Résultat du test :

Auteur : Coeur de Loi
Date : 08 août14, 02:14
Message : "L'épidémie d'Ebola décrétée "urgence de santé publique de portée mondiale" par l'OMS

Le comité d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé(OMS) est "unanime pour considérer que les conditions d'une urgence de santé publique de portée mondiale sont réunies". Selon l'institution, vendredi 8 août, l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola est la plus grave en quatre décennies."

http://www.francetvinfo.fr/sante/maladi ... 65545.html

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Les maladies tropicales voyagent de nos jours...
Auteur : papy
Date : 08 août14, 19:59
Message : Les firmes pharmaceutiques ont déjà le remède mais ce n'est pas encore le moment de déballer la marchandise .
Quand ce sera plus grave , on va faire des affaires et engranger des dollars à la pelle .
Pourquoi 2 américains rapatriés ont reçus un remède efficace mais pas valable en Afrique ?
Auteur : papy
Date : 08 août14, 20:20
Message : Plus grave encore si ce qui suit est vrai !
Extrait de http://croah.fr/corbeau-dechaine/kemi-s ... onde-reel/

GÉNOCIDE ANTI-AFRICAIN : THÉORIE DU COMPLOT ?
À ceux qui pensent que la prolifération de maladies sorties tout droit de nulle part (sauf peut-être des laboratoires et autres cartels pharmaceutiques, qui bien souvent ont le virus, ET L’ANTIDOTE) EST LE FAIT du HASARD, nous rappellerons l’épisode du DOCTEUR DE LA MORT WOUTER BASSON, médecin suprématiste blanc ayant travaillé pour les services secrets sud-africains dans les années 1970 et 1980 (période de l’Apartheid) en tant que chef du programme bactériologique et chimique.
Ce dernier fut chargé à l’époque par le Bureau de coopération civile (CCB, Civil Cooperation Bureau, unité secrète des Forces spéciales) de mettre au point des armes chimiques pour mettre hors d’état de nuire des militants anti-apartheid. Mais en réalité, le but prioritaire de ses recherches n’était rien d’autre que de trouver un moyen chimique pour endiguer la montée en puissance démographique des Noirs (stérilisation des femmes noires par un vaccin et développement de bactérie pour rendre malade ces populations). En somme, le malthusianisme à son paroxysme.
Ceux qui pensent que le BIO TERRORISME n’existe pas, que la surpopulation africaine (qui sera la plus nombreuse de la planète d’ici peu de temps) n’effraie pas les oligarques, sont des gens qui tôt ou tard devront se débrancher de la matrice mondialiste. LE MONDE RÉEL EST EFFROYABLE, et il ne tient qu’à nos scientifiques, ceux des pays du SUD, de commencer à s’organiser pour se protéger. Car ce ne sont pas les cartels pharmaceutiques, qui créent les maladies puis viennent nous vendre les antidotes hors de prix, qui seront sur ce terrain-là nos amis.
Kemi Seba, polémiste panafricain, auteur de Supra Négritude, BLACK NIHILISM, analyste politique au Grand Rendez-vous et conférencier dans les Universités d’Afrique de l’Ouest.
Auteur : medico
Date : 09 août14, 19:32
Message : Le Nigeria cherche des volontaires pour soigner les malades
Mis à jour le 9.08.14
Le Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique, a fait appel samedi à des volontaires face à l'épidémie d'Ebola.

En manque de personnel soignant, le Nigeria a fait appel à des volontaires samedi pour faire face au virus Ebola. (9 août 2014) Image: Keystone

La fièvre hémorragique a déjà tué près de 1000 personnes en Afrique de l'Ouest et constitue pour l'OMS une urgence «mondiale».

Avec 13 cas (confirmés, probables ou suspects), dont deux mortels, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Nigeria est le quatrième pays affecté. L'épidémie y reste limitée à Lagos, capitale économique et ville la plus peuplée d'Afrique de l'Ouest avec plus de 20 millions d'habitants.

Pour lutter contre la flambée, l'Etat de Lagos a fait appel à des volontaires, reconnaissant être confronté à un manque de personnel. Il y a deux jours, les médecins de la santé publique ont levé leur mot d'ordre de grève.

Le Nigeria a décrété vendredi l'état d'urgence sanitaire. Il a décidé d'accorder plus de 11,5 millions de dollars (10,4 millions de francs) à la lutte contre l'épidémie. Pour épauler le pays, les Etats-Unis ont annoncé le renforcement de leur assistance en personnel et en matériel.

Leur agence de développement (USAID) a promis d'allouer 12 millions de dollars pour la lutte anti-Ebola dans les pays affectés: Guinée, Liberia, Sierra Leone et Nigeria.

Il n'existe aucun traitement ou vaccin spécifique contre cette fièvre caractérisée par des hémorragies, vomissements et diarrhées. Elle est provoquée par un virus qui se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d'animaux infectés.

Fermeture des frontières

Avant le Nigeria, le Liberia et la Sierra Leone avaient déjà décrété l'état d'urgence sanitaire. La Guinée réfléchit aussi à une telle mesure. Pour l'heure, le pays a annoncé samedi la fermeture de ses frontières terrestres avec Liberia et Sierra Leone.

En vertu de l'état d'urgence sanitaire, deux villes de l'est de la Sierra Leone, Kailahun et Kenema, ont été mises en quarantaine. Plus de 1500 policiers et militaires sont en cours de déploiement dans ce pays pour faire respecter les mesures de quarantaine, selon le gouvernement.

Hôpitaux désertés

Le Liberia a quant à lui restreint les déplacements entre certaines provinces et la capitale. Ces restrictions suscitent des craintes de pénuries alimentaires. Elles ont aussi provoqué le report sine die de la campagne pour les élections sénatoriales partielles, a annoncé samedi la commission électorale.

Autre préoccupation: la menace de grève des travailleurs de la santé. Ceux-ci ont dénoncé le manque de moyens et de matériel pour gérer les cas d'Ebola, qui a fait plusieurs morts dans leurs rangs.

A Monrovia, la situation est «catastrophique», a alerté vendredi Lindis Hurum, coordinatrice d'urgence au Liberia de Médecins sans frontières (MSF). Par peur de la contagion, des hôpitaux de la capitale ont été désertés par leurs employés et fermés.

Dans la capitale, une missionnaire congolaise est morte samedi de la fièvre hémorragique. Elle faisait partie de l'Ordre hospitalier de San Juan de Dios pour lequel travaillaient les religieux espagnols évacués jeudi du Liberia en raison de l'épidémie.

Aéroports indiens en alerte

Signe de l'inquiétude grandissante, le Tchad a décidé de suspendre tous les vols en provenance du Nigeria voisin. Hors d'Afrique, l'Inde, pays de 1,25 milliard d'habitants, a annoncé avoir mis ses aéroports et ses ports en alerte.

Au Canada, un homme récemment rentré du Nigeria et présentant des symptômes de fièvre Ebola a été placé vendredi à l'isolement. Enfin, les premières analyses réalisées après le décès d'un Saoudien après un séjour en Sierra Leone montrent qu'il n'était pas porteur du virus.

(ats)
Auteur : medico
Date : 11 août14, 03:19
Message : Le Nigeria a confirmé, lundi 11 août, un nouveau cas d'Ebola à Lagos, la plus grande ville du pays, annonce le ministère de la Santé, ce qui porte à dix le nombre de cas détecté dans le pays.

