Résultat du test :

Auteur : yacoub
Date : 31 août16, 05:37
Message : Israël a tout intérêt à ce que l'islam perdure et que les pays d'islam s'entre tuent comme en Syrie, en Irak, en Libye, au Yemen...etc.

Moins il y aura de musulmans, plus les territoires seront faciles à occuper.

Il se trouve des musulmans comme Omar13 mais pas que lui, qui se font les agents inconscients complices de ce plan.

L'islam aussi va permettre aux USA et à Israël de coloniser l'Europe en l’affaiblissant par l'afflux des musulmans réfugiés.

Image

https://youtu.be/uuTo6wtEQr0




« L’islam est le balai d’Israël »Judaïsme 31 mai 2016 Comment Allah peut-il dire que les musulmans forment « la meilleure communauté (Coran 3.110) » et confesser qu’il aime les Juifs « plus que tous les peuples de la terre (Coran 2.47,121,122 ; 7.140) » ? A moins que « la meilleure communauté » soit toujours celle de Juifs, eux à qui Allah a donné non seulement la Terre Sainte (Coran 5.20-21), l’Égypte (Coran 28.4-6 ; 26.52-59), mais encore Le Livre (Coran 45.16)… Si les musulmans réalisaient qu’Allah aime les Juifs « plus que tous les peuples de la terre » , continueraient-ils à vouloir être musulmans ?
Auteur : omar13
Date : 31 août16, 05:45
Message : tu as grandis tout seul dans la jungle avec les sauvages, c est le motif pour lequel tu n as pas de principes, si j ai fais comprendre que tu es un agent américain, c est parce que des personnes qui connaissent ton malheureux passé l ont écrit déja en 2009:

Hamza a écrit:
Sujet: Le coran parlent des juifs et chretiens
Message Titre du message: Re: Le coran parlent des juifs et chretiens

Message Ecrit le 24 Sep 2009, 14:51
Selam,


Quant à la propagande et au mensonge de Yacoub, le petit larbin des politiciens neo-cons US, il est inutile de démontrer une fois de plus les propos trompeurs et fallacieux de Wafa Sultan.
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 23003.html
Auteur : yacoub
Date : 31 août16, 05:57
Message : Le Hamas, création du Mossad (GlobalResearch)

Image

Voici un article de Hassane Zerouky publié en 2004 par Global Research et traduit en français par nos soins. Il y est question de la création du Hamas en 1987 qui paradoxalement a été favorisée par Israël (aidé par les pays du Golfe).
À l’origine, cette manœuvre avait pour but d’affaiblir l’OLP et la résistance modérée.

Plus récemment, la nouvelle orientation du Hamas, plus pacifiste, et sa récente alliance avec le Fatah conclue en avril 2014 n’arrangeait pas les plans des dirigeants israéliens. Lors de tensions, le Hamas est régulièrement cité pour son radicalisme et sert de prétexte à Israël pour lancer des offensives militaires « en représailles », et pour bloquer les négociations de paix. Il faudra donc être attentif à l’évolution des relations Hamas-Fatah. Et ne pas oublier que c’est Israël, il y a 26 ans qui a permis sa création.

Théo Canova

Le Hamas est une Création du Mossad

Grâce à « La division renseignement et opérations spéciales » du Mossad d’Israël, le Hamas a été autorisé à renforcer sa présence dans les territoires occupés. Pendant ce temps, le mouvement du Fatah de Yasser Arafat pour la libération nationale ainsi que la gauche palestinienne ont été soumis à la forme la plus brutale de répression et d’intimidation.

N’oublions pas que c’est Israël qui a en fait créé le Hamas. Selon Zeev Sternell, historien à l’Université Hébraïque de Jérusalem, « Israël pensait que c’était un stratagème intelligent pour pousser les islamistes contre l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) ».

Ahmed Yassine, le chef spirituel du Mouvement Islamiste en Palestine, de retour du Caire dans les années soixante-dix, a créé une association caritative islamique. (Dans les années 70, ndlr) Le premier ministre Golda Meir a vu cela comme un moyen de compenser la montée du mouvement Fatah de Yasser Arafat. Selon l’hebdomadaire israélien Koteret Rashit (Octobre 1987), «Les associations islamiques ainsi que l’université avait été soutenu et encouragé par l’autorité militaire israélienne» en charge de la (civil) l’administration de la Cisjordanie et de Gaza. «Ils [les associations et l’université islamiques] ont été autorisées à recevoir des paiements d’argent de l’étranger. »



Les islamistes ont mis en place des orphelinats et des centres de santé, ainsi qu’un réseau d’écoles et d’ateliers qui ont créé de l’emploi pour les femmes ainsi que le système d’aide financière aux pauvres. Et en 1978, ils ont créé une « université islamique » à Gaza. « L’autorité militaire était convaincue que ces activités affaibliraient à la fois l’OLP et les organisations de gauche à Gaza. » À la fin de 1992, il y avait six cents mosquées à Gaza. Grâce au Mossad israélien (la division renseignement et opérations spéciales), les islamistes ont été autorisés à renforcer leur présence dans les territoires occupés. Pendant ce temps, les membres du Fatah (Mouvement pour la libération nationale de la Palestine) et de la gauche palestinienne ont été soumis à la forme la plus brutale de répression.

En 1984, Ahmed Yassine a été arrêté et condamné à douze ans de prison, après la découverte d’une cache d’armes. Mais un an plus tard, il a été libéré et a repris ses activités. Et quand l’Intifada («soulèvement») a débuté, en Octobre 1987, et a pris les islamistes par surprise, le cheikh Yassine a répondu en créant le Hamas (Mouvement de la résistance islamique): « Dieu est notre début, le prophète notre modèle, le Coran notre constitution » proclame l’article 7 de la charte de l’organisation.

Ahmed Yassine (le fondateur du Hamas) était en prison quand les accords d’Oslo (Déclaration de principes sur des arrangements intérimaires d’autonomie gouvernementale) ont été signés en Septembre 1993. Le Hamas avait rejeté Oslo purement et simplement. Mais à cette époque, 70% des Palestiniens ont condamné les attaques contre des civils israéliens. Yassin a fait tout en son pouvoir pour miner les accords d’Oslo. Même avant la mort du Premier ministre Rabin, il avait le soutien du gouvernement israélien. Ce dernier était très réticent à mettre en œuvre l’accord de paix.

Le Hamas a alors lancé une campagne soigneusement chronométré d’attaques contre des civils, un jour avant la réunion entre les négociateurs palestiniens et israéliens qui concernait la reconnaissance formelle d’Israël par le Conseil national palestinien. Ces événements ont largement contribué à la formation d’un gouvernement israélien de droite après les élections de mai 1996.

De manière assez inattendue, le Premier ministre Netanyahu a ordonné la libération Sheik Ahmed Yassin («pour des raisons humanitaires») alors qu’il purgeait une peine à perpétuité. Pendant ce temps, Netanyahu, avec l’appui du président Bill Clinton, faisait pression sur Arafat pour contrôler le Hamas. En fait, Netanyahu savait qu’il pouvait compter, une fois de plus, sur les islamistes pour saboter les accords d’Oslo. Pire encore: après avoir expulsé Yassin en Jordanie, le Premier ministre Benjamin Netanyahu lui a permis de revenir à Gaza, où il a été accueilli triomphalement comme un héros en Octobre 1997.

hamas_rally_6Arafat était impuissant face à ces événements. En outre, parce qu’il avait soutenu Saddam Hussein pendant la guerre du Golfe de 1991, (alors que le Hamas s’était prudemment abstenu de prendre parti), les pays du Golfe ont décidé de couper leur financement à l’Autorité palestinienne. Pendant ce temps, entre février et avril 1998, Cheikh Ahmad Yassine a réussi à amasser plusieurs centaines de millions de dollars, à partir de ces mêmes pays. Il a été dit que le budget du Hamas était plus important que celui de l’Autorité palestinienne. Ces nouvelles sources de financement ont permis aux islamistes de poursuivre efficacement leurs diverses activités caritatives. On estime qu’un palestinien sur trois est bénéficiaire de l’aide financière de la Hamas. Et à cet égard, Israël n’a rien fait pour freiner l’afflux de capitaux dans les territoires occupés.

Le Hamas avait construit sa force à travers ses différents actes de sabotage du processus de paix, d’une manière qui soit compatible avec les intérêts du gouvernement israélien. À son tour, ce dernier a cherché par différents moyens à empêcher l’application des accords d’Oslo. En d’autres termes, le Hamas remplissait les fonctions pour lesquelles il a été créé: empêcher la création d’un Etat palestinien. Et à cet égard, le Hamas et Ariel Sharon sont exactement sur ​​la même longueur d’onde.

Dans une élocution faite devant la Chambre des représentants des États-Unis Ron Paul, conscient de la vérité avait exprimé son indignation :

Hassane Zerouky

Source : GlobalResearch.ca

Voici une vidéo pour aller plus loin sur le même sujet :

À lire également l’excellent livre de Charles Enderlin, « Le Grand Aveuglement », sorti en 2009 chez Albin Michel, dont voici le 4ème de couverture.

Image

« En encourageant le développement à Gaza de la branche la plus extrémiste des Frères musulmans, Israël a joué avec le feu pendant près de deux décennies. Les gouvernements successifs à Jérusalem n’ont-ils pas longtemps cru que le cheikh Yassine, fondateur du Hamas, pouvait être ‘l’antidote à l’OLP‘ ? Il est vrai qu’à l’époque les États-Unis eux-mêmes, en finançant et en armant les moudjahidine afghans, avaient grandement sous-estimé la menace islamiste. Ni la CIA ni les services de renseignements israéliens n’ont alors pris la peine d’analyser – voire de traduire – les textes diffusés par ces organisations. Ils découvriront trop tard qu’ils ont, de fait, participé à la création du Hamas et d’Al-Qaida.

Dans ce nouveau document d’enquête, l’auteur du Rêve brisé (2002) et des Années perdues (2006), correspondant permanent de France 2 à Jérusalem, raconte, à partir de sources exceptionnelles et souvent exclusives, l’incompréhension, l’aveuglement, le double jeu parfois des services de renseignements et des politiques à Jérusalem, à Tel-Aviv et à Washington. Il décrit aussi comment l’occupation israélienne, le développement de la colonisation dans les territoires palestiniens et la politique américaine au Proche-Orient ont fait le lit de l’islam radical.

Autant de leçons d’histoire à méditer pour tous ceux qui prétendent œuvrer à une paix juste et durable dans la région. »
Auteur : samuel777444
Date : 31 août16, 05:59
Message :
omar13 a écrit :tu as grandis tout seul dans la jungle avec les sauvages, c est le motif pour lequel tu n as pas de principes, si j ai fais comprendre que tu es un agent américain, c est parce que des personnes qui connaissent ton malheureux passé l ont écrit déja en 2009:

Hamza a écrit:
Sujet: Le coran parlent des juifs et chretiens
Message Titre du message: Re: Le coran parlent des juifs et chretiens

Message Ecrit le 24 Sep 2009, 14:51
Selam,


Quant à la propagande et au mensonge de Yacoub, le petit larbin des politiciens neo-cons US, il est inutile de démontrer une fois de plus les propos trompeurs et fallacieux de Wafa Sultan.
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 23003.html
Selon ta religion de paix, tu as le droit d'égorger Yacoub comme un chien..... J'me demande vraiment pourquoi les ex-musulmans ne sont pas grand fan de l'Islam :hum: :hum: :hum:


Auteur : omar13
Date : 31 août16, 06:00
Message : yaakoub, ne change pas de discutions, agent secret 2009, dans les mains du diable .
Auteur : yacoub
Date : 31 août16, 06:12
Message : Les masques tombent: le chef du renseignement militaire israélien affirme qu’Israël s’oppose à la défaite de Daesh

Les masques tombent: le chef du renseignement militaire israélien affirme qu’Israël s’oppose à la défaite de Daesh
Vous pouvez être sur que cette déclaration ne fera pas les gros titres des journaux dans nos contrées. Encore une preuve au compteur qui montre que la montée de l’Etat Islamique a été voulue depuis le départ par Israël et les Etats-Unis. Roland Dumas avait prévenu: « Cette opération vient de loin » […] « On essayera de s’entendre avec les Etats autour. Et ceux qui ne s’entendront pas on les abattra. »
——-
Alors qu’Israël a déclaré dans le passé qu’il préfère Daesh, aussi connu comme ISIS / État islamique, plutôt que le gouvernement syrien d’Assad, le chef du renseignement militaire israélien le Major général Herzi Halevy a poussé cette affirmation plus loin, en affirmant lors de la Conférence Herzliya cette semaine qu’Israël ne veut pas voir le groupe fondamentaliste être vaincu.
Halevy a dit à la conférence que les trois derniers mois ont été les «plus difficiles» pour Daesh depuis qu’ils ont déclaré leur Califat, et il a été cité par des sources d’information israéliennes affirmant que: «Israël ne veut pas que la situation en Syrie se finisse par la défaite de [Daesh] « .
Le général israélien a déclaré que, «le Retrait des superpuissances de la région et le fait de laisser Israël seul en face du Hezbollah et de l’Iran qui possèdent de bonnes capacités mettra « Israël » dans une position difficile. Par conséquent, nous devons faire tout notre possible pour de ne pas nous retrouver dans une telle situation ».
source:
http://fawkes-news.blogspot.fr/2016/06/ ... ef-du.html

En savoir plus sur

http://reseauinternational.net/les-masq ... lAoXec5.99
Auteur : omar13
Date : 31 août16, 06:19
Message : yaakoub, tu agis exactement comme un agent secret, pour ne pas être contingenté et peut être parce que tu as reçu des ordres de tes supérieur???? , tu as changé le titre a ce topic?????
Désormais, tout le monde sait ta fonction dans ce forum: divulguer les fausses informations sur l islam et les musulmans.
Ce qui te tiennent par le cou, ont bien choisie un ex musulman qui se dis intellectuel????.
Je ne voudrai pas être a la place de tes pauvres parents.
Auteur : yacoub
Date : 31 août16, 07:00
Message : DAESH-ISRAËL : un jeu de rôle ?

Israël est sans nul doute le pays le plus concerné par l’avancée de Daesh. Pourtant son rôle régional n’est relaté par personne. Peut-on toutefois tenter de le cerner ?

Auteur : omar13
Date : 31 août16, 07:04
Message : Yacoub, le petit larbin des politiciens neo-cons US.

http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 23003.html
Auteur : yacoub
Date : 31 août16, 07:12
Message : A la rencontre des musulmans pro-israéliens d’Arabie Saoudite, de Bagdad et du Caire

Arabie Saoudite, Irak ou Yémen ? Ces pays ne peuvent pas figurer dans une campagne pro-Israël selon vous? Détrompez -vous!

Image
====================================
Tous ces événements (le printemps arabe, les guerres, parution des organisations armés terroristes,Daech,… ) qui ont touchés des pays comme la Tunisie Égypte, Irak et la Syrie ne sont pas le fruit du hasard ; ces événements doivent être comprises en lien avec le plan sioniste pour le Moyen-Orient « plan Oded Yinon » paru en février 1982 dans la revue Kivounim publiée par l’Organisation sioniste mondiale, basée à Jérusalem, Celui-ci consiste à affaiblir et éventuellement fractionner les pays arabes avoisinants ; La dissolution de la Syrie et de l’Irak et de l’Egypte et même de l’Arabie Saoudite en zones ethniques et religieuses monocolores dans le cadre d’un projet d’expansion israélien.Le « Grand Israël » consiste en une zone s’étendant de la vallée du Nil à l’Euphrate.Le projet sioniste soutient l’initiative d’implantation juive. Plus généralement il inclut une politique d’exclusion des Palestiniens de la Palestine menant à l’éventuelle annexion à la fois de la Cisjordanie et de la bande de Gaza dans l’État d’Israël.Le Grand Israël créerait un certain nombre d’États fantoches. Il comprendrait des parties du Liban, de Jordanie, de Syrie, du Sinaï, ainsi que d’Irak et d’Arabie Saoudite.

https://youtu.be/SdEMzKT9oTU




Auteur : yacoub
Date : 01 sept.16, 22:58
Message : L’ex femme de Qaradawi : « Le Cheikh est un agent du Mossad »

Asma Ben Kada députée algérienne et ex femme du Cheikh Youssef Qaradawi, a déclaré que son ex époux était un agent du Mossad.
Image

Asma Ben Kada a affirmé que le Cheikh Qaradawi, actuellement président de l’Union Internationale des Savants Musulmans, a effectué une visite à Tel Aviv début 2010. Elle a ajouté que son ex époux entretient des relations secrètes avec le service des renseignements sioniste et qu’il parle couramment l’hébreu.

