dans le coran DIEU nous autorise a epouser des chrétiennes ou juives, mais a ils nous interdit d'epouser des associatrices!!!kate a écrit :Donc, seyfedine, où dans le coran, il est indiqué qu'un musulman doit obligatoirement épouser une musulmane ?
c'est toi sur la photo???kate a écrit :nasser, je ne savais pas qu'il y avait des TJ à l'époque de mahomet.![]()
Dis moi, quels étaient les vrais chrétiens à l'époque de mahomet ?
En fait, je n'adore que Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit.
Je ne connais aucune Déesse Marie.
Donc, nasser, moi, pas compris.
Pourrais-tu préciser quelles sont ces sectes et sur quelles sources elles s'appuient ?issa a écrit :et bien a l epoque du prophete il y avait bon nombre de sectes chretienne qui rejettait toute divinite de jesus
Tu es intéressé par une chrétienne ?nasser a écrit :
c'est toi sur la photo???
OK, mais sur quelles références dans les évangiles s'appuient-ils pour ne pas être des associateurs (je ne parle pas des TJ)?issa a écrit :je nai pas de noms en tete comme ca mais il y a beaucoup de secte qui pensait cela je cite pele mele ,les marcionites,ebionite etc et il y en a encore aujour d hui comme les temoins de jeovah
kate a écrit : Tu es intéressé par une chrétienne ?
syfedine ne te demande pas de renier le christ, car s'il te le demandait, il se renirai devant DIEU, il te demande juste d'aimer le christ, et de n'adorer que DIEU, tout comme a fait jésus que la paix et la bénédiction de DIEU soit sur lui!!!kate a écrit :Cobra et Jean, vous vous égarez, c'est seyfedine qui le dit.![]()
Donc, si je comprends bien, "Celui qui n'agit pas en conformé avec ce que nous faisons, son acte devra être rejeté", cela veut dire qu'aucune femme croyante, juive ou chrétienne, ne peut épouser un musulman si elle ne se convertit pas à l'islam.
C'est pour cela que seyfedine ne pouvait pas vouloir de moi et non parce que je serais associatrice.
Donc, comme "Allah ne guide pas le peuple des impies dissimulateurs", issa tu mens quand tu dis qu'une femme peut se marier avec un musulman et garder sa religion chrétienne ou juive. En fait, elle n'est pas libre, elle doit se convertir à l'islam ou alors son mari musulman, n'est plus dans la "vérité" d'allah.
L'islam n'est donc pas la religion de tolérance, d'amour et de paix que veut laisser sous entendre issa.
Seyfedine, mon bel amour éphémère, je comprends maintenant pourquoi tu m'as demandé de renier le Christ et que si je le faisais tu étais à moi, comme tu me l'as promis. Je regrette tellement que nos fois soient incompatibles, car nous aurions eu de beaux enfants.
tu connais surement l'évèque arius il etait catholique pourtant! eh ben il n'a jamais adoré le christ!!! c'etait un vrai chrétien! sois comme arius ma belle, et on se fera la belle!!!kate a écrit : OK, mais sur quelles références dans les évangiles s'appuient-ils pour ne pas être des associateurs (je ne parle pas des TJ)?
Vois également ce que les savants expliquent et commentent au sujet délicat des échanges entre les hommes et les femmesSaluer les femmes
Question
Nous sommes des étudiantes à l’université. Nous étions habituées à ce que nos professeurs, en entrant dans la salle, nous adressassent la salutation de l’Islam. De notre côté, nous leur répondions d’une salutation qui était meilleure, tout du moins équivalente, conformément à l’ordre de Dieu : « Si on vous fait une salutation, saluez d’une façon meilleure ; ou bien rendez-la (simplement). » (sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ’, verset 86). Nous pensions alors que ce verset ne se limitait pas uniquement aux hommes.
Cependant, l’un de nos honorables professeurs divergea de cette habitude qui était la nôtre : il ne nous salua pas une seule fois. L’une d’entre nous lui posa alors directement la question : « Docteur, pourquoi ne nous adresses-tu pas le salut ? » Il lui répondit que la salutation des femmes n’était légalement pas permise ! Et que la voix de la femme devait être à cacher (`Awrah).
Néanmoins, en sa qualité d’enseignant, il nous parlait et nous lui parlions. Il nous posait des questions et nous lui répondions. Nous lui posions des questions et il nous répondait. Nous discutions avec lui sur de nombreux sujets, sans qu’il n’eût opposé la moindre objection. Pourquoi alors, dans ce cas, seule la salutation est interdite ? Est-il vrai que la voix de la femme doit être cachée, même si c’est pour répondre à la salutation, et autres paroles convenables du même genre, tout en respectant les manières demandées à la femme musulmane lorsqu’elle parle à des hommes étrangers?
