Auteur : prisca
Date : 17 oct.21, 21:57
Message : 24 C'est pourquoi Dieu les a livrés à l'impureté, selon les convoitises de leurs coeurs;' en sorte quils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps; 25 eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen !26 C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature; 27 et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.
Puisqu'ils ont sali le Corpus Christi, le Corpus Christi c'est
la célébration de la mort et de la résurrection de Jésus de Nazareth (« Eucharistie »). - Corpus Christi voulant dire : le Corps du Christ - D.IEU les a laissés à l'état "d'animal" et ne leur a pas donné ce que doivent recevoir "les hommes spirituels" à savoir la désinhibition des pulsions liés à l'animal dans le but qu'ils se déshonorent eux mêmes par les pratiques homosexuelles parce qu'eux ont changé la Vérité en mensonge, et ils ont préféré servir le serpent au lieu de servir le Créateur.
Les prêtres savent lire, vous savez lire, alors pourquoi toujours l'Omerta ?
Pourquoi vous êtes tièdes ? frileux ?
Pourquoi les fidèles catholiques approuvent ces agissements scandaleux d'homosexualité entre prêtres ?
Si les fidèles catholiques ne voient pas l'homosexualité d'un mauvais oeil, qu'ils se questionnent alors sur leur propre foi.
Eux les fidèles catholiques qui ont privilégié le snobisme de leur culture catholique en étant propres sur eux, endimanchés, aristocrates, ils ferment les yeux à des pratiques qui leur font pousser des cris d'horreur si toutefois entre eux, lors d'une partie de bridge, ils savaient que leur voisin était homosexuel, et là, devant le prêtre à l'église, ils font mine de rien, dans leur for intérieur ils doivent se poser la question "et lui est ce qu'il est homo aussi " ? Ils le jaugent, remarque qu'il a des manières, et ils écoutent "les on dit" et ils rigolent en eux mêmes, esquissent un sourire et regardent autour d'eux si personne ne les a surpris...................
https://www.demotivateur.fr/article/sod ... ican-15572
« Sodoma », le livre choc qui fait trembler le Vatican
Par Mathieu D ·Publié jeudi 14 février 2019 à 16h16
La sortie d’un livre sur les pratiques homosexuelles au Vatican risque de créer une onde de choc au sein de l’Église catholique.
Symbole du catholicisme et, en même temps, forteresse bien gardée où les secrets ne sortent pas des murs, au point d’alimenter les fantasmes les plus fous, le Vatican pourrait bien traverser une zone de turbulence sans précédent.
« L'homosexualité devient la règle, l'hétérosexualité l'exception »
Selon lui, « le Vatican a une communauté homosexuelle parmi les plus élevées au monde ». « Je doute que, même dans le Castro de San Francisco, ce quartier gay emblématique, aujourd'hui plus mixte, il y ait autant d'homos ! », ose-t-il encore.
« L'homosexualité s'étend à mesure que l'on s'approche du saint des saints ; il y a de plus en plus d'homosexuels lorsqu'on monte dans la hiérarchie catholique. Dans le collège cardinalice et au Vatican, le processus préférentiel est abouti : l'homosexualité devient la règle, l'hétérosexualité l'exception. », explique-t-il ainsi.
Il prétend également que les tenants des discours officiels les plus homophobes et traditionnels au sein du Vatican sont très souvent homosexuels ou homophiles dans le privé. Une véritable hypocrisie qui « se vérifie presque toujours » selon Frédéric Martel, lequel se défend d’avoir écrit un livre anticlérical.
Entres autres anecdote invraisemblables voire glauques, il raconte notamment comment se côtoient « deux misères sexuelles » du côté de la gare de Rome-Termini, celle des prêtres homosexuels qui se cachent et celle des migrants prostitués.
On y apprend également que deux éminents cardinaux, membres de la « garde rapprochée » de Jean-Paul II et connus pour leur homophobie notoire, ont été mêlés à une sombre affaire de prostitution masculine.
Notons que l’auteur se montre plutôt bienveillant avec le pape François, dont la position sur l’homosexualité demeure toujours aussi trouble, tantôt tolérante - avec sa désormais célèbre formule « qui suis-je pour juger ? » - et tantôt calquée sur la doctrine officielle de l’Église, comme quand il évoque la « psychiatrie » pour les enfants présentant « des tendances homosexuelles », ou encore lorsqu'il fait part de ses craintes quant à la « mode » homosexuelle.
Enfin, Frédérique Martel évoque, non sans une certaine tristesse, l’un des prêtres qu’il a connu durant sa jeunesse à Avignon (Vaucluse), lequel est décédé dans les années 90 du sida, après avoir été marginalisé et abandonné par l’Église.