C’est pourquoi, Hamad ben Khalifa Al Thani tient beaucoup à son Cheikh, a précisé Asma Ben Kada. Elle a ajouté qu’en effet, l’émir du Qatar tire profit du poste du Cheikh Qaradawi au sein de la Ligue Islamique Mondiale, afin d’exécuter le projet américano-sioniste conçu dans les coulisses du Knesset.

La même source a souligné que Cheikh Qaradawi a reçu un certificat d’appréciation du Congrès américain, au sein duquel les juifs représentent la majorité, et ce pour avoir réussi à mettre en œuvre le projet américano-sioniste, dans le monde Arabe.

Le Grand Savant de l'islam Omar13 a tous ses livres et tous ses DVD.
Auteur : Occidental
Date : 01 sept.16, 23:24
Message : Yacoub apporte des éléments au débat. Omar13 se ridiculise, incapable d'apporter des arguments contraires. S'il n'est pas d'accord, qu'il apporte des preuves que ce que dit Yacoub est faux.

Mon avis personnel est que la division et l'éclatement des états arabes sert à Israël; cela parait évident.

Quant à la vidéo du gus qui a fui l'islam et son archaïsme, je la fais tourner. Merci.
Auteur : omar13
Date : 01 sept.16, 23:34
Message : Accidental, essaie de me répondre sur ces sujets y compris tes associés ex musulmans enragés, et les timides pauvres amis "chretiens" qui sont tres peu dans cette section:


http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 53335.html
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 50569.html
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 53333.html
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 53334.html
Auteur : eric121
Date : 02 sept.16, 02:40
Message :
omar13 a écrit :Accidental, essaie de me répondre sur ces sujets y compris tes associés ex musulmans enragés, et les timides pauvres amis "chretiens" qui sont tres peu dans cette section:


http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 53335.html
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 50569.html
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 53333.html
http://www.forum-religion.org/islamo-ch ... 53334.html
Il n'y a rien à répondre pour des inepties et des mensonges
Auteur : yacoub
Date : 05 sept.16, 04:00
Message : si nous sommes désormais conscients de l'influence de la "culture" sur l'opinion , et compte tenue que tout le monde reconnait que Hollywood est entièrement sous autorité sioniste , mais on sait donc que la "sensibilité" sioniste sera au manette de la sélection des films , voir même ; certains sionistes pourraient donc volontairement traité un sujet sous un angle biaisé ? si vous en douter , regardez cela , et dans tout les cas , vous aurait un éclairage des "lumières" ....

Tom Cruise : « Les Arabes sont la source du terrorisme. Ils attaquent tout le monde sans exception. J’espère qu’Israël les détruira »

https://youtu.be/HIXe5aIYuNE


Auteur : yacoub
Date : 08 sept.16, 01:10
Message : DAESH travaille pour les USA. Ils ont comme consigne déstabiliser L'Europe avec des attentats "islamiques"

https://youtu.be/DnTZ9S4T8rE



Image
Auteur : hérétique
Date : 11 sept.16, 14:20
Message : [quote="yacoub"]Israël a tout intérêt à ce que l'islam perdure et que les pays d'islam s'entre tuent comme en Syrie, en Irak, en Libye, au Yemen...etc.

Moins il y aura de musulmans, plus les territoires seront faciles à occuper.

Il se trouve des musulmans comme Omar13 mais pas que lui, qui se font les agents inconscients complices de ce plan.

L'islam aussi va permettre aux USA et à Israël de coloniser l'Europe en l’affaiblissant par l'afflux des musulmans réfugiés.

Image

Les USA coloniser l'europe ??!!
Y vont venir en boatpeople ? Reconstruire le mayflower pour faire le chemin inverse ?

Israël coloniser l'europe :shock: :lol: :lol: :lol:
Avec tous ce qu'ils dépensent en propagande pour faire venir les européens de confessions juives en israel ! Que la droite expansionniste ( ce que vous appelez maladroitement le sionisme) en est à faire venir des karloush... c'est plus que paradoxale.

avec une mention speciale pour ce dessin qui fleur bon la ....
Auteur : yacoub
Date : 11 sept.16, 21:51
Message : Dans leur politique face à l'islam, les États-Unis ont fait le choix de l'obscurantisme contre les régimes laïcs.
Ils conseillent, arment et protègent, en Algérie, en Bosnie, en Macédoine, au Pakistan, en Afghanistan, des mouvements violemment hostiles au monde chrétien.
Pourquoi? A. del Valle énumère dans ce livre une série impressionnante de faits et de documents, exposant les principaux dangers géopolitiques qui guettent l'Europe du troisième millénaire.
– Un essai retentissant, devenu ouvrage de référence.

Image

L'Arabie Saoudite est la mère de DAESH et d'Al Qaïda, le père étant les USA.

Comment l’Occident a contribué à créer l’« État Islamique »
Auteur : hérétique
Date : 12 sept.16, 14:23
Message :
yacoub a écrit :Dans leur politique face à l'islam, les États-Unis ont fait le choix de l'obscurantisme contre les régimes laïcs.
Ils conseillent, arment et protègent, en Algérie, en Bosnie, en Macédoine, au Pakistan, en Afghanistan, des mouvements violemment hostiles au monde chrétien.
Pourquoi? A. del Valle énumère dans ce livre une série impressionnante de faits et de documents, exposant les principaux dangers géopolitiques qui guettent l'Europe du troisième millénaire.
– Un essai retentissant, devenu ouvrage de référence.
Pas si retentissant que ca :/ Il y a bien des parties tres pertinantes, mais elles cotoient des parties tres mauvaises et mal documenté (ceci expliquant en partie cela)...

Le pourquoi les USA préfèrent les religieux au laïcs n'est pas bien difficile a comprendre... Les USA sont très religieux (in god we trust) et associent la laïcité au communisme... (+ pour eux le radicalisme/fondamentalisme religieux n'est qu’éphémère.

Reste la colonisation de l'europe par les USA et surtout par israel !!!
Auteur : yacoub
Date : 12 sept.16, 21:43
Message :
hérétique a écrit : Pas si retentissant que ca :/ Il y a bien des parties tres pertinantes, mais elles cotoient des parties tres mauvaises et mal documenté (ceci expliquant en partie cela)...

Le pourquoi les USA préfèrent les religieux au laïcs n'est pas bien difficile a comprendre... Les USA sont très religieux (in god we trust) et associent la laïcité au communisme... (+ pour eux le radicalisme/fondamentalisme religieux n'est qu’éphémère.

Reste la colonisation de l'europe par les USA et surtout par israel !!!
L'islam est le balai d'Israël

« chers Européens, continuez de penser à une réduction de la durée du travail, à la retraite anticipée, à l’avortement à la demande et à l’adultère l’après-midi. Avec vos lois, nous vous vaincrons ; avec nos lois, nous vous convertirons ».
Auteur : hérétique
Date : 13 sept.16, 04:30
Message :
yacoub a écrit : L'islam est le balai d'Israël

« chers Européens, continuez de penser à une réduction de la durée du travail, à la retraite anticipée, à l’avortement à la demande et à l’adultère l’après-midi. Avec vos lois, nous vous vaincrons ; avec nos lois, nous vous convertirons ».
:lol:

Donc vous aimez suivre tous les fondamentalistes/traditionaliste/ultraorthodoxe/etc...

Tout ce que profère votre rav Touitou n'est pas parole d'évangile, loin de là !!! Pour lui la terre a été créée il y a 5775 ans pour une durée de 6000 ans XD Ca vous place le genre d’énergumène qu’il peut être !
Auteur : yacoub
Date : 13 sept.16, 05:23
Message : :non:
Je n'aimais pas l'ayatollah Khomeyni mais grâce aux USA et à la France, en 1979, il a réussi à renverser le Shah d'Iran, autocrate certes mais d'inspiration laïque, pour instaurer une république islamique qui, quoique chiite, a influencé tous les islamistes du monde musulman en particulier en Palestine, en Egypte, en Algérie.
Après, on a eu la guerre Iran-Irak 8 ans et 1 milion de morts.

Guerre bénie par les USA et Israël qui ont armé les deux pays.
Auteur : hérétique
Date : 13 sept.16, 05:58
Message :
yacoub a écrit ::non:
Je n'aimais pas l'ayatollah Khomeyni mais grâce aux USA et à la France, en 1979, il a réussi à renverser le Shah d'Iran, autocrate certes mais d'inspiration laïque, pour instaurer une république islamique qui, quoique chiite, a influencé tous les islamistes du monde musulman en particulier en Palestine, en Egypte, en Algérie.
Mmmmh
Y'a un peu de ça.
Mais vous oubliez que les Saoud et leurs alliés fondamentalistes (qui avaient saccagé la Mecque) ne pouvant pas blairer le projet panarabique de Nasser (qui avait de plus en plus de succès) ont usé de toute leur influence (et de leur pétrodollar) pour le remplacer par un projet panislamique (tendance amish). Leur grand rival la République islamique d'Iran pour ne pas être trop a la traine, se sert de la Palestine et de la "oumma" pour gagner des points d'influence. Pour le coup les grands "satans" occidentaux n'ont pas grand chose à voir la dedans.
Auteur : yacoub
Date : 13 sept.16, 07:17
Message : Comment est arrivé Nasser au pouvoir ? Les frères musulmans qui semaient par le terrorisme l'anarchie dans le pays ont obligé l'Armée au coup d'état.

Le colonel Nasser, dès sa prise du pouvoir, a voulu chasser les Saoud du pouvoir.

Ni les USA ni Israël ne voulaient ça et donc ils l'ont hitlérisé ainsi que la France qui savait son soutien au FLN.

Il y a eu l'agression tripartite de 1956, stoppée par l'URSS et les USA.

Le colonel Nasser était contre toutes les monarchies arabes même celle du Maroc et il a soutenu l'Algérie dans la guerre dite des sables.

Malheureusement, la guerre des 6 jours lui a été fatale.
Auteur : Imperiocristo
Date : 13 sept.16, 13:16
Message : L'Islam est l'arme secrète d'Israël qui a toujours servit pour contenir et détruire le Christianisme

Cette vague de migrants et l'Islamisation de l'Europe encourager par qui ?

Au temps de mahomet pareil ! liaison douteuse entre les Judéo Nazaréens et mahomet , il suffit de voir qui a proclamé prophète mahomet ( waraqa ) un juif judéo nazaréen chrétien

Maintenant allez voir qu'elle était les croyances des judéo nazaréens chrétiens et vous serez étonné , comme un air de déjà vu en notre temps (chante)
Auteur : hérétique
Date : 14 sept.16, 13:55
Message :
yacoub a écrit :Comment est arrivé Nasser au pouvoir ? Les frères musulmans qui semaient par le terrorisme l'anarchie dans le pays ont obligé l'Armée au coup d'état.

Le colonel Nasser, dès sa prise du pouvoir, a voulu chasser les Saoud du pouvoir.

Ni les USA ni Israël ne voulaient ça et donc ils l'ont hitlérisé ainsi que la France qui savait son soutien au FLN.

Il y a eu l'agression tripartite de 1956, stoppée par l'URSS et les USA.

Le colonel Nasser était contre toutes les monarchies arabes même celle du Maroc et il a soutenu l'Algérie dans la guerre dite des sables.

Malheureusement, la guerre des 6 jours lui a été fatale.
C'est pas comme si Nasser avait voulu faire participer les frères musulmans au pouvoir, qu'il etait socialiste en pleine guerre froide (en passant, pour les américain la France est un pays communiste), que les USA aient soutenu l’indépendance des colonies et des protectorats des européens, etc.

Z'avez raison les pays du Maghreb et du moyen-orient n’étaient et ne sont toujours pas capable de faire des connerie tout seuls comme des grands... :fatiguer:
Auteur : yacoub
Date : 16 sept.16, 22:38
Message : Salem Benammar
13 h ·

Les Américains ont peut-être créé les Talibans Al Qaida et Daech comme ils ont adoubé Khomeini et les Saouds mais toutes ces créatures professent l'islam.

Ils n'ont fait qu'en réalité utiliser la cellule souche musulmane pour métastaser l'humanité tout entière .

Les Anglais ont fait pareil avec le wahhabisme et les frères musulmans.

L'islam est un atout maître dans la stratégie de la terreur des grandes puissances à cause de sa nature violente et terrifiante.

C'est une arme aussi redoutable que l'arme nucléaire et qui leur offre l'opportunité d'épargner la vie de leurs soldats en utilisant les musulmans comme chair à canon comme en Syrie par exemple.

Il leur suffit de leur faire croire qu'ils y vont pour sauver l'islam en péril et les musulmans ne vont pas se poser la question car il est du devoir de tout musulman de mener le djihad défensif.

L'islam est une poudrière de par sa nature et les incendiaires n'ont aucune difficulté de souffler sur sa braise.

Que les Américains l'instrumentalisent cela n'est pas le problème pourquoi c'est justement l'islam qui leur sert de pion sur leur échiquier géopolitique et pas le christianisme par exemple qu'ils sacrifient délibérément pour assouvir l'appétit de l'hydre islamique et la rendre plus docile et malléable ?
Auteur : yacoub
Date : 20 sept.16, 22:12
Message : L'attaque américaine contre l'Armée arabe syrienne… l'analyse de Bassam Tahhan

https://youtu.be/7dME3rxC12w



=====================================================================
Vingt-six vérités sur le groupe État islamique (EI) qu’Obama veut vous cacher

Vingt-six vérités sur le groupe État islamique (EI) qu’Obama veut vous cacher

La guerre menée par les États-Unis contre le groupe armé État islamique est un grand mensonge.


Pourchasser les « terroristes islamiques » et mener une guerre préventive dans le monde entier pour « protéger la patrie étasunienne » sont des concepts utilisés pour justifier un programme militaire.

L’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) est une création du renseignement étasunien.

Le programme de « lutte contre le terrorisme » de Washington en Irak et en Syrie consiste à appuyer les terroristes.

L’incursion des brigades du groupe État islamique (EI) en Irak ayant débuté en juin 2014 faisait partie d’une opération militaire et du renseignement, soigneusement planifiée et soutenue secrètement par les États-Unis, l’OTAN et Israël.

Le mandat de lutte contre le terrorisme est fictif. Les États-Unis sont le « commanditaire numéro un du terrorisme d’État ».

L’État islamique est protégé par les États-Unis et leurs alliés. S’ils avaient voulu éliminer les brigades de l’État islamique, ils auraient pu bombarder intensément leurs convois de camionnettes Toyota lorsqu’ils ont traversé le désert entre la Syrie et l’Irak en juin.

Le désert syro-arabe est un territoire ouvert (voir la carte ci-dessous). D’un point de vue militaire, cette opération aurait pu être effectuée efficacement, rapidement et de manière extrêmement précise avec des chasseurs à la fine pointe de la technologie (F15, F22 Raptor, CF-18).

