Résultat du test :
Auteur : pauline.px
Date : 09 août20, 00:55
Message : Bonjour à toutes et à tous,
Une info troublante selon laquelle l'Interruption Médicale de Grossesse, qui n'a pas de contrainte de temps, peut-être pratiquée pour cause de "détresse psychosociale".
https://fr.aleteia.org/2020/08/03/avort ... tent=NL_fr
Je peine à y voir un réel progrès.
À mes yeux, au fur et à mesure des informations qui filtrent, cette Loi de Bioéthique ressemble à une bombe.
Très cordialement,
votre soeur
pauline
Auteur : J'm'interroge
Date : 09 août20, 01:15
Message : C'est une loi démoniaque.
Auteur : medico
Date : 09 août20, 01:42
Message : J'm'interroge a écrit : 09 août20, 01:15
C'est une loi démoniaque.
Un athée qui croie aux démons, c'est rare.

Auteur : J'm'interroge
Date : 09 août20, 03:11
Message : medico a écrit : 09 août20, 01:42
Un athée qui croie aux démons, c'est rare.

Je ne crois rien medico. Cette loi est la preuve que les démons existent bel et bien.
Auteur : Estrabolio
Date : 09 août20, 09:57
Message : Oui, en même temps personne ne s'est jamais ému que depuis des années en France on puisse faire un avortement jusqu'à la veille du terme si on soupçonne un cas de trisomie, d'autisme ou autre !
J'ai lu des estimations selon lesquelles plus de 90% des diagnostics de trisomie finissaient par un avortement médical..... ça s'appelle de l'eugénisme. Cela va être la même chose pour l'autisme puisque les tests arrivent....
Dans tous les cas l'IMG est une horreur car on ne parle plus d'un embryon mais bien d'un enfant à naître avec l'hypocrisie de ne pas accepter l'avortement le jour du terme mais la veille, ça passe......
Auteur : J'm'interroge
Date : 09 août20, 10:03
Message : @ Estrabolio,
Je suis d'accord avec toi. C'est une horreur.
Auteur : Marmhonie
Date : 09 août20, 13:18
Message : J'm'interroge a écrit : 09 août20, 03:11Cette loi est la preuve que les démons existent bel et bien.
Dura lex, sed lex est un adage juridique, sous la forme d'une expression latine qui peut se traduire par : « la loi est dure, mais c’est la loi. »
Cela signifie qu'en France les citoyens sont, au moins indirectement, les auteurs des lois. En effet, l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958 précise que la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants (exemple : les parlementaires) et par la voie du référendum. Enfin, les citoyens sont obligés de respecter les lois.
Dura lex, sed lex répond à un autre adage juridique :
Nemo censetur ignorare legem, sous la forme d'une expression latine qui peut se traduire par : « Nul n’est censé ignorer la loi ». Cela signifie qu’on ne saurait invoquer son ignorance de la loi pour prétendre y échapper.

Auteur : JPG
Date : 09 août20, 13:56
Message : C'est la France, faut vous y faire ... vous n'avez encore rien vue. "La fille aîné de la religion catholique". Vous vous attendiez à quoi? Telle mère telle fille.
Auteur : J'm'interroge
Date : 09 août20, 21:26
Message : Marmhonie a écrit : 09 août20, 13:18
Cela signifie qu'en France les citoyens sont, au moins indirectement, les auteurs des lois.
Les auteurs des lois ce sont ceux qui les écrivent et les votent. Je n'ai voté aucune loi, je ne reconnais personne d'autre que moi pour me représenter et je ne reconnais pas comme légitime le pouvoir en place et refuse de participer à un gouvernement corrompu.
Voter pour des représentants c'est les légitimer, c'est volontairement leur céder notre liberté de choix politique dans le sens noble du terme.
C'est aussi se reconnaître le statut d'handicapé mental.
Marmhonie a écrit : 09 août20, 13:18
En effet, l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958 précise que la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants (exemple : les parlementaires) et par la voie du référendum.
Accepter cet article c'est décréter vraie une aberration logique.
On n'exerce pas sa souveraineté en la confiant à d'autres. C'est une duperie.
Auteur : medico
Date : 09 août20, 22:38
Message : J'm'interroge a écrit : 09 août20, 03:11
Je ne crois rien medico. Cette loi est la preuve que les démons existent bel et bien.
Salut
Si les démons existent bel est bien, Dieu aussi existe;car l'un ne va pas sans l'autre.
Auteur : J'm'interroge
Date : 09 août20, 22:45
Message : Ce n'est pas exactement le sujet médico. Mais je me ferai un plaisir de te répondre si tu ouvres un fil pour en discuter.
Auteur : medico
Date : 09 août20, 22:51
Message : J'm'interroge a écrit : 09 août20, 22:45
Ce n'est pas exactement le sujet médico. Mais je me ferai un plaisir de te répondre si tu ouvres un fil pour en discuter.
