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Auteur : samuell
Date : 23 sept.13, 23:45
Message : Réaction de Mgr Lalanne
La Cour d'appel de Caen vient de rendre sa décision dans l'affaire de la demande de radiation du registre des baptêmes,
jugée en première instance le 6 octobre 2011 par le Tribunal de Grande Instance de Coutances.
Le Tribunal ordonnait alors de procéder à l'effacement définitif de la mention selon laquelle le demandeur avait été baptisé, et ce, par tout moyen.
Cette décision, à mes yeux, n'était pas admissible.
J'étais alors directement concerné et mis en cause en tant qu'évêque du diocèse de Coutances et Avranches. J'avais donc décidé de faire appel de cette décision. La Cour d'appel de Caen infirme aujourd'hui la décision du Tribunal de Coutances.
D'une part, les magistrats ont reconnu que la tenue des registres de baptêmes correspond à une finalité légitime dans le cadre de la loi informatique et libertés. D'autre part, les magistrats ont conclu qu'il n'y avait pas, pour cet événement public qu'est le baptême, atteinte à la vie privée. En effet, le registre n'est pas accessible aux tiers et la divulgation de l'information est au surplus le fait du seul intéressé.
C'est bien ce que je souhaitais faire entendre en 2011.
Bien sûr, l'Eglise restera à l'écoute des personnes qui veulent faire une démarche en vue d'obtenir la radiation de leur nom des registres de baptême : l'Eglise continuera, comme auparavant, à accéder à leur souhait en apposant à proximité de leur nom, sur le registre des baptêmes, une mention qui en atteste.
L'Eglise accueille de façon compréhensive ces demandes et respecte la liberté de cheminement de ces personnes. Mais elle se doit aussi d'honorer le sens fondateur et essentiel de l'acte de baptême. C'est l'attitude qu'elle a eue avec le demandeur de la Manche.
Elle ne peut pas lui dire : «Oui, votre baptême n'a pas eu lieu.» C'est impossible ! Le baptême, pour les chrétiens, est une nouvelle naissance dans la vie du Christ. Cet événement, d'ordre spirituel, est aussi un acte humain et historique, vécu par plusieurs personnes qui en ont donc été partie prenante ou témoins.
Je suis d'autant plus satisfait de la décision de la Cour d'appel de Caen que celle-ci pourra permettre de répondre aux interrogations d'autres diocèses confrontés à des questions similaires.
+ Mgr Stanislas Lalanne,
Evêque de Pontoise
Auteur : Kalou
Date : 24 sept.13, 02:48
Message : Il ne s'agit pas de nier la tenue du baptême, mais bien de tracer notre nom d'un registre.
Nous n'avons pas voulu y entrer, on nous l'a imposé sans nous demander notre avis. Cette cérémonie n'a aucune valeur à nos yeux, et il n'est pas normal que nous la trainions comme un fardeau ou un crime que nous aurions commis.
Je croyais que l'église était capable d'ouverture, mais celle-ci se comporte comme les pires des sectes en prétendant avoir des droits sur les âmes de personnes qui ne leur ont jamais rien demandé.
On reproche à des réseau comme Facebook de ne pas offrir la possibilité d'effacer des données, car on considère que cela est une atteinte à la vie privée. Or, il s'agit d'informations que nous avons diffusées de notre plein gré.
Ici il est question de la décision de certaines personnes alors que nous n'étions pas capable de discernement. Si vous ne voulez pas nous débaptiser, excommuniez-nous!
Auteur : medico
Date : 24 sept.13, 04:52
Message : dans certains pays come la Suisse ou l'Allemagne si vous ne faîte pas cette démarche vous payez un impôt.donc celui qui ne veut pas payer doit se faire rayé de la liste des baptiser.disant qu'il n'est plus catholique ou protestant.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 24 sept.13, 05:10
Message : Kalou a écrit :Il ne s'agit pas de nier la tenue du baptême, mais bien de tracer notre nom d'un registre.
Nous n'avons pas voulu y entrer, on nous l'a imposé sans nous demander notre avis.
En ce qui concerne l'état-civil, c'est la même chose.
Un anarchiste peut-il obtenir de ne plus avoir d'existence juridique ?
Un homme devenu militant pacifiste sur le tard peut-il obtenir de faire effacer toute trace d'un service militaire ?
Et de toute façon, il y a un tas de non-baptisés décédés qui se retrouvent baptisés post-mortem dans l'église mormonne...
Auteur : medico
Date : 24 sept.13, 05:14
Message : Saint Glinglin a écrit :
En ce qui concerne l'état-civil, c'est la même chose.
Un anarchiste peut-il obtenir de ne plus avoir d'existence juridique ?