Dans cet article, nous abordons 26 concepts qui réfutent le grand mensonge. Alors que les médias interprètent cette opération militaire à grande échelle contre la Syrie et l’Irak comme étant une entreprise humanitaire, elle a engendré d’innombrables morts civiles.

Cette opération n’aurait pas pu être entreprise sans l‘appui inflexible des médias occidentaux, lesquels ont maintenu que l’initiative d’Obama représentait une opération de contre-terrorisme.

LES ORIGINES HISTORIQUES D’AL-QAÏDA

1. Les États-Unis appuient Al-Qaïda et ses organisations affiliées depuis presque un demi-siècle, depuis le début de la guerre soviéto-afghane.

2. Des camps d’entraînement de la CIA ont été mis en place au Pakistan. Entre 1982 et 1992, la CIA a recruté quelques 35 000 djihadistes venus de 43 pays musulmans pour faire le djihad en Afghanistan.

« Payées par des fonds de la CIA, des annonces publicitaires incitant à se joindre au djihad ont été placées dans les journaux et bulletins d’information à travers le monde. »

3. Washington appuie le réseau terroriste islamique depuis l’administration Reagan.

Ronald Reagan a appelé les terroristes des « combattants de la liberté ». Les États-Unis ont fourni des armes aux brigades islamiques. C’était pour « une bonne cause » : la lutte contre l’Union soviétique et un changement de régime ayant mené à la disparition d’un gouvernement laïc en Afghanistan.

image: http://reseauinternational.net/wp-conte ... 00x399.jpg
Reagan-Mujahedeen-600x399

Ronald Reagan rencontre les commandants des moudjahidines afghans à la Maison-Blanche en 1985 (Reagan Archives)

4. Des manuels djihadistes ont été publiés par l’Université du Nebraska. « Les États-Unis ont dépensé des millions de dollars pour fournir aux écoliers afghans des manuels remplis d’images violentes et d’enseignements islamiques militants. »

5. Oussama ben Laden, «le démon» (Bogeyman) des États-Unis et fondateur d’Al-Qaïda a été recruté par la CIA en 1979, dès le début du djihad contre l’Afghanistan, appuyé par les États-Unis. Il avait 22 ans et a été formé dans un camp d’entraînement de guérilla soutenu par la CIA.

Al-Qaïda n’était pas derrière les attaques du 11-Septembre. Le 11 septembre 2001 a fourni une justification à la guerre contre l’Afghanistan, basée sur l’idée que l’Afghanistan pratiquait le terrorisme d’État en soutenant Al-Qaïda. Les attaques du 11-Septembre ont contribué à l’élaboration de la « guerre mondiale au terrorisme » (Global War on Terrorism)

L’ÉTAT ISLAMIQUE

6. Le groupe État islamique (EI) était à l’origine une entité liée à Al-Qaïda et créée par le renseignement étasunien avec le soutien du MI6 britannique, du Mossad israélien, de l’Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanais et du General Intelligence Presidency (GIP) saoudien, Ri’āsat Al-Istikhbarat Al-’Āmah (رئاسة الاستخبارات العامة).

image: http://reseauinternational.net/wp-conte ... _small.jpg
isis_small



7. Les brigades de l’EI ont participé à l’insurrection en Syrie contre le gouvernement de Bachar Al-Assad, insurrection appuyée par les États-Unis et l’OTAN.

8. L’OTAN et le Haut commandement turc étaient responsables du recrutement de mercenaires pour l’EI et Al-Nosra dès le début de l’insurrection syrienne en mars 2011. Selon des sources du renseignement israélien, cette initiative consistait en « une campagne visant à enrôler des milliers de volontaires musulmans dans les pays du Moyen-Orient et le monde musulman pour combattre aux côtés des rebelles syriens. L’armée turque logerait ces volontaires, les formerait et assurerait leur passage en Syrie. (DEBKAfile, NATO to give rebels anti-tank weapons, 14 août 2011.)

image: http://reseauinternational.net/wp-conte ... refuse.jpg
us-soldier-refuse



9. Il y a des forces spéciales occidentales et des services de renseignement occidentaux dans les rangs de l’EI. Des forces spéciales britanniques et le MI6 ont participé à la formation de rebelles djihadistes en Syrie.

10. Des experts militaires occidentaux travaillant à contrat pour le Pentagone ont formé les terroristes pour utiliser des armes chimiques.

« Les États-Unis et certains de leurs alliés européens utilisent des entrepreneurs liés à la Défense pour montrer aux rebelles syriens comment sécuriser les stocks d’armes chimiques en Syrie, ont déclaré dimanche à CNN un haut responsable étasunien et plusieurs diplomates de haut rang. » (CNN Report 9 décembre, 2012)

image: http://www.globalresearch.ca/wp-content ... ration.jpg
11. La pratique de la décapitation de l’EI fait partie des programmes d’entraînement des terroristes appuyés par les États-Unis et mis en œuvre en Arabie Saoudite et au Qatar.

12. Un grand nombre de mercenaires de l’EI, recrutés par l’allié des États-Unis, sont des criminels condamnés qui ont été libérés des prisons saoudiennes à condition qu’ils se joignent à l’EI. Des condamnés à mort saoudiens ont été recrutés pour rejoindre les brigades terroristes.

13. Israël a soutenu les brigades de l’EI et d’Al-Nosra sur le plateau du Golan.

Des djihadistes ont rencontré des officiers israéliens de Tsahal ainsi que le premier ministre Nétanyahou. Les haut gradés de Tsahal reconnaissent tacitement que « des éléments du jihad mondial en Syrie » [EI et Al-Nosra] sont soutenus par Israël. Voir l’image ci-dessous :

« Le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou et le ministre de la Défense Moshe Yaalon, aux côtés d’un mercenaire blessé, à l’hôpital militaire de campagne israélien sur le plateau du Golan occupé à la frontière de la Syrie, le 18 février 2014. »

image: http://reseauinternational.net/wp-conte ... spital.jpg
netanyahu-mercenary-hospital



LA SYRIE ET L’IRAK

14. Les mercenaires de l’EI sont les fantassins de l’alliance militaire occidentale. Leur mandat tacite est de ravager et détruire la Syrie et l’Irak, au nom de ceux qui les appuient, les États-Unis.

image: http://www.globalresearch.ca/wp-content ... 49x300.jpg
15. Le sénateur étasunien John McCain a rencontré des chefs terroristes djihadistes en Syrie. (Voir la photo à droite.)

16. La milice de l’État islamique, actuellement la cible présumée d’une campagne de bombardements des États-Unis et de l’OTAN en vertu d’un mandat de « lutte contre le terrorisme », est toujours soutenue clandestinement par les États-Unis. Washington et ses alliés continuent à fournir de l’aide militaire à l’État islamique.

17. Les bombardements des États-Unis et de leurs alliés ne visent pas l’EI, ils visent plutôt l’infrastructure économique de l’Irak et la Syrie, dont les usines et les raffineries de pétrole.

18. Le projet de califat de l’EI relève d’un programme de longue date de la politique étrangère des États-Unis, ayant pour but de diviser l’Irak et la Syrie en territoires distincts : un califat islamiste sunnite, une République chiite arabe et une République du Kurdistan.

LA GUERRE MONDIALE AU TERRORISME (GMAT)

19. « La guerre mondiale au terrorisme » (GMAT) est présentée comme un « choc des civilisations », une guerre entre les valeurs et les religions concurrentes, alors qu’en réalité, elle constitue une véritable guerre de conquête, guidée par des objectifs stratégiques et économiques.

20. Les brigades terroristes d’Al-Qaïda soutenues par les États-Unis (et appuyées secrètement par le renseignement occidental) ont été déployées au Mali, au Niger, au Nigeria, en Centrafrique, en Somalie et au Yémen.

Ces différentes entités affiliées à Al-Qaïda au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et en Asie sont appuyées par des « atouts du renseignement » soutenus par la CIA. Ils sont utilisés par Washington afin de faire des ravages, créer des conflits internes et déstabiliser des pays souverains.

image: http://www.globalresearch.ca/wp-content ... sation.jpg
Guerre et mondialisation: La vérité derrière le 11 septembre, Michel Chossudovsky

21. Boko Haram au Nigeria, Al-Shabab en Somalie, le Groupe islamique combattant en Libye (GICL) (soutenu par l’OTAN en 2011), Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), la Jemaah Islamiyah (JI) en Indonésie, entre autres groupes affiliés à Al-Qaïda, sont soutenus clandestinement par les services de renseignement occidentaux.

22. Les États-Unis appuient également des organisations terroristes affiliées à Al-Qaïda dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang en Chine. L’objectif sous-jacent consiste à déclencher l’instabilité politique en Chine occidentale.

L’on rapporte que des djihadistes chinois auraient reçu « une formation terroriste » de l’État islamique « dans le but de perpétrer des attaques en Chine ». L’objectif déclaré de ces entités djihadistes situées en Chine (servant les intérêts des États-Unis) est d’établir un califat islamique s’étendant jusque dans l’ouest de la Chine. (Michel Chossudovsky, America’s War on Terrorism, Global Research, Montréal, 2005, chapitre 2).

TERRORISTES D’ORIGINE INTÉRIEURE

23. Les terroristes c’est nous : Les États-Unis sons les architectes inavoués du groupe armé État islamique et le mandat sacré d’Obama est de protéger l’Amérique contre les attaques de l’EI.

24. La menace terroriste d’origine intérieure est une fabrication. Les gouvernements occidentaux et les médias en font la promotion dans le but d’abroger les libertés civiles et d’instaurer un État policier. Les attaques terroristes perpétrées par de présumés djihadistes et les avertissements d’attentats des terroristes sont invariablement mis en scène. Ils sont utilisés pour créer une atmosphère de peur et d’intimidation.

Les arrestations, les procès et les condamnations de « terroristes islamiques » visent pour leur part à entretenir la légitimité du Homeland Security, l’État sécuritaire des États-Unis, et de l’appareil d’application de la loi, de plus en plus militarisé.

L’objectif ultime est d’inculquer dans l’esprit de millions d’Étasuniens l’idée que l’ennemi est réel et que l’administration étasunienne va protéger la vie de ses citoyens.

25. La campagne de « lutte au terrorisme » contre l’État islamique a contribué à la diabolisation des musulmans, qui, aux yeux de l’opinion publique occidentale, sont de plus en plus associés aux djihadistes.

26. Toute personne qui ose remettre en question la validité de la « guerre mondiale au terrorisme » est accusée d’être un terroriste et soumise aux lois anti-terroristes.

Le but ultime de la « guerre mondiale au terrorisme » est de soumettre les citoyens à l’autorité, de dépolitiser complètement la vie sociale aux États-Unis, d’empêcher les gens de penser et de conceptualiser, d’analyser les faits et de contester la légitimité de l’ordre social inquisitorial qui gouverne le pays.

L’administration Obama a imposé un consensus diabolique avec le soutien de ses alliés, sans compter le rôle complice du Conseil de sécurité des Nations Unies. Les médias occidentaux ont adopté le consensus; ils décrivent le groupe État islamique comme une entité indépendante, un ennemi extérieur qui menace le monde occidental.

Le grand mensonge est devenu vérité.

Dites non au « grand mensonge ».

Passez le mot.

Au bout du compte, la vérité est une arme puissante.

Aidez-nous s’il vous plaît à aller de l’avant. Nous comptons sur l’appui de nos lecteurs.

Pensez à faire un don au Centre de recherche sur la mondialisation.

Pour la paix et la vérité dans les médias.

Michel Chossudovsky
Video: La mondialisation de la guerre

Article original en anglais : Twenty-six Things About the Islamic State (ISIL) that Obama Does Not Want You to Know About

Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

http://www.mondialisation.ca/vingt-six- ... er/5415419

En savoir plus sur http://reseauinternational.net/vingt-si ... TSjF1c9.99
Auteur : hérétique
Date : 21 sept.16, 13:05
Message :
yacoub a écrit :L'attaque américaine contre l'Armée arabe syrienne… l'analyse de Bassam Tahhan



Vingt-six vérités sur le groupe État islamique (EI) qu’Obama veut vous cacher

La guerre menée par les États-Unis contre le groupe armé État islamique est un grand mensonge.

C'est bien vous n'avez pas perdu vos fondamentaux malgré votre virement de cutie...
Les USA&co superintelligent, sans aucune faille, et le pauvrre petit peuple arabo-musulman totalement crédule, incapable de quoi que soit....

C'est triste à pleurer
Auteur : yacoub
Date : 22 sept.16, 03:15
Message : :non:

"Moyen Orient : Le plan américano-israélien" par Hannibal Genseric

" D'abord nous devons en finir avec les régimes terroristes, à commencer par les trois grands : Iran, Irak et Syrie.
Puis nous nous occuperons de l'Arabie saoudite. … Nous ne voulons de stabilité ni en Irak, ni en Syrie, ni au Liban, ni en Iran ou en Arabie saoudite.
Nous voulons que les choses changent. La question n'est pas de savoir s'il faut déstabiliser mais comment le faire.
"The War against the Terror Masters (Guerre contre les maîtres de la terreur), Sept 2002, de Michael Ledeen, membre du groupe des néoconservateurs de Georges Bush.


1. Introduction. Au lendemain des attentats du 11 septembre à de New-York, les Etats-Unis et Israël, ayant désormais les coudées franches au nom de la lutte contre le terrorisme islamiste, entreprenaient, sur plusieurs années, un remodelage des pays arabo-musulmans, qui vont du Maghreb au Pakistan. Excipant divers prétextes pour convaincre la communauté internationale à les suivre - ou au moins à les laisser faire – cet « axe du Mal » allait utiliser la puissance militaire et les moyens subversifs pour réaliser cette recomposition au service de leurs intérêts géostratégiques bien compris. Dix jours après les attentats du 11 septembre, Donald Rumsfeld, le chef du Pentagone, présentait au général Wesley Clark (interview de celui-ci le 2 mars 2007) un mémo dans lequel il est précisé que sept pays arabo-musulmans devaient « passer à la casserole » : l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, le Liban, la Syrie, le Soudan et l’Iran.



2. Diviser pour régner. L'idée maîtresse du plan, qui est de balkaniser le Monde Arabo-musulman « utile » est aujourd'hui ouvertement admise par des membres ou des conseillers importants des gouvernements américain et israélien. Cette politique du « diviser pour régner » nous rappelle une autre période noire de notre histoire : c’est l’époque des taïfas andalouses (1031 à 1492), qui annonçait l’élimination totale des arabo-berbères d’Andalousie. Une taïfa (mot arabe) est un petitroyaume andalou. Durant les périodes d'instabilité politique et de décadence, l’Andalousie a été, sous les coups de boutoir des rois catholiques espagnols, morcelée en plusieurs taïfas, sortes de micros émirats. Le roitelet d’une taïfa est généralement faible et dépend de la protection d’un suzerain catholique. Il est aussi souvent concurrent, voire ennemi, de ses voisins musulmans. Les armées chrétiennes y effectuent périodiquement des razzias pour tirerbutin, otages, esclaves ou encore, imposer aux taïfas de payer un paria (tribut).

3. Un objectif de domination mondiale. Dans son livre « Le Grand Échiquier » ZbigniewBrzezinski (politologue américain , conseiller à la sécurité nationale US de 1977 à 1981) divise le monde en « zones dures » ou « acteurs géostratégiques » tels que les États-Unis, l’Inde, la Chine, la Russie, etc., alors que les « zones molles » désignent soit « l’ensemble des nations non souveraines » à l’image des nations africaines ou latino-américaines, soit les puissances ou civilisations anciennes (européennes, islamiques, etc.). La nature « molle » de l’Europe de l’Ouest est vitale pour les États-Unis dans la mesure où elle empêche qu’un bloc anti-hégémonique continental européen ne se constitue autour de l’Allemagne ou de la Russie. Il s’agit donc pour les États-Unis d’imposer leur politique unipolaire en s’opposant à toute velléité d’expansion des autres « acteurs géostratégiques » tels que la Russie ou la Chine en les encerclant jusqu’à l’étouffement. L’Europe de l’Ouest, L’Europe centrale, les anciennes républiques socialistes, l’Afrique, le monde arabe, les Balkans eurasiens et jusqu’aux bordures de la Mer Caspienne, tout cet espace couvrant la production et la circulation des hydrocarbures est condamné à ne constituer qu’un vaste ensemble de « zones molles » sous la tutelle de l’Empire israélo-américain, dénommé simplement « l’Empire » dans ce qui suit.


