Auteur : marco ducercle Date : 14 oct.17, 22:13 Message : Aujourd’hui, le Débarquement est devenu le symbole de la victoire sur le fascisme détesté. Il est récupéré à toutes les sauces, avec le film de Spielberg entre autres. Tout est bon pour présenter l’Allemagne nazie sous son jour le plus sombre !
1/ Tout débarquement sur les côtes normandes est impossible
Si l’on en croit la version officielle, le débarquement aurait eu lieu dans le Cotentin. C’est absurde.
a) Impossibilité physique
Qui connaît le Cotentin sait très bien que cette zone est parsemée de falaises qui la rendent difficile d’accès. Naturellement, les désinformateurs ne l’ignorent pas, et tentent de nous montrer malgré tout que si le débarquement a été accompli, il ne s’en est pas moins soldé par de lourdes pertes. L’assaut de la Point du Hoc, par exemple, aurait été menée par 225 Rangers, qui auraient perdu les 4/5e de leurs effectifs.
b) Impossibilité logique
On voit mal pourquoi les Alliés auraient tenu à débarquer en Normandie. Cette zone était difficile d’accès, la traversée était plus longue, et les avions militaires avaient moins de temps à consacrer au soutien du Débarquement.
En fait, tout militait pour une attaque dans le Pas de Calais, qui, lui, était plus proche, plus facile d’accès. Certes le Mur de l’Atlantique y était plus fourni, mais les Alliés, qui n’ont pas hésité à sacrifier des milliers d’hommes durant la Grande Guerre, auraient-ils reculé ?
Pourtant, l’on s’efforce de nous faire croire que les Alliés auraient bien attaqué la Normandie, c’est à dire qu’ils auraient choisi la voie la plus difficile... Ou l’histoire du cambrioleur qui préfère ne pas passer par la porte d’entrée en dépit de son attirail et qui ne songe qu’à traverser le jardin de la propriété malgré la présence du chien dangereux, ce pour franchir la fenêtre du deuxième étage... Rappelons en effet que les U-Boote de l’Amiral Dönitz patrouillaient dans le secteur. Traverser la Manche était donc très risqué.
c) Impossibilité météorologique
Le 4 juin 1944, Rommel, commandant en chef du Groupe d’Armées B, se rendait en Allemagne pour fêter l’anniversaire de sa femme. Pourquoi cet officier si talentueux a-t-il pris sur lui de quitter son poste deux jours avant le Jour le Plus Long pour une si piètre banalité ? D’abord parce qu’il souhaitait également rencontrer le Führer (Heil !). Mais surtout, parce qu’il savait que les Alliés ne débarqueraient jamais ce mois-ci. Car le temps était défavorable.
Tous les bulletins météo le confirment : la journée du 6 juin fut soumise à un temps exécrable. Pas une photo de ce soit-disant événement ne montre un temps globalement clément, pas une.
Certes, les services météo alliés avaient prévu une nette embellie, mais elle ne durerait que 24 heures3. Or, quiconque sait qu’il ne suffit pas de débarquer, il faut encore pouvoir se maintenir. Et en raison de la puissance de feu de l’armée allemande, les Alliés auraient besoin de leur supériorité aérienne. Or le temps de juin serait plus que maussade, restreignant les facultés d’intervention de l’armée de l’air alliée, au passage très douée dès qu’il s’agit de détruire d’innocentes villes allemandes. Les Alliés ne pouvaient assurément pas risquer un désastre, en sachant que leurs troupes ne pourraient être soutenues par l’aviation.
2/ La Normandie moins bien défendue ? Autopsie d’un mythe
L’un des arguments avancés par les tenants de la thèse « normande » est de dire que les Alliés ont débarqué en Normandie parce qu’elle était moins bien défendue que le Pas de Calais. L’on a vu que ce point de vue était logiquement intenable, compte tenu des précédentes affaires où les politiciens judéo-alliés n’ont pas hésité à sacrifier des centaines de milliers d’hommes dans des opérations hasardeuses, comme les Dardanelles durant la guerre de 14/18 ou même l’intervention britannique en Grèce de 1941.
Historiquement, on peut même éprouver des doutes. Il est établi que la 352e division allemande, formation de qualité, avait été affectée au secteur de Vierville sur Mer. Si l’on en croit Pierre Montagnon : « les défenses de Vierville à Coleville [sont constituées de] 8 casemates dotées de canons d’un calibre supérieur à 75 ou d’armes automatiques ; 17 positions antichars munies de canons de 37 à 75 ; quatre positions antichars munies de canons de 37 à 75 ; 4 positions d’artillerie de campagne ; 6 fosses à mortiers ; 38 fosses à tubes lance-fusées ; 85 emplacements de mitrailleuse. »4. Autrement dit, des défenses importantes.
Les chroniqueurs ne le nient pas. Mais ils invoquent l’ignorance des Alliés pour justifier l’envoi de leurs troupes dans ce secteur ! C’est là qu’intervient l’un des plus grands canulars de ce dossier, canular mis en œuvre par Paul Carell dans son livre "Ils arrivent !"5 consacré au rôle qu’aurait joué l’armée allemande dans la prétendue bataille de Normandie. Que dit Paul Carell ? Que la Résistance a effectivement transmis le renseignement sur la présence de la 352e division, mais par voie de pigeon voyageur. Or, nous dit cet historien, un sniper allemand a abattu ce malheureux pigeon... Naturellement, Paul Carell ne nous fournit aucun détail supplémentaire, aucune source pour vérifier la pertinence de son affirmation. L’Allemand n’est même pas nommé, pas plus que le pigeon. Aucune trace, ni de l’Allemand, ni de la sépulture du pigeon, n’a été retrouvée. Par ailleurs, puisque ledit pigeon travaillait pour l’ Intelligence Service , on aurait pu retrouver dans les archives du Public Record Office une preuve de l’existence dudit pigeon, comme une fiche de salaire granulé, par exemple. En dix minutes de recherche au sein de ces archives, je n’ai rien trouvé de tel. Précisons qu’aucune médaille de la Résistance n’a été versée à ce pigeon, obscur héros du devoir, comme s’il avait été oublié de tous...
L’affirmation de Paul Carell s’effondre lorsque l’on se réfère à un autre ouvrage normandiste, celui de Georges Blond6. On trouve en effet à la page 255 de l’édition en poche de 1994 ces propos du général Huebner, chef de la 1ère division américaine prétendument requise pour l’attaque d’Omaha7 : « D’après nos renseignements, [la 352e division] est une bonne unité, comprenant de nombreux vétérans du Front russe. » Ces propos, Huebner les tient avant le prétendu Débarquement. Ce qui prouve donc que les Américains savaient que la Normandie était très bien défendue !