Un homme devenu militant pacifiste sur le tard peut-il obtenir de faire effacer toute trace d'un service militaire ?
Et de toute façon, il y a un tas de non-baptisés décédés qui se retrouvent baptisés post-mortem dans l'église mormonne...
LES MORTS NE PEUVENT PLUS RIEN DIRE.

Auteur : samuell
Date : 24 sept.13, 06:39
Message : Saint Glinglin a écrit :
Et de toute façon, il y a un tas de non-baptisés décédés qui se retrouvent baptisés post-mortem dans l'église mormonne...
pourquoi pas , au moins ça n'oblige pas de suivre aveuglément ce mouvement et vivre sa vie en TOUTE Liberté

Auteur : Saint Glinglin
Date : 24 sept.13, 10:02
Message : Etre baptisé catholique non plus.
Auteur : Kalou
Date : 25 sept.13, 05:24
Message : Il s'agit s'un acte symbolique. Si on le demande, c'est avant tout une question de principe qui n'engage aucune conséquences sociale.
La seule chose qui en souffrira sera la fierté des chrétiens.
Pour info, une sortie d'Eglise en Suisse ne fait pas disparaitre des registres de baptêmes. Il ne s'agit que d'une sortie administrative de l'institution de l'Eglise.
A ses yeux, nous sommes toujours croyant et on peut y retourner quand on veux. Je salue cette liberté, mais j'apprécierai qu'ils m'oublient pour de bon.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 25 sept.13, 07:46
Message : Ton principe, c'est de reconnaître la validité de ton baptême, ce qui est une démarche pour le moins curieuse de la part d'un athée.
Auteur : medico
Date : 26 sept.13, 02:19
Message : Saint Glinglin a écrit :Ton principe, c'est de reconnaître la validité de ton baptême, ce qui est une démarche pour le moins curieuse de la part d'un athée.
C'est l'inverse qu'il désire.
Auteur : medico
Date : 26 sept.13, 22:10
Message : 
SOURCE : Le Nouvel Observateur . Décembre 2012.
Auteur : Marmhonie
Date : 26 sept.13, 22:45
Message : medico a écrit : LES MORTS NE PEUVENT PLUS RIEN DIRE.

Alors pourquoi sont-ils systématiquement baptisés par les mormons, et pourquoi il est impossible aux familles de protester et de demander que ces baptêmes sauvages et systématiques ne soient pas rayés, eux aussi ?
http://clesnes.blog.lemonde.fr/2012/02/ ... les-morts/
Quand un ami a découvert que toute sa famille, juive, exterminée à Auschwitz, avait été baptisée mormons, il a porté plainte. Sans succès. Sa blessure est profonde. Et les scandales se multiplient :
http://tempsreel.nouvelobs.com/les-inte ... frank.html
Et le respect des morts, c'est pour quand ? Et les derniers vœux in articulo mortis, c'est pour quand ? Je vous rappelle que mon pauvre père mourant, on lui a refusé la messe catholique de toujours, dite sous Vatican II de rite extraordinaire, la tridentine sous laquelle les siens avaient été inhumés. Je crois qu'on peut tous balayer devant notre porte...
Auteur : medico
Date : 26 sept.13, 22:50
Message : mais les Mormons ne sont pas en accord avec la bible sur cette question.
Auteur : Marmhonie
Date : 26 sept.13, 23:06
Message : Eux disent que si, demande à Mormon

Auteur : l'hirondelle
Date : 27 sept.13, 02:22
Message : Le terme débaptisation est terme très comique.
Je préfère nettement "apostasie". C'est clair et net.
Je n'ai pas renié mon baptême, par contre, j'ai écrit au curé de la paroisse où j'avais été baptisée que je n'étais plus catholique, que j'étais devenue protestante et que je voulais que cela soit signifié dans le registre.
Il ne m'a jamais répondu.
Une de mes connaissances s'est vu inscrire, de facto, comme catholique, parce que français, quand il est allé vivre en Bavière. Il a fallu qu'il fasse des pieds et des mains pour qu'on le reconnaisse comme athée.
suite de cette affaire
Quoi qu'il en soit, la Cour d'appel annule le jugement du tribunal de Coutances, et fait observer que la liberté du requérant "de ne pas appartenir à la religion catholique est respectée" par la seule mention portée sur le registre des baptêmes, "sans qu'il y ait lieu à effacement ou correction supplémentaire du document litigieux".
Pour parvenir à cette solution, la Cour d'appel examine successivement les deux moyens invoqués par le requérant.