Après la chute du bloc de l'Est, Brzezinski réactualise sa théorie en s’inspirant du principe de l'« arc de crise » (zone géopolitique allant de l'Egypte au Pakistan) de l'islamologue britannique juif et sioniste, Bernard Lewis. Il préconise une stratégie « islamiste » dans la zone d'influence russe allant de la Turquie à l'Afghanistan, proposant de «balkaniser» le Moyen-Orient musulman pour créer des mini Etats pétroliers plus faciles à contrôler que les Etats souverains à forte identité. De la même manière, établir des régimes islamistes en Afrique du Nord permettrait d’ériger un autre rempart entre l’Europe d’une part, et l’Afrique-Asie de l’autre. Cerise sur le gâteau, des régimes pro-terroristes aux flancs de l’Europe, de la Russie, de la Chine et de l’Inde ne peuvent qu’affaiblir ces grands concurrents des USA.

Au vu de cette théorie politique sous-jacente qui défend une sorte de nouvelle Guerre Froide, on comprend mieux les positions défendues par les Etats-Unis au Moyen-Orient et leurs véritables motivations à long terme dans la région. De ce point de vue, les récentes demandes de l'administration Obama rentrent parfaitement dans le cadre de la politique Brzezinski.

Cette politique rejoint celle de l’autre camp, les républicains, et qui a été définie par un autre politologue, Henry Kissinger, et appliquée par les présidents Bush, père et fils (voir plus loin).

Sur les ruines des états démantelés, arabes (Irak, Syrie, Arabie, Soudan, Libye, Algérie,...) et non arabes (Iran, Afghanistan, Pakistan, etc.), on installera des micro-califats islamistes et sous protection américaine, à l’instar des émirats du Golfe (Qatar, Koweït, EAU, Oman) ou des taïfas andalouses. On comprend pourquoi tous les islamistes travaillent de concert avec cette politique US : abrutissement systématique des populations, élimination des présences européennes au profit de l’Amérique et de ses agents arabes. Chaque chef islamiste se voit comme le calife de son bout de territoire que va lui concéder l’oncle Sam, à la condition qu’il soit aussi sage et avisé que les émirs et les rois du pétrole actuels.

4. Le plan israélien de remodelage du Proche Orient. Le plan Oded Yinon (analyste du ministère israélien des Affaires étrangères) préconisait, en 1982, le démantèlement pur et simple des Etats arabes. Le plan passe en revue dix-neuf Etats arabes en répertoriant leurs principaux facteurs centrifuges, annonciateurs de désintégration. Après une ultime recommandation qui invite Israël à « agir directement ou indirectement pour reprendre le Sinaï en tant que réserve stratégique, économique et énergétique », Yinon conclut : « La décomposition du Liban en cinq provinces préfigure le sort qui attend le monde arabe tout entier, y compris l’Egypte, la Syrie, l’Irak et toute la péninsule arabe. Au Liban, c’est déjà un fait accompli. La désintégration de la Syrie et de l’Iraq en provinces ethniquement ou religieusement homogènes, comme au Liban, est l’objectif prioritaire d’Israël sur son front Est. A court terme, l’objectif est la dissolution militaire de ces Etats. La Syrie va se diviser en plusieurs Etats, suivant les communautés ethniques, de telle sorte que la côte deviendra un Etat alaouite chiite ; la région d’Alep, un Etat sunnite ; à Damas, un autre Etat sunnite hostile à son voisin du nord verra le jour ; les Druzes constitueront leur propre Etat, qui s’étendra sur notre Golan, dans le Hourane et en Jordanie du Nord ».


D’autre part, Avi Dichter, ministre israélien, avait déclaré à Al-Ahram des 5 et 11 novembre 2009 : « La déstabilisation du Soudan est un objectif stratégique pour Israël, alors qu’un Soudan stable et fort renforcerait les Arabes et leur sécurité nationale.... Eliminer le rôle du Soudan pourrait être mené à bien par la continuation de la crise au Darfour, maintenant que la gestion du Sud a été réglée. »

On ne peut pas être plus explicite quant à l’implication des sionistes dans les guerres civiles qui déstabilisent les pays arabes. Après le démantèlement de la Syrie et des autres pays arabes, le plan israélien vise à construire le grand Israël ci-dessus.

5. Le Pentagone redessine le monde arabe. Michael Collins Piper, écrivain américain, abordait déjà la question de la déstabilisation et de la "destruction créatrice" du Moyen Orient dans son livre The high priests of war, paru en 2004. Il écrit : « La guerre contre l’Irak est menée à des fins beaucoup plus larges qu'un simple «changement de régime» ou une "élimination des armes de destruction massive"; mais d'abord et avant tout dans le cadre d'un effort global pour établir les États-Unis comme l'unique superpuissance internationale, …; ce n'est qu'une première étape d'un plan de longue durée et de grande envergure visant à déployer des frappes encore plus agressives contre l'ensemble du Moyen-Orient arabe, afin de "refaire le monde arabe" pour assurer la survie - et élargir la puissance - de l’état d’Israël ».

En juin 2006, une carte fort parlante du futur Moyen-Orient a été publiée par la prestigieuse revue militaire américaine AFJ (Armed Forces Journal), intitulée "Redrawing the Middle East Map", voir ci-dessous. Elle recompose le Moyen-Orient sur des critères ethniques et religieux. La carte inclut tout ce qui se trouve dans un triangle Turquie-Afghanistan-Yémen, tel que les stratèges américains le souhaitaient à l’époque, et dont l’objectif global reste d’actualité. En fait, ce document est un prototype susceptible de connaître des changements que certains appelleraient des variables d’ajustement. Ce document confirme ainsi que les instances militaires et politiques des Etats-Unis se sont résolument engagées dans ce domaine de charcutage du Monde Arabe, et qu’ils n’hésitent plus à l’officialiser. En même temps, il confirme que cette entreprise doit se faire en adéquation avec Israël. Nous en donnons les points essentiels.

- L’Arabie Saoudite sera démantelée dans un proche avenir. Deux grandes entités territoriales échappent à l’autorité de Riyad. Sur la côte Ouest, au Hedjaz, il s’agit de créer un « Etat sacré islamique » regroupent La Mecque et Médine. Ce super Vatican musulman sera dirigé par un Conseil représentatif des principales écoles de l’Islam, et dont le Gourou islamiste tunisien, Rached Ghannouchi("qu'Allah en soit satisfait", car l'Université tunisienne de la Zeïtouna, aux mains des Salafistes, vient de le consacrer comme l'équivalent des Compagnons du Prophète), viserait le califat.


Une sorte d’Islam pro occidental, élaboré au cœur de cet Etat sacré islamique, permettrait de rayonner sur l’ensemble du monde musulman et de remodeler les esprits afin qu’ils épousent pleinement la philosophie impérialiste. Il est vrai que contrôler les esprits a toujours permis de contrôler les hommes. Sur la côte du Golfe persique, c’est la province de Hassa, dont la population est majoritairement chiite, qui est détachée de l’Arabie Saoudite et intégrée à un « Etat chiite arabe », vestige d’un Irak déjà démantelé. L’application de cette mesure entraînerait la mort économique du royaume car c’est à cet endroit que se concentre l’essentiel de l’extraction des hydrocarbures autour de la triade Dammam-Dharhan-Al-Khobar. Cet Etat chiite arabe inclurait aussi la région de Bassora (ex-Irak) et les provinces arabes d’Iran, riches en hydrocarbures jouxtant le Chatt-el-Arab (Arabes chiites du Khouzistan), et qui seraient détachées de Téhéran. De plus, Riyad perdrait ses provinces du Sud (Jizrane, Najran et l’Assir) au profit du Yémen, territoires acquis en 1934 lors du Traité de Taëf, et qui ont conservé leur identité yéménite. Enfin, la curée sera complète avec l’octroi d’une façade maritime à la Jordanie, état pro-occidental et ami d’Israël, en arrachant à l’Arabie Saoudite les provinces de Tabouk et une partie du Jouf.

- L’Etat irakien disparaît au profit de l’état chiite ci-dessus, d’un état kurde et d’un résidu d’Etat, appelé « Irak sunnite ». Ce dernier serait unifié avec une parcelle sunnite arrachée à la Syrie.LaSyrie aura perdu, entre-temps, sa façade maritime au profit de la zone chrétienne d’un Grand Liban. L’Etat kurde (Free Kurdistan), déjà construit sur le Nord de l’Irak, récupèrera le Sud Est de la Turquie, le Nord de la Syrie et l’Ouest de l’Iran. Il aboutirait à l’émergence d’un bloc kurde de plus de 30 millions d’habitants. Fort des installations pétrolières de Kirkouk, cet Etat kurde pro-américain et pro-israélien serait, avec l’Etat chiite arabe, le deuxième plus gros producteur d’hydrocarbures et de gaz du Moyen-Orient. L’importance de cet Etat kurde serait d’autant plus grande que l’oléoduc BTC qui évacue le pétrole de la Mer Caspienne à partir de Bakou (Azerbaïdjan), passe par Tbilissi (Géorgie) pour, ensuite, traverser tout le Sud Est de la Turquie et aboutir à Ceyhan en Méditerranée. Les Kurdes seraient donc les grands maîtres de ce corridor énergétique voulu par l’Empire. En plus du pétrole, il faut ajouter l’autre grande richesse, l’eau. Le « Grand projet anatolien » (GAP) poursuit l’objectif, grâce à 22 barrages, de dompter le Tigre et l’Euphrate qui prennent leurs sources dans les montagnes kurdes. L’achèvement imminent de ce projet, permettant l’irrigation de 1,7 million d’hectares et la production d’électricité, sera une arme redoutable aux mains de l’Etat kurde et pèsera lourdement sur la vie des habitants de tout le Moyen-Orient. Un énorme aqueduc souterrain fournira toute l’eau nécessaire au Grand Israël.

- L’Empire a ensuite fixé les yeux sur les immenses richesses de la Libye et du Soudan : pétrole, gaz, plomb, fer, etc. L’Empire a voulu la sécession du Sud du Soudan et la conquête de la Libye et il les a eues tous les eux ; avec un bonus : l’installation de bases militaires en Libye. De telles bases représentent une menace tangible pour l’Algérie, et accessoirement, pour la Tunisie. La Libye serait découpée en lamelles, selon des critères tribaux. L’annonce récente de l’autonomie du Fezzan, encouragée par le nabot qatari, en est une première preuve. Après avoir détaché le Sud, riche en terres, en eau et en pétrole, c’est maintenant l’Ouest du Soudan (Darfour) qui est dans le collimateur de l’Empire.

Seuls les Etats croupions, sortes de taïfas des temps modernes, (Oman, E.A.U., Bahreïn, Koweït, Qatar) échappent à ces modifications, pour des raisons évidentes : elles sont déjà sous le boisseau de l’Empire. Le Qatar, qui se démène comme un beau diable pour s’attirer les faveurs de l’Empire, espère récupérer un beau morceau du voisin saoudien, au grand dam de ce dernier, qui en est tout à fait conscient. En épousant la cause du Qatar dans le projet de démantèlement de la Syrie, qu’espère récolter le gouvernement provisoire tunisien ?

Quant aux pays non arabes, comme l’Iran, l’Afghanistan, la Turquie et le Pakistan nous n’allons pas détailler le charcutage qui les attend.

6. Des Etats détruits. Des révolutions confisquées. Ces plans israélo-américains sont en cours. Ils sont en train de mettre à feu et à sang les pays du Maghreb et du Moyen-Orient. Que constatons-nous ? L’Irak est détruit et démembré : trois régions autonomes se livrent une guerre par terrorisme interposé, faisant des dizaines de morts innocentes chaque jour. Le Soudan est démembré. Pour conserver leur pouvoir à Khartoum, les islamistes soudanais ont cédé la partie la plus riche de leur pays à l’ennemi. Sous d’autres cieux, ils auraient été condamnés pour haute trahison. Au Soudan, en Irak, en Libye, au Yémen, et en Somalie, l’Etat est en décomposition avancée. Le Liban ne se remet pas des coups de boutoir assénés par Israël. Sans le Hezbollah chiite, et sans les soutiens syrien et iranien, le Liban aurait été dépecé depuis longtemps. La Palestine est à l’agonie. La Syrie, comme l’Algérie il y a quelques années, lutte pour sa survie.L’Algérie a pu échapper à ce complot au prix de deux cent mille morts, grâce à la ténacité et au courage de son peuple. Cependant, des responsables algériens, estiment que " l'Algérie est incluse dans la liste du plan américain dit Grand Moyen-Orient (GMO) ". Ils estiment que "les appels à la révolte, émis sur des sites Internet et sur le réseau social Facebook, sont soutenus par la CIA, Al Qaïda, et le Mossad, qui tentent de déstabiliser notre pays, comme c'était le cas en Lybie, en Syrie, au Yémen… " d’après Le Quotidien d’Oran. La création récente d'un état islamique au Mali, au flanc sud algérien, en est une première étape.

Après des révolutions prometteuses, la Tunisie et l’Egypte ont été vite remises dans le droit chemin par des islamistes dont les références mystico-idéologiques sont quelque part entre le Qatar et les Frères Musulmans. Les nouvelles autorités tunisiennes s’impliquent activement, aux côtés du frère qatari et de l’Empire, dans les plans de déstabilisation/démantèlement d’autres états arabes. En Egypte comme en Tunisie, l’Etat est affaibli, incapable d’assurer la sécurité et la tranquillité des citoyens. La société civile et le peuple sont désemparés, conscients d’avoir payé le prix du sang pour rien. Une nouvelle oligarchie islamiste succède à l’oligarchie précédente. Elle étend petit à petit ses tentacules un peu partout : les rouages de l’Etat, la rue, l’université, la mosquée. Elle attaque les syndicats et les journalistes, coupables de jouir encore de quelques espaces de liberté. Etc...

7. Si la barbe donnait la sagesse, toute chèvre serait doctoresse. En Tunisie, des groupes salafistes, cornaqués par le parti islamiste Ennahdha au pouvoir, sèment la terreur et l’insécurité, en s’attaquant en priorité aux femmes, aux universitaires, aux journalistes; à ceux qui ont la capacité de penser du de créer et à ceux qui paraissent modernes, intelligents ou cultivés. Après les salafistes, en ce début de juillet 2012, des rafles anti jeunes sont organisées par la police dès 22 heures, dans les avenues de Tunis et d'autres grandes villes. Elles se traduisent par des coups et des insultes. Si le jeune est une jeune fille sans nikab, d'autres insultes plus adaptées pleuvent...
Les problèmes sociaux-économiques s’aggravent de jour en jour. Le gouvernement patauge. Il ne pense qu'à quémander un peu d'argent auprès de ses sponsors arabes (Qatar, Arabie) pour essayer de boucler ses fins de mois difficiles, mais ces derniers ne donnent rien pour rien. Alors on leur cède des pans entiers de la souveraineté et de l'économie nationales.