Rappelons également que le Führer avait un temps estimé que les Alliés attaqueraient en Normandie. Le Feldmaréchal Rommel avait aussitôt renforcé les défenses dans le secteur et trois divisions de Panzer étaient en mesure d’y intervenir rapidement : la 21e, la 12e SS et la Panzerlehr. Autant de bonnes formations, notamment la deuxième, dirigée par d’anciens cadres de la Leibstandarte Adolf Hitler qui avaient fait leurs premières armes sur le front russe, et surtout la 3e, dirigée par un ancien adjoint de Rommel, Bayerlein, à qui Guderian avait dit, en parlant de sa division blindée : « Avec cette division-là, vous rejetterez à vous tout seul les Anglo-Américains à la mer. »8.
La thèse selon laquelle les Alliés auraient attaqué en Normandie parce qu’elle était censée être moins bien défendue que le Pas de Calais ne tient donc pas la route.
Les Alliés n’ont donc pu, logiquement, débarquer en Normandie. Il s’agit dès à présent de prouver que ce Débarquement n’a, dans les faits, jamais eu lieu.
Inexistence historique
Soyons clairs dès le départ : il n’existe aucun élément fiable à l’appui de la thèse normandiste : aucune trace, aucune photo, aucun témoin, aucun document.
1/ Les traces de la bataille
Une bataille, c’est connu, ça laisse des traces : ruines, cadavres, carcasses de véhicules.
Or, en Normandie, rien de tel. L’on chercherait en vain des ruines dans la ville de Caen, par exemple, alors que la bataille est censée avoir été l’une des plus terribles de la guerre et avoir ravagé la ville. De même ne trouve-t-on que peu de blockhaus sur les plages... Et dans un état si pitoyable parfois que l’on peut raisonnablement se poser la question de savoir qui les a détruits. Rien ne prouve en effet que ces bunkers n’aient été intentionnellement démolis par le Génie civil français pour faire avaler la version d’un affrontement au jour du 6 juin 1944.
L’on trouve certes un nombre plutôt impressionnant de cratères sur la Pointe du Hoc, censée avoir été bombardée par la Flotte et l’aviation alliée, avant d’être prise d’assaut par les Rangers. Là encore, ce ne sont que des cratères. Rien ne prouve que ces cratères résultent de tirs d’artillerie effectués le 6 juin 1944. Les tests au Carbone 14 ont montré que ces cratères avaient fort bien pu apparaître entre 1850 et 2000...
C’est en vain, donc, que l’on chercherait des traces de cette bataille. Preuve qu’elle n’a pas eu lieu.
2/ Les photographies de la bataille
L’on connaît les photographies présentées comme étant celles du Jour J où l’on aperçoit des dizaines de GI’s prenant pied sur les plages.
Oui mais quelles plages ? Après tout, les Alliés ont débarqué en Afrique du Nord, en Sicile, en Italie, et dans une myriade d’îles du Pacifique. Rien ne prouve que ces photos ne représentent pas ces campagnes.
L’on se souvient également de ces six photos prises par Robert Capa. Elles font d’ailleurs la couverture d’un ouvrage récent publié aux éditions Gallimard et sobrement intitulé Le Débarquement en Normandie , de Anthony Kemp (1994). Rien ne prouve que ces photos datent bien du 6 juin 1944, d’autant qu’il convient de signaler que Capa ne pourra jamais plus confirmer ce fait, ayant trouvé la mort durant la guerre de Corée. Un décès opportun...
Précisons de plus que ces photos sont de fort mauvaise qualité et peuvent aussi bien décrire un bizutage de West Point qu’un match de water-polo. Chose curieuse, Capa a affirmé avoir pris beaucoup plus de photos que cela, mais prétend que les négatifs furent détruits par accident...
3/ Les témoins de la bataille
Les lecteurs du best-seller de Cornelius Ryan, Le Jour le plus long , se souviennent du très grand nombre de témoins cités. Cependant, Ryan n’en cite aucun, se contentant, apparemment, de reproduire ce que les protagonistes lui ont déclaré. Il n’existe aucun moyen de savoir si les faits relatés par Ryan :
sont bien ceux racontés par les prétendus interviewés ;
sont bel et bien véridiques
Ryan cite tout de même deux témoins qui relatent les mêmes faits : l’ancien éclaireur de la 82e division aéroportée, Robert M. Murphy, et Mme Levrault, qui l’a vu atterrir « à vingt mètres d’elle »9. Mais il est permis de douter de la véracité du témoignage de ces deux personnes. D’une part en effet, Ryan prend en effet soin de préciser que Murphy est devenu, dans les années 1950, un « éminent avocat de Boston ». Comment un jeune parachutiste, puisque l’on connaît l’esprit borné des militaires, a-t-il pu devenir un ténor du Barreau de Boston en une dizaine d’années ? Tout un chacun sait qu’il faut encore des années d’études pour obtenir un diplôme puis adhérer au Barreau, et encore plus encore pour acquérir une bonne réputation. Ajoutons à cela que M. Murphy étant avocat, l’on peut se demander si ce qu’il dit est bel et bien vrai, car l’on sait à quel point les avocats peuvent être vils et menteurs10. D’autre part, Mme Levrault, de l’aveu de Cornelius Ryan, était une « vieille dame » en 1944. Une quinzaine d’années plus tard, lorsqu’elle aurait été interrogée par Ryan, elle devait donc être plus vieille encore : 60 ans en 1944, 78 ans en 1958. Ce fait est démenti par les statistiques de l’INSEE, qui montrent bien que les personnes âgées, dans les années 50, atteignaient rarement les 70 ans. De plus, bien qu’âgée de 78 ans, il aurait fallu que Mme Levrault fasse preuve d’une excellente mémoire, ce qui est plutôt difficile à croire11.
Le reste du livre de Cornelius Ryan, qui n’est qu’un journaliste, non un historien, est de même facture : affirmations invérifiables, témoins douteux... L’on a vu ce qu’il fallait penser du livre de Paul Carell, censé reproduire la bataille de Normandie vue du côté allemand. D’autant que Carell contredit bel et bien Ryan et les autres ! Selon lui, le débarquement n’a même pas réussi ! L’on trouve en effet, à la page IV de l’édition de 1994 de son best-seller Ils arrivent ces propos iconoclastes : « L’opération qu’Eisenhower et Montgomery voulaient réaliser en l’espace de quelques jours échoua devant la résistance des troupes allemandes du front. »12 Alors qui croire ? Ryan, qui montre que le Débarquement a réussi ? Ou Carell, qui prétend que le Débarquement a échoué ?