Le Rwanda a annoncé, de son côté dimanche soir, avoir placé en isolement un étudiant allemand hospitalisé à Kigali, présentant des symptômes de cette fièvre hémorragique.

La Côte d'Ivoire suspend tous ses vols
La Côte d'Ivoire a annoncé la suspension des vols de sa compagnie nationale vers et depuis les pays affectés par la fièvre Ebola. Les autorités ivoiriennes "interdisent aux autres compagnies de transporter des passagers en provenance des pays touchés par la maladie à virus Ebola à destination de la Côte d'Ivoire".

Ce pays, voisin du Liberia et de la Guinée, où l'épidémie fait des ravages, présente un niveau d'alerte très élevé, selon les autorités sanitaires. En Afrique de l'Ouest, la maladie a fait plus de 960 morts sur près de 1 800 cas (confirmés, probables ou suspects) depuis le début de l'année.
Auteur : Espilon
Date : 11 août14, 10:09
Message : Il court il court ! Le vaccin ! Le vaccin neurotoxique :lol: .
Il court il court ! Le vaccin ! Et il coutera très cher :lol: .
Auteur : medico
Date : 13 août14, 02:44
Message : Ebola: peut-on donner le sérum expérimental à tous les malades ?
Mots clés : Ebola, virus, épidémie
Par figaro iconCaroline Piquet - le 07/08/2014
Cette question d'éthique sera débattue par une quinzaine d'experts internationaux, lundi prochain, à la demande de l'Organisation mondiale de la santé. Ils devront rendre un avis le soir même.
Confrontée à l'épidémie grandissante du virus Ebola, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) se retrouve devant une situation sanitaire inédite. «Nous avons une maladie avec un niveau élevé de mortalité sans aucun vaccin approuvé et certifié», résume le Dr Marie Paule Kieny, directrice générale adjointe de l'OMS. Le traitement ZMapp ayant donné des résultats positifs sur deux personnes atteintes du virus aux États-Unis, des experts ont demandé à l'OMS de l'utiliser à grande échelle et rapidement. Que faire face à cette situation d'urgence? Peut-on administrer à toute une population un traitement qui n'a jamais été testé sur l'homme et dont on ne connaît pas l'efficacité, ni même l'innocuité? Si oui, qui pourra en bénéficier, sachant que les laboratoires ne pourront pas en produire suffisamment pour tout le monde?
Une quinzaine d'experts donneront leur réponse lundi
Pour répondre à ces questions éthiques, l'OMS a décidé de regrouper les meilleurs experts du monde. «Nous devons demander à des spécialistes de l'éthique médicale de nous donner des lignes de conduite pour une politique responsable», explique encore le Dr Marie Paule Kieny. Pour ne pas perdre de temps, l'OMS est déjà en train de constituer une liste d'experts. Au total, ils devraient être une quinzaine, réunis lors d'une téléconférence. «Ces spécialistes débattront pendant toute la journée de lundi avant de rendre leur avis le soir même», explique-t-on à l'organisation, dont le siège est à Genève.
Parmi les experts présents dans le comité, on devrait retrouver des médecins, des chercheurs mais aussi des philosophes, des sociologues ou encore des psychologues. «C'est important que soit représentée la société civile, explique le Pr Christian Hervé, directeur du laboratoire d'éthique médicale à l'université Paris-Descartes. Cela permet de légitimer l'avis d'un tel comité.»
Pas assez de traitements pour tout le monde
Les questions posées aux experts seront des plus délicates. «Ce sera un vrai dilemme entre M. Précaution et Mme Pragmatique, prédit le Pr Bernard Bégaud, médecin pharmacologue. Soit vous utilisez un produit sans en connaître les effets secondaires, soit vous préférez poursuivre les tests et les recherches sur le traitement avant de l'administrer, au risque que cela prenne du temps alors que des personnes sont en train de mourir.» Dans le cas d'Ebola, «il faut savoir que 40% des malades vont survivre, rappelle Sylvain Baize, directeur du Centre national de référence des fièvres hémorragiques virales de l'Institut Pasteur. Ainsi, on prend forcément un risque en leur donnant un traitement dont on ne connaît pas les effets.»
À qui pourrons-nous administrer ce traitement? Et combien? Voilà d'autres questions auxquelles devront répondre les spécialistes. «Or, on sait qu'il n'y aura jamais assez de traitements pour tout le monde, constate Sylvain Baize. Les laboratoires ne sont pas en mesure d'en produire suffisamment et en aussi peu de temps. Il faudra donc faire des choix.» En attendant de connaître la réponse des spécialistes, Map Pharmaceuticals, société américaine qui a développé le sérum en collaboration avec la canadienne Defyrus, a fait savoir qu'elle essayait d'augmenter sa production.
Au final, la position des experts devrait déterminer la ligne de conduite de l'OMS dans les prochaines semaines. L'organisation internationale étant habituée à donner des recommandations graduées, en fonction des pays, «il est fort probable que les experts soient dans le compromis et rendent un avis proportionné», pense le Pr Bégaud, qui imagine différents scénarios. «Cela m'étonnerait qu'ils refusent catégoriquement d'utiliser ces traitements expérimentaux. En revanche, il est possible qu'ils ciblent des populations dans des zones hautement contaminées ou qu'ils privilégient le traitement du personnel médical», suggère le médecin.
Selon un dernier bilan de l'OMS en date du 4 août, 932 personnes sont mortes sur les 1711 cas d'infection pour cette épidémie d'Ebola touchant surtout trois pays d'Afrique de l'Ouest, ont indiqué mercredi les autorités sanitaires américaines (CDC). Elles ont porté, ce même jour, leur alerte sanitaire au niveau 1, le plus élevé.
Auteur : medico
Date : 16 août14, 20:08
Message : EPIDÉMIE
Les premiers Africains reçoivent le traitement contre Ebola
Mis à jour à 07:30
Trois médecins africains ayant contracté la fièvre hémorragique Ebola ont reçu des doses du traitement expérimental ZMapp au Libéria. Avec 413 morts, le pays est le plus touché d'Afrique de l'Ouest.

Le bilan de l'épidémie de fièvre Ebola s'élève désormais à 1145 morts, rapporte vendredi l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). (15 août 2014) Image: AFP
Les trois médecins sont les premiers Africains à recevoir le traitement, qui a été déjà été administré à deux travailleurs humanitaires américains et à un prêtre espagnol. Depuis, la santé des Américains s'est améliorée, mais le prête espagnol est mort.

Le traitement des trois médecins a commencé jeudi soir, a précisé le responsable médical du centre médical John F. Kennedy à Monrovia où deux des médecins travaillaient avant de contracter la maladie. La durée du traitement est de six jours.

Environ 90% des personnes atteintes de fièvre Ebola en meurent, soit un taux de décès si élevé que le centre américain pour la prévention et le contrôle des maladies (CDC) a classé la maladie en catégorie A (agent de terrorisme biologique). Pour l'épisode actuel, le taux de décès est proche de 60%.

Cas suspect en Espagne

En Espagne, un premier cas suspect depuis la mort du missionnaire espagnol rapatrié à Madrid le 7 août, a été détecté. Une personne a été placée en isolement dans un hôpital spécialisé à Alicante (ouest), ont annoncé samedi soir les autorités sanitaires.

Des examens ont été menés sur le patient, mais «nous n'aurons pas les résultats avant la semaine prochaine, peut-être lundi», a précisé une source hospitalière.

