Résultat du test :

Auteur : maya
Date : 16 déc.06, 20:33
Message : J'aimerais bien savoir vos avis sur l'euthanasie. Etes-vous pour ou contre?
Auteur : patlek
Date : 16 déc.06, 21:06
Message : Difficile débat, d' autant qu' il faudrait voir ou commence l' euthanasie, au regard des techniques modernes, et notament de ce que l' on nomme l' archarnement thérapeutique.
Auteur : maya
Date : 16 déc.06, 21:47
Message : http://tf1.lci.fr/infos/monde/europe/0, ... ance-.html
Auteur : incroâillant
Date : 16 déc.06, 22:30
Message : Respect et dignité de l'Homme

La souffrance physique a beaucoup diminuée depuis la prise en charge de la douleur en fin de vie dans les hôpitaux
MAIS
je veux finir ma vie en toute dignité, j'ai fait savoir cela à mon entourage, dés que mes facultés intellectuelles ne me permettrons plus des échanges digne d'un adulte, dés que que mes facultés physiques ne me permettrons plus de communiquer, de réclamer la mort ou de me suicider par moi-même : ils pourront décider de ma mort car j'espère bien avoir assez de facultés pour la commander avant

C'est mon choix!
Ce que je trouves honteux c'est que des politiques, sous pressions religieuses et consensuelles puissent attenter à ma liberté de finir ma vie dignement
Ceci par égoïsme; et pour ne pas être un fardeau et prolonger inutilement les peines de mes proche et les dépenses de la société

loi : http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/Un ... NX0407815L
l'article 2 parle du cas de ne pas pouvoir limiter la souffrance ! Quelle souffrance ? je ne veux pas passer mes dernières années anesthésié par les drogues groggy ou béat :D

Personne n'est obligé d'être d'accord mais voilà bien encore une atteinte flagrante aux libertés individuelles qu'il est difficile de résoudre pour certains esprits

Prenons exemple sur la Hollande au lieu de décider de demis mesures. C'est marrant de voir qu'il est si difficile de prendre exemple sur ceux qui ont opté pour de sages décisions

Ne nous reposons pas injustement sur du personnel hospitalier qui par humanisme à été si longtemps à porter le poids du manque législatif sur ce sujet, amenant ainsi des dérapage dans un sens et dans l'autre ce que la presse nous a appris dernièrement mais qui est une réalité de faits qui dure depuis longtemps

Pour des raison de soi-disant éthique des limité intellectuelle ont ruiné la vie de bien des personnes, faut il être sadique ou inconscient ou encore tout simplement totalement indifférent à la peine et charge des autres
*

Ceci dit sur un ton ferme mais sans haine, juste un peu de dépit
Auteur : florence.yvonne
Date : 16 déc.06, 23:36
Message : je suis pour le suicide assisté.
Auteur : meo
Date : 17 déc.06, 00:37
Message : Pour
Auteur : incroâillant
Date : 17 déc.06, 00:52
Message : Que ceux qui sont éventuellement contre , ce qui est leur droit, m'expliquent s'ils sont pour m'interdire de finir ma vie comme j'en ai envie

dire qu'on est pour veut dire que l'on est pour que la loi permette ce choix

dire que l'on est contre le suicide assisté, n'est pas la même chose que de l'interdire aux autres :D
Auteur : Açoka
Date : 17 déc.06, 00:56
Message : Je suis pour, mais biensûr en établissant des conditions bien précises et strictes. Et biensûr ces conditions devront êtres respectés, ou réétudié en suivant le principe suivant :
Ne jamais prendre une décision conduisant à la mort tant qu'il existe au moins un moyen de faire autrement, et biensûr tant que le patient souhaite continuer à vivre. Et aussi pour s'assurer de réduire les risques d'erreurs, écouter toutes les propositions de tous, concernant des moyens de faire autrement.
Aussi, les moyens financiers ne doivent pas servir de critère pour décider l'euthanasie. La vie coûte trop cher pour entrer dans les concidérations financières.
Auteur : incroâillant
Date : 17 déc.06, 01:12
Message : ne pas vouloir etre une charge pour ma famille ou la société est mon choix perso, je ne l'ai pas avancé comme une évidence universelle

