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Auteur : rachel
Date : 24 juin05, 03:05
Message : Des néonazis en Israel
TRAHISON : Certains immigrants venus de l'ex-URSS grâce aux larges possibilités offertes par la Loi du Retour sont parfois dépourvus de toute affinité avec le judaïsme et le peuple juif. Quelques-uns vont jusqu'à se réclamer de l'idéologie nazie. Un phénomène inquiétant même si son envergure reste très limitée.
les policiers qui ont inerpellé le 5 mai, au soir de la Journée de la Shoah, un jeune soldat d'origine russe soupçonné de détenir de la drogue ont eu une belle surprise.
Ils ont en effet vu une croix gammée tatouée sur l'avant-bras gauche du suspect et ce dernier leur a expliqué qu'il haïssait les Juifs. En fouillant son appartement à Ariel en Samarie, ils n'ont pas seule ment trouvé des stupéfiants,
ils ont aussi découvert sur son ordinateur du matériel sur diverses organisations néonazies. Ils ont été encore plus sidérés lorsque
la mère du jeune homme leur a expliqué qu'elle était, elle aussi, une adepte de cette idéologie et qu'elle détestait "tout ce qui a trait à l'Etat d'Israël".
Les enquêteurs ont d'abord imaginé que cette famille qui n'avait appa- remment rien de juif avait immigré frauduleusement en Terre sainte à l'aide de faux papiers. Une rapide vérification a cependant révélé que
l'intéressé avait un grand-père juif domicilié à Kiriat-Gat, et qu'il était donc entré légalement en Israël en 1996, selon la clause de la Loi du Retour qui considère comme citoyen de plein droit toute personne pouvant faire état d'une grand-mère ou d'un grand-père juif.
Mais cette affaire a sur tout servi de révélateur . Elle a permis aux enquêteurs et à l'opinion de se rendre compte
qu'il existe en Israël des cercles qui s'identifient à l'idéologie nazie et qui sont habités d'une véritable haine des Juifs. Le militaire d'Ariel appartient à un groupe d'une vingtaine de jeunes tous originaires de l'ex URSS,
adeptes des forums de discussions néonazis sur le Web et friands de la doctrine ainsi que des symboles hitlériens. Les membres correspondaient sur Internet et organisaient des réunions au cours desquelles ils se livraient à des rites inspirés du nazisme.Il semble que dans le pays, une centaine de personnes au total se réclament de l'idéologie nazie. Même si ces chiffres paraissent insignifiants, c'est beaucoup pour un peuple qui a vu un tiers de ses membres exterminés par la barbarie hitlérienne. De plus, en l'absence d'une véritable législation visant à combattre l'antisémitisme, les autorités sont un peu désarmées face à ce genre de phénomène. La commission de l'immigration et de l'intégration de la Knesset s'est réunie le 14 juin pour débattre de cette question. Elle a décidé de faire pression pour que les néonazis soient expulsés et déchus de leur nationalité israélienne.
Julie Braun
ACTUAliTE JUIVE N°894 DU 16/06/05 Page19
http://www.actuj.net/ Auteur : Pasteur Patrick
Date : 24 juin05, 04:44
Message : Contradiction
Titre = DES néonazis en Israël
Notez bien le pluriel très vagues mais incisifs !
Texte: "un jeune soldat d'origine russe "
En fait de néonazis,on s'aperçoit qu'il s'agit d'un pauvre bougre, Juif ayant profité comme tous se coreligionnaire, dela loi du Retour pour échapper à la misère soviétique.
Texte: "Mais cette affaire a sur tout servi de révélateur ."
En, effet, on comprend demieux en mieux les intentions du posteur de ce genre de message, on peut aussi parler d'imposteur! C'est permis?
Auteur : rachel
Date : 24 juin05, 04:56
Message : Pasteur Patrick a écrit :on s'aperçoit qu'il s'agit d'un pauvre bougre, Juif ayant profité comme tous se coreligionnaire
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http://quebectech.darktech.org:8080/rel ... php?t=5849
http://quebectech.darktech.org:8080/rel ... php?t=4436
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Auteur : rachel
Date : 24 juin05, 04:59
Message : Pasteur Patrick a écrit :il s'agit d'un pauvre bougre, Juif ayant profité comme tous se coreligionnaire, dela loi du Retour
et pourquoi les pauvres bougres de refugiés palestiniens n'ont pas le droit de profiter de la loi du retour

Auteur : Pasteur Patrick
Date : 24 juin05, 06:14
Message : ... parce qu'ils ne sont pas Juifs.
Bête question.
Désolé d'être direct, mon pauvre rachel.
Auteur : rachel
Date : 27 juin05, 02:00
Message : Pasteur Patrick a écrit :... parce qu'ils ne sont pas Juifs.
Bête question.
Désolé d'être direct, mon pauvre rachel.
ils sont des goyim=nokrim=eino yahudim comme toi
toi non plus tu n' as droit au retour parceque tu es un goy mieux tu es un shabatt goy

Auteur : Pasteur Patrick
Date : 27 juin05, 22:55
Message : Je ne puis empêcher des Juifs de m'appeler GOY dans leur langue... Qu'est-ce que cela peut me faire ?
Franchement?
Personnellement, je ne vois pas pourquoi je devrais profiter d'une loi du retour qui ne me concerne pas !
Ai-je moi et mes ancêtres été persécutés ?
NON.
Viens-je de l'Orient ?
Non.
Ai-je dû émigrer à partir de la Destruction de Jérusalem par Titus en 70 ? NON.
Pour retourner quelque part, encore faudrait y être allé un jour, or ce n'est pas mon cas, à ce que je sache.
Je suis bien ici,en Belgique, terre d'acueil.
Eventuellement, si je dois retourner dans un pays, ce serait mon pays d'origine, la France... mais pour cela la Loi ne me fait aucun problème. Les Européens peuvent circuler librement d'une Etat à l'autre.
Salut
Auteur : rachel
Date : 28 juin05, 02:07
Message : Pasteur Patrick a écrit :... parce qu'ils ne sont pas Juifs.
Bête question.
Désolé d'être direct, mon pauvre rachel.
comme david qui a une grand mere moabite,le roi salomon une mere hittite,le roi saul une mere cannanienne,les enfants de moise une mere medianite
ils ont pas le droit de retour
ils ne sont pas juifs pour le talmud
le talmud contredit la thorah
la consequence néfaste de cette loi du talmud ce sont les soldats juifs d'hitler des pauvres bougres comme tu dis.
ils sont refusés comme juifs par le talmud mais acceptés par hitler comme ariens
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Article du Daily Telegraph,
lundi 2 décembre 1996.
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Le secret des soldats juifs d'Hitler révélé
par Tim King
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Des milliers de soldats d'origine juive ont servi dans l'armée d'Hitler pendant la seconde guerre mondiale et se sont battus pour les chefs nazis qui ont ordonné l'extermination des juifs.
Les découvertes d'un étudiant américain de vingt-cinq ans, que le Dailytelegraph publie pour la première fois, montrent qu'Hitler connaissait les origines juives de plusieurs douzaines d'officiers supérieurs et avait signé des documents les déclarant "de sang allemand".
