Auteur : mirtelle32
Date : 21 janv.14, 00:51
Message : Une religieuse qui ne savait pas qu'elle était enceinte a donné naissance à un petit garçon mercredi. Elle l'a appelé Francesco en hommage au pape François. Le bébé et sa mère se portent bien.
L'histoire de cette nonne rappelle, biensûr, celle d'une vierge et d'un divin enfant. Mais cette fois, le Saint-Esprit semble n'y être pour rien. Originaire du Salvados, sœur Roxana Rodriguez a donné naissance à un petit garçon mercredi. L'enfant a été appelé Francesco en hommage au pape François. Elle avait été hospitalisée près de Rome, en Italie, pour de sévères douleurs abdominales, ignorant totalement qu'elle était enceinte. "C'est un cadeau de Dieu. Je suis cependant inquiète du retentissement de cette affaire. Tout le monde en parle et je ne pense pas que je pourrai retourner au Salvador, encore moins à Rieti (où se trouve son couvent en Italie, ndlr)", a-t-elle ajouté.
Selon l'assistante sociale qui l'a rencontrée, la nouvelle maman de 33 ans ne regrette rien. Sœur Roxana Rodriguez a affirmé "se sentir plus l'étoffe d'une mère que d'une religieuse", selon le Corriere della Serra. "Je ne me sens pas coupable et je compte le garder et l'élever", a-t-elle ajouté. Le père de l'enfant serait un prétendant de jeunesse que la sœur aurait revu en mars dernier, lors de son retour au Salvador pour renouveler son passeport, d'après les journaux italiens. L'homme n'est pas encore au courant de l'existence de l'enfant.
Céder à la tentation
Sœur Roxana Rodriguez avait prononcé ses vœux de chasteté, de pauvreté et d'obéissance en décembre 2012 au sein des Petits disciples de Jésus. La mère supérieure, responsable du convent, a regretté que Roxana Rodriguez "n'ait su résister à la tentation". Sœur Roxana Rodriguez lui a écrit une lettre d'excuses. Les autres sœurs du couvent ne se sont pas non plus réjouies de la nouvelle. "Nous n'irons certainement pas lui rendre visite. Ce qu'elle a fait n'est pas bien du tout. Elle a trahi ses vœux. Elle ne reviendra pas ici", affirme une sœur, citée par le Dailymail.
Le porte-parole de l'évêque de Reiti a toutefois déclaré vouloir enquêter sur les circonstances de cette naissance. "Cet enfant pourrait être le fruit d'un rapport consenti mais également le résultat de violences", a-t-il déclaré.
Vague de sympathie
Celle qui est désormais la nonne la plus célèbre d'Italie bénéficie d'une vague de sympathie. "Nous avons dû prendre des mesures de sécurité supplémentaires du fait de l'intérêt qu'elle suscite", a expliqué le directeur de l'hôpital, Pasquale Carducci. Le personnel de l'hôpital a organisé une collecte d'argent, de vêtements, de couches culottes et de matériel de puériculture. Le maire de Rieti a même promis d'aider la famille.
http://lci.tf1.fr/monde/europe/une-nonn ... 50440.html Auteur : Siegfried
Date : 22 janv.14, 10:12
Message : Euh, vous êtes sur de ne pas confondre abstinence & abstention ?
Deplus il ne faut pas généraliser le comportement moyen à tous.
Si d'un côté on a des atteints d'addiction extrème
masculin
http://fr.wikipedia.org/wiki/Welcome_to_New_York_(film)
ou féminin
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nymphomaniac
Il faut bien, pour compenser, avoir à l'autre bout des abstinents, un peu comme on a des boulimiques obèses et des anorexiques restrictifs.
On peut aussi supposer que de la même façon qu'il y a des anorexiques boulimiques (qui s'empiffrent et se font vomir pour éviter l'obésité ) il peut aussi y avoir des individus passant de l'euphorie d'une sexualité intensive aux mortifications d'une abstinence +/- forcée ou vice/versa (ex le délinquant sexuel arreté et mis sous traitement inhibiteur, le religieux ultra moraliste qui péte les plombs avec un enfant)
Rien de très naturel et normal (au sens conforme à une norme définie par un comportement moyen) chez l'adulte mais néamoins possible.
En effet si on exclu les auto-touche-pipi freudien, l'enfant pratique naturellement l'abstinence jusque sa puberté, tente (freiné par l'éducation, la morale, la loi,...) d'avoir une vie sexuelle active, puis sauf traitement chimique (ex VGR100) perd toute libido (surtout les femmes après la ménopause).
Il est donc concevable que la période active, chez certains individus se réduise à un tel mininum qu'il peut n'être plus qu'un simple désir facile à contenir. Tout cela n'est qu'une question de cycle hormonal et de prédisposition génétique à une simili impuissance ou frigidité.
Il y a aussi les cas spéciaux de traumatisme psychologique comme les victimes ou témoins de viol écoeurés à vie par toute sexualité ou au contraire fascinés au point de devenir bourreau.