Lors des dernières inondations hivernales de 2011 / 2012, une scène ahurissante, mais hautement significative, m’a été rapportée. Des citoyens démunis se seraient plaints à l’envoyé spécial du gouvernement du manque de prévoyance et du peu d’assistance devant pareilles catastrophes. L’envoyé spécial aurait rétorqué que « ce qui arrive ne dépend que de la volonté de Dieu», autrement dit « Vous n'avez qu'à vous adresser à Lui, peut-être vous viendrait-il en aide". Le Gouvernement n'y peut rien, puisque c'est Dieu qui décide de tout.

Cela me rappelle l’anecdote suivante, racontée dans : Bush à Babylone, la recolonisation de l’Irak, par Tariq Ali, Editions La Fabrique, Paris, 2004. Quand le chef mongol Hulagu Khan attaqua Bagdad en 1248, ni le peuple de Bagdad ni l’armée n’ont voulu défendre le roi abbasside Al-Mustaasim Billah. Ce dernier ordonna donc à ses serviteurs de ramasser tous les objets de valeur dans le palais et de les offrir à Hulagu en espérant avoir la vie sauve. Après avoir reçu ces cadeaux, Hulagu les distribua à ses soldats. Puis il demanda à Al-Mustaasim pourquoi il ne s’est pas déplacé au-delà des ponts de Bagdad pour lui barrer la route. Al-Mustaasim lui expliqua que c’était la volonté de Dieu et qu’il n’y pouvait rien. Et Hulagu de répondre : puisque c’est la volonté de Dieu qui a fait que tu n’as pas voulu me résister, alors je vais ordonner de te décapiter par la volonté de Dieu. Et il le décapita devant sa cour. C’est le drapeau, ci-dessus, de ce "calife" félon et veule qui est l’emblème des salafistes.

Hannibal Genseric est ingénieur conseil, docteur en Mathématiques appliquées et vit actuellement en Tunisie (Hammamet)

Source:

http://numidia-liberum.blogspot.fr/2012 ... icano.html
Auteur : marco ducercle
Date : 22 sept.16, 03:49
Message : C'est pas sérieux de citer reseauinternational. Un cite qui affirme que la guerre Iran Irak est dû à la mafia:
http://reseauinternational.net/le-rais-et-le-pavot/
Auteur : yacoub
Date : 22 sept.16, 05:30
Message : Vu d’Égypte : le complot occidental contre le monde arabe

Plusieurs réalités, combien de vérités ?

Turbulences politiques, alliances changeantes, désinformation, propagande… C’est peu dire que la situation au Moyen-Orient est confuse. Y a-t-il une explication générale à ce fouillis ?
Fouineur

En Égypte, ils sont nombreux à penser détenir la réponse. En novembre dernier, un correspondant au Caire de The Economist a livré leur version, d’autant plus d’actualité au vu de la situation à Gaza. « Les puissances occidentales, menées par l’Amérique, sont en train de réaliser leur objectif de longue date, qui est de diviser et d’affaiblir les mondes arabe et musulman ».

Dans quel but ? Aider Israël, pour certains; contrôler le monde, pour d’autres.

« La première phase de ce plan, selon cette théorie, s’est déroulée en Irak, où les Américains ont atteint un double objectif. Ils ont détruit une puissante armée arabe et ont déclenché une guerre civile, creusant entre sunnites et chiites un fossé dont les fissures se font sentir à travers toute la région. L’ingérence occidentale a également coupé le Soudan en deux, séparant dans le sud un tout nouvel État hostile au nord arabe et musulman. La deuxième phase est intervenue avec le financement occidental de mouvements révolutionnaires composés de cybermilitants, d’ONG et d’activistes des droits de l’Homme, dont la machination séditieuse a aidé à donner naissance au printemps arabe. Pendant que les régimes arabes s’effondraient dans le chaos, les puissances occidentales ont fait irruption pour amplifier le désordre. »

Le plan machiavélique américain ne s’est pas arrêté là, selon les Égyptiens cités par The Economist : il s’est étendu jusqu’au Libye, où les « bombes de l’OTAN ont détruit une autre armée arabe », et en Syrie, où l’Occident a encouragé la population à se révolter tout en fournissant juste assez de munitions aux opposants pour faire durer une atroce guerre civile. Avec, en bout de ligne, « l’éviscération » d’un pays et l’anéantissement d’une autre armée arabe.

L’objectif ultime de ce complot serait l’Égypte, l’État le plus populeux et influent du monde arabe. « Après avoir réussi à faire tomber Hosni Mubarak lors de la révolution de 2011, les agents occidentaux ont fomenté un conflit entre musulmans et chrétiens. Secrètement, l’Amérique a formé une alliance avec les Frères musulmans dans l’espoir qu’une fois au pouvoir, ils pourraient assujettir l’armée égyptienne. En effet, les Américains avaient prévu d’utiliser les Frères musulmans comme un fer de lance dans la région, afin de déstabiliser les gouvernements et limiter le progrès intellectuel, scientifique et économique. »

En renversant Mohammed Morsi et les Frères musulmans, le peuple égyptien a évité la réalisation de ce complot. Menée par l’armée et avec le soutien de riches alliés des pays du Golfe, l’Égypte pourrait maintenant être à la base de la renaissance de la puissance arabe, disent en substance les personnes citées.

Pour la plupart des Occidentaux, cette théorie peut paraître absurde, mais « la simplicité de l’histoire la rend étrangement attrayante aux oreilles de ceux qui vivent au milieu de ces bouleversements politiques », qu’ils soient chauffeurs de taxi, consultants financiers, étudiants à l’université ou fonctionnaires gouvernementaux. Et l’appareil gouvernemental serait loin d’être imperméable à ces visions conspiratrices, explique The Economist.

Comme le note le magazine britannique, les théories du complot sont (en partie) le résultat de l’abondance d’informations et d’un plus large éventail de points de vue filtrés à travers des prismes de plus en plus kaléidoscopiques.

Plusieurs réalités, combien de vérités ?
Auteur : yacoub
Date : 24 sept.16, 03:37
Message :
marco ducercle a écrit :C'est pas sérieux de citer reseauinternational. Un cite qui affirme que la guerre Iran Irak est à la mafia:
http://reseauinternational.net/le-rais-et-le-pavot/
Ce n'est pas tout à fait faux, la plupart des politiciens sont membres de la mafia ou de la maçonnerie.

Et je ne t'apprends rien en te disant que la mafia est une création mahométane née en Sicile dont les ancêtres sont la secte des assassins.
Auteur : marco ducercle
Date : 24 sept.16, 03:43
Message : Cet article ne se base sur aucuns faits avérés. L'auteur ne fait qu'empiler des infos que rien ne relie entre elles.
Auteur : yacoub
Date : 24 sept.16, 03:53
Message :
marco ducercle a écrit :Cet article ne se base sur aucun fait avéré. L'auteur ne fait qu'empiler des infos que rien ne relie entre elles.
Tu peux réécrire l'article, si tu veux, en reliant les faits entre eux et en citant des sources fiables.
Auteur : marco ducercle
Date : 24 sept.16, 04:46
Message : A titre personnel, je ne les ai pas. Cela serait un exercice de style assez sympathique. Quoi qu'il en soit, n'importe qui peut pondre n'importe quel article sur le net, personne n'ira vérifier la véracité des infos.
Auteur : hérétique
Date : 24 sept.16, 13:44
Message :
yacoub a écrit :Vu d’Égypte : le complot occidental contre le monde arabe

Plusieurs réalités, combien de vérités ?

Turbulences politiques, alliances changeantes, désinformation, propagande… C’est peu dire que la situation au Moyen-Orient est confuse. Y a-t-il une explication générale à ce fouillis ?
Fouineur

En Égypte, ils sont nombreux à penser détenir la réponse. En novembre dernier, un correspondant au Caire de The Economist a livré leur version, d’autant plus d’actualité au vu de la situation à Gaza. « Les puissances occidentales, menées par l’Amérique, sont en train de réaliser leur objectif de longue date, qui est de diviser et d’affaiblir les mondes arabe et musulman ».

Dans quel but ? Aider Israël, pour certains; contrôler le monde, pour d’autres.

« La première phase de ce plan, selon cette théorie, s’est déroulée en Irak, où les Américains ont atteint un double objectif. Ils ont détruit une puissante armée arabe et ont déclenché une guerre civile, creusant entre sunnites et chiites un fossé dont les fissures se font sentir à travers toute la région. L’ingérence occidentale a également coupé le Soudan en deux, séparant dans le sud un tout nouvel État hostile au nord arabe et musulman. La deuxième phase est intervenue avec le financement occidental de mouvements révolutionnaires composés de cybermilitants, d’ONG et d’activistes des droits de l’Homme, dont la machination séditieuse a aidé à donner naissance au printemps arabe. Pendant que les régimes arabes s’effondraient dans le chaos, les puissances occidentales ont fait irruption pour amplifier le désordre. »

Le plan machiavélique américain ne s’est pas arrêté là, selon les Égyptiens cités par The Economist : il s’est étendu jusqu’au Libye, où les « bombes de l’OTAN ont détruit une autre armée arabe », et en Syrie, où l’Occident a encouragé la population à se révolter tout en fournissant juste assez de munitions aux opposants pour faire durer une atroce guerre civile. Avec, en bout de ligne, « l’éviscération » d’un pays et l’anéantissement d’une autre armée arabe.

L’objectif ultime de ce complot serait l’Égypte, l’État le plus populeux et influent du monde arabe. « Après avoir réussi à faire tomber Hosni Mubarak lors de la révolution de 2011, les agents occidentaux ont fomenté un conflit entre musulmans et chrétiens. Secrètement, l’Amérique a formé une alliance avec les Frères musulmans dans l’espoir qu’une fois au pouvoir, ils pourraient assujettir l’armée égyptienne. En effet, les Américains avaient prévu d’utiliser les Frères musulmans comme un fer de lance dans la région, afin de déstabiliser les gouvernements et limiter le progrès intellectuel, scientifique et économique. »

En renversant Mohammed Morsi et les Frères musulmans, le peuple égyptien a évité la réalisation de ce complot. Menée par l’armée et avec le soutien de riches alliés des pays du Golfe, l’Égypte pourrait maintenant être à la base de la renaissance de la puissance arabe, disent en substance les personnes citées.

Pour la plupart des Occidentaux, cette théorie peut paraître absurde, mais « la simplicité de l’histoire la rend étrangement attrayante aux oreilles de ceux qui vivent au milieu de ces bouleversements politiques », qu’ils soient chauffeurs de taxi, consultants financiers, étudiants à l’université ou fonctionnaires gouvernementaux. Et l’appareil gouvernemental serait loin d’être imperméable à ces visions conspiratrices, explique The Economist.

Comme le note le magazine britannique, les théories du complot sont (en partie) le résultat de l’abondance d’informations et d’un plus large éventail de points de vue filtrés à travers des prismes de plus en plus kaléidoscopiques.

Plusieurs réalités, combien de vérités ?
C'est marrant, cette article tiré de "the economiste" va à l’encontre du truc que vous avez présentez dans votre post précédent (
yacoub a écrit :"Moyen Orient : Le plan américano-israélien" par Hannibal Genseric
).
J'adore la thèse qui veut que les printemps arabes sont des créations des services américain et israelien... archétype du : 1 méchante puissance parfaite et infaillible vs des pauv' petit tout gentil, incapable de quoi que ce soit par eux-même...

p.s. 1 point très rigolo (et très triste), en egypte, dès que l'on est pas comptant de quelqu'un, il devient automatiquement américain ou juif, voir même les 2... XD
même sisi y a eu droit
Auteur : yacoub
Date : 24 sept.16, 22:31
Message :
p.s. 1 point très rigolo (et très triste), en egypte, dès que l'on est pas comptant de quelqu'un, il devient automatiquement américain ou juif, voir même les 2... XD
même sisi y a eu droit
:shock:
Sissi allait mener le pays à la catastrophe. Si tu n'es pas au Coran, va te renseigner sur le blog de Sami Aldeeb.

Dans la région, les USA soutiennent, à 100%, deux seuls pays Israël et l'Arabie parce que les deux pays sont à fond pour que le reste des pays arabes ne sortent jamais de l'islam, ne connaissent pas la laïcité ni la démocratie ni l’égalité des droits entre tous les citoyens quel que soit le sexe ou la religion.

L’Arabie saoudite accorde une aide de 16 milliards de dollars au développement d’Israël !


Dans notre article « Alliance maudite Israel/Arabie saoudite contre Iran », nous évoquions les relations douteuses et pourtant indiscutables entretenues par l’Arabie saoudite et l’entité sioniste d’Israël.

Ces deux pays constituent deux des plus importants clients du complexe militaro-industriel américain, Israël bénéficiant gratuitement des largesses américaines en matière d’armement, l’Arabie saoudite réglant la facture en pétrodollars.

Pour ce faire, les « gardiens » des Lieux Saints sont prêts à tout, y compris à pactiser avec le diable. Israël, qui est théoriquement l’ennemi juré, devient ainsi l’ami intime pour la circonstance.

« L’Arabie saoudite a fourni 16 milliards de dollars à Israël, en deux an et demi, pour favoriser les projets de la colonisation », selon le site web américain Consortium News.


Robert Parry, rédacteur en chef du site, précise que l’Arabie saoudite a versé cette somme « sur le compte du Fond du développement d’Israël, par le biais d’un pays arabe et a assuré les frais d’un grand nombre de plans infrastructurels, en Palestine occupée ».


Citant une source bien informée et proche de la CIA, Robert Parry ajoute que « les sommes versées par l’Arabie saoudite sur le compte d’Israël ont été dépensées dans les projets publics, tels que la construction des colonies de peuplement sioniste en Cisjordanie. Finançant Israël, Riyad vise à profiter de l’influence qu’exerce le lobby sioniste aux Etats-Unis.


L’Arabie saoudite et Israël ont joué un grand rôle dans le renversement du gouvernement des Frères musulmans en Égypte.
A l’intérieur de l’Égypte, Riyad soutenait Abdelfattah al-Sissi, et aux États-Unis, le lobby sioniste tentait d’empêcher toute réaction hostile au coup d’État contre Mohammed Morsi, le président élu. C’est grâce aux pétrodollars de l’Arabie saoudite que Benjamin Netanyahu est arrivé à défier Barack Obama et à pousser des congressistes et des responsables américains à entraver les négociations nucléaires. »

Au cours des dernières années, quand l'Arabie saoudite et Israël ont identifié l'Iran et le soi-disant « croissant chiite » comme leurs principaux ennemis, cette alliance impensable est devenue possible et les Saoudiens, comme ils ont coutume de le faire, ont mis beaucoup d'argent dans l'affaire.

Le Parti Anti Sioniste dénonce, avec la plus grande fermeté, cette alliance forgée dans le sang du peuple palestinien et d’autres peuples opprimés. Elle prépare à de nouveaux plans diaboliques dont la finalité est de stopper toute résistance à l’occupation américano-sioniste, notamment en Syrie et en Iran.

Source: Parti Anti Sioniste
Auteur : hérétique
Date : 25 sept.16, 07:03
Message :
p.s. 1 point très rigolo (et très triste), en egypte, dès que l'on est pas comptant de quelqu'un, il devient automatiquement américain ou juif, voir même les 2... XD
même sisi y a eu droit
yacoub a écrit : :shock:
Sissi allait mener le pays à la catastrophe. Si tu n'es pas au Coran, va te renseigner sur le blog de Sami Aldeeb.
allait ??? il n'est plus à la tête de l'état ?
Quand bien même que vient faire la judéité présumée de al-sisi dans cette histoire ??