Carell base tout le point de vue allemand de la « bataille des plages » sur les témoignages de Hein Severloh et du lieutenant Jahnke, du bunker W-5 (709e division). Le bunker W-5 est censé avoir reçu l’assaut de toute la 4e division d’infanterie du général Theodore Roosevelt. Le problème est que la 4e division du général, si l’on se réfère aux prétendus plans originaux de l’opération Overlord, devait attaquer à deux kms plus au sud, face aux bunkers W-4 et W-2... Le bunker W-5 n’était pas la cible directe !
De deux choses l’une : ou bien les plans d’Overlord sont des faux, ou bien Jahnke ment. Dans l’un ou l’autre cas, il y a comme une grave falsification de l’Histoire. Il est fort probable que Jahnke mente, puisque l’on trouve dans les mémoires d’Eisenhower : « Les opérations dans le secteur d’Utah [...] et l’opération aéroportée des Américains progressaient de façon satisfaisante. »13. Or le W-5 ne se trouvait pas dans le secteur d’UTAH ! Là encore, la vérité officielle a du mal à trouver une version unique... Preuve manifeste de dissimulation.
L’autre témoin, Hein Severloh, est décrit par Carell comme étant un « bon gros paysan, sans plus »14. Caporal de 21 ans (bien jeune, pour un caporal), il est supposé se trouver sur la plage répondant au nom de code d’Omaha lors de l’assaut américain. Tout cela est beau et bon, mais il ressort que Severloh n’est peut-être pas si fiable. Capturé le 7 juin 1944, il prétend avoir été confié à un soldat noir15. C’est là que survient la première invraisemblance : en effet, de l’aveu du célèbre historien français, Philippe Masson, au cours de la Deuxième Guerre Mondiale, « les Noirs seront utilisés dans les services ou comme serveurs ou chauffeurs »16. Les Américains auraient-ils donc cessé de pratiquer la ségrégation ?
Il faut également préciser que Severloh passera un certain nombre d’années en captivité. Impossible alors de faire confiance à un Allemand qui a été gardé aussi longtemps en captivité : il peut très bien s’agir d’un agent double, retourné par le FBI ou l’OSS. Il est frappant que Severloh ait relaté à Daniel Costelle qu’il avait été capturé par un officier germano-américain qui avait prétendument déserté il y a quelques années pour fuir la Justice allemande et qui avait émigré aux Etats-Unis17. Tout respire la récupération d’agent secret comme la CIA, le MI-6 ou le KGB se sont habitués à en faire.
En somme, pour résumer et toutes choses égales par ailleurs, les deux témoignages invoqués par Paul Carell n’ont absolument rien de « reliable ».
4/ Les documents prouvant qu’il y a eu bataille
Un tel affrontement devrait générer une montage de rapports, de documents d’archives ! Eh bien force est d’admettre que les ressources documentaires sont bel et bien pauvres. Cornelius Ryan, par exemple, le reconnaît : « Les principales sources d’information de ce livre proviennent des survivants alliés ou allemands, de résistants français et de civils »18.
L’on a vu plus haut que les plans d’Overlord ne correspondaient pas non plus aux récits d’un témoin allemand, ce qui permet de relativiser leur authenticité.
Martin Blumenson, dans sa volumineuse Histoire de la Libération (Charles Corlet Editeurs, 1993), cite pour sa part un nombre impressionnant de pièces d’archives. Cela étant dit, rien ne nous indique ces pièces existent. Un individu à l’imagination débordante peut toujours trouver le moyen d’inventer des sources (prenez mon cas, par exempl... euh, NON, C’EST UNE ERREUR !). De même, le lecteur attentif aura remarqué la consonance juive de Blumenson : enlevez le « enson », vous obtenez « Blum ». En d’autres termes, Martin Blumenson et Léon Blum ne feraient qu’une seule et même personne ! Je renvoie le lecteur à ce grand journal à l’objectivité jamais démentie qu’est Gringoire pour qu’il se fasse une idée de la nature maléfique de ce Président du Conseil français qui a osé imposer deux semaines de congés payés annuelles pour des flemmards d’ouvriers !
Les témoins allemands ? Walter Warlimont, du GQG de Hitler, cite en effet bien des documents allemands, mais là encore, n’en cite aucun dans son intégralité, n’en montre aucune trace. Quant au Journal de Guerre de l’OKW, le fameux Kriegstagebuch, aucune preuve de son authenticité n’a été rapportée.
Autrement dit, aucun élément fiable n’est en mesure de corroborer la thèse normandiste.
1/ Le mythe des messages personnels
Une légende très connue soutient que le débarquement avait été annoncé à la BBC par deux « messages personnels » adressés à la Résistance. Ces messages étaient une reproduction des vers de Verlaine de sa Chanson d’Automne :
Les sanglots longs des violons de l’automne
Blessent mon cœur d’une langueur monotone
(cf. Les Plus Belles Pages de la Poésie française , Sélection du Reader’s Digest, 1982, p. 510)
Ce message était considéré comme devant pousser la Résistance à entrer en action contre l’armée allemande.
Le problème est que cette version de l’Histoire est intenable.
Il existait une règle à la BBC : ne jamais passer plus d’une fois un « message personnel ». Les « messages personnels » devaient être utilisés à la manière d’un préservatif : retirés et jetés après usage. Or, dans le cas de la Chanson de Verlaine, ce message, ainsi que l’établit formellement Antony Cave Brown, avait déjà été affecté à un réseau, le réseau Butler, en 1943. Les Allemands, combinant efficacité et courtoisie avaient réussi à anéantir ce réseau. Ils avaient mis la main sur les « messages personnels » affectés à ce réseau, et savaient à quoi ils correspondaient. Londres le savait. Et retira la Chanson d’Automne des messages encore en vigueur19.
De sorte qu’il est impossible que ce message ait pu être adressé à la Résistance en 1944. Ce serait le SEUL cas d’erreur de ce genre commise par l’administration, et pour le Débarquement !? Invraisemblable.
De plus, les versions divergent. Ryan cite par exemple le cas de Guillaume Mercader, chef de renseignements pour la zone côtière de Normandie, qui passe à l’action après avoir entendu, non pas le message Verlaine, mais celui-ci : « Il fait chaud à Suez. »20. Alors, de quel message s’agissait-il ?
Concluons : les Alliés n’ont pas annoncé le débarquement par les messages de Verlaine.
2/ Deux mois et demi pour arriver à Paris ?
Tout un chacun sait que de Deauville à Paris, il y a à peine 3 heures de route. Or la Vérité officielle voudrait nous faire croire que les armées alliées ont mis plus de deux mois et demi pour faire le trajet ! Alors que dans le même temps, on nous montre la même armée franchir une distance supérieure pour arriver en Hollande à la mi-septembre !