Pas la peine c'est un simple constat qui ne va pas avec ton avatar.
Auteur : J'm'interroge
Date : 09 août20, 22:54
Message : Bien ça c'est toi qui le dis, mais puisque tu ne veux pas en parler, je te laisse à tes préjugés. C'est ton choix.
Auteur : Marmhonie
Date : 11 août20, 00:30
Message : J'm'interroge a écrit : 09 août20, 21:26Les auteurs des lois ce sont ceux qui les écrivent et les votent.
Exact.
Faux.
Dura lex, sed lex est un adage juridique, sous la forme d'une expression latine qui peut se traduire par :
« la loi est dure, mais c’est la loi. » Cela signifie que
les citoyens sont, au moins indirectement, les auteurs des lois. En effet, l’
article 3 de la
Constitution du 4 octobre 1958 précise que
la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants (exemple : les parlementaires) et par la voie du référendum. Ensuite,
les citoyens sont obligés de respecter les lois afin de permettre une vie en société organisée et d’éviter le développement de la loi « du plus fort ». On serait alors dans une situation anarchique, chacun agissant selon son bon plaisir, sans souci de la règle commune.
L’obligation pour tous les citoyens de respecter les lois est la meilleure assurance que la liberté, les droits et la sécurité de chacun d’eux soient garantis de manière effective.
J'm'interroge a écrit : 09 août20, 21:26Accepter cet article c'est décréter vraie une aberration logique.
Nemo censetur ignorare legem est un adage juridique, sous la forme d'une expression latine qui peut se traduire par :
« Nul n’est censé ignorer la loi ». Cela signifie qu’on ne saurait invoquer son ignorance de la loi pour prétendre y échapper. Vous êtes en tort au regard de vos droits & vous ignorez les lois françaises.
Pour faire valoir ce que de droit.
Nota Bene
Vous avez le sujet complet
==> ici <== Auteur : l_leo
Date : 11 août20, 06:35
Message : pauline.px a écrit : 09 août20, 00:55
Bonjour à toutes et à tous,
Une info troublante selon laquelle l'Interruption Médicale de Grossesse, qui n'a pas de contrainte de temps, peut-être pratiquée pour cause de "détresse psychosociale".
https://fr.aleteia.org/2020/08/03/avort ... tent=NL_fr
Je peine à y voir un réel progrès.
À mes yeux, au fur et à mesure des informations qui filtrent, cette Loi de Bioéthique ressemble à une bombe.
Très cordialement,
votre soeur
pauline
En effet cela paraît surprenant. Néanmoins cette loi anticipe un danger probable vis-a-vis d’un enfant à venir. En effet le nourrisson vis en symbiose affective avec sa mère, qui elle même dans ce cas est très perturbée. En général pour certaines personnes on « conseille » des méthodes préventives pour éviter la catastrophe psychologique pour un enfant à venir.
Auteur : Marmhonie
Date : 11 août20, 07:57
Message : Le sujet est extrêmement complexe & ne peut se définir qu'au respect de la vie.
Quand une fiture maman accouchera de son bébé & que sa vie est en danger gravissime, que faire ?
Doit-on laisser la maman assurément s'engager dans cette voie délétère ? Le bébé, s'il est sauvé in extremis, survivra-t-il longtemps à la mort de sa maman ?
Inversement, la maman par trop d'anticipation anxiogène, demande une IMG. Quand passons-nous au crime légalisé ? Est-ce bien la peine d'avoir aboli en France la peine de mort pour la distribuer en solution alternative envers le massacre potentiel des futurs nouveaux nés ? Nous aurions alors régressé 2000 ans en arrière quand ce dictateur fou dicta l'ordre de tuer tous les premiers nés ?
Exode I-1 à 10.
Matthieu II-16 : "Matthieu 2, 16 Alors Hérode, voyant qu'il avait été joué par les mages, fut pris d'une violente fureur et envoya mettre à mort, dans Bethléem et tout son territoire, tous les enfants de moins de deux ans, d'après le temps qu'il s'était fait préciser par les mages."
Allons plus loin : quand passons-nous du meurtre illégal au meurtre légal ? Qu'est-ce que la conscience des loi au regard de l'esprit des lois clarifié par le baron de Montesqieu ?
Auteur : J'm'interroge
Date : 11 août20, 08:08
Message : .
@ Marmhonie,
Les points que tu cites ne montrent nullement en quoi ce que j'ai dit serait faux ni même illégitime.
J'ai dit :
(Constat 1) - Les auteurs des lois ce sont ceux qui les écrivent et les votent. Or, je n'ai voté aucune loi.
-------> Ce qui implique que je n'ai pas voté les lois que tu cites.
J'ai ajouté ensuite :
(Déclaration 1) - Je ne reconnais personne d'autre que moi pour me représenter et je ne reconnais pas comme légitime le pouvoir en place et je refuse de participer à un gouvernement corrompu.