Il y a une mauvaise habitude dans cette partie du monde, à faire croire que les peuples arabo-musulmans ne sont même pas capable de faire leur connerie tous seul comme des grands !

yacoub a écrit :Source: Parti Anti Sioniste
Source totalement impartiale !
Reste à définir le sionisme...
Auteur : yacoub
Date : 25 sept.16, 08:43
Message : Sissi était très anti juif et a voulu remettre en question le traité de paix égypto-israélien au nom de la solidarité avec les palestiniens

De plus il inquiétait les coptes et même des apostats de l'islam.
Auteur : hérétique
Date : 25 sept.16, 10:41
Message : Toujours est-il que pour décrédibiliser une personnalité une pseudo-relation avec le judaïsme ou les usa est monnaie courante :
Aujourd’hui, la question qui préoccupe tous les Egyptiens n’est pas l’effondrement de l’économie, les atteintes massives aux droits de l’homme, l’échec de la révolution, la recherche d’une stabilité et d’une sécurité difficiles à atteindre, mais celle de savoir si la mère du maréchal Abdelfattah Al-Sissi est juive.
http://www.courrierinternational.com/ar ... i-est-juif

à coupler avec :
yacoub a écrit :Après avoir réussi à faire tomber Hosni Mubarak lors de la révolution de 2011, les agents occidentaux ont fomenté un conflit entre musulmans et chrétiens. Secrètement, l’Amérique a formé une alliance avec les Frères musulmans dans l’espoir qu’une fois au pouvoir, ils pourraient assujettir l’armée égyptienne. En effet, les Américains avaient prévu d’utiliser les Frères musulmans comme un fer de lance dans la région, afin de déstabiliser les gouvernements et limiter le progrès intellectuel, scientifique et économique. »

En renversant Mohammed Morsi et les Frères musulmans, le peuple égyptien a évité la réalisation de ce complot. Menée par l’armée et avec le soutien de riches alliés des pays du Golfe, l’Égypte pourrait maintenant être à la base de la renaissance de la puissance arabe, disent en substance les personnes citées.
et :
Alors que les prisons regorgent de détenus islamistes, que les jihadistes de la « province du Sinaï » de Daesh poursuivent leurs opérations contre les forces de l’ordre et que l’économie demeure atone, ce fils de commerçant (al-sissi) formé à l’Académie militaire du Caire, en Grande-Bretagne et aux États-Unis, et qui dirigea un temps les services de renseignements de la première armée du continent, multiplie les mégaprojets (comme celui, à 43 milliards d’euros, de nouvelle capitale) et rêve du jour où son pays pourra se passer des perfusions financières saoudienne, américaine ou émiratie.
http://www.jeuneafrique.com/mag/302084/ ... ue-egypte/
....
L'empire est une réponse bien simpliste par rapport à la complexité du monde
Auteur : yacoub
Date : 25 sept.16, 22:26
Message : Image
Auteur : hérétique
Date : 26 sept.16, 05:08
Message : ????


Vous êtes pro-musulman maintenant ?
Auteur : marco ducercle
Date : 26 sept.16, 06:44
Message : Ou pro russe
Auteur : yacoub
Date : 26 sept.16, 07:04
Message : La Russie de Poutine est anti islam et donc elle veut protéger les minorités syriennes (alaouites et chrétiennes) contre la cruauté et la barbarie sunnite. Les USA veulent une Syrie sunnite débarrassée de ses minorités non sunnites. Pourquoi ?


Comment les Etats-Unis viennent de sauver Daech d’une défaite annoncée en Syrie

La réalité dépasse parfois la fiction. En pire: Daech, le bien mal nommé « État islamique », était sur le point de perdre son bastion syrien d’Al-Boukamal, verrou stratégique à la frontière de l’Irak (cette ville est parfois orthographiée Albou-Kamal, Abou Kamal ou Bukamal). Mais les Etats-Unis ont suspendu leur soutien aérien à la « Nouvelle Armée syrienne », la milice révolutionnaire qui menait l’assaut, permettant aux commandos jihadistes de réussir leur contre-offensive.

Cet invraisemblable fiasco a été révélé dans une enquête détaillée du Washington Post. Il est d’autant plus troublant que l’aviation américaine a abandonné ses partenaires syriens pour participer à une orgie de bombardements en Irak, lors de la reconquête de Fallouja après deux ans et demi aux mains de contrôle jihadiste. Comme si les Etats-Unis, à la différence de Daech, étaient incapables de se battre à la fois en Syrie et en Irak.

La « Nouvelle armée syrienne »


Cette « Nouvelle armée syrienne » (NAS), malgré son titre ronflant, n’est qu’une composante relativement mineure de l’Armée syrienne libre (ASL). Elle a été établie en novembre 2015 autour de déserteurs des forces d’Assad, qui ont été formés et équipés en Jordanie par la CIA (dans le cadre d’un programme train and equip richement doté par Washington) . Les services américains, plutôt que de répéter les échecs des infiltrations menées depuis la Turquie, avaient cette fois choisi le front Sud. Le premier succès de la NAS fut la prise à Daech en mars 2016 du poste de Tanaf (parfois orthographié Tanf, al-Tanf, voire Tinf), à la frontière entre la Syrie et l’Irak. Malgré des attentats-suicides et des contre-attaques jihadistes, Tanaf était resté de fait aux mains de la NAS.

Les combattants de la NAS ont pu accéder au soutien américain en s’engageant à lutter exclusivement contre Daech, et non contre le régime Assad (une condition draconienne qui interdit à la plupart des autres groupes révolutionnaires de bénéficier du programme train and equip). Cet engagement exclusif contre Daech n’avait pas empêché l’aviation russe de bombarder le 16 juin les positions de la NAS à Tanaf. Ce pilonnage russe est cohérent avec la volonté constante de Moscou d’éliminer toute troisième voie en Syrie entre le régime Assad et Daech. Le bombardement du 16 juin avait provoqué une vive réaction du Pentagone et les démentis russe d’usage. La NAS avait pu déjà apprécier la fragilité de la protection aérienne des Etats-Unis puisqu’un des pilonnages russes s’était produit alors que les avions américains étaient en train de refaire le plein…

La curée de Fallouja

C’est dès le 26 juin que les autorités irakiennes ont annoncé la « libération » de Fallouja. Mais une importante colonne jihadiste, forte de centaines de véhicules, a tenté de quitter la ville le 28 juin, date où la NAS, à 340 kilomètres plus à l’ouest, lançait son offensive contre Al-Boukamal. Le soutien aérien des Etats-Unis à cet assaut était déterminant pour des unités révolutionnaires très exposées en milieu désertique et très éloignées de leur base arrière de Tanaf. La population d’Al-Boukamal, sans doute prête à se rallier aux assaillants, dont beaucoup ont des attaches locales, restait passive dans l’attente d’une percée révolutionnaire.

Cette percée n’interviendra pas, car l’aviation américaine est détournée le 29 juin sur Fallouja, abandonnant ses alliés syriens à découvert face aux mortiers jihadistes. Les B52 et AC130 vont en effet se joindre à la curée de Fallouja, où les appareils irakiens ont commencé d’éliminer par des frappes systématiques les commandos jihadistes en fuite. Cet acharnement aérien n’est pas sans rappeler « l’autoroute de la mort » où la chasse américaine avait liquidé en février 1991 les colonnes irakiennes qui évacuaient précipitamment le Koweït.

Les Etats-Unis étaient convaincus du succès de leurs partenaires syriens à Al-Boukamal, au point que le très sérieux Institute for the Study of War de Washington annonçait la reconquête de cette ville (entourée donc en rouge) sur sa carte ci-dessous du territoire aux mains de Daech en Syrie et en Irak au 1er juillet. Ce n’était qu’une auto-intoxication, puisque le lâchage américain permettait au même moment à Daech de repousser la NAS vers Tanaf et le désert.


Avant ce « Ramadan de sang », des commentateurs un brin pressés s’interrogeaient pour savoir non pas si Raqqa allait être « libérée » de Daech, mais qui allait emporter ce trophée, entre le régime Assad, soutenu par la Russie, et les milices kurdes, inféodées au PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) turc et appuyées par les Etats-Unis. L’offensive russo-gouvernementale a depuis été mise en déroute et les unités kurdes ont dû se détourner vers l’Ouest et l’objectif supposé plus accessible de Manbij, devant lequel elles continuent de piétiner.

En lâchant à Al-Boukamal la proie syrienne pour l’ombre irakienne, les États-Unis ont fait preuve une fois encore d’une grande myopie stratégique. On sait que la chute de Fallouja n’a pas préservé Bagdad du pire attentat depuis le renversement de Saddam Hussein. Et dans la ville de Raqqa où Abou Bakr al-Baghdadi proclama en avril 2013 son « État islamique en Irak et au Levant », les responsables jihadistes peuvent continuer de pavoiser. Et de recruter dans le monde entier.
Auteur : yacoub
Date : 28 sept.16, 03:04
Message : Un commandant du Front al-Nosra : « Les Américains sont à nos côtés »
par roman_garev

Cette interview avec un commandant du Front al-Nosra menée par Jürgen Todenhöfer a d’abord été publiée en allemand le 26 septembre 2016 dans le Kölner Stadtanzeiger, le principal quotidien de la région de Cologne.

Traduit en anglais par Moon of Alabama.

Traduit en français par Daniel, édité par Wayan, relu par Diane pour le Saker francophone.

Image

C’était la septième fois que mon fils Frederick et moi allions en Syrie, ce pays déchiré par la guerre civile. Nous y sommes restés 13 jours. Les mots ne suffisent pas à décrire l’ampleur des dommages et de la souffrance subis des deux côtés.

Il y a dix jours, nous avons mené une interview avec un commandant du Front al-Nosra, affilié à al-Qaïda. Abou al-Ezz a parlé ouvertement de ses bailleurs de fonds que sont l’Arabie saoudite, le Qatar et le Koweït. Nous sommes parvenus à établir l’identité de l’homme et savons pratiquement tout à son sujet.

L’interview a été organisée par un rebelle d’Alep. J’ai des contacts avec des rebelles syriens depuis des années. L’interview s’est déroulée à l’extérieur d’Alep, dans une carrière à portée de vue – et de tir – du Front al-Nosra. Seul un membre d’al-Nosra pouvait s’y rendre sans danger.

Image

Ses combattants n’étaient que partiellement masqués, donc facilement identifiables. Une partie de ses affirmations a été pratiquement confirmée verbalement peu après par un mufti à Alep. D’autres assertions au sujet du désintérêt des rebelles à l’égard d’un cessez-le-feu et du convoi humanitaire international ont été corroborées également, tout comme ses prévisions au sujet des activités militaires planifiées dans plusieurs villes de la Syrie.

Le commandant Abou al-Ezz affirme ceci à propos du Front al-Nosra (al-Qaïda) :

« Nous formons l’une des composantes d’al-Qaïda. Nos principes sont le combat contre le vice, la pureté et la sécurité. La conduite de nos affaires et notre façon d’agir ont changé. Par exemple, nous avons maintenant le soutien d’Israël, parce qu’Israël est en guerre contre la Syrie et le Hezbollah.

Les USA aussi ont changé d’opinion à notre égard. Au départ, Daesh et nous ne formions qu’un groupe. Mais Daesh a été utilisé dans l’intérêt de grands États comme les USA, pour des raisons politiques, et a été détourné de nos principes. Il est devenu évident pour nous que la plupart de ses dirigeants travaillent avec les services secrets de sécurité. Nous, au Front al-Nosra, faisons les choses à notre façon. Avant, Daesh était avec nous et nous soutenait.

Notre but est la chute du régime dictatorial, du régime tyrannique, du régime de l’apostat. Notre but est de faire des conquêtes, à la manière de Khald ibn al-Walid [le grand général arabe], d’abord dans le monde arabe, puis en Europe. »

Jürgen Todenhöfer : – Quel est l’état de vos relations avec les États-Unis ? Les USA soutiennent-ils les rebelles ?

Abou al-Ezz : – Oui, les USA soutiennent l’opposition, mais pas directement. Ils soutiennent les pays qui nous soutiennent. Mais nous ne sommes pas encore satisfaits de ce soutien. Ils devraient nous soutenir en nous fournissant des armes ultra perfectionnées. Nous avons remporté des batailles grâce à des missiles TOW. Nous sommes parvenus à un équilibre des forces avec le régime grâce à ces missiles. Nous avons reçu des chars de la Libye par l’entremise de la Turquie, ainsi que des BM (lance-roquettes multiples). Le régime ne nous domine que par ses avions de chasse, ses missiles et ses lance-missiles. Nous avons capturé une partie de ces lance-missiles et en avons reçu pas mal d’ailleurs. Mais ce sont les TOW américains qui nous ont permis d’avoir la situation bien en main dans certaines régions.

– À qui ces missiles des USA étaient-ils destinés avant qu’on ne vous les apporte ? Ces missiles ont-ils été livrés par les USA à l’Armée syrienne libre, puis à vous ensuite ?

– Non. Les missiles nous ont été livrés directement. Ils ont été livrés à un certain groupe. Lorsque la « route » était fermée et que nous étions assiégés, il y avait ici présents des agents de la Turquie, du Qatar, de l’Arabie saoudite, d’Israël et des États-Unis.

– Que faisaient ces agents ?

Du travail d’expert ! Des experts dans l’utilisation des satellites, des missiles, des caméras de vidéosurveillance thermiques, du travail de reconnaissance…

– Est-ce qu’il y avait aussi des experts américains ?

– Oui, des experts de plusieurs pays.

– Y compris des Américains ?

Oui. Les Américains sont à nos côtés, mais pas autant qu’ils le devraient. Par exemple, on nous disait : nous devons capturer et conquérir le « bataillon 47 ». L’Arabie saoudite nous a remis 500 millions de livres syriennes. Pour prendre l’école d’infanterie al-Muslimiya, il y a plusieurs années de cela, nous avons reçu du Koweït 1,5 million de dinars koweïtis et 5 millions de dollars US de l’Arabie saoudite.

– Des gouvernements ou de particuliers ?

– Des gouvernements.

– La lutte est difficile, le régime est fort et il a le soutien de la Russie… ?

– Nous allons combattre jusqu’à la chute du régime. Nous allons combattre la Russie et l’Occident, parce que l’Occident ne se tient pas vraiment à nos côtés. L’Occident ne fait que nous envoyer des moudjahidines, il facilite l’entrée de ces combattants. Pourquoi l’Occident ne nous soutient-il pas convenablement ? Nous avons beaucoup de combattants de l’Allemagne, de la France, de la Grande-Bretagne, des États-Unis, de tous les pays occidentaux.

– Le Front al-Nosra compte-t-il dans ses rangs beaucoup de combattants européens à Alep ?

– Beaucoup, beaucoup, beaucoup !

– Combien ?

– Beaucoup.

Que pensez-vous du cessez-le-feu ?

– Nous ne reconnaissons pas le cessez-le-feu. Nous allons repositionner nos groupes. Nous allons lancer dans les prochains jours une attaque massive contre le régime. Nous avons redéployé nos forces armées dans toutes les provinces, à Homs, Alep, Idlib et Hama.

– Vous ne voulez pas que les 40 camions remplis de matériel humanitaire parviennent dans la partie est d’Alep ?

– Nous avons des conditions. Tant que le régime est positionné le long du chemin Castillo, à al-Malah et dans le secteur nord, nous ne laisserons pas ces camions passer. Le régime doit se retirer de tous ces secteurs avant que ces camions ne puissent passer. Si un camion passe malgré tout, le conducteur sera arrêté.

– Pourquoi une partie de vos groupes s’est-elle repliée à un kilomètre ou à 500 mètres du chemin Castillo ?

– Le régime a utilisé des armes très perfectionnées contre nous, ce qui a causé un vif émoi. C’est pourquoi nous nous sommes repliés silencieusement, le temps de récupérer et de reprendre l’attaque contre le régime. Mais cette attaque doit entraîner la chute du régime.

– C’était donc une astuce ? Une tactique militaire ?

– Oui, c’était une tactique militaire.

– Est-ce que le but de cette tactique était de recevoir des aliments ou le redéploiement des combattants ?

– Nous n’étions pas d’accord avec le cessez-le-feu.

