers siècles de notre ère. Ainsi que de porter un nouvel éclairage sur le contexte dans lequel s'est développé le monachisme en Egypte.
Grâce aux études menées, on peut les dater entre le début du IIe et le IVe s. L'étude des textes suggère que les originaux devaient être des textes rédigés en grec en milieu judéo-chrétien au IIe s. , grande époque du gnosticisme d'Alexandrie. Ils auraient été traduits en copte aux IIIe et IVe s. Les reliures de cartonnage et de cuir datent quant à elles des IIIe et IVe s,
c'est a dire aux temps du roi romain paien Constantin.
les manuscrits caché par le roi Constantin et découverts en 1945, sont toujours entre les mais de l’église catho-romains, et fera de tout pour ne pas faire connaitre la vérité sur jesus christ, c'est a dire qu'il n'est pas Dieu, ni fils de Dieu, et qu'il n'est pas saint esprit et surtout qu'il n'est pas mort sur la croix, exactement comme racontent tous les manuscrits des frères musulmans, les apôtres.
mon ami, réjouit toi, tôt ou tard tu sera mon frère dans l'islam, si ce pas toi, seront tes heureux petits fils
https://lejardindeslivres.fr/nagh1.htm
http://horizons-d-aton.over-blog.fr/art ... 63582.html