Résultat du test :
Auteur : medico
Date : 30 janv.14, 23:35
Message :

Ce livre raconte la vie d'uns femme dont le péré était prêtre et la maman bonne soeur.
Auteur : samuell
Date : 30 janv.14, 23:44
Message : et hop !
une attaque en douce
du catholicisme
par un tj !
si si

Auteur : medico
Date : 30 janv.14, 23:49
Message : oui il y a une attaque?
Tu y vois le moindre commentaire désobligeant de ma part?
Arrêtte d'agresser stp.
Auteur : Coeur de Loi
Date : 31 janv.14, 00:51
Message : medico a écrit :Ce livre raconte la vie d'une femme dont le père était prêtre et la maman bonne soeur.
La totale quoi.
Auteur : samuell
Date : 31 janv.14, 04:15
Message :
Hors sujet et surtout pas de remarques sur les personnes
La modération.
Auteur : Pion
Date : 31 janv.14, 04:42
Message : samuell a écrit :
Hors sujet et surtout pas de remarques sur les personnes
La modération.
En quoi ta vie ou celle de ceux que toi tu aimes ou même de n'importe qui, est-elle menacée?
Il me semble qu'il y a d'autres causes plus honorables a défendre non?
-Amicalement.
Auteur : medico
Date : 31 janv.14, 04:54
Message : Il n'est pas question de défendre une cause.
Cette femme raconte son vécu tout simplement.et avant de prendre le moindre partit la moindre des chose et avant tout de lire son livre.
Auteur : Pion
Date : 31 janv.14, 05:40
Message : Et même si tu défendais sa cause, il me semble que ce n'est pas grave, y a des trucs bien pire, comme
ici par exemple ou on trouve normal et ou on encourage même la mise a mort des gens pour avoir comme seul crime, exprimer tout haut leur pensée.
Auteur : medico
Date : 31 janv.14, 05:45
Message : le sujet n'est pas la!
Auteur : Pion
Date : 31 janv.14, 05:55
Message : Non je sais........ toi tu affiches un sujet, et lui il essaye de te prendre en défaut, mais moi j'arrive en disant que ca vaut pas la peine de s'obstiner même si il te prenait en défaut, car ton sujet n'offre aucune malice, mais toi tu veux avoir raison, tu veux pas que je m'arrête a dire que ce n'est pas grave et patati et patata, tu veux que j'avoue que non seulement y a pas de malice, mais y a pas non plus de coté partisan de ta part, et donc que ton sujet est tout a fait légitimé, voila!
Mais j'ai pas suivit tout le fil ni lu ton livre, je n'ai que survolé tout ca, et malheureusement je n'ai pas le temps de m'y attarder autre mesure, quoi que j'aurais voulu car, quoi de plus beau que l'amour? Mais pour s'offrir ce luxe, il faut se battre d'abord contre la haine! C'est pour ca que j'ai mis un lien, malheureusement encore une fois, t'en as rien a foutre......

Auteur : medico
Date : 31 janv.14, 06:02
Message : mais moi non plus je n'ai pas lu ce livre par contre cette dame et passé hier soir à la télé et à raconté sa vie.c'est aussi simple que cela.
elle avait surement envie de rompre un tabou.
Auteur : Pion
Date : 31 janv.14, 06:54
Message : Oui effectivement, et c'est pourquoi j'ai trouvé que samuell ambitionnait un peu en laissant planer une sorte de reproche a ton intention a ce sujet.
Je lui suggérais a la place de se battre pour des causes qui en valent un peu plus la peine, enfin il me semble, non?
Auteur : Coeur de Loi
Date : 04 févr.14, 10:20
Message : Témoignage de l'auteur du livre, Anne-Marie Mariani, fille d'un prêtre et d'une religieuse :
http://www.dailymotion.com/video/x1b0jk ... oigne_news
"Les enfants de prêtres sont nombreux"
Auteur : medico
Date : 04 févr.14, 18:42
Message :
merci du lien.
