Je commençais un billet sur la débandade des djihadistes à Alep - La massive offensive terroriste à Alep se termine en « eau de boudin » - quand est tombée la nouvelle de la défaite de l'hilarante barbue en chef. Oh quel délicieux spectacle mes amis. Le système impérial est en pleine crise de nerf : banksters, volaille médiatique, euronouilles et néo-conservateurs sont en émoi. Ce ne sont que sanglots dans la voix, yeux mouillés et regrets éternels.
Après le Brexit, voilà un nouveau coup dur pour l'establishment qui nous assurait pourtant que l'abominable Donald des neiges n'avait aucune chance. Comme pour le Brexit, comme pour le référendum de 2005... A l'Elysée, Flamby n'avait préparé qu'une seule lettre de félicitations (pour Clinton !) tandis que la clique américanisante est sous le choc en Allemagne. Quant à la boboïtude médiatique, n'en parlons pas... Les soutiens internationaux de Clinton, eux, font grise mine et l'on imagine aisément les visages tirés et soucieux à Riyad, Kiev ou Doha.
Géopolitiquement, qu'est-ce que ça nous donne ? Il est évidemment trop tôt pour faire une analyse générale et exhaustive de la future politique étrangère du nouveau président états-unien, qui n'entrera d'ailleurs en fonction qu'en janvier, mais l'on peut déjà esquisser schématiquement quelques évolutions possibles ou probables :
Rapprochement avec la Russie.
Poutine a été l'un des premiers à féliciter Trump et espère que son élection conduira au rétablissement des relations américano-russes qui ont atteint un plus bas historique sous Barack à frites. La relative proximité entre le Donald et Vladimirovitch est un secret de polichinelle, au grand dam des officines impériales. Dans son premier discours post-élection, Trump a dit quelque chose qui devrait avoir l'heur de plaire à Moscou : « Nous nous entendrons avec tous les autres pays qui ont la volonté de s'entendre avec nous ». Loin des lénifiants "exceptionnalisme américain" et autre "nation indispensable" du parti de la guerre à Washington.
Assad peut dormir tranquille.
Trump n'a jamais caché sa détermination à combattre les djihadistes et pas seulement l'utile épouvantail daéchique.
Les coupeurs de tête "modérés" syriens et leurs parrains pétromonarchiques doivent l'avoir mauvaise.
Fin du soutien de la CIA à Al Qaïda, Ahrar al-Cham & co ? Probable.
Ajoutons pour finir que la modération de Poutine autour d'Alep ces derniers temps (deux semaines sans bombardements russes, y compris au plus fort de l'offensive barbue sur le secteur ouest de la ville) avait peut-être pour but de ne pas prêter le flanc à la propagande de la MSN jusqu'à l'élection présidentielle américaine, dans l'espoir que Trump soit élu et s'entendre ainsi avec lui. Désormais, l'offensive peut reprendre et il n'y aura plus aucun bâton dans les roues (à moins d'une possible fronde des secteurs néo-conservateurs de l'armée d'ici janvier).
Apaisement du front de l'est.
Trump et OTAN, ça fait deux. Le Donald a choqué son monde il y a quelques mois quand il a déclaré qu'avec lui, l'article 5 de l'organisation atlantique ne serait pas automatique avec les pays qui ne payent pas leur écot. Plus généralement, l'OTAN ne semble absolument pas au cœur de ses préoccupations et on peut parier que la course militaire vers la frontière russe connaîtra un gros coup de mou.
Tout ceci étant dit, le monde ne deviendra pas tout rose du jour au lendemain.
D'abord parce que Trump tient des positions plus dures vis-à-vis de certains alliés de la Russie : Chine (mais uniquement sur le plan économique) et Iran (mais avec des déclarations contradictoires). Il sera intéressant de voir comment tout cela se combinera avec le prévisible rapprochement américano-russe. A l'instar de ce qu'il a fait sur la scène américaine où il a transcendé les habituels clivages politiques, le Donald risque de faire la même chose sur le plan international. Ses prises de position n'entrent en effet dans aucun schéma actuel.
Oui à Assad mais non à l'Iran ;
oui à Moscou mais non à Pékin ;
non à l'Iran mais non également aux pétromonarchies sunnites...
Bien sûr, ce ne sont que des esquisses et beaucoup d'eau peut couler sous les ponts, mais la chose est intéressante car l'on pourrait assister à une nouvelle donne internationale assez complexe.
Reste enfin à savoir quelle sera la réaction de l'establishment US, c'est-à-dire du parti de la guerre. Un président américain n'est pas Louis XIV et on a constaté à plusieurs reprises la désobéissance presque ouverte de plusieurs secteurs de la CIA, du Pentagone ou même du Département d'Etat sous Obama. Qu'en sera-t-il sous Trump ? Saura-t-il garder la main et imposer ses vues ?
9 Novembre 2016 , Rédigé par Observatus geopoliticus
Commentaire
Dans notre blog, nous avons pronostiqué la large victoire de Trump ( USA. Des chercheurs russes et indiens prévoient une victoire écrasante de Trump ).
Les sondeurs se sont donc, à plus de 99%, trompés dans les grandes largeurs – dépassant largement le Brexit. En réalité, on peut supposer qu'ils se sont "volontairement" trompés, répondant aux desiderata des élites et des oligarques qui gouvernent l'Amérique, moyennant une poignée de dollars.
Le peuple américain a montré qu'il n'est pas dupe, ni aussi ignare qu'on nous le dit.
Admirez les prévisions de ces sondeurs "marrons" :
sondages
Les derniers sondages allaient de +6 à -3 – il est vraiment temps pour les sondeurs de retravailler la notion ‘”d’échantillon représentatif”…
Les “déplorables“, comme les nommait Hillary en parlant des électeurs de Trump, souffrant durement des ravages de la globalisation, ont en effet toujours le droit de vote… Leur colère a donc été plus forte que leur peur.
Trump a gagné nettement (306 grands électeurs a priori, contre 232 à Clinton. C’est à peu près le chiffre attendu d’après les sondages jusqu’à présent, sauf qu’ils s’appliquaient à Clinton gagnante…
pout-1
Et bien sûr, l’analyse à la con de BHL – qu’il était important de choisir dans le trentaine d’invités ce matin, en tant qu’expert en tout…
bhl-2
Si j’étais philosophe, je dirais même plus “c’est la victoire de la majorité”….
Pour positiver, j’ai une pensée pour les Syriens ce soir, car on peut espérer que Trump facilitera une résolution rapide du conflit désormais – mais nous verrons s’il tient ses promesses, restons prudents.
Auteur : J'm'interroge Date : 09 nov.16, 09:34 Message : On verra bien si Trump nous détrumpera ou s'il continuera de nous surprendre dans le bon sens.
Auteur : yacoub Date : 09 nov.16, 09:41 Message : Trump n'aura aucune complaisance à l'égard de l'Arabie Saoudite ni à l'égard des pays à charia dure comme le Qatar, le Pakistan.
Auteur : Karlo Date : 09 nov.16, 09:56 Message : Trump continuera exactement le même business avec ces pays là que ses prédécesseurs.
Il lachera peut-être une déclaration flamboyante par-ci par-là pour que les gens comme toi soient contents.
Auteur : J'm'interroge Date : 09 nov.16, 10:20 Message : On verra donc..
Auteur : Yoel Date : 09 nov.16, 10:22 Message :
yacoub a écrit :Trump n'aura aucune complaisance à l'égard de l'Arabie Saoudite ni à l'égard des pays à charia dure comme le Qatar, le Pakistan.
Je suis très loin de partager ton optimisme, yacoub.
Je souhaite que l'administration Trump sera impitoyable vis-à-vis le despotisme islamistes des Saouds et des Thani. Il faut que nos gouvernements occidentaux revoient complètement leurs relations avec ces états voyous qui financent le terrorisme musulman international et qui possèdent un bilan des droits de l'homme exécrable.
Mais, c'a ne se fera jamais. Trump fait parti du problème, un corporatiste multi-milionnaire et homme d'affaire. Seuls, le buisiness et le pétrole compte.
Auteur : J'm'interroge Date : 09 nov.16, 11:20 Message : On verra bien.
Pour l'instant il y a de quoi nourrir quelques espoirs, je ne suis pas aussi pessimiste les amis.
Je préfère un entrepreneur patriote qui a réussi dans le business et qui a financé lui-même une bonne partie de sa campagne, aux marionnettes corrompues ou compromises entre les mains des manias de la finance cleptocrate, autrement dit : aux agents de l'oligarchie.
Il faut se rappeler aussi ceci :
Auteur : clovis Date : 09 nov.16, 13:24 Message : J'ai lu il y a quelques mois que Trump était le candidat des Rothshild. Sont-ils donc les grands vainqueurs de ce scrutin ?
Auteur : Erdnaxel Date : 09 nov.16, 15:47 Message :
yacoub a écrit :Trump n'aura aucune complaisance à l'égard de l'Arabie Saoudite ni à l'égard des pays à charia dure comme le Qatar, le Pakistan.
Le Pakistan à la bombe nucléaire. Donc je ne pense pas qu'il y aura une guerre ouverte.
Pour le Qatar on peut s'estimer heureux, qu'il n'a pas encore acheté notre planète
Pour l'Arabie Saoudite, elle a une armée puissante. Et nul doute que ce ne sera pas aussi facile que l'Irak
Donc au final, qu'il ait ou non de la complaisance à l'égard de l'Arabie Saoudite. À mon avis, ça ne changera pas grand chose à la potentielle victoire des Jihadistes. Ce qui serait plus intéressant, c'est qu'il soit ouvert à une alliance avec la Russie et la Chine.
Si le nazisme a été vaincu, c'est uniquement en raison de l'entrée en guerre précipité des Etats Unis dans le seconde guerre mondiale (en raison de l'attaque Japonaise à Pearl Harbor) , seul contre tous l'armée d'Hitler et de Mussolini ont fini par être vaincu.
Les Etats Unis, la Russie, Israël, la Chine, l'Europe, l'Inde ont un ennemi commun. Donc peut être que s'ils pouvaient avoir une prise de conscience permettant une alliance entre tout ces pays (dans le but de vaincre les Jihadistes) ce serait un élan d'espoir pour mettre fin à la guerre. Restera le problème d'arriver a créer des conditions de paix une fois la guerre finie.
L'espoir fait vivre, même si sur le fond je suis assez pessimiste. À dire vrai, Je crains que le nouveau président soit encore plus bête que Georges W Bush.
Auteur : Ikarus Date : 09 nov.16, 16:15 Message : Pour rappel, Trump avait déclaré qu'il finirait la guerre en Syrie en dix jour si il était au pouvoir, disant clairement qu'un bombardement au napalm réglerait le problème.
Si il est homme a tenir sa parole, on en verra rapidement le résultat. Et les conséquence qui seront pour le moins désastreuse en terme de diplomatie international. Si on ne voit pas de résultat, alors bingo, on verra à nouveau un président au promesse vide au pouvoir.
Bref, c'était soit un mec qui se disait plus intelligent que les autres parce qu'il avait versé dans l’illégalité en ne payant pas ses impôt (chose qu'il avoua avec fierté), soit la femme qui a de jolie dossier de dessous de table. Quel choix!
Mais ne rions pas du malheur américain, notre situation sera bientôt la même avec Juppé et Lepen. Et je pense pas trop m'avancer sur le premier tour, vu que ce sont les deux candidat avec le plus de temps médiatique. Si seulement les gens lisaient les programmes au lieu de se cantonné au discourt médiatique...
Un exemple très flagrant de méconnaissance de programme, en prenant le partie politique qui est le plus différent sur le devant de la scène et les coulisse, soit le Front national:
Petite citation d'une partie de leur programme:
– Les manifestations de clandestins ou de soutien aux clandestins seront interdites.
Ou autrement dit, censure. Un droit fondamental concernant la liberté des gens pourtant.
– Réaffirmation de notre modèle républicain et de ses valeurs contre le multiculturalisme anglo-saxon. L’assimilation, via l’école notamment, doit redevenir la règle, et le communautarisme banni. La France inscrira dans sa Constitution « la République ne reconnaît aucune communauté ».
e qui peut vouloir dire suppression de tout signe communautariste. De manière évidente, on parle ici du voile forcément, mais aussi de tout autre signe religieux, d'un style vestimentaire comme celui des hipsteur ect ect.. Je citerais pas plus de passage flou du genre tellement il y en a à la pelle. Il donne leur but, pas leur méthode ni leur limite.
Le permis de conduire à points sera supprimé et les contraventions et délits seront sanctionnés par les peines qui seront intégrées au code pénal. L’annulation ou la suspension du permis de conduire devra être prononcée par le tribunal compétent.
Plus de point. Alors autant, je trouve parfois le systeme sévère, autant une suppression du systeme de point est un bon moyen de redonner un avantage au riche. Si tu peux payé tes amandes, tu risque strictement rien.
La hiérarchie des normes qui prévalait avant les dérives jurisprudentielles sera réaffirmée. La Constitution, plus largement le bloc de constitutionnalité, est la norme suprême, à laquelle doit se conformer l’intégralité du droit français et conserve sa supériorité sur les Traités internationaux.
Il faut savoir que les abus d'employeur qui passe en jugement, lorsque il finissent en faveur de l'employer, est souvent dû a une jurisprudence. Alors oui, il y a de l'abus de jurisprudence, mais ce sont ces même jurisprudence qui permet de rendre les jugement plus souple, vu que les loi ne peuvent être supprimé. Puis sérieusement, faut tout refaire niveau loi. Le genre de cas qui suit n'est pas rare, et ce sont des loi qui sont abrogé implicitement et non pas explicitement. Autrement dit, elle peuvent revenir au goût du jour aussi subitement qu'anormalement.
L'exemple est la pour faire sourire, mais aussi pour montrer qu'il existe des lois extremement surprenante, et ce dans tout les domaine: http://www.senat.fr/questions/base/2012 ... 00692.html
Rétablissement de la peine de mort ou instauration de la réclusion criminelle à perpétuité réelle
L’alternative entre ces deux possibilités pour renforcer notre arsenal pénal, sera proposée aux Français par référendum. La réclusion à perpétuité aurait un caractère définitif et irréversible, le criminel se trouverait sans possibilité de sortir un jour de prison.
Bref, le droit de vie ou de mort. Alors moi, je suis pour, mais ça reste un sujet très subversif. Ici, elle ne parle pas d'un référendum pour savoir si oui ou non, mais pour savoir si on enferme a vie, ou si on abrège les souffrance. (Oui, la prison est une punition, et donc, une souffrance.)
Il faut faciliter aussi le travail de la police et de la Justice (interception de conversations téléphoniques et de courriels dans le cadre de la lutte contre les stupéfiants, possibilité de rémunération des indicateurs, etc.)
Besoin d'en dire plus que ce qu'il est écrit? Plus de pouvoir au force de l'ordre, surtout en ce qui concerne la vie privé des gens. De la surveillance, toujours plus de surveillance! La France a peur! Bien entendu, ça va de pair:
– Doubler les effectifs des brigades anti-criminalité. Mettre des policiers en civils dans la rue pour lutter contre l’insécurité et non contre le sentiment d’insécurité.
Bref. Alors forcément, il n'y a pas que du mauvais. Il y a aussi des sujets d'un silence assourdissent et qui sont pourtant tout a leur honneur d'y avoir penser. Comme ceci:
Action au niveau des centrales d’achat pour rétablir un équilibre entre le commerce indépendant et la grande distribution. Les liens d’exclusivité entre centrales d’achat et grands distributeurs seront interdits.
Ou encore:
Il est nécessaire d’accentuer les peines contre les élèves ou parents d’élèves coupables d’agression verbale ou physique contre un enseignant
Les programmes sont bien plus révélateur que les discours. Sauver un chaton, lisait les programme principaux au moins.
PS: D'un youtubeur de qualité, un documentaire amateur extrêmement complet qui serait bon de voir afin de réduire un impact médiatique néfaste qui modifie grandement notre perception de la réalité. https://www.youtube.com/watch?v=8WiiqssAME4
Auteur : J'm'interroge Date : 09 nov.16, 23:59 Message :
clovis a écrit :J'ai lu il y a quelques mois que Trump était le candidat des Rothshild. Sont-ils donc les grands vainqueurs de ce scrutin ?
Tous sont candidats des Rothschild. Mais, s'il y en a un qui peut officiellement leur dire "merde" c'est Trump, avec deux ou trois autres.
Sachez bien que la seule manière de financer son projet c'est de redonner aux US sont pouvoir régalien de battre monnaie et d'[ATTENTION Censuré dsl] la réserve fédérale américaine (qui n'est ni fédérale ni américaine...).
Le souci c'est que s'il annonce le faire, alors son sort sera le même que plusieurs de ses prédécesseurs comme JFK pour ne citer que lui, à moins qu'il soit couvert par une faction dissidente de hauts responsables militaires.
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Erdnaxel a écrit :Ce qui serait plus intéressant, c'est qu'il soit ouvert à une alliance avec la Russie et la Chine.
Je le pense aussi, mais sans doute pas pour les mêmes raisons.
Erdnaxel a écrit :Les Etats Unis, la Russie, Israël, la Chine, l'Europe, l'Inde ont un ennemi commun. Donc peut être que s'ils pouvaient avoir une prise de conscience permettant une alliance entre tout ces pays (dans le but de vaincre les Jihadistes) ce serait un élan d'espoir pour mettre fin à la guerre. Restera le problème d'arriver a créer des conditions de paix une fois la guerre finie.
Ça c'est le plan bis de l'oligarchie pro NWO façon Rothschild.
Erdnaxel a écrit :L'espoir fait vivre, même si sur le fond je suis assez pessimiste. À dire vrai, Je crains que le nouveau président soit encore plus bête que Georges W Bush.
Georges W n'était pas si bête qu'on le dit. Quant à Trump il est probablement l'un des moins cons sur le marché des personnes influentes actuellement. Ne sous-estimez pas le bonhomme.
Auteur : clovis Date : 10 nov.16, 01:28 Message :
J'm'interroge a écrit :Tous sont candidats des Rothschild. Mais, s'il y en a un qui peut officiellement leur dire "merde" c'est Trump, avec deux ou trois autres.
Sachez bien que la seule manière de financer son projet c'est de redonner aux US sont pouvoir régalien de battre monnaie et d'[ATTENTION Censuré dsl] la réserve fédérale américaine (qui n'est ni fédérale ni américaine...).
Le souci c'est que s'il annonce le faire, alors son sort sera le même que plusieurs de ses prédécesseurs comme JFK pour ne citer que lui, à moins qu'il soit couvert par une faction dissidente de hauts responsables militaires.
Le plan des Rothshild et consorts est semble-t-il de remplacer la Dollar comme monnaie de réserve mondiale par les DTS formés à partir d'un panier de devises incluant le Dollar. Mais il est certainement hors de question qu'ils lâchent la FED, ça c'est sûr. Cependant le Dollar devrait subir une dévaluation substantielle permettant de relancer l'économie US.
Auteur : Karlo Date : 10 nov.16, 01:44 Message : Moi j'aimerais bien savoir comment les croyants du Trump anti-système expliquent cette réaction de wall street.
Wall Street a déjoué la plupart des pronostics mercredi en réagissant par une nette hausse à l'élection de Donald Trump à la présidence américaine, au point de presque battre un record : le Dow Jones a pris 1,39% et le Nasdaq 1,11%.
N'auraient-ils pas compris que le milliardaire Trump serait leur ennemi ?
Les candidats populistes aiment beaucoup se présenter comme "anti-système" devant leur électorat.
Et ils ont raison. C'est très porteur. les gens le gobent systématiquement...
Auteur : indian Date : 10 nov.16, 04:49 Message :
Karlo a écrit :Moi j'aimerais bien savoir comment les croyants du Trump anti-système expliquent cette réaction de wall street.
Comme lors du brexit... fausse alarme
Auteur : yacoub Date : 10 nov.16, 05:26 Message :Trump président : comment réagit le monde musulman ?
Des dirigeants du Moyen-Orient ont appelé mercredi Donald Trump à les aider à résoudre les nombreuses crises de leur région sur lesquelles le futur président américain s'est peu exprimé durant la campagne.
Les réactions de la communauté musulmane n’ont pas tardé en ce jour d'élection de Donald Trump à la Maison Blanche. De l’enthousiasme turc au scepticisme palestinien, tour d’horizon de l’accueil diplomatique réservé au milliardaire américain.
Les tensions entre le candidat républicain Donald Trump et la communauté musulmane (sur le sol américain et à l'étranger) ne datent pas d'hier. Entre sa proposition d'empêcher l'entrée des musulmans aux Etats-Unis en décembre 2015, sur laquelle il est revenu, et ses attaques, en août dernier, contre un couple de musulmans dont le fils, un soldat, est mort en Irak, les multiples saillies du candidat républicain ont mis beaucoup de nerfs à vif.
Maintenant qu'il est président des Etats-Unis d'Amérique, celui qui se revendique isolationniste joue la carte de l'apaisement. «Nous nous entendrons avec tous les autres pays qui ont la volonté de s'entendre avec nous», a déclaré le chef de la première puissance mondiale, lors de son discours de victoire. Dans la foulée, des dirigeants du Moyen-Orient ont appelé le milliardaire, proche de Vladimir Poutine, à les aider à résoudre les crises d'une région dont il a peu parlé durant la campagne.
En haut de la pile, le dossier «Etat Islamique»
En Syrie, les réactions étaient contrastées ce mercredi. La victoire de M. Trump a été accueillie à Damas comme «une bonne surprise», a indiqué Waddah Abed Rabbo, directeur du quotidien Al Watan, proche du régime du président Bachar al-Assad. La télévision syrienne par ailleurs a diffusé en direct son discours, fait totalement inhabituel. Des organisations prorégime se sont également félicitées de son triomphe sur Twitter.
De leur côté, des groupes rebelles réclament aussi une nouvelle politique américaine car «l'expérience avec l'administration Obama n'a pas été bonne», selon Bassam Moustapha, membre du conseil politique de Nourredine al-Zinki, l'un des principaux groupes rebelles du nord syrien.
«Si vous regardez le Moyen-Orient, c'est le chaos total», avait jugé le candidat républicain lors de la campagne. Admirateur assumé du président russe Vladimir Poutine, un allié du régime syrien, Donald Trump avait même déclaré en juillet au New York Times que «l'EI est une bien plus grande menace contre nous qu'Assad».
Israël confiant, la Palestine sceptique
«Un véritable ami de l'Etat d'Israël». C'est en ces termes que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, dont les relations avec Barack Obama étaient tendues, a qualifié Donald Trump « Je suis impatient de travailler avec lui en faveur de la sécurité, la stabilité et la paix dans notre région », a-t-il ajouté dans un communiqué, sans pour autant aborder explicitement le conflit israélo-palestinien ni la promesse controversée de déplacer l'ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. L'un de ses ministres, Naftali Bennett, chef de file du lobby colon, a estimé quant à lui que «la victoire de Trump offre à Israël la chance de renoncer immédiatement à l'idée de création d'un Etat palestinien».
La réaction palestinienne est bien moins chaleureuse. Sa position est la même que sous l'ère Obama. «Nous sommes prêts à travailler avec le président élu sur la base d'une solution à deux Etats afin d'établir un Etat palestinien sur les frontières de 1967»,a rappelé le porte-parole de la présidence de l'Autorité palestinienne, Nabil Abou Roudeina. De son côté, le Hamas, mouvement considéré comme terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne, a fait savoir qu'il ne comptait «pas beaucoup sur un changement de politique de la part de la présidence américaine, la politique américaine sur la question palestinienne ayant été constamment caractérisée par le parti pris».
Donald Trump l'admet volontiers : résoudre ce problème est un chantier quasi impossible. «C’est probablement la négociation la plus ardue de tous les temps. Mais j’adorerais tenter le coup». Voilà comment il appréhendait le processus de paix israélo-palestinien à l'époque de la primaire républicaine (voir la vidéo ci-dessous).
L'Iran se veut prévenante sur le nucléaire
Pendant sa campagne électorale, Donald Trump avait critiqué l'accord nucléaire conclu en juillet 2015 entre l'Iran et six grandes puissances, dont les Etats-Unis, en affirmant qu'il le «déchirerait». Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, avait rétorqué à l'époque que dans ce cas, l'Iran le «brûlerait».
Ce mercredi, le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a appelé le nouveau président à respecter cet accord. «Tout président des Etats-Unis doit comprendre les réalités du monde d'aujourd'hui, a-t-il lancé en marge d'un déplacement à Bucarest (Roumanie). Le plus important est que le futur président des Etats-Unis respecte les accords, les engagements pris non pas à un niveau bilatéral mais à un niveau multilatéral».