La loi allemande en vigueur sous les nazis à partir de 1935 interdisait de devenir officier à quiconque avait un grand parent juif. Mais le service du personnel de l'armée allemande connaissait, en 1944, soixante-dix-sept "officiers de haut rang de race juive mêlée ou mariés à des juives" en activité dans la Wehrmacht, l'armée allemande. Les soixante-dix-sept hommes avait reçu d'Hitler une déclaration de "sang allemand".
La liste a été découverte par Bryan Rigg, un étudiant en histoire actuellement à l'Université de Cambridge, qui a retrouvé d'anciens membres de la Wehrmacht qui étaient juifs ou avaient une parentèle juive. Il a interrogé des centaines d'anciens militaires et leurs familles et a examiné, dans les archives du gouvernement fédéral allemand, les dossiers militaires individuels qui ont révélé que les autorités nazies connaissaient très bien leurs origines. M. Rigg a trouvé la preuve qu'Hermann Goering, chef de la Luftwaffe et successeur désigné d'Hitler, avait falsifié la filiation du maréchal de camp Erhard Milch, son adjoint, qui était, d'après les définitions nazies elles-mêmes, un demi-juif.Il a découvert que les autorités nazies avait octroyé la croix de Chevalier, décoration militaire allemande la plus élevée, à des militaires qui avaient été licenciés précédemment parce qu'ils étaient juifs, puis réintégrés. Il a eu une conversation avec un officier allemand qui avait rendu visite à son père dans un camp de concentration, arborant ses médailles de combattant. La veuve d'un titulaire de la Croix de Chevalier lui a dit que son mari, un demi-juif, avait été profondément bouleversé par une visite au ghetto de Varsovie, alors qu'il rentrait des combats en Russie.
M. Rigg a identifié un demi-juif, vétéran de la Première guerre mondiale, qui avait commandé un groupe des services de renseignements militaires allemands à Varsovie en septembre 1939, chargé d'aider le chef des juifs lubavitchi, le rabbin Joseph Schneersohn, à s'enfuir en Amérique.
Juifs sous l'uniforme nazi
Le bureau du personnel de l'armée allemande avait dressé, en 1944, une liste de soixante-dix-sept officiers de haut rang "de race juive mêlée ou mariés à une juive" servant dans l'armée allemande.
Les soixante-dix-sept hommes avaient reçu d'Hitler une déclaration "de sang allemand". Parmi les soixante-dix-sept hommes, il y avait deux généraux de corps d'armées, huit généraux de division, cinq généraux de brigade et vingt-trois colonels. La liste avait été dressée, à la demande d'Hitler, pour que ces officiers puissent être licenciés.
L'officier qui avait dressé la liste reconnut, en janvier 1944, qu'elle était incomplète. Les recherches de Bryan Rigg n'ont mis au jour non seulement la liste mais bien d'autres officiers de grade aussi élevé dans l'armée de terre, la marine et l'aviation. "Je pourrais ajouter soixante noms à cette liste", déclare-t-il. M. Rigg a trouvé des documents qui montrent que dans le cas d'un maréchal de camp dont le père était juif, Goering et Hitler avaient décrété que son "vrai père" était son oncle maternel et que le maréchal de camp était par conséquent de sang allemand authentique. Ses recherches ont déjà mis au jour dix-sept cas d'attribution de la Ritterkreuz (Croix de Chevalier), décoration militaire allemande la plus élevée, à des hommes dont les origines juives étaient connues. Beaucoup des hommes qu'a découverts M. Rigg n'étaient pas des juifs religieux. Mais la loi sur la citoyenneté du Reich et la loi de protection du sang allemand, promulguées à Nuremberg en 1935, définissait comme juif quiconque avait au moins trois grands-parents juifs. Elles créaient aussi deux catégories de Mischlinge --les sangs-mêlés-- avec soit un, soit deux grands-parents juifs. Les deux classes, Mischlinge 1(demi-juifs) et 2 (quart-de-juif) étaient exclues de la citoyenneté du Recih.
En 1940, les Mischlinge 1, avec deux grands-parents juifs, furent expulsés de l'armée. L'ordre d'expulsion fut renouvelé en 1942, 1943 et 1944? Les Mischlinge 2, avec seulement un grand parent juif, étaient autorisés à rester dans l'armée mais pas à devenir officiers. On s'aperçoit que les Mischlinge ont été négligés par les historiens, peut-être parce qu'ils n'étaient ni des victimes juives, ni des bourreaux nazis. M. Rigg, qui a commencé ses recherches sur les juifs dans l'armée [allemande] quand il était étudiant à l'université d'Yale, raconte que tout d'abord, ses professeurs avaient essayé de le dissuader, pensant qu'il ne trouverait rien. L'un des hommes qu'il a interrogés est Helmut Schmidt, l'ancien chancelier ouest-allemand, qui fut officier dans la Luftwaffe bien que son grand-père fût juif. M. Schmidt, déclare M. Rigg, estimait qu'ils étaient "quinze à vingt" dans son cas.
M. Rigg dit que des milliers de Mischlinge et de juifs ont servi dans l'armée durant la période nazie. Il a enregistré mille deux cents cas et interrogé plus de trois cents soldats ou leurs familles. Il a réuni trente mille documents et détaillé les origines juives de deux maréchaux de camps, dix généraux, quatorze colonels et trente majors. Il a déclaré: "Pendant que ces soldats servaient, beaucoup de leurs parents juifs étaient tués dans les camps de concentration. Près de deux mille trois cents parents juifs d'un groupe de mille soldats dont j'ai étudié le cas ont été victimes de l'Holocauste -- des cousins, des tantes, des oncles, des grands-parents, des pères, des mères. L'un des soldats interrogés était un vétéran de la Wehrmacht qui visita le camp de concentration de Sachsenhausen en 1942, arborant sa Croix de fer gagnée sur le champ de bataille.
Interpellé par un officier SS, il répondit qu'il était venu voir son père, un juif. L'officier SS dit: "Si vous ne portiez pas cette médaille, je vous enverrais immédiatement rejoindre votre père." Mais un autre homme interrogé, âgé maintenant de soixante-seize ans et vivant en Allemagne, était un juif pur, qui s'était réfugié en France occupée en 1940 et s'y était enrôlé dans la Waffen SS sous un faux nom.
M. Rigg dit que les gens qu'il a interrogés étaient incapables de trouver leur place dans l'Histoire. "Ils ne savent pas où ils se situent," dit-il. "Si j'ai servi dans l'armée allemande et que ma mère est morte à Auschwitz, suis-je victime ou bourreau? Ces gens ne peuvent raconter leur histoire nulle part, parce qu'on n'a jamais rien écrit sur eux. Personne ne pensait qu'il y avait lieu de le faire." Il dit que les Mischlinge ont été ignorés parce que ni l'un ni l'autre camp ne les réclamait. "Les Allemands qui se sentent coupables ne veulent pas parler d'eux. La communauté juive ne veut pas les revendiquer parce que c'est contraire à tout ce qu'on leur a enseigné de l'Holocauste," dit-il.
Le Dr Jonathan Steinberg, assistant d'histoire de l'Europe contemporaine à Cambridge, qui dirige les recherches de M. Rigg, dit que ces découvertes n'ont pas été faites plus tôt "parce que les documents ne se trouvaient pas là où les chercheurs ordinaires seraient allés les chercher." Les historiens n'avaient aucune raison de se pencher sur les milliers de "dossiers individuels absolument normaux".