Nous attendons impatiemment de connaître les dispositions juridiques à ce sujet, que ces dispositions soient en notre faveur ou en notre défaveur. L’important est que vous nous donniez les arguments convaincants auxquels se rendent les esprits et qui lèvent cette polémique, comme vous l’avez toujours fait. Que Dieu rende votre savoir utile aux Musulmans.
Réponse du Docteur Yûsuf `Abd Allâh Al-Qaradâwî
Au nom de Dieu, louanges à Dieu et paix et bénédiction sur le Messager de Dieu.
Quiconque jette un coup d’œil aux textes généraux qui ont commandé aux Musulmans de se saluer entre eux verra qu’ils n’établissent aucune distinction entre l’homme et la femme. On pourra se référer par exemple aux nombreux hadiths qui ont appelé à « partager sa nourriture, à adresser les salutations, à entretenir les liens familiaux et à prier la nuit alors que les gens dorment ». D’après le Sahîh de Muslim, le Prophète dit : « Par Celui qui détient mon âme entre Ses Mains, vous n’entrerez pas au Paradis avant d’avoir cru ; et vous ne croirez pas avant de vous être aimés entre vous ; ne voudriez-vous pas que je vous indique une chose qui, si vous l’accomplissez, vous permettra de vous aimer entre vous ? Saluez-vous les uns les autres. »
On peut également citer le verset coranique : « Si on vous fait une salutation, saluez d’une façon meilleure ; ou bien rendez-la (simplement). » (sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ’, verset 86). La règle dans le discours du Législateur est qu’il s’adresse aussi bien aux hommes qu’aux femmes, sauf exception explicite. Ainsi, si un Musulman salue une Musulmane, celle-ci doit, conformément au texte coranique, lui répondre par une salutation meilleure, tout du moins équivalente. Réciproquement, si c’est la femme qui salue l’homme, celui-ci doit lui répondre par une salutation meilleure, tout du moins équivalente. En effet, les textes à ce sujet ont une portée générale et parlent dans l’absolu. Par ailleurs, rien qui puisse limiter la portée de ces textes n’a été mentionné.
Les preuves de cette licéité
Il existe des preuves qui soutiennent cette opinion, preuves tirées de textes particuliers qui ont montré la légitimité de la salutation que les hommes adressent aux femmes et que les femmes adressent aux hommes. Ainsi, dans le Sahîh d’Al-Bukhârî, Umm Hâni’, la fille d’Abû Tâlib, oncle du Prophète, dit : « Je me rendis une fois chez le Messager de Dieu - paix et bénédiction sur lui -, l’année de la Conquête de la Mecque. Je le trouvai entrain de prendre son bain, avec sa fille Fâtimah qui tenait un rideau pour le couvrir. Je lui adressai alors mes salutations. Il dit : « Qui est-ce ? » Je répondis : « C’est moi, Umm Hâni’ Bint Abî Tâlib. » Il dit : « Bienvenue à Umm Hâni’. » (rapporté par le Sahîh d’Al-Bukhârî, dans le chapitre de l’effort de lutte (Jihâd), en ce qui concerne « la sécurité et la protection octroyées par les femmes » ; le hadith a également été rapporté par Muslim, ce qui en fait alors un hadith consensuel.)
En outre, l’Imâm Al-Bukhârî a consacré un paragraphe dans son Sahîh à « la salutation que les hommes adressent aux femmes et que les femmes adressent aux hommes ». Al-Hâfidh Ibn Hajar a dit : « Par ce titre donné à son paragraphe, Al-Bukhârî voulait réfuter ce qu’avait rapporté `Abd Ar-Razzâq, d’après Mu`ammar, selon qui Yahyâ Ibn Abû Kathîr désapprouvait que les hommes saluassent les femmes et que les femmes en fissent de même avec les hommes. »
Dans ce paragraphe, Al-Bukhârî a mentionné deux hadiths qui justifient la licéité de cette salutation.
Le hadith de Sahl : « Il y avait une vieille femme qui allait à Budâ`ah (palmeraie médinoise) arracher des racines d’épinards, qu’elle faisait ensuite bouillir dans une marmite et qu’elle broyait avec des grains d’orge. Lorsque nous avions accompli la prière du vendredi, nous rentrions chez nous et la saluions au passage. Elle nous servait alors ses épinards. »
Le hadith de `Â’ishah : « Le Messager de Dieu - paix et bénédiction sur lui - dit : « Ô `Â’ishah, voici Gabriel qui te présente ses salutations. » Je répondis : « Que la paix soit sur lui, ainsi que la miséricorde de Dieu. » » On a contesté l’argument apporté par ce hadith en disant que les Anges n’étaient pas des hommes. Mais on a répondu à ces contestataires que Gabriel apparaissait le plus souvent sous la forme d’un homme.