(je précise au cas ou je me serais mal exprimé)
Auteur : septour
Date : 17 déc.06, 01:56
Message : je suis pour l'euthanasie a certaines conditions. CE SERA TJRS UNE DECISION REFLECHIE,MURIE ET ENCADREE PAR LA LOI.
VOLONTAIRE dans le cas d'une personne atteinte d'un mal incurable et consciente.l'aide prealable d'un psychiatre est tout indiquee.
dans le cas d'un malade en phase terminale,inconscient,la decision doit etre prise conjointement par la famille et l'autorite medicale dans le cadre d'une loi stricte.
pour un enfant naissant ou a naitre,sa non viabilite ou adaptabilite a la vie doit etre demontree,la decision d'euthanasier est prise conjointement par les parents ,les medecins et l'etat.
il y a bien d'autres cas limites comme les malades mentaux profonds,les depressifs chroniques,les accidentes dans le coma, les personnes souffrantes au dela de l'acceptable, etc, etc ou l'euthanasie ne devrait etre prise en consideration qu'avec le consentement du malade,du medecin et evidemment de l'etat.
l'euthanasie, sujet delicat ,bourre d'emotions, de considerations religieuses, legales autant que morales. pas simple et terrible!! :(
Auteur : IIuowolus
Date : 17 déc.06, 02:06
Message : Dans ce cas, il faut aussi tenir compte des suicides qui n'est que la conséquence de symptomes de souffrance insoutenable.
Auteur : incroâillant
Date : 17 déc.06, 02:33
Message : Septour, tu oses aler bien loin, c'est courageux, c'est aussi trés complex si on va plus loin que le cadre de la fin de vie médicale

_______________

IIuowolus a écrit :Dans ce cas, il faut aussi tenir compte des suicides qui n'est que la conséquence de symptômes de souffrance insoutenable.
la loi prévoie dans des pays une latence de temps apres le sauvetage médical ( nous somme peut être aussi trop dans le cadre de la fin de vie médicale)

il me semble IIuowolus, que comme beaucoup de gens tu tentes d'y lier la confusion avec des acte commis impulsivement a cause d'un désarroi émotionnel temporaire ou à cause d'un état psychique spécifique éventuellement durable (dépression ..)
Dans ces cas, je n'ai pas vu grand monde contester le secours ou le refuser

Tu es certains qu'il n'y a pas confusion des genres ?
Auteur : Açoka
Date : 17 déc.06, 02:45
Message : Déjà concernant la depression chronique, on peut en guérir, donc inutil de songer à l'euthanasie pour ça. Et si j'affirme qu'on peut en guérir, c'est parce que je suis un ancien dépressif qui s'est guérit lui-même en étudiant mon mal-être et en lisant quelques parties de connaissance sur la psychologie. Bon, je ne dis pas que tout le monde peut se soigner seul, je suis particulier :lol: En tout cas, je sais comment ça se soigne :)
Auteur : mickael__keul
Date : 17 déc.06, 03:30
Message : pour et contre l'acharnement thérapeutique
Auteur : IIuowolus
Date : 17 déc.06, 03:40
Message :
incroâillant a écrit : Tu es certains qu'il n'y a pas confusion des genres ?
Ben ouais c'était pour démontrer à septour la faille de son raisonnement
l'eutanasie se fondent pas sur la douleur, mais sur la présence proche d'une mort certaine et de la douleur, ce qui n'ont pas mal et qui vont bientôt mourir ne souhaite pas être euthanasie.