"Bryan Rigg n'aurait pas regardé non plus mais il a trouvé les gens eux-mêmes et ils l'ont amenés jusqu'aux dossiers," dit-il. M. Steinberg, auteur d'une étude comparative sur le traitement des juifs dans les armées allemande et italienne, dit que les découvertes de M. Rigg mettent à nu un "chapitre humain incroyable" concernant les officiers les plus gradés. "Cela complique la réalité de l'Etat nazi ," dit-il. Les recherches de M. Rigg vont modifier à la fois la querelle sur le rôle personnel d'Hitler dans l'Holocauste et le débat sur l'antisémitisme des Allemands de la rue.
Les cas étudiés par M. Rigg révèlent des expériences différentes. Certains étaient des juifs pratiquants; d'autres ne se considéraient pas comme juifs, malgré la définition légale. Certains ont gardé leurs origines juives secrètes, d'autres n'ont pas pu les cacher.
L'étude montre comment l'intolérance nazie envers les sangs mêlés s'est durcie pendant la guerre. En 1944, même les officiers très gradés dont la présence avait été tolérée furent démis: le commandement nazi révoqua les déclarations de sang allemand signées par Hitler. A cette époque, une bonne partie des demi-juifs qui avaient commencé la guerre dans la Wehrmacht travaillaient pour l'Organisation Todt, le programme de travaux publics nazi, dans des camps de travail forcé.
Les honneurs de la patrie pour la race haie
Le commandement nazi a attribué la décoration militaire la plus importantes, la Ritterkreuz, à des soldats qu'il savait être d'origine juive.
Le major Robert Borchardt gagna la Ritterkreuz sur le front russe mais, après avoir été capturé par les Alliés, retrouva son père juif en Angleterre. Borchardt fut exclu de l'armée en 1934 parce qu'il était moitié juif mais il fut réintégré la même année après avoir reçu d'Hitler sa déclaration de sang allemand et envoyé en Chine pour assister l'armée de Tchiang Kai Chek.
En 1941 il se trouvait à la tête d'une compagnie de chars et, en août 1941, il reçu la Ritterkreuz pour sa campagne de Russie. Il fut transféré dans l'Afrika Korps de Rommel et fait prisonnier à El-Alamein. Vers la fin de 1944, il est prisonnier de guerre et retrouve son père juif qui s'était échappé d'Allemagne avant la guerre. En 1946, il retourne en Allemagne parce que, explique sa femme, "il fallait bien que quelqu'un rentre pour reconstruire le pays".
En 1983, peu avant sa mort, il déclara à des lycéens de sa ville: "Beaucoup de juifs ou de demi-juifs allemands combattirent pendant la première et même la seconde guerre mondiale parce qu'ils croyaient faire honneur à leur patrie en servant dans l'armée."
Le colonel Walter Hollaender reçut la Ritterkreuz, équivalent de [la Croix de guerre] mais sa promotion fut barrée parce qu'il était à moitié juif. Il fut profondément troublé lors d'une visite au ghetto de Varsovie en 1943 par le spectacle de la persécution des juifs par les Allemands.
Hollaender était entré dans l'armée de la République de Weimar, en 1922. Sa mère était juive et son dossier militaire montre qu'en 1934, le quartier général à Berlin écrit qu'il n'est "pas aryen" mais, en sa faveur, qu'il a combattu contre les communistes en 1923-1924.
Le bureau du personnel pensait qu'il devait rester dans l'armée mais les origines juives de Hollaender perturbait ses collègues à l'école militaire où il était affecté et il fut transféré en Chine; Hitler le récompensa par la médaille de service honorable en 1936 puis, en 1939, après avoir examiné des photos de lui, son dossier et ses évaluations, lui donna la déclaration de sang allemand, le Genehmigung. Les états de service de Hollaender étaient excellents et il reçut la Croix de fer après avoir commandé une compagnie de lance-grenades en Pologne. Il reçut la Ritterkreuz en juillet 1943, après avoir détruit vingt-et-un chars russes pendant la bataille de Koursk.
Mais en 1943, ses origines juives barrèrent à Hollaender la promotion au rang de général. D'après sa femme, que M. Rigg a interrogée, Hollaender, la même année, en rentrant chez lui en permission, passa par le ghetto de Varsovie. D'après sa femme, sa visite au ghetto "le détruisit moralement". Il regagna son régiment profondément troublé et son dossier personnel notait, en 1944, qu'il était trop indépendant et difficile à manier. Il fut fait prisonnier par les Russes en Octobre 1944 et passa douze ans dans une prison russe.
LA DECOUVERTE DE L'HOMME QUI A SAUVE SCHNEERSOHN
L'étude de Bryan Rigg éclaire l'un des plus étranges épisodes de 1939: le sauvetage par des soldats allemands du chef des lubavitchi, juifs ultra-orthodoxes, de Varsovie.
D'après la tradition des juifs lubavitchi, devenus un groupe politique très influent en Israël et à New York, le Rebbe, ou chef dynastique, fut sauvé par un soldat allemand. Mais l'histoire semblait trop fantastique pour être vraie. Bryan Rigga identifié le soldat et prouvé son identité juive.
Quand les nazis envahirent la Pologne en septembre 1939, le rabbin Joseph Schneersohn, l'un des plus grand érudits juifs du monde, se trouva pris au piège à Varsovie. Le destin du rabbin avait une signification particulière pour des milliers de juifs dans le monde. Le hassidisme considère le rebbe comme un être humain doté de pouvoirs spirituels supérieurs qui lui permet d'être l'intermédiaire entre Dieu et les hommes.
Certains lubavitchi croient que le septième rebbe, Menachem Mendel Schneersohn, mort en 1994, est le Messie et attendent son retour. Sa tombe, à New York, est maintenant un lieu de pèlerinage. Le sixième rebbe, Joseph Schneersohn, était le beau-père de Mendel et avait lui-même succédé à son père à sa mort en 1920. En septembre 1939, lorsque les lubavitchi d'Amérique apprirent que leur chef révéré était enfermé dans Varsovie, ils demandèrent l'aide du secrétaire d'Etat américain, Cordell Hull. Hull transmit l'appel au consul général américain à Berlin qui, à son tour, demanda l'aide d'Helmut Wohlthat, l'administrateur en chef du plan de quatre ans de Goering. Wohlthat fit appel à l'amiral Wilhelm Canaris, chef de l'Abwehr, le service de renseignements militaires.
Canaris envoya une troupe d'hommes à Varsovie. Ils découvrirent le Rebbe et son entourage, qui ne se seraient sûrement pas fait connaître à un groupe de soldats allemands, les guidèrent pour traverser l'Allemagne et leur firent traverser la Lituanie d'où ils gagnèrent l'Amérique. Le secrétaire du rabbin Schneersohn décrit ainsi leur voyage périlleux à partir de Varsovie: "Les soldats allemands, sanguinaires comme des bêtes sauvages, s'excitaient contre notre groupe d'hommes juifs dès qu'ils voyaient nos barbes et nos boucles. Un juif allemand, qui avait combattu pendant la première guerre mondiale et dont l'uniforme était couvert de décorations, aida le rebbe et sa famille à échapper au danger. Plusieurs fois durant le voyage, des soldats nazis nous menacèrent, mais ce juif hurlait contre eux et leur disait qu'il avait des ordres spéciaux pour accompagner ces juifs jusqu'à Berlin."