Cette thèse est à mettre en rapport avec l’invocation d’une Normandie moins bien défendue que le Pas de Calais. Si tel avait été le cas, pourquoi les Alliés ont-ils mis autant de temps pour franchir une distance relativement courte ?
3/ Hitler et le Jour J
Les historiens ont dressé un portrait de Hitler le présentant comme un dictateur excité, nullité militaire aussi consistante qu’une gelée à la menthe. Certains généraux, comme Guderian, ont relaté quelques grandes colères du Führer.
Or, en la présente espèce, rien de tel. D’abord, malgré la nouvelle du débarquement, le général Jodl ne l’avertit pas, ne le réveille pas. Il faut attendre 9 heures du matin pour que le Führer daigne se lever. Surprise, il ne fait pas preuve d’une nervosité particulière ! Mieux : il ne prend aucune décision. Est-ce si vraisemblable ? Oui, si l’on part de l’idée qu’aucun débarquement ne s’est produit le 6 juin 1944...
4/ Le para de Sainte-Mère l’Eglise
Les fans du Jour le Plus long connaissent cette scène du parachutiste américain doté de la voix de Max la Menace et de Bugs Bunny, dont le parachute s’est accroché au toit de l’église.
Ce soldat s’appelait, à en croire Cornelius Ryan, John Steele, du 505e régiment de la 82e Airborne. Dans le film de Darryl Zannuck, on nous le montre, à moitié sourd (du fait du son produit par les cloches), récupéré par les Américains. Le problème est que Ryan n’est pas du même avis : « Steele resta dans cette position plus de deux heures, avant d’être dégagé par les Allemands et fait prisonnier. »21. N’y aurait-il pas là comme une contradiction ? Qui des deux a donc menti ? On ne le saura jamais. En tout état de cause, l’histoire du soldat Steele, qui n’est aucunement corroborée (Ryan ne cite aucun autre témoignage à l’appui de cette version des faits), et ne tient pas la route une seule seconde (comment imaginer un seul instant que les snipers allemands auraient épargné une cible aussi parfaite ?), doit à son tour être considérée comme relevant du mythe.
5/ Un bilan ô combien variable...
Prenons un autre mythe connu : celui de l’encerclement des forces allemandes à Falaise, en août 1944. Si l’on en croit Eisenhower : « Une énorme partie des 1ère SS, 2e SS, pe P. SS, 12e P. SS, Panzer Lehr, 2e, 9e et 116e Panzer réussirent à s’échapper. Mais les 326e, 353e, 363e, 271e, 277e, et 89e divisions et une partie de la 331e ainsi que certains hommes des 10e SS Panzer et de la 21e Panzer furent pris au piège. » 22
Notons déjà un premier mensonge d’Eisenhower. Il n’existe pas de division d’infanterie 1ère et 2e SS. Si l’on se penche sur les dossiers allemands, l’on remarque que seules existent la 1ère SS Panzer et la 2e SS Panzer. L’on sait également depuis la remarquable étude de Vincent Ringard23, que la 2e SS Panzer se contentait de réguler la circulation dans le Limousin et que les accusations selon lesquelles le général Lammerding aurait refusé d’aider une vieille dame à traverser une rue sont infondées. Quant à la 1ère SS Panzer, Jean Mabire rappelle que « la Leibstandarte [restait] dans la zone frontière entre Flandre et Hollande. »24 Ike pris en flagrant délit de mensonge éhonté !
Mais poursuivons. Eisenhower prétend, on l’a vu, que bien des Allemands ont réussi à s’échapper de l’encerclement. Or, le Journal du Groupe d’Armées B, à se référer à Eddy Florentin, « estime que les 6 ou 7 divisions blindées qui réussirent à filtrer hors de la poche, ne regroupaient plus que 2 000 hommes, 62 tanks et 26 pièces d’artillerie. »25 Où se trouve « l’énorme partie » des divisions Panzer, je vous le demande !
L’un des auteurs normandistes parmi les plus réputés, le major-général Richard Rohmer, dans son best-seller The Patton’s Gap26, que l’un des piliers de la thèse normandiste, Eddy Florentin, a qualifié d’ « ouvrage retentissant » , est cependant en désaccord avec tous ces messieurs. Si l’on suit Rohmer, 200 000 Allemands ont réussi à fuir la poche. John Keegan fournit grosso merdo les mêmes chiffres : 300 000 échappés. Le problème est que les chiffres ont été visiblement revus à la baisse : 50 000 selon l’Allemand Carell, 20 000 à 40 000 selon Blumenson, 30 000 à 35 000 selon Pogue, 20 000 selon Carlo D’Este, 20 000 selon Max Hastings27.
Cela en devient presque risible. Pas un auteur ne donne de chiffre semblable : plus de 200 000 Allemands échappés d’un côté. De 20 000 à 50 000 de l’autre. Tout indique le montage : l’encerclement de Falaise n’a pas eu lieu, aucun Allemand n’a donc pu s’en échapper. Seulement, la vérité officielle connaît, une fois de plus, se lézarde. De l’intérieur.
Et la vérité reste ailleurs...
Il est temps de conclure. Alors conclucons :
1/ Il est physiquement impossible que le débarquement ait eu lieu en Normandie ;
2/ Il est logiquement insoutenable que le débarquement ait eu lieu en Normandie ;
3/ Il est historiquement indéfendable que le débarquement ait eu lieu en Normandie.
Un seul débarquement s’est effectivement produit : le débarquement de Provence (ce qui explique pourquoi les Alliés ont mis moins de dix jours pour arriver à Paris, du 15 au 24 août 1944).
Maintenant que le mythe a été réduit à néant, il reste à en voir les origines.
A dire vrai, tous les belligérants avaient intérêt à créer pareil mythe. Les Alliés, tout d’abord, pour justifier aux Russes la création d’un Second Front tant réclamé par le Kremlin. Le débarquement de Provence étant survenu bien tard, le 15 août 1944, les Occidentaux avaient intérêt à montrer qu’ils avaient également contribué à écraser en tous temps et en tous lieux le régime hitlérien. De plus, les bombardements de l’endroit et du Nord Pas de Calais, destinés à camoufler le fait que les Alliés débarqueraient en réalité dans le Sud, trouvaient enfin une justification.
Les Allemands ensuite. La bataille de Normandie devenait une épopée glorieuse au cours de laquelle une poignée de Waffen SS, de paras et de divisions de Panzer avait tenu tête à une armée alliée supérieure en nombre. Les Alliés étant censés avoir mis deux mois et demi pour vaincre, l’honneur de la Wehrmacht était sauf.