La violation de la vie privée
Celui-ci invoque d'abord une violation de l'article 9 du code civil, c'est à dire une atteinte à sa vie privée. Le tribunal de Coutances s'était appuyé sur cet argument, et avait considéré que la célébration du baptême relève de la vie privée. A ses yeux le registre délivre donc une information personnelle sur l'individu qui doit être protégée par l'article 9 du code civil.
La Cour d'appel adopte la position inverse. Pour elle, la célébration d'un baptême constitue un évènement public, et le registre se borne à mentionner l'identité du baptisé, de ses parents, de ses parrain et marraine. En soi, ces mentions ne révèlent rien sur la pratique religieuse de l'intéressé, mais se bornent à mentionner un évènement qui s'est déroulé alors qu'il était un nourrisson âgé de deux jours. Cette mention d'un évènement religieux n'implique évidemment aucune volonté de discrimination à son égard. On doit d'ailleurs observer que cette célébration n'est évidemment pas le choix de l'enfant, mais celui de ses parents, et que leur volonté doit aussi être respectée.
Quant à la communication des informations portées sur le registre, elle n'emporte pas davantage atteinte à la vie privée, dès lors que ces éléments ne sont pas communicables à tous, mais seulement aux ministres du culte et à l'intéressé, s'il en fait la demande. Les tiers n'y ont en principe pas accès.Ceci nous amène au second moyen développé par le requérant, qui invoque la non conformité du registre des baptêmes à la loi du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés. Rappelons à ce propos, car on n'a désormais que très rarement l'occasion de le faire, que ce texte s'applique aussi aux fichiers non informatisés, et donc à un registre comportement des données nominatives comme le registre des baptêmes.
Il est vrai qu'un tel registre conserve des données relatives à l'appartenance d'une personne à une religion et qu'il s'agit donc bien de données à caractère personnel au sens de la loi du 6 janvier 1978. Dans ce domaine, la collecte et la conservation des données doivent respecter quelques grands principes.
Le premier d'entre eux est la loyauté, ce qui signifie que les informations ne peuvent être collectées à l'insu des intéressés. Tel n'est pas le cas en l'espèce, puisque les parents du requérant ont, au contraire, souhaité que son nom figure sur le registre des baptêmes.
Le second est le principe de finalité qui veut que les données conservées doivent être strictement conformes à l'objet du fichier. L'inscription sur le registre des baptêmes a pour objet d'informer les membres du clergé du fait qu'une personne est baptisée, notamment lorsque l'intéressé souhaite ensuite, par exemple, la célébration d'un mariage religieux. Il ne s'agit, en aucun cas, d'en déduire une quelconque participation à une communauté paroissiale ou d'utiliser le fichier à des fins de prosélytisme. La loi du 6 janvier 1978 prévoit d'ailleurs expressément le cas des données conservées par les organismes religieux à but non lucratif, qui ne doivent pas être communiquées à des tiers, sauf consentement de l'intéressé. Le registre des baptêmes ne fait pas exception à cette règle, et la diffusion des données aux tiers, dans le cas du requérant, est de son propre fait, puisqu'elle résulte du contentieux dont il a pris l'initiative.
Le troisième principe enfin est celui de la pertinence et de l'exactitude des données stockées. Le registre des baptêmes ne conserve que le minimum des informations utiles pour savoir qu'une personne a été baptisée. L'intéressé peut d'ailleurs, comme l'a fait le requérant, demander l'ajout d'une mention selon laquelle il a renié son baptême. Sur ce point encore, le registre des baptêmes est donc conforme à la loi.
Le registre des baptêmes de la paroisse de Fleury est donc un fichier comme les autres, et un fichier licite. Il n'est que le reflet d'une situation à une date donnée, et, à ce titre, il a aussi une valeur d'archive. Il ne donne aucune information sur la pratique religieuse du requérant, mais seulement sur la démarche de ses parents qui, en 1940, ont souhaité le faire baptiser. Leur acte de volonté a existé, même si leur fils a ensuite renié cette appartenance religieuse, ce qui est son droit le plus strict. Mais il n'est pas en mesure de réécrire une histoire qui ne lui appartient pas.
http://libertescheries.blogspot.be/2013 ... [ATTENTION Censuré dsl].html Auteur : Kalou
Date : 27 sept.13, 03:37
Message : medico a écrit :
C'est l'inverse qu'il désire.
merci medico, c'est exactement ça.
Le fait d'être athée n'est en rien incompatible avec une vie construite sur des valeures morales et sprirtuelles.
J'ai une spiritualité, mais celle-ci n'est en aucun cas lié à une divinité quelle qu'elle soit.