Récemment encore, la participation d'un officier juif au sauvetage du Rebbe et à la préservation de la dynastie lubavitchi semblait incroyable. Mais les recherches de M. Rigg ont identifié l'homme, le lieutenant-colonel Dr Ernst Bloch, l'un des soixante-dix-sept officiers de grade élevé de la liste de janvier 1944. Son père, le Dr Oscar Bloch, était juif. Bloch était un vétéran de la première guerre mondiale, où il s'était engagé dans l'infanterie en 1916. Il combattit à Verdun, sur la Somme, en Champagne et en Flandre. Il avait été défiguré par une blessure de baïonnette dans les tranchées.
Canaris recruta Bloch dans l'Abwehr en 1935 et le chargea de réunir des renseignements sur le potentiel industriel des autres pays. Canaris porta la question des origines juives de Bloch devant Hitler en 1939. Après avoir regardé les photos de Bloch et son dossier militaire, Hitler signa le document officiel qui portait: "Je, soussigné, Adolf Hitler, chef de la nation allemande, reconnaît que le major Ernst Bloch est de sang allemand. Cependant, après la guerre, Ernst Bloch sera réévalué afin de voir s'il est toujours digne de ce titre." Le 1er juillet 1940, Hitler promut Bloch lieutenant-colonel. Il reçut la croix de fer et plusieurs décorations pour ses services. Mais en septembre 1944, Heinrich Himmler découvrit ses origines juives et ordonna que cet officier, devenu colonel, fût démis. Il fut suspendu de l'armée en octobre 1944 et fut exclu officiellement par Hitler en février 1945.
Une séance de cinéma sert de révélateur
C'est une rencontre de hasard, dans un cinéma allemand, qui a éveillé l'intérêt de Bryan Rigg pour l'histoire extraordinaire qu'il a découverte depuis. Il était à Berlin pendant l'été 1992 et alla voir Europa, Europa, un film de Salomon Perel qui raconte l'histoire d'un juif qui dissimula son identité et combattit dans les rangs allemands.
M. Rigg avait aidé un monsieur âgé à trouver un siège dans le cinéma bondé. Il lui demanda ensuite ce qu'il pensait du film. L'Allemand, encouragé par ce qu'il venait de voir, lui dévoila l'histoire de sa vie: ils parlèrent jusqu'à l'aube. Il était juif et, en 1938, avait obtenu de faux papiers et s'était enrôlé dans l'armée allemande. Il y avait combattu en Pologne, en France et en Russie. A la fin de la guerre, il avait été fait prisonnier par les Russes et interné dans un camp de concentration de Sibérie pendant cinq ans; il n'était rentré en Allemagne qu'en 1950.
Cette rencontre fortuite prit toute son importance quelques semaines plus tard, lorsque M. Rigg étudia son arbre généalogique. "En Amérique, on vous demande sans arrêt d'où vous êtes originaire", dit-il. Il savait que sa famille maternelle était allemande mais sa parentèle refusait de répondre à ses questions. "Mon imagination envisageait les possibilités les moins réjouissantes. Il me fallait connaître la vérité, quelle qu'elle soit", dit-il. La vérité était inattendue. Dans les archives de Leipzig se trouvait le nom de son arrière grand-mère avec la mention: "religion mosaïque". L'étudiant élevé dans une famille protestante du Texas apprit que ses ancêtres allemands étaient juifs.
Ses arrière-grands-parents, lorsqu'ils vinrent d'Allemagne en Amérique, se firent chrétiens, dissimulant leurs origines juives. Mais, comme le découvrit M. Rigg, ceux de la famille qui ne quittèrent pas l'Allemagne étaient restés juifs. La soeur de son arrière grand-mère était morte à Auschwitz avec toute sa famille. D'autres cousins éloignés, juifs allemands étaient morts au combat dans les rangs de la Wehrmacht.
L'été suivant, il retourna en Allemagne pour interroger l'homme qu'il avait rencontré au cinéma. Et en hiver, il alla à Jérusalem pour étudier le judaïsme et l'holocauste.
M. Rigg ne dissimule pas son investissement personnel dans l'histoire qu'il étudie. Il le dit franchement dans les lettres qu'il envoie pour demander des entrevues. Les survivants de l'holocauste lui racontent librement leur histoire, sans doute parce qu'ils sentent qu'il en est lui-même obsédé.
L'obsession semble avoir pris possession de toute sa vie. On devine, à le voir, ce qu'il était auparavant: 1m85, 90 kg, carrure d'athlète et mains comme des battoirs. Quand il était lycéen, au Texas, c'était un joueur de football américain vedette et d'ailleurs il continua à jouer à Yale. Mais c'est durant son année de préparation à l'université qu'il entama sa transformation en étudiant-chercheur. A Yale, il obtint une bourse de recherche à Cambridge, où il se trouve depuis octobre [1996] à Darwin College. Il y mène ses recherches sans s'occuper de l'historiographie de la question, puisque le phénomène qu'il étudie a été très largement ignoré par la communauté scientifique.
La chambre d'étudiant de M. Rigg, à Cambridge, est presque vide de livres. A leur place, un cadre de lit occupait le centre des lieux jusqu'à la semaine dernière; c'est là qu'il gardait les fichiers de ses entretiens. La semaine dernière, il a tout mis en lieu sûr. Il montre ses instruments de recherche: un sac à dos, une caméra vidéo et son trépied, un ordinateur portable, un fax et l'annuaire téléphonique allemand sur CD-rom. Ce dernier lui permet de retrouver la trace de gens dont il a trouvé les noms dans les archives allemandes ou dont il a entendu parler au cours de précédents entretiens et qu'il suppose être juifs et anciens combattants [allemands].
Il leur écrit alors, pour vérifier leur identité et demander des entretiens. Il est allé à Istamboul, Vancouver, Stockholm et Rome, mais la plupart de ces gens vivent en Allemagne. En train, il a pris l'habitude de s'asseoir à côte des personnes âgées pour pouvoir leur parler de son projet. Plus de douze fois, il a ainsi découvert des juifs qui avaient servi dans l'armée.
Quelques exemples
Joseph Hammburger, qui a demandé que son nom reste secret, est un juif pratiquant qui a dissimulé sa religion et servi dans la Wehrmacht. Agé aujourd'hui de quatre-vingt-deux ans, il vit dans le nord de l'Allemagne. Sa famille est morte dans l'holocauste. Il est issu d'une famille juive mais, avant la guerre, il s'est installé dans le sud de l'Allemagne en adoptant une nouvelle identité, non-juive, et a fait une école d'application pour officiers. Devenu officier, il a épousée une juive qu'il a fait venir à cette fin de sa ville d'origine. Il a servi dans l'armée pendant six ans et demi et atteint le grade de capitaine. Il dit être resté juif pratiquant pendant toute la durée de son engagement dans l'armée sans que personne le sache.