Les dirigeants iraniens misent notamment sur un président Trump plus modéré que le candidat. «L'image donnée par Trump en tant que président lors de son discours de victoire est différente de l'image qu'il montrée durant la campagne. C'est un point notable», a twitté un proche conseiller du président iranien Hassan Rohani, Hamid Aboutalebi, au terme du premier discours officiel du milliardaire.
Turquie : Erdogan pose d'emblée ses exigences
«Une nouvelle ère s'ouvre», a affirmé le président Erdogan dans une allocution retransmise par la télévision. Il faut dire que les relations entre l'administration Obama et la Turquie, deux alliés de l'Otan, avaient été éprouvées par le coup d'Etat manqué et les vains appels d'Ankara à une extradition de M. Gülen. Le prédicateur est accusé par le régime d'être l'une des têtes pensantes du putsch raté.
Des divergences opposent aussi les deux pays au sujet des milices kurdes en Syrie, que Washington appuie dans la lutte contre le groupe Etat Islamique alors qu'Ankara les considère comme des organisations terroristes émanant du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK). La proximité de Donald Trump et Vladimir Poutine, notamment dans le dossier syrien, tendent également à rassurer la Turquie.
Réchauffement diplomatique avec l'Egypte ?
L'Egypte du président Sissi fut l'un des premiers pays arabes à adresser ses félicitations au candidat républicain. Son chef d'Etat «espère que la présidence de Donald Trump apportera un nouveau souffle aux relations égypto-américaines». Les relations entre Washington et Le Caire, un allié clé de longue date au Moyen-Orient, s'étaient détériorées depuis la destitution par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi, en 2013. Alors que les Etats-Unis critiquent régulièrement le bilan en matière des droits de l'Homme des autorités mises en place par l'ex-chef de l'armée Sissi, l'Egypte s'est rapprochée de la Russie. Avant l'élection, M. Sissi avait déjà assuré que M. Trump serait «un bon dirigeant».
Les monarchies du Golfe ont également félicité Trump
Le roi Salmane d'Arabie saoudite, une des grandes puissances régionales, a souhaité à M. Trump «le succès dans (sa) mission pour réaliser la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient et dans le monde». Les dirigeants des Emirats arabes unis, du Koweït, du Qatar et de Bahreïn, autres alliés des Etats-Unis dans le Golfe, ont également adressé des télégrammes de félicitations au républicain.
Ces monarchies avaient très mal vécu les hésitations de Barack Obama à s'engager dans la guerre contre le président syrien Bachar al-Assad, ainsi que son rapprochement avec Téhéran, rival régional de Ryad, à la faveur de l'accord international sur le nucléaire.
Auteur : indian Date : 10 nov.16, 05:28 Message : Islamophobe et pseudo politicien Comme Trump?
Vous n'etes pas misogyne ni sexiste à tout le moins? raciste aussi?
Auteur : marco ducercle Date : 10 nov.16, 06:10 Message : J'aime entendre dire que Trump est anti système.
Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité.
Auteur : yacoub Date : 10 nov.16, 08:19 Message :Rien n'est perdu pour Hillary
Il semble que tout ne soit pas perdu pour la candidate démocrate Hillary Clinton: elle aurait encore une possibilité, la toute dernière celle-là, de prendre le dessus sur Donald Trump. Son dernier espoir? Le collège électoral des États-Unis.
Conformément à la Constitution américaine, les grands électeurs du collège électoral sont des personnes physiques votant le 19 décembre pour le futur président des États-Unis dans les capitales de leurs États respectifs.
Et même si d’aventure une telle chose avait lieu, cela ne veut pas dire que Trump ne serait pas élu, souligne le Huffington Post.
En effet, la seule fois où ces électeurs sans foi eurent un impact, ce fut en 1836. 23 électeurs de Virginie refusèrent de soutenir le vice-président Richard Johnson car celui-ci était accusé de vivre avec une afro-américaine. Trump, lui, vit avec une Slovène. Donc rien à craindre de ce côté-là…
Auteur : indian Date : 10 nov.16, 09:41 Message :
marco ducercle a écrit :J'aime entendre dire que Trump est anti système.
Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité.
Il vient tout juste de retirer plein de trucs (promesses, commentaire, insultes, ..) de son site web et compte tweeter...
Il a même dit être honoré de rencontrer Barak Obama
menteur ou hypocrite? ...mais bon je préjuge
Auteur : marco ducercle Date : 10 nov.16, 22:09 Message : En France, en 2007 on disait aussi qu'il y aurait une guerre civile si Sarko serait président.
Auteur : J'm'interroge Date : 11 nov.16, 06:31 Message :
Karlo a écrit :Moi j'aimerais bien savoir comment les croyants du Trump anti-système expliquent cette réaction de wall street.
"Wall Street a déjoué la plupart des pronostics mercredi en réagissant par une nette hausse à l'élection de Donald Trump à la présidence américaine, au point de presque battre un record : le Dow Jones a pris 1,39% et le Nasdaq 1,11%."
N'auraient-ils pas compris que le milliardaire Trump serait leur ennemi ?
Ils ont surtout compris qu'il va très probablement, si on le laisse faire, redresser l'économie US en la remettant sur pieds et que l'économie mondiale n'en pourra que mieux se porter.
Karlo a écrit :Les candidats populistes aiment beaucoup se présenter comme "anti-système" devant leur électorat.
Et ils ont raison. C'est très porteur. les gens le gobent systématiquement...
Il n'est pas anti-système ?
Proposer le retour au protectionnisme, aux frontières, à une nation forte qui peut dire merde à la FED, c'est à mon sens aujourd'hui tout-à-fait révolutionnaire.
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indian a écrit :Islamophobe et pseudo politicien Comme Trump?
Vous n'etes pas misogyne ni sexiste à tout le moins? raciste aussi?
Islamophobe ? Trump ? Tu vas voir s'il a peur de l'Islam lol !
Plus sérieusement, s'attaquer à l'islamisme ce n'est pas être islamophobe l'ami !
Quant au fait qu'il ne serait pas politicien, ça c'est évident ! Il n'a rien du caniche lèche cul de la Finance.
Pour finir, si l'on a que ces critiques à formuler sur Trump, eh bien.. c'est qu'il y a des chances qu'il n'y n'a vraiment pas grand chose de critiquable sur le fond alors ! Car, l'on accuse généralement quelqu'un de raciste ou de sexiste quand on n'a vraiment pas grand chose à opposer en face.
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marco ducercle a écrit :J'aime entendre dire que Trump est anti système.
Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Quoi la preuve que non ?
Si l'écart entre les deux candidats n'avait pas été si grand, il y aurait certainement eu truquage comme cela s'est déjà produit aux US.
C'est l'avance de Trump sur Hillary, que personne n'a prévue, pas même Trump lui-même, qui a rendu impossible tout truquage.
marco ducercle a écrit :Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité.
J'ai entendu aux infos qu'Obama avait explicitement demandé à Trump lors de son "excellente conversation" avec lui, une confirmation du fait il la laisserait tranquille sans quoi la transition ne se ferait pas d'une bonne manière...
____________
marco ducercle a écrit :En France, en 2007 on disait aussi qu'il y aurait une guerre civile si Sarko serait président.
En effet, il n'y a eu qu'une crise bancaire... Et un gros renflouement des banques aux frais des contribuables.
Auteur : indian Date : 11 nov.16, 06:49 Message :
J'm'interroge a écrit :[Islamophobe ? Trump ? Tu vas voir s'il a peur de l'Islam lol !
Plus sérieusement, s'attaquer à l'islamisme ce n'est pas être islamophobe l'ami !
Quant au fait qu'il ne serait pas politicien, ça c'est évident ! Il n'a rien du caniche lèche cul de la Finance.
Pour finir, si l'on a que ces critiques à formuler sur Trump, eh bien.. c'est qu'il y a des chances qu'il n'y n'a vraiment pas grand chose de critiquable sur le fond alors ! Car, l'on accuse généralement quelqu'un de raciste ou de sexiste quand on n'a vraiment pas grand chose à opposer en face.
.
Je critique ses propos islamophobse, anti-mexicains, racistes, myosines, sexistes... tenu lors des débats...tout comme ses contradictions.
Non Trump a peur de rien.
Auteur : yacoub Date : 11 nov.16, 07:02 Message :
indian a écrit :
Je critique ses propos islamophobse, anti-mexicains, racistes, myosines, sexistes... tenu lors des débats...tout comme ses contradictions.
Non Trump a peur de rien.
Mariés par Trump ce matin à Las Vegas....
Auteur : indian Date : 11 nov.16, 07:26 Message :
yacoub a écrit :
Mariés par Trump ce matin à Las Vegas....
Désolé mais votre photo ne m'es pas pour l'instant visible..
Sécurité et blocage info
Auteur : yacoub Date : 11 nov.16, 07:29 Message : Il n'a pas supporté l’élection de Trump, il a choisi la mort
Auteur : yacoub Date : 11 nov.16, 07:34 Message :La vérité sur la victoire de Trump …
Les hongrois, les polonais, les autrichiens…ne sont ni racistes, ni xénophobes …
Les peuples se révoltent contre les élites européennes et américaines qui ont vendu leur âme à un islam conquérant.
Ces peuples civilisés, ouverts sur l’autre n’en peuvent plus et ils le font savoir dorénavant dans les urnes…
Ce n’est qu’un début …
Mieux vaut se réveiller tard que dormir à jamais.
Auteur : indian Date : 11 nov.16, 07:37 Message :
yacoub a écrit :La vérité sur la victoire de Trump …
Les hongrois, les polonais, les autrichiens…ne sont ni racistes, ni xénophobes …
Les peuples se révoltent contre les élites européennes et américaines qui ont vendu leur âme à un islam conquérant.
Ces peuples civilisés, ouverts sur l’autre n’en peuvent plus et ils le font savoir dorénavant dans les urnes…
Ce n’est qu’un début …
Mieux vaut se réveiller tard que dormir à jamais.
Et de l'autre côté... des milliers et milliers d'américains qui manifestent dans les rues scandant: '' DUMP TRUMP''
Auteur : Ase Date : 11 nov.16, 07:46 Message : Au vu du contexte guerrier mondial, et si Trump était le meilleur des choix possible ?
Et au fait quelle est la religion de Donald Trump ?
Le 18 février dernier, dans l’avion qui le ramenait du Mexique, le pape François était interrogé par un journaliste sur le projet de mur à la frontière américano-mexicaine, promis par Donald Trump s’il était élu, comme une mesure radicale de lutte contre l’immigration.
La réponse du pape avait claqué : « Celui qui veut construire des murs et non des ponts n’est pas chrétien. Ce n’est pas l’Évangile. Voter, ne pas voter, je ne m’immisce pas. Je dis seulement que celui qui dit cela n’est pas chrétien. »
Un commentaire sans ambiguïté de la part du pape, qui avait fait sortir de ses gonds le milliardaire américain, à la foi presbytérienne revendiquée. « Qu’un leader religieux mette en doute la foi d’une personne est honteux, avait protesté Donald Trump dans un communiqué. Je suis fier d’être chrétien et comme président je ne permettrais pas que la chrétienté soit constamment attaquée et affaiblie. » Allant plus loin encore, le futur président américain avait même invoqué Daech : « Si le Vatican était attaqué par Isis (Daech) (…), je peux vous promettre que le pape aurait souhaité et prié pour que Donald Trump soit président. Car cela ne se serait jamais produit », avait-il assuré.
Il avait au passage accusé le gouvernement mexicain d’avoir fait auprès du pape des « commentaires désobligeants » à son encontre, et avait jugé que le pape n’avait « entendu qu’une version de l’histoire ». « Il n’a pas vu la criminalité, le trafic de drogues et l’impact économique négatif que les politiques actuelles ont sur les États-Unis », précisait-il.
Ce n’était d’ailleurs pas la première fois que Donald Trump s’en prenait au pape. Dans une interview quelques semaines plus tôt, il avait estimé que le pape François « ne comprend pas les problèmes de notre pays ». « Je ne suis pas sûr qu’il mesure le danger que représente cette frontière ouverte avec le Mexique », avait-il estimé.
La critique formulée par le pape François avait cependant dérangé, y compris des catholiques, qui avaient estimé que le pape était sorti de son rôle en se mêlant de politique intérieure. Deux concurrents de Donald Trump à la primaire républicaine, eux-mêmes catholiques, lui avaient d’ailleurs apporté leur soutien. Marco Rubio, sénateur de Floride, avait rétorqué que les États-Unis avaient le droit de protéger leurs frontières « comme le fait le Vatican ».Et Jeb Bush, ancien gouverneur de Floride, avait considéré que la foi de Donald Trump relevait de la relation « entre lui et le Créateur » et ne pouvait pas être jugée ainsi.
Auteur : Karlo Date : 11 nov.16, 07:48 Message : L'obsession de l'islam est palpable chez les haineux comme yacoub...
Ca l'aveugle tellement qu'il se met à croire que Trump, le milliardaire à grande gueule, n'est pas une "élite" simplement parce qu'il partage sa haine des musulmans...
Triste
Et l'élite américaine est tellement paniquée par la victoire du grand sauveur Trump que le Dow Jones et le Nasdaq ont tous les deux enregistré des hausses faramineuses à l'annonce de sa victoire...
Les gens aiment se convaincre qu'un sauveur "anti-système" va régler tous leurs problèmes... Même quand il s'agit d'un milliardaire en qui wall street a toute confiance, peu importe. Ce qui importe c'est la haine partagée pour un bouc-émissaire.
Auteur : indian Date : 11 nov.16, 07:49 Message : Quelle différence y a t'il entre se dire chrétien et l'entre? ou même penser l'être?
Yacoub ? haineux???
J'vous crois pas
Auteur : marco ducercle Date : 11 nov.16, 08:09 Message :
J'm'interroge a écrit :"marco ducercle" J'aime entendre dire que Trump est anti système.
Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Quoi la preuve que non ?
Si l'écart entre les deux candidats n'avait pas été si grand, il y aurait certainement eu truquage comme cela s'est déjà produit aux US.
C'est l'avance de Trump sur Hillary, que personne n'a prévue, pas même Trump lui-même, qui a rendu impossible tout truquage.
Après décomptage, hillary totalisée 200.000 voix de plus que Trump. C'est le système des grands électeurs* qui ont favorisés Trump. Dans le cas inverse, vous seriez les premiers a crier au complot et dire qu'il faut revoir le système électoral.
La seule élection connue comme pouvant avoir été truquée est celle de Bush en 2000. Il n'y avait moins de 50000 voix entre les deux concurrents. C'est donc le parfais contraire de ton analyse.
*Les citoyens américains ne votent pas directement pour le président, mais choisissent quels grands électeurs vont voter pour le candidat de leur camp, et ce dans chacun des 50 États. L'objectif du système des grands électeurs était d'éviter la domination de certains États puissants et très peuplés". Cela donne donc un avantage aux petits États ruraux. D'autant plus que ceux-ci disposent, au minimum, de trois grands électeurs. Actuellement, un électeur du Wyoming dispose d'un poids électoral 3,5 fois plus important qu'un électeur du Texas. Cet état de fait avantage le parti républicain.
"marco ducercle" En France, en 2007 on disait aussi qu'il y aurait une guerre civile si Sarko serait président.
En effet, il n'y a eu qu'une crise bancaire... Et un gros renflouement des banques aux frais des contribuables.
Je ne vois pas le rapport avec ce que les Peoples et certains chroniqueurs prédisaient: la guerre entre la France Blanche et les cités.
Auteur : yacoub Date : 11 nov.16, 08:14 Message :
yacoub a écrit :La vérité sur la victoire de Trump …
Les hongrois, les polonais, les autrichiens…ne sont ni racistes, ni xénophobes …
Les peuples se révoltent contre les élites européennes et américaines qui ont vendu leur âme à un islam conquérant.
Ces peuples civilisés, ouverts sur l’autre n’en peuvent plus et ils le font savoir dorénavant dans les urnes…
Ce n’est qu’un début …
Mieux vaut se réveiller tard que dormir à jamais.
Ce texte est de Hamid Zanaz
Encore un haineux de l'islam de souche algérienne selon la carpette Karlo
Auteur : Karlo Date : 11 nov.16, 08:19 Message : Et la carpette yacoub croit qu'on ne peut pas être d'origine algérienne et être un haineux de l'islam ?
Donald Trump:il faut jeter Nicolas Sarkozy en prison pour avoir contribué à « l’expansion du terrorisme »
société
14 mars 2016
Donald Trump est un personnage étonnant. Le milliardaire, qui distille les déclarations provocantes, souvent taxées de racisme et de misogynie, a eu un mot négatif pour François Hollande.Interviewé cette semaine par un journaliste de Chicago Tribune lors d'une séance de dédicaces dans la Trump Tower à New York,Donald Trump fustige Nicolas Sarkozy.
A la question: "Que pensez-vous de Nicolas Sarkozy, Le millionnaire réplique:Je vais être très clair : je n’apprécie guère l’ancien président de la République.Je n’éprouve pas de compassion pour cet homme qui se pose aujourd’hui en victime.Si la France a aujourd’hui un problème avec sa classe politique elle a résolument un problème avec la place qu’occupe la prison dans son arsenal punitif.il doit être condamné pour aider les terroristes à s'installer en Lybie et pour avoir déstabilisé le monde.
Les nouvelles victoires du milliardaire lors du "Super Tuesday" inquiètent outre-Atlantique. La recherche "Comment émigrer au Canada" a explosé la nuit dernière sur Google aux États-Unis.
Donald Trump défie tous les pronostics. Les observateurs de la campagne estimaient que l'homme d'affaires allait s'effondrer lors des primaires, il n'en est rien. Sa posture anti-establishment a encore séduit mardi 1er mars lors du "Super Tuesday". Sur les dix États où des électeurs républicains étaient appelés aux urnes, le milliardaire est ressorti vainqueur dans six. Après ses succès dans le New Hampshire, en Caroline du Sud et dans le Nevada, il est désormais plus que jamais le favori républicain pour la course à la Maison-Blanche. Ted Cruz, pourtant largement distancé, semble être le seul des quatre autres candidats en lice chez les conservateurs à pouvoir lui contester l'investiture.
Ce qui serait plus intéressant, c'est qu'il soit ouvert à une alliance avec la Russie et la Chine
Poutine sur Trump :
Ase
Auteur : J'm'interroge Date : 11 nov.16, 12:27 Message :
marco ducercle a écrit :*Les citoyens américains ne votent pas directement pour le président, mais choisissent quels grands électeurs vont voter pour le candidat de leur camp, et ce dans chacun des 50 États. L'objectif du système des grands électeurs était d'éviter la domination de certains États puissants et très peuplés". Cela donne donc un avantage aux petits États ruraux. D'autant plus que ceux-ci disposent, au minimum, de trois grands électeurs. Actuellement, un électeur du Wyoming dispose d'un poids électoral 3,5 fois plus important qu'un électeur du Texas. Cet état de fait avantage le parti républicain.
On sait tout cela, tu ne nous apprends rien lol !
En faisant une petite recherche, il est facile comprendre comment le verrouillage du système électoral US s'est retourné contre les initiés promus en laissant passer Trump.
D'ailleurs, ce qui me fait bien marrer aussi, c'est que le système de scrutin majoritaire qui est pratiqué pour certaines élections en France risque de même un jour ne plus profiter à ceux pour qui il a été pensé.
marco ducercle a écrit :En France, en 2007 on disait aussi qu'il y aurait une guerre civile si Sarko serait président.
J'm'interroge a écrit :En effet, il n'y a eu qu'une crise bancaire... Et un gros renflouement des banques aux frais des contribuables.
marco ducercle a écrit :Je ne vois pas le rapport avec ce que les Peoples et certains chroniqueurs prédisaient: la guerre entre la France Blanche et les cités.
Comme s'il fallait se soucier de toutes les conneries relayées par les médiats !
___________
@ yacoub,
L'insulte : "t'es islamophobe" avec l'idée que c'est moralement très grave d'être critique envers l'islam, me fait bien rire aussi...
Au nom de quelle idéologie le serait-ce ? Ceux qui la profèrent n'y pensent tout simplement pas.
marco ducercle a écrit :*Les citoyens américains ne votent pas directement pour le président, mais choisissent quels grands électeurs vont voter pour le candidat de leur camp, et ce dans chacun des 50 États. L'objectif du système des grands électeurs était d'éviter la domination de certains États puissants et très peuplés". Cela donne donc un avantage aux petits États ruraux. D'autant plus que ceux-ci disposent, au minimum, de trois grands électeurs. Actuellement, un électeur du Wyoming dispose d'un poids électoral 3,5 fois plus important qu'un électeur du Texas. Cet état de fait avantage le parti républicain.
J'm'interroge a écrit :On sait tout cela, tu ne nous apprends rien lol !
En faisant une petite recherche, il est facile comprendre comment le verrouillage du système électoral US s'est retourné contre les initiés promus en laissant passer Trump.
Donc, tu veux dire qu'il y a bien eu un triche pour Trump?
Auteur : J'm'interroge Date : 12 nov.16, 01:12 Message :
marco ducercle a écrit :Donc, tu veux dire qu'il y a bien eu un triche pour Trump?
Tu es vraiment un sacré tordu pour toujours tout comprendre de travers ! On dirait que c'est une vocation chez toi.
Il y aurait eu une grande incompréhension si les grands électeurs n'avaient pas suivit la tendance de leurs propres électeurs et tu le sais bien si tu n'es pas idiot. Ils ne pouvaient pas faire autrement que suivre.
Le nombre de voix* des citoyens pour un candidat n'est pas déterminant en tant que tel. La triche est possible aux US quand il y a presque égalité entre grands électeurs comme c'est par exemple régulièrement le cas en Floride.
Le fait que quasiment tous les États utilisent la méthode du winner-takes-all ("le vainqueur prend tout") qui attribue en bloc l'intégralité de leurs grands électeurs au candidat ayant reçu la majorité des suffrages permet à une petite triche locale d'avoir un très puissant effet de levier sur les résultats définitifs.
* Note: voix de principe.
(Lorsqu'on parle de triche électorale aux US ce n'est donc pas forcément toujours une suspicion sans fondement, d'autant plus que les votes électroniques sont plus facilement trucables que les votes papiers.)
Auteur : marco ducercle Date : 12 nov.16, 06:13 Message :
marco ducercle a écrit :Donc, tu veux dire qu'il y a bien eu un triche pour Trump?
J'm'interroge a écrit :Tu es vraiment un sacré tordu pour toujours tout comprendre de travers ! On dirait que c'est une vocation chez toi.
Je sais très bien qu'il n'y a pas eu triche avéré. J'ai simplement voulu montrer les limites de ton système de pensée. Trump à dit que si il perdait, c'est que l'élection serait truquée. Il se trouve qu'il a gagné. Un mec normal va se dire que sa victoire prouve le contraire( l'élection n'a pas été truquée). Et bien toi, non. Il faut que jusqu'au bout tu montres qu'il y aurait pu avoir un complot. Bref, tu extrapoles au lieu de prendre acte que le système à fonctionné.
Si j'ai mis en lumière l'exemple de la triche supposé qui n'a pas eu lieu, c'était surtout pour montrer qu'il était capable de très rapidement s'adapter et de ne plus communiquer sur les théories du complot.
Auteur : J'm'interroge Date : 12 nov.16, 22:55 Message :
marco ducercle a écrit :Je sais très bien qu'il n'y a pas eu triche avéré. J'ai simplement voulu montrer les limites de ton système de pensée. Trump à dit que si il perdait, c'est que l'élection serait truquée. Il se trouve qu'il a gagné. Un mec normal va se dire que sa victoire prouve le contraire( l'élection n'a pas été truquée). Et bien toi, non. Il faut que jusqu'au bout tu montres qu'il y aurait pu avoir un complot. Bref, tu extrapoles au lieu de prendre acte que le système à fonctionné.
Encore une fois, je te le redis t'es tordu marco !
Et avant de t'imaginer montrer les limites de ma pensée il te faudrait déjà pouvoir la circonscrire, or je doute que tu en sois capable...
Même remarque quant à tes propos sur Trump : sache que mon ami Donald n'est certainement pas l'idiot que tu t'imagines à tort confondre à travers ta propre idiotie.
Je vais t'expliquer en quoi tu confirmes ici que tu n'es vraiment pas très logique l'ami !
Reprenons :
marco ducercle a écrit :Trump à dit que si il perdait, c'est que l'élection serait truquée.
Proposition de Trump que je transcris ainsi :
"Trump perd => élection truquée".
(Avec le symbole "=>" pour "implique que")
Voilà ce qu'il dit, énonce, sous-entend, implique. Autrement dit : il ne dit, n'énonce, ne sous-entend et n'implique rien d'autre.
Ok ?
Retiens le bien pour la suite :
marco ducercle a écrit :Il se trouve qu'il a gagné. Un mec normal va se dire que sa victoire prouve le contraire( l'élection n'a pas été truquée). Et bien toi, non.