Al-Hâfidh a dit : « A ce sujet, un hadith a été rapporté - bien que ne répondant pas aux critères d’authenticité établis par Al-Bukhârî. Il s’agit du hadith de Asmâ’ Bint Yazîd : « Le Prophète - paix et bénédiction sur lui - passa devant nous, alors que nous étions dans un groupe de femmes et il nous salua. » » (hadith rapporté par Abû Dâwûd dans le chapitre de la bienséance (hadith n° 5204), par At-Tirmidhî dans le chapitre de la demande d’autorisation (hadith n° 2698), par Ibn Mâjah dans le chapitre de la bienséance (hadith n° 3701), et par Ad-Dârimî en ce qui concerne la salutation des femmes (2/189)). At-Tirmidhî a considéré le hadith comme fiable, bien que ne répondant pas aux critères d’authenticité établis par Al-Bukhârî. Il s’est appuyé sur d’autres critères authentifiant le hadith en question. Un hadith similaire existe chez Ahmad, d’après une version de Jâbir (conférer Fath Al-Bârî, 11/34, Edition Salafiste)
D’après certains Compagnons, les hommes saluaient les femmes mais les femmes ne saluaient pas les hommes (rapporté par Abû Na`îm, d’après `Amr Ibn Harîth, avec une bonne chaîne de narration, comme cela est précisé dans le Fath). Mais cet argument est rendu caduc par le hadith de Umm Hâni’, précédemment mentionné, dans lequel cette dernière salua le Prophète - paix et bénédiction sur lui - lors de la Conquête de la Mecque, alors qu’il était pour elle étranger (juridiquement parlant). En effet, il était son cousin et avait auparavant voulu l’épouser.
L’Imâm Ahmad rapporte dans son Musnad que Mu`âdh, en arrivant au Yémen, croisa une femme de la tribu de Khawlân qui avait douze fils. L’Imâm Ahmad dit : « Elle se leva et salua Mu`âdh. » (Al-Musnad de Ahmad, 5/239). Dans la chaîne de transmission de ce récit, on rencontre Shahr Ibn Hawshab, dont la fidélité de narration est discutable. Néanmoins, on peut accepter le récit, même si à lui seul, il ne constitue pas un argument valable. Ce récit a cependant été considéré comme fiable par At-Tirmidhî (et il a été considéré comme authentique par le Cheikh contemporain Shâkir - que Dieu lui fasse miséricorde - dans son Takhrîj Al-Musnad).
On a rapporté que `Umar Ibn Al-Khattâb - que Dieu l’agrée - se présenta devant un groupe de femmes qu’il salua et auxquelles il dit : « Le Messager de Dieu m’a envoyé vous dire... »
Telles sont les preuves tirées de la guidance du Messager de Dieu - paix et bénédiction sur lui - et de ses Compagnons, au sujet de la salutation que les hommes adressent aux femmes et que les femmes adressent aux hommes.
Le risque de séduction réduit-il la portée de cette licéité ?
Néanmoins, un grand nombre de savants ont posé des conditions à cette licéité, et ce, par crainte de la séduction. Al-Halîmî a dit : « Le Prophète - paix et bénédiction sur lui - était protégé, grâce à son infaillibilité, contre toute séduction. Par conséquent, celui qui ne craint pas d’être séduit peut saluer. Sinon, le silence lui est plus salutaire. »
Al-Muhallab a dit : « La salutation que les hommes adressent aux femmes, et que les femmes adressent aux hommes est permise s’il n’y a pas de risque de séduction. » Les Malékites ont ainsi établi une différence entre la jeune femme et la femme âgée, afin de fermer la voie à tout prétexte. Certains savants ont ajouté à cette condition relative à l’âge, une autre concernant la beauté : si la jeune femme est belle et qu’on craint d’en être séduit, alors la salutation n’est plus obligatoire, que ce soit pour celui qui l’adresse ou pour celui qui répond. Rabî`ah est même allé jusqu’à interdire la salutation dans ce cas précis. Les Kûfites Abû Hanîfah et ses disciples ont dit : « Les femmes ne peuvent pas adresser la salutation aux hommes. Car elles ne peuvent pas appeler à la prière (Adhân) ni annoncer le début de la prière (Iqâmah) ni prier à voix haute, exception faite lorsqu’elles s’adressent à leurs proches parents (Mahârim). Dans ce dernier cas, elles peuvent adresser leur salutation. » (Ces avis ont été mentionnés par Al-Hâfidh dans le Fath, 11/34.) Mais cette dernière opinion est réfutée par ceux qui considèrent licite la salutation des femmes, s’appuyant sur le hadith de Sahl, précédemment mentionné par Al-Bukhârî. En effet, les Compagnons rendaient visite à la vieille femme qui leur servait le repas, alors qu’ils étaient pour elle des étrangers
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Toutes ces opinions sont mues par la crainte de la séduction et par la volonté de prendre des mesures préventives. Néanmoins, elles ne sont pas prescrites par un texte clair et authentique. La plupart des Compagnons du Messager de Dieu - paix et bénédiction sur lui et que Dieu les agrée - et de leurs Successeurs en bienfaisancen’avaient pas une telle crainte de la séduction et n’étaient pas aussi précautionneux.