Le maréchal de camp Erhard Milch, ami personnel d'Hermann Goering est l'officier juif le plus élevé dans la hiérarchie. Né en 1892, il devint président de la Lufthansa en 1926 et chef du ministère de l'air en 1935. A ce titre, il définit la construction aéronautique allemande et transforme la Luftwaffe. Son père, Anton Milch, était juif. La réponse des autorités nazies fut de changer la filiation de Milch. Bryan Rigg a découvert un document, daté du 7 août 1935, alors que Milch était général de division, dans lequel Goering dit: "Hitler a déclaré qu'Ehrard Milch était d'ascendance aryenne Nous avons vu que son vrai père était Karl Brauer. Ses frères et soeurs sont aussi aryens." Brauer était l'oncle maternel d'Ehrard. Les nazis préféraient l'inceste à la judéité. Milch fut condamné au procès de Nuremberg et emprisonné de 1945 à 1955. Il est mort en 1972.
Le grand-père d'Helmut Schmidt, chancelier d'Allemagne de l'Ouest de 1974 à 1982, était juif, mais sa mère ne le lui a appris qu'à la fin de son adolescence, au moment où il s'apprêtait à entrer dans les Jeunesses hitlériennes. La chose avait été tenue secrète parce que le père d'Helmut Schmidt était un enfant naturel. Helmut Schmidt, né en décembre 1918, garda ses origines juives secrètes et devint lieutenant dans la Luftwaffe.
Helmut Wilberg est l'un des pères de la Blitzkrieg qui, pendant la première guerre mondiale, soutint les offensives de l'infanterie allemande. Il était chef d'une escadre volante allemande engagée dans la guerre d'Espagne en 1936 du côté de Franco. Il reçut la Croix de Chevalier. Il fut directeur d'une école de pilotes et atteint le grade de "général de la flotte". Sa mère était juive mais un document de son dossier, daté du 30 avril 1940, déclare: "Après beaucoup de recherches sur mes ancêtres, je pense que je ne suis pas juif et je sais ce que cela signifie. Si je ne réponds pas à ces questions je serai immédiatement démis de mes fonctions." Il mourut en vol en 1941.
Edgar Jacobson, pseudonyme d'un homme qui ne veut pas révéler son identité, était un pur juif d'après la définition nazie, mais non-pratiquant. Il a épousé une non-juive qui est toujours vivante. Il était réalisateur de cinéma et travaillait à l'office de la propagande à Paris en 1941. Il reçut la Croix de Fer de première classe en 1941. La même année, sa soeur, qui portait l'étoile jaune, essaya d'entrer à une réunion nazie mais l'accès lui fut barré. Elle expliqua à ceux qui l'empêchaient d'entrer que son frère était major dans l'armée. On fit une enquête et Jacobson fut traduit devant une cour martiale et emprisonné pour fausse déclaration à propos de ses origines; il fut exclu de l'armée en tant que "juif".
Plus tard il fut envoyé en camp de travail où il dut travailler sous les ordres d'un officier moins gradé que lui. L'officier se plaignit de cette injustice et Jacobson reçut une compensation des autorités allemandes après la guerre. Sa soeur, qui fut envoyé à Theresienstadt, survécut à la guerre.
Auteur : Pasteur Patrick
Date : 29 juin05, 00:00
Message : Je crois surtout que tu confonds tout.
David est David et il y a longtemps qu'il est mort. Poser la question deson retour enfonction de lois actuelles est sans fondement, Rachel. Tu tombes dans un raisonnement qui ne tient pas du tout et ne peut convaincre personne d'un tant soit peu sérieux.
Si tes références sont sériuses et crédibles, rachel, l'utilisation que tu en fais est forcée et tombe à plat, come un cheveu dans la soupe.
Ton raisonnement est beaucoup trop lacunaire et tu fais des raccourcis impossible à gtenir. Es-tu bien convaincu de ce tu racontes ? Mais je crois la chose impossible.
Parconrte entre la Bible et le talmud, il faut distinguer. Le talmud ne sera jamais qu'un commentaire de la Torah. Le Talmud n'est pas la Parole de Dieu, elle est une compilation des dits des rabbins juifs qui tentaient,comme ils le pouvaient et enfonction de leur propre sagesse et compréhension, avec laculture et les connaissances scientifiques de leur époques, d'expliquer et d'appporter des lumières "rationnelles" ou spirituelles aux questions que des étudiants de la Torah leur posaient.
Une pensée talmudique d'unauteru X peut très bien se trouver à côté d'une pensée d'une auteur Y complètement contradictoire. Le talmud estdonc bien une compilation ordonnée mais certaienemetn pas monolithique et univoque. Ce serait mal connaitre la pensée juive et tout singulièrement la pensée talmudique dont tu te sers assez mal pour prouver cequi ne peut l'être.
Mais tu fais de bonnes lectures... Salut
Auteur : Ryuujin
Date : 29 juin05, 01:16
Message : Je ne puis empêcher des Juifs de m'appeler GOY dans leur langue... Qu'est-ce que cela peut me faire ?
Franchement?
peut être que si tu savais ce qui se cache derrière le terme "goy" dans le thalmud cela te gènerai un peu plus...
"He who, intending to kill an animal, accidentally kills a person or he who, intending to kill a goy, accidentally kills a Jew must not be subjected to punishment", (Sanhedrin Tractate, fol. 78b)
traduction :
"Celui qui en voulant tuer un animal, tue accidentellement une personne, ou celui qui en voulant tuer un goy tue accidentellement un juif ne doit pas être soumis à une punition."
"but a goy who kills a Jew intentionally is as guilty as if he had destroyed the whole world" (ibid, fol. 37 a)
"un goy qui tue volontairement un juif est aussi coupable que s'il avait détruit le monde entier."
"A goy who kills another goy should be considered innocent for by doing so he becomes a proselyte of Jewry. But if he kills a Jew then he must die, even if he is circumcised" (ibid, fol. 71 b)
"un goy qui tue un autre goy doit être considéré comme innocent du fait qu'en ce faisant, il devient un défenseur de la religion juive. Mais s'il tue un juif, il doit mourir, même s'il est circoncis."
( je n'ai pas trouvé la correspondance pour ibid, fol. 37 a et ibid, fol. 71 b, mais n'ai pas trouvé de démenti, au contraire, certains passages du Sanhedrin vont dans ce sens.
Personnellement, je ne vois pas pourquoi je devrais profiter d'une loi du retour qui ne me concerne pas !
Ai-je moi et mes ancêtres été persécutés ?
NON.
amusant.
Alors les Tziganes devraient en bénéficier tout comme les Tibétains, les Kurdes etc...etc...
en quoi le fait que nos ancètres aient été persécutés ou non donne un quelconque droit ?
les victimes des persécutions sont ceux qui les ont vécues, pas leurs descendants, et ces persécutions ne donnent aucunement le droit d'annexer et de spolier d'autres peuples.
tu as une drole de conception de la justice ; parceque des peuples ont persécuté des juifs, les palestiniens doivent céder leurs terres à tous les juifs, et ça serait juste ?
Auteur : rachel
Date : 29 juin05, 01:51
Message : Pasteur Patrick a écrit :Je ne puis empêcher des Juifs de m'appeler GOY dans leur langue... Qu'est-ce que cela peut me faire ?
Franchement?