Mais c'est quelques choses qui ne plaisait déjà pas à nos ancêtres ou une idée nouvelle puisque cela est considérer comme une attente à sa destinée et au payement de poids de ses pêchers et donc interdit
par la religion.
Auteur : septour
Date : 17 déc.06, 05:26
Message : IIUOWOLUS
tu sembles oublier que les depressifs profonds ou chroniques sont ceux qui se suicides,tu sembles oublier aussi que ceux qui souffrent le martyr jour et nuit,veulent egalement en finir avec la vie,bien souvent. :(
Auteur : incroâillant
Date : 17 déc.06, 06:17
Message :
septour a écrit :IIUOWOLUS
tu sembles oublier que les depressifs profonds ou chroniques sont ceux qui se suicides,tu sembles oublier aussi que ceux qui souffrent le martyr jour et nuit,veulent egalement en finir avec la vie,bien souvent. :(
oui mais si la science et l'entourage peut sauver la personne, penses tu que c'est mal ?
Auteur : mickael__keul
Date : 17 déc.06, 06:21
Message : il y a toujours un moment ou le médecin sait qu'il ne peut plus rien faire ! crois moi, je l'ai vécu avec ma mère
Auteur : septour
Date : 17 déc.06, 06:38
Message : la science a des limites.j'avais un voisin d'un certain age qui m'arretait qqfois dans la rue pour me demander si j'entendait le bruit qu'il avait dans les oreilles(acouphenes pour phenomenes acoustiques)
ce bruit etait tel et continuel qu'il ne pouvait dormir,il en perdait la raison!et bien la medecine ne pouvait rien pour lui et pourtant c'est un phenomene courant. :(
Auteur : Açoka
Date : 17 déc.06, 07:15
Message : Il ne pouvaient pas par exemple, le rendre sourd ? Biensûr, ça doit pas être top d'être sourd, mais dans ce cas, ce n'est pas mieux ?
Je ne sais pas, je demande.
Auteur : florence.yvonne
Date : 17 déc.06, 07:20
Message : cela ne servirait à rien de le rendre sourd, puisque les bruits sont dans sa tête ...
Auteur : Açoka
Date : 17 déc.06, 07:21
Message : Ah ok, je ne savais pas d'où ça venait :(
Auteur : antique
Date : 17 déc.06, 09:11
Message : J'espère qu'on en est pas encore à penser à euthanaier les victimes d'acouphènes. Accessoirement si j'ose dire, c'est pas "dans la tete" mais bel et bien une affection de l'oreille. Qui malheureusement se soigne peu.

Bref. Je sais que je vais encore pinailler mais il y a une limite à poser entre euthanasie et suicide assisté. Le dernier cas, celui le plus facile à régler éthiquement à mon avis, la demande vient du malade lui meme. Une fois qu'on a pu établir avec lui que la douleur ou la déchéance physique est irrémédiable et incurable, je ne vois aucune raison de s'y opposer.

L'euthanasie me pose beaucoup plus de problème. Car là il faut choisir à la place du patient. Il faut déjà déterminer à partir de quand on peut décider à sa place. Je ne pense qu'aucun trouble mentaux ne le justifie, ni d'ailleurs d'abréger une fin de vie. Je pense surtout aux comateux inconscients, ou pire aux conscients prisonniers de leur corps et incapables de communiquer. Ne croyer pas que les "débrancher" soit une bonne solution. Ca consiste en fait à les laisser mourrir de faim, de soif, de détresse respiratoire... Une véritable torture mais qui ne se voit pas. Il est donc impératif de prévoir une mort douce et assistée. Donc un acte volontaire et assumé. Pas juste débrancher une machine "pour voir si le patient peut s'en passer", ce qui est une supreme lacheté.