Donc, j'estime que les cérémonies telles que le baptême, ont de l'importance pour ceux qui le pratiquent. C'est pourquoi je souhaite que ces personnes reconnaissent mon refus d'appartenir à leur groupe. Même si d'un point de vue purement matérialiste, le baptême c'est 3 gouttes d'eau sur la tête et puis c'est tout. Je suis conscient que ça n'aura pas d'influence sur mon devenir.
Seulement, je suis une personne de principe et je tiens à pouvoir dire à mes parents "Ce que vous avez choisi de me faire vivre ne me convient pas, et je souhaite annuler cette cérémonie".
C'est comme si tes parents t'avaient inscrit à ton insu à un groupe politique qui ne corresponds pas à tes idées. Même si jamais ton nom n'est cité et que tu ne paye aucune cotisations, tu ne souhaite pas qu'il subsiste une trace ou que ce soit comme quoi tu "appartiendrais" à ce groupe.
Pour les questions de pur principe, je pense qu'il faut faire les choses jusqu'au bout.
Ou je ne sors pas de l'eglise, ou je le fait ENTIEREMENT.
Auteur : medico
Date : 27 sept.13, 04:02
Message : mais un athée et une personne spirituel quoi que disent des bien pensants.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 27 sept.13, 04:21
Message : Kalou a écrit :Seulement, je suis une personne de principe et je tiens à pouvoir dire à mes parents "Ce que vous avez choisi de me faire vivre ne me convient pas, et je souhaite annuler cette cérémonie".
Alors tu crées ta propre cérémonie : un bon coup de sèche-cheveux pour symboliser la disparition de l'eau baptismale et c'est réglé.
Quand un musulman se fait baptiser, on ne lui demande pas en plus d'effacer quoi que ce soit. L'effacement est automatique, ses péchés antérieurs, dont celui d'errance spirituelle, étant lavés par l'eau du baptème.
C'est comme si tes parents t'avaient inscrit à ton insu à un groupe politique qui ne corresponds pas à tes idées. Même si jamais ton nom n'est cité et que tu ne paye aucune cotisations, tu ne souhaite pas qu'il subsiste une trace ou que ce soit comme quoi tu "appartiendrais" à ce groupe.
Dans ce cas, tu fais un procès à tes parents et non au parti qui n'y est pour rien.
Pour les questions de pur principe, je pense qu'il faut faire les choses jusqu'au bout.
Ou je ne sors pas de l'eglise, ou je le fait ENTIEREMENT.
Pour sortir, il faut d'abord être entré. Donc la preuve que tu es entré ne devrait pas te gêner.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 27 sept.13, 04:24
Message : medico a écrit :mais les Mormons ne sont pas en accord avec la bible sur cette question.
1 Cor 15.27 Dieu, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu'il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté.
15.28 Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous.
15.29 Autrement, que feraient ceux qui se font baptiser pour les morts? Si les morts ne ressuscitent absolument pas, pourquoi se font-ils baptiser pour eux?
Auteur : medico
Date : 27 sept.13, 05:36
Message : aucun rapport avec le baptême et le sujet ta citation.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 27 sept.13, 06:20
Message : Le verbe "baptiser" se rapporte au baptême, mon lapin.
Auteur : medico
Date : 27 sept.13, 06:36
Message : Saint Glinglin a écrit :Le verbe "baptiser" se rapporte au baptême, mon lapin.
OH LE SCOOP.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 27 sept.13, 06:38
Message : medico a écrit :aucun rapport avec le baptême et le sujet ta citation.
Auteur : medico
Date : 27 sept.13, 06:47
Message : je n'avais pas bien lu.désolé.
Paul ne recommandait pas de baptiser les vivants à la place des morts qui n’avaient pas reçu le baptême. Il voulait dire que les chrétiens oints de l’esprit sont immergés dans une vie durant laquelle ils demeurent intègres jusqu’à leur mort, après quoi ils sont ressuscités pour une vie spirituelle.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 27 sept.13, 06:50
Message : Et tu appelles cela se faire baptiser "pour les morts" ?
S'il n'avait voulu parler que de vivants, ils n'aurait pas parlé de morts. C'est élémentaire.
Auteur : medico
Date : 27 sept.13, 07:03
Message : Au milieu d’une argumentation sur la résurrection céleste, l’apôtre Paul a rédigé un passage pour le moins étonnant. La Bible d’Osty le rend ainsi : “ Autrement, que gagneraient ceux qui se font baptiser pour les morts ? Si vraiment les morts ne sont pas relevés, pourquoi se fait-on baptiser pour eux ? ” — 1 Corinthiens 15:29.