Cela n'a aucun rapport sauf si tu sous-entends que Trump aurait impliqué le contraire à partir de son propos. (Propos de Trump qui est, je le rappelle : "Trump perd => élection truquée".)
Or c'est bien ce que tu sous-entends, en voici la preuve dans ton message écrit le 10 Novembre 2016 à 12:10 :
marco ducercle a écrit :Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Ok ?
Alors, en effet un mec normal le sous-entendra peut-être, impliquant comme toi à tort quelque chose de bizarre ou de contradictoire des propos de Trump, si tu entends bien par "mec normal" un mec comme toi qui n'est pas logique pour un sous, ce qui est hélas assez répandu je le concède, ta norme n'étant pas la mienne...
Je ne dirais donc pas que sa victoire prouve le contraire de ce qu'il a énoncé, tu as raison sur ce point : déjà parce que Trump est supposé être quelqu'un d'intelligent, donc qui ne dit ni ne sous-entend a priori pas n'importe quoi comme tu aimerais peut-être le laisser croire un peu facilement comme tant d'autres lessivés du cerveau ou malintentionnés, et ensuite parce que je suis quelqu'un de logique qui n'implique pas tout et son contraire de ce qui est dit.
Car de la proposition de Trump qui est que "s'il perd, alors c'est que l'élection était truquée" soit "Trump perd => élection truquée", la condition est que Trump perde, or justement l'ami : il n'a pas perdu.
Autrement dit : de "Trump perd => élection truquée" la proposition contraposée est :
"élection non truquée => Trump gagne"
------> Dans la contraposée qui est exactement l'équivalent logique de "Trump perd => élection truquée" la condition devient : "élection non truquée"
Ce n'est donc pas, comme tu le crois à tort et le fait dire à Trump :
"Trump gagne => élections non truquées"
Il y a vraiment des subtilités qui t'échappent marco ! Faudrait sérieusement revoir tes raisonnements et bosser ta logique l'ami !
Tu piges maintenant ? C'est ok ? Car avec ces explications, si tu n'as toujours pas compris ce que je t'expose ici, c'est grave l'ami !
marco ducercle a écrit :Si j'ai mis en lumière l'exemple de la triche supposé qui n'a pas eu lieu, c'était surtout pour montrer qu'il était capable de très rapidement s'adapter et de ne plus communiquer sur les théories du complot.
Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même qu'il n'y avait pas de triche supposée quelque soit le cas, comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui, mais un risque de triche avéré dans le cas où il aurait perdu, c'est ce que ses propos soulignaient et ce n'est en rien contradictoire.
J'ai quelque cours de logiques en PDF si ça te dis.
Auteur : marco ducercle Date : 13 nov.16, 00:16 Message : Je vois que jusqu'au bout il faut que Tu es raison.
Je n'ai jamais prétendu qu'il était idiot. J'ai dit qu'il joué les antisystème, nuance. Donc, avant de penser que je serais incapable de pouvoir circonscrire les limites de ta pensée, analyses bien les contenus des posts.
La phrase-clé du post précédent est: Si j'ai mis en lumière l'exemple de la triche supposé qui n'a pas eu lieu, c'était surtout pour montrer qu'il était capable de très rapidement s'adapter et de ne plus communiquer sur les théories du complot.
[url=hhttp://www.france24.com/fr/20161112-etats-unis ... -obamacare]lien[/url]
Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même qu'il n'y avait pas de triche supposée quelque soit le cas, comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui, mais un risque de triche avéré dans le cas où il aurait perdu, c'est ce que ses propos soulignaient et ce n'est en rien contradictoire.
Toi aussi tout comme Trump tu sais t'adapter. Petite piqure de rappel: Si l'écart entre les deux candidats n'avait pas été si grand, il y aurait certainement eu truquagecomme cela s'est déjà produit aux US.
C'est l'avance de Trump sur Hillary, que personne n'a prévue, pas même Trump lui-même, qui a rendu impossible tout truquage. http://www.forum-religion.org/general/t ... l#p1108694
Auteur : J'm'interroge Date : 13 nov.16, 02:35 Message :
marco ducercle a écrit :Je vois que jusqu'au bout il faut que Tu es raison.
Excuse moi, mais pour le coup : la Logique me donne raison et par conséquent : tu t'es juste planté.
Mais ce n'est pas bien grave.. puisque que 75 % des gens ne savent pas tirer correctement la contraposée d'une proposition logique comportant une implication.
De "A => B" ils en tirent en effet : "non A => non B", au lieu d'en tirer comme il se doit : "non B => non A".
(J'ai des raisons de penser que Trump fait partie comme moi des 15 % d' "anormaux" qui pensent logiquement.)
marco ducercle a écrit :Je n'ai jamais prétendu qu'il était idiot.
Non mais tu le prends bien pour tel, puisque que tu lui fais dire des choses contradictoires qu'il ne dit pas, même implicitement.
marco ducercle a écrit :J'ai dit qu'il joué les antisystème, nuance. Donc, avant de penser que je serais incapable de pouvoir circonscrire les limites de ta pensée, analyses bien les contenus des posts.
Non non ! Là tu dévies du point que je souligne, qui est que tu le présentes comme quelqu'un d'inconsistant dans ses propos.
marco ducercle a écrit :La phrase-clé du post précédent est: Si j'ai mis en lumière l'exemple de la triche supposé qui n'a pas eu lieu, c'était surtout pour montrer qu'il était capable de très rapidement s'adapter et de ne plus communiquer sur les théories du complot.
Bien, de ce que moi je souligne de ce que tu dis, je reprends ton propos : _
marco ducercle a écrit :La phrase-clé du post précédent est: Si j'ai mis en lumière l'exemple de la triche supposé qui n'a pas eu lieu, c'était surtout pour montrer qu'il étaitcapable de très rapidement s'adapteret de ne plus communiquer sur les théories du complot.
_ j'en tire la conclusion que tu te trompes, si tu estimes qu'il y a eu un changement de position quant à ce qu'il énonce sur le trucage des élections ou que ce qu'il en dit est contradictoire.
À la différence de ce que tu voudrais laisser entendre, il n'a jamais sous-entendu que : s'il perd c'est que les élections sont truquées et que s'il gagne c'est qu'elles ne l'auraient jamais été dans le cas que j'expose plus haut et qui n'engage que moi et qui est que si l'écart entre les deux candidats n'avait pas été si grand, il y aurait certainement eu truquage comme cela s'est déjà produit aux US.
J'm'interroge a écrit :Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même qu'il n'y avait pas de triche supposée quelque soit le cas, comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui, mais un risque de triche avéré dans le cas où il aurait perdu, c'est ce que ses propos soulignaient et ce n'est en rien contradictoire.
marco ducercle a écrit :Toi aussi tout comme Trump tu sais t'adapter...
Ah bon ? lol ! Tu admets donc que c'est bien ce que tu impliquais des propos de mon candidat !
Tu te trahis toi-même, pensant sûrement que j'ai dit n'importe quoi plus haut et que ma démonstration n'en est pas une...
Quant au fait que je m'adapterais aussi selon toi, j'observe que ta manière de mettre en gras et en couleur une partie choisie dans un propos est pour le moins amusante et montre encore une fois que tu ne sais pas lire ou qu'en plus de raisonner de travers tu es malhonnête.
Regarde bien :
J'm'interroge a écrit :Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même qu'il n'y avait pas de triche supposée quelque soit le cas, comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui, mais un risque de triche avéré dans le cas où il aurait perdu, c'est ce que ses propos soulignaient et ce n'est en rien contradictoire.
Si tu lisais les phrases non par petits bouts tu aurais compris que je ne disais pas : qu'il n'y avait pas de triche supposée dans un cas OU dans l'autre, comme on aurait pu le comprendre sans lire la précision qui suit dans la phrase, mais qu'il n'y avait pas de triche dans tous les cas, soit dans un cas ET dans l'autre, comme je le précisais bien clairement pourtant en écrivant "comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui", autrement dit encore : "qu'il gagne OU qu'il perde".
Faut donc vraiment revoir ta compréhension marco !
marco ducercle a écrit :Petite piqure de rappel: Si l'écart entre les deux candidats n'avait pas été si grand, il y aurait certainement eu truquagecomme cela s'est déjà produit aux US.
C'est l'avance de Trump sur Hillary, que personne n'a prévue, pas même Trump lui-même, qui a rendu impossible tout truquage. http://www.forum-religion.org/general/t ... l#p1108694
Bien oui, c'est bien ce que je pense mais cela n'engage pas Trump. En tout cas pas d'après ce qu'il a dit et que tu cites.
Je t'invite donc à mieux relire la démonstration dans mon post plus haut.
Les frontistes sont aux anges : Trump vient d’être élu président des États-Unis, alors que tous les instituts de sondage, tous les médias, tous les intellectuels, tous les politiques, bref, toute l’oligarchie était contre lui. Signe que Marine le Pen sera élue en mai 2017 présidente de la République française selon eux. Or c’est tout le contraire.
Les libertariens ont publié le comparatif suivant, qui se passe de commentaires :
Ajoutons tout de même nos commentaires :
Carrière
Marine le Pen est une héritière, elle n’a travaillé dans le privé (en tant qu’avocate) que très peu d’années, elle n’a jamais créé d’entreprise, ni créé des dizaines de milliers d’emplois comme Trump. Elle est sans doute millionnaire par héritage, tandis que Trump est milliardaire par le succès de ses multiples entreprises.
Armes
En effet, Marine le Pen représente tout ce que Donald Trump honnit en terme de lobby anti-arme à feu. Pendant sa campagne, Trump a dit et redit que Paris était la ville où la législation anti-armes était la plus restrictive, or si les gens avaient été armé au Bataclan “les balles auraient été tirées dans les deux sens”, dixit Trump. Marine le Pen n’a jamais défendu le libre droit du port d’armes pour les Français.
Psy
Trump est l’auteur de nombreux best-seller, contrairement à Marine le Pen, dont les livres ne se sont jamais vendus à plus de 5000 exemplaires. Un de ces best-seller, c’est The art of the deal, l’art de la négociation, qui permet à Trump de prendre l’avantage sur tout adversaire politique, commercial ou autre. Marine le Pen ne comprend rien à tout cela, et la meilleure preuve c’est que ses rares alliés comme le SIEL ont quitté le RBM qu’elle avait pourtant fondé il y a des années pour rassembler d’autres partis que le FN.
Quant au réalisme politique, il consiste à voir que les USA sont encore en démocratie, donc que les élections ont encore un sens, comme on vient de le voir, tandis que la France n’est plus en démocratie et que tout est verrouillé par l’oligarchie. Le réalisme consiste donc à dénoncer l’oligarchie dictatoriale et d’appeler ses partisans à son renversement, au lieu d’aller se faire plumer aux élections tout en donnant une légitimité au système qui ne demande que ça.
Économique
Point de divergence majeure en effet, Trump est un maître du capitalisme, il a développé ses entreprises pour en faire une multinationale, tandis que Marine le Pen dénonce un ultra-libéralisme inexistant en France. Elle veut un Etat fort, Trump veut un Etat (fédéral) faible. Inutile d’en rajouter, c’est assez caricatural ainsi.
Quelques autres points de divergence majeure
Médias
Trump est un maître des médias, il a animé pendant 14 ans une émission de télé-réalité, The apprentice, qui lui ont permis de maîtriser les codes télévisuels à la perfection. Et dans le même temps, dès lors qu’il s’est lancé en politique, il s’est mis à dos la totalité des grands médias, papier et télé, les prenant frontalement, comme lors du dîner Al Smith à la fin de sa campagne :
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Même Fox News était contre Trump, à l’exception de quelques présentateurs et leurs émissions, alors que cette chaîne est censé être du côté des Républicains.
Marine le Pen n’a jamais attaqué les médias aussi directement, et les médias ne l’ont jamais attaquée aussi directement qu’ils ont attaqué Trump. Je me suis étonné tant de fois que les médias ne la poussent jamais dans ses retranchements, qu’ils n’aient jamais mis en avant le rôle de Florian Philippot comme son sous-marin avant de venir au FN, ni de son frère et des sondages. Il fallut attendre octobre 2016 pour cela.
En fait les médias ont besoin du FN, pour l’audience, pour faire croire qu’il y a encore du débat et que nous serions en démocratie, ce qui n’est pas le cas.
De son côté, Marine sait qu’elle a besoin des médias, dans lesquels elle passe d’ailleurs constamment, tout comme son n°2 Florian Philippot. Et ces médias sont parfois même très complaisants avec elle, comme récemment Karine Le Marchand.
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Sondages
Trump n’a jamais bénéficié de sondages favorables face à Hillary Clinton, on sait désormais qu’ils étaient totalement biaisés en faveur de sa rivale.
Marine le Pen, par contre, bénéficie du soutien officieux du frère de Florian Philippot, Damien, qui travaille à l’IFOP, comme je l’ai révélé il y a bien longtemps déjà.
Infiltration du parti Républicain
Trump a réalisé un coup de maître en prenant la tête du parti Républicain lors des primaires, tandis que Marine le Pen est l’héritière d’une stratégie vouée à l’échec de troisième parti qui, dans le contexte constitutionnel de la 5ème République, n’a pas plus de chance de remporter l’élection qu’un troisième parti aux Etats-Unis.
D’ailleurs, on pourra noter que le FN tente depuis plus de 40 ans de prendre le pouvoir en échouant à chaque fois, tandis que Trump a réussi du premier coup ! Et lui n’a pas renforcé la gauche, contrairement au FN qui s’est fait instrumentaliser depuis Mitterrand pour faire gagner la gauche.
Infiltration par l’oligarchie
Le FN est infiltré par des agents de l’oligarchie (francs-maçons, énarques, membres LGBT etc.) depuis que Marine le Pen en a pris la direction. Le rapport de forces est de plus en plus en leur faveur, comme on le voit à l’œuvre lors de la Manif pour tous (auquel le FN ne participe pas officiellement) et dans les mesures politiques de plus en plus islamophiles et marxistes.
Trump a pris la tête des Républicains, ridiculisant les membres les plus éminents de l’oligarchie (notamment Jeb Bush) et les obligeant à se prononcer à voter pour Clinton, ce qui les a totalement décrédibilisé et démasqué.
Positionnement politique
Marine le Pen s’est toujours déclarée “à la gauche d’Obama”, donc sur la position de Bernie Sanders.
Certes, certains électeurs de Sanders ont dû voter pour Trump, mais tout de même, l’immense majorité d’entre eux allaient mettre la pagaille dans ses meetings en taxant ses soutiens de fascistes, de racistes, et de nazis.
Marine le Pen n’a jamais été d’extrême-droite, ni de droite, elle est d’extrême-gauche, tandis que Trump est de la vraie droite, anti-avortement (Marine est pour un référendum), pro-armes (Marine est contre), libérale (Marine est marxiste), pour un Etat limité à ses fonctions régaliennes (Marine est pour un Etat fort).
L’islam
Voici sans doute la différence la plus nette entre Trump et Le Pen, le premier ayant mené une campagne principalement axée sur la lutte contre l’islam et l’islamisation, tandis que Marine le Pen fait copain-copain avec les Emirats-Arabes-Unis, le chef d’Al Azhar tout en virant du FN des anti-islam comme Aymeric Chauprade. Cela s’inscrit d’ailleurs dans une attitude islamo-collabo du FN que nous avions analysée en détail.
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Nigel Farage, qui a toujours refusé la main tendue par Marine Le Pen au parlement européen et a tenu à bien se distinguer du FN, est allé prêter main forte à Donald Trump, notamment pour la préparation (décisive) du 2ème débat présidentielle. Il a même participé à une de ses conférences :
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Conclusion
Que Marine le Pen ait souhaité que Trump gagne, et qu’elle se félicite qu’il ait gagné ne suffit pas à rapprocher ces deux personnes et leurs programmes respectifs, et encore moins leurs stratégies. On voit bien à quel point la stratégie de Trump est gagnante, et celle de Le Pen est perdante, ne cessant de contribuer à renforcer le système qu’elle prétend dénoncer quand Trump terrasse le même système.
Qu’attendre d’autre en effet, puisque l’un est multi-milliardaire, auteur de nombreux best-sellers, animateur d’une émission de télévision pendant 14 ans qui a battu tous les succès d’audience, tandis que l’autre est une simple héritière qui n’a quasiment jamais travaillé de sa vie dans le privé, et qui vivait encore chez son père à 40 ans.
Les patriotes qui espèrent une victoire du FN en 2017 et qui voient dans la victoire de Trump des prolégomènes d’une hypothétique victoire du FN se mettent le doigt dans l’œil très profondément, car même si le FN gagnait, il n’aurait aucune base parlementaire pour diriger le pays, contrairement à Trump qui bénéficie de tout l’appareil républicain, et dont l’élection vient même de le renforcer, de telle sorte que son parti a tous les pouvoirs.
Les Etats-Unis sont encore une démocratie, comme on vient de le constater, alors que la France ne l’est plus depuis longtemps, sinon le FN aurait dix ou vingt fois plus de députés qu’il n’en a, et il aurait une chance de remporter l’élection majeure qui détermine toutes les autres.
En fait, à bien y réfléchir, Marine le Pen convient parfaitement à la description que Donald Trump fait des politiciens qu’il combat : “all talk, no action” (beaucoup de blabla, pas de résultats).
Auteur : indian Date : 13 nov.16, 05:45 Message : Trump et ses faillites.. un exemple à suivre...
Auteur : J'm'interroge Date : 13 nov.16, 08:01 Message :
yacoub a écrit :Que Marine le Pen ait souhaité que Trump gagne, et qu’elle se félicite qu’il ait gagné ne suffit pas à rapprocher ces deux personnes et leurs programmes respectifs, et encore moins leurs stratégies. On voit bien à quel point la stratégie de Trump est gagnante, et celle de Le Pen est perdante, ne cessant de contribuer à renforcer le système qu’elle prétend dénoncer quand Trump terrasse le même système.
Pas entièrement faux.
Les patriotes qui espèrent une victoire du FN en 2017 et qui voient dans la victoire de Trump des prolégomènes d’une hypothétique victoire du FN se mettent le doigt dans l’œil très profondément, car même si le FN gagnait, il n’aurait aucune base parlementaire pour diriger le pays, contrairement à Trump qui bénéficie de tout l’appareil républicain, et dont l’élection vient même de le renforcer, de telle sorte que son parti a tous les pouvoirs.
Très juste.
Les Etats-Unis sont encore une démocratie, comme on vient de le constater, alors que la France ne l’est plus depuis longtemps, sinon le FN aurait dix ou vingt fois plus de députés qu’il n’en a, et il aurait une chance de remporter l’élection majeure qui détermine toutes les autres.
Tout-à-fait vrai !
Qu'on ne vienne pas me parler de front républicain ou de démocratie en France !
En fait, à bien y réfléchir, Marine le Pen convient parfaitement à la description que Donald Trump fait des politiciens qu’il combat : “all talk, no action” (beaucoup de blabla, pas de résultats).
Il faudrait lui donner une chance de mettre en pratique son programme en la portant au pouvoir, rien que pour voir si elle correspond à cette description ou pas.
En 2017 ce sera normalement Juppé le rassembleur... Mais je ne voterai ni pour lui ni pour Macron de Rothschild ou Valls le faux-cul lèche-bottes tramblant... Encore moins pour Sarko l'opportuniste qui serait maintenant contre la pensée unique ou Flamby Hollande l'ennemi de la Finance lol ! Alors on verra, je préfère encore Marine la politicienne, y a pas photo.
Auteur : marco ducercle Date : 13 nov.16, 09:50 Message : Lorsque je dis que Trump sait s'adapter, ça veux dire que je prétend qu'il est idiot( De "A => B" ils en tirent en effet : "non A => non B", au lieu d'en tirer comme il se doit : "non B => non A".).
Malheureusement, ne faisant pas parti des 15 % d' "anormaux" qui pensent logiquement. Je ne sais pas comment "logiquement", j'en suis arrivé a laissé penser que j'ai pu sous entendre ça. Après avoir relu mes posts, j'ai eu beau avoir été consulté quelque cours de logiques en PDF , refaire les calculs avec le symbole "=>" pour "implique que", chercher la proposition contraposée. Je n'ai rien trouvé.
Quand soudain la lumière jaillit en relisant ta dernière oeuvre:
Ah bon ? lol ! Tu admets donc que c'est bien ce que tu impliquais des propos demon candidat* !
Tu penses donc que je suis un opposant à ton candidat, alors que pas du tout. Je ne suis ni un opposant, ni un sympathisant. J'ai fait mienne la célèbre devise "Les promesses n’engagent que ceux qui y croient".
Pour moi, il y aura( ça a déjà commencé) une différence entre le candidat révolutionnaire et anti système applaudie par la fashosphère ou le gros raciste conspué par la gauchosphère.
Installé dans le fauteuil du bureau ovale, il deviendra un président classique.
Cela n'a rien avoir avec quelqu'un d'inconsistant dans ses propos, Lorsque j'ai dit qu'il s'adapte, c'est que maintenant qu'il n'est plus candidat, il n'a plus besoin de s'appuyer sur les théories du complot. Ses propos étaient inscrit dans une stratégie bien définie. Il fallait jouer le peuple contre l'establishment et mobiliser ses troupes en jouant les victimes du système. Ce n'est pas le premier à en jouer. Je ne suis même pas persuadé qu'il y croyait lui même, mais force est de constaté que ça a payé.
Bref, tout ça pour dire que la logique ne te sert à rien, si dès le départ ton jugement est faussé. En plus, ta démonstration est vraiment foireuse. Tu seras d'accord qu'il n'a pas demandé de re-contage pour s'assurer qu'il n'y a pas eu de fraude côté démocrate, malgré la victoire. Donc, on est d'accord: il s'adapte.
Où je suis d'accord avec toi, c'est sur ma compréhention: Si tu lisais les phrases non par petits bouts tu aurais compris que je ne disais pas : qu'il n'y avait pas de triche supposée dans un cas OU dans l'autre, comme on aurait pu le comprendre sans lire la précision qui suit dans la phrase, mais qu'il n'y avait pas de triche dans tous les cas, soit dans un cas ET dans l'autre, comme je le précisais bien clairement pourtant en écrivant "comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui", autrement dit encore : "qu'il gagne OU qu'il perde".
Est ce que tu peux me retranscrire cette phrase en français car je n'y ai rien compris?
Je reviens donc à la phrase originale. Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même qu'il n'y avait pas de triche supposée quelque soit le cas, comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui, mais un risque de triche avéré dans le cas où il aurait perdu, c'est ce que ses propos soulignaient et ce n'est en rien contradictoire.
"Bien sûr qu'il existe une fraude à grande échelle pendant et avant le jour de l'élection. Pourquoi les dirigeants républicains nient ce qu'il se passe ? Quelle naïveté !"
Dans ce tweet, il ne parle pas de risque. Il dit clairement qu'il existe une fraude à grande échelle pendant et avant le jour de l'élection.
C'est bien de prendre systématiquement la défense de ton candidat, simplement contrairement à toi, je ne fais pas parti des 15 % des gens qui parlent le trump. Donc, plutôt qu'un cour de logique offre moi un décodeur parce que lorsque quelqu'un dit qu'il existe une fraude, ce n'est pas pareil que si il dit qu'il existe "un risque de fraude". "A =>
Les 10 pays à détruire par les États-Unis dans les quatre prochaines années
Publié par MaRichesse.Com sur 27 Octobre 2016, 09:06am
Catégories : #GUERRE, #MONDE, #ETATS-UNIS
Les 10 pays à détruire par les Etats-Unis dans les quatre prochaines années
Curieuses machines que les Think Tanks washingtoniens. Ils sont à la fois inspirateurs et baromètres des évènements à venir. Pour ces boites à idées, au sein desquelles sont élaborées les grandes lignes de la politique extérieure américaine, la Libye, la Syrie, le Yémen, la mer de Chine du Sud, et l’Ukraine sont déjà du passé. En dehors de quelques ajustements à apporter ici ou là, ils sont passés à autre chose. Ils élaborent déjà des plans pour la politique que devra mener le futur président américain.
Dans une note d’analyse intitulée « Ten countries whose stability can’t be taken for granted », l’un de ces Think tanks, l’American Entreprise Institute (AEI), a défini les dix prochains pays qui représenteront des défis majeurs pour la Maison Blanche dans les quatre prochaines années. Le Think tank considère ces pays comme instables, on sait donc ce que cela implique aux yeux de Washington. En clair, ce sont les pays dans lesquels se dérouleront les futurs chaos. En réalité, ces pays ne sont pas plus instables qu’un autre. Ils n’ont pas eu plus de manifestations de mécontentement populaire que la France, l’Allemagne ou les Etats-Unis. Même plutôt moins que plus pour certains d’entre eux. De même, si l’on excepte la Turquie, les arrestations, lors des manifestations, sont du même ordre, et même plutôt moindres si l’on tient compte du fait que les violences de la part des manifestants dans ces pays, sont souvent téléguidées pour occasionner un conflit ouvert avec les autorités. Il existe cependant une grosse différence entre les manifestants violents. S’ils sont condamnés à Paris, Berlin ou Phoenix, ce sont des voyous, mais deviennent des prisonniers politiques s’ils sont condamnés dans l’un quelconque des pays à déstabiliser.