En cinq mois, l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola, qui s'est déclarée en Afrique de l'Ouest, a fait 1145 morts, selon le dernier bilan de l'OMS arrêté au 13 août: 380 en Guinée, 413 au Libéria, 348 en Sierra Leone et quatre au Nigeria.

(ats)
Auteur : Espilon
Date : 16 août14, 21:40
Message : Je prends le paris solennelle, que ce vaccin aura des conséquence graves pour au moins une proportion visible des Africains, que cette phase de vaccination est à la fois une vitrine et un essai avant de faire vacciner les européens, après avoir monter une épidémie de toute pièce.

Maintenant attention, je ne fais pas le mariolle lorsqu'il s'agit de la dangerosité du virus Ebola, si dans un an un tiers de l'humanité aura péri, je vous conseillerait quant même de vous faire vacciner :lol: .
Auteur : gololo
Date : 21 août14, 09:38
Message : en 2004 est paru la deuxième édition d' un livre d'introduction sur Billy Meier écrit par Guido Moosebrugger. And still they fly.
Cette édition était enrichie des prophéties d'Hénoch qui mentionnent spécifiquement ce virus :
http://www.futureofmankind.co.uk/Billy_ ... Prophecies
:o

"You are untiring; so I will point out a few more important facts of the prophecies. As of now, new epidemics have spread among the people of Earth; however, as Henoch prophesied, quite a number of further epidemics will follow. Not only AIDS will occur worldwide in the 1990s, but also epidemics such as the so-called "mad cow disease", i.e., BSE, out of which different strains of Creutzfeldt–Jakob syndrome will develop, lasting well into the new millennium. Also, an epidemic known as Ebola will cause many deaths, as well as other unknown epidemics and diseases which will sporadically arise in epidemic proportions and will be new to the human being, causing great concern."
Auteur : Espilon
Date : 21 août14, 10:03
Message : Non mais prophétie mon œil :lol: . Si il y a une ruche pleine de miel à coté de la tanière d'un ours... pourquoi se demander ce qu'il va arriver à la ruche ? Les laboratoires veulent vendre du médoc, alors tout est bon pour se faire de l'argent. On nous fait le coup tout les 4 ans.
Auteur : gololo
Date : 21 août14, 10:26
Message :
Espilon a écrit :Non mais prophétie mon œil :lol: . Si il y a une ruche pleine de miel à coté de la tanière d'un ours... pourquoi se demander ce qu'il va arriver à la ruche ? Les laboratoires veulent vendre du médoc, alors tout est bon pour se faire de l'argent. On nous fait le coup tout les 4 ans.
si tu lis la prophétie en entier, tu verras qu'il a bon sur bien des points, ce que je développerai dans le post concerné.
Pour la vente de médicaments je suis d'accord avec toi. je suis tombé récemment tombé sur une vidéo expliquant comment l'AZT avait été mis sur le marché après seulement quelques semaines d'essai.
Voici le témoignage d'un médecin en anglais : http://aidsperspective.net/blog/?p=749
Alors que ce médicament est un poison et a probablement causé la mort de plein de personnes.
Un lien en français ici :
http://www.onnouscachetout.com/themes/s ... irtuel.php
Auteur : medico
Date : 21 août14, 19:23
Message : Deux médecins américains infectés par le virus Ebola en Afrique et soignés aux Etats-Unis sont guéris. Le second malade va sortir de l'hôpital jeudi 21 août, a annoncé le docteur Ribner, le directeur du service des maladies infectieuses d'Emory (Atlanta) lors d'une conférence de presse. "Après une série de traitements rigoureux et d'analyses, l'équipe de médecins a estimé que les deux patients avaient guéri d'Ebola et pouvaient retourner dans leur famille sans craindre de transmettre l'infection aux autres", a-t-il affirmé.

"Aujourd'hui est un jour miraculeux. Je suis extrêmement heureux d'être en vie, d'être en bonne santé et de pouvoir retrouver ma famille", s'est réjoui le malade, Kent Brantly, lors d'une conférence de presse donné jeudi.
Auteur : medico
Date : 25 août14, 06:04
Message : Un médecin libérien traité au sérum ZMapp est mort
Mis à jour à 14:49
Un médecin libérien traité avec le sérum expérimental ZMapp après avoir été contaminé par le virus est décédé, a annoncé lundi le ministre libérien de l'Information Lewis Brown.

Un médecin libérien atteint d'Ebola et traité avec le sérum expérimental ZMapp est décédé (Photo: Keystone)
Le médecin libérien touché par le virus Ebola et traité au sérum ZMapp n'a pas survécu.

Il y a toutefois «des signes d'espoir» pour les deux autres praticiens soignés avec ce sérum, selon le ministre de l'Information Lewis Brown.

Le Dr Abraham Borbor est mort dans la nuit de dimanche à lundi, a déclaré Lewis Brown. «Il montrait des signes de progrès mais il a finalement rendu l'âme. Le gouvernement regrette cette perte et présente ses condoléances à la famille», a-t-il ajouté.

Deux autres praticiens soignés avec ce sérum, le ZMapp, «sont toujours sous traitement et il y a des signes d'espoir», a indiqué le ministre.

Traitement épuisé

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) avait fait état le 21 août de «l'amélioration significative», de l'état d'un médecin et d'un infirmier traités au ZMapp au Liberia, ajoutant qu'un autre médecin se portait mieux, mais restait dans un état grave.

Le Liberia avait obtenu la livraison le 13 août par les États-Unis pour ces trois praticiens de doses du ZMapp, administré à deux Américains qui ont été déclarés guéris la semaine dernière, ainsi qu'à un prêtre espagnol, décédé le 12 août. Tous trois avaient été contaminés au Liberia.

Les très faibles quantités disponibles du ZMapp, qui n'avait jamais été testé auparavant sur des humains, sont épuisées, selon le laboratoire qui le produit.

Offre japonaise

Le Japon s'est dit prêt lundi à fournir un traitement expérimental mis au point par une entreprise nippone, homologué en mars dans le pays comme antiviral contre la grippe, afin de lutter contre Ebola «si l'Organisation mondiale de la santé en fait la demande».

Face à l'ampleur de l'épidémie, un comité d'experts réuni par l'OMS a jugé le 12 août «éthique» d'offrir des médicaments à l'efficacité et aux effets secondaires encore non mesurés «comme traitement potentiel ou à titre préventif».

(ats)
Auteur : papy
Date : 27 août14, 22:12
Message : Sandrine Cabu, de Médecins Sans Frontières, interrogée par Le Monde, explique que le virus Ebola entraîne « la mort dans 20 à 90 % des cas ».

Pourquoi une fourchette aussi absurdement large ?