Paul recommandait-il de baptiser les vivants à la place des morts qui n’avaient pas reçu le baptême ? On pourrait le penser à en juger d’après cette traduction de la Bible et d’autres. Cependant, un examen attentif tant des Écritures que du grec original utilisé par Paul suggère une autre conclusion. Paul voulait dire que les chrétiens oints sont baptisés, ou immergés, dans un mode de vie qui doit les mener, comme le Christ, à mourir fidèles, puis à être ressuscités pour une vie spirituelle.
Les Écritures confirment cette explication. Paul a écrit aux Romains : “ Ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? ” (Romains 6:3). Aux Philippiens, Paul a dit de lui-même qu’il ‘ participait aux souffrances du Christ, se soumettant à une mort semblable à la sienne, pour voir s’il pouvait de quelque manière parvenir à cette résurrection d’entre les morts qui aurait lieu de bonne heure ’. (Philippiens 3:10, 11.)
Auteur : Saint Glinglin
Date : 27 sept.13, 08:09
Message : medico a écrit :Au milieu d’une argumentation sur la résurrection céleste, l’apôtre Paul a rédigé un passage pour le moins étonnant. La Bible d’Osty le rend ainsi : “ Autrement, que gagneraient ceux qui se font baptiser pour les morts ? Si vraiment les morts ne sont pas relevés, pourquoi se fait-on baptiser pour eux ? ” — 1 Corinthiens 15:29.
Paul recommandait-il de baptiser les vivants à la place des morts qui n’avaient pas reçu le baptême ? On pourrait le penser à en juger d’après cette traduction de la Bible et d’autres. Cependant, un examen attentif tant des Écritures que du grec original utilisé par Paul suggère une autre conclusion. Paul voulait dire que les chrétiens oints sont baptisés, ou immergés, dans un mode de vie qui doit les mener, comme le Christ, à mourir fidèles, puis à être ressuscités pour une vie spirituelle.
Ἐπεὶ τί ποιήσουσιν οἱ βαπτιζόμενοι ὑπὲρ τῶν νεκρῶν; Εἰ ὅλως νεκροὶ οὐκ ἐγείρονται, τί καὶ βαπτίζονται ὑπὲρ τῶν (N βαπτίζονται ὑπὲρ τῶν νεκρῶν → βαπτίζονται ὑπὲρ αὐτῶν) νεκρῶν;
Autrement, que feraient ceux qui se font baptiser pour les morts ? Si les morts ne ressuscitent absolument pas, pourquoi se font-ils baptiser pour eux ?
http://ba.21.free.fr/ntgf/1corinthiens/ ... 15_gf.html
Où cette traduction est-elle fausse ?
Les Écritures confirment cette explication. Paul a écrit aux Romains : “ Ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? ” (Romains 6:3).
Mais il parle ici d'un baptême de vivants.
Aux Philippiens, Paul a dit de lui-même qu’il ‘ participait aux souffrances du Christ, se soumettant à une mort semblable à la sienne, pour voir s’il pouvait de quelque manière parvenir à cette résurrection d’entre les morts qui aurait lieu de bonne heure ’. (Philippiens 3:10, 11.)
8 Ἀλλὰ μὲν (N μὲν οὖν → μενοῦνγε) οὖν καὶ ἡγοῦμαι πάντα ζημίαν εἶναι διὰ τὸ ὑπερέχον τῆς γνώσεως χριστοῦ Ἰησοῦ τοῦ κυρίου μου: δι’ ὃν τὰ πάντα ἐζημιώθην, καὶ ἡγοῦμαι σκύβαλα εἶναι, (N εἶναι ἵνα → ἵνα) ἵνα χριστὸν κερδήσω,
Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ,
Il considère ici que le monde terreste n'a pas de valeur. D'accord.
9 καὶ εὑρεθῶ ἐν αὐτῷ, μὴ ἔχων ἐμὴν δικαιοσύνην τὴν ἐκ νόμου, ἀλλὰ τὴν διὰ πίστεως χριστοῦ, τὴν ἐκ θεοῦ δικαιοσύνην ἐπὶ τῇ πίστει:
et d'être trouvé en lui, non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s'obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu par la foi,
Il veut être un jour réuni au Christ. D'accord.
10 τοῦ γνῶναι αὐτὸν καὶ τὴν δύναμιν τῆς ἀναστάσεως αὐτοῦ, καὶ τὴν (N τὴν κοινωνίαν τῶν → [τὴν] κοινωνίαν [τῶν]) κοινωνίαν τῶν παθημάτων αὐτοῦ, συμμορφούμενος (N συμμορφούμενος → συμμορφιζόμενος) τῷ θανάτῳ αὐτοῦ,
Afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort, pour parvenir,
Il peut-être envie d'être crucifié, mais c'est une autre question.