Voici les dix pays qui préoccupent l’AEI :
1. Les Maldives. Quand on parle des Maldives, les seules images qui nous viennent sont des images de vacances, d’iles paradisiaques. Seulement, les Maldives ont deux particularités. D’une part l’archipel est situé entre la pointe sud de l’Inde et la base américaine Diego Garcia, et d’autre part c’est une république islamique, donc un endroit idéal pour y implanter un embryon d’Etat Islamique. Pour l’instant ces supposés terroristes ne font rien, mais le Think tank prévoit qu’ils feront des enlèvements de touristes. Puisqu’il le dit, nous pouvons être sûrs que ces enlèvements auront lieu.
2. Mauritanie. Une autre République Islamique, comme par hasard. Arrivé au pouvoir grâce à un coup d’état, le président actuel a dû, pour se construire une certaine légitimité, se prêter à des élections validant son coup d’état en préservant les formes. En échange sans doute de cette reconnaissance, il s’est engagé à mener la lutte contre le terrorisme, un terrorisme qui n’existait pas alors en Mauritanie. Le premier acte « terroriste » surviendra peu après. En effet, quand on s’engage à lutter contre le terrorisme, ce ne sont pas seulement les moyens de lutte qui sont fournis, mais les terroristes aussi. Maintenant l’Etat Islamique est bien installé, à cheval entre la Mauritanie, le Mali et l’Algérie. Le Think Tank américain nous dit déjà d’où viendra le chaos. C’est l’esclavage qui sera l’étincelle. Bien que légalement l’esclavage ait été aboli dans ce pays, l’état semble impuissant à faire appliquer les lois, en partie à cause des mentalités, mais également par manque de moyens économiques pour accompagner ces lois. Si l’ONU l’avait vraiment voulu, il y a longtemps que l’esclavage aurait disparu en Mauritanie. Les trois pays limitrophes au nord, le Maroc, l’Algérie et le Mali, habités par les mêmes tribus esclavagistes, n’ont jamais eu à subir ces accusations. Considéré comme refuge du terrorisme (artificiellement implanté), pays pratiquant l’esclavage (c’est un problème aigu socio-économique et sociétal, et non du point de vue du droit), et enfin, rajoute l’AEI, pays de contrebandiers (ils ne disent pas la nature de la contrebande). Selon le Think Tank, la Mauritanie est devenue Afghanistan pré-11.09. Ça risque de chauffer
3. Algérie. C’est l’un des plus gros morceaux. L’un des plus convoités aussi. L’AEI le dit lui-même : l’un des plus riches. Que reproche-t-on à l’Algérie ? Comme pour les deux premiers, le terrorisme. La présence de l’AQMI dans le sud du pays est le prétexte de base. En plus de ce prétexte bateau classique, ils surveillent de près la mort d’Abdelaziz Bouteflika et apparemment, n’ont pas l’intention de laisser la succession se faire sans eux. Selon eux, « l’homme fort de longue date de l’Algérie, partira probablement avant la fin de ces quatre prochaines années ». Ils prédisent dont que le successeur aura à affronter les islamistes radicaux qui pourraient chercher à se venger d’avoir été écartés du pouvoir si longtemps. Là encore, s’ils prédisent qu’il y aura affrontement, il y en aura. Nous avons vu qu’après la guerre de la Libye il y a eu un redéploiement d’Al Qaïda au Nord du Mali et de la Mauritanie et dans le sud algérien. Pour l’instant, les terroristes ne s’aventurent pas trop à l’intérieur du pays, attendant sans doute le coup de sifflet du début des hostilités. Ils ne manqueront pas d’armes puisqu’ils ont puisé tout ce qu’il leur fallait dans l’arsenal libyen. L’AEI annonce déjà une catastrophe pour l’Europe (sous-entendu, il faudra que les Etats-Unis interviennent pour sauver l’Europe une nouvelle fois).
4. Ethiopie. Cette fois, il ne s’agit pas d’Etat Islamique ni d’Al Qaida. L’AEI nous présente l’Ethiopie comme le pays le plus fragile du monde gouverné par un pouvoir autocratique et répressif. Le 9 Octobre, nous publiions un article que nous avions intitulé Alerte ! Nouvelle déstabilisation en cours en Ethiopie. Le Think Tank américain vient confirmer ce que nous disions. Ce pays fait bien partie des pays à déstabiliser. Comme toujours, quand ils ne peuvent invoquer les raisons terroristes, les divisions ethniques et religieuses viennent à la rescousse. Il n’y a pas une seule région au monde en dehors de l’Europe où les ethnies ou les religions n’ont pas été utilisées pour pousser les populations les unes contre les autres. En Ethiopie, pays multiethnique dans lequel l’Islam a toujours côtoyé le Christianisme, ils n’ont pas fait exception. Ils ont déjà calculé que le pays comporte 30% de musulmans dont la croissance démographique est plus rapide que celle des chrétiens, et que cela provoquera, à terme, des conflits inter-religieux. Les troubles ont déjà commencé, et le fond du problème, on le connait : la Chine est là, et bien implantée.
5. Nigeria. Pour ce pays, le plus peuplé d’Afrique, il n’y a rien de nouveau. Ce ne sera que la continuation d’un processus de déstabilisation qui a commencé depuis longtemps. Et là, tous les outils habituels sont activés ; c’est la totale. Terroristes (Boko Haram), pirates transférés de Somalie vers le Golfe de Guinée, problèmes inter-ethniques (il y a 250 ethnies), rebelles armés contre le pouvoir central, et bien sûr, frictions inter-religieuses. En 2014 nous avons assisté au lancement mondial de Boko Haram, avec l’aide de Michelle Obama, avec l’enlèvement spectaculaire de centaines d’écolières. En Aout 2015 nous avions publié un article avec une photo montrant les filles enlevées brandissant une bannière du groupe avec la profession de foi écrite en arabe, mais avec une calligraphie hébraïque, ce qui nous donne des indices sur les origines de ces groupes terroristes. Pour compléter le tableau, l’AEI mentionne dans son étude l’un des problèmes majeurs du Nigeria, la corruption. Selon le Think Tank, le pays aurait perdu 400 milliards $ dus aux malversations et à la corruption depuis 1960, plus que l’aide internationale totale à l’Afrique au cours de la même période. Ce que ne dit pas l’entreprise américaine, c’est que pour 1 dollar qui descend vers le Sud, il y en a au moins 10 qui vont dans les poches des partenaires du nord. Mais, pour les Etats-Unis, un tel pays chargé de tant de tares ne peut qu’appeler à un sauvetage rapide de sa démocratie si fragile, sinon c’est l’Afrique toute entière qui se consumerait.
6. Turquie. La Turquie aussi a un pédigrée chargé. Le problème, c’est qu’avec ce pays membre de l’OTAN, la chose est délicate. Comment se débarrasser du président Recep Tayyip Erdoğan sans démembrer le pays ? L’AEI revient sur le coup d’état avorté de Juillet suivi de sa purge massive et de l’état d’urgence encore en cours. Beaucoup de choses ont déjà été tentées contre Erdogan, mais le fait que l’on veuille éviter le chaos en Turquie semble lui avoir porté chance. Le président turc n’est cependant pas à l’abri d’autres tentatives d’élimination. L’AEI laisse entendre qu’il pourrait y avoir plus de violence à l’horizon. Quoi qu’il en soit l’AEI prévoit un chaos après le départ mort ou vif d’Erdogan, un chaos qu’il convient de prévenir à tout prix.
7. Russie. Pour la Russie, le problème de l’AEI est à la fois simple et compliqué. Il est simple parce qu’il peut se résumer en un nom : Poutine. Une fois Poutine disparu, tout est réglé. Ils pourraient alors reprendre là où ils s’étaient arrêtés avant son arrivée. Mais voilà, Poutine est bien là et ne semble pas disposé à leur faire le plaisir de disparaître. Il reste alors les solutions complexes et elles s’appuient sur les mêmes recettes classiques : terrorisme et religion. Ils comptent sur l’augmentation plus rapide de la population musulmane russe par rapport à la population chrétienne pour attiser les conflits inter-religieux. La Tchétchénie et le Daghestan restent pour eux deux terreaux pour le radicalisme à cultiver et à entretenir. Accessoirement, ils comptent également jouer avec les problèmes ethniques avec la carte des Tatars0. L’AEI pose alors une question : étant donné que les musulmans représentent une proportion croissante de la population des jeunes conscrits, la Russie pourra-t-elle compter sur sa propre armée dans un conflit sectaire ?
8. Arabie Saoudite. L’Arabie Saoudite pourrait devenir un problème très grave pour les Etats-Unis, principalement par leur propre faute. D’une part les Etats-Unis ont renforcé l’Iran face à l’Arabie Saoudite en levant l’embargo, avec, en parallèle, une baisse du prix du pétrole poussant l’économie saoudienne au bord du précipice. D’autre part, la guerre au Yémen se révèle être un bourbier pour le royaume et, pour couronner le tout, le roi saoudien est peut-être atteint de la maladie d’Alzheimer, selon l’AEI. La question pour les Etats-Unis est de savoir si l’Arabie Saoudite sera en mesure de tenir son rôle dans la stabilisation du Moyen-Orient et de l’économie mondiale, en vertu des accords qui les lient. Sinon, des solutions s’imposent.
9. Jordanie. La Jordanie est plus qu’un allié des Etats-Unis, c’est un Israël bis, du moins en ce qui concerne son gouvernement et sa monarchie. Le problème c’est que les Jordaniens sont des arabes qui voient bien ce qui se passe autour d’eux. Selon l’AEI, malgré les dénis du gouvernement jordanien, la Jordanie est en crise aujourd’hui. Les vagues successives de réfugiés ont soumis une énorme pression à l’économie jordanienne. Le roi Abdallah et la reine Rania ne sont pas populaires dans leur pays, même s’ils sont adulés à l’extérieur. Encore une fois, pour reprendre les choses en main, le terrorisme vient au secours des Américains. La grande crainte, c’est qu’après avoir été battus en Irak et en Syrie, les combattants de Daesh affluent vers la Jordanie. Cela nous donne des indications sur la future destination de certains des Daechiens après leur future débâcle.
10. Chine. Le gros morceau pour la fin. L’AEI esquisse quelques vagues traits pour se donner quelques motifs d’espérance, mais la seule solution qu’ils préconisent c’est… d’attendre. Attendre que la Chine s’effondre d’elle-même, comme l’Union Soviétique. Pour cela, ils comptent sur l’inégalité des revenus entre les villes et la campagne qui, pensent-ils, fera bouger la population, et les conséquences futures de la politique de l’enfant unique. Avec ce type de solutions pour l’abattre, la Chine a le temps de voir venir.
Source
Auteur : indian Date : 15 nov.16, 05:51 Message : ''Or you're with us...or you're with them '' -G.W. Bush
Auteur : J'm'interroge Date : 15 nov.16, 08:25 Message :
marco ducercle a écrit :Lorsque je dis que Trump sait s'adapter, ça veux dire que je prétend qu'il est idiot...
Ce n'est pas ce que j'ai dit... C'est très facile de caricaturer, plus difficile de raisonner proprement.
marco ducercle a écrit :Malheureusement, ne faisant pas parti des 15 % d' "anormaux" qui pensent logiquement. Je ne sais pas comment "logiquement", j'en suis arrivé a laissé penser que j'ai pu sous entendre ça. Après avoir relu mes posts, j'ai eu beau avoir été consulté quelque cours de logiques en PDF , refaire les calculs avec le symbole "=>" pour "implique que", chercher la proposition contraposée. Je n'ai rien trouvé.
Il ne s'agissait pas ici de calcul propositionnel...
Si tu fais partie des 15 % cela ne sera pas facile pour toi ! Il te faudra faire des efforts pour progresser.
marco ducercle a écrit :Quand soudain la lumière jaillit [......
........] la célèbre devise "Les promesses n’engagent que ceux qui y croient".
HS.
marco ducercle a écrit :Pour moi, il y aura( ça a déjà commencé) une différence entre le candidat révolutionnaire et anti système applaudie par la fashosphère ou le gros raciste conspué par la gauchosphère.
Installé dans le fauteuil du bureau ovale, il deviendra un président classique.
Être contre l'oligarchie financière ce n'est ni être facho ni être gaucho. C'est la propagande du système qui t'amène à penser ça.
Trump est plus mesuré que l'on veut bien le faire croire, ce n'est pas un extrémiste, c'est juste un vrai patriote qui aussi milliardaire qu'il soit, même si ce n'est par ailleurs que par challenge personnel qu'il le fait, tente de se dresser en héro du peuple américain contre l'oligarchie financière trans- para- et supra-nationale qui fout sa merde partout, je l'ai pressentis assez tôt, je m'en félicite.
Jusqu'où ira-t-il ? L'avenir nous le dira. J'espère juste qu'il n'aura pas un accident d'avion ou un truc du genre... Ou comme pour Kennedy, qu'il sera assassiné...
marco ducercle a écrit :Bref, tout ça pour dire que la logique ne te sert à rien, si dès le départ ton jugement est faussé.
Quel jugement ?
Tu fonctionnes comme ça toi ? Tes jugements influencent-il ta logique ?
marco ducercle a écrit :En plus, ta démonstration est vraiment foireuse. Tu seras d'accord qu'il n'a pas demandé de re-contage pour s'assurer qu'il n'y a pas eu de fraude côté démocrate, malgré la victoire. Donc, on est d'accord: il s'adapte.
Bien non l'ami ! Elle est impeccable et elle démontre bien ce qu'elle démontre.
Pourquoi aurait-il demandé un re-comptage puisqu'il a gagné, t'es stupide ou quoi ?
marco ducercle a écrit :Où je suis d'accord avec toi, c'est sur ma compréhention: Si tu lisais les phrases non par petits bouts tu aurais compris que je ne disais pas : qu'il n'y avait pas de triche supposée dans un cas OU dans l'autre, comme on aurait pu le comprendre sans lire la précision qui suit dans la phrase, mais qu'il n'y avait pas de triche dans tous les cas, soit dans un cas ET dans l'autre, comme je le précisais bien clairement pourtant en écrivant "comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui", autrement dit encore : "qu'il gagne OU qu'il perde".
Est ce que tu peux me retranscrire cette phrase en français car je n'y ai rien compris?
Je reviens donc à la phrase originale. Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même qu'il n'y avait pas de triche supposée quelque soit le cas, comme si dans tous les cas il y en aurait une manifeste selon lui, mais un risque de triche avéré dans le cas où il aurait perdu, c'est ce que ses propos soulignaient et ce n'est en rien contradictoire.
Je vais te réécrire la phrase originale ce sera plus simple... Là voici réécrite :
"Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même que le propos de Trump était clair : il ne supposait pas de triche qu'il gagne ou qu'il perde, mais seulement qu'il y en aurait eu une avérée dans le cas où il perdrait, ce qui non seulement n'est en rien incohérent, mais qui plus est : tout-à-fait réaliste.
Ca va mieux, c'est plus clair ? Tu comprends maintenant ? Car das le cas contraire, ce serait grave !
marco ducercle a écrit :Dans ce tweet, il ne parle pas de risque. Il dit clairement qu'il existe une fraude à grande échelle pendant et avant le jour de l'élection.
Bien il y a déjà celle des résultats de sondages laissant croire à l'électorat d'Hillary qu'elle avait une chance, vue de le mobiliser au maximum dans le but de réduire l'écart entre elle et Trump, n'est-ce pas ?
Afin qu'un trucage soit possible bien sûr... Or ce ne fût pas le cas.
Mais c'est un autre aspect du sujet ça...
marco ducercle a écrit :C'est bien de prendre systématiquement la défense de ton candidat, simplement contrairement à toi, je ne fais pas parti des 15 % des gens qui parlent le trump. Donc, plutôt qu'un cour de logique offre moi un décodeur parce que lorsque quelqu'un dit qu'il existe une fraude, ce n'est pas pareil que si il dit qu'il existe "un risque de fraude". "A =>
La dérision ne vaut pas argument. En simplifiant et en caricaturant comme tu le fais tu ne peux qu'emporter l'assentiment des cons, ce qui n'est pas valorisant...
Fraude il y en avait une (au niveau des sondages), et fraude supplémentaire (électorale par traficotages des résultats) il aurait pu y avoir une en théorie et en pratique, si l'écart entre les pro- Trump et les pro- Hillary n'avait pas été si grand.
Auteur : marco ducercle Date : 15 nov.16, 10:00 Message : [quote="J'm'interroge""]
"marco ducercle" Lorsque je dis que Trump sait s'adapter, ça veux dire que je prétend qu'il est idiot...
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"J'm'interroge" Ce n'est pas ce que j'ai dit ... C'est très facile de caricaturer, plus difficile de raisonner proprement.[/quote]
J'm'interroge a écrit :sache que mon ami Donald n'est certainement pas l'idiot que tu t'imagines à tort confondre à travers ta propre idiotie. #p1109396
marco ducercle a écrit :Je n'ai jamais prétendu qu'il était idiot. #p1109482
J'm'interroge a écrit :Non mais tu le prends bien pour tel, puisque que tu lui fais dire des choses contradictoires qu'il ne dit pas, même implicitement.
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Arrêtes de me parler raisonner proprement alors que t'es même capable d'analyser un post. Ma réponse servait a expliquer que je m'en balance de l'histoire du trucage puisque( pour moi) ça n'était qu'un coup de com pour jouer le peuple contre l'establishment. Donc, ce n'était pas la peine de jouer les mecs pédants avec tes cours de logique puisque le débat n'était pas la!!!
Pourquoi aurait-il demandé un re-comptage puisqu'il a gagné, t'es stupide ou quoi ?
Si il n'as pas demandé de re-comptage, c'est qu'il admet qu'elle n'était pas truqué. Donc c'est lui même qui s'applique "Trump gagne => élections non truquées", car il pourrait très bien avoir gagné alors qu'il y a eu quand même triche côté démocrate. Ça serait histoire d'enfoncer le clou avec Hillary puisqu'il doit l'envoyait en taule.
Regardes qui ton milliardaire anti oligarque a invité à son mariage
"Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même que le propos de Trump était clair : il ne supposait pas de triche qu'il gagne ou qu'il perde, mais seulement qu'il y en aurait eu une avérée dans le cas où il perdrait, ce qui non seulement n'est en rien incohérent, mais qui plus est : tout-à-fait réaliste.
Moi, ce que je comprend surtout, c'est que ça confirme l'analyse du post précédent: il a mobilisé son éléctorat.
La preuve, dans la dernière ligne droite, il n'a pas laissé de place au doute puisqu'il a dit qu'elle était truquée, point barre.
Auteur : Gérard C. Endrifel Date : 15 nov.16, 11:15 Message :
J'm'interroge a écrit :Pourquoi aurait-il demandé un re-comptage puisqu'il a gagné, t'es stupide ou quoi ?
Si je puis me permettre une petite parenthèse, il est intéressant de noter que, et je vais tenter de mesurer mon propos, s'il avait perdu, il aurait sans doute demandé un recomptage pour s'assurer qu'il n'y ait pas eu fraude mais apparemment, pour lui il semblerait que le fait qu'il gagne exclue automatiquement ce risque puisqu'il ne le réclame pas.
Or, s'il est le personnage anti-système qu'il semble être et s'il représente bien la menace dont parle une partie de l'opinion publique, je ferais remarquer qu'il est bien plus intéressant et facile d'éliminer un président élu qu'un candidat sortant ; truquer une élection dans le but de faire gagner quelqu'un que l'on souhaite mettre hors jeu par la suite étant une hypothèse qui n'est peut-être pas judicieusement nécessaire d'exclure systématiquement. Ainsi, la prochaine fois qu'un politique anti-système aurait à nouveau envie de se présenter, des électeurs profondément marqués par l'assassinat du précédent réfléchirait sans doute à deux fois avant de voter pour lui.
Vous faites ainsi d'une pierre deux coups. Votre poulain est sur le trône sans avoir eu besoin de truquer quoi que ce soit.
Est-ce que l'assassinat de Kennedy aurait été justifiable s'il n'avait pas été président ? Aurait-il représenté la même menace ? Probablement pas. Il était par conséquent hypothétiquement bien plus avantageux de le voir président pour finir de convaincre les derniers financeurs récalcitrants à mettre à disposition leurs moyens personnels permettant son élimination ou tout du moins à l'autoriser.
Oh bien sûr je spécule énormément mais je tenais à essayer d'expliquer en quoi je ne trouverais pas stupide de demander un recomptage en cas de victoire si j'étais du genre anti-système au point de représenter une sérieuse menace pour les intérêts mondiaux de quelques personnes de l'ombre.
Auteur : indian Date : 15 nov.16, 11:38 Message : Il a demandé un recomptage, car le soir même des élections le vote populaire allait pour Clinton...
Bien que le vote du college electoral gagné par Trump le rendait élu présindent, de toute facon...
Mais ca enleve un peu de légitimité de ne pas avoir la majorité au nombre.
Anyway la ''pseudo-pas rigolo oligarche-démocratique'' US.. c'est gangrénné par les $$$
Auteur : yacoub Date : 15 nov.16, 23:21 Message :Les chrétiens américains face à Donald Trump
La majorité des chrétiens américains, évangéliques et catholiques, ont voté pour le candidat républicain Donald Trump. Le Saint-Siège attend de « voir comment évolue le président ». Sur le terrain, des chrétiens s’inquiètent des nouvelles tensions raciales dans la société.
Donald Trump a assisté à une messe à l'église internationale de Las Vegas, le dimanche 30 octobre 2016.
Le nouveau président des États-Unis a rassemblé plus de 80 % des voix des évangéliques blancs. Déjouant les pronostics, les catholiques américains ont également voté majoritairement pour le candidat républicain. Les électeurs sans religion ont largement choisi Hillary Clinton.
À l’annonce de l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, le secrétaire d’État du Saint-Siège a particulièrement insisté sur le rôle du pays « pour le bien-être et la paix dans le monde » et attend de « voir comment évolue le président ». Les relations entre le Saint-Siège et Donald Trump avaient connu un précédent tandis que le pape avait jugé le candidat dans sa position vis-à-vis de son projet de bâtir un mur à la frontière mexicaine.
La conférence épiscopale américaine, dont le nouveau président, le cardinal Daniel Dinardo, archevêque de Galveston-Houston, a été élu le mardi 15 novembre, doit se situer devant la nouvelle donne politique du pays et opter pour une ligne axée sur les questions d’immigration, d’environnement et de lutte contre le racisme ou bien garder ses priorités sur les questions sociétales et de défense de la vie, afin de pousser la nouvelle administration à tenir les engagements en la matière du candidat Trump.
Auteur : marco ducercle Date : 16 nov.16, 05:34 Message :
Gérard C. Endrifel a écrit :
Est-ce que l'assassinat de Kennedy aurait été justifiable s'il n'avait pas été président ? Aurait-il représenté la même menace ? Probablement pas. Il était par conséquent hypothétiquement bien plus avantageux de le voir président pour finir de convaincre les derniers financeurs récalcitrants à mettre à disposition leurs moyens personnels permettant son élimination ou tout du moins à l'autoriser.
Bien sur qu'il a été assassiné parce qu'il était président. Mais la thèse la plus probable, c'est qu'il a été tué par la mafia pour ne pas avoir respecté ses engagements: il a été élu grâce aux voix de la Mafia dans l'Ilinois et une foi élu, il a mit son frère ministre de la justice qui leur fit la guerre.
Auteur : J'm'interroge Date : 16 nov.16, 09:40 Message :
marco ducercle a écrit :Arrêtes de me parler raisonner proprement alors que t'es même capable d'analyser un post. Ma réponse servait a expliquer que je m'en balance de l'histoire du trucage puisque( pour moi) ça n'était qu'un coup de com pour jouer le peuple contre l'establishment. Donc, ce n'était pas la peine de jouer les mecs pédants avec tes cours de logique puisque le débat n'était pas la!!!
Ecoute, tu as supposé à tort chez Trump des propos contradictoires alors que tu ne sais pas toi-même tirer la contraposée d'une proposition contenant une implication logique, ce qui te discrédite donc sur toute la ligne, ce que j'ai montré.
En fait, tu parles dans une grande confusion de plusieurs choses en lieu et place d'une seule et d'une seule chose en lieu et place de plusieurs, afin probablement de tenter de noyer le poisson plus ou moins consciemment, te faisant du même coup donner dans le hors-sujet quant à ce que je souligne.
Donc, je pense plutôt que je n'analyse que trop bien des posts, puisque je repère tes incohérences ou sophismes selon que tu sois inconséquent ou malhonnête.