Aussi s’est élaboré le mythe, dès la fin de la guerre, entre Allemands et Alliés, par un accord secret signé à Roswell entre le Reichsmarschall Göring et le général Marshall. Les historiens des deux camps ont prolongé ce merveilleux coup de propagande après la guerre, toujours pour les mêmes raisons. L’on sait que ces faussaires de l’Histoire se sont réunis au sein d’une société secrète, les Sages du Mémorial de Caen, où ils pratiquent des sacrifices humains et des autodafés de revues révisionnistes pourtant irréprochables comme Die Heilige Einsatzgruppe ou Le Bêtisier de la Brigade Frankreich
Notes:
1. On ne présente plus Faubert Robinson. Universitaire, spécialiste en tout (sauf en histoire...), champion de curling de la coupe intercantonale de la Bundesliga de 1988 à 1996, auteur notamment de Canular cinématographique : de l’inexistence d’Alain Delon et T’es qu’un zéro et t’es fini , œuvre superbe retraçant les tortures morales endurées par le mouvement révisionniste du fait de l’entrée en application de la loi Gayssot.
2. Evénement qui a donné un très bon film : Un mariage et 40 millions d’enterrements, de Veit Harlan, 1947.
3. Cf. Cornelius Ryan : Le Jour le plus long, Livre de Poche, 1985, p. 97.
4. Pierre Montagnon, La Grande Histoire de la Seconde Guerre Mondiale, vol. 6, p. 220, Pygmalion/Gérard Watelet.
5. Robert Laffont, 1994, pour l’édition revue et augmentée.
6. Georges Blond : Le débarquement, Fayard, 1951, et Livre de Poche, 1994.
7. On remarquera l’ineptie de cette thèse en faisant objecter que Omaha n’est autre qu’une ville des Etats-Unis, et ne saurait donc se situer en France.
8. Cité in Paul Carell, op. cit., p. 280.
9. Ryan, op. cit., p. 161.
10. Ainsi Maître Rampton, l’avocat en chef de cette emmerdeuse de Deborah Lipshit, auteur de Denying the Brain of David Irving, Manchot Empereur Books, 1993.
11. L’auteur de ces lignes connaît un cas de trouble de mémoire d’un individu pourtant âgé de moins de 70 ans : son ami Ernst Otto Remerde, gérant du site web Hitler was vegetarian, not a vegetable ! http://www.Hitler.vegetable.com.
12. Paul Carell, Ils arrivent, Robert Laffont, 1994, p. IV.
13. Dwight D. Eisenhower : Croisade en Europe, Robert Laffont, 1994, p. 302.
14. Paul Carell, op. cit., p. 95.
15. Daniel Costelle : Les prisonniers, Flammarion, 1975, p. 46.
16. Philippe Masson, Une guerre totale, Hachette/Pluriel, 1993, p. 468.
17. Costelle, op. cit., p. 46.
18. Ryan, op. cit., p. 435.
19. Antony Cave Brown, La Guerre secrete, Pygmalion/Gérard Watelet, p. 163-164.
20. Ryan, op. cit., p. 133.
21. Ryan, op. cit., p. 206.
22. Cité in Eddy Florentin : Stalingrad en Normandie , Presses de la Cité, 1994, p. 642.
23. Vincent Ringard : Mon bouquin sur Oradour, une demi-tonne de mise en scène, Editions du Bunker, Asuncion, Paraguay, 1999.
24. Jean Mabire, Les Panzer de la Garde noire, Presses-Pocket, 1980, p. 272.
25. Eddy Florentin, ibid.
26. Arms and Armour Press, London, 1981.
27. Tous ces chiffres sont rappelés par Eddy Florentin, op. cit., p. 639-640.
Auteur : Liberté 1 Date : 15 oct.17, 01:30 Message : Quel est l’intérêt d'un tel article ?
Auteur : Karlo Date : 15 oct.17, 02:31 Message : Démontrer qu'on peut écrire n'importe quoi, du moment qu'on y met la forme ca pourra paraitre crédible.
C'est la base de toutes les théories conspi...
C'est un peu le même exercice que ce faux documentaire, fait pour montrer aux gens combien il est facile de les manipuler sur internet :
Auteur : marco ducercle Date : 15 oct.17, 03:19 Message :
Liberté 1 a écrit :Quel est l’intérêt d'un tel article ?
Remplace les mots débarquement en Normandie par gazage et tu aurait eu une tripoté de réponses. Cette pseudo enquête a été faite en reprenant le même argumentaire que Faurisson. Pourtant, personne n'est venu remettre en cause ce fait historique.
Auteur : GAD1 Date : 15 oct.17, 04:07 Message : Mais...c'est un sujet très sérieux. Dites-nous combien "d'intellelos" genre Lénine, ont attiré derrière eux des millions de personnes jusque dans des camps de concentrations, en URSS, Chine, Cambodge, ou dans des sectes Temple solaire, Guyana.... d'autres se fabriquent des héros genre Ché Guevara même s'ils ne savent pas qui il est exactement, d'autres vendent des tapis ou de la lessive selon les mêmes procédés.
"Au commencement, la Parole était Dieu" . "Dieu dit ... et ...". Sauf que la Parole mal utilisée ou manipulatrice = c'est le diable en personne.
Alors, il y a un moyen d'en sortir. Le voici :
"Tout ce qui est bien vient de Dieu, et tout ce qui est mal vient de Satan". Religion ou pas !
Les gens du monde entier savent très bien ce qui est bien et mal dans les fondamentaux et leurs entrailles. C'est pas la peine de nous faire avaler des couleuvres. La seule Lumière et la seule référence est et restera le Christ parce que tout ce qu'Il a dit est juste et intelligent. Le reste ... si les gens refont l'histoire à leur manière, et bien sachons que c'est déjà le cas de toute manière et que nous avons juste de la chance de vivre en France..........pour l'instant.
Auteur : marco ducercle Date : 15 oct.17, 04:37 Message :
J'ai lu un document du FBI déclassifié, disant qu'en Europe en ce temps là, qu'il y avait plus ou moins deux millions de juifs, c'est un faux ? (il faut que je retrouve)
DOCUMENTS DÉCLASSIFIÉS OFFICIELS DU FBI : NOMBRE DE JUIFS EN EUROPE (ANNÉES 40) DIVULGUÉS
L’animateur de l’émission « L’Autre Monde« , sur la radio québécoise CHOQ.FM (Shock.fm pour la partie anglophone), présentée par François Marginean, affirme lors d’une émission du 11 Avril 2011, que des documents du FBI classés dans les années 40-50 puis déclassifiés en 1985 indiquent que des organisations juives aux USA (en l’occurrence, la Z.O.A, the Zionist Organisation of America) étaient au courant et avaient officiellement recensé seulement 2 millions de Juifs en Europe dans les années 30-40.