Parce que le virus Ebola est surtout dangereux quand il est mal soigné. Les personnes meurent de déshydratation ou d'hémorragies mais le traitement consiste alors simplement à hydrater ou à transfuser le patient, pas à lui donner un vaccin ni un hypothétique médicament. Il ne faut pas croire ce que prétend l'industrie pharmaceutique qui aimerait pouvoir vendre aux gouvernements une poudre de perlimpinpin comme elle l'avait fait pour le Tamiflu.
Auteur : medico
Date : 08 sept.14, 02:03
Message : Ebola : l'OMS autorise des thérapies risquées à base de sang
Mots clés : Ebola, Virus Ebola, Fièvre Ebola, Sérums, Sérums de convalescence
Par figaro iconSoline Roy - le 05/09/2014
Après avoir réuni 200 experts pendant deux jours, l'OMS a décidé d'autoriser «dès maintenant» les thérapies à base de sang et de sérums dans les pays contaminés. Focus sur les «sérums de convalescence»
Feu vert pour les sérums de convalescents. Les experts réunis par l'OMS à Genève se sont prononcés en faveur de l'utilisation, à titre expérimental, des traitements dérivés du sang et des sérums pour lutter contre Ebola. «Nous sommes parvenus à un consensus», a déclaré aux médias Marie-Paule Kieny, assistante au directeur général de l'OMS, à l'issue d'une réunion de deux jours à Genève avec près de 200 experts. Les sérums pourront donc être utilisés «dès maintenant» dans les pays touchés par la fièvre hémorragique, qui a tué 2097 personnes selon le dernier bilan de l'OMS.
L'idée est de récupérer du sang chez des personnes (ou des animaux) affectés par une maladie, qui ont réussi à en guérir. Car en luttant contre l'affection, leur organisme a nécessairement produit des anticorps, et ceux-ci pourront aider à lutter contre les virus affectant le malade transfusé. Pour obtenir ce sérum, un liquide sanguin riche en anticorps mais dépourvu des cellules et des protéines de la coagulation, on centrifuge du sang frais sans y ajouter d'anticoagulant. Par extension, les médicaments comme le ZMapp sont également appelés sérums, mais ils relèvent en fait davantage du génie biologique: pour fabriquer le ZMapp, des anticorps issus du sérum de souris sont clonés, puis on les fait se multiplier grâce à une plante de tabac transformée.
Utilisé pour un britannique en 1976
Contre Ebola, la technique avait été utilisée dès 1976, lors de la première épidémie due à ce virus au Zaïre (depuis devenu RDC) et au Soudan. Le 5 novembre, un chercheur du Microbiololgy Research Establishment, en Angleterre, s'était accidentellement contaminé en manipulant un prélèvement fait sur un malade d'Ebola. Immédiatement placé sous surveillance et transféré dans un hôpital londonien, il avait reçu à deux reprises un sérum de convalescence prélevé sur des convalescents à Kinshasa.
Le chercheur britannique avait finalement guéri, mais impossible, avec un seul cas, de savoir si cela était du au sérum ou non. Ses médecins avaient cependant constaté que, si son état ne s'améliorait pas immédiatement après injection du sérum, en revanche les analyses réalisées montraient une chute immédiate du niveau de virus circulant dans son sang.
Dangers des sérums
La sérothérapie aurait été inventée par Charles Robert Richet; en 1888, il injecte à des lapins le sérum prélevé sur des chiens contaminés avec des staphylocoques. Deux ans plus tard, il mène à Paris une première expérience sur l'homme en injectant du sérum à un tuberculeux. En 1894, c'est un disciple de Pasteur, le Dr Émile Roux, qui soigne des malades touchés par la diphtérie grâce au sérum de chevaux vaccinés par l'injection de toxine diphtérique.
Outre que leur efficacité n'ait pas été formellement prouvée, les sérums ne sont pas dénués de dangers. Les sérums animaux peuvent provoquer de graves réactions, notamment allergiques ou immunologiques. Quant à ceux obtenus sur des convalescents, ils sont susceptibles de contenir du virus encore vivants; il faut donc, avant toute injection, s'assurer que plus aucun pathogène vivant ne circule dans le sang du donneur.
Par ailleurs, outre l'utilisation possible des sérums, «deux vaccins prometteurs ont été identifiés et des études sur leur sécurité sont en cours» ou vont bientôt démarrer aux États-Unis et en Europe, et leur sécurité devrait être connue en novembre, a jouté la représentante de l'OMS. Après les tests en cours et à venir, «si le vaccin semble sûr, il pourrait être disponible en novembre pour une utilisation prioritaire sur les travailleurs de la santé», indique l'OMS. Les tests de sécurité de tous ces traitements et vaccins se feront sur la base du volontariat, et des «groupes à risque», notamment les soignants, seront identifiés pour être traités en priorité.
Le Figaro.
Auteur : medico
Date : 11 sept.14, 01:21
Message : Ebola : à Monrovia avec les ramasseurs de corps
REPORTAGE. C'est sur les cadavres que le virus est le plus contagieux. Six équipes, exposées à un risque maximum, sillonnent la capitale du Liberia pour les enlever.
Abraham a sept ans, il sanglote en hoquetant, accroché à sa tante. Dans ses bras, il tient sa petite soeur, Béatrice, 9 mois, effrayée, dont le nez coule sur son tee-shirt. Katiatu Pallah, sa tante, lui lâche la main. Et s'en va. Un large cercle se forme autour des deux enfants, composé de voisins silencieux et de pleureuses qui hululent. Abraham est hébété, mais quand enfin il se décide à bouger, tout le monde recule. Sa mère est morte, fauchée par Ebola. Deux cosmonautes dont il ne voit pas les yeux viennent de déposer son corps, enveloppé dans un grand sac noir, à l'arrière d'un pick-up. Nous sommes à Banjor, un ancien camp de réfugiés sierra-léonais. Et c'est très exactement la vingt et unième fois que l'équipe de ramassage des corps intervient dans cette partie du bidonville, une quarantaine de maisons. "Certaines ont été entièrement vidées. Comme celle-là, juste derrière, montre Friday Kiyee. Sept personnes d'une même famille..."

Friday est le chef de l'équipe numéro un, l'une des six coordonnées par la Croix-Rouge libérienne, depuis mars, lors de la première vague de l'épidémie. Par opportunisme, peut-être : il travaillait dans une morgue qui a fermé. Tous les morts, aujourd'hui, sont traités comme des victimes d'Ebola, pour éviter toute contagion. Et la paie est intéressante : 1 000 dollars par mois, une fortune au Liberia, même si l'équipe n'est pas nourrie. Mais il n'y a pas que ça. "Il faut bien que quelqu'un s'en charge, je veux aider mon pays", assure-t-il. Étant donné les conditions de travail de ces héros en scaphandre, on est bien obligé de le croire. "Ça ne nous fait pas vraiment plaisir, de faire ça", raconte Elijah Nimely, ancien étudiant en management de 26 ans et membre de son équipe. "Parfois, on trouve le corps dans une mare de vomi, de sang ou de diarrhée." Il se souvient d'une journée où il a enlevé dix-sept corps. Des cas difficiles, ils en voient tous les jours, mais celui-là les remue.

Preuves morbides
Bendu Pallah est morte en laissant deux orphelins : son mari s'est enfui quand elle est tombée malade. Qui va s'occuper d'Abraham et de Béatrice ? "Pas moi ! J'ai peur, peut-être qu'ils ont attrapé Ebola aussi, proteste Katiatu en pleurs. Qu'on me prouve qu'ils ne l'ont pas, sinon je ne les prends pas." Il y a peu de chance qu'on lui fournisse un certificat : ces enfants n'ont aucune raison d'être amenés au centre de prise en charge de MSF, ils ne sont pas malades. Pas encore. Abraham s'est occupé de sa mère dans ses derniers jours, et à part un mort d'Ebola, il n'y a rien de plus contagieux qu'un malade en phase terminale... "Ces enfants vont probablement mourir de faim", redoute Friday Kiyee.