C'est un peu ce que la loi française commence timidement à envisager.
Le point crucial est qui décide, sur quelle base. Et qui le fait ? Les soignants sont souvent réticents. Le professionnel prend souvent le pas sur le compationnel. Alors la famille ? Imaginez vous en train de le faire.
Ma mère est vraisemblablement en train de mourir. Et sincèrement j'espère ne pas etre confonté à ce choix. Alors meme que je suis d'accord sur le principe.
Auteur : florence.yvonne
Date : 17 déc.06, 11:11
Message : le suicide assité ce fait sur demande du malade et sa demande est confirmée par écrit ou bien par vidéo si la personne n'est pas en état d'écrire.
Auteur : incroâillant
Date : 17 déc.06, 18:32
Message :
e ne pense qu'aucun trouble mentaux ne le justifie, ni d'ailleurs d'abréger une fin de vie
merci antique , grâce à des gens comme toi, je risque de finir ma vie dans une grave état de déchéance et personne ne pourra légalement m'euthanasier malgré le fait que j'en ai fait la demande

c'est grave de décider pour les autres :roll:
Auteur : incroâillant
Date : 17 déc.06, 18:35
Message :
florence_yvonne a écrit :le suicide assité ce fait sur demande du malade et sa demande est confirmée par écrit ou bien par vidéo si la personne n'est pas en état d'écrire.
article 2 si la souffrance ne peut être atténuée

la justice parle de souffrance physique

sinon voir article 6
Auteur : maya
Date : 17 déc.06, 23:55
Message : la liberté commence où s'arrête celle des autres , prk alors refuser l'euthanasie à une personne lucide qui souffre d'un handicap physique grave et incurable et qui souhaite mettre un terme à sa vie?? pour ce qui concerne les malades en coma, we re struggling in vein to let them alive, ils peuvent rester des années dans cet état affreux, c'est une souffrance pour les familles... :cry: il faut que toute personne écrive dans son testament si sa famille peut lui donner une injection.

et pour les suicides volontaires, la loi de l'amour peut l'emporter; j'ai bien connu des malades dépressifs qui ont repris le goût de vivre quand elles ont commencé à se sentir aimés par les autres; moi aussi d'ailleurs je connais ces moments de découragement avec l'envie d'en finir avec un monde que je ne comprends plus; mais c'est l'amour des autres qui me redonne l'envie le courage, la foi, l'aide que je peux donner aux autres (c'est fou comme ça me rend bien)... (kiss) aimez vous les uns les autres, et au lieu de critiquer aidons ceux qui ont vmt besoin d'une aide
Auteur : Troubaadour
Date : 18 déc.06, 04:00
Message :
antique a écrit : Bref. Je sais que je vais encore pinailler mais il y a une limite à poser entre euthanasie et suicide assisté. Le dernier cas, celui le plus facile à régler éthiquement à mon avis, la demande vient du malade lui meme. Une fois qu'on a pu établir avec lui que la douleur ou la déchéance physique est irrémédiable et incurable, je ne vois aucune raison de s'y opposer.

L'euthanasie me pose beaucoup plus de problème. Car là il faut choisir à la place du patient. Il faut déjà déterminer à partir de quand on peut décider à sa place. Je ne pense qu'aucun trouble mentaux ne le justifie, ni d'ailleurs d'abréger une fin de vie. Je pense surtout aux comateux inconscients, ou pire aux conscients prisonniers de leur corps et incapables de communiquer. Ne croyer pas que les "débrancher" soit une bonne solution. Ca consiste en fait à les laisser mourrir de faim, de soif, de détresse respiratoire... Une véritable torture mais qui ne se voit pas. Il est donc impératif de prévoir une mort douce et assistée. Donc un acte volontaire et assumé. Pas juste débrancher une machine "pour voir si le patient peut s'en passer", ce qui est une supreme lacheté.

C'est un peu ce que la loi française commence timidement à envisager.
Le point crucial est qui décide, sur quelle base. Et qui le fait ? Les soignants sont souvent réticents. Le professionnel prend souvent le pas sur le compationnel. Alors la famille ? Imaginez vous en train de le faire.
Ma mère est vraisemblablement en train de mourir. Et sincèrement j'espère ne pas etre confonté à ce choix. Alors meme que je suis d'accord sur le principe.
Donner ce choix à faire à la famille n'est pas chose aisée... Y avait il amour familiale ? Y a t il interet d'héritage ? Tou n'est pas simple et aisé.