Auteur : spin
Date : 05 févr.14, 03:33
Message : samuell a écrit :et hop !
une attaque en douce du catholicisme
Pas forcément. Cela posé, l'Eglise Catholique est de plus en plus en difficulté avec son maintien du célibat des prêtres. Il faut quand même dire qu'avec le recul de la religion ce métier présente de moins en moins d'intérêt, alors si en plus on ne peut pas avoir une vie familiale, sexuelle, affective, normale... les affaires de pédophilie font du dégât, et on arrive de moins en moins à cacher que de plus en plus de prêtres ont une concubine.
On tend à tourner la difficulté en nommant de plus en plus de diacres, qui font les mêmes choses pour l'essentiel, et peuvent être mariés. J'en connais plusieurs.
à+
Auteur : medico
Date : 08 févr.14, 22:25
Message : Anne-Marie Mariani est une sexagénaire dynamique et rieuse. Pourtant, sa vie a longtemps été empoisonnée par un lourd secret, qui n’est pas devenu plus simple à assumer une fois la vérité connue : son père était prêtre, sa mère religieuse. Celle que l’on a rejetée, considérée comme « l’enfant du péché », s’est plongée dans l’histoire de ses parents et en est ressortie « guérie », avec un livre (*) émouvant et engagé.
C’est un vrai roman. Plein de rebondissements, de sentiments forts, avec une dose d’exotisme colonial, des secrets, une transgression… Ce serait un bon roman. Mais c’est sa vie. Et celle de ses parents.
Anne-Marie Mariani vient de publier un livre de témoignage* dans lequel elle raconte « l’histoire d’un grand amour. Et aussi celle d’un terrible gâchis. » L’histoire de son père, Prosper, prêtre, et de sa mère, Marie-Paule, infirmière et religieuse. Tous deux issus de familles de paysans pauvres. Lui venait du Doubs, elle était originaire de Corse. Ils se sont rencontrés et aimés à Oran, en Algérie. Marie-Paule a réussi à ne plus être religieuse quelques jours avant la naissance d’Anne-Marie. Prosper, lui, a dû batailler contre sa hiérarchie, n’étant relevé de ses engagements religieux qu’en 1966 !
En fait, l’évêché d’Oran a voulu étouffer l’affaire, proposant de l’argent à Marie-Paule pour qu’elle se taise et trouvant une famille adoptive pour Anne-Marie, dans laquelle elle est restée deux ans. Jusqu’à ce que sa mère ait le courage de la reprendre et de partir avec elle à Cogolin, chez son frère. Ils ont bientôt été rejoints par Prosper, qui a fait croire à ses paroissiens qu’il partait pour l’Indochine !
Le regard de la société, de leur famille, est lourd de reproches, de mépris, de honte. Ils changent souvent de lieu de résidence et souffrent en silence, dans la culpabilité, préservant le secret pour Anne-Marie. Ses deux parents ont un métier.
Ce n’est qu’à l’âge de 16 ans, alors que la famille est installée à Tullins (Isère), qu’un oncle mal intentionné provoque, de façon perverse, la terrible révélation de ses origines, qui ouvre le récit d’Anne-Marie.