La peur et le déni sont des réactions que les équipes de fossoyeurs rencontrent tous les jours, de même que l'exaspération due à l'attente : certains ont parfois appelé la hotline 48 heures auparavant, pour qu'on vienne enlever le corps. Dans les débuts, la population leur jetait des pierres, les équipes sont désormais accompagnées par la police, qui se tient à une distance prudente. "Tant que vous ne nous fournirez pas une preuve qu'il est mort d'Ebola, nous ne vous croirons pas", hurle Lionel Depaul, 30 ans, alors qu'on enlève un de ses amis dans le bidonville de Thinker Village. "Pour moi, il avait une pneumonie", soutient-il. La tension monte, un groupe s'en prend à l'équipe, qui repart. Les tests, ce n'est pas son boulot. C'est celui de l'équipe de prise en charge des cas, qui est censée intervenir avant. Exceptionnellement, elle est venue et a procédé à un prélèvement. Mais il est rarissime qu'elle ait le temps de revenir informer le voisinage. Qui préfère considérer que le défunt est mort de tout, sauf d'Ebola.

"Vos cagoules !"
Car la maladie avance avec son cortège de stigmatisations, qui touchent aussi les fossoyeurs. "Dans mon église, tout le monde m'a interdit d'aller à la messe, ils ne veulent plus que j'approche", témoigne Ebenezer Murbah, membre de l'équipe numéro un. L'entourage craint qu'ils ne transportent le virus meurtrier, même s'ils prennent toutes les précautions. Lorsqu'ils arrivent dans une maison, ils commencent par pulvériser du chlore sur les lieux, puis sur le corps, avant de l'envelopper dans un sac, lui-même aspergé, puis dans un autre, aspergé à nouveau. Ils pulvérisent ensuite les voitures qui ont pu le toucher, puis le sac qui contient les effets personnels du mort, et enfin leur propre équipement, avant de l'ôter avec soin. Pour chaque cas (une équipe en traite environ six par jour), ils changent de "PPE", le "Personal Protective Equipment", avec son masque, son tablier, ses gants, sa capuche, ses lunettes.

Ces mesures permettent de limiter les risques et de rassurer les équipes, mais leur application ne tient qu'à un fil. Au siège de la Croix-Rouge libérienne, dans le centre de Monrovia, le secrétaire général Fayiah Tamba se désespère, écrasé par les problèmes de logistique : "Le matériel de sécurité est crucial, or les lignes aériennes ferment et il arrive en retard. Nous recevons parfois les bottes, parfois les gants, et pas assez... Car nous ne sommes pas les seuls à avoir besoin de PPE, MSF en consomme énormément." Le soir, ce précieux matériel dont dépend la survie du pays est balancé dans l'incinérateur du crématorium de Marshal, hors de Monrovia. C'est ici que les fossoyeurs terminent leur journée, dans une fumée âcre, et que les morts d'Ebola sont incinérés. "La nappe phréatique est à un mètre de profondeur, on ne peut pas se permettre de les enterrer et de contaminer l'eau", explique Jean-François, architecte chez MSF. Cela fait quinze ans qu'il aligne les missions pour l'ONG, mais c'est la première fois qu'il doit construire des crématoriums. Avec la recrudescence des cas, celui qui existait, pour la communauté hindoue, est devenu totalement insuffisant.

Stephen Rowden, responsable de l'eau et de l'assainissement pour MSF, est ici aussi, tous les soirs, pour superviser le retour de l'équipe du centre d'ELWA III, qui a ramené onze corps. Le chiffre le plus bas de la semaine. "Pendant la journée, sur le terrain, ils sont extrêmement méticuleux, et ici, ils se relâchent", soupire-t-il avant de s'interrompre : "Vos cagoules ! Vous avez de la peau à découvert sur le visage, mettez-les !" Certains suggèrent de passer sur ce détail, "pour cette fois", Stephen est inflexible : "Il suffit qu'il y ait du fluide corporel sur l'un des sacs, qu'il y ait une projection, il suffit de n'importe quoi pour être contaminé !" Du côté de la Croix-Rouge libérienne, on est plus détendu, le matériel est enlevé avec une insouciance qui fait trembler Stephen Rowden. Une équipe était en congé, les cinq autres ont ramené vingt-huit corps. Pour ces trente-neuf personnes, en tout, ramassées à Monrovia, combien attendent encore, dans le recoin d'une maison infectée ? Pour Friday Kiyee, la journée de travail est finie. Il blague avec les collègues et rentre chez lui, avant la tournée de demain. Il n'est malheureusement pas près d'être au chômage.
http://afrique.lepoint.fr/actualites/eb ... tor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20140911
Auteur : Bertrand
Date : 11 sept.14, 01:40
Message : Ne dit-on pas que les virus aviaires sont des virus de poule et que le sida est aussi issu
d’un virus de souche animale ?
Grippe espagnol & Sida !!
ILs n'apprennent pas !!
1 Corinthiens; 15:37-40 ; mais Dieu lui donne un corps comme il l’a voulu, et à chacune des semences son propre corps. Toute chair n’est pas la même chair ; mais autre est celle des humains, autre la chair du bétail, autre la chair des oiseaux, autre celle des poissons. Et il y a des corps célestes et des corps terrestres ; mais autre est la gloire des corps célestes, autre celle des corps terrestres

Ces vaccins étant produits sur des viandes animales injectés à des humains, ne constituerait-il pas un geste contre nature devant le Créateur ?
Des vaccins cultivés sur des viandes animales inoculés à des humains ?
Naturel! Direz-vous ?
La viande de singe est commercialisée et exportée dans de nombreux laboratoires pour la fabrication de vaccins!
Les chercheurs auraient-ils trouvé en eux un lien de parenté
En dépit des 100,000,000 morts prématurés en perspective, ils persistent a vendre du sang et des vaccins assaisonnés de virus morts et parfois vivants !
Sans parler de la Somadide qui dépasse leur ima -gination !
Arrêter; serait se reconnaître coupable; quel piège !
Auteur : Bertrand
Date : 11 sept.14, 01:46
Message : D’où viennent ces nouveaux virus ?
(Rapports int); Exemple; Int; Malburg; Le risque biologiste; Manipulation de singes au laboratoire…1967;…à Maburg (Allemagne) 25 personnes travaillant sur des cultures de reins de singe tombèrent malades, 7 décédèrent.
Francfort et en Yougoslavie, encore dans des laboratoires où ils avaient reçu des singes de l’Ouganda. On dit que les singes moururent aussi de la maladie, mais les recherches faites en Afrique de l’Est n’ont pas permis de découvrir le réservoir du virus. Ce qui dit; Le réservoir du virus de l’éboula reste inconnu!