J'm'interroge a écrit :Pourquoi aurait-il demandé un re-comptage puisqu'il a gagné, t'es stupide ou quoi ?
marco ducercle a écrit :Si il n'as pas demandé de re-comptage, c'est qu'il admet qu'elle n'était pas truqué....
J'ai déjà répondu à ce sujet. Visiblement, tu n'as pas compris...
Qu'il redemande ou non un re-comptage suite à son élection n'est logiquement parlant : absolument pas lié au propos tenu avant, évoquant le cas où il aurait perdu, propos qui était je le rappelle : "Trump perd => élection truquée".
Par conséquent, rien ne te permet en toute logique de supposer que Trump raisonnerait de travers, sauf à considérer qu'il est serait aussi inconséquent que toi, ce que je ne pense pas qu'il soit.
marco ducercle a écrit :Donc c'est lui même qui s'applique "Trump gagne => élections non truquées", car il pourrait très bien avoir gagné alors qu'il y a eu quand même triche côté démocrate...
Donc non ! Ça c'est toi qui le dis, pas lui.
Tu t'enfonces là...
Car même si c'est peut être le cas : qu'il s'applique en effet ce ""Trump gagne => élections non truquées" après coup une fois remporté les élections, là n'est pas la question car cela n'infirme en rien ce qu'il avait dit avant, l'un et l'autre propos n'étant pas contradictoires.
C'est juste que du propos avant résultat : "Trump perd => élection truquée" (qu'il gagne ou qu'il perde peu importe), tu ne peux absolument pas impliquer a priori le propos "Trump gagne => élections non truquées".
(Même, un enfant peut aisément comprendre lorsqu'il est logique : que dans le cas où il gagne, le cas où il perd ne s'est pas produit...)
Donc, rien ne te permet logiquement parlant de supposer que Trump impliquait lui-même ce que tu lui fais dire lorsqu'il formulait son propos avant élection, puisque la Logique elle-même l'interdit.
C'est pourquoi je dis que tu ne peux le supposer que si tu supposes au préalable que Trump ne dit que ce qui l'arrange au moment où il le dit, quitte à dire une chose et son contraire en terme de vérité.
Autrement dit : le fait qu'il change d'avis quant à ce qu'il décide de faire par adaptation, ne dément en rien ses facultés logiques et d'analyse. Ce serait plutôt même le contraire en un certain sens.
marco ducercle a écrit :Trump à dit que si il perdait, c'est que l'élection serait truquée. Il se trouve qu'il a gagné. Un mec normal va se dire que sa victoire prouve le contraire (l'élection n'a pas été truquée). Et bien toi, non. Il faut que jusqu'au bout tu montres qu'il y aurait pu avoir un complot. Bref, tu extrapoles au lieu de prendre acte que le système à fonctionné.
Encore une fois, je te le redis t'es tordu marco !
Et avant de t'imaginer montrer les limites de ma pensée il te faudrait déjà pouvoir la circonscrire, or je doute que tu en sois capable...
Même remarque quant à tes propos sur Trump : sache que mon ami Donald n'est certainement pas l'idiot que tu t'imagines à tort confondre à travers ta propre idiotie.
Je vais t'expliquer en quoi tu confirmes ici que tu n'es vraiment pas très logique l'ami !
Reprenons :
marco ducercle a écrit :Trump à dit que si il perdait, c'est que l'élection serait truquée.
Proposition de Trump que je transcris ainsi :
"Trump perd => élection truquée".
(Avec le symbole "=>" pour "implique que")
Voilà ce qu'il dit, énonce, sous-entend, implique. Autrement dit : il ne dit, n'énonce, ne sous-entend et n'implique rien d'autre EN DISANT CELA.
Ok ?
Retiens le bien pour la suite :
marco ducercle a écrit :Il se trouve qu'il a gagné. Un mec normal va se dire que sa victoire prouve le contraire (l'élection n'a pas été truquée). Et bien toi, non.
Cela n'a aucun rapport sauf si tu sous-entends que Trump aurait impliqué le contraire à partir de son propos. (Propos de Trump qui est, je le rappelle : "Trump perd => élection truquée".)
Or c'est bien ce que tu sous-entends, en voici la preuve dans ton message écrit le 10 Novembre 2016 à 12:10 :
marco ducercle a écrit :Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Ok ?
Alors, en effet, un mec normal le sous-entendra peut-être, impliquant comme toi à tort quelque chose de bizarre ou de contradictoire des propos de Trump, si tu entends bien par "mec normal" un mec comme toi qui n'est pas logique pour un sous, ce qui est hélas assez répandu je le concède, ta norme n'étant pas la mienne...
Je ne dirais donc pas que sa victoire prouve le contraire de ce qu'il a énoncé, tu as raison sur ce point : déjà parce que Trump est supposé être quelqu'un d'intelligent, donc qui ne dit ni ne sous-entend a priori pas n'importe quoi comme tu aimerais peut-être le laisser croire un peu facilement comme tant d'autres lessivés du cerveau ou malintentionnés, et ensuite parce que je suis quelqu'un de logique qui n'implique pas tout et son contraire de ce qui est dit.
Car de la proposition de Trump qui est que "s'il perd, alors c'est que l'élection était truquée" soit que "Trump perd => élection truquée", la condition est que Trump perde, or justement l'ami : il n'a pas perdu.
Autrement dit : de "Trump perd => élection truquée" la proposition contraposée est :
"élection non truquée => Trump gagne"
------> Elle est exactement l'équivalent logique de "Trump perd => élection truquée."
Or ici, ce que prévoit la Logique c'est que la condition devient : "élection non truquée."
Ce n'est donc pas, comme tu le crois à tort et le fait dire à Trump :
"Trump gagne => élections non truquées"
Il y a vraiment des subtilités qui t'échappent marco ! Faudrait sérieusement revoir tes raisonnements et bosser ta logique l'ami !
Tu piges maintenant ? C'est ok ? Car avec ces explications, si tu n'as toujours pas compris ce que je t'expose ici, c'est grave l'ami !
marco ducercle a écrit :Si j'ai mis en lumière l'exemple de la triche supposé qui n'a pas eu lieu, c'était surtout pour montrer qu'il était capable de très rapidement s'adapter et de ne plus communiquer sur les théories du complot.
"Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même que le propos de Trump était clair : il n'impliquait pas une triche qu'il gagne ou qu'il perde, mais seulement qu'il y en aurait eu une avérée dans le cas où il perdrait, ce qui non seulement n'est en rien incohérent, mais qui plus est : tout-à-fait réaliste.
J'ai toujours à disposition quelque cours de logiques en PDF si ça te dis.
"Si tu as compris mes explications, tu comprendras par toi même que le propos de Trump était clair : il n'impliquait pas une triche qu'il gagne ou qu'il perde, mais seulement qu'il y en aurait eu une avérée dans le cas où il perdrait, ce qui non seulement n'est en rien incohérent, mais qui plus est : tout-à-fait réaliste.
marco ducercle a écrit :Moi, ce que je comprend surtout, c'est que ça confirme l'analyse du post précédent: il a mobilisé son éléctorat.
La preuve, dans la dernière ligne droite, il n'a pas laissé de place au doute puisqu'il a dit qu'elle était truquée, point barre.
Et alors ? Cela prouve-t-il que ce soit un idiot qui ne raisonne pas logiquement ?
_______________
J'm'interroge a écrit :Pourquoi aurait-il demandé un re-comptage puisqu'il a gagné, t'es stupide ou quoi ?
Gérard C. Endrifel a écrit :Si je puis me permettre une petite parenthèse, il est intéressant de noter que, et je vais tenter de mesurer mon propos, s'il avait perdu, il aurait sans doute demandé un recomptage pour s'assurer qu'il n'y ait pas eu fraude mais apparemment, pour lui il semblerait que le fait qu'il gagne exclue automatiquement ce risque puisqu'il ne le réclame pas.
Bien c'est difficile à dire, puisqu'il ne s'est à ma connaissance pas exprimé à ce sujet. C'est possible en tout cas.
Gérard C. Endrifel a écrit :Or, s'il est le personnage anti-système qu'il semble être et s'il représente bien la menace dont parle une partie de l'opinion publique, je ferais remarquer qu'il est bien plus intéressant et facile d'éliminer un président élu qu'un candidat sortant ; truquer une élection dans le but de faire gagner quelqu'un que l'on souhaite mettre hors jeu par la suite étant une hypothèse qui n'est peut-être pas judicieusement nécessaire d'exclure systématiquement.
Je ne l'exclue pas mais elle me paraît néanmoins très peu probable, car il y a des milliers de moyens d'assassiner quelqu'un sans que cela se sache.
Gérard C. Endrifel a écrit :Est-ce que l'assassinat de Kennedy aurait été justifiable s'il n'avait pas été président ?
Aurait-il représenté la même menace ? Probablement pas. Il était par conséquent hypothétiquement bien plus avantageux de le voir président pour finir de convaincre les derniers financeurs récalcitrants à mettre à disposition leurs moyens personnels permettant son élimination ou tout du moins à l'autoriser.
Kennedy a été assassiné publiquement pour lancer un message clair aux futurs hypothétiques présidents américains qui auraient l'idée de suivre comme lui le chemin de la dissidence et de la liberté en proposant de faire une loi visant à affranchir les Etats-Unis de l'emprise de la FED.
Mais je le répète : pour assassiner quelqu'un, même si c'est un président, ce n'est pas très compliqué si l'on veut, en tout cas dès que l'on dispose d'un minimum de moyen... Et il n'y a pas besoin de faire un référendum national pour cela...
Les assassinats politiques connus ont généralement une marque de signature qui sert de message à l'attention de qui la connaissent.
Auteur : Gérard C. Endrifel Date : 16 nov.16, 12:00 Message :
Gérard C. Endrifel a écrit :Or, s'il est le personnage anti-système qu'il semble être et s'il représente bien la menace dont parle une partie de l'opinion publique, je ferais remarquer qu'il est bien plus intéressant et facile d'éliminer un président élu qu'un candidat sortant ; truquer une élection dans le but de faire gagner quelqu'un que l'on souhaite mettre hors jeu par la suite étant une hypothèse qui n'est peut-être pas judicieusement nécessaire d'exclure systématiquement.
J'm'interroge a écrit :Je ne l'exclue pas mais elle me paraît néanmoins très peu probable, car il y a des milliers de moyens d'assassiner quelqu'un sans que cela se sache.
C'est pas faux.
Il y avait aussi des milliers de moyen de mamailler secrètement en 2001 pour obtenir une guerre en Irak ou en Afghanistan sans avoir besoin de faire péter le World Trace Center, c'est néanmoins cette option là qui a été choisi. Pourquoi ? Pour frapper de stupeur l'opinion publique internationale.
On ne manipule personne quand on assassine "quelqu'un sans que cela se sache", ça n'a clairement pas le même impact, ça ne laisse pas la même empreinte dans l'histoire.
Est-ce que cela aurait eu le même impact si Kennedy avait été assassiné en douce ? Non, d'ailleurs toi-même tu dis que "Kennedy a été assassiné publiquement pour lancer un message clair aux futurs hypothétiques présidents américains qui auraient l'idée de suivre comme lui le chemin de la dissidence et de la liberté en proposant de faire une loi visant à affranchir les Etats-Unis de l'emprise de la FED."
Personnellement, si je veux lancer un message fort et clair à de futurs petits malins républicains ou démocrates qui voudraient aussi à l'avenir se la jouer anti-oligarchie mondiale et si je voulais, en passant, manipuler l'opinion publique pour leur faire passer l'envie d'en élire un autre, je n'hésiterais pas à en laisser volontairement un gagner, quitte à "l'aider" pour ça en truquant les votes, et ensuite lui en coller une bien comme il faut devant tout le monde.
Et compte tenu des discours qu'à tenu Trump, des boucs émissaires destinés à endosser la responsabilité du meurtre à la place des vrais commanditaires, il y en a déjà toute une tripotée.
Enfin bon, espérons quand même l'avenir ne me donne pas raison et que ma théorie reste cantonnée au rang de farfelue et bizarroïde, ça m'embêterait de voir des cœurs brisés sur ce forum à l'annonce de l'assassinat de leur candidat
C'est tout pour moi, "vous pouvez reprendre une activité normale, à ciao bonsoir"
Auteur : J'm'interroge Date : 16 nov.16, 22:59 Message :
Gérard C. Endrifel a écrit :Or, s'il est le personnage anti-système qu'il semble être et s'il représente bien la menace dont parle une partie de l'opinion publique, je ferais remarquer qu'il est bien plus intéressant et facile d'éliminer un président élu qu'un candidat sortant ; truquer une élection dans le but de faire gagner quelqu'un que l'on souhaite mettre hors jeu par la suite étant une hypothèse qui n'est peut-être pas judicieusement nécessaire d'exclure systématiquement.
J'm'interroge a écrit :Je ne l'exclue pas mais elle me paraît néanmoins très peu probable, car il y a des milliers de moyens d'assassiner quelqu'un sans que cela se sache.
Gérard C. Endrifel a écrit :C'est pas faux.
C'est même très vrai.
Gérard C. Endrifel a écrit :Il y avait aussi des milliers de moyen de mamailler secrètement en 2001 pour obtenir une guerre en Irak ou en Afghanistan sans avoir besoin de faire péter le World Trace Center, c'est néanmoins cette option là qui a été choisi. Pourquoi ? Pour frapper de stupeur l'opinion publique internationale.
Il y avait aussi là une opération symbolique.
On peut voir également les événements du 11/9 comme une sorte de cérémonie inaugurale à connotation satanique* de très grande ampleur.
* Note : ne pas se tromper sur le sens.
Gérard C. Endrifel a écrit :On ne manipule personne quand on assassine "quelqu'un sans que cela se sache", ça n'a clairement pas le même impact, ça ne laisse pas la même empreinte dans l'histoire.
Voilà, c'est tout-à-fait ça.
Gérard C. Endrifel a écrit :Est-ce que cela aurait eu le même impact si Kennedy avait été assassiné en douce ? Non, d'ailleurs toi-même tu dis que "Kennedy a été assassiné publiquement pour lancer un message clair aux futurs hypothétiques présidents américains qui auraient l'idée de suivre comme lui le chemin de la dissidence et de la liberté en proposant de faire une loi visant à affranchir les Etats-Unis de l'emprise de la FED."
D'ailleurs cela a fonctionné : le message est bien passé jusqu'à aujourd'hui...
Gérard C. Endrifel a écrit :Personnellement, si je veux lancer un message fort et clair à de futurs petits malins républicains ou démocrates qui voudraient aussi à l'avenir se la jouer anti-oligarchie mondiale et si je voulais, en passant, manipuler l'opinion publique pour leur faire passer l'envie d'en élire un autre, je n'hésiterais pas à en laisser volontairement un gagner, quitte à "l'aider" pour ça en truquant les votes, et ensuite lui en coller une bien comme il faut devant tout le monde.
Et compte tenu des discours qu'à tenu Trump, des boucs émissaires destinés à endosser la responsabilité du meurtre à la place des vrais commanditaires, il y en a déjà toute une tripotée.
Bien écoute, c'est possible.
D'ailleurs, comme le disait Franklin Delano Roosevelt, 32 ème président américain :
"En politique, rien n’arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon."
Gérard C. Endrifel a écrit :Enfin bon, espérons quand même l'avenir ne me donne pas raison et que ma théorie reste cantonnée au rang de farfelue et bizarroïde...
Ce qui est sûr c'est que s'il reste sur sa ligne, Trump est clairement en danger de mort.
Gérard C. Endrifel a écrit :ça m'embêterait de voir des cœurs brisés sur ce forum à l'annonce de l'assassinat de leur candidat
S'il se fait publiquement assassiner, même par un fanatique homo ou que sais-je ?, cela risque surtout de foutre en boule grave les anti-système-oligarchique-mondial de toute nation, américaine ou autre, de les confirmer dans leurs idées et dans leur cause.
Alors c'est à double tranchants, à moins que l'on veuille susciter des émeutes et un possible massacre.
Gérard C. Endrifel a écrit :C'est tout pour moi, "vous pouvez reprendre une activité normale, à ciao bonsoir"
Difficile de reprendre une activité autre que normale, en fait...
Auteur : ultrafiltre2 Date : 16 nov.16, 23:23 Message :
Gérard C. Endrifel a écrit :Est-ce que cela aurait eu le même impact si Kennedy avait été assassiné en douce ? Non, d'ailleurs toi-même tu dis que "Kennedy a été assassiné publiquement pour lancer un message clair aux futurs hypothétiques présidents américains qui auraient l'idée de suivre comme lui le chemin de la dissidence et de la liberté en proposant de faire une loi visant à affranchir les Etats-Unis de l'emprise de la FED."
il a été assassiné par un solitaire (un illuminé dont la vie était morose et qui s'ennuyait) : la version officielle n'est pas très "sexy" mais elle est exacte
personne n'a commandité ce meurtre alors arrêtez de voir des complots partout ...ça fait belle lurette que les politiciens ne sont plus assez intelligents pour planifier des choses
Auteur : marco ducercle Date : 17 nov.16, 09:03 Message :
J'm'interroge a écrit :
Ecoute, tu as supposé à tort chez Trump des propos contradictoires alors que tu ne sais pas toi-même tirer la contraposée d'une proposition contenant une implication logique, ce qui te discrédite donc sur toute la ligne, ce que j'ai montré.
En fait, tu parles dans une grande confusion de plusieurs choses en lieu et place d'une seule et d'une seule chose en lieu et place de plusieurs, afin probablement de tenter de noyer le poisson plus ou moins consciemment, te faisant du même coup donner dans le hors-sujet quant à ce que je souligne.
Tu parles de noyer le poisson?
Alors pourquoi avoir dissocier les deux phrases du post #p1108169?
Ai je eu une autre démonstration logique comme réponse à ?:
"Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité."
La réponse que j'ai eu est: J'ai entendu aux infos qu'Obama avait explicitement demandé à Trump lors de son "excellente conversation" avec lui, une confirmation du fait il la laisserait tranquille sans quoi la transition ne se ferait pas d'une bonne manière...
Personnellement, je n'ai jamais entendu cette info. Ou c'est toi qui l'a inventé. Ou alors ta réponse confirme mon analyse puisqu' à peine élu, monsieur se plie déjà aux instructions de l'establishment.
C'est donc un président normal
Qu'il redemande ou non un re-comptage suite à son élection n'est logiquement parlant : absolument pas lié au propos tenu avant, évoquant le cas où il aurait perdu, propos qui était je le rappelle : "Trump perd => élection truquée".
Par conséquent, rien ne te permet en toute logique de supposer que Trump raisonnerait de travers, sauf à considérer qu'il est serait aussi inconséquent que toi, ce que je ne pense pas qu'il soit.
C'est la qu'on voit que tu ne comprends rien. Je n'ai jamais dit qu'il pense de travers, ce que je dis, c'est qu'il a eu une stratégie de campagne. Lorsque que Hollande a dit qu'il n'aimait pas les riches, que Chirac allait combattre la fracture sociale ou que Sarkozy doublera les frites, on dit qu'ils sont idiots et qu'ils raisonnent de travers?
C'est pourquoi je dis que tu ne peux le supposer que si tu supposes au préalable que Trump ne dit que ce qui l'arrange au moment où il le dit, quitte à dire une chose et son contraire en terme de vérité.
Autrement dit : le fait qu'il change d'avis quant à ce qu'il décide de faire par adaptation, ne dément en rien ses facultés logiques et d'analyse. Ce serait plutôt même le contraire en un certain sens.
La logique c'est infaillible marco !
A ben, tu viens enfin de comprendre la ou je voulais en venir. C'est un politicien comme les autres( cynisme et rognage). Tu aurais gagné du temps sans allé chercher des PDF de logique, juste en essayant d'analyser plutôt que de vouloir jouer les profs pédants.
Auteur : J'm'interroge Date : 17 nov.16, 23:11 Message :
J'm'interroge a écrit :Ecoute, tu as supposé à tort chez Trump des propos contradictoires alors que tu ne sais pas toi-même tirer la contraposée d'une proposition contenant une implication logique, ce qui te discrédite donc sur toute la ligne, ce que j'ai montré.
En fait, tu parles dans une grande confusion de plusieurs choses en lieu et place d'une seule et d'une seule chose en lieu et place de plusieurs, afin probablement de tenter de noyer le poisson plus ou moins consciemment, te faisant du même coup donner dans le hors-sujet quant à ce que je souligne.
marco ducercle a écrit :Tu parles de noyer le poisson?
Alors pourquoi avoir dissocier les deux phrases du post #p1108169?
Je les ai dissociées car l'une porte sur la logique du bonhomme (et sur ce point tu te trompes), l'autre sur sa constance.
marco ducercle a écrit :Ai je eu une autre démonstration logique comme réponse à ?:
"Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité."
Là Trump montre juste en le disant clairement qu'il a changé d'avis, s'étant entre temps adapté à la situation. Je n'ai pas réagi à cette phrase car le fait qu'il change d'avis ne remet pas en cause sa bonne logique, mais la crédibilité de sa parole quand il dit qu'il va faire quelque chose.
Mais bon, faut attendre un peu, peut-être qu'il va quand même la faire mettre en taule qui sait ?
marco ducercle a écrit :La réponse que j'ai eu est: J'ai entendu aux infos qu'Obama avait explicitement demandé à Trump lors de son "excellente conversation" avec lui, une confirmation du fait il la laisserait tranquille sans quoi la transition ne se ferait pas d'une bonne manière...
Personnellement, je n'ai jamais entendu cette info. Ou c'est toi qui l'a inventé.
Je sais bien ce que j'ai entendu. C'était le jour même sur France Info ou BFM je ne sais plus, France Info je crois.
marco ducercle a écrit :Ou alors ta réponse confirme mon analyse puisqu' à peine élu, monsieur se plie déjà aux instructions de l'establishment.
C'est donc un président normal
Normal, je n'irais pas jusque là. C'est un homme raisonnable, qui de plus pense logiquement, point sur lequel tu ne peux pas le juger, étant donné que tu ne sais pas tirer la contraposée d'une proposition comportant une implication, prenant vraisemblablement l'implication que contenait la proposition de Trump pour une équivalence.
J'm'interroge a écrit :Qu'il redemande ou non un re-comptage suite à son élection n'est logiquement parlant : absolument pas lié au propos tenu avant, évoquant le cas où il aurait perdu, propos qui était je le rappelle : "Trump perd => élection truquée".
Par conséquent, rien ne te permet en toute logique de supposer que Trump raisonnerait de travers, sauf à considérer qu'il est serait aussi inconséquent que toi, ce que je ne pense pas qu'il soit.
marco ducercle a écrit :C'est la qu'on voit que tu ne comprends rien. Je n'ai jamais dit qu'il pense de travers, ce que je dis, c'est qu'il a eu une stratégie de campagne.
Bein, j'ai bien compris que tu t'es planté en impliquant de la propsition de Trump : "Trump perd => élection truquée", la proposition : "Trump gagne => élection non truquée".
Or, impliquer cela de ce qu'il a dit, c'est penser qu'il suppose un truc plus con que ce qu'il dit. (Autrement dit : c'est un peu le prendre pour un con alors que c'est toi qui raisonnes avec un biais cognitif.)
Donc tu ne le dis peut-être pas, mais tu l'impliques, ce qui signifie que tu le penses.
marco ducercle a écrit :Lorsque que Hollande a dit qu'il n'aimait pas les riches, que Chirac allait combattre la fracture sociale ou que Sarkozy doublera les frites, on dit qu'ils sont idiots et qu'ils raisonnent de travers?
Il n'y a logiquement parlant rien de contradictoire a priori dans ces propositions. À elles seules elles ne permettent pas de dire si leur auteur raisonne de travers ou non.
Sache aussi que rien n'est faux dans l'absolu s'il ne présente pas une contradiction interne.
Donc, comment juger dans ce cas si c'est idiot ou pas ?
Et ne pas aimer les riches est-ce un sentiment ou un jugement ?
Dire ce qu'on va faire est-ce un raisonnement ?
Tu comprendras aussi que si quelqu'un d'intelligent ne dira évidemment pas à partir de ces seuls éléments de discours qu'ils sont idiots et raisonnent de travers, il le dira en revanche très certainement si ces mêmes individus se contredisent dans une analyse objective ou sur des vérités conceptuelles, ou encore si comme toi ils impliquent de faits ou de propositions logiques des choses qu'ils ne sont pas en droit d'impliquer logiquement.
(C'est presque encore pire que lorsque tu ne considères que les faits qui s'accordent avec tes présupposés et par conséquent tes conclusions, lorsque tu pèches par le biais de confirmation.)
J'm'interroge a écrit :C'est pourquoi je dis que tu ne peux le supposer que si tu supposes au préalable que Trump ne dit que ce qui l'arrange au moment où il le dit, quitte à dire une chose et son contraire en termes de vérité.