Quand le malade peut légitiment exprimé son désir d'en finir cela pose peu de probleme. Mais quand le malade dégénère progressivement quand faut il euthanasier ?

Au début de l'alzheimers ? au milieu ? en phase terminale ?

Que faire d'un malade atteint d'alzheimer qui décide de mourir avant d'etre dégradé avant d'etre un légume ?

Que faire d'un malade qui a une chance sur 100 de sortir du coma ? Faut il le tuer au début ou attendre 10 ans de coma pour etre sur qu'il ne s'en sortira plus ?

L'euthanasie est un sujet tres complexe qui hélas ne peut etre résolu en 2 lignes.
Auteur : antique
Date : 18 déc.06, 06:21
Message : J'ai un peu de mal à suivre ta remarque Incroaillant.

Un, je ne fais pas la loi moi meme, donc si on te refuse le droit à une mort digne, ce ne sera pas directement de ma faute.

Tu dois faire allusion à mon avis d'exclure les maladies mentales du périmètre de l'euthanasie. Je maintiens et je maintiendrai.
La maladie mentale est un état permanent qui n'a rien à voir avec le vieillissement ou la maladie physique. Si tu décides d'euthanasier un schizophrene ou un psychotique, à quel age cela devient-il nécessaire ? 70 ans, 60 ans. Et si c'est une issue inéluctable, pourquoi attendre ? Une piqure dès le diagnostique et c'est tout.

Accessoirement la dernière fois qu'on a pensé comme ça, c'était en allemagne en 33, quand on testait les bus avec échappement trafiqué.

Excuse les "gens comme moi" d'essayer de penser euthanasie sans penser eugénisme.

Troubaadour,

je suis d'accord avec toi, c'est un sujet extrèment complexe. Chaque réponse soulève dix questions. Y répondre en trois mots péremptoires dans un post me parait un peu léger.
Auteur : incroâillant
Date : 18 déc.06, 07:18
Message :
antique a écrit :
Accessoirement la dernière fois qu'on a pensé comme ça, c'était en allemagne en 33, quand on testait les bus avec échappement trafiqué.

Excuse les "gens comme moi" d'essayer de penser euthanasie sans penser eugénisme.
j'avais lu :
"'Je ne pense qu'aucun trouble mentaux ne le justifie, ni d'ailleurs d'abréger une fin de vie"

il faut peut etre distinguer entre, être contre, et vouloir interdire aux autres ce souhait d'abréger sa vie en cas de déchéance par souhait exprimé par avance (puisque la déchéance entraine par elle même un manque ou une impossibilité de communication fiable)
=>d'autre part la fin de vie peut être un état ou le patient n'a pas la ressource de réclamer sa mort . Ou bien, son désir écrit peut trés bien dater de plus de 3 ans (voir texte de la loi Française) enfin , malheur à celui qui ne rédige pas de texte sur ses désirs dans ce cas de figure et les a exprimé seulement verbalement dans le passé

C'était juste une demande de mise au point, sans polémiquer outre mesure
je passe sur l'eugénisme je pense qu'il n'en a pas été question ici , ni de solution finale


__________________________

deux approche de l'eutanisie avec des mesures prises avant la France
La Belgique a aussi tenu à ce que la loi ne s'applique qu'aux cas terminaux où la mort est prévisible à court terme. La loi hollandaise pourrait aussi inclure des patients souffrant, par exemple, de sclérose en plaques, même si le décès n'est pas dans un horizon proche
la déchéance serait apparemment prise en compte aussi par jurisprudence en hollande je n'en suis pas certain mais un reportage récent sur un suicidé semblait le confirmer

généralement des mesures sont prise pour éviter tout débordements comme le décrit troubadour, en faisant intervenir des tiers sans rapport avec le malade, une personne du parquet par exemple en hollande

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