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S’ils ne l’ont pas trouvé chez les singes d’Afrique, c’est donc qu’il venait du labo -ratoire !
Les singes d’Afrique ne l’avaient pas !
Le réservoir du virus reste donc inconnu! Joke! Si les singes dans le laboratoire en moururent, c’est donc qu’ils les avaient contaminés avec des virus faits en laboratoire! Concernant les études sur le virus de l’éboula; Plusieurs chercheurs furent contaminés où? Dans les laboratoires! Mystère!
Pasteur; leur idole nous a fait cadeau de la grippe espagnole : Eux; le sida…Et ils continuent d’envelopper le cadeau ! Le virus de l’éboula, serait-ce aussi un cadeau à retardement ? Ils ont eu si peur qu’ils ont détruit les singes et le laboratoire!
Dans le film racontant cette histoire, nous voyons les responsables du laboratoire courir après un petit singe qui s’était enfuit du labo! Ceci soulève des questions; ils disaient qu’il était porteur du virus, lui aurait-on plutôt inoculé le virus, si cette espèce avait été porteuse du virus, cela n’aurait rien donné de courir après, il aurait fallu courir après tout ces singes!
Ils vous prennent pour quoi ?
Aurait-il échappé le virus de l’ébola avec ce petit singe ?
Inoculer des virus à un animal à titre d’expé -rience est bien notoire dans la recherche, ils ne comprennent pas que cela risque de provoquer de nouveaux virus par les mutations!
Auteur : Bertrand
Date : 11 sept.14, 01:47
Message : tiré du livre== La libération des captifs du Diable.
Auteur : Bertrand
Date : 11 sept.14, 01:54
Message : L'aigle ; la sagesse du monde doit finir dans la honte !!!Et perdre ses plume de tête..

Voilà ce que disent les prophéties !
Mika 1:16 … Fais-toi une calvitie, et tonds tes cheveux à cause de tes fils de délices. Élargis ta calvitie comme celle de l’aigle, parce qu’ils sont allés en exil loin de toi. ”

Mystère pour les théologiens ! Un aigle chauve ?

Matthieu 24:28 … Où que soit le cadavre, là seront rassemblés les aigles…
Mystère pour les théologiens !

Les aigles se rassembler pour se nourrir de cada- vres, comme les vautours ?
Concernant ces textes, certains théologiens ont cru qu’il pourrait y avoir une erreur de traduction, disant que ces écrits conviendraient plus aux vautours qui se nourrissent de restant de cadavre, mais la traduction confirme qu’il est question de l’aigle !
Dans le livre de Job, ses mœurs sont décrites utilisant le même mot concernant l’aigle !
Job 39:27-30 … Ou est-ce sur ton ordre que l’aigle s’élève et qu’il bâtit son nid tout en haut, qu’il réside sur un rocher et passe la nuit sur une dent de rocher et un lieu inaccessible ? De là il doit chercher sa nourriture,
ses yeux regardent sans relâche dans le lointain, et ses petits sans cesse boivent le sang ; et là où sont les tués, il est là.
Jésus devait penser à ce texte lorsqu’il a dit; Où que soit le cadavre, là seront rassemblés les aigles…

( En cette circonstance, Jésus parlait de la fin du système, cette prophétie concernant l’aigle , le buveur de sang doit donc connaître sa réalisation à la fin des temps ! )
L’aigle est donc reconnu pour se nourrir de viande fraîche et non de cadavre en décomposition !
Auteur : Bertrand
Date : 11 sept.14, 10:29
Message : Pasteur; vaccins sur poule;; h1n1;; virus de poule= grippe espagnol...50000000 de morts
Vaccins sur viande singe== vs40== sida;;??? 500000000 morts...
etcetcetc...
*** Jacques 3:15 ***
15 Ce n’est pas là la sagesse qui vient d’en haut, mais [celle qui est] terrestre, animale, démoniaque

Hénoch==14. Ils ont été créés pour imiter la pureté et la justice des anges.
15. Ils n’auraient point connu la mort, qui détruit tout ; c’est pourquoi la puissance me dévore.
16. Ils ne périssent que par leur trop grande science.
Auteur : Bertrand
Date : 11 sept.14, 10:35
Message : Avant la guerre de 1914;;; vaccins de Pasteur obligatoires;;; virus de poule h1n1;;; 1918;;; grippe espagnol...
et ca continue $$$$
2005Nord== déterré une Inouit morte de grippe esp... H1N1... virus de poule...

*** 1 Corinthiens 15:39-41 ***
39 Toute chair n’est pas la même chair ; mais autre est celle des humains, autre la chair du bétail, autre la chair des oiseaux, autre celle des poissons. 40 Et il y a des corps célestes et des corps terrestres ; mais autre est la gloire des corps célestes, autre celle des corps terrestres. 41 Autre est la gloire du soleil, autre la gloire de la lune, et autre la gloire des étoiles ; oui, une étoile diffère en gloire d’une étoile.

Ce signe les aveugle;; $
Auteur : Bertrand
Date : 11 sept.14, 10:39
Message : *** Genèse 1:20-25 ***
“ Que les eaux pullulent d’un pullulement d’âmes vivantes et que des créatures volantes volent au-dessus de la terre sur la face de l’étendue des cieux. ” 21 Et Dieu se mit à créer les grands monstres marins et toute âme vivante qui se meut, dont les eaux pullulèrent selon leurs espèces, et toute créature volante ailée selon son espèce. Et Dieu vit que [c’était] bon. 22 Là-dessus Dieu les bénit, en disant : “ Soyez féconds, devenez nombreux et remplissez les eaux dans les bassins des mers, et que les créatures volantes deviennent nombreuses sur la terre. ” 23 Et vint un soir et vint un matin : cinquième jour.

24 Et Dieu dit encore : “ Que la terre produise des âmes vivantes selon leurs espèces : animal domestique, animal qui se meut et bête sauvage de la terre selon son espèce. ” Et il en fut ainsi. 25 Et Dieu se mit à faire la bête sauvage de la terre selon son espèce, et l’animal domestique selon son espèce, et tout animal qui se meut sur le sol, selon son espèce. Et Dieu vit que [c’était] bon.
Auteur : Bertrand
Date : 12 sept.14, 01:36
Message : L'aigle la sagesse terrestre animale..
L'aigle doit perdre les plumes de sa tête...Il finira donc dans la honte... Mika..
Mais il y a la sagesse d'en haut qui viendra..
Auteur : Bertrand
Date : 12 sept.14, 02:59
Message : L'HEURE DE VÉRITÉ »
Merck admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer
Publié par LaPresseGalactique.org le 23 mar, 2013 sous L'HEURE DE VÉRITÉ |