Autrement dit : le fait qu'il change d'avis quant à ce qu'il décide de faire par adaptation, ne dément en rien ses facultés logiques et d'analyse. Ce serait plutôt même le contraire en un certain sens.
La logique c'est infaillible marco !
marco ducercle a écrit :A ben, tu viens enfin de comprendre la ou je voulais en venir. C'est un politicien comme les autres( cynisme et rognage). Tu aurais gagné du temps sans allé chercher des PDF de logique, juste en essayant d'analyser plutôt que de vouloir jouer les profs pédants.
Ce que tu as dis ce n'était pas exactement cela, mais si c'est bien ce que tu voulais dire, oui, Trump est comme les autres sur ce point et peut-être même pire que certains autres.
Mais de là à dire que c'est un politique comme les autres de ce seul fait, alors là je ne peux pas être d'accord avec toi.
Il est comme les autres (voire pire...) sur ce point précis. Pour le reste il faut voir, attendre et prendre en considération d'autres critères pour pouvoir trancher.
Auteur : marco ducercle Date : 18 nov.16, 04:37 Message :Autant pour moi, malgré son élection il reconnait que le système électoral est bien truqué
D’après les derniers décomptes disponibles des votes, “Hillary Clinton devance Donald Trump de 668 483 voix”, annonce CNN. Si l’on en croit le New York Times, l’écart pourrait atteindre deux millions de voix, soit 1,5 % d’avance, une fois le dépouillement achevé.
Au cours de la campagne, Donald Trump avait qualifié, sur Twitter, le processus d’élection présidentielle de “désastre pour la démocratie” et avait annoncé que le scrutin était déjà truqué. Interrogé le 13 novembre sur cette question, le futur président américain a sous-entendu qu’il pouvait comprendre l’appel des supporters de Clinton à ce que le vote populaire – plutôt que celui du collège électoral – soit pris en compte pour la présidentielle, rapporte The International Business Times. “Je ne vais pas changer d’avis sous prétexte que j’ai gagné”, a-t-il lancé.
Auteur : J'm'interroge Date : 18 nov.16, 06:34 Message : @ marco du cercle,
Ça c'est un élément supplémentaire.
Qu'en conclus-tu ?
Auteur : indian Date : 18 nov.16, 06:36 Message :
J'm'interroge a écrit :@
Qu'en conclus-tu ?
Moi j'en conclus que Trump est un menteur.
Auteur : marco ducercle Date : 18 nov.16, 09:24 Message :
J'm'interroge a écrit :@ marco du cercle,
Ça c'est un élément supplémentaire.
Qu'en conclus-tu ?
Je pense qu'il y a deux façons d'analyser ses propos.
-La première serait de dire qu'il fait un pied de nez à ses détracteurs, tout en rassurant son électorat: je ne vais pas commencer à me renier.
- La deuxième est qu'il joue l'apaisement par rapport à une opinion public qui se mobilise notamment par la pétition (/www.change.org) adressé au collège électoral qui votera officiellement le 17/12 : je comprend mes adversaires qui se sentent floués. https://www.change.org/p/electoral-coll ... ion-no_msg
Auteur : J'm'interroge Date : 18 nov.16, 10:47 Message : Bien analysé marco, en précisant que l'une et l'autre analyse ne s'excluent pas.
(((Quant à indian, il est dans les choux comme d'habitude.)))
Auteur : J'm'interroge Date : 22 nov.16, 08:00 Message :
marco ducercle a écrit :Pour finir un petit cadeau: Nous devons d’abord protéger Israël qui est notre meilleur allié dans la région, et même dans le monde. Je soutiens Israël à 100 %, c’est la seule démocratie du Moyen Orient, c’est un petit pays plein d’énergie et de talents, entouré par des nations ou des groupes terroristes qui ne pensent qu’à le détruire. Et comme je l’avais déclaré au mois de juin dernier à New York, en annonçant ma candidature aux primaires républicaines, si l’accord entre l’Iran et le groupe P5+1 est véritablement entériné, j’ai peur pour la survie d’Israël. Si je suis élu à la Maison Blanche en novembre 2016, l’un de mes premiers voyages officiels sera d’ailleurs en Israël, j’aime cette nation et je respecte son peuple. http://israelmagazine.co.il/a-la-une/in ... ald-trump/
C'était pour dire quoi ?
Auteur : indian Date : 22 nov.16, 08:15 Message :
J'm'interroge a écrit :(((Quant à indian, il est dans les choux comme d'habitude.)))
Mais bon comme y'a que les fous qui ne changent pas d'idée... Trompe n'a peut être donc pas menti.
Auteur : J'm'interroge Date : 24 nov.16, 23:38 Message : Trump n'est pas bahaie.
Auteur : marco ducercle Date : 25 nov.16, 11:03 Message :
marco ducercle a écrit :Pour finir un petit cadeau: Nous devons d’abord protéger Israël qui est notre meilleur allié dans la région, et même dans le monde. Je soutiens Israël à 100 %, c’est la seule démocratie du Moyen Orient, c’est un petit pays plein d’énergie et de talents, entouré par des nations ou des groupes terroristes qui ne pensent qu’à le détruire. Et comme je l’avais déclaré au mois de juin dernier à New York, en annonçant ma candidature aux primaires républicaines, si l’accord entre l’Iran et le groupe P5+1 est véritablement entériné, j’ai peur pour la survie d’Israël. Si je suis élu à la Maison Blanche en novembre 2016, l’un de mes premiers voyages officiels sera d’ailleurs en Israël, j’aime cette nation et je respecte son peuple. http://israelmagazine.co.il/a-la-une/in ... ald-trump/
J'm'interroge a écrit :C'était pour dire quoi ?
Ce clin d'oeil a été posté dans un post parlant de complot pour rétablir le Grand Israël. Ça ne t'inquiète pas que ton candidat soit hostile aux voisins d'Israël?
Auteur : J'm'interroge Date : 26 nov.16, 04:07 Message :
marco ducercle a écrit :Ce clin d'oeil a été posté dans un post parlant de complot pour rétablir le Grand Israël. Ça ne t'inquiète pas que ton candidat soit hostile aux voisins d'Israël?
Bien non, je suis aussi pour leur ratatiner la gueule comme il faut avec Poutine en allant les buter jusque dans les chiottes si besoin.
Mais cela risque de déjouer certains plans, c'est pourquoi je dis encore BRAVO Trump !
Auteur : clovis Date : 26 nov.16, 04:42 Message : Les Etats-Unis n'ont plus les moyens financiers (fin du pétrodollar) de maintenir leur empire.
Trump a-t-il été mis là pour mettre fin en douceur à celui-ci ?
Auteur : J'm'interroge Date : 26 nov.16, 05:51 Message : Oui c'est une vue. Elle a du sens.
Auteur : marco ducercle Date : 26 nov.16, 06:11 Message :
marco ducercle a écrit :Ce clin d'oeil a été posté dans un post parlant de complot pour rétablir le Grand Israël. Ça ne t'inquiète pas que ton candidat soit hostile aux voisins d'Israël?
J'm'interroge a écrit :
Bien non, je suis aussi pour leur ratatiner la gueule comme il faut avec Poutine en allant les buter jusque dans les chiottes si besoin.
Mais cela risque de déjouer certains plans, c'est pourquoi je dis encore BRAVO Trump !
Certains plans? Tu veux parler de l'accord entre l'Iran et le groupe P5+1?
N'oublions pas que parmi les groupes terroristes qu'il cite, il y a le Hezbollah. Qui le finance?.............Réponse: l'Iran.
L'Iran qui comme nous le savons tous est le principale ennemi d'Israël( voisins d'Israël?).
N'a t'il pas l'intention d'organiser le G.I en prétextant une guerre contre le terrorisme?: Il faut une vraie coalition mondiale pour éliminer cette vermine sur le terrain, pas seulement avec des raids aériens, et c’est alors que l’on pourra régler par des accords de paix le différend entre Israël et les Palestiniens.
Bush n'aurait pas dit mieux.
Auteur : J'm'interroge Date : 26 nov.16, 06:44 Message : Il sera bien conseillé par Poutine lui même bien conseillé...
Tu savais que je n'ai rien contre un G.I ? C'est juste la méthode que je désapprouve.
Quant à la gouvernance mondiale telle que planifiée et le mondialisme tel qu'il est conduit, je ne peux pas y adhérer, n'adhérant pas à l'idéologie qui les sous-tend.
Auteur : J'm'interroge Date : 27 nov.16, 09:21 Message :
marco ducercle a écrit :N'oublions pas que parmi les groupes terroristes qu'il cite, il y a le Hezbollah. Qui le finance?.............Réponse: l'Iran.
L'Iran qui comme nous le savons tous est le principale ennemi d'Israël( voisins d'Israël?).
Le principale ennemi UTILE avec le Hezbollah...
Sans le Hezbollah en effet, la Palestine ne ressemblerait probablement pas à de petits confettis.
marco ducercle a écrit :N'a t'il pas l'intention d'organiser le G.I en prétextant une guerre contre le terrorisme?: Il faut une vraie coalition mondiale pour éliminer cette vermine sur le terrain, pas seulement avec des raids aériens, et c’est alors que l’on pourra régler par des accords de paix le différend entre Israël et les Palestiniens.
C'est ton interprétation ?
C'est donc que tu n'es probablement pas si fin que Trump.
marco ducercle a écrit :Bush n'aurait pas dit mieux.
En parlant des Bush et des autres d'un coté et de Trump de l'autre, sais-tu ce qui les distingue ?
Regarde cette vidéo, tu auras un indice :
Auteur : marco ducercle Date : 29 nov.16, 03:40 Message :
J'm'interroge a écrit :C'est donc que tu n'es probablement pas si fin que Trump.
T'as pas compris camarade. Je tenais le discours du complotiste moyen.
Il y a bien une théorie comme quoi si les USA ont envahis l'Irak, c'était pour former le G.I. Et bien maintenant, au tour de l'Iran.
Auteur : J'm'interroge Date : 29 nov.16, 08:33 Message : [EDIT : suppression pour cause de doublon.]
Auteur : J'm'interroge Date : 29 nov.16, 08:33 Message : Tiens, prends ça dans la figure :
Oded Yinon : Une stratégie persévérante de dislocation du monde arabe
Par Israël Shahak — 06 juillet 2014
Le « Plan Yinon » (*) a pour objectif de créer des mini-Etats antagonistes au sein du monde arabe. Ce plan fut présenté dans un article intitulé « Stratégie pour Israël dans les années 80 » par Oded Yinon, fonctionnaire du ministère israélien des Affaires étrangères – quelques mois après la première guerre israélo-libanaise. Il s’agit d’une théorie géopolitique devant modifier l’équilibre des forces au Moyen Orient en faveur d’Israël. Théorie (**) reprise et développée par Richard Perle et le groupe néoconservateur de l’Institute for Advanced Strategic and Political Studies dans un mémorandum destiné au premier ministre israélien Netanyahou datant de 2006. [Arrêt sur Info]
Oded Yinon
L’article qui suit, d’Oded Yinon présente, me semble-t-il, de façon exacte et détaillée, le projet qui est celui du régime sioniste actuel – le régime de Sharon et Eitan – concernant le Moyen-Orient, à savoir la division de la région en petits Etats, et le démantèlement de tous les Etats arabes. Je voudrais, en guise de préambule, attirer l’attention du lecteur sur quelques points :
1. L’idée que tous les Etats arabes doivent être fragmentés en petites unités, par l’oeuvre d’Israël, est une idée récurrente dans la pensée stratégique israélienne.
2. On perçoit très clairement le lien étroit qui existe entre ce projet et la pensée néo-conservatrice américaine, particulièrement dans les notes de l’auteur pour son propre article. Mais, en dépit d’une référence de pure forme à la « défense de l’Occident » face au pouvoir soviétique, l’objectif réel de l’auteur, et du régime israélien actuel, est bien clair : faire d’un Israël impérialiste une puissance mondiale. En d’autres termes, Sharon se propose de tromper les Américains après avoir joué le monde entier.
3. Très évidemment, bien des faits, dans les notes comme dans le texte même, sont falsifiés ou omis, comme par exemple l’aide financière des Etats-Unis à Israël. D’autres prétendus faits sont de pures inventions. Mais il ne faudrait pas pour autant regarder ce projet comme dénué de toute portée pratique, ou irréalisable, au moins à court terme. Le projet reproduit fidèlement les théories « géopolitiques » qui avaient cours en Allemagne dans les années 1890-1933, qui furent adoptées telles quelles par Hitler et le nazisme, et qui guidèrent leur politique en Europe de l’Est. Les objectifs fixés par ces théories, en particulier le démantèlement des Etats existants, reçurent un début de réalisation de 1939 à 1941, et seule une coalition à l’échelle mondiale en empêcha l’application à long terme,
Les notes sont de l’auteur de l’article. J’ai cependant souligné (italiques) certains passages de ce texte.
Par Israël Shahak, 13 juin 1982
Une stratégie persévérante de dislocation du monde arabe
En ce début des années 1980, Israël a besoin de trouver des perspectives nouvelles, de redéfinir sa place dans le monde, de se fixer des objectifs à l’intérieur comme à l’extérieur. Besoin devenu plus urgent en fonction des mutations cruciales subies par le pays lui-même par cette région du globe, par le monde tout entier. Nous sommes à l’aube d’une ère nouvelle de l’histoire de l’humanité, une ère qualitativement différente des précédentes, de caractère totalement nouveau. C’est pourquoi il est essentiel de comprendre les mutations qui caractérisent cette période historique ; et c’est pourquoi aussi il faut définir une conception du monde et une stratégie concrète en fonction des conditions nouvelles. L’existence, la prospérité, la stabilité de l’Etat Juif dépendront de sa capacité de donner un cadre nouveau ses affaires intérieures et extérieures.
On voit déjà apparaître les traits qui caractériseront notre époque, et qui marquent une véritable révolution dans notre mode de vie. La mutation majeure est l’effondrement de l’humanisme, du rationalisme, qui fut le fondement même de la civilisation occidentale depuis la Renaissance. Les théories politiques, sociales, économiques fondées sur cette philosophie se réclamaient de certaines « vérités » qui maintenant disparaissent. Par exemple, l’idée que l’homme, en tant qu’individu, est le centre de l’univers, et que cet univers n’existe que pour répondre à ses besoins matériels fondamentaux. Cette idée se heurte en effet à la constatation que les ressources mondiales sont insuffisantes pour subvenir aux besoins de l’homme, à ses besoins économiques et démographiques. Dans un monde qui compte quatre milliards d’êtres humains, et des ressources économiques et énergétiques dont la croissance ne suit pas celle des besoins des hommes, il ne serait guère réaliste de prétendre perpétuer l’idéal social occidental[1] c’est-à-dire un désir de consommation illimitée. L’idée que l’éthique n’a aucun rôle à jouer dans la détermination du comportement humain, qui ne dépend que de ses besoins matériels, cette idée n’a plus cours dans un monde où pratiquement toutes les valeurs disparaissent. Nous n’avons plus de repère pour les choses les plus simples, et en particulier pour tout ce qui nous renvoie à cette simple question ; qu’est-ce qui est bien, qu’est-ce qui est mal ?
L’idée que les aspirations et les capacités humaines sont sans limites pâlit devant les tristes réalités de la vie, lorsque nous voyons l’ordre du monde se faire désordre autour de nous. Les garanties de liberté deviennent dérisoires dans un monde où les trois quarts des hommes vivent sous des régimes totalitaires. Le socialisme, le communisme ont tourné en parodie les idées d’égalité et de justice sociale. Aucun débat n’a tenté d’examiner la vérité de ces deux idées mais il est certain au moins qu’elles n’ont pas été mises en pratique et que la majorité deshommes ont perdu la liberté et toute chance d’égalité et de justice. Dans l’ère atomique qui est la nôtre, et dans laquelle nous vivons encore relativement en paix depuis trente ans, le principe de paix entre les nations, de coexistence, n’a pas de sens face à la doctrine politico-militaire professée par une superpuissance telle que l’URSS, doctrine qui non seulement professe qu’une guerre nucléaire est possible et nécessaire aux objectifs du marxisme, mais prévoit également que l’issue d’une telle guerre peut admettre un vainqueur et une survie[2] .
Les concepts sur lesquels reposait la société, et notamment l’occidentale, subissent actuellement une mutation sous la pression des transformations politiques, militaires et économiques. La puissance militaire de l’URSS, tant conventionnelle que nucléaire, a fait de la période historique qui s’ouvre maintenant un ultime moment de répit avant le cataclysme qui détruira une grande partie de notre monde, guerre universelle multi-dimensionnelle auprès de laquelle les guerres du passé apparaîtront comme simples jeux d’enfants. La puissance des armes, conventionnelles ou nucléaires, leur quantité, leur précision, leur qualité, vont bouleverser notre monde, le faire littéralement exploser en l’espace de quelques années, et nous devons nous aussi, en Israël, nous préparer à affronter ce bouleversement. C’est là la formidable menace contre notre existence et celle du reste du monde occidental[3]. La lutte pour s’assurer les ressources de la planète, non pas seulement le monopole arabe du pétrole, mais également la nécessité pour l’Occident d’importer du Tiers Monde la plus grande partie de ses matières premières, sont à l’origine de la transformation du monde que nous connaissons actuellement. Le monde occidental découvre que l’URSS s’est donné pour but de le vaincre en s’assurant le contrôle des gigantesques ressources du Golfe Persique, du sud de l’Afrique, réserve mondiale de minerais essentiels. Nous pouvons imaginer à quelle échelle se produira le conflit qui se prépare dans l’avenir.
La doctrine Gorchkov réclame pour l’Union soviétique le contrôle des océans et des zones du Tiers Monde riches en minerais. Si l’on rapproche la doctrine Gorchkov de la doctrine nucléaire soviétique actuelle – une guerre nucléaire n’est pas la fin du monde mais celle de la puissance militaire occidentale, et la condition de la victoire du marxisme-léninisme –, on comprendra que là résident les principales menaces pour la paix du monde et pour notre existence. Depuis 1967, les Soviétiques ont adapté ainsi la théorie de Clausewitz « La guerre est le prolongement de la politique, en termes nucléaires » ; ils en ont fait le principe qui guide toute leur stratégie politique. Dès à présent, ils poursuivent la réalisation de leurs objectifs au Moyen-Orient et dans le monde entier. S’y opposer, telle est l’urgence prioritaire pour notre sécurité et naturellement pour celle du monde libre tout entier. Tel est pour nous le premier des périls extérieurs[4] .
Le monde arabe islamique n’est pas, on le voit, l’élément majeur dans nos problèmes stratégiques des années 1980, bien qu’il constitue la première menace immédiate contre Israël, en raison de sa puissance militaire croissante. Ce monde islamique, avec ses minorités ethniques, ses divisions, ses crises internes qui le rongent (voir le Liban, l’Iran non arabe, et maintenant la Syrie), est incapable de résoudre ses problèmes fondamentaux et par conséquent ne peut être une véritable menace pour Israël à long terme ; il l’est cependant à court terme, en raison de sa puissance militaire. A long terme, le Moyen-Orient ne pourra pas survivre dans ses structures actuelles, sans passer par des transformations révolutionnaires. Le monde arabe islamique n’est qu’un château de cartes construit par des puissances étrangères – la France et la Grande-Bretagne dans les années 1920 – au mépris des aspirations des autochtones. Cette région a été arbitrairement divisée en 19 Etats, tous composés de groupes ethniques différents, de minorités, hostiles les uns aux autres, si bien que chacun des Etats arabes islamiques d’aujourd’hui se trouve menacé de l’intérieur en raison de dissensions ethniques et sociales, et que dans certains d’entre eux, la guerre civile est déjà à l’oeuvre[5]. La plupart des Arabes, 118 millions sur 170, vivent en Afrique ; 45 millions d’entre eux vivent en Egypte. Hors de l’Egypte, les Etats du Maghreb sont peuplés d’Arabes et de Berbères. En Algérie, une guerre civile oppose déjà les deux ethnies dans les montagnes de Kabylie ; le Maroc et l’Algérie, qui sont en guerre pour la possession du Sahara anciennement espagnol, connaissent également des conflits internes. L’Islam militant menace l’intégrité de la Tunisie, et Kadhafi fomente des guerres ruineuses pour les Arabes eux-mêmes alors que son propre pays faiblement peuplé ne peut devenir une nation puissante. C’est pourquoi il a tenté à plusieurs reprises la fusion de son pays avec des Etats plus solides, comme l’Egypte et la Syrie. Le Soudan, le plus violemment écartelé des pays arabes islamiques actuels, comprend quatre groupes opposés les uns aux autres : une minorité arabe sunnite, qui domine une majorité d’Africains non arabes, d’animistes et de chrétiens. En Egypte, on trouve une majorité musulmane sunnite face à une forte minorité chrétienne – groupe de 7 millions d’âmes, majoritaire en Haute Egypte, qui pourraient bien, comme Sadate en exprimait la crainte dans son discours du 8 mai, réclamer un Etat qui leur soit propre, une sorte de « second Liban chrétien » en Egypte. Tous les Etats arabes à l’est d’Israël sont déchirés, en proie à des conflits internes, plus encore que les Etats du Maghreb. La Syrie ne diffère en rien du Liban si ce n’est par son régime militaire fort. Mais elle est le théâtre d’une véritable guerre civile entre la majorité de la population sunnite et la minorité alaouite chiite – 12 % à peine de la population – qui détient le pouvoir : on voit que les causes de conflit sont sérieuses.
L’Irak, de son côté, ne diffère guère de ses voisins, bien que là, la majorité soit chiite et la minorité gouvernante, sunnite. En Irak, 65 % de la population n’a aucune part aux décisions politiques ; le pouvoir est aux mains d’une classe gouvernante représentant 20 % de la population, plus une forte minorité kurde dans le nord du pays. N’étaient son régime fort, son armée et sa richesse pétrolière, le sort de ce pays serait analogue à celui du Liban hier, de la Syrie aujourd’hui. Les germes de dissensions internes et de guerre civile apparaissent déjà, surtout depuis la prise du pouvoir en Iran par Khomeny, en qui les chiites voient leur chef naturel. Tous les pays du Golfe et l’Arabie Saoudite sont construits sur du sable qui ne contient que du pétrole. Au Koweit, les Koweitiens ne constituent qu’un quart de la population, au Bahrein, les chiites sont la majorité, mais privés de pouvoir. Dans les Emirats Arabes Unis, les chiites constituent la majorité mais les sunnites détiennent le pouvoir. Il en est de même à Oman, au Nord-Yémen, et même au Sud-Yémen marxiste, où l’on trouve une minorité chiite substantielle. En Arabie Saoudite, la moitié de la population est étrangère – égyptienne, yéménite – et c’est une minorité saoudite qui détient le pouvoir. La Jordanie est en réalité palestinienne, dirigée par une minorité bédouine transjordanienne, mais l’armée dans sa majorité, et la bureaucratie, sont palestiniennes. En fait, Amman est une ville aussi palestinienne que Naplouse. Tous ces pays ont des armées puissantes. Mais là aussi, tout n’est pas simple. L’armée syrienne aujourd’hui est principalement sunnite, mais dirigée par un corps d’officiers alaouites ; l’armée irakienne est chiite et ses chefs sont sunnites. Cet état de fait prendra une grande importance à long terme, car le loyalisme de l’armée ne tiendra pas longtemps, le seul dénominateur commun étant l’hostilité envers Israël, et même ce facteur s’avère aujourd’hui insuffisant[6].
Comme nous venons de le voir, les Arabes sont divisés. Les autres Etats musulmans connaissent une situation analogue. L’Iran est composé pour moitié d’une population de langue persane et pour moitié d’un groupe ethnique turc. La Turquie comprend 50 % de population turque musulmane sunnite, d’origine et de langue ; l’autre moitié de la population est formée de deux importantes minorités : 12 millions de chiites alaouites et 6 millions de Kurdes sunnites. En Afghanistan, 5 millions de chiites forment un tiers de la population. Au Pakistan, 15 millions de chiites mettent en péril l’existence de cet Etat[7]. Dans ce monde gigantesque et déchiré vivent de rares groupes de personnes riches à côté d’immenses foules misérables. Les Arabes, pour la plupart, ont un revenu moyen annuel de 300 dollars. Telle est la situation en Egypte et au Maghreb. Le Liban est déchiré et en état de déroute économique ; il n’a plus de pouvoir central mais seulement des autorités de fait, au nombre de cinq : au nord les chrétiens, appuyés par les Syriens et sous la domination du clan Franjieh ; à l’est, une région sous occupation syrienne ; au centre, une enclave contrôlée par les phalanges chrétiennes ; au sud, jusqu’au Litani, une région en majorité palestinienne et dominée par l’OLP ; et adossé à la frontière israélienne l’Etat du commandant Haddad constitué de chrétiens et d’un demi-million de chiites. La Syrie est dans une situation plus grave encore, et même sa future union avec la Libye ne suffira pas à résoudre ses problèmes fondamentaux de survie et d’entretien d’une armée importante. Quant à l’Egypte des millions de personnes souffrant de famine endémique, la moitié d’entre elles sans emploi et sans logement, dans la région la plus surpeuplée du monde. A part l’armée, rien ne fonctionne ; l’Etat est en faillite chronique et dépend entièrement de l’aide américaine depuis la conclusion de la paix[8].