Salut
et goy du shabbat
acceptes tu de faire le goy du shabbat
le goy du shabbat sert à faire ce que les juifs n'ont pas le droit de faire pendant le shabbat

Auteur : rachel
Date : 29 juin05, 01:55
Message : Pasteur Patrick a écrit :Je crois surtout que tu confonds tout.
David est David et il y a longtemps qu'il est mort. Salut
jacob-israel aussi il y a longtemps qu'il est mort
pourquoi associé son nom à une entité criminelle

Auteur : Pasteur Patrick
Date : 30 juin05, 00:49
Message : Iln efaut pas associer, mais il y a une constant historique et une réappropriation historique.
Je ne fais pas cette confusion, moi, personnellement. D'eutres le font.... je le constate comme toi.
Salut
Auteur : Anonymous
Date : 25 juil.05, 02:08
Message : rachel a écrit :Des néonazis en Israel
TRAHISON : Certains immigrants venus de l'ex-URSS grâce aux larges possibilités offertes par la Loi du Retour sont parfois dépourvus de toute affinité avec le judaïsme et le peuple juif. Quelques-uns vont jusqu'à se réclamer de l'idéologie nazie. Un phénomène inquiétant même si son envergure reste très limitée.
les policiers qui ont inerpellé le 5 mai, au soir de la Journée de la Shoah, un jeune soldat d'origine russe soupçonné de détenir de la drogue ont eu une belle surprise.
Ils ont en effet vu une croix gammée tatouée sur l'avant-bras gauche du suspect et ce dernier leur a expliqué qu'il haïssait les Juifs. En fouillant son appartement à Ariel en Samarie, ils n'ont pas seule ment trouvé des stupéfiants,
ils ont aussi découvert sur son ordinateur du matériel sur diverses organisations néonazies. Ils ont été encore plus sidérés lorsque
la mère du jeune homme leur a expliqué qu'elle était, elle aussi, une adepte de cette idéologie et qu'elle détestait "tout ce qui a trait à l'Etat d'Israël".
Les enquêteurs ont d'abord imaginé que cette famille qui n'avait appa- remment rien de juif avait immigré frauduleusement en Terre sainte à l'aide de faux papiers. Une rapide vérification a cependant révélé que
l'intéressé avait un grand-père juif domicilié à Kiriat-Gat, et qu'il était donc entré légalement en Israël en 1996, selon la clause de la Loi du Retour qui considère comme citoyen de plein droit toute personne pouvant faire état d'une grand-mère ou d'un grand-père juif.
Mais cette affaire a sur tout servi de révélateur . Elle a permis aux enquêteurs et à l'opinion de se rendre compte
qu'il existe en Israël des cercles qui s'identifient à l'idéologie nazie et qui sont habités d'une véritable haine des Juifs. Le militaire d'Ariel appartient à un groupe d'une vingtaine de jeunes tous originaires de l'ex URSS,
adeptes des forums de discussions néonazis sur le Web et friands de la doctrine ainsi que des symboles hitlériens. Les membres correspondaient sur Internet et organisaient des réunions au cours desquelles ils se livraient à des rites inspirés du nazisme.Il semble que dans le pays, une centaine de personnes au total se réclament de l'idéologie nazie. Même si ces chiffres paraissent insignifiants, c'est beaucoup pour un peuple qui a vu un tiers de ses membres exterminés par la barbarie hitlérienne. De plus, en l'absence d'une véritable législation visant à combattre l'antisémitisme, les autorités sont un peu désarmées face à ce genre de phénomène. La commission de l'immigration et de l'intégration de la Knesset s'est réunie le 14 juin pour débattre de cette question. Elle a décidé de faire pression pour que les néonazis soient expulsés et déchus de leur nationalité israélienne.
Julie Braun
ACTUAliTE JUIVE N°894 DU 16/06/05 Page19
http://www.actuj.net/
La Knesset va-t-elle retirer la nationalité aux néo-nazis?
Bien que le gouvernement se soit pour l'instant opposé à ce projet de loi récemment présenté à la Knesset par Eliézer Sanberg(Shinoui) -qui a donc été obligé de le retirer provisoirement de l'ordre du jour -, il est probable que les parlementaires reviennent à la charge pour obliger le ministère de l'Intérieur à retirer leur nationalité à tous
les Israéliens s'identifiant avec le nazisme ou participant aux activités de cellules néo-nazies.Celles-ci sont surtout composées d'immigrants non juifs issus de la CEI.
En attendant de statuer sur cette nouvelle législation qui aurait un effet rétroactif, E. Sanberg a obtenu que l'Etat suspende tout octroi futur de la nationalité à quiconque serait connu pour avoir ce genre de sympathies.
Richard Darmon
Actualité juive N° 898 DU 13/07/05
Auteur : Anonymous
Date : 25 juil.05, 02:25
Message : Les immigrants russes non juifs s'intègrent bien
D'après les statistiques publiées par l'Agence juive et le ministère de l'Intérieur, près de 25% des personnes arrivées depuis 1989 de l'ex-URSS, soit 280.000 environ, ne sont pas juives selon la Halacha. Une tendance qui s'est accentuée ces dernières années. Ainsi, depuis l'an 2000, ils étaient près de 60 % de non- juifs venus des pays de la CEI, tandis qu'entre 2002 et 2003, plus de 51 % des soldats immigrants incorporés par Tsahal n'étaient pas juifs.
Des chiffres surprenants mais qui n'inquiètent pas l'Agence Juive car la plupart des intéressés s'intègrent bien à la société et envoient leurs enfants à l'armée.
En outre, 90 % d'entre eux continuent de demeurer en Israël.
R.D.
Actualité juive N° 872
Auteur : Anonymous
Date : 25 juil.05, 02:27
Message : L ‘alyah d’ Amérique du Nord en plein essor
D'après les chiffres publiés par l'Agence Juive, le nombre d'immigrants originaires des Etats-Unis et du Canada en 2004 (soit près de 2.500 personnes contre 2.400 en 2003) a battu tous les records enregistrés depuis deux décennies, sans pour autant dépasser celui de 1971 (8.122). A l'origine de cette étonnante relance, la création, il y a deux ans à peine, de l'association américaine judéo-chrétienne Nefech bé-Néfech (NBN) qui, en aidant financièrement les candidats grâce à des prêts privés remboursables et assez conséquents, se propose de « ramener les Juifs sur leur terre ». Son objectif est de réussir à doubler puis à quadrupler le nombre d'alyahs dans les prochaines annéés. 4.500 personnes ont pu ainsi s'installer en Israël grâce à NBN. NBN a publié des chiffres montrant Que l'excellent niveau socio-économique et
culturel des intéressés générait un apport au PNB israélien per capita de 40%
supérieur à la moyenne nationale.
Actualité juive N°872
Auteur : Anonymous
Date : 25 juil.05, 02:30
Message : Mission maçonnique en Israël
La loge maçonnique l'Etoile de la Paix organise un voyage en Israël au mois de février. Parmi les buts de ce séjour : tenter d'organiser une représentation du Grand Orient de France en Israël. Actuellement les loges maçonniques israéliennes sont toutes affiliées à des obédiences anglo-saxonnes.