11 εἴ πως καταντήσω εἰς τὴν ἐξανάστασιν τῶν (N τῶν → τὴν ἐκ) νεκρῶν.
si je puis, à la résurrection d'entre les morts.
Il ne dit pas qu'elle est pour bientôt. Il dit même ailleurs :
1 Thes 4.13 Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l'ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n'ont point d'espérance.
4.14 Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu'il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts.
4.15 Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d'après la parole du Seigneur:
nous les vivants, restés pour l'avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts.
4.16 Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement.
4.17 Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur.
4.18 Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles.
Bref : tout ceci ne prouve pas une absence de baptême des morts.
Auteur : medico
Date : 28 sept.13, 01:08
Message : Autrement, demande Paul, que feront-ils, ceux qui sont en train d’être baptisés pour être des morts ? Si les morts ne doivent nullement être relevés, pourquoi aussi sont-ils en train d’être baptisés pour être des morts ? Pourquoi aussi sommes-nous en danger à toute heure ? ” (1 Corinthiens 15:29, 30). Paul ne voulait pas dire que des individus vivants étaient baptisés en faveur de personnes mortes, comme le donnent à croire certaines traductions de la Bible. Après tout, le baptême est lié à la condition de disciple chrétien, et les âmes mortes ne peuvent être des disciples (Jean 4:1). Paul parlait en fait de chrétiens vivants, dont beaucoup étaient comme lui “ en danger à toute heure ”. Les chrétiens oints étaient ‘ baptisés dans la mort de Christ ’. (Romains 6:3.) Depuis leur onction, ils étaient en quelque sorte “ baptisés ” dans une existence qui les mènerait à une mort semblable à celle de Christ (Marc 10:35-40). Ils mourraient avec l’espérance d’une glorieuse résurrection céleste. — 1 Corinthiens 6:14 ; Philippiens 3:10, 11.
Paul explique à présent qu’il s’est trouvé lui-même en face de dangers si grands qu’il pouvait dire : “ Chaque jour je suis exposé à la mort. ” Et pour le cas où certains l’accuseraient d’exagérer, il ajoute : “ Cela je l’affirme par les motifs que j’ai de me glorifier de vous, frères, en Christ Jésus notre Seigneur. ” La Bible de Jérusalem rend ce verset comme suit : “ Chaque jour je suis à la mort, aussi vrai, frères, que vous êtes pour moi un titre de gloire dans le Christ Jésus, notre Seigneur. ” Pour donner un exemple des dangers qu’il a affrontés, Paul dit au verset 32 qu’il a “ combattu contre des bêtes sauvages à Éphèse ”. Les Romains exécutaient souvent les criminels en les jetant aux bêtes sauvages dans l’arène. Si Paul a vraiment eu à combattre les bêtes sauvages, il n’a pu survivre qu’avec l’aide de Jéhovah. Sans l’espérance de la résurrection, le genre d’existence qu’il avait choisi et qui l’exposait à de tels périls aurait véritablement été de la plus folle témérité. Sans l’espérance d’une vie future, il n’aurait servi à rien d’endurer les tribulations et les sacrifices que demandait le service de Dieu. “ Si les morts ne doivent pas être relevés, dit Paul, ‘ mangeons et buvons, car demain il nous faudra mourir ’. ” — 1 Corinthiens 15:31, 32 ; voir aussi 2 Corinthiens 1:8, 9 ; 11:23-27.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 28 sept.13, 03:34
Message : Si vous répétez sans tenir compte des objections, ce n'est pas la peine de débattre.
Auteur : medico
Date : 28 sept.13, 04:34
Message : c'est pour mieux te faire comprendre.
commentaire bible Scotfield.
* baptiser.
Paul ne parle pas de baptiser des croyants en faveur d’autres croyants ou d’incrédules déjà morts. Il n’est pas question de conférer au baptême un pouvoir de salut. Le raisonnement est le suivant : à quoi sert-il de se confier en Christ et de se faire baptiser, c’est-à-dire occuper la place vacante laissée par la mort d’un chrétien, s’il n’y a pas de résurrection pour les croyants ? Pourquoi mettre sa vie en danger, risquer d’en perdre les avantages, s’il n’y a que néant après la mort ?
Auteur : Saint Glinglin
Date : 28 sept.13, 04:50
Message : medico a écrit :c’est-à-dire occuper la place vacante laissée par la mort d’un chrétien
Quelle est cette trouvaille ? De la théologie de TJ limitant les sauvés à 144.000 ?
Auteur : medico
Date : 29 sept.13, 05:44
Message : Saint Glinglin a écrit :
Quelle est cette trouvaille ? De la théologie de TJ limitant les sauvés à 144.000 ?