Quiconque se penche sur ce qu’on a rapporté à leur sujet, dans les sources correspondantes, verra que la plupart d’entre eux ne voyait aucun mal à ce que les hommes saluent les femmes, en particulier lorsque l’homme rendait visite à la femme, ou lorsqu’il se présentait pour lui prodiguer des soins ou encore lorsqu’il se présentait en tant qu’enseignant, etc. Néanmoins, si un homme rencontre une femme sur la voie publique, il ne lui est pas recommandé de la saluer, tant qu’il n’y a pas entre eux de lien étroit tel que les liens de filiation, les liens familiaux, les liens de la belle-alliance, etc. Je voudrais à ce propos mentionner ce qu’a rapporté Al-Hâfidh Abû Bakr Ibn Abî Shaybah dans son Musannaf, concernant la position de nos prédécesseurs quant à la salutation des femmes.
Après avoir narré le hadith de Asmâ’ Bint Yazîd que nous avons précédemment mentionné (« Le Prophète - paix et bénédiction sur lui - passa devant nous, alors que nous étions dans un groupe de femmes et il nous salua. »), Al-Hâfidh rapporte, selon Jarîr, que le Prophète - paix et bénédiction sur lui - passa devant un groupe de femmes et qu’il les salua (mentionné par Al-Haythamî dans Majma` Az-Zawâ’id, 8/38, selon la version de Ahmad, de Abû Ya`lâ et d’At-Tabarânî).
On a rapporté d’après Mujâhid qu’Ibn `Umar croisa une femme qu’il salua.
D’après Mujâhid également, `Umar passa devant un groupe de femmes qu’il salua.
D’après Ibn `Uyaynah, Abû Dharr dit : « Je posai la question de la salutation des femmes à `Atâ’. Il me répondit : « S’il y a un risque de corruption, la réponse est non. » »
Ibn `Awn dit : « Je demandai à Muhammad (Ibn Sîrîn) : « Puis-je saluer les femmes ? » Il me répondit : « Je n’y vois pas d’inconvénient. » »
Al-Hasan pensait que l’homme n’avait pas à saluer la femme, sauf quand il lui rendait visite chez elle, auquel cas, il devait la saluer.
`Ubayd Allâh dit : « `Amr Ibn Maymûn saluait les femmes et les enfants. »
`Amr Ibn `Uthmân dit : « J’ai vu Mûsâ Ibn Talhah passer devant des femmes assises. Il les salua. »
Shu`bah dit : « Je posai la question de la salutation des femmes à Al-Hakam et à Hammâd. Ils me répondirent qu’ils étaient contre, et ce, que la femme fût jeune ou vieille. Mais Al-Hakam me précisa : « Shurayh saluait tout le monde. » Je lui demandai : « Même les femmes ? » Il me répondit : « Tout le monde. » »
L’argument de ceux qui s’opposent à cette salutation
L’argument le plus puissant sur lequel s’appuient ceux qui s’opposent à la salutation des femmes est « la crainte de la séduction » que le Musulman doit éviter autant que possible, afin de préserver purs de toute équivoque sa religion et son honneur.
Mais cela revient à la conscience du Musulman et à son propre jugement : c’est à son cœur qu’il doit se référer. Dans la question qui nous est posée, nous pensons que la situation est différente. En effet, saluer un groupe de jeunes femmes est différent de saluer une femme seule. Les saluer dans une salle de cours, avec toute la décence et le sérieux que représente ce lieu est différent de les saluer sur la voie publique. La salutation adressée par un professeur à ses étudiantes, lequel professeur a souvent l’âge de leur père, voire de leur grand-père, est différent de la salutation adressée par le premier homme venu.
Cela est d’autant plus justifié que ce professeur qui ni ne veut pas saluer ses étudiantes ne voit aucun inconvénient à ce qu’il pose des questions à ces dernières ou à ce qu’elles lui en posent elles-mêmes. Il ne voit pas non plus d’inconvénient à ce qu’elles répondent à ses questions et à ce que lui-même réponde à leurs questions. Dans ce cas, pourquoi ne verrait-il pas un inconvénient à faire tout cela ? Pourquoi seule la salutation serait interdite, et trouverait comme prétexte la crainte de la séduction ? Après tout, la salutation ne vaut pas plus que les paroles, les discussions et les débats qui ont lieu pendant le cours ou la conférence.
Par ailleurs, si ne pas saluer les étudiantes constitue un tort à l’encontre de ces dernières et qu’elles en éprouvent quelque regret, le professeur doit s’efforcer de les saluer, afin de ne pas les blesser dans leur amour-propre.
Enfin, ce qui a été dit au sujet de la voix de la femme, comme quoi elle devrait être occultée, je dois avouer que je ne trouve rien de convaincant à cet égard. Aucun Imâm considéré n’a émis un tel avis.