Les Etats du Golfe, l’Arabie Saoudite, la Libye et l’Egypte sont les pays du monde les plus riches en pétrole et en capitaux, mais ces richesses sont aux mains de groupes très restreints qui ne peuvent s’appuyer sur aucune base populaire ; de plus aucune armée ne garantit à ces régimes un soutien suffisant. L’armée saoudienne, malgré tout son équipement, est impuissante à défendre le régime contre des menaces internes ou extérieures – les événements de La Mecque en 1980 en sont un exemple. Telle est la triste situation de fait, la situation troublée des pays qui entourent Israël[9]. C’est une situation lourde de menaces, de dangers, mais aussi riche de possibilités, pour la première fois depuis 1967.Les chances qui n’ont pas été saisies alors peuvent se présenter de nouveau, plus accessibles, dans les années 80, dans des circonstances et avec une ampleur que nous ne pouvons même pas imaginer aujourd’hui.
La politique de « paix », la restitution des territoires, sous la pression des Etats Unis, excluent cette chance nouvelle qui s’offre à nous. Depuis 1967, les gouvernements successifs d’Israël ont subordonné nos objectifs nationaux à d’étroites urgences politiques, à une politique intérieure stérilisante qui nous liait les mains aussi bien chez nous qu’à l’étranger. Nous n’avons pas su élaborer un plan concernant la population arabe des territoires acquis dans une guerre qui nous avait été imposée : c’est là la grande erreur stratégique d’Israël au lendemain de la Guerre des Six jours. Nous aurions pu nous épargner le dur et dangereux conflit que nous connaissons depuis lors si nous avions donné la Cisjordanie aux Palestiniens qui habitent la rive ouest du Jourdain. Nous aurions de la sorte désamorcé le problème palestinien actuel ; au lieu de cela, nous avons imaginé des solutions qui ne sont pas viables, comme le compromis territorial, ou l’autonomie, ce qui revient au même d’ailleurs[10]. Mais aujourd’hui s’ouvrent à nous d’immenses possibilités de renverser totalement la situation, et c’est ce que nous devons accomplir dans la prochaine décennie, sous peine de disparaître en tant qu’Etat.
Dans les années 1980, l’État d’Israël va devoir opérer une mutation radicale de son régime politique et économique ainsi que de sa politique extérieure, pour répondre aux données nouvelles au Moyen-Orient et dans le monde entier. La perte des gisements de pétrole de Suez, ajoutée à celle de l’immense potentiel en pétrole, gaz et ressources naturelles du Sinaï – égal à celui des plus riches producteurs de pétrole de la région – constitue pour nous, dans un avenir proche, un déficit énergétique qui va détruire notre économie nationale. Un quart de notre Produit national brut actuel, soit un tiers de notre budget est aujourd’hui consacré à l’achat de pétrole[11]. La recherche de nouveaux gisements dans le Néguev et sur la côte ne va pas modifier cet état de fait dans un proche avenir.
Il est donc d’importance vitale pour nous de regagner le Sinaï, avec ses ressources, exploitées et potentielles : c’est pour nous un objectif politique prioritaire, que les accords de Camp David et les accords de paix nous empêchent de poursuivre. La faute en incombe au gouvernement israélien actuel et aux gouvernements qui ont ouvert la voie à la politique de compromis sur les territoires : les gouvernements de coalition qui se sont succédé depuis 1967. Après la restitution du Sinaï, les Egyptiens ne seront plus obligés de respecter le traité de paix, et ils s’efforceront de rejoindre le camp arabe et l’alliance soviétique, afin de s’assurer appui politique et assistance militaire. L’aide américaine n’est assurée qu’à court terme, pour la période de paix fixée par les accords ; et l’affaiblissement des Etats Unis, à l’intérieur comme à l’extérieur, entraînera nécessairement l’affaiblissement de leur assistance, sans pétrole, sans les revenus dérivés du pétrole, compte tenu des dépenses actuelles énormes, nous ne pourrons pas maintenir les conditions présentes en 1982, et nous serons conntraints d’agir de façon à rétablir, dans le Sinaï ; la situation antérieure à la visite de Sadate et au traité de paix malencontreux signé avec lui en mars 1979[12] .
Pour atteindre ce but, Israël dispose essentiellement de deux moyens, l’un direct, l’autre indirect. Le moyen direct est le moins réaliste des deux en raison de la nature du régime israélien, de son gouvernement, de la sagacité de Sadate qui obtint notre retrait du Sinaï, sa plus grande réussite après la guerre de 1973. Israël ne prendra pas l’initiative de rompre le traité, ni aujourd’hui, ni en 1982, à moins d’y être acculé économiquement et politiquement, et que l’Egypte fournisse à Israel un prétexte pour reprendre le Sinaï pour la quatrième fois dans notre courte histoire. Il reste donc la voie indirecte. Un situation économique égyptienne, le caractère du régime, sa politique pan-arabe vont créer une situation telle qu’après avril 1982, Israël va se trouver contraint d’agir, directement ou indirectement pour reprendre le Sinan en tant que réserve stratégique, économique et énergétique à long terme. En raison de ses conflits internes, l’Egypte ne représente pas un problème stratégique d’un point de vue militaire, et elle pourrait être aisément réduite à sa situation d’après la guerre de juin 1967[13].
Le mythe de l’Egypte, homme fort du monde arabe, ébranlé en 1956, n’a pas survécu à 1967 ; mais notre politique et la restitution du Sinaï, ont fait du mythe un « fait ». Mais sur le plan réel, la puissance égyptienne, comparée à celle d’Israël seul, et à celle du monde arabe, a diminué de 50 % depuis 1967. L’Egypte n’est plus la première puissance politique du monde arabe, et elle est à la veille d’une crise économique. Sans aide extérieure, la crise va se produire incessamment[14]. A court terme, grâce à la restitution du Sinaï, l’Egypte va marquer quelques points, mais seulement jusqu’en 1982 ; et cela ne modifiera pas à son avantage le rapport de forces mais pourrait même entraîner sa ruine. L’Egypte, dans sa configuration intérieure actuelle, est déjà moribonde, et plus encore si nous prenons en compte la rupture entre chrétiens et musulmans, qui va croissant. Démanteler l’Egypte, amener sa décomposition en unités géographiques séparées : tel est l’objectif politique d’Israël sur son front occidental, dans les années 1980,L’Egypte est effectivement déchirée ; l’autorité n’y est pas une mais multiple. Si l’Egypte se désagrège, des pays tels que la Libye, le Soudan, et même des Etats plus éloignés ne pourront pas survivre sous leur forme actuelle, et accompagneront l’Egypte dans sa chute et sa dissolution. On aura alors un Etat chrétien copte en Haute Égypte, et un certain nombre d’Etats faibles, au pouvoir très circonscrit, au lieu du gouvernement centralisé actuel ; c’est le développement historique logique et inévitable à long terme, retardé seulement par l’accord de paix de 1979[15] .
Le front ouest, qui à première vue semble poser plus de problèmes, est en fait plus simple que le front est, théâtre récent des événements les plus retentissants. La décomposition du Liban en cinq provinces préfigure le sort qui attend le monde arabe tout entier, y compris l’Egypte, la Syrie, l’Irak et toute la péninsule arabe ; au Liban, c’est déjà un fait accompli. La désintégration de la Syrie et de l’Irak en provinces ethniquement ou religieusement homogènes, comme au Liban, est l’objectif prioritaire d’Israël, à long terme, sur son front est ; à court terme, l’objectif est la dissolution militaire de ces Etats. La Syrie va se diviser en plusieurs Etats, suivant les communautés ethniques, de telle sorte que la côte deviendra un Etat alaouite chiite ; la région d’Alep, un Etat sunnite ; à Damas, un autre Etat sunnite hostile à son voisin du nord ; les Druzes constitueront leur propre Etat, qui s’étendra sur notre Golan peut-être, et en tout cas dans le Haourân et en Jordanie du Nord. Cet Etat garantira la paix et la sécurité dans la région, à long terme ; c’est un objectif qui est dès à présent à notre portée[16].
L’Irak, pays à la fois riche en pétrole, et en proie à de graves dissensions internes, est un terrain de choix pour l’action d’Israël. Le démantèlement de ce pays nous importe plus encore que celui de la Syrie. L’Irak est plus fort que la Syrie ; à court terme, le pouvoir irakien est celui qui menace le plus la sécurité d’Israël. Une guerre entre l’Irak et la Syrie ou entre l’Irak et l’Iran désintégrera l’Etat irakien avant même qu’il ne puisse se préparer à une lutte contre nous. Tout conflit à l’intérieur du monde arabe nous est bénéfique à court terme, et précipite le moment où l’Irak se divisera en fonction de ses communautés religieuses, comme la Syrie et le Liban. En Irak, une distribution en provinces, selon les ethnies et les religions, peut se faire de la même manière qu’en Syrie du temps de la domination ottomane. Trois Etats – ou davantage – se constitueront autour des trois villes principales : Bassorah, Bagdad et Mossoul ; et les régions chiites du sud se sépareront des sunnites et des Kurdes du nord. L’actuel conflit irano-irakien peut radicaliser cette polarisation[17].
La péninsule arabe tout entière est menacée de désintégration sous les pressions extérieures et intérieures. Ce processus est particulièrement inévitable en Arabie Saoudite, soit qu’elle conserve sa puissance économique fondée sur le pétrole, soit que celle-ci aille décroissant. La structure politique actuelle du pays annonce des luttes internes et la désintégration finale[18].
La Jordanie, elle, est un objectif stratégique à court ferme. En effet, une fois terminé le trop long règne du roi Hussein, remplacé par un pouvoir palestinien, le pays se désintégrera naturellement et ne constituera plus une menace pour l’avenir d’Israël.
La Jordanie ne peut plus survivre longtemps dans sa structure actuelle, et la tactique l’Israël, soit militaire, soit diplomatique, doit viser à liquider le régime jordanien et à transférer le pouvoir à la majorité palestinienne. Ce changement de régime en Jordanie résoudra le problème des territoires cisjordaniens à forte population arabe ; par la guerre ou par les coalitions de paix, il devra y avoir déportation des populations de ces territoires, et un strict contrôle économique et démographique – seuls garants d’une complète transformation de la Cisjordanie comme de la Transjordanie. A nous de tout faire pour accélérer ce processus et le faire aboutir dans un proche avenir. Il faut rejeter le plan d’autonomie et toute proposition de compromis, de partage des territoires ; étant donné les projets de l’OLP et des Arabes israéliens eux-mêmes[19] (voir le plan de Shefar’am), il n’est plus possible de laisser se perpétuer ici la situation actuelle sans séparer les deux nations : les Arabes en Jordanie et les Juifs en Cisjordanie. il n’y aura de véritable coexistence pacifique dans ce pays que lorsque les Arabes auront compris qu’ils ne connaîtront ni existence ni sécurité qu’une fois établie la domination juive depuis le Jourdain jusqu’à la mer. Ils n’auront une nation propre et la sécurité qu’en Jordanie[19].
En ce qui concerne Israël, la distinction entre les régions acquises en 1967 et les territoires qui les prolongent, ou les zones acquises en 1948, n’a jamais eu aucun sens pour les Arabes, et s’est maintenant effacée pour nous aussi. Il faut voir le problème dans son ensemble, sur la base de la situation depuis 1967. Quelle que soit la situation politique, ou la situation militaire dans l’avenir, il faut qu’il soit clair que le problème des Arabes autochtones ne recevra de solution que lorsqu’ils reconnaîtront que la présence d’Israël dans les zones de sécurité jusqu’au Jourdain et au-delà constitue pour nous une nécessité vitale, dans l’ère nucléaire que nous allons vivre maintenant. Nous ne pouvons plus vivre avec trois quarts de la population juive concentrée dans une zone côtière, particulièrement vulnérable à l’âge nucléaire.
Il faut désormais disperser les populations, c’est un impératif stratégique. Faute de cela, nous ne pouvons survivre, quelles que soient les frontières. La Judée, la Samarie, la Galilée sont nos seules garanties d’existence nationale ; et si nous ne nous implantons pas de façon à être majoritaires dans les zones montagneuses, nous ne gouvernerons pas le pays ; nous y vivrons comme les croisés, qui perdirent ce pays – un pays qui d’ailleurs n’était pas le leur, dans lequel ils étaient des étrangers. Notre but premier, le plus essentiel aujourd’hui, est de rééquilibrer le pays sous le triple aspect démographique, stratégique, économique. Il faut coloniser tout le versant de la montagne qui s’étend depuis Birshéba jusqu’en Haute Galilée ; c’est un objectif essentiel de notre stratégie nationale : coloniser la montagne qui jusqu’à présent est vide de Juifs [20].
La réalisation de nos objectifs sur le front est dépend de la réalisation de cette stratégie intérieure. Et seule la transformation de notre structure politique et économique constitue la clé d’une mutation complète qui nous permettra de mettre en oeuvre la stratégie en question. Nous devons passer d’une économie centralisée dans laquelle le gouvernement est trop étroitement impliqué, à une économie de marché, ouverte et libre. En même temps, nous devons nous affranchir de notre dépendance à l’égard du contribuable américain, et développer une véritable infrastructure économique, productive, qui ne doive rien qu’à nous-mêmes. Si nous ne nous montrons pas capables d’opérer cette mutation par notre seule volonté, notre seule libre entreprise, alors les forces économiques, politiques, énergétiques à l’oeuvre dans le monde, et notre propre isolement, nous y contraindront[21]. D’un point de vue militaire, stratégique, le monde occidental dominé par les Etats Unis est incapable de résister aux pressions exercées par l’URSS dans le monde ; Israël ne doit donc compter que sur ses propres forces dans les années 80, sans aide extérieure, militaire ou économique ; cela, nous en sommes capables aujourd’hui, sans compromis [22]. Une rapide évolution du monde entraînera aussi une transformation de la condition des Juifs dans le monde ; Israël ne sera plus pour eux un dernier recours mais le seul choix de survie possible. Nous ne pouvons pas tabler sur le fait que les communautés juives américaines, européennes, d’Amérique latine survivront sous leur forme actuelle[23].
Nous continuerons de vivre dans ce pays, aucune puissance au monde ne peut nous chasser, ni par la force ni par la ruse (méthode de Sadate). En dépit des difficultés créées par un traité de paix mal inspiré et le problème des Arabes israéliens et de ceux des territoires nous devons pouvoir résoudre toutes ces questions dans un avenir d’ores et déjà prévisibles. ■
Par Oded Yinon – 1982 (*)
Revue Confluences Méditerranée 2/ 2007 (N°61), p. 149-164
Notes
A l’automne 1982, soit quelques mois après l’invasion israélienne du Liban, la Revue d’Etudes Palestiniennes avait publié un article d’Oded Yinon, intitulé : « Stratégie pour Israël dans les années 80 », qui lui avait été adressé, avec une courte préface, par le regretté professeur Israël Shahak, ancien président de la Ligue israélienne des droits de l’homme.
Nous le republions, avec l’accord de nos amis de la REP, car nous le jugeons toujours d’actualité en ce qui concerne la situation du Moyen-Orient (et cela, même s’il commence par des considérations sur l’URSS et ses visées expansionnistes, totalement démenties par les faits ultérieurs).
Dans sa préface, Israël Shahak avait attiré l’attention des lecteurs sur la proximité entre cette « stratégie pour Israël » et la pensée néo-conservatrice américaine, la même qui présidera à la politique étrangère des Etats-Unis depuis l’accession de George W. Bush au pouvoir. L’éclatement de l’Irak, les tensions communautaires dans la plupart des pays arabes, l’annexion aussi de Jérusalem et d’une bonne partie de la Cisjordanie dotent l’article d’Oded Yinon, vingt-cinq ans après sa publication, d’une funeste actualité.
Confluences Méditerranée, avril 2007
[1 ] American Universities Field Staff. Rapport n° 33, 1979. Selon cette recherche, la population mondiale sera de six milliards en l’an 2000. La population mondiale se décompose aujourd’hui comme suit : Chine, 958 millions ; Inde, 635 millions ; URSS, 26 ; Etats Unis, 218 ; Indonésie, 140 ; Brésil et Japon, 110 chacun. Selon d’autres chiffres fournis par le Fonds des Nations Unies pour la Population, 1980, il y aura en l’an 2000, cinquante villes de plus de cinq millions d’habitants. La population du Tiers Monde représentera alors 80 % de la population mondiale. Par contre, selon Justin Blackwelder, chef du Bureau du Recensement des Nations Unies, la population mondiale n’atteindra pas 6 milliards, en raison de la sous-alimentation.
[2 ] La politique nucléaire soviétique se trouve bien résumée dans l’ouvrage de deux soviétologues américains, Joseph D. Douglas et Amoretta H. Hoeber, Soviet Strategy for Nuclear War (Stratégie soviétique pour une guerre nucléaire), Stanford, Ca. Hoover Inst, Press, 1979. En Union soviétique, des centaines d’articles et de livres paraissent chaque année, exposant en détail la doctrine soviétique concernant la guerre nucléaire. Beaucoup de ces documents sont traduits en anglais et publiés par USAF (US Air Force), Marxism Leninism on war and the Army. Soviet View, (Le marxisme léninisme, la guerre et l’armée : la doctrine soviétique), Moscou, 1972. USAF, The Armed Forces of the Soviet State, par le maréchal A. Grechko. (Les forces armées de l’Etat soviétique) Moscou, 1975. Le point de vue soviétique en la matière est exposé par le maréchal Sokolovski dans le livre qu’il a publié à Moscou en 1962 : Military Strategy, Soviet Doctrine and Concepts. (La stratégie militaire, doctrine et conceptions soviétiques) New York, Praeger, 1963.
[3 ] On peut se former une idée des projets soviétiques dans plusieurs parties du monde grâce au livre de Douglas et Hoeber, cité ci-dessus, note 2. On trouvera un supplément d’information dans l’article de Michacl Morgan, « USSR’s Minerais as Strategic Weapon in the Future » dans Defense and Foreign Affairs, (Les ressources minières de l’URSS, arme stratégique pour l’avenir, Washington D.C. déc. 1979).
[4] Amiral Sergei Gorchkov, The Sea Power and the States, (Puissance maritime et Etat), Morgan, Londres, 1979. Général George S. Brown (USAF) CJ CS, Statement to the Congress of the Defense Posture of the United States for fiscal year 1979 (Déclaration au Congrès sur la situation de la défense des Etats-Unis pour l’année budgétaire 1979), p. 103, National Security Council, Review of Non Fuel Mineral Policy, Washington D.C., 1979. Drew Middleton, New York Times, 15/9/79. Time 21/1/80.
[5] Elie Kedourie, « The End of the Ottoman Empire » (La fin de l’Empire ottoman), Journal of Contemporary history, vol 3, n° 4, 1968.
[6] Discours de Sadate, 1/5/80, Arab Press Service, Beyrouth, Nicosie, 25/6, 2/7.
[7] Loc.cit.
[8] Al-Thawra, Syrie, 20/12/79. Al-Ahram, 30/12/79. Al-Baas, Syrie, 6/5/79. Statistiques : 55 % des Arabes ont vingt ans ou moins ; 70 % des Arabes vivent en Afrique, 55 % des Arabes de moins de quinze ans travaillent ; 33 % vivent en zone urbaine. Oded Yinon, « Egypt’s Population Problem » (Le problème démographique de l’Egypte), The Jerusalem Quarlerly, n° 15, printemps 1980.
[9] E. Kanovsky, « Arab Haves and Have Not » (Possédants et déshérités arabes), The Jerusalem quaterly, n° 1, automne 1976, Al Baas, Syrie, 6/5/79.
[10] Dans son livre, l’ancien Premier ministre Yitzhak Rabin a dit que le gouvernement israélien est le véritable responsable de la politique américaine au Moyen-Orient, après 1967, tant en raison de son indécision quant à l’avenir des territoires que de l’incohérence de ses positions, puisque c’est ce gouvernement lui-même qui a créé les conditions de la résolution 242, et douze ans plus tard, celles des accords de Camp David et du traité de paix avec l’Egypte. Selon Rabin, le 19 juin 1967, le président Johnson envoya une lettre au Premier ministre Eshkol, dans laquelle il n’était pas question de retrait des nouveaux territoires ; mais exactement le même jour, le gouvernement décida de restituer les territoires en échange de la paix. Après les résolutions arabes de Khartoum, du 1er septembre 1967, le gouvernement changea d’avis, sans en faire part aux Etats Unis, qui continuèrent à soutenir la résolution 242 devant le Conseil de sécurité, croyant Israël toujours disposé à restituer les territoires. A ce moment, il était déjà trop tard pour changer la position des Etats Unis et la politique d’Israël. Ceci menait aux accords de paix sur la base de la résolution 242, comme ils furent par la suite conclus à Camp David. Voir Yitzhak Rabin, Pinkas Sherut (Ma’ariv, 1979) pp. 226-227.
[11] Le président du Comité pour l’Extérieur et la Défense, le professeur Moshe Arens, dit dans une interwiew (Ma’ariv, 3/10/80) que le gouvernement israélien n’a pas su préparer un plan économique avant les accords de Camp David, et a été surpris par le coût de l’accord, alors que déjà pendant les négociations, il était possible d’en calculer le prix élevé, et d’évaluer la grave erreur de n’avoir pas préparé la paix sur le plan économique. L’ancien ministre du Trésor, Yigal Horowitz, a déclaré que, n’était le retrait d’Israël des terrains pétrolifères, sa balance des paiements aurait été positive (17/9/80). Le même Horowitz avait dit, deux ans auparavant, que le gouvernement d’Israël – dont il s’était retiré – s’était passé lui-même la corde autour du cou. Il faisait allusion aux accords de Camp David (Ha’aretz, 3/11/78) Durant toutes les négociations, on ne consulta ni expert ni conseiller économique, et le Premie ministre lui-même, qui n’est pas un économiste, commit l’erreur de demander aux Etats Unis un prêt plutôt qu’un don, dans le souci de préserver tant le respect d’Israël pour lui-même, que l’estime des Etats Unis. Voir Ha’aretz, 5/1/79, Jerusalem Post, 7/9/79. Le Professeur Asaf Razin, ancien haut conseiller auprès du Trésor, a durement critiqué la façon dont ont été conduites les négociations voir Ha’aretz, 5/5/79, Ma’ariv, 7/9/79. En ce qui concerne les gisements pétroliers et la crise de l’énergie en Israël, voir l’interview de M. Eitan Eisenberg, conseiller du gouvernement en la matière, Ma’ariv Weekly, 12/12/78. Le ministre de l’Energie, qui a personnellement signé les accords de Camp David, et l’évacuation de Sdeh Alma, a depuis souligné à plusieurs reprises la précarité de notre situation du point de vue des ressources en pétrole. Voir Yediot Aharonot, 20/7/79. Le ministre de l’Energie Modai a reconnu que le gouvernement ne l’a nullement consulté sur la question du pétrole durant les négociations de Camp David et de Blair House. Voir Ha’aretz, 22/8/79.
[12] De nombreuses sources font état d’un accroissement du budget pour l’armement en Egypte, et, en temps de paix, du projet de consacrer une plus grande part du budget à l’armée qu’aux dépenses sociales – celles-là mêmes qui avaient, disait-on, imposé la signature du traité de paix. Voir à ce sujet l’ancien Premier ministre Mamduh Salem dans une interview du 18/12/77. Le ministre du Trésor égyptien, dans une interview du 25/7/78 et le journal Al-Akhbâr, le 2/12/78, déclaraient ouvertement qu’en dépit de l’état de paix, le budget militaire avait la priorité absolue. De même, l’ancien Premier ministre Mustafa Khalil professait la même doctrine dans son programme de gouvernement, présenté devant le parlement le 25/11/78. Voir la traduction anglaise ICA, FBIS du 27 nov, pp. D 1-10, 1978. Selon ces sources, les crédits militaires égyptiens ont augmenté de 10 %, de 1977 à 1978, et sont encore en progression. Selon une source saoudienne, les Egyptiens auraient l’intention d’augmenter leur budget militaire de 100 % dans les deux années qui viennent. (Ha’aretz, 19/2/79 ; Jerusalem Post, 14/1/79).
