Auteur : Plenitude
Date : 18 juil.13, 00:25
Message : Le point de vue de la WT sur la question :
http://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/2006167
Bonne lecture.
Auteur : medico
Date : 18 juil.13, 03:50
Message : Martur a écrit :Pourquoi est-ce dans le topic Témoin de Jéhovah ?
l'auteur a surement une idée derière la tête.
Auteur : papy
Date : 18 juil.13, 08:59
Message : Extrait de la question de lecteur que plenitude a cité (
http://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/2006167 )
Paul n’écrira-t-il pas à Timothée : “ Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ou de dominer sur l’homme, mais qu’elle soit dans le silence. ” — 1 Timothée 2:12.
Est-ce à dire qu’une chrétienne ne doit jamais s’exprimer aux réunions ?
Non.
En 1cor 5:9 paul dit :. Paul a dit aux chrétiens de Corinthe de “cesser de fréquenter quelqu’un qui porte le nom de frère et qui est fornicateur, ou avide, ou idolâtre, ou insulteur, ou ivrogne, ou extorqueur, et de ne pas même manger avec un tel homme”.
Est-ce à dire qu'un chrétien ne doit jamais saluer un exclu ? Non...... he oui ........c'est telement évident !
Désolé je suis entrain d'imiter l'EFA mais je ne suis pas inspiré .
Auteur : medico
Date : 20 juil.13, 04:23
Message : commentaire de la bible annotée sur ce passage.
Grec « pas permis de parler, mais d’être soumises ». Il y a de l’ironie dans la tournure dont l’apôtre se sert. — La loi qu’invoque ici l’apôtre n’est pas autre chose que l’ordre établi par Dieu après la chute, et selon lequel la femme est placée sous la domination de son mari (#Ge 3:16 ; comparez #1Ti 2:12 ; #Eph 5:22). Or, il y a, dans la parole en public, une domination morale contraire à cet ordre, aussi bien qu’à la nature de la femme. D’autant plus qu’ici l’apôtre parle de l’exercice des dons spirituels, qui supposent cette domination au plus haut degré, et qui requièrent des facultés (#1Co 14:32, note) dont les femmes ne sont, en général, pas douées. Tout s’unit ici pour motiver cette défense absolue (#1Co 14:35), même l’expérience de quelques sectes qui, comme celles des Amis (quakers), ont cru pouvoir n’en tenir aucun compte, en se fondant sur le silence de l’apôtre #1Co 11:5. Toutefois, Paul restreint positivement sa défense par ces mots : dans les Églises (assemblées) ; car l’action chrétienne, missionnaire, de la femme, dans la vie privée, auprès des personnes de son sexe, n’est pas seulement un droit, mais un devoir aussi sacré que celui des hommes. Paul lui-même en jugeait ainsi (#Ro 16:1-6). Ce champ est assez vaste, même pour l’application des dons extraordinaires de l’Esprit, qui, dans la primitive Église, étaient parfois accordés aux femmes (#Ac 21:9) ; en sorte qu’il n’y a pas contradiction entre ce fait et la défense de l’apôtre.