(Principe 1) - Voter pour des représentants c'est les légitimer, c'est volontairement leur céder notre liberté de choix politique dans le sens noble du terme.
- C'est se reconnaître implicitement le statut d'handicapé mental et je rajoute : ou de mineur.
Et je terminais par :
(Principe 2) - On n'exerce pas sa souveraineté en la confiant à d'autres. C'est une duperie.
- Du constat 1 et de la déclaration 1 on en conclura que je ne reconnais pas l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958, et du principe 1 : que je ne légitime personne pour me représenter, que je ne cède à personne ma liberté de choix politique dans le sens noble du terme, ce qui annule toute légitimité de l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958, pour ce qui me concerne.
En quoi les points que tu cites montreraient que ce que je dis est faux ou illégitime ?
Non seulement ce n'est pas faux, mais c'est ma liberté la plus stricte que de le déclarer, celle que je me donne, car je n'attends certainement pas d'un autre qu'il me la donne.
.
Auteur : dragon blanc
Date : 13 août20, 09:06
Message : J'm'interroge a écrit : 11 août20, 08:08
.
@ Marmhonie,
Les points que tu cites ne montrent nullement en quoi ce que j'ai dit serait faux ni même illégitime.
J'ai dit :
(Constat 1) - Les auteurs des lois ce sont ceux qui les écrivent et les votent. Or, je n'ai voté aucune loi.
-------> Ce qui implique que je n'ai pas voté les lois que tu cites.
J'ai ajouté ensuite :
(Déclaration 1) - Je ne reconnais personne d'autre que moi pour me représenter et je ne reconnais pas comme légitime le pouvoir en place et je refuse de participer à un gouvernement corrompu.
(Principe 1) - Voter pour des représentants c'est les légitimer, c'est volontairement leur céder notre liberté de choix politique dans le sens noble du terme.
- C'est se reconnaître implicitement le statut d'handicapé mental et je rajoute : ou de mineur.
Et je terminais par :
(Principe 2) - On n'exerce pas sa souveraineté en la confiant à d'autres. C'est une duperie.
- Du constat 1 et de la déclaration 1 on en conclura que je ne reconnais pas l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958, et du principe 1 : que je ne légitime personne pour me représenter, que je ne cède à personne ma liberté de choix politique dans le sens noble du terme, ce qui annule toute légitimité de l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958, pour ce qui me concerne.
En quoi les points que tu cites montreraient que ce que je dis est faux ou illégitime ?
Non seulement ce n'est pas faux, mais c'est ma liberté la plus stricte que de le déclarer, celle que je me donne, car je n'attends certainement pas d'un autre qu'il me la donne.
.
Tout à fait cela...
Je renchérirais même: Nul ne devrait nous soutirer quelque liberté que se soit et en même temps, nul(ni moi même) n'a le droit de priver qui que se soit de sa liberté.
Un vote que l'on nous impose n'est pas un vote mais une propagande...
A-t-on le choix réel de celui qui gérera notre pays ? NON
On nous met deux choix, parfois 3...4 max..et on doit voter... misère... où est la liberté d'expression tant supposée être capital et de droit ultime ?
Le peuple ne vote pas pour ceux qui devrait se présenter soit à la présidence, soit comme ministre... Et vive la royauté sur le monde...
Alors, sommes nous dans une démocratie ? NON Jamais
Nos droits sont ils protégées ? NON jamais...ce qui est protégé est l'économie et ceux qui exploitent cette économie tout en haut de la pyramide car elle est dans cette optique majoritairement.
Votre maison est payé...elle vous appartient ? vraiment ? ne payez plus vos impôts ou vos taxes et constatez de vous même...
Ensuite... dite à vos amis et amies ainsi que votre famille que vous vous soustrayez de tout cela, et vous serez jugé...
Pourquoi ? Par ce qu'on est tous programmé à obéir sinon on sera rejeté !!!
Dites moi donc... qui est vraiment libre ?
Pour ce qui est des grossesses...qui vote ? la mère ou L'enfant ?
Et cela vous paraît normal ?
Bien à vous, dragon blanc

Auteur : pauline.px
Date : 15 août20, 02:56
Message : Bonjour Marmhonie,
Marmhonie a écrit : 11 août20, 07:57
Le sujet est extrêmement complexe & ne peut se définir qu'au respect de la vie.
Quand une fiture maman accouchera de son bébé & que sa vie est en danger gravissime, que faire ?
Ceci ressortit à l'IMG classique. Jusqu'à présent, s'il y a un souci d'ordre
médical l'IMG est légale.
L'innovation est la notion de "
détresse psycho-sociale", délicate à définir.
Quelle détresse psycho-sociale peut légitimer qu'un médecin élimine un être vulnérable et parfaitement viable au lieu de le confier à l'adoption, par exemple ?
Très cordialement
votre soeur
pauline
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