« Mes parents ont gardé la foi et me l’ont transmise »
Ce livre, elle l’a écrit (avec son mari) pour ses parents, dont elle admire le courage et sait les douleurs : « Je veux leur rendre justice. Je veux réhabiliter leur mémoire. » Pour elle aussi, pour « terminer ma guérison ». Pour les autres enfants de prêtres enfin, qu’elle défend à travers une association qu’elle a créée l’an dernier, Les Enfants du Silence. « Comment se fait-il qu’en 2014, il n’y ait pas eu encore de paroles du Vatican pour tous ces enfants de prêtres ? C’est une forme de mépris. On n’existe pas. On ne veut pas savoir qu’il y en a partout sur la planète. J’aimerais que ces enfants redressent la tête, ils n’ont rien à se reprocher. »
Pendant des années, Anne-Marie avait accumulé des documents, rencontré des gens, visité des lieux pour reconstituer le parcours de ses parents. C’était une démarche personnelle. Elle a commencé à écrire. « Pour les miens », pas pour publier un livre. Elle a même refusé une première sollicitation. « L’élément déclencheur, ça a été lorsque j’ai étudié le célibat des prêtres. Que de souffrances, que d’épreuves on a traversées pour une loi dictée par des hommes, une loi inhumaine et surannée ! C’est aussi une histoire de sous, une manière d’user du pouvoir sur des hommes. » Anne-Marie est convaincue : « Je voudrais que les prêtres aient le choix d’être célibataire ou pas. On reconnaît un bon prêtre à son engagement, pas à sa chasteté ! »
Lire l'intégralité de cet article dans le Dauphiné Libéré du 9 février 2014.
Auteur : medico
Date : 05 mars14, 06:12
Message : Enfants de prêtres : Anne-Marie Mariani brise le tabou
propos recueillis par Virginie Larousse - publié le 05/03/2014
Dans son livre, Le droit d’aimer (éditions Kero), Anne-Marie Mariani lève le voile sur un sujet sensible : celui des enfants de prêtres. Et espère faire réagir l’institution catholique sur la question du célibat des clercs.
© Florence Brochoire pour Le Monde des Religions
À l’âge de 16 ans, Anne-Marie Mariani apprend par son oncle qu’elle est née des amours interdites entre un prêtre et une religieuse. Le choc. Elle ignorait tout de ce passé, ses parents ayant quitté l’Église catholique depuis très longtemps. Mais ce secret a pesé lourdement sur la vie familiale. Aujourd’hui, Anne-Marie Mariani souhaite, par son témoignage intime et rare, lever le voile sur les « enfants du secret » qui, affirme-t-elle, sont beaucoup plus nombreux qu’on pourrait l’imaginer. Elle a d’ailleurs créé une association, Les Enfants du silence, pour leur offrir un lieu d’écoute, et demande à l’Église catholique de laisser à ses prêtres « le choix d’aimer, de se marier, d’avoir des enfants. »
Dans quel contexte vos parents se sont-ils rencontrés ?
Ma mère, orpheline très jeune, s’était réfugiée auprès des dominicaines de Marseille, où elle vivait. Par fidélité envers ces dernières qui l’avaient tant aidée, elle a pris l’habit. Mon père, lui, était très bon élève. Ses parents ont donc décidé de le faire entrer au séminaire. Il faut comprendre qu’à l’époque, c’était très prestigieux. Bien que mon père et ma mère soient entrés en religion sans que cela réponde à une véritable vocation, ils se sont beaucoup épanouis dans ce milieu. Ma mère, infirmière, s’occupait d’un dispensaire à Oran avec d’autres religieuses. Mon père était un prêtre charismatique, très apprécié des fidèles. C’est à Oran qu’ils se sont rencontrés. L’amour est vite arrivé. Maman a donc fait une demande d’exclaustration, pour obtenir l’autorisation de quitter son état religieux. Quand j’ai été conçue, elle ne portrait plus l’habit, même si elle n’était pas définitivement relevée de ses vœux. Pour papa, cela a pris beaucoup plus de temps. Sa hiérarchie a tout fait pour étouffer le scandale, allant jusqu’à proposer de l’argent à ma mère afin que nous disparaissions, puis arrangeant mon adoption dans une famille d’accueil – ce que maman a refusé. Ce n’est que lorsque j’ai eu 3 ans qu’il a enfin pu nous rejoindre et entamer une vie laïque.
Comment s’est passé le retour à la vie civile ?