– Cela s’applique-t-il seulement au Front al-Nosra ou à tous les autres groupes, le reste de vos alliés ?

– Cela s’applique à tous les groupes intégrés à nous, qui sont nos alliés.

– Le Front islamique ? L’Armée de l’islam ?

– Ils sont tous avec nous. Nous formons tous le Front al-Nosra. Un groupe se crée et prend le nom d’« Armée de l’islam » ou de « Fateh al-Sham ». Chaque groupe a son propre nom, mais la croyance est homogène. Le nom global est Front al-Nosra. Une personne a, disons, 2 000 combattants. Elle forme alors un nouveau groupe et l’appelle « Ahrar al-Sham ». La croyance, les pensées et les buts de ces frères sont identiques à ceux du Front al-Nosra.

– Est-ce votre opinion personnelle ou l’opinion du haut commandement aussi ?

– C’est l’opinion générale. Si quelqu’un vient vous voir, fait de vous un « rebelle modéré » et vous offre à boire et à manger, allez-vous accepter son offre ou non ?

– Cette guerre a tué 450 000 personnes. Je suis allé à Alep et à Homs. Bien des parties sont détruites. Si la guerre se poursuit, tout le pays sera détruit. Des millions vont mourir… En Allemagne, nous avons déjà eu la « guerre de Trente Ans »…

– Nous n’en sommes qu’à notre cinquième année de guerre, c’est court en comparaison !

– Accepteriez-vous la présence d’un représentant du régime d’Assad dans un gouvernement de transition ?

– Nous n’acceptons personne du régime d’Assad ou de l’Armée syrienne libre, qu’on appelle les modérés. Notre but est la chute du régime et la création d’un État islamique fondé sur les règles de la charia islamique.

– Les gens d’Allouche, qui se sont déplacés à Genève pour les négociations, ont accepté l’idée d’un gouvernement de transition.

– Ce sont des mercenaires syriens. Allouche combattait avec le Front al-Nosra. Les groupes qu’abrite la Turquie à l’origine de la création de l’Armée syrienne libre ont déjà été aux côtés du Front al-Nosra. Ce sont des gens faibles, qui ont reçu beaucoup d’argent, qui se sont vendus. Ils doivent suivre les ordres de leurs commanditaires.

– Le Front islamique et l’Armée de l’islam négocient à Genève.

– Parce que leurs dirigeants ont été formés en Occident. Ils sont conseillés et payés par les services secrets occidentaux et les services secrets des pays du Golfe pour atteindre les objectifs de ces pays.

Nous sommes ici au point d’observation le plus avancé du secteur de Sheik Saïd. Ce secteur est sous notre contrôle. Derrière ces maisons et al-Majbal, se trouvent les soldats du régime. Nos forces armées sont à 200 mètres d’ici.
Auteur : Prophètedel'éternel
Date : 28 sept.16, 03:20
Message : Hô: le sultan du turc truc, a jouer quelques pièce de son échiquier;

@yacoub; je t'explique ce que j'en penses: le turc faisait passer des armes à daesh ( ils se disent riches et purs, ) puis les kurdes le repoussent, alors, que stemps avant le front al nosra ( dont le visage est comme celui d'une pierre; car dieu est sa force... iln'en a pas lui^même il ne fait qu'éxécuter l'ordre de son seigneur, ahh les pauvres erres, la hecesle sattends car l'autel dit ! amen! à son siegneur)

donc, ils disent se séparer du califat; puis ô quelle grande surprise: l'insultan sultan truc turc de la fourmillière truc turc; envoie la chair humaine au devant de lui... et hop.. l'insultant sultan turc de donner des armes à ses bien aimées, ( les belllleeeeeesss s moiullelllesssss ) l'insuiltant sultan truc machin, de peur de perdre son précieux pétrole du kurdistan, ne veut pas d'une zone kurde indépendante.. alors , il fait semblant d'écraser le califat ;
et les huîtres de lui tendre toutes les perches ( les poissons ) pour noyer l'info...: ô quelle surprise, il y a des affrontements kurds indépendants et truc turc sultan insultant...

malgré ces quelques paraboles explicatives, je m'exprime du mieux que je peux... alors des huitres pour le repas, des moules ? de smules, des chameaux à 2 bosses: crème au lin, la pureté est ointe d'huile, au feu la reine délaissée!
comme je m'exprime très simplement...: moscou brûie t elle ?

passer cette petite parabole: t'arrives à comprendre la stratégie de stratégos de l'insultant sultan ?
Auteur : jipe
Date : 28 sept.16, 03:27
Message : dans les cigarettes c'est quoi ?
coquelicots , verveine , ou du caca de vieux buffles égarés dans la savane NYaise :secret: :kiss2:
Auteur : Prophètedel'éternel
Date : 28 sept.16, 03:31
Message : c'est des paraboles que j'exprime de façon que tous puissent comprendre, c'est si évident comme ça s'est terminé, je m'isole un peu...
Auteur : jipe
Date : 28 sept.16, 03:37
Message : et pour des fada comme moi qui ne comprennent pas ?
Auteur : Prophètedel'éternel
Date : 28 sept.16, 03:52
Message : déjà moi non plus je comprends pas tout alors tu sais...; j'essaye quand même... comme ça s'il y a quelque chose qui me plaît pas je conteste et je reformules...
Auteur : yacoub
Date : 06 oct.16, 02:58
Message : Est ce que vraiment le sionisme est combattu par l'Arabie ? Personne ne le croit. L'Arabie a fait un prêt extraordinaire à Israël
Auteur : yacoub
Date : 19 oct.16, 03:57
Message : En faisant le choix de l’arabo-islamisme en Afrique du Nord la France coloniale à fait les malheurs de la France d’aujourd’hui

19/10/2016 Salem Ben Ammar Laisser un commentaire

Je remercie mes amis kabyles algériens de faire des piqûres de rappel qui font mal à certains que sans la France l’Afrique du Nord n’aurait perdu son âme berbère en arabisant et donc en islamisant une société qui ne demandait pas à être arabo-islamisée.

Une France enracinée dans sa propre histoire et fière de son héritage chrétien aurait pu aider ce peuple à renouer avec ses vraies racines judéo-chrétiennes et imprégner des valeurs de la République mais le problème est que cette France elle-même avait des gros soucis avec sa propre identité depuis sa Révolution.

En croyant bien faire en faisant la part belle à l’arabisation qui est la face visible de l’islam pour gagner l’adhésion des dignitaires religieux elle a détruit définitivement l’âme de ce peuple. Un choix politique irresponsable qui a porté le coup de grâce final à l’identité berbère en proie aux velléités hégémoniques cultuelles et linguistiques arabes.

Nombreux sont les Occidentaux qui ignorent que l’Afrique du Nord a donné 3 papes à l’Église avant même le baptême de Clovis et était déjà une terre judaïsée depuis la destruction du Temple de Salomon par l’empereur Nabuchodonosor II en 586 av. J.-C., soit plus de 12 siècles avant le Tsunami arabo-musulman.

La France avait préféré bâtir des mosquées et aider au développement du maraboutisme plutôt que de contribuer à l’émergence des forces des progrès dans cette région qui auraient pu être ses meilleurs alliés aujourd’hui pour lutter contre la gangrène arabo-musulmane qui est en train de la miner de l’intérieur.
Auteur : yacoub
Date : 19 oct.16, 05:52
Message : Image
Auteur : eric121
Date : 19 oct.16, 21:22
Message :
omar13 a écrit :le sujet de ce topic,

A défaut d'arguments tu t'attaques aux personnes comme tu le fait , hélas , trop souvent

Auteur : omar13
Date : 19 oct.16, 21:34
Message :
eric121 a écrit : A défaut d'arguments tu t'attaques aux personnes comme tu le fait , hélas , trop souvent
tu n es pas juste, tu prends la défense , seulement de ceux qui te ressemble, (............).
Auteur : eric121
Date : 20 oct.16, 04:40
Message :
omar13 a écrit :
tu n es pas juste, tu prends la défense , seulement de ceux qui te ressemble, (............).
Arrête de pleurnicher
Auteur : Etoiles Célestes
Date : 21 oct.16, 09:48
Message :
yacoub a écrit :Image
L'islam... une puissance d'égarement.
Auteur : yacoub
Date : 22 oct.16, 02:55
Message : Le droit de battre son épouse et de tuer les apostats : version islamiquement correcte du "droit à la différence"

Plus de vingt ans après la parution du livre du professeur du Harvard College Samuel Huntington (Le Choc des civilisations), Alexandre Del Valle en analyse la pertinence dans le temps en se concentrant sur l’avenir de l’Occident et le sens profond des alliances actuelles. Il scrute avec attention les enjeux des conflits actuels au Proche-Orient, en Ukraine mais aussi en Afrique et en mer de Chine pour comprendre quels sont les vrais ennemis de la France et de l’Occident. Extrait de "Les vrais ennemis de l'Occident", d'Alexandre Del Valle, publié aux éditions du Toucan / L'Artilleur (1/2).
Bonnes feuilles
Publié le 22 Octobre 2016

Le droit de battre son épouse et de tuer les apostats : version islamiquement correcte du "droit à la différence"

Parmi les nombreux exemples de violation des règles et mœurs démocratiques occidentales, sous prétexte de "droit à la pratique religieuse", on peut citer l’ouvrage célèbre du téléprédicateur Youssef al-Qaradawi, auteur d’un best-seller à l’usage des musulmans d’Europe, Al-Hallal wal-Haram 1 (Le Licite et l’illicite en islam), disponible dans les librairies islamiques, les FNAC ou sur Amazon. Qaradawi y explique tout d’abord que l’islam doit toujours "être plus haut" ; que la charia est la loi à laquelle doivent obéir les musulmans où qu’ils se trouvent ; que "la femme ne doit pas désobéir à son mari, ni se rebeller contre son autorité […].

Quand le mari voit chez sa femme des signes de fierté ou d’insubordination […], il doit la bouder au lit […], si cela s’avère inutile, il essaie de la corriger avec la main". Il rappelle que "l’islam a aussi interdit l’homosexualité […]. Est-ce que les deux partenaires reçoivent le châtiment du fornicateur (la lapidation) ? Est-ce que l’on tue l’actif et le passif ? Par quel moyen les tuer ? Est-ce avec un sabre ou le feu, ou en les jetant du haut d’un mur ? Cette sévérité qui semblerait inhumaine n’est qu’un moyen pour épurer la société islamique de ces êtres nocifs qui ne conduisent qu’à la perte de l’humanité", explique le prédicateur égypto-qatari chargé de donner des avis juridiques aux musulmans européens (Conseil européen de la Fatwa)… Concernant les trois autres cas où l’on a le droit de tuer quelqu’un, Qaradaoui est plus formel : 1) "Le crime prémédité. Si on détient des preuves sûres qu’une personne a tué quelqu’un, on doit lui appliquer la loi du Talion : vie pour vie". 2) "L’accomplissement prouvé de l’acte immoral de la fornication […]". 3) "L’apostasie de l’islam après l’avoir embrassé et le dire ouvertement pour défier la société islamique".

L’auteur de ces lignes a beau avoir montré à plusieurs ministres successifs de l’Intérieur et du Culte les passages de cet ouvrage les plus en violation avec la loi, l’essai n’a pourtant jamais été interdit en France depuis 1994 (Charles Pasqua fut le seul ministre du Culte qui le fit interdire). Malgré cela, Qaradaoui demeure toléré et parfois courtisé par les gouvernements occidentaux, car ses fatwas condamnant les attentats terroristes en Europe et sa politique visant à conquérir le monde mécréant par la prédication et non par le djihad lui ont valu d’être perçu comme "l’islamiste capable de contenir les islamistes".

En Espagne, on peut également citer une figure locale majeure de l’islam, l’imam Kamal, président de la Communauté islamique Suhail, et du Majlis al-Fatwa, l’entité à laquelle doivent obéir les musulmans résidant en Espagne, qui a écrit l’ouvrage La Mujer en el Islam, dans lequel sont également énumérées les "méthodes licites" pour punir et corriger les femmes. Rappelons aussi que le président de la plus haute organisation islamique espagnole d’alors (FEERI), Mansur Escudero, confirma cette disposition de la charia lorsqu’il défendit un autre livre du même genre : les Jardins du Juste 1, écrit par l’imam Nawawi Riyad Salihin, lequel rappelait et justifiait le hadith : "Il suffit de ne pas frapper le visage (…), si elle a commis une faute trop grave, séparez-vous d’elle du lit et frappez-la, mais sans brutalité". Ce hadith serait fondé sur la sourate V ; verset 35 du Coran. Le même Escudero, converti d’origine marxiste et élève du négationniste français Roger Garaudy, également président de la Comision Islamica Espanola, avait d’ailleurs demandé, en janvier 2005, au Premier ministre José Luis Rodriguez Zapatero de "régulariser l’option matrimoniale de la polygamie".

Extrait de '"Les vrais ennemis de l'Occident", d'Alexandre Del Valle, publié aux éditions du Toucan / L'Artilleur.


http://www.atlantico.fr/decryptage/droi ... ie9PgQe.99
Auteur : yacoub
Date : 30 oct.16, 02:04
Message : Alexandre Del Valle
38 min ·

► Mon intervention chez Thierry Ardisson à Salut les Terriens est en ligne sur le site de C8 :

http://bit.ly/2ft3GdS

En continuant à recevoir avec les honneurs les responsables de l'islamisme mondial, François Hollande et Manuel Valls trahissent la France, les valeurs de l'Occident et des sociétés ouvertes.

Mon dernier livre « Les Vrais Ennemis de l'Occident » (Éditions du Toucan/L'Artilleur) est en rupture de stock provisoire sur Amazon et à la Fnac.

Une réimpression est en cours et en attendant, il reste bien sûr disponible en librairies.
Auteur : marco ducercle
Date : 30 oct.16, 06:47
Message :
yacoub a écrit :Un commandant du Front al-Nosra : « Les Américains sont à nos côtés »
par roman_garev

Cette interview avec un commandant du Front al-Nosra menée par Jürgen Todenhöfer a d’abord été publiée en allemand le 26 septembre 2016 dans le Kölner Stadtanzeiger, le principal quotidien de la région de Cologne.
Le journal Der Spiegel remet en cause l'authenticité de cette vidéo qui reprend trait pour trait le discours d'Assad:
http://www.spiegel.de/international/wor ... 14892.html
Auteur : yacoub
Date : 30 oct.16, 06:55
Message : DAESH-ISRAËL : un jeu de rôle ?
par Jacques-Robert SIMON

Israël est sans nul doute le pays le plus concerné par l’avancée de Daesh. Pourtant son rôle régional n’est relaté par personne. Peut-on toutefois tenter de le cerner ?

DAESH-ISRAËL : UN JEU DE RÔLE ?

Jacques-Robert SIMON

Le « sacré » émerge naturellement de toute collectivité : c’est ce qui assure la cohérence du groupe. Aux uns la foi offre un espoir, aux autres elle donne le pouvoir de dominer. Dans le creuset du moyen orient trois religions monothéistes ont vu le jour. Le degré d’intrication pouvoir-religion détermine directement le niveau d’intolérance voire de barbarie auquel elles peuvent donner lieu.

Les valeurs Chrétiennes bases du pouvoir en Occident vont être les premières à s’effondrer sous les assauts de ceux qui ne voulaient plus respecter les contraintes morales qui s’attachent à elles. Les citoyens devenus consommateurs préférèrent obérer un au-delà incertain pour une jouissance plus réelle. La « République », héritière laïque des valeurs christiques, ne fut plus que brandie pour mieux l’abandonner. La Démocratie (du spectacle) lui succéda. Cet effondrement n’eut pas lieu pour la religion juive grâce (ou à cause) de la création de l’État d’Israël, Nation tellement menacée que toutes et tous la soutinrent d’une foi d’autant plus ardente que le danger était grand. Il n’eut pas lieu non plus pour la religion musulmane qui ne régnait pas sur une fraction suffisamment prospère de l’humanité, les musulmans n’étaient que trop partiellement entrés dans l’ère de la « grande bouffe ».