Actualité juive N°872 du 06/01/05 page 06
Martin Perez
alias Clément weil rainal
Auteur : Anonymous
Date : 25 juil.05, 02:41
Message : averoes a écrit :L ‘alyah d’ Amérique du Nord en plein essor
D'après les chiffres publiés par l'Agence Juive, le nombre d'immigrants originaires des Etats-Unis et du Canada en 2004 (soit près de 2.500 personnes contre 2.400 en 2003) a battu tous les records enregistrés depuis deux décennies, sans pour autant dépasser celui de 1971 (8.122). A l'origine de cette étonnante relance, la création, il y a deux ans à peine, de l'association américaine judéo-chrétienne Nefech bé-Néfech (NBN) qui, en aidant financièrement les candidats grâce à des prêts privés remboursables et assez conséquents, se propose de « ramener les Juifs sur leur terre ». Son objectif est de réussir à doubler puis à quadrupler le nombre d'alyahs dans les prochaines annéés. 4.500 personnes ont pu ainsi s'installer en Israël grâce à NBN. NBN a publié des chiffres montrant Que l'excellent niveau socio-économique et
culturel des intéressés générait un apport au PNB israélien per capita de 40%
supérieur à la moyenne nationale.
Actualité juive N°872
«45 millions de Chrétiens sont à 100 %pour Israël»
François Célier a fondé l'International Christian Embassy à Jérusalem afin que les Chrétiens puissent soutenir l'Etat juif soucieux de préserver ses attributions sur la Ville Sainte. Il explique son combat au sein de sa nouvelle association " Les Amis de l'UPJF ".
Actualité Juive:
Pourquoi avez-vous choisi de vous engager aux côtés d'Israël alors que d'autres Chrétiens, le Pape Jean-Paul II entête, ont décidé de soutenir la cause palestinienne ?
François Celier :
Je suis protestant. Ma familiarité avec les Ecritures m'a amené, de manière évidente,
à être solidaire de ce que représente le peuple Juif et Israël pour la foi judéo-chrétienne. J'ai pris conscience de ce que représentait réellement Israël en me rendant à Jérusalem, au Kotel. Découvrir ma foi a été un grand choc.
En tant qu'écrivain athée, cela a révolutionné toute ma conception de l' existence et ma vision du monde.
En 1980, nous avons fondé, avec un groupe de Chrétiens de tous pays, l’ International Christiaan Embassy (ambassade internationale chrétienne) à Jérusalem. Cette entreprise a pris sa pleine dimension lors de Souccoth, une fête occultée par le Christianisme. La redécouverte de cette fête par la conscience chrétienne a permis d'attirer des dizaines de milliers de Chrétiens en lsraël, au fil des années. Ils devenaient à leur tour des ambassadeurs d'une réalité, généralement tronquée par les médias) la théologie et le christianisme conventionnel qu’il soit catholique ou protestant.
A. J. : Qu'est-ce qui a changé depuis cette époque ?
F. C. : Il est gênant pour les pasteurs et les prêtres de dire qu'ils sont hostiles à ce que représente Israël dans l'économie chrétienne. L'enseignement du mépris a été progressivement démasqué et remplacé par un enseignement de l'estime dont ils doivent tenir compte. Néanmoins, lors de chaque crise, les vieux réflexes continuent à jouer. Pour preuve, au cours de cette deuxième Intifada de" ces pauvres Palestiniens ", les braves Chrétiens très charitables (sic) se tournent naturellement vers le pauvre et le misérable sans réfléchir plu loin.
C'est dans ce but que j'ai créé ce mouvement international de non-juifs, Les amis de l'UPJF (l'Union des Patrons Juifs Français), qui se tiennent aux côtés d'Israël. L'authenticité de cette entreprise passe par l'allégeance à une grande organisation juive autonome, l'UPJF. Pour rejoindre notre mouvement, il faudra accepter que les Juifs aient une prééminence. L'autre sentiment très fort auquel il faudra adhérer est l'amour de Sion.
A. J. : Vous venez d'effectuer un séjour aux USA qui s'est révélé fructueux...
E.C : j’ai été invité à un
Prayer Breakfast. Ce petit - déjeuner de prière nationale accueille le Président Bush, ses conseillers proches, le Sénat, la Chambre des Représentants, les membres de l'armée et de la justice, quinze chefs d'Etat et hommes d'affaires qui s'y rendent pour manifester leur solidarité avec les Chrétiens d'Amérique.
L'Amérique a été fondée Bible à la main. 45 millions de Chrétiens sont à 100 % pour Israël. Je souhaitais voir George W. Bush. Ce n'est pas un va -t- en - guerre mais quelqu’un qui cherche à prémunir le monde de l'impérialisme totalitaire de l'Islam. L'objectif de ce voyage était également de créer de réels liens d'amitié et de fraternité entre les parlementaires américains, européens, israéliens, sans arrière-pensée politique ni religieuse. Avec l'UPJF, nous oeuvrons pour soutenir Israël par des actions nouvelles et originales et aussi pour porter assistance aux enfants juifs, chrétiens et arabes, victimes de l'Intifada.
PROPOS RECUEILLIS PAR STÉPHANE SZLOS-GODIN
Ecrivain, fondateur de l'international Christian Embassy à Jérusalem, vice-président des Amis de l'UPJF
Pour tous renseignements et dons, contacter les amis de L’UPJF, 12 rue Notre-Dame-des-Victoires,75002 Paris.
Actualité juive hebdo N°790 du 27/03/03
page 07
Auteur : Anonymous
Date : 25 juil.05, 02:58
Message : le Bétar-Tagar de France poursuit sa quette de visibilité
PROJETS : À quelques jours d'intervalles, le Bétar-Tagar de France
a sorti le dernier numéro de sa revue << Altaléna >> et intégré le Centre Menahem Begin de Paris.
« L'union fait la force »
explique sans détours Arnaud Sayegh pour justifier l'entrée du Bétar -Tagar de France dont il est le Délégué national dans le Centre Menahem Begin de Paris, devenu récemment le siège d'organisations sionistes comme le Likoud de France. L'inauguration s'est produite le 26 janvier dernier, en présence des adhérents du mouvement et du directeur de l'Agence juive, David Roche, des Président et Délégué général du KKL de France, Frédéric Nordmann et Michael Bar-Zvi, et de l'ancien chaliah du mouvement sioniste de droite, Moché Cohen.
Sans dirigeant officiel pendant un an, le Bétar - Tagar de France a sensiblement recentré ses actions depuis l'arrivée d'Arnaud Sayegh en septembre 2003. À grands renforts de conférences, de séminaires mais surtout d'une revue d'idées, « Altaléna », du nom de plume du fondateur du Bétar, Jabotinski. Dans le dernier numéro titrant à la Une « La Haine de soi: les Juifs antisionistes »,
une kyrielle d'intellectuels français signent des papiers complexes et référencés. Shmuel Trigano, *Alexandre Del Vale, Paul Giniewski et Guy Millière, pour ne citer qu'eux.
Des soutiens sans équivoque destinés à couper court aux préjugés qui « persistent à réduire le Bétar à un mouvement d'extrémistes écervelés, poursuit Sayegh. Jeunesse du Likoud, le Bétar -Tagar de France suit les préceptes de Jabotinski pour un Israël fort et pluraliste qui ne se soumet pas à la terreur. Par le dialogue et sans langue de bois, nous continuerons de manifester notre réprobation contre les ennemis d'Israël ».