La division vaccin de Merck, admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer par le biais de vaccins. L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement injecté le virus (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.
Ce passage contenu dans le documentaire » In Lies We Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les associations de protection des consommateurs et l’experts de santé publique, le Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le PLUS grand experts en vaccins du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique pourquoi Merck a propagé le sida, la leucémie et d’autres fléaux horribles à travers le monde: http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... dikv0zbAlU
Production des vaccins facultatifs et non facultatifs: On doit acquérir le germe de la maladie (mais ce n’est pas le germe qui produit la maladie), une bactérie toxique ou un virus « vivant »( il n’est pas possible d’avoir des virus «vivants» , puisque ce ne sont pas des êtres vivants), qui doit être atténué, ou affaibli pour un usage humain, avec une série d’étapes en passant les virus par les cultures de tissus d’animaux à plusieurs reprises pour réduire la potentialité pathogène; exemple: le vaccin associé à la rougeole, les oreillons et la rubéole est préparé dans l’embryon du poussin, le virus de la poliomyélite à travers les reins de singe vert africain, le virus de la rubéole à travers les cellules diploïdes humaines ou des organes disséqués de fœtus avortés.
Comment ils se produisent, c’est ce qu’explique le Dr Alain Scohl dans un article dans lequel sont présentés les éléments les plus significatifs, paru sur le n. 4/97 de Kairos où il affirme: « L’injection de vaccins est pratiquée en dépit de toutes les règles de sécurité habituelles recommandées pour les traitements médicaux ». Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes. Normalement, même les grands professeurs ne les connaissent pas. Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés essentiellement sur des cultures de cellules humaines, fœtales ou animales, cancérisées artificiellement, pour les rendre littéralement immortelles ( elles se reproduisent toujours dans les corps vivants), et avoir une certaine « stabilité du produit », quand il ne s’agit pas de cellules déjà cancéreuses ( lymphomes ).
Pour accroître le rendement de la production, les cellules « immortelles » sont « nourries » avec du sérum sanguin de vache, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. C’est juste le liquide de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé, après filtration et traitement pour atténuer ou éliminer le virus. Il est absolument impossible d’obtenir un produit pur. L’OMS « s’attend » pudiquement à une pureté de 90%.
Quels sont les dangers? Avec ces vaccins sont inoculés dans notre organisme:
- Des substances cancérogènes certainement dans d’énormes quantités
- Certains outils (sur une échelle cellulaire) servis à la manipulation génétique (dans le cas des vaccins génétiquement modifiés), telles que les enzymes et les portions de l’ADN. Ce matériau peut déclencher à tout moment des variations du message génétique chez le vacciné, aussi bien que le virus connu.
Pour certains vaccins (polio et autres) sont utilisés des cultures de cellules de rein de singe vert africain ( lequel) est préparé avec le vaccin contre la polio – le rein du singe contient un ancêtre du VIH, celui qui causerait le sida) le sérum du veau et l’embryon de poussin sont des protéines étrangères, de la matière biologique composée de cellules animales. Les virus appelés improprement «tués» Un virus ne peut pas être tué puisqu’il n’est pas un être vivant, mais seulement une protéine toxique contenant de l’ADN – il est rendu « inactif »- en réalité » affaibli « – avec la chaleur, des radiations ou des produits chimiques, mais dans certains cas, un état fébrile peut réactiver le virus. Le virus « affaibli » doit ensuite être renforcé avec des adjuvants ( boosters des anticorps ) et des stabilisants, en ajoutant des médicaments, des antibiotiques et des désinfectants toxiques à la base de la préparation: néomycine, streptomycine, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, hydroxyde d’aluminium, chlorhydrate d’aluminium, sorbitol, gélatine hydrolysée, formaldéhyde (produit cancéreux) et le thimérosal (partie du mercure).
Etant donné que cette « matière toxique organique » est injectée directement dans la circulation sanguine, en ignorant tous les mécanismes de défense immunitaire naturelle, elle peut aussi endommager notre structure génétique, ou immunodéprimé le sujet vacciné. Plusieurs chercheurs ont constaté que les vaccins « trompent » le corps en le stimulant pour se focaliser seulement sur un aspect (à savoir la production d’anticorps) des stratégies multiples et complexes normalement disponibles pour le système immunitaire. Les virus (protéines toxiques) des animaux utilisés dans les cultures de préparation des vaccins et inoculés avec eux, peuvent « sauter » la barrière de l’espèce de manière acculte et inobservable.
C’est exactement ce qui s’est passé pendant les années 50 et 70, quand des millions de personnes ont été infectées par le vaccin contre la polio (Sabin) et contaminées par le virus SV-40 (virus du singe) et est passé par les organes du singe utilisé pour préparer les vaccins.
Le SV-40 – contaminant – ( le 40ème virus de singe relevé depuis que les chercheurs ont commencé à les observer ), est considéré comme un suppresseur puissant du système immunitaire, un déclencheur puissant du VIH, le nom donné au virus du sida. Il se dit qu’il cause un état clinique similaire au SIDA et a été également trouvé dans les tumeurs du cerveau, dans la leucémie et autres cancers de l’homme.
>Les chercheurs le considèrent comme un virus qui provoque le cancer de la plèvre: le mésothéliome.
Selon le Dr David Kessler, ex fonctionnaire de la Food and Drug Administration, « seulement environ 1% des événements graves (réactions indésirables aux vaccins) est signalé à la FDA. Par conséquent, il est tout à fait possible que chaque année des millions de personnes ont des réactions indésirables aux vaccins obligatoires ». Le Dr Robert Mendelsohn, qui a souvent critiqué la médecine officielle pour sa doctrine bigote a soutenu que les médecins sont les prêtres qui distribuent de l’eau sainte sous la forme d’inoculations » pour donner l’initiation rituelle de la grande industrie médicale à notre consécration.
>Le Dr Richard Moskowitz affirme: « Les vaccins sont devenus les sacrements de notre foi dans la biotechnologie. Leur efficacité et leur sécurité sont largement vues comme allant de soi et ne nécessitent pas d’autres preuves ». Chaque année, la FDA reçoit des milliers de rapports de réactions indésirables dues aux vaccins. Ces données incluent des lésions cérébrales et des décès. Ces informations sont stockées dans une base de données secrète du gouvernement (États-Unis) à laquelle les citoyens américains peuvent accéder (avec certaines restrictions) en utilisant le Freedom of Information Act ( Loi sur la liberté d’information ). Elle est divisée en catégories qui incluent les vaccins administrés, les types de réactions, des informations sur les admissions et les décès, et plus encore.
Source: http://rustyjames.canalblog.com/
MERCI DE DIFFUSER CE TEXTE ET D'EN INDIQUER L'AUTEUR ET LA SOURCE: LAPRESSEGALACTIQUE.ORG
Auteur : medico
Date : 22 sept.14, 05:01
Message : Ebola: un nouveau bilan de l'OMS fait état de 2800 morts
Mis à jour à 15:27
Le bilan de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest continue de s'alourdir. L'OMS admet que le nombre de cas officiellement déclarés est sous-estimé.

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L'épidémie a infecté 5800 personnes, dont 2800 sont mortes en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, selon un dernier bilan de l'OMS (22 septembre)
L'épidémie a infecté 5800 personnes, dont 2800 sont mortes en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone, a indiqué ce lundi 22 septembre à Genève l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

L'image de l'évolution de l'épidémie est mélangée: dans certaines régions en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria, le nombre de cas s'est stabilisé. Dans d'autres, surtout à Monrovia, la capitale du Liberia, l'augmentation reste exponentielle, a précisé l'OMS.

Le précédent bilan faisait état de 5347 cas avec 2630 morts. L'OMS admet que le nombre de cas officiellement déclarés est sous-estimé. Pour certains experts, il faut multiplier par deux le nombre de cas et de morts, pour d'autres par 2,5 ou encore par trois pour avoir une idée exacte de l'ampleur de l'épidémie.

(ats)
Auteur : medico
Date : 06 oct.14, 00:58
Message : Ebola pourrait débarquer en France d'ici le 24 octobre
Par LEXPRESS.fr, publié le 06/10/2014 à 09:33, mis à jour à 10:16
Selon des chercheurs américains, l'épidémie d'Ebola a 75% de chances d'arriver en France dans les trois prochaines semaines, au vu de ses nombreuses liaisons aériennes avec les pays d'Afrique de l'Ouest touchés par l'épidémie.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... G0YgO61.99
Auteur : medico
Date : 10 oct.14, 06:38
Message : Ebola : le cap des 4 000 morts est franchi, selon l'Organisation mondiale de la santé


L'OMS a donné un nouveau bilan de l'épidémie qui ravage principalement la Sierra Leone, le Liberia et la Guinée.