Les États-Unis se distinguent de l’Europe : si la consommation est encore plus frénétique que sur le vieux continent, les américains affichent une foi inébranlable, non pas tellement en Dieu mais en eux-mêmes. Ils venaient d’en finir avec l’esclavage, mais pas encore avec la ségrégation raciale, quand ils se donnèrent la mission de briser les chaînes de tous les peuples de la planète. Une succession impressionnante d’interventions suivit la seconde guerre mondiale dont l’une retentissante au Vietnam : le peuple Américain de libérateur devint providentiel. La main armée qui manquait à la « démocratie » était trouvée et, pour la première fois, la domination d’un couple religion/pouvoir entendait s’étendre à la terre entière.

La création de l’État d’Israël, qui sauva la religion juive du déclin, avait besoin d’un protecteur immensément puissant, ce ne pouvait être que les États-Unis. Dans les temps anciens, l’anéantissement du Royaume d’Israël originel avait été suivi de la dispersion du peuple élu qui le constituait. Les juifs durent se fondre au sein de sociétés ne partageant pas leur foi. La religion juive, structurellement, n’est pas prosélyte et leur statut ne les associait pas au pouvoir. Tout changea lors de la création de l’État d’Israël dans lequel religion et pouvoir sont intimement mêlés.

Les Arabes antiques, la foi en l’Islam établie, partirent en guerres de conquête contre différents empires avec différents objectifs : djihad pour contrer l'expansion du christianisme, razzias pour s’enrichir ... Selon les récits, leur succès fulgurant résulte principalement de l'affaiblissement des anciens empires : le conquérant est alors vu comme un libérateur : les autorités musulmanes allègent les impôts fonciers et mènent une politique de « tolérance islamique » (relative).

Les protagonistes de nos jours ! L’Europe, plus vraiment Chrétienne, doutant de tout et surtout d’elle même, honteuse de son passé, subissant son avenir et ânonnant des vérités qu’elle se garde bien de faire passer dans le réel. Les États-Unis qui pensent que le messie ressemble à Rambo, qui affichent à chaque seconde une foi qu’ils n’ont pas et qui veulent imposer par tous les nombreux moyens qu’ils possèdent leur suprématie économique, politique, financière. Israël qui rejoint le camp des pays où pouvoirs religieux et politiques sont confondus et qui tente de vivre au milieu de plus d’un milliard de musulmans par la force plutôt que par leur force traditionnelle forgée par les échanges. Les fidèles de l’islam qui regrettent leur empire et surtout la fierté qu’ils tiraient d’être puissants et reconnus.

Comment éclate une guerre islamique ? En 1988, des manifestations contre le président Chadli Bendjedid eurent lieu, nombre de manifestants se réclamaient de l’islamisme. L'armée tira sur les foules, faisant plus de 500 morts. Une nouvelle constitution fut alors proposée qui supprimait le parti unique, la référence au socialisme, et instaurait les libertés d'expression. Des partis politiques, dont le Front islamique du salut (FIS), se formèrent et furent reconnus par le gouvernement. Lors des élections locales du 12 juin 1990, premières élections libres en Algérie depuis son indépendance, le FIS remporte 953 communes sur 1539. Le 26 décembre 1991 au premier tour des élections législatives, le FIS obtient 188 sièges sur 231. L'armée pousse alors le chef de l'État à la démission et le processus électoral est interrompu. Les élus du FIS et leurs sympathisants sont emprisonnés ou expédiés dans des camps établis dans le sud saharien. Une guerre civile s’en suit qui durera de 1991 à 2002 et fit environ 100 000 morts. Le FIS évolua alors vers d’autres formes : le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC) qui lui même donna naissance à Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI). L’enracinement populaire d’une forme intégriste de l’Islam ne semble faire aucun doute.

La guerre d’Afghanistan (1979-1989) permet de percevoir les lignes de force d’une confrontation entre une grande puissance, l’URSS, et des musulmans (moudjahidines) possédant une foi militante et guerrière proche de celle mise en œuvre en Algérie lors de la guerre civile. Les soviétiques impliquèrent 150 000 hommes, 200 avions, 190 hélicoptères. Les moudjahidines bénéficièrent de financements massifs de la part des États-Unis et de l’Arabie Saoudite : l’Afghanistan fut le Vietnam de l’Union Soviétique. Des moyens militaires gigantesques mis en œuvre par des Nations précautionneuses des vies ne viennent pas à bout de guerriers n’ayant aucune crainte de mourir.

Dix-neuf terroristes se réclamant d’Al-Qaïda détournent quatre avions de ligne en septembre 2001 … Il faut éradiquer le « mal ».

Aux cotés de Rambo, il y a Minnie. Elle incarne le ludique, la joie, la douceur, mais elle a les mêmes objectifs que Rambo. Ses armes : les droits de la Femme (à ne pas confondre avec les droits de l’Homme). Agiter les foules est devenu aisé grâce à Internet, il est donc possible de mettre à terre un régime. C’est d’autant plus facile lorsque ce régime est presque respectable, ceci limite l’atrocité de ses réactions. Les Minnie-révolutions se succédèrent ainsi dans presque tous les pays arabes : Tunisie, Libye, Égypte, Yémen, Syrie … avec une constante dans les conséquences : la situation de mauvaise devint critique. La survie d’un État juif au proche orient est-elle mieux ou moins bien assurée au sein de pays arabes disloqués ?

Daesh est une des innombrables dénominations de ces innombrables groupes qui veulent renouveler, faire renaître, incarner la foi islamique. La plupart ont trouvé un certain écho parmi le peuple arabe. Daesh a pris à bras le corps les problèmes des « sans grade » en utilisant la terreur. Cette organisation sait en plus utiliser les techniques Hollywoodiennes : elle a un sens aigu de la mise en scène et de la communication. Les exécutions, les supplices, les exactions sont soigneusement filmés et diffusés sur Internet.

Semer la terreur chez l’ennemi est certes une technique pour gagner une guerre, mais, dans le même temps une immense haine à leur égard s’amplifie de jour en jour et cette détestation se généralise à l’encontre de tout le monde musulman.

Lorsque l’on hait des ennemis, il est naturel d’adorer ceux qui vous protègent d’eux. Un monde bipolaire s’installe : « You're either with us, or against us ». Le choix est donc entre les USA (et Israël) et les terroristes musulmans. Choisir son camp dans ce qui devient une « guerre de civilisation » est devenu impératif. Ceci renforce le « leadership » américain sur le monde dit « libre ».

La main mise de Daesh sur l’ensemble du globe est irréaliste, par contre que les États-Unis soient sur le point de le faire est plus que probable.

Daesh pourrait être alors le chiffon rouge que l’on agite pour arriver plus vite à ses fins.

Il serait gênant que l’on puisse penser que sous couvert de faire la guerre au terrorisme, on fasse la guerre aux arabes, du moins aux arabes pauvres (les magnats du pétrole n’étant évidemment pas concernés). Il faudra aussi comprendre pourquoi un des plus fidèles ennemis d’Israël, le Hezbollah, combat Daesh.
Auteur : yacoub
Date : 08 déc.16, 02:40
Message : L'Égypte du président Sissi bascule dans le camp pro-Assad

Image
© Alexei Druzhinin, AFP | Le président Vladimir Poutine et son homologue Abdel Fattah al-Sissi, photographiés à Sotchi, en 2015.

Texte par Marc DAOU

Dernière modification : 08/12/2016
Défiant ses partenaires arabes, surtout l’Arabie saoudite, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a récemment officialisé son soutien au régime de Bachar al-Assad et placé son pays dans le giron russe.

Après avoir conforté son pouvoir à l’intérieur du pays et noué une solide entente avec la Russie de Vladimir Poutine, l’Égypte du président Abdel Fattah al-Sissi s’emploie à reprendre sa place sur l’échiquier régional. Quitte à revoir ses calculs diplomatiques et à se désolidariser de ses partenaires sunnites sur la question de la crise syrienne, au nom de la guerre contre le terrorisme islamiste.

Abdel Fattah al-Sissi défie ainsi les monarchies du Golfe, obnubilées par leur rivalité politico-religieuse avec l’Iran chiite, source de déstabilisation du Moyen-Orient depuis plusieurs années, au Yémen, en Irak, et en Syrie.

Des conseillers militaires égyptiens en Syrie ?

Fin novembre, le président égyptien a en effet affiché son soutien total à l'armée de son homologue syrien Bachar al-Assad, déjà parrainé par Moscou et Téhéran, contre les groupes rebelles, soutenus par Riyad et ses alliés du Golfe. "Notre priorité est de soutenir les armées nationales, par exemple en Libye pour renforcer le contrôle de l'armée sur le territoire et traiter les éléments extrémistes. Même chose en Syrie et en Irak", avait-il déclaré lors d’un entretien diffusé par la télévision publique portugaise RTP.

Pour que le message soit encore plus clair, il avait adopté la rhétorique du Kremlin en affirmant que la position de son pays était "de respecter la volonté du peuple syrien, et qu'une solution politique à la crise syrienne [était] la meilleure façon de procéder".

En outre, depuis quelques semaines, notamment à la suite de la visite au Caire du responsable des services de sécurité syriens, le général Ali Mamlouk, les informations faisant état de la présence de "conseillers militaires égyptiens" aux côtés des forces de Damas se sont multipliées dans des médias arabes. Mercredi 7 décembre, Al-Akhbar, un journal libanais proche du Hezbollah pro-iranien, a révélé qu’un certain nombre d’experts militaires et sécuritaires égyptiens étaient présents en Syrie dans le cadre d’une coopération entre les deux pays visant "à combattre la menace terroriste". Le quotidien affirme que leur nombre s’élèvera à 200 d’ici fin 2016.

Le 24 novembre, le quotidien libanais pro-syrien As-Safir indiquait, qu'une unité de 18 pilotes de l'armée égyptienne avait été déployée sur une base militaire dans le centre de la Syrie. Une information qui a été officiellement démentie par Le Caire. Pas par Damas.

Se libérer de l’emprise financière de Riyad

Ces développements interviennent dans un contexte de tensions déjà très vives entre Égyptiens et Saoudiens, depuis le soutien du Caire, en octobre, d’une résolution russe sur la Syrie à l’ONU. Un épisode qui a sensiblement détérioré les relations privilégiées entre les deux puissances régionales, puisqu’en réponse, le royaume wahhabite a suspendu la livraison de produits pétroliers au Caire.

Le pouvoir égyptien, sous perfusion financière saoudienne depuis la reprise en main du pays en 2013 par les militaires, aux dépens des Frères musulmans et du président Mohamed Morsi, cherche depuis à se libérer de cette emprise économique en se rapprochant des Russes.

Et ce, au moment où Moscou cherche, de son côté, à étendre son influence au Moyen-Orient, en profitant des rapports de plus en plus distants entre les puissances de la région et les Occidentaux. La Russie avait été la première à manifester son soutien au nouveau pouvoir issu de l'armée en 2013, tandis que l’allié américain historique prenait ses distances avec les militaires égyptiens et que l’administration Obama se détournait de plus en plus de la région.

En attente de retombées économiques, ce rapprochement s’est concrétisé d’un point de vue militaire par des exercices conjoints entre les deux armées et des livraisons de matériel militaire au Caire. Un appui vital pour le pouvoir égyptien, qui doit faire face à la fois à la menace insurrectionnelle jihadiste dans le Sinaï et à l’instabilité chronique de son voisin libyen.

Après Poutine, Trump

Pragmatique, le président Sissi compte également profiter des conséquences sur la conjoncture internationale de la présidentielle américaine, qui a propulsé le "poutinophile" Donald Trump à la Maison Blanche, lui aussi partisan de la même ligne dure à l’égard des mouvements radicaux.

Et le raïs égyptien a toutes les raisons d’espérer tirer des bénéfices du changement d’administration à Washington - qui interviendra en janvier 2017 -, ayant eu le rare privilège de s’être entretenu, le 19 septembre à New York, avec le président élu, alors que ce dernier n’était encore qu’un simple candidat.

Dans un communiqué publié à la suite de cette entrevue par le service de presse du milliardaire américain, le président égyptien avait été cité "en exemple de ce que doit être un allié exemplaire" dans le cadre de la lutte contre "le terrorisme et l’islamisme radical". Donald Trump avait assuré que s’il venait à être élu à la présidence, "les États-Unis d'Amérique [seraient] un ami fidèle mais aussi un allié, sur lequel l'Égypte pourra compter, les jours et les années à venir".

Il lui avait même promis de se rendre en Égypte en visite officielle et de l’inviter en retour à Washington. De quoi ouvrir de nouvelles perspectives pour le pouvoir de l’ancien maréchal.
Auteur : yacoub
Date : 04 juil.17, 22:51
Message : Boko Haram enlève 37 villageoises
Niger
Le groupe islamiste a mené un raid dimanche dans une localité du sud-est du Niger, égorgeant neuf personnes et en kidnappant près d'une quarantaine.

Boko Haram a enlevé dimanche 37 femmes et tué 9 personnes dans un village situé au nord de Diffa (ici à l'image) dans le sud-est du Niger. (Mardi 4 juillet 2017) Image: AFP (33 Images)

Des «éléments» du groupe islamiste nigérian Boko Haram ont enlevé dimanche 37 femmes et tué 9 personnes dans un village du sud-est du Niger, près de la frontière avec le Nigeria, a annoncé mardi le gouverneur de la région de Diffa (sud-est).

«Les éléments de Boko Haram (...) ont égorgé neuf personnes (...) Ils ont pris des femmes, 37 femmes, et sont partis avec elles», a affirmé le gouverneur Laouali Mahamane Dan Dano à la télévision publique nigérienne. «Des poursuites sont déjà engagées par les Forces de défense et de sécurité (FDS) et nous espérons que dans les prochaines jours ces femmes seront retrouvées et seront libérées», a-t-il ajouté.

Récent attentat suicide dans la région


Le gouverneur qui s'est rendu lundi à Ngalewa, le village attaqué, a expliqué que «les éléments de Boko Haram sont venus à pied» pour «mieux se faufiler» à travers le lac Tchad et le dispositif sécuritaire. Ngalewa est situé à quelques kilomètres de la ville de Kabaléwa au nord de Diffa, théâtre d'un attentat suicide mercredi. «Ngalewa s'est toujours opposé à Boko Haram, voilà pourquoi ils sont venus s'en prendre à ses paisibles citoyens», a expliqué le gouverneur.

Joint par l'AFP par téléphone, le maire du village, Abari El Hadj Daouda, avait indiqué lundi que l'attaque avait eu lieu dimanche soir «entre 22h00 et 2300 (21h00 et 22h00 GMT)». Il avait aussi parlé «d'une trentaine ou quarantaine de femmes et enfants enlevés par les assaillants» ainsi que de «neuf morts».

Attaques récurrentes

La région de Diffa, qui compte quelques 600'000 habitants, subit depuis 2015 des attaques récurrentes de Boko Haram. Elle abrite plus de 300'000 réfugiés et déplacés, dont des milliers vivent au milieu d'une population locale déjà très pauvre, selon l'ONU qui demande à la communauté internationale d'accroître son soutien financier.

Mi-avril, l'armée nigérienne a repoussé une offensive de Boko Haram, tuant une cinquantaine de ses combattants près de la localité de Gueskérou, dns la même région. Depuis décembre, 150 combattants nigériens de Boko Haram ont déposé les armes et se sont rendus aux autorités nigériennes, selon les autorités. (afp/nxp)

Nombre de messages affichés : 64