Yaël Scemama
ACTUALITÉ JUIVE
N°876 DU 3/02/05
page 35
*alexander dele vale est un pseudo son nom est Marc Danna c'est le lien entre l'u.m.p et le bétar
Auteur : Anonymous
Date : 27 juil.05, 01:17
Message : génétique juive
ETATS-UNIS : Suite à des tests biologiques, un groupe d'habitants du Nouveau-Mexique a désormais la quasi-certitude qu'il est descendant de Marranes. Ce qui vient confirmer certaines traditions familiales.
Le révérend père William Sanchez, natif de l'Etat du Nouveau-Mexique, a toujours su qu'il était un peu différent. En effet, lorsqu'il était petit, sa famille pourtant tout aussi catholique que ses voisins, jouait à la toupie le jour de Noël, refusait de consommer du porc et parlait d'un lointain passé espagnol. Mais, quand le garçonnet posait des questions, nul ne voulait lui répondre clairement. Arrivé à l'âge adulte, il décida de devenir prêtre.
Il y a trois ans, il regarda à la télévision une émission consacrée à la généalogie.
Ce qui lui donna l'idée de commander " un kit d'ADN " censé lui permettre de retrouver ses origines via ses empreintes génétiques. Peu après avoir fait le test indiqué, le père Sanchez reçut un coup de fil de Benett Greenspan, propriétaire de la société qui effectue lesdits tests.
Il m'a dit: " Savez-vous que vous êtes juif, a raconté William Sanchez au Los Angeles Times. Il m'a aussi affirmé que j'étais un cohen, membre de la caste sacerdotale, descendant d'Aaron, le frère de Moïse " 
.
Réalisant que sa famille descendait sûrement de " crypto-juifs " fuyant les foudres de l'Inquisition et comprenant par là même la raison de ses curieuses habitudes, le père Sanchez convainquit certains de ses paroissiens de l'église Saint Edwin à Albuquerque d'effectuer à leur tour cet examen. Mis au courant, d'autres le contactèrent spontanément. Finalement, sur soixante-dix-huit qui s'y soumirent,
il est apparu que trente d'entre eux possèdaient une caractéristique génétique propre aux cohanim (que l'on ne retrouve que chez moins de 1 % de non-juifs) 
.
Ce qui, outre des us et coutumes bien particuliers,confirmerait selon Michael Hammer, un chercheur de l'Université d'Arizona et
spécialiste de la génétique juive, que ces personnes sont juives.
«J'ai découvert que j'étais juif quand
mon arrière grand-mère m'a dit que
nous étions des sepharditos»
Ainsi, s'expliquent d'ailleurs des "manies" qui, pendant des décennies ont stupéfait leurs copains d'Albuquerque. Notamment le fait d'utiliser des couteaux spéciaux (conformes à la tradition juive) pour tuer certains animaux de boucherie ou bien leur refus absolu de travailler le samedi.
Natif de la petite ville de Jarales (toujours au Nouveau Mexique), Norbert Sanchez, aujourd'hui âgé de 66 ans, se rappelle que le vendredi soir, plusieurs familles dont la sienne
mangeaient à la lumière des bougies. "Nous avons toujours pensé que nous avions des racines juives mais nous n'en étions pas sûrs, a-t-il déclaré toujours au Los Angeles Times. Quand j'en ai eu la confirmation, c'était comme un retour à la maison".
Pour comprendre le silence des ancêtres, un rappel historique s'impose. Venus d'Espagne, des Marranes commencèrent à arriver à Mexico une cinquantaine d'années après l'Expulsion des Juifs d'Espagne en 1492, espérant y trouver un refuge et échapper aux griffes de l'Inquisition. Dont les instances surveillaient de près ces "nouveaux Catholiques" dont elle ne croyait pas (souvent avec raison) à la conversion sincère. Mais le répit fut de courte durée. En 1571, l'Inquisition débarqua au Mexique et ses sbires expliquèrent aux autorités locales comment démasquer les "crypto-juifs". Lesquels, en principe, ne mangent pas de porc, ne s'agenouillent pas correctement à l'église, ne travaillent pas le samedi et enlèvent promptement, avec un chiffon, l'eau qui a servi à baptiser leurs bébés,..
A nouveau, les Marranes furent donc contraints de fuir et allèrent se réfugier dans ce qui est depuis 1848, le nord de l'Etat du Nouveau-Mexique. Malgré le rattachement aux USA, personne n'osa se revendiquer ouvertement comme juif. Et ce, jusqu'aux années soixante-dix,lorsque certains commencèrent à parler. "J'ai découvert que j'étais juif à l'âge de treize ans quand mon arrière- grand-mère m'a dit que nous étions des sepharditos", se souvient plus de trente ans après Keith Chaves, un ingénieur d'Al buquerque qui fréquente à présent la synagogue orthodoxe de sa ville.
Catherine Garson
ACTUALITÉ JUIVE
N°871 DU 30/12/04 -24
Auteur : Benyoz
Date : 28 juil.05, 00:44
Message : Quelques remarques :
1°) Les goyim
Je ne vois pas ce qui peut choquer quelqu'un concernant le mot "goy" qui signifie "nation" ou plutôt "celui parmi les nation" donc l'étranger ou "guer". Les musulmans appelent les non musulmans des mécréants. Les chrétiens appelent les non non chrétiens d'infidèles. Nous, juifs, on vous donne le nom de "nation"... très insultant !!!
Vu que je n'appartiens pas à la mouvance qui suit le Talmud, je n'aurai aucun commentaire à dire là dessus mais à ce que je connais de vos religions respectives ... le fiqh musulman estime qu'il n'est pas grave de volé ou de tuer un non musulman quant aux lois chrétiennes avt Vatican II : les non chrétiens n'avaient pas le droit de posséder la terre et ne pouvait pas se défendre au tribunal ... genre loi discriminatoire ... vous ne faites malheureusement pas mieux que le judaisme rabbinique.
2°) Les russes
Israël a une politique de l'immigration qui ne tient qu'à peine compte de la judaïté. Un type que se trouve un grd père juif peut immigré. En Russie, vous perdez votre passport, contre une centaine de dollars vous pouvez vous appeler Finkel et avoir la mention juif sur vos papiers fédéraux. Et puis même pour des fascistes en puissance Israël c'est sympa l'aylah quand vous immigrez vous recevez (dans l'année) quelques 40 000 shekels environ pour sortir de votre misère.
3°) La "bonne intégration" des russes
Averoes, ton savoir incommensurable te permet-il de lire la presse hébraïque ? Si tu lis maariv ou haaretz (journaux droite et gauche) tu verras partout que les russes s'intègrent très très très mal ... même quand ils sont juifs.
Auteur : Anonymous
Date : 28 juil.05, 00:56
Message : Benyoz a écrit :Quelques remarques :
1°) Les goyim
Je ne vois pas ce qui peut choquer quelqu'un concernant le mot "goy" qui signifie "nation" ou plutôt "celui parmi les nation" donc l'étranger ou "guer". Les musulmans appelent les non musulmans des mécréants. Les chrétiens appelent les non non chrétiens d'infidèles. Nous, juifs, on vous donne le nom de "nation"... très insultant !!!
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le goy du shabbat
eino yahoudi=noukri=goy
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