Par Francetv info avec AFP
Auteur : medico
Date : 17 oct.14, 01:34
Message : Les processus de déclenchement de la maladie provoquée par le virus, identifié en 1976, restent encore méconnus. Ce n'est pas le cas des mécanismes d'infection.
C'est un virus pas comme les autres. Tout en longueur, comme un ver ou un filament qui peut avoir des embranchements, ce qui lui vaut son nom de filovirus. La réplication fulgurante du virus Ebola chez les personnes infectées peut désactiver le système immunitaire, provoquer des hémorragies internes et entraîner le dysfonctionnement des organes vitaux. Des attaques qui provoquent, en l'absence de traitement, la mort dans 70 % des cas pour l'épidémie en cours en Afrique de l'Ouest.
Depuis son identification en 1976, le virus Ebola ne cesse d'intriguer les virologues qui tentent de comprendre comment il agit de manière aussi brutale dans l'organisme. «Les recherches sur la pathogénèse (les processus de déclenchement de la maladie, NDLR) sont encore très actives, et il reste beaucoup de choses qu'on ne comprend pas», reconnaît avec humilité Hervé Raoul, directeur du Laboratoire P4-Jean-Mérieux à Lyon, établissement de haute sécurité dans lequel sont menées les recherches sur les virus les plus dangereux. «On ne sait, par exemple, pas bien pourquoi la souche actuelle du virus provoque moins d'hémorragies que lors des précédentes épidémies.»
Les mécanismes d'infection du virus sont en revanche bien connus. Il suffit de très peu de virus pour infecter un individu, ce qui le rend encore plus dangereux. Seuls 17 de ces petits filaments d'un millionième de mètre de long suffiraient au départ à lancer le processus d'attaque des cellules. Une virulence terrible qui est compensée par un mécanisme de transmission qui n'agit que par contact direct avec les fluides corporels (salive, sang, sueur, sperme, selles et urine). Pour rentrer dans le corps, les virus doivent passer par les muqueuses, par une plaie, ou par une piqûre. Un mécanisme qui fait qu'en moyenne, sans protection particulière, un malade d'Ebola contamine à son tour deux autres personnes. Soit beaucoup moins que certains pathogènes qui se propagent par voie aérienne, comme la varicelle par exemple, où chaque malade peut contaminer 17 personnes.
Mais une fois que le virus entre dans l'organisme, il s'y installe et s'y multiplie très rapidement. Pendant la phase d'incubation, qui dure de 2 à 21 jours (en moyenne entre 4 et 9 jours), le patient ne présente aucun symptôme, et n'est pas contagieux. Par la suite, les premiers symptômes apparaissent: fièvre associée à des céphalées, nausées, douleurs musculaires et fatigue générale. Des maux très courants qui ne sont en rien spécifiques à Ebola et compliquent le diagnostic.
«Ces signes non spécifiques sont ensuite rapidement suivis par des manifestations cutanées, des symptômes digestifs violents (douleurs abdominales, vomissements, diarrhées profuses), des troubles respiratoires (maux de gorge, toux) et des signes neurologiques (prostration, confusion, délire), indiquant une diffusion généralisée du virus et une atteinte multiviscérale», décrit Eric Leroy, chercheur de l'IRD au Gabon, dans la revue Médecine tropicale.
Après son entrée dans l'organisme, le virus s'attaque d'abord aux cellules du système immunitaire, et empêche la production d'interférons, des protéines dédiées à la lutte contre les virus. À partir du foie, de la rate et des ganglions lymphatiques, il se répand dans tout le reste de l'organisme. Le virus perturbe ensuite le système sanguin, en provoquant des inflammations, sources de saignements, et provoque la formation de caillots, qui viennent bloquer des petits vaisseaux, affectant l'irrigation sanguine des organes vitaux. Même quand la maladie ne crée pas d'hémorragies internes massives, qui surviennent rarement avec la souche actuelle du virus, elle peut provoquer la mort en entraînant une défaillance générale des organes vitaux, affectés par une cascade de défaillances de tout le système immunitaire. «Les signes cliniques terminaux ressemblent à un choc septique généralisé», précise Hervé Raoul. La phase aiguë de la maladie dure en général de 9 à 10 jours.
LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE:
En France, l'inquiétude grandit autour d'Ebola
Comment diagnostique-t-on un cas d'Ebola?
Ebola angoisse l'Amérique
Auteur : medico
Date : 11 nov.14, 21:00
Message : Image
Auteur : medico
Date : 12 nov.14, 07:20
Message : Le nombre de morts dûs à l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola a dépassé le cap des 5 000, avec 5 160 décès enregistrés pour 14 098 cas, selon le dernier bilan de l'OMS, diffusé mercredi 12 novembre. Huit pays ont enregistré des cas mortels, particulièrement en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone. Dans ce dernier pays, l'OMS constate "une forte hausse" du nombre de cas, avec 421 infections nouvelles la semaine dernière.
Auteur : medico
Date : 17 déc.14, 06:34
Message : Un million de personnes menacées de faim à cause d'Ebola
Mis à jour à 14:40
Plus d'un million de personnes sont menacées par la faim dans les trois pays d'Afrique de l'Ouest les plus touchés par l'épidémie d'Ebola, qui a gravement perturbé récoltes et réseaux d'approvisionnement.

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L'ONU estime que plus d'un million de personnes sont menacées par la faim dans les trois pays d'Afrique de l'Ouest les plus touchés par l'épidémie d'Ebola. (17 décembre 2014) Image: AFP
L'épidémie de fièvre hémorragique a fait 6900 morts au Liberia, en Sierra Leone et en Guinée, où l'insécurité alimentaire sévit déjà de manière chronique, soulignent dans leur texte l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM).

Mesures de quarantaine et de confinement, entraves à la circulation, récoltes perdues dans les zones les plus touchées et fermeture des grands marchés pénalisent gravement l'accès à la nourriture des populations de ces trois pays, expliquent les deux organisations internationales qui publient le résultat de leurs enquêtes sur place.

«En ce mois de décembre, selon les estimations, un demi-million de personnes sont en situation d'insécurité alimentaire grave dans les trois pays d'Afrique de l'Ouest les plus touchés», écrivent la FAO et le PAM qui préviennent que ce nombre «pourrait dépasser le million d'ici mars 2015 à moins d'une nette amélioration de l'accès à la nourriture».

Rétablir les systèmes agricoles

«La perte de productivité et de revenus des ménages en raison des décès et de l'apparition de maladies liés au virus ainsi que les mesures de confinement aggravent le ralentissement économique dans les trois pays», soulignent-ils. «Craignant la contagion, beaucoup de personnes ne peuvent plus se rendre à leur travail».

Au moment où ces trois pays ont besoin d'importer davantage de denrées, ils voient de plus les revenus provenant des produits d'exportation (café, cacao, mines) amputés du fait de l'épidémie.

Outre une intervention alimentaire d'urgence déjà en cours, notamment auprès des communautés en quarantaine, la FAO et le PAM appellent à «une action urgente pour rétablir les systèmes agricoles dans les trois pays» en fournissant aux populations les plus touchées un accès aux semences, aux technologies permettant de surmonter la pénurie de main d'oeuvre.

Ils recommandant aussi un soutien «en espèces ou sous forme de bons en faveur des personnes touchées afin qu'elles puissent acheter de la nourriture en compensation des pertes de revenus et pour contribuer à stimuler les marchés» locaux
AFP

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