[13] La plupart des commentateurs se montrent sceptiques quant à la capacité de l’Egypte de reconstruire son économie dans l’année et même jusqu’en 1982. Voir Economic Intelligence Unit, supplément 1978, République arabe d’Egypte ; E. Kanovsky, « Recent Economic Development in the Middle East » (Evolution récente de l’économie au Moyen-Orient), Occasional Papers, The Shiloah Institution, juin 1977 ; Kanovsky, « The Egyptian Economy Since the Mid Sixties, The Micro Sectors » (L’économie égyptienne depuis le milieu des années soixante, les micro-secteurs), Occasional Papers, juin 1978. Robert McNamara, président de la World Bank, cité dans le Times, Londres, 24/1/78.
[14] Voir l’étude parallèle faite par l’Institute for Strategic Studies de Londres, et la recherche du Center for Strategic Studies de l’Université de Tel-Aviv, et celle de l’Anglais Denis Champlin, dans Military review, nov. 1979, IISS, The Military Balance 1979-1980 (L’équilibre militaire), CSS, Security Arrangements in Sinaï (Plan de sécurité dans le Sinaï…), de Brig, Gen. (Res). A. Shalev, n° 3 O CSS, The Military Balance and the Military Options after the Peace Treatment with Egypt (L’équilibre militaire et les choix militaires après le traité de paix avec l’Egypte), de Brig, Gen (Res.) Y. Raviv, n° 4, déc. 1978, et de nombreux comptes rendus dans la presse. Al-Hawadess, Londres, 7/3/80,Al-Watan Al-Arabi, Paris, 14/12/79.
[15] En ce qui concerne la vie religieuse en Egypte, les relations entre coptes et musulmans, voir la série d’articles publiés dans le journal koweitien Al-Qabas, 15/9/80. Sur des troubles économiques et sociaux, voir le journal saoudite Al Riad, 20-24.80, 13-17. L’auteur anglais Irene Beeson analyse l’antagonisme coptes/musulmans : Irene Beeson,Guardian, Londres, 24/6/80. Voir également Desmond Stewart, Middle East International, Londres 6/6/80. Pour d’autres témoignages, voir Pamela Ann Smith,Guardian, Londres, 24/12/79 ; Jerrome, The Christian Science Monitor, 27/12/79, et Al-Dastour, Londres, 15/10/79, El Kafah El Arabi, 15/10/79.
[16] Arab Press Service, Beyrouth, 6-13/8/80. The New Republic, 16/8/80. Der Spiegel, cité dansHa’aretz, 21/3/80 et 30/4 – 5/5/80. The Economist, 22/3/80 ; Robert Fisk, Times, Londres, 26/3/80. Ellsworth Jones, Sunday Times, 30/3/80.
[17] J.P. Peroncel Hugoz, Le Monde, Paris, 28/4/80. Dr. Abbas Kelidar, Middle East Review,été 1979. Conflict Studies ISC, juillet 1975. Andreas Kolschitter, Die Zeit (Ha’aretz, 21/9/79.Economist Foreign Report, 10/10/79, Afro-Asian Affairs, Londres, juillet 1979).
[18] Arnold Hottinger, « The Rich Arab States in Trouble » (Les riches Etats arabes ont des difficultés), The New York Review of Books, 15/5/80. Arab Press Service, Beyrouth, 25/5-2/7/80. US News and World Report, 5/11/79, et Al-Ahram, 9/11/79, Al-Nahar Al-Arabi wa Al–Duwali, Paris 7/9/79. Al-Hawadess, 9/11/79, David Hakham, Monthly Review, IDF, janv. févr. 79.
[19] En ce qui concerne la politique et les problèmes de la Jordanie, voir Al-Nahar Al-Arabi Wa Al-Duwali, 30/4/79, 2/7/79. Prof. Eli Dadouri, Ma’ariv, 8/6/79. Prof. Tanter, Davar,12/7/79. A. Safdi, Jerusalem Post, 31/5/79. Al-Watan Al-Arabi, 28/11/79. Al-Qabas, 19/11/79. Rami Huri, The Middle East Economist Foreign Report, 31/10/79. Strategic Middle East and Africa, 7/1/79 et août 80. Sur les positions de l’OLP, voir les résolutions du 4e Congrès du Fatah, Damas, août 1980. Le programme Shefar’am des Arabes israéliens a été publié dans Ha’aretz, 24/9/80, et dans Arab Press Report, 18/6/80. Yossef Zuriel, Ma’ariv, 12/1/80. Quant aux positions de l’OLP envers Israël, voir Shlomo Gazit, Monthly Review,juillet 1980. Hani Al Hasan dans une interview, Al-Ra’i Al-Am, Koweit, 15/4/80. Avi Plaskov, « The Palestinian Problem » (Le problème palestinien), Survival, ISS, Londres, janv.-févr. 1978. David Gutman, « The Palestinian Myth » (Le « mythe » palestinien),Commentary, oct. 1975. Bernard Lewis, « The Palestinians and the PLO » (Les Palestiniens et l’OLP), Commentary, janv. 1975, Monday Morning, Beyrouth, 18-21/8/80,Journal of Palestine Studies, hiver 1980.
[20] Professeur Yuval Neeman, « Samaria – The Basis for Israel’s Security » (La Samarie, garant de la sécurité d’Israël), Ma’arakhot 272-273, mai-juin 1980. Ya’akov Hasdai, « Peace, the Way and the Right to Know (La paix, la façon et le droit de savoir), Dvar Hashavua, 23/2/80. Aharon Yariv, « Strategic Depth – An lsraeli Perspective » (La profondeur stratégique, perspective israélienne), Ma’arakhot 270-271, octobre 1979. Yitzhak Rabin, « Israel’s Defence Problems in the Eighties » (Les Problèmes de défense d’Israël dans les années 1980), Ma’arakhot, octobre 1979.
[21] Zara Zohar, In the Regime’s Pliers (Dans l’étau du régime), Shikmona, 1974. Motti Heinrich, Do We have a Chance in Israel, Truth versus Legend (Avons-nous notre chance en Israël ? La réalité opposée à la légende), Reshafim, 1981.
[22] Henry Kissinger, « The Lessons of the Past » (Les leçons du passé), The Washington Review, vol. 1, janv. 1978. Arthur Ross, « OPEC’s Challenge to the West » (Le défi de l’OPEP à l’Occident), The Washington Quarterly, hiver 1980. Walter Levy, « Oil and the Decline of the West » (Le pétrole et le déclin de l’Occident), Foreign Affairs, été 1980. » Special Report – Our Armed Forces – Ready or Not » (Rapport spécial ; nos forces armées sont-elles prêtes ou non ?), US News and World Report, 10/10/77. Stanley Hoffman, « Reflections on the Present Danger » (Réflexions sur le danger actuel), The New York Review of Books, 6/3/80. Leopold Lavedez, « The Illusions of Salt » (Les illusions des accords Salt), Commentary, sept. 79. Nordman Podhoretz, « The present Danger » (Le danger actuel), Commentary, mars 1980. Robert Tucker, « Oil and American Power Six Years Later » (Le pétrole et le pouvoir américain six ans plus tard), Commentary,sept. 79. Norman Podhoretz, « The Abandonment of Israel » (L’abandon d’Israël),Commentary, juil. 1976. Elie Kedourie, « Misreading the Middle East » (Erreur d’interprétation au Moyen-Orient), Commentary, juil. 1979.
[23] Selon les chiffres publiés par Ya’akov Karoz, Yediot Aharonot, 17/10/80, les incidents antisémites advenus dans le monde en 1979 ont été deux fois plus nombreux en 1979 qu’en 1978. En Allemagne, France et Grande-Bretagne, ils ont été infiniment plus nombreux. On note une augmentation de ces incidents également aux Etats Unis. Sur le nouvel antisémitisme, voir L. Talmon « The New Anti Semitism » (Le nouvel antisémitisme), The New Republic, 18/9/76. Barbara Tuchman, « They Poisoned the Wells » » (Ils ont empoisonné les puits), Newsweek, 3/2/75.
Source: Confluences Méditerranée 2/2007 (N°61) , p. 149-164 www.cairn.info/revue-confluences-medite ... ge-149.htm
(*) Publié dans la Revue d’Études Palestiniennes par Israël Shahak et paru dans Kivunim (Orientations), n° 14, février 1982 (Revue publiée par le Département de l’Organisation Sioniste mondiale, Jérusalem)
(**) http://www.informationclearinghouse.inf ... le1438.htm
URL: http://arretsurinfo.ch/israel-une-strat ... ded-yinon/
Auteur : marco ducercle Date : 29 nov.16, 08:56 Message : J'y avais répondu dans le post "pertinent à la très grande pertinence des tes propos" #p1114754
Encore une foi, tu es limité en analyse: https://s13.postimg.org/5oj40c4bb/image.png Les sionistes ne vont pas se venter de leur projet ni l'ébruiter sur tous les toits... Et bien si justement puisque ce document a été diffusé Le 14 février 1982 dans la revue Kivounim. Ce n'est donc pas un document du ministère de la défense, ni une feuille de route du gouvernement. C'est juste un article d'un sioniste qui a donné son avis. http://www.globalresearch.ca/greater-is ... st/5324815 C'est un document dont l'authenticité est inattaquable...
Il a aussi été publié que c'est la Cosa Nostra qui est responsable de la guerre Iran/Irak. http://reseauinternational.net/le-rais-et-le-pavot/
C'est publié, donc c'est un document dont l'authenticité est inattaquable
Au fait le "pertineux", Israël Shahak est mort le le 2 juillet 2001. Il faudra monsieur le scientifique que tu m'expliques comment il a pu rédiger un article 06 juillet 2014?
Auteur : J'm'interroge Date : 29 nov.16, 10:35 Message : T'avais répondu de la merde comme d'hab.
Moi je préfère toujours les faits aux raisonnements biaisés et biaiseux... Et la bien pensance et la pensée unique imposée, je les enturle à sec.
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Auteur : marco ducercle Date : 30 nov.16, 03:37 Message : A bon, parce qu'un article pondu dans un canard est un fait?
Auteur : J'm'interroge Date : 30 nov.16, 23:29 Message : Israël Shahak les a donné les faits.
Donc laisse tomber, tu n'es pas objectif l'ami. Je ne te réponds plus.
Auteur : marco ducercle Date : 01 déc.16, 03:48 Message : En quoi ces fait prouvent t'ils le GI?
Regardes pour le 11/9. C'est un fait que des avions aient foncés sur des tours, pourtant, nous n'avons pas la même lecture de ce fait.
Par contre de ton côté, tu n'as jamais prouvé que le plan pilon soit un plan programmé.
Auteur : J'm'interroge Date : 01 déc.16, 05:43 Message : Laisse tomber je te dis, tu n'es pas objectif l'ami. Je ne te réponds plus.
Auteur : marco ducercle Date : 01 déc.16, 06:25 Message : Tu ne reponds même pas pour le fun?
En tout cas une chose est sur. Ta définition de l'objectivité se résume à abomder dans ton sens.
La preuve, objectivement parlant, tu n as jamais démontré que le plan pilon a été mis en place par le gouvernement, mais c'est vrai que chez les conspirationnistes on ne s'en formalise pas.
Je te laisse donc complotiser.
Auteur : J'm'interroge Date : 01 déc.16, 07:14 Message :
marco ducercle a écrit :Tu ne reponds même pas pour le fun?
En tout cas une chose est sur. Ta définition de l'objectivité se résume à abomder dans ton sens.
La preuve, objectivement parlant, tu n as jamais démontré que le plan pilon a été mis en place par le gouvernement, mais c'est vrai que chez les conspirationnistes on ne s'en formalise pas.
Je te laisse donc complotiser.
Oui oui c'est ça Marco cause toujours. En attendant tu n'as que ta bien pensance pour toi et la pensée unique. Mais cela prend de moins en moins, preuve que chez les conspirationnistes comme tu dis, l'on est moins cons que tu le penses et bien plus objectifs que tu ne le seras jamais.
Auteur : marco ducercle Date : 01 déc.16, 09:16 Message : Chez vous, l'objectivité est le mot magique. Or, objectivement, tu es incapable de reconnaître que le plan "pilon", n'est ni un document officiel, ni une feuille de route du gouvernement israélien. C'est juste un article écrit par un sioniste qui donne son avis sur ce qui devrait être fait. Commence déjà par le reconnaître, car toi aussi tu tombes dans la caricature de la bien pensance complotiste qui consiste à tout remettre en cause par principe.
Je suis sur que tu penses la guerre en Ukraine est aussi un complot israélien.
Le projet secret d’un « deuxième Israël » en Ukraine
J’ai toujours été persuadé que tout le remue-ménage autour du Caucase et les troubles en Ukraine étaient directement liés au problème israélo-palestinien. La conquête coloniale de la Palestine est dans l’impasse, et le sionisme se cherche des solutions alternatives cachées sous d’épaisses couches de conflits géopolitiques, idéologiques ou énergétiques. Il se pourrait même que certains dirigeants arabes comme le roi d’Arabie Saoudite soient dans le coup ou le pressentent.
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Le rôle joué par les personnalités juives et l’État d’Israël dans la crise ukrainienne n’est pas passé inaperçu, sachant que cette communauté représente moins d’un pour cent de l’ensemble de la population. Cependant, l’administration Netanyahou a en sa possession un rapport confidentiel confirmant que les juifs ashkénazes ne sont pas originaires du Levant, mais sont les descendants des Khazars, ce peuple mal connu fondateur d’un empire juif au dixième siècle sur les rives de la mer Noire. Ceci explique pourquoi certains sionistes voient en l’Ukraine un possible second Israël
Le Times of Israel, journal israélien indépendant dont le comité de rédaction compte des anciens journalistes du quotidien Ha’aretz, a publié un papier passionnant qui n’a pourtant pas fait grand bruit. L’article en provenance de Jerusalem et Zhitomir, daté du 16 mars 2014 et écris par Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass, correspondants russes et ukrainiens du journal, fait mention d’un rapport confidentiel remis au gouvernement israélien . Ce rapport, établi par un comité d’experts en histoire juive et reposant sur des sources universitaires, parvient à la conclusion que les juifs européens descendent en réalité des Khazars, peuple guerrier d’origine mongole et tatare ayant dominé l’Ukraine et la Russie méridionale et s’étant converti en masse au judaïsme au VIIIè siècle.
Les sionistes prétendent depuis longtemps que la terre revendiquée d’Israël revient de droit au peuple juif, que les conquêtes successives de différents empires ont évincé et dispersé, ce que l’on a appelé la diaspora. Apporter la preuve que les ashkénazes, qui forment l’essentiel de la population israélienne, ne sont pas historiquement liés à la Palestine remettrait en question le principe même d’Israël comme étant la patrie millénaire du peuple juif.
Les journalistes israéliens ont souligné que toute discussion entre Khazars et l’État d’Israël avait toujours été méprisée par les responsables israéliens. Ils citent ainsi le Premier ministre Golda Meir, qui aurait déclaré : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple khazar. Je ne connais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-les moi, ces Khazars dont vous parlez. » Les preuves génétiques d’une population khazare migrante venue d’Europe et qui revendique aujourd’hui des origines ancestrales en Palestine disqualifient sérieusement les prétentions sionistes sur cette terre.
L’établissement du fait que les juifs d’Europe centrale et d’Europe de l’est n’ont pas de légitimité historique en ce qui concerne leurs revendications sur la Palestine a créé bien des remous en Israël et ailleurs. La Knesset se prépare à voter une loi présentée par le gouvernement faisant d’Israël une « nation » juive. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, après avoir lu le rapport confidentiel au sujet des Khazars, a déclaré qu’Israël était « l’État nation du peuple juif. » Les prétentions ashkénazes en Israël étant diminuées, pour ne pas dire plus, Netanyahou, ses amis du Likoud, ses alliés du parti orthodoxe juif comme les colons de Cisjordanie n’ont pas d’autre choix que de jouer la carte de la revendication nationaliste, non seulement pour Israël, mais aussi pour la Cisjordanie (ou « Judée-Samarie », comme l’appelle les nationalistes juifs).
Toutefois, certains juifs, en Israël comme ailleurs, ne souhaitent pas prendre de risques. Une des raisons principales pour qu’Ihor Kolomoïsky —le richissime magnat juif ukrainien et gouverneur de la province de Dnipropetrovsk, qui est aussi citoyen israélien et chypriote— dépense des dizaines de millions de dollars pour recruter des nationalistes ukrainiens de droite et des néo-nazis venus d’ailleurs en Europe pour combattre la majorité russophone de la région du Donbass en Ukraine orientale, c’est la peur de voir capoter le projet de transformation de l’Ukraine en « Israël-bis ». Les mesures de protection prises par la Russie vis-à-vis de la région du Donbass, tout comme son intégration à la Crimée par voie référendaire (cette région étant convoitée par les nationalistes khazars juifs renaissants) menacent la transformation de l’Ukraine en deuxième patrie pour les juifs ashkénazes qui, déjà, s’inquiètent au sujet de leur emprise sur la terre d’Israël.
Le papier retentissant du Times of Israel à propos des origines khazares des juifs ashkénazes a aussi mis en lumière qu’Israël, ayant conscience qu’un État palestinien est inévitable compte tenu des pressions européennes en ce sens, se prépare à déplacer ses colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. La recherche de pointe dans le domaine de la génétique en Israël a permis d’établir un lien direct entre les ashkénazes d’Israël et les Khazars qui se sont jadis dispersés en Europe de l’est et en Europe centrale après la conquête de l’empire khazar par la Russie au XIè siècle.
Le président des États-Unis inquiète de nombreux médecins, s’interrogeant sur l’état mental de Donald Trump. Certains vont même jusqu’à affirmer que l’homme n’est pas capable de mener sa mission de dirigeant avec de tels problèmes psychologiques.
De nombreux médecins spécialistes du comportement et de la santé mentale commencent à s’inquiéter des décisions de Donald Trump et… de sa santé mentale. John D. Gartner, psychologue et auteur de nombreux ouvrages sur les présidents américains, s’est ainsi fendu d’une longue analyse sur le profil psychologique du 45e président des États-Unis. Et le portrait dressé ne risque pas de plaire à Donald Trump…
L’homme d’affaires de New York est ainsi décrit comme une personne « mentalement dangereuse et malade, et qui vu son tempérament est incapable d’être président ». Le professeur universitaire affirme ainsi que l’homme montre des signes « de narcissisme malin »., soit un mélange de narcissisme, de trouble de la personnalité et de sadisme.
« On ne peut pas utiliser la logique avec lui »
Dans le quotidien New York Daily News, la psychologue Julie Futrell est ainsi convaincue que le narcissisme de Donald Trump ne peut que le mener à sa perte. « Ce narcissisme empêche son habilité à voir la réalité, dont vous ne pouvez pas utiliser la logique pour persuader une personne comme ça de penser autrement », explique-t-elle. « Trois millions de femmes dans la rue ? Cela ne le fait pas bouger. Des conseillers montrant qu’un choix politique n’a pas fonctionné ? Il n’en aura rien à faire », continue-t-elle.
Et ce ne sont pas les seuls à s’inquiéter. Juste après l’élection du président, un groupe de psychiatres et psychologues sous le nom « Citizen Therapists Against Trumpism » a été créé avec près d’un millier de médecins. Ce groupe a publié un manifeste avertissant des dérives possibles d’un profil psychologique comme celui de Donald Trump : « Il chasse et bannit des groupes des gens vus comme des menaces, incluant des immigrés et des minorités religieuses ; Il dégrade, ridiculise et dévalorise des rivaux ou des critiques ; Il favorise un culte de l’Homme Fort qui appelle la peur et la colère ; Il promet de résoudre nos problèmes si on lui fait juste confiance ; Il réinvente l’Histoire et n’avoir qu’un léger souci avec la réalité et ne voit pas l’intérêt d’être rationnel ».
Et vu les récentes décisions de Donald Trump, on ne peut que s’étonner de la pertinence de telles analyses… Et cela ne fait que onze jours que le président américain est au pouvoir.
Auteur : ultrafiltre2 Date : 01 févr.17, 03:30 Message :
Ikarus a écrit :Pour rappel, Trump avait déclaré qu'il finirait la guerre en Syrie en dix jour si il était au pouvoir, disant clairement qu'un bombardement au napalm réglerait le problème.
Trump on line ... son pseudo ici c'est trampoline
Auteur : Ase Date : 14 févr.17, 22:24 Message : Alors que penser de ce M. Trump après quelques jours de présidentielle ?
Ase
Auteur : marco ducercle Date : 15 févr.17, 08:52 Message :
Ikarus a écrit :Pour rappel, Trump avait déclaré qu'il finirait la guerre en Syrie en dix jour si il était au pouvoir, disant clairement qu'un bombardement au napalm réglerait le problème.
Idem pour le 11 septembre. Il devait nous dire la vérité( bien que tout a été dit).
Auteur : Ase Date : 15 févr.17, 12:14 Message : Est-ce qu'à chaque nouveau président des States, le budget militaire à augmenté ?
Ase
Auteur : marco ducercle Date : 17 févr.17, 23:57 Message : Au USA, contrairement à la France qui est une monarchie républicaine, le président n'a pas tout les pouvoirs (on vient de le voir avec la loi anti immigration). C'est le congrès qui vote le budget de la défense ou l'entrée en guerre.
Pour répondre à ta question, le budget varie suivant les époques. Il a connu un pic sous Reagan( près de 900 milliards de dollars) et une forte diminution sous Clinton pour redescendre à 300 milliards et des brouettes.
Auteur : Ase Date : 18 févr.17, 22:37 Message : S'il y a de plus en plus de guerres, avec chaque président, le financement devrait augmenter non ?
Ase
Auteur : marco ducercle Date : 19 févr.17, 00:43 Message : Sous Reagan il y a avait plus de guerre?
Auteur : yacoub Date : 19 févr.17, 03:41 Message : C'est Carter la catastrophe. Il a permis la république islamique d'Iran
Auteur : Ase Date : 19 févr.17, 06:19 Message : Mais encore ?
Ase
Auteur : marco ducercle Date : 24 mars17, 21:38 Message :Une nouvelle veste de plus pour le candidat antisystème:
"Le vote du Congrès américain sur l’abrogation et le remplacement d’Obamacare, prévu ce jeudi, a été reporté en raison de nombreuses voix discordantes au sein du parti républicain." http://www.20minutes.fr/monde/2036711-2 ... -obamacare
*Apparemment, même aux USA, le changement c'est pas pour maintenant
Auteur : marco ducercle Date : 08 avr.17, 07:34 Message :
J'm'interroge a écrit :On verra bien si Trump nous détrumpera ou s'il continuera de nous surprendre dans le bon sens.
Alors que je m'étais foutu de la gueule de ses récents échecs, je reconnais qu'avec la Syrie, il m'a surpris dans le bon sens
Auteur : J'm'interroge Date : 09 avr.17, 01:58 Message : Eh bien moi c'est tout l'inverse.
Mais c'est très intéressant d'observer ce qui se passe.
Auteur : indian1indian1 Date : 09 avr.17, 01:59 Message :
J'm'interroge a écrit :Eh bien moi c'est tout l'inverse.
ce bombardement ne regle rien.
Auteur : yacoub Date : 09 avr.17, 02:00 Message : Trump doit s'occuper sérieusement de l'Arabie Sodomite
Auteur : Bertrand Date : 09 avr.17, 02:14 Message : le feu de boucanne de Thrump n'a donné qu'un faux espoir aux opposant d'Asad...
feu de boucanne;;; ¸Otez vous de lÀ je bombarde l'aéroport !!!!
Auteur : marco ducercle Date : 09 avr.17, 03:54 Message : Je pense que les opposants d'Assad n'attendent plus rien de l'Occident.
Auteur : yacoub Date : 09 avr.17, 04:32 Message :
marco ducercle a écrit :Je pense que les opposants d'Assad n'attendent plus rien de l'Occident.
Pourquoi veux tu la fin des alaouites ?
Auteur : marco ducercle Date : 09 avr.17, 06:23 Message : A titre personnel, je m'en fout d'Assad. Pour moi, ce n'est qu'un dictateur qui défend son bout de gras. Qu'il reste ou qu'il parte m'indiffère.
Simplement, quant un mec qui tien son pouvoir en tenant sa population d'une main de fer, se fait dégagé, je ne le pleur pas.
Auteur : BoSnA Date : 09 avr.17, 06:29 Message :
yacoub a écrit :
Pourquoi veux tu la fin des alaouites ?
Pourquoi les protège-tu autant? Ils ne sont que 10% dans le pays et ils ont les pleins pouvoirs.
Les Assad ont commis des crimes effroyables. Leur régime est sectaire.
Auteur : ultrafiltre2 Date : 09 avr.17, 06:34 Message :
BoSnA a écrit :
Les Assad ont commis des crimes effroyables. Leur régime est sectaire.
eux ils ont mis fin à la guerre civile du L.iban et ont modernisé leurs pays
et c'est comme ça qu'on les remercie
Auteur : BoSnA Date : 09 avr.17, 06:42 Message : et ont emprisonné et torturé tous leurs opposants.