Mal. Le couple que formaient mes parents a subi les rumeurs, les affronts. Tout le monde connaissait, peu ou prou, leur situation. Aux yeux des gens, ils avaient brisé un interdit. Mes parents ont eu à vivre avec une culpabilité énorme, un sentiment de honte.
Ont-ils gardé la foi malgré ces épreuves ?
Absolument. Je pense qu’ils ont très vite compris la différence qu’il fallait faire entre l’enseignement de Jésus et ce que les hommes en ont fait. Mes parents constituent un exemple édifiant de foi, de courage, d’amour. Ils n’ont rien fait de contraire à l’esprit de l’Évangile. L’être humain est, au cours de sa vie, constamment en évolution. Il est fait de sincérités successives. Le vœu de chasteté est éminemment difficile à respecter sur la longue durée, et tout le monde n’a pas la même capacité à supporter la solitude et la continence. Est-ce un crime que de s’aimer ?
Votre association, Les Enfants du silence, reçoit-elle beaucoup de témoignages similaires au vôtre ?
Bien sûr. J’ai créé cette structure avec l’aide de l’association Plein Jour, qui apporte son soutien aux compagnes de prêtres. Nombreux sont les enfants de prêtres ou de religieux à travers le monde. Pour la plus grande partie d’entre eux, les parents ont déjà quitté les ordres au moment de leur naissance, ce qui leur permet de mener une vie à peu près normale. Mais pour d’autres, comme ce fut mon cas avec mon père, ils naissent alors que ce dernier exerce encore son ministère. Cette situation est beaucoup plus difficile. Derrière tout cela, il y a une grande hypocrisie, les évêques étant la plupart du temps au courant. Mais si la chose vient à se savoir en dehors du cercle ecclésiastique, on les met à la porte. Sans un sou, sans logement. Le vide total.
L’Église catholique est-elle aujourd’hui aussi intransigeante sur ce sujet qu’à l’époque de vos parents ?
Je le crois. Il est d’ailleurs surprenant que le Vatican, jusqu’à maintenant, n’ait jamais eu la moindre parole en ce qui concerne les enfants de prêtres. Il suffit de lire les Évangiles pour voir que Jésus appréciait la présence des enfants. Je m’étonne donc que des prêtres soient jetés hors de l’institution sous prétexte qu’ils ont donné la vie. Seraient-ils de plus mauvais hommes d’Église en vivant eux-mêmes l’expérience de la parentalité ? Je ne le pense pas. Au contraire, l’institution en ressortirait plus vraie, plus juste, plus en harmonie avec ses fidèles. Je pense que mon père aurait ardemment souhaité rester prêtre. Mais on ne lui a pas permis. Le pape François paraît un peu plus ouvert sur la question, puisqu’un de ses proches collaborateurs, Mgr Parolin, a déclaré récemment que le célibat des prêtres était une tradition, et non un dogme. Cela dit, je ne suis pas très optimiste.
Vous dites que, sur cette question, la position de l’Église catholique n’est pas conforme au message de Jésus.
Le célibat des prêtres n’est pas une loi divine mais ecclésiastique. Elle n’a été instaurée par le pape Grégoire VII qu’en 1074, ce qui signifie qu’il n’avait rien d’obligatoire avant cette date. Jamais Jésus n’a formulé une telle requête. La plupart des apôtres et des disciples qui entouraient Jésus, en dehors de Paul, étaient mariés. Jésus a d’ailleurs soigné la belle-mère de Pierre, qui fut le premier pape de l’histoire ! En outre, la tradition juive dont Jésus est issu encourageait fortement à avoir des enfants. Si l’Église a édicté cette loi au XIe siècle, c’est avant tout pour des raisons financières : cela lui permettait de récupérer des biens qui, sinon, auraient pu être légués aux enfants de ces clercs. De plus, un homme célibataire est plus facile à contrôler qu’un homme marié, et il coûte moins cher. Même si je reste profondément chrétienne au fond de moi, cette situation me révolte. Mes parents se sont aimés, envers et contre tout. C’est ce qui a fait leur force, et c’est ce qui fait aujourd’hui mon admiration. Or, aimer, oser aimer, est pleinement conforme aux Évangiles.