Comment en serait-il ainsi alors qu'Allah- Exalté soit-Il - dit au sujet des épouses du Prophète : « Et si vous leur demandez quelque objet, demandez-le leur derrière un voile » (sourate 33 intitulée les Coalisés, Al-Ahzâb, verset 53) ? Cela implique donc qu’elles répondent aux demandes qui leur sont formulées derrière un voile. C’est d’ailleurs ce que faisaient `Â’ishah et les Mères des Croyants [4] : elles répondaient aux questions qui leur étaient posées, narraient les hadiths et les événements de la vie du Prophète, bien qu’elles avaient des prescriptions strictes qui ne concernaient pas les autres Musulmanes. Par ailleurs, combien de femmes posèrent leurs questions et prirent la parole en présence du Prophète - paix et bénédiction sur lui ? Combien d’événements et de situations innombrables, à l’époque du Prophète et des Compagnons, firent intervenir des femmes parlant aux hommes, que ce soit pour des questions et des réponses, des débats et des controverses, des salutations et des discours, cependant que personne ne dit à la femme : « Tais-toi car ta voix doit être cachée. » ?
La salutation de l’Islam est la suivante : « As-Salâmu `Alaykum wa Rahmatullâhi wa Barakâtuh » signifiant : « Que la paix soit sur vous, ainsi que la miséricorde de Dieu et Sa bénédiction ».
« Etranger » est à considérer ici au sens de non-Mahram. Les Mahârim (pluriel de Mahram) sont les personnes du sexe opposé que l’homme ou la femme ne peut définitivement jamais épouser, comme la mère, la sœur, la tante (paternelle et maternelle) pour l’homme, et le père, le frère, l’oncle (paternel et maternel) pour la femme.
Les Successeurs en bienfaisance (At-Tâbi`în Bi-Ihsân) sont les Musulmans de la génération qui a suivi celle des Compagnons.
[4] Les Mères des Croyants (Ummahât Al-Mu’minîn) sont les épouses du Prophète.
Certes nous le reconnaissons, les hommes et les femmes peuvent se fréquenter et se parler, mais s'ils se séduisent, que cela soit réfréné car cela pourrait les conduire au grave péché de la Zin'na (fornication) et il est véritable que l'Envoyé d'Allah (صلى الله عليه و سلم) affirma en connaissance de cause :Il n'est pas rare que les musulmans et musulmanes entendent certains de leurs interlocuteurs leur tenir le raisonnement suivant : "Les occidentaux, ayant reçu une éducation libérée sur le plan corporel, ne regardent plus les attraits corporels de la femme, et peuvent vivre hommes et femmes les uns à côté des autres en tenue décontractée sans rien ressentir, sans même porter attention aux chevelures et aux jambes qui se trouvent à deux mètres d'eux. Tandis que les musulmans, eux, à force de voiler leurs femmes, sont attirés et troublés par la vue d'une chevelure, d'une paire de jambes. Regardez à quelle sur-érotisation du corps vous a conduit votre manque de libération vestimentaire. La "libération vestimentaire des corps" est la solution pour faire disparaître l'attirance vers les corps, car cette attirance empêche la marche harmonieuse d'une société."
Notre réponse à cette objection :
Si, comme le dit cette objection, "la libération vestimentaire des corps est la solution pour faire disparaître l'attirance vers les corps", alors pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Pourquoi ne pas adopter le modèle de ces sociétés des îles Andaman, de certaines îles de Polynésie, et de certaines régions d'Amérique du Sud, d'Afrique et d'Australie, où les hommes et les femmes vivent presque totalement nus ?
En fait ce raisonnement se base sur le constat du fait qu'en Occident hommes et femmes cohabitent apparemment de manière très digne, sans se dévisager ni porter des regards insistants, pour en déduire qu'il n'y a plus d'attirance. Or, si ce constat est vrai, la déduction est, elle, très discutable. En effet, l'attirance n'a pas disparu, car l'attrait pour l'autre est naturellement présent chez l'homme et chez la femme.
Une seconde objection :
A cela certains de nos interlocuteurs nous répondent : "Oui mais il s'agit d'une attirance vers le beau, dénuée de toute arrière pensée, pure de tout désir corporel."
Notre réponse à cette autre objection :
A la vérité, ceci n'est pas toujours vrai. C'est ce qu'on disait au moment de la libération des m½urs : "Les uns et les autres ne se regarderont plus jamais qu'avec des regards neutres." Force est cependant de constater que ces promesses ne se sont pas réalisées. Les regards chargés d'instincts n'ont pas disparu. En d'autres mots : l'érotisation des corps n'a pas disparu en Occident. Combien de gens admirent les formes corporelles (jambes, etc.) d'une personne ayant le dos tourné, puis, une fois surpris par cette personne, doivent détourner leur regard, gênés... S'agissait-il vraiment d'un regard neutre ? Et combien de femmes elles-mêmes se plaignent d'être parfois mal à l'aise par des regards insistants dirigés vers telle ou telle partie de leur anatomie. Et combien de couples ont éclaté après que l'un ait découvert que l'autre entretenait une liaison qui elle-même avait débuté à la suite d'une rencontre d'un soir. L'attirance physique et charnelle pour la beauté corporelle n'a pas disparu.