(Propos tenus par Rabbi Jamus G. Holler le 18 Novembre 1945 à la Jewish Community Center Auditorium, face à un public d’environ 1000 (mille) personnes et en présence des Agents du FBIici pour rapporter les propos tenus).
Question :
Comment 6 millions de Juifs peuvent-ils mourir dans les dites « chambres à gaz » si de l’aveu même des autorités juives américaines il n’y aurait que 2 millions de Juifs en tout en Europe ?
Il est mentionné par « Europe » en fait les « territoires européens sous contrôle allemand ».
Ce qui équivaut à dire toute l’Europe puisque le Reich contrôle toute l’Europe sauf la péninsule ibérique, les îles britanniques, une partie de la Scandinavie ; et son fief s’étend jusqu’aux portes de Moscou comme l’indique la carte ci-dessous (tout ce qui va du gris clair au gris foncé est sous contrôle nazi) : http://en.wikipedia.org/wiki/File:Europ ... nation.png
La zone grise que vous voyez sur cette carte est le fief allemand au maximum de son extension (1941-1942). Selon les Juifs même il n’y aurait que 2 millions d’âmes juives sur ce territoire.
Voici les liens, preuves et documents à vérifier vous-mêmes en toute tranquillité :
1 – tous les documents du FBI déclassifiés concernant les rapports sur les activité du ZOA (Zionist Organisation of America) sur le site du FBI (10 documents PDF en tout) : http://vault.fbi.gov/Zionist%20Organiza ... 20America/
2 – le document précisément où est mentionné les 2 millions de Juifs en Europe est le document N°1 (PDF 1 sur 10), page 7 du PDF, paragraphe N°3 :
Ca ?
[quote]DOCUMENTS DÉCLASSIFIÉS OFFICIELS DU FBI : NOMBRE DE JUIFS EN EUROPE (ANNÉES 40) DIVULGUÉS
L’animateur de l’émission « L’Autre Monde« , sur la radio québécoise CHOQ.FM (Shock.fm pour la partie anglophone), présentée par François Marginean, affirme lors d’une émission du 11 Avril 2011, que des documents du FBI classés dans les années 40-50 puis déclassifiés en 1985 indiquent que des organisations juives aux USA (en l’occurrence, la Z.O.A, the Zionist Organisation of America) étaient au courant et avaient officiellement recensé seulement 2 millions de Juifs en Europe dans les années 30-40.
(Propos tenus par Rabbi Jamus G. Holler le 18 Novembre 1945 à la Jewish Community Center Auditorium, face à un public d’environ 1000 (mille) personnes et en présence des Agents du FBIici pour rapporter les propos tenus).
Question :
Comment 6 millions de Juifs peuvent-ils mourir dans les dites « chambres à gaz » si de l’aveu même des autorités juives américaines il n’y aurait que 2 millions de Juifs en tout en Europe ?
Il est mentionné par « Europe » en fait les « territoires européens sous contrôle allemand ».
Ce qui équivaut à dire toute l’Europe puisque le Reich contrôle toute l’Europe sauf la péninsule ibérique, les îles britanniques, une partie de la Scandinavie ; et son fief s’étend jusqu’aux portes de Moscou comme l’indique la carte ci-dessous (tout ce qui va du gris clair au gris foncé est sous contrôle nazi) : http://en.wikipedia.org/wiki/File:Europ ... nation.png
La zone grise que vous voyez sur cette carte est le fief allemand au maximum de son extension (1941-1942). Selon les Juifs même il n’y aurait que 2 millions d’âmes juives sur ce territoire.
Voici les liens, preuves et documents à vérifier vous-mêmes en toute tranquillité :
1 – tous les documents du FBI déclassifiés concernant les rapports sur les activité du ZOA (Zionist Organisation of America) sur le site du FBI (10 documents PDF en tout) : http://vault.fbi.gov/Zionist%20Organiza ... 20America/
2 – le document précisément où est mentionné les 2 millions de Juifs en Europe est le document N°1 (PDF 1 sur 10), page 7 du PDF, paragraphe N°3 :
Oui, c'est bien ça frangin mais je n'ai pas approfondi, ce document, il est vrai ou faux ?
Auteur : JPG Date : 15 oct.17, 12:39 Message : N'importe quoi, la seule lecture du titre, interdit de lire quoique ce soit de ce post. J'ai des ancêtres qui ont pris part à ce débarquement. Quel sot, quand ont veut pas, c'est une bonne occasion pour dire n'importe quoi.
Les résultats, basta; les témoins, basta; les acteurs, basta.
Auteur : marco ducercle Date : 16 oct.17, 03:29 Message :
JPG a écrit :N'importe quoi, la seule lecture du titre, interdit de lire quoique ce soit de ce post. J'ai des ancêtres qui ont pris part à ce débarquement. Quel sot, quand ont veut pas, c'est une bonne occasion pour dire n'importe quoi.
Les résultats, basta; les témoins, basta; les acteurs, basta.
Mon chère JPG, le but de ce sujet n'est pas de remettre en cause le débarquement, qui est un fait historique au même titre que la bataille de la marne par exemple. J'ai simplement trouvé amusant le parallèle négationniste dans la structure et dans l'argumentaire calqué sur la méthode Faurisson: - pointer les différences de vus des auteurs historiques comme le font les créationnistes( si ils y ne disent pas la même chose, c'est que c'est faux).
- partir d'un postula( c'est impossible que ci ou cela arrive pour telle ou telle raison, donc ça n'a pas pu arriver)
-remettre en cause les documents et autres témoignages( une photo? cela ne prouve rien, elle a pu être prise à n'importe quel moment. Un témoignage? rien ne prouve que ce soi disant témoin n'est pas de mèche).
Etc etc etc.
Je remarque que Liberté 1 ne voit pas l'intérêt de remettre en cause le débarquement mais reste dubitatif sur la shoah. C'est le pourquoi de ce post
marco ducercle a écrit :
Je remarque que Liberté 1 ne voit pas l'intérêt de remettre en cause le débarquement mais reste dubitatif sur la shoah. C'est le pourquoi de ce post
Où ai-je écrit que j'étais dubitatif ? (tu lis dans mes pensées ?)
J'ai simplement posé une question à laquelle tu t'es bien gardé de répondre
Auteur : Saint Glinglin Date : 16 oct.17, 23:45 Message :
Karlo a écrit :Démontrer qu'on peut écrire n'importe quoi, du moment qu'on y met la forme ca pourra paraitre crédible.
Cela ne démontre rien du tout.
Un tel texte suggère que les révisionnistes nient la déportation, ce qui n'est évidemment pas le cas.
Sur le même site, vous trouverez : "COMME QUOI NAPOLÉON N'A JAMAIS EXISTÉ"
Ce n'est pas ce texte que Marco a choisi. Je vous laisser chercher pourquoi.