Tu lis ce que tu as envie de lire.
ma citation ne provient pas des écrits des tj mais du commentaire de la bible Scotfield.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 29 sept.13, 06:26
Message : Quelque soit l'auteur, qu'est-ce que ça veut dire ? Il n'y a pas de trace dans les Evangiles d'un ordre de prédication limitée (après la résurrection, s'entend).
Auteur : medico
Date : 29 sept.13, 07:28
Message : l'auteur n'a pas si tord.car Paul dit que le mort est acquité de son péché.alors le baptême ne lui sert a rien.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 29 sept.13, 08:13
Message : Et comment serait-il acquitté de son péché, je vous prie ?
Auteur : medico
Date : 29 sept.13, 09:34
Message : médite sur ses propos de Paul.
(Romains 6:7) 7 Car celui qui est mort a été acquitté de [son] péché.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 29 sept.13, 22:57
Message : 6.1 Que dirons-nous donc? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde?
6.2 Loin de là! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché?
6.3 Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus Christ, c'est en sa mort que nous avons été baptisés?
6.4 Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.
6.5 En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection,
6.6 sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché;
6.7 car celui qui est mort est libre du péché.
Il ne parle ici que des chrétiens ayant été baptisés vivants (au sens biologique du terme), le baptême étant symboliquement une noyade suivie d'une résurrection.
Lorsque le Christ est descendu au enfers, il en a délivré tous ceux qui étaient morts avant lui.
Reste la problématique de ceux qui sont morts après sa remontée des enfers : soit ils ont rencontré et accepté le christianisme et sont sauvés par le baptème, soit ils n'ont pas été baptisés et sont descendus aux enfers sans espoir d'en être délivrés.
Et donc les chrétiens qui ont de la famille ou des amis qui sont mort sans baptême se sont inquiétés pour eux par affection. Et il leur a été offert la possibilité de se faire baptiser pour ces morts.
Ici, Paul parle de résurrection contemporaine et non à la fin des temps :
1 Cor 15.15 Il se trouve même que nous sommes de faux témoins à l'égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu'il a ressuscité Christ, tandis qu'il ne l'aurait pas ressuscité, si les morts ne ressuscitent point.
15.16 Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n'est pas ressuscité.
Idem ici :
15.27 Dieu, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu'il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté.
15.28 Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que Dieu soit tout en tous.
15.29 Autrement, que feraient ceux qui se font baptiser pour les morts? Si les morts ne ressuscitent absolument pas, pourquoi se font-ils baptiser pour eux?
Si cela ne parle qu'une résurrection à la fin des temps, on se demande bien a quoi a servi le sacrifice du Christ.
Auteur : medico
Date : 30 sept.13, 02:41
Message : en fait tu évites de répondre exactement sur ce que veux dire Paul quand il dit.
(Romains 6:7) 7 Car celui qui est mort a été acquitté de [son] péché.
tu noies le poisson part ta floppé de citations
Auteur : Saint Glinglin
Date : 30 sept.13, 03:38
Message : Saint Glinglin a écrit :Il ne parle ici que des chrétiens ayant été baptisés vivants (au sens biologique du terme), le baptême étant symboliquement une noyade suivie d'une résurrection.
Auteur : medico
Date : 30 sept.13, 05:18
Message : donc c'est pas une mort physique.
mais dans l'épître aux Romains c'est bel et bien la mort physique dont il est question.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 30 sept.13, 08:51
Message : Si être "mort au péché" est une mort physique, comment peut-il en parler présent ?
Auteur : medico
Date : 01 oct.13, 03:02
Message : ne joue pas sur le verbe.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 01 oct.13, 08:54
Message : Tu en est réduit à du n'importe quoi pour défendre une thèse indéfendable.
Auteur : medico
Date : 01 oct.13, 19:44
Message : en fin tu ne trouve rien a dire sur ce que dit Paul a part ton dénigrement habituel.
quand quelqu'un est quitte d'une faute on en parle plus c'est aussi simple que ça !
Auteur : medico
Date : 06 oct.13, 22:41
Message : Non consulté, il veut obtenir l’annulation du baptême de sa fille.
Philippe y tient plus que tout. Il veut l’annulation pure et simple du baptême de sa fille. "J’ai appris sur un réseau social que ma fille avait été baptisée. Tout ceci s’est fait contre ma volonté", scande le père de cette fillette de 5 ans qui doit vivre au milieu d’un couple en plein divorce. Pourtant, dans ce couple de confession mixte, le mari est musulman, mais non pratiquant, et sa femme catholique. Tout semblait partir sur de bons consensus. Le mari ayant accepté "par amour pour ma femme", de se marier à l’église.