Certes, il est prévisible que celui qui voit plus rarement ces attraits soit davantage troublé par leur vue que celui qui les voit partout, tous les jours. Mais cela ne signifie pas que celui qui les voit partout ne connaisse plus du tout ce genre d'attirance. A la vérité, le fait de vivre constamment avec cet affichage des corps entraîne un trouble moindre à la simple vue d'attraits corporels, mais pas une disparition complète de l'attirance à cette vue. Je ne crois pas que l'on puisse faire disparaître totalement l'attirance naturelle - avec tout ce qu'elle implique - qui existe en l'être humain vers le corps humain.
De même, le fait de vivre constamment ainsi a également entraîné la nécessité d'une éducation pour qu'on ne regarde pas de façon ouverte les attraits corporels qui l'attirent. Mais cela ne veut pas dire qu'on ne les regarde plus du tout. Les regards furtifs et en biais n'ont pas disparu...
C'est ici qu'apparaît le réalisme de l'islam. En islam, il est demandé à l'être humain non pas seulement de vivre l'aspect extérieur et juridique des enseignements des textes, mais également de se purifier le c½ur, comme le demandent ces textes. Cependant, purifier son c½ur veut dire se libérer de l'excès, de l'emprise dictatoriale de l'instinct sur l'âme. Cela ne veut pas dire atteindre l'irréalisable : éteindre le désir et le sentiment, bref devenir un ange ou presque. Aussi, purifier son c½ur de l'attirance vers l'autre sexe veut dire l'éduquer pour ne pas penser qu'à çà. Mais il est impossible de faire disparaître totalement cette attirance, elle est inscrite en l'être humain ! Dès lors, - exception faite des époux entre eux -, l'islam demande aux êtres humains de maîtriser leur regard...
En islam, il ne s'agit pas de voiler tout ce qui est beau chez l'être humain (pour preuve, l'islam ne fait pas l'obligation à la femme de voiler son visage). L'islam aussi fait la différence entre regard neutre et regard chargé d'instinct, et prend en compte l'absence ou non de désir - donc la neutralité ou non du regard - pour permettre ou interdire ce regard. Cependant, cela concerne certaines parties du corps seulement (celles autres que la 'awra). Si l'islam n'a pas demandé de façon obligatoire de couvrir ces parties du corps là, c'est d'une part parce que les nécessités de la vie font qu'on a besoin de les laisser découvertes. Et d'autre part, soulignent certains savants musulmans comme Abû Chuqqa, parce que cela permet que, dans une saine dimension, un certain lien normal subsiste entre les hommes et les femmes, l'interdiction de tout lien à l'échelle d'un pays tout entier risquant d'entraîner une déviance de l'attirance (Tahrîr ul-mar'a, tome 4 pp. 155-156 et pp. 301-302). Par rapport à ces parties du corps là, le regard maîtrisé est donc "le regard neutre" et non pas forcément le regard baissé. Tout cela est vrai.
Cependant, en ce qui concerne d'autres parties corporelles, l'islam demande de systématiquement ne pas les regarder chez autrui, et ce, qu'on ressente alors de l'attirance (shahwa) ou pas. Il s'agit d'une mesure de précaution, qui concerne ce qui est souvent objet d'attirance d'ordre corporel. L'ensemble de ces parties corporelles qu'une personne A ne doit ainsi pas regarder chez une personne B est nommé "'awra de B par rapport à A". Pour tout ce qui est "'awra" par rapport à soi, le regard maîtrisé est le regard baissé - la seule exception étant les cas de nécessité, comme une situation d'accident, ou une intervention chirurgicale, etc. (Tout ceci ne concerne bien entendu pas les époux entre eux, où aucune partie du corps n'a à être voilée des regards de l'autre. De même, en ce qui concerne les proches parents, la "'awra" est réduite.)
Parallèlement à cette demande de maîtriser son regard, et conformément au principe "Pour éviter les effets, évitez les causes", l'islam demande que l'on recouvre par des vêtements ces parties du corps susceptibles d'entraîner l'attirance. Ainsi, s'il est demandé à A de ne pas regarder ce qui, par rapport à lui, est "'awra" chez B, il est parallèlement demandé à B de revêtir sa "'awra" en présence de A. Cliquez ci-après pour découvrir le concept de la "'awra" et les principes qui y sont attachés :Quelles limites à l'action des regards ? Pourquoi ?
Quatrième point :
Une question demeure ici, c'est celle que vous avez posée : Pourquoi la 'awra de la femme est-elle plus grande que celle de l'homme ? Autrement dit, pourquoi l'islam demande-t-il à la femme de dissimuler des regards de ceux qui ne sont ni son mari ni ses proches parents, une plus grande étendue corporelle que celle qu'il demande à l'homme de dissimuler devant toute personne n'étant pas son épouse ?