Il aurait pu choisir l'article Napoléon voulait imposer l'islam à la France
Auteur : marco ducercle Date : 17 oct.17, 06:13 Message :
Liberté 1 a écrit :
Où ai-je écrit que j'étais dubitatif ? (tu lis dans mes pensées ?)
J'ai simplement posé une question à laquelle tu t'es bien gardé de répondre
Ce document est sans doute vrai mais je ne vois pas en quoi cela prouverai quoi que ce soit.
Saint Glinglin a écrit :
Un tel texte suggère que les révisionnistes nient la déportation, ce qui n'est évidemment pas le cas.
C'est ça, lis l'article de Faurisson sur le ghetto de Varsovie. C'est à mourir de rire. Ce sont les juifs qui auraient demandés à être séparés des polonais pour des raisons de tranquillité. Quand au ghetto, il aurait été détruit par l'aviation russe.
Seulemnt le ghetto, pas le reste de la ville
Auteur : Saint Glinglin Date : 17 oct.17, 07:02 Message : Tu as posé un sujet sur le débarquement en Normandie.
Saint Glinglin a écrit :Tu as posé un sujet sur le débarquement en Normandie.
marco ducercle a écrit :
Ce document est sans doute vrai mais je ne vois pas en quoi cela prouverai quoi que ce soit.
Ça peut déjà faire réfléchir pour l'illustrer en image, je dirai que ça
Ne peut pas correspondre à ça.
Auteur : marco ducercle Date : 18 oct.17, 04:09 Message :
Saint Glinglin a écrit :Tu as posé un sujet sur le débarquement en Normandie.
Je reformule le sujet: méthode et argumentaire pour faire passer un fait avéré pour une gigantesque escroquerie!!!( le débarquement ne sert que de support)
Ça peut déjà faire réfléchir
Tu es donc habité par le doute. C'est ça être dubitatif. Cela ne veux pas dire que tu ne crois pas. Cela veux dire que tu n'en es pas sur
Encore une fois, je ne vois ce que cela change.
Il ne parle que d'une estimation*. La guerre a éclaté 1939, alors que cette réunion à eu lieu 4 ans plus tard( Nov 1943). Lui même admet plus haut, qu'il estime que 1,300,000 juifs ont fui la Pologne pour aller en URSS. La population juive polonaise avant 1939 tourné autour des 3 millions. Si on enlève le million qui est parti en URSS, il reste 2 millions. Ce qui voudrait dire que la seule population juive occupé par les nazis était polonaise. Il n'y avait pas d'autres juifs en Europe?
Auteur : Saint Glinglin Date : 18 oct.17, 04:49 Message :
marco ducercle a écrit :Je reformule le sujet: méthode et argumentaire pour faire passer un fait avéré pour une gigantesque escroquerie!!!( le débarquement ne sert que de support)
Pourquoi avoir choisi le débarquement plutôt que Napoléon ?
Auteur : marco ducercle Date : 18 oct.17, 07:15 Message : Parce que l'argumentaire et style ressemble à celui de ton gourou
Auteur : Saint Glinglin Date : 18 oct.17, 08:31 Message : Cela n'a aucun rapport.
La preuve en est que ton gourou est bien incapable de juxtaposer à son texte les textes de Faurisson qu'il prétend pasticher.
Par ailleurs, tu n'as pas répondu sur Napoléon.
Auteur : marco ducercle Date : 19 oct.17, 04:06 Message : Je n'ai pas répondu sur Napoléon tout simplement, parce que c'est toi qui m'a fait découvrir ce texte!!! Je ne connais pas tout les fakes et autres canulars qui circulent sur le net.
Quand bien même, je l'aurai découvert sans ton aide, j'aurais gardé le débarquement qui est beaucoup plus démonstratif.
Pour ce qui est du travail comparatif de mon gourou(Faubert Robinson. Universitaire, spécialiste en tout),et du tien( Universitaire, et lui aussi spécialiste en tout). Comparons:
Faubert Robinson << L’on connaît les photographies présentées comme étant celles du Jour J où l’on aperçoit des dizaines de GI’s prenant pied sur les plages.
Oui mais quelles plages ? Après tout, les Alliés ont débarqué en Afrique du Nord, en Sicile, en Italie, et dans une myriade d’îles du Pacifique. Rien ne prouve que ces photos ne représentent pas ces campagnes.
L’on se souvient également de ces six photos prises par Robert Capa. Elles font d’ailleurs la couverture d’un ouvrage récent publié aux éditions Gallimard et sobrement intitulé Le Débarquement en Normandie , de Anthony Kemp (1994). ..>> Etc etc etc
Robert Faurisson<< Dans ma jeunesse j’avais été moi-même choqué par le spectacle des morts ou des cadavres ambulants du camp de Bergen-Belsen. On voyait un bulldozer pousser vers le bord de grandes fosses des cadavres de détenus que des femmes SS jetaient ensuite dans ces fosses. On nous montrait un médecin SS, le Dr Fritz Klein, campant, les jambes écartées, au plein milieu d’une fosse et prenant apparemment une posture avantageuse, tandis que Franz Hössler, encore un SS, semblait, devant un camion chargé de cadavres, tenir un discours d’autosatisfaction. Bien des années plus tard j’allais comprendre que j’avais été la victime des artifices d’un film de propagande >> etc etc etc http://robertfaurisson.blogspot.fr/2011 ... suite.html
Auteur : Saint Glinglin Date : 19 oct.17, 05:30 Message : Et tu interromps la citation de Faurisson juste là où elle infirme ta caricature :
Au cours des derniers mois d’une guerre atroce, dans le chaos où avait été réduite l’Allemagne, le camp de Bergen-Belsen, submergé de détenus provenant de l’Est, avait été ravagé par une épidémie de typhus.
Il ne dit nullement que la photo n'a pas été prise à Bergen-Belsen.
Et dis-nous en quoi le texte sur Napoléon est moins démonstratif, qu'on rigole...
Auteur : marco ducercle Date : 19 oct.17, 07:34 Message : Tu veux qu'on rigole? Rigolons:
Tu m'as branché sur ma non réponse sur Napoléon mais de ton côté, tu n'as jamais répondu à la question qui est en lien direct avec la thèse de Faurisson:
Pourquoi les prisonniers de guerre alliés et les STO, qui eux aussi auraient dû subir les derniers mois d’une guerre atroce, dans le chaos où avait été réduite l’Allemagne n'ont pas connu le même taux de mortalité? http://www.forum-religion.org/general/r ... l#p1148694
Rigolons un peu plus.
Remontons l'article plus haut<< Bien des années plus tard j’allais comprendre que j’avais été la victime des artifices d’un film de propagande.>>.