Au final, il faudra un an de recherches à Philippe pour retrouver le lieu et le certificat de baptême de sa fille. "Je ne suis pas fondamentalement contre le baptême. Mais dans le cas de notre couple, je voulais que mon enfant choisisse sa religion. Je ne voulais rien lui imposer", précise Philippe. Mais un baptême, c’est un sacrement. Et un sacrement, ça ne s’annule pas.
"Oui, confirme le père Luc Jourdan, de la paroisse Saint-Nazaire, il faut l’accord des deux parents pour baptiser un enfant. Il y a eu une erreur de jeunesse du prêtre qui a célébré ce sacrement. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais il n’y a que la signature de la mère dans la demande de baptême. J’ai expliqué au père que le baptême était un acte de foi. Que si l’enfant ne veut pas avancer plus en avant dans la religion catholique il ne le fera pas. Mais on ne peut pas l’annuler. L’enfant, si elle le désire, pourra demander de rayer des registres son acte de baptême. Mais Dieu ne peut pas reprendre son amour. Nous ne pouvons rien faire de plus." Une solution qui ne plaît guère à Philippe qui en fait désormais un principe.
"Je ne suis pas là pour rentrer dans une quelconque guerre de religion. Je ne me serai jamais opposé à un baptême si quelqu’un avait pris quelques instants pour me le demander et que nous puissions en discuter. Ça n’a pas été le cas. Je ne veux pas cela pour ma fille. J’estime qu’elle doit être respectée et qu’elle doit pouvoir, seule, faire plus tard le choix de sa religion fusse-t-elle catholique."
Intenter un procès n’est pas la solution envisagée par ce père qui se dit bafoué dans son autorité parentale. En revanche, il n’exclut pas de remonter au plus haut dans la hiérarchie religieuse. "S’il le faut, je ne sais pas comment, mais le pape sera alerté sur cette pratique. Il devra alors prendre lui-même la bonne décision."
http://www.midilibre.fr/2011/07/23/non- ... 360492.php Auteur : Kalou
Date : 07 oct.13, 04:28
Message : Il me semble que ce père a tout dit.
Concernant l'amour de dieu, "qu'il ne peut pas reprendre", c'est bien entendu a condition d'être de bons croyants, parce que sinon on va crâmer dans les flammes de l'enfer pour l'éternité. L'amour de dieu est à géométrie variable, et n'est immuable que quand ça arrange ses affaires.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 07 oct.13, 11:25
Message : medico a écrit :Intenter un procès n’est pas la solution envisagée par ce père qui se dit bafoué dans son autorité parentale. En revanche, il n’exclut pas de remonter au plus haut dans la hiérarchie religieuse. "S’il le faut, je ne sais pas comment, mais le pape sera alerté sur cette pratique. Il devra alors prendre lui-même la bonne décision."
http://www.midilibre.fr/2011/07/23/non- ... 360492.php
Le pape ne risque pas de faire annuler un baptême catholique. Je n'ai pas connaissance que le baptême des Finaly ait été annulé.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Finaly Auteur : medico
Date : 07 oct.13, 19:55
Message : je n'en sais rien.
Auteur : Kalou
Date : 10 oct.13, 02:38
Message : En cas d'excommunication, le baptême est annulé?
Auteur : medico
Date : 10 oct.13, 03:09
Message : Kalou a écrit :En cas d'excommunication, le baptême est annulé?
NON. nous avons l'exemple dans la bible d'une personne qui a été excommunié et réintégré et n'a pas eu besoin de se faire rebatiser.
(2 Corinthiens 2:6-8) 6 Cette réprimande infligée par la majorité suffit pour un tel homme, 7 de sorte que maintenant, au contraire, vous devriez [lui] pardonner volontiers et [le] consoler, de peur que d’une manière ou d’une autre un tel homme ne soit englouti par sa tristesse excessive. 8 Je vous exhorte donc à confirmer votre amour pour lui.
Auteur : medico
Date : 28 oct.13, 22:09
Message : Allemagne.
En 2012, l’une des plus hautes juridictions du pays a décrété qu’une personne qui se retire officiellement d’une Église ayant le statut de collectivité de droit public ne peut pas rester membre de cette religion. Les catholiques qui font cette démarche et ne paient donc plus l’impôt cultuel, mais qui continuent à pratiquer leur foi, risquent de ne plus pouvoir communier, se confesser, occuper une fonction dans leur paroisse ni même avoir un enterrement religieux.
Auteur : Kalou
Date : 29 oct.13, 05:28
Message : En Suisse c'est pareil, mais soumis à la libre interprétation du clerc. Donc si ton meilleur ami te veut comme témoin de mariage et que le prêtre est d'accord c'est faisable.
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