En islam, cette différence n'est pas due au fait que la femme serait assujettie à l'homme et qu'elle devrait l'exprimer par cette différence vestimentaire. (C'est là en fait ce que Paul de Tarse, lui, disait à propos du fait que la femme chrétienne devait recouvrir sa chevelure : cliquez ci-après pour en savoir plus à ce sujet : Pourquoi le foulard des musulmanes choquent-il certains Occidentaux ?)
Le savant musulman Abû Chuqqa, en réponse à une question identique à celle que vous avez formulée, a écrit en substance : "Dieu a créé le corps féminin en lui donnant certaines particularités par rapport à celui de l'homme. Le corps masculin est doté d'une "simplicité" qui fait que l'attirance charnelle qu'il éveille est d'ordre global, tandis que chaque partie du corps féminin possède son attirance. On peut d'ailleurs voir qu'aujourd'hui dans certains pays, alors que l'homme s'embellit en s'habillant, la femme s'embellit en se déshabillant le plus possible, en exposant donc les attraits naturels de son corps." (d'après Tahrîr ul-mar'a, tome 4 p. 22).
D'autre part : alors que la femme est plus sensible à l'affection et au toucher, l'homme, lui, est plus attiré par l'"image", par ce qu'il voit.
C'est bien à cause de ces deux facteurs que, dans la grande majorité des cas, ce sont les femmes qui se plaignent d'être mal à l'aise à cause des regards déplacés d'hommes vers tel ou tel de leurs attraits. L'inverse peut être vrai, mais est beaucoup plus rare. On peut même dire qu'au contraire, les hommes, eux, sont dans la majorité des cas fiers et heureux de se voir être l'objet de regards féminins !
Dieu a cité tous ces enseignements - les regards furtifs, la purification du c½ur, la maîtrise du regard, la nécessité de se vêtir - dans le Coran. Dans un verset, Il dit ainsi : "(Dieu) connaît les regards traîtres ainsi que ce que recèlent les c½urs" (40/19). Commentant ce verset, Ibn Abbâs dit : "Il s'agit de l'homme qui regarde les attraits d'une femme lorsqu'elle passe près de lui ou lorsqu'il entre dans un lieu où elle se trouve. Puis, lorsqu'on remarque ce qu'il fait, il baisse son regard. Dieu sait que cet homme voudrait pouvoir regarder des parties plus intimes de cette femme..." (Fat'h ul-bârî, tome 10 p. 13)
Dans deux autres versets qui se font suite, Dieu dit, s'adressant d'abord aux hommes : "[O Muhammad,] dis aux croyants de baisser leur regard et de rester chastes. C'est là cause de plus de pureté pour eux. Dieu sait ce qu'ils font.
Et dis aux croyantes de baisser leur regard, de rester chastes, de ne montrer de leurs attraits que ce qu'il paraît et de rabattre leur foulard sur leur poitrine." (Coran 24/29-30)
Et à toute femme - qu'elle soit d'Occident ou d'Orient - qui se plaint d'être gênée par des regards posés sur telle ou telle de ses formes, le message de l'islam est en quelque sorte : "Vos complaintes sont tout à fait compréhensibles. Et rien ne justifie ces regards gênants venant des hommes, car il est demandé de façon obligatoire à ces derniers de maîtriser leur regard et de purifier leur coeur. Mais vous savez comment sont ces hommes ! Alors, pour éviter les effets, évitez-en les causes : habillez-vous avec des vêtements moins courts et moins moulants." C'est pour cela que le Prophète recommanda qu'elle porta le rideau en toute circonstance rideau afin de préserver l'intimité de la femme.
1) Car c'est là un des objectifs de la tenue que l'islam propose à la femme : protéger ses attraits personnels des regards masculins chargés d'instinct.
2) Un autre objectif de cette tenue est de préserver hommes et femmes d'adopter la même apparence globale.
3) Un autre objectif qu'a cette tenue que porte la femme est que cette dernière rappelle et exprime ainsi la dimension sacrée de son être, qui n'est pas réductible à "un corps" et aux attraits de celui-ci.
Marrant comme vous pouvez être comme ça envoûté par le physique d'une femme, n'aimez-vous donc que les femmes pour leur beauté ? ! Nous ne sommes pas des "choses"
Je comprends pourquoi tu apprécies autant mahomet. Seyfedine, tu lui ressembles.La tradition rapporte qu'il était un fort bel homme et sa virilité comparable à celle de plusieurs jeunes hommes vigoureux était un de ses attributs.
sur cela tu as raison camélia!camelia a écrit :Hommes de grande ignorance (je vais aussi parler avec grandiloquence comme cfedine) ne connaissez-vous donc pas sarah michelle gellar
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, c'est elle sur l'avatar de kate
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Marrant comme vous pouvez être comme ça envoûté par le physique d'une femme, n'aimez-vous donc que les femmes pour leur beauté ?![]()
! Nous ne sommes pas des "choses"
j'aime bien ta facon de voir les choses!!!Jean a écrit :Kate: Proverbes 1:10 Mon fils, si des pécheurs veulent te séduire, Ne te laisse pas gagner.