Ce film de propagande d'après l'historien RF, aurait été filmé par George Stevens (le fameux cinéaste hollywoodien). http://robertfaurisson.blogspot.fr/2012 ... nisme.html
Manque de bole pour l'historien, George Stevens n' a pas filmé la libération de Bergen Belsen mais Dachau. Ces images ne sont pas américaines mais Britaniques.
J'arrête la sinon ça me prendrai la soirée. Je n'ai jamais dit que Faubert a fait un copié collé des arguments de Robert. J'ai écrit que l'argumentaire et le style ressemble. Les photos de Capa ou les images de Bergen-Belsen servent de propagande! D'ailleurs, Faubert ne nie pas qu'il y a eu un débarquement. Ca thèse est de nous dire qu'il eu lieu deux mois plus tard en Provence. Celui de Normandie ne servirai qu'a présenter l’Allemagne nazie sous son jour le plus sombre !. Robert développe le même argumentaire. Il ne nie pas la déportation, il dit qu'on fait reposer le taux de mortalité sur les épaules des allemands pour présenter l’Allemagne nazie sous son jour le plus sombre !, alors que les juifs sont morts à cause des bombardements alliées
Auteur : Saint Glinglin Date : 19 oct.17, 09:17 Message : Quand tu ne sais pas répondre sur un point, tu passes à un autre.
Auteur : marco ducercle Date : 20 oct.17, 03:08 Message : Comment appelles tu le fait d'inventer une histoire de réalisateur américain venu directement d'hollywood pour filmer la libération de Bergen Belsen?
Personnellement, j'appelle cela du trucage.
Auteur : Bertrand Date : 20 oct.17, 04:17 Message : A se demander;;; Les guerres auraient- elles pour but ! Le Control des populations ???
Auteur : Saint Glinglin Date : 20 oct.17, 07:03 Message :
Saint Glinglin a écrit :Quand tu ne sais pas répondre sur un point, tu passes à un autre.
Auteur : marco ducercle Date : 20 oct.17, 07:49 Message :
Comment appelles tu le fait d'inventer une histoire de réalisateur américain venu directement d'hollywood pour filmer la libération de Bergen Belsen?
Personnellement, j'appelle cela du trucage.
Auteur : Saint Glinglin Date : 20 oct.17, 07:55 Message : Tu te gardes bien de citer ce dont tu prétends parler.
Et Napoléon ?
Auteur : marco ducercle Date : 20 oct.17, 08:32 Message : Ai je dis que c'etait un copié collé? Non! Comme ton gourou, tu t'obstines sur des détails mais tu passes à côté de l'essentiel. Le pastiche de Fauvert démontre que des documents photographiques ou cinématographiques ne prouvent rien puisqu'on peut leur faire dire n'importe quoi! Les morts de belsen? Le typhus bien sur. Le reste n'est que mise en scène. Comme les photos du débarquement.
Maintenant, je te propose un deal. Je répond sur Napoléon si tu réponds au sujet du capitaine Samuel Goldstein du 2e bataillon de Rangers US. http://www.forum-religion.org/general/n ... l#p1173899
C'est pas toi qui m'a dit:
Quand tu ne sais pas répondre sur un point, tu passes à un autre.
Auteur : Saint Glinglin Date : 20 oct.17, 09:47 Message : J'avais déjà répondu. Et en plus, tu n'as même pas donné la source de ton machin.
Auteur : marco ducercle Date : 20 oct.17, 20:49 Message : Tu parles, t'as répondu à que dalle. Ce machin ne s'adressé pas à toi mais à CDL. Je voulais démontrer qu'il ne s'opposé à la shoah que pour des raisons de principes et non sur des bases historiques.
Lien ou pas lien, un mec qui s'intéresse "un petit peu" à cette période historique aurait tout de suite vu que c'était un faux grossier.
Je ne me rappelle pas que tu l'a dénoncé comme tel!
Auteur : Saint Glinglin Date : 21 oct.17, 00:57 Message : Dans ce fil, CDL brille par son absence.
Et puis je t'ai déjà répondu que Faurisson n'avait jamais nié la déportation.
Auteur : marco ducercle Date : 21 oct.17, 03:45 Message : Je parle du machin!
La où il est écrit que les américains ont libérés auschwitz: http://www.forum-religion.org/general/n ... l#p1173058
,
Que CDL n'est pas répondu n'a rien d'étonnant puisque l'histoire ne l'intéresse pas. Par contre, j'ai été très étonné que quelqu'un aussi bien informé sur cette période soit passé à côté de cette contre vérité.
Auteur : Bertrand Date : 21 oct.17, 04:49 Message : Envoyer. des gens en pleine mer devant des mitraillettes....Fallait pas être très brillant....
Auteur : JPG Date : 21 oct.17, 09:28 Message :
JPG a écrit :N'importe quoi, la seule lecture du titre, interdit de lire quoique ce soit de ce post. J'ai des ancêtres qui ont pris part à ce débarquement. Quel sot, quand ont veut pas, c'est une bonne occasion pour dire n'importe quoi.
Les résultats, basta; les témoins, basta; les acteurs, basta.
marco ducercle a écrit :
Mon chère JPG, le but de ce sujet n'est pas de remettre en cause le débarquement, qui est un fait historique au même titre que la bataille de la marne par exemple. J'ai simplement trouvé amusant le parallèle négationniste dans la structure et dans l'argumentaire calqué sur la méthode Faurisson: - pointer les différences de vus des auteurs historiques comme le font les créationnistes( si ils y ne disent pas la même chose, c'est que c'est faux).
- partir d'un postula( c'est impossible que ci ou cela arrive pour telle ou telle raison, donc ça n'a pas pu arriver)
-remettre en cause les documents et autres témoignages( une photo? cela ne prouve rien, elle a pu être prise à n'importe quel moment. Un témoignage? rien ne prouve que ce soi disant témoin n'est pas de mèche).
Etc etc etc.
Je remarque que Liberté 1 ne voit pas l'intérêt de remettre en cause le débarquement mais reste dubitatif sur la shoah. C'est le pourquoi de ce post
Merci de cette précision.
Auteur : marco ducercle Date : 22 oct.17, 03:18 Message :
Saint Glinglin a écrit :
Sur le même site, vous trouverez : "COMME QUOI NAPOLÉON N'A JAMAIS EXISTÉ" http://www.phdn.org/negation/fous/napoleon.html
Ce n'est pas ce texte que Marco a choisi. Je vous laisser chercher pourquoi.
Bien que tu n'ai pas répondu sur le machin alors que tu es un expert du faux témoignage, je vais répondre sur Napoléon. Lorsque dans ce sujet quelqu'un emploie les mots Faurisson et gazage, pas besoin d'être un fin limier pour deviner ses intentions