Revue le monde des religions
Auteur : franck17530
Date : 06 mars14, 03:54
Message : medico a écrit :oui il y a une attaque?
Tu y vois le moindre commentaire désobligeant de ma part?
Arrêtte d'agresser stp.
Médico, tu fais la même chose avec nous... Maintenant, tu sais ce que l'on ressent...

Auteur : medico
Date : 06 mars14, 03:58
Message : je n'ai rien dit dans se sujet qui a le moindre once d'une attaque. je n'ai fait que rapporter le sujet .je n'en suis pas l'auteur.et j'ai donné les sources.
Auteur : franck17530
Date : 06 mars14, 04:02
Message : medico a écrit :je n'ai rien dit dans se sujet qui a le moindre once d'une attaque. je n'ai fait que rapporter le sujet .je n'en suis pas l'auteur.et j'ai donné les sources.
Et lorsque l'on fait pareil, on se fait incendier par vous et on est apostat...
Auteur : pauline.px
Date : 06 mars14, 04:27
Message : Bonjour à toutes et à tous,
L'Église rassemble des humains.
Par conséquent, il est tout à fait normal que certains humains ne soient pas en mesure d'assumer leurs vœux dans la durée.
Au même titre que des époux pieux divorcent, des personnes qui ont fait vœu de chasteté peuvent rompre ces vœux.
Au même titre que des divorcés reprennent une relation maritale, des clercs peuvent s'engager dans la même voie.
Que faire sinon compatir à leur double échec et à leur situation actuelle ?
De là à changer les dogmes millénaires pour s'adapter au monde... c'est un pas que je n'envisage pas avec désinvolture.
... Même s'il est probablement fatal que le monde finisse par avoir l'avant-dernier mot.
très cordialement
votre sœur
pauline
Auteur : medico
Date : 06 mars14, 04:35
Message : Tout a fait Pauline a part une petite bémol les écritures n'interdissent pas aux prêtres de se marier.c'est un commandement d'église.
Auteur : franck17530
Date : 06 mars14, 04:37
Message : pauline.px a écrit :Bonjour à toutes et à tous,
L'Église rassemble des humains.
Par conséquent, il est tout à fait normal que certains humains ne soient pas en mesure d'assumer leurs vœux dans la durée.
Au même titre que des époux pieux divorcent, des personnes qui ont fait vœu de chasteté peuvent rompre ces vœux.
Au même titre que des divorcés reprennent une relation maritale, des clercs peuvent s'engager dans la même voie.
Que faire sinon compatir à leur double échec et à leur situation actuelle ?
De là à changer les dogmes millénaires pour s'adapter au monde... c'est un pas que je n'envisage pas avec désinvolture.
... Même s'il est probablement fatal que le monde finisse par avoir l'avant-dernier mot.
très cordialement
votre sœur
pauline
Pauline ,
Et si tu t'aperçois que le voeu que tu fais à l'origine n'est pas en accord avec ceux que Dieu veut ? Faut-il rester dans ces voeux en sachant que Dieu n'accepte pas ces voeux là ?
Auteur : pauline.px
Date : 06 mars14, 04:45
Message : Bonjour Franck17530
franck17530 a écrit :
Et si tu t'aperçois que le voeu que tu fais à l'origine n'est pas en accord avec ceux que Dieu veut ? Faut-il rester dans ces voeux en sachant que Dieu n'accepte pas ces voeux là ?
On a le droit de se tromper.
Si l'on réalise que l'on s'est trompé alors il faut rompre au plus tôt avec l'erreur et assumer autant l'erreur du passé que la nouvelle voie.