Proverbes 6:25 Ne la convoite pas dans ton coeur pour sa beauté, Et ne te laisse pas séduire par ses paupières.
Matthieu 5:28 Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.
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Je l'ai séduit en partie, seulement ( je l'avoue). Car Seyfedine accepte d'être à moi, si je deviens musulmane et renie le Christ et ce, en le disant sur ce forum, ce que je ne peux pas faire bien évidemment.issa a écrit :kate dans le coeur des vrais musulmans mieux que l amour des femmes il y a surtout l amour d Allah et tu ne pourra pas seduire un tel homme
Elle est déjà mariée. Je ne pense pas que son mari apprécierait.nasser a écrit :
DIEU dit dans le coran:
et une femme croyante est mieux pour vous qu'une associatrice même si elle vous enchante
donc même si kate est belle, et qu'elle soit associatrice, je prendrais la femme croyante même si elle n'est pas belle!!!
donc ne t'inquiète pas camélia! deviens croyante, adoratrice du seul vrai DIEU et je t'epouse!!!
nasser a écrit : sur cela tu as raison camélia!
DIEU dit dans le coran:
et une femme croyante est mieux pour vous qu'une associatrice même si elle vous enchante
donc même si kate est belle, et qu'elle soit associatrice, je prendrais la femme croyante même si elle n'est pas belle!!!
donc ne t'inquiète pas camélia! deviens croyante, adoratrice du seul vrai DIEU et je t'epouse!!!
Quelle horreur, n'est-ce pas ?!!camelia a écrit :C'est bien ce que je pensais![]()
même quand il s'agirait d'épouser un beau ténébreux mais quand on entend qu'ils sont prêts à t'épouser rien que pour que tu te convertisses
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Tout ce qu'a dit issa est faux car ils le disent eux-mêmes, qu'ils n'épouseront que certaines chrétiennes, les juives et sûrement pas les "associatrices" et les non croyantes.pour repondre a madame, je n irai pas aussi loin que nasser dans le sens ou j ai cru comprendre que madame etait plus en doute sur "la nature et les desir de dieu" plutot que de son existence meme,de ce fait a p artir du moment ou elle est "croyante" rien ne s oppose a ce qu il se marie d un point de vue islamique cependant il est vrai que si madame n st pas interrese par la relgion et dieu en general (meme en etant un tant soit peu coyante cela se voit tout les jours) il est vrai qu elle risque de se sentir ,ettoufe, a part,par la religiosite de son "futur" epoux et dans ce cas la bien precis je rejoint l opinion de nasser,il est vrai egalement que rien n empeche madame d ecouter ce qu a a dire so n mari sur la religion,de se renseigner,de comparer les differentes religion,leur histoire,les fait scientifiques etc et ensuite elle meme se forger sa propre opinion a savoir etre croyante en tant que chretienne,musulmane ou non croyante totalement,le choix lui reviens
ne t'inquiète pas kate c'etait juste pour plaisanté avec toi!camelia a écrit :Tout n'est qu'hypocrisie et mensonges !
Ah islam, religion de paix et d'amour !![]()

Epouser des associatrices maintenant mais la oumma par en sucette il faut tuer les associateurs( 8v12. Et ton Seigneur révéla aux Anges: ‹Je suis avec vous: affermissez donc les croyants. Je vais jeter l'effroi dans les coeurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts. >>http://www.assabyle.com/index.php?id=1&sr=8&pg=11kate a écrit :cobra, où vois-tu que je détourne le débat ?
Vous ne devez pas épouser d'associatrices. Point.
Le "nulle contrainte en religion" tombe à l'eau car dans l'islam faut croire à allah et à aucun autre Dieu. Or, mon Dieu c'est Jésus Christ et non allah.
Issa tu lis le verset du coran qui compose ma signature ?issa a écrit :nulle contrainte en religion ne signifie pas aucune lois contraignante (je sais que dans la religion chretienne toute les lois ont ete supprime et que comme le dit camelia "peut importe ce que dit la Bible y a des lois ,on est en 2004" seulement en islam ca ne fonctionne pas ,les lois de la sounna et du Coran font partie integrante de la vie du croyant ) cela signifie que l on ne peu forcer personne a la conversion nuance importante
Mais, je croyais que tous les versets étaient valables pour TOUS LES TEMPS et sans limite géographique, puisque la parole d'allah est valable quelque soit l'époque et le lieu ????issa a écrit :je t ai deja dit que ce verset s adresait de un aux compagnons du prohete(saw) de deux en temps de guerre et enfin de trois sur le territoire sacree a savoir l arabie