Pardonnez-moi ma curiosité, quels vœux D.ieu, béni soit-Il, refuse-t-Il expressément ?
très cordialement
votre sœur
pauline
Auteur : franck17530
Date : 06 mars14, 04:47
Message : pauline.px a écrit :Bonjour Franck17530
On a le droit de se tromper.
Si l'on réalise que l'on s'est trompé alors il faut rompre au plus tôt avec l'erreur et assumer autant l'erreur du passé que la nouvelle voie.
Pardonnez-moi ma curiosité, quels vœux D.ieu, béni soit-Il, refuse-t-Il expressément ?
très cordialement
votre sœur
pauline
Le pharisaïsme...
Auteur : medico
Date : 06 mars14, 04:50
Message : pauline.px a écrit :Bonjour Franck17530
On a le droit de se tromper.
Si l'on réalise que l'on s'est trompé alors il faut rompre au plus tôt avec l'erreur et assumer autant l'erreur du passé que la nouvelle voie.
Pardonnez-moi ma curiosité, quels vœux D.ieu, béni soit-Il, refuse-t-Il expressément ?
très cordialement
votre sœur
pauline
Mais le probléme c'est que l'église a tout fait pour que les prêtre en question ne romp pas ses voeux.
As tu lu le résumer de cette histoire qui est donné dans le premier message ?
Auteur : braque de weimar
Date : 06 mars14, 05:27
Message : bonsoir a tous ,
je me rapelle du débat qu'il y a eu lieu a la radio lorsque jean-paul2 est mort , beaucoups espéraient une avancée sur le mariage des prêtres.......
2 papes plus tard , on en ai toujours au meme point or l église catholique est quand meme la congrégation chrétienne qui compte le plus d'ecclésiastiques , donc il y a beaucoups de souffrances chez nombre d entre eux...................
et beaucoups d'enfants de pretre , le secret de nombre de paroisse du reste , a votre avis , le vatican tiens t il des archives sur le sujet , le nombre d'enfants pretre ?
Auteur : franck17530
Date : 06 mars14, 06:02
Message : Et ca ne changera pas...
Auteur : La menax
Date : 06 mars14, 13:34
Message : franck17530 a écrit :
Et lorsque l'on fait pareil, on se fait incendier par vous et on est apostat...
J'avoue, franck le détracteur.

Auteur : franck17530
Date : 06 mars14, 20:33
Message :

Auteur : pauline.px
Date : 07 mars14, 01:17
Message : Bonjour Medico,
medico a écrit :
Mais le probléme c'est que l'église a tout fait pour que les prêtre en question ne romp pas ses voeux.
As tu lu le résumer de cette histoire qui est donné dans le premier message ?
C'est un divorce qui se passe mal et je ne tiens pas particulièrement commenter sur la souffrance d'autrui.
1 ) Attendait-on vraiment une bénédiction de la part de la hiérarchie ?
2 ) L'Église Romaine n'est pas monolithique sur le célibat des prêtres puisque les Églises Catholiques Orientales ordonnent des homme mariés.
Or, dans le cas qui nous occupe, il eût fallu que l'Église Catholique acceptât le mariage d'un prêtre (et le mariage d'une religieuse), ce qui est assez éloigné de la lettre du Nouveau Testament.
Pourquoi ne pas innover, en effet ? mais aussi, permettez-moi cette question, pourquoi innover ?
La seule innovation qui me paraît urgente, c'est que les prêtres qui désirent se marier puissent être libérés rapidement de leurs vœux.
On pourrait aussi dire que les vœux solennels devant D.ieu, béni soit-Il, et les humains n'engagent personne.
très cordialement
votre sœur
pauline
Auteur : medico
Date : 07 mars14, 20:00
Message : mais tu parles pas de la soufrance de famille et de leur fille.
Auteur : pauline.px
Date : 09 mars14, 01:57
Message : Bonjour Medico,
medico a écrit :mais tu parles pas de la soufrance de famille et de leur fille.
Je viens d'écrire "
C'est un divorce qui se passe mal et je ne tiens pas particulièrement commenter sur la souffrance d'autrui."
Précédemment, j'exprimais ma compassion "
Que faire sinon compatir à leur double échec et à leur situation actuelle ?"
Ne pas commenter la souffrance d'autrui, ce n'est pas négliger la souffrance d'autrui, cela ne signifie pas que l'on n'en tient pas compte.
Aussi parlerais-je plus facilement de mon expérience personnelle :
Dans mon Église les fidèles sont invités à prier quotidiennement le Notre Père et notamment quelque chose du genre "
Ne nous laisse pas entrer en tentation" ; mon expérience personnelle est que brûlante est la souffrance quand je tombe en tentation, une souffrance d'autant plus vive que je me sens abandonnée de D.ieu, béni soit-Il, que j'avais, pourtant, appelé à mon secours en Le priant avec ferveur de m'aider à ne pas chuter.
Mais doit-on ne tenir compte
que de la souffrance ?
Très cordialement
votre sœur
pauline
Auteur : medico
Date : 09 mars14, 02:06
Message : mais il n'est question de divorce dans se sujet.
Auteur : pauline.px
Date : 09 mars14, 02:52
Message : Bonjour Medico,
medico a écrit :Tout a fait Pauline a part une petite bémol les écritures n'interdissent pas aux prêtres de se marier.c'est un commandement d'église.
En effet, les Très Saintes Écritures ne parlent pas spécifiquement de ce que doivent être les presbytres.
Aussi, est-ce une interprétation.
Nombreux sont les passages néotestamentaires qui valorisent le
célibat consacré ; par exemple :
Matthieu 19:12
Car il y a des eunuques qui le sont dès le ventre de leur mère ; il y en a qui le sont devenus par les hommes ; et il y en a qui se sont rendus tels eux-mêmes, à cause du royaume des cieux. Que celui qui peut comprendre comprenne.
ou
Apocalypse 14, 3
Et ils chantent un cantique nouveau devant le trône, et devant les quatre êtres vivants et les vieillards. Et personne ne pouvait apprendre le cantique, si ce n’est les cent quarante-quatre mille, qui avaient été rachetés de la terre. 4 Ce sont ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes, car ils sont vierges ; ils suivent l’agneau partout où il va. Ils ont été rachetés d’entre les hommes, comme des prémices pour Dieu et pour l’agneau ;
Mais ce qui est prôné le plus souvent c'est de figer la situation ; par exemple :
1-Corinthiens 7 20
Que chacun demeure dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. 21 As-tu été appelé étant esclave, ne t’en inquiète pas ; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt. 22 Car l’esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur ; de même, l’homme libre qui a été appelé est un esclave de Christ. 23 Vous avez été rachetés à un grand prix ; ne devenez pas esclaves des hommes. 24 Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé. 25 Pour ce qui est des vierges, je n’ai point d’ordre du Seigneur ; mais je donne un avis, comme ayant reçu du Seigneur miséricorde pour être fidèle. 26 Voici donc ce que j’estime bon, à cause des temps difficiles qui s’approchent : il est bon à un homme d’être ainsi. 27 Es-tu lié à une femme, ne cherche pas à rompre ce lien ; n’es-tu pas lié à une femme, ne cherche pas une femme. 28 Si tu t’es marié, tu n’as point péché ; et si la vierge s’est mariée, elle n’a point péché ; mais ces personnes auront des tribulations dans la chair, et je voudrais vous les épargner. 29 Voici ce que je dis, frères, c’est que le temps est court ; que désormais ceux qui ont des femmes soient comme n’en ayant pas, 30 ceux qui pleurent comme ne pleurant pas, ceux qui se réjouissent comme ne se réjouissant pas, ceux qui achètent comme ne possédant pas, 31 et ceux qui usent du monde comme n’en usant pas, car la figure de ce monde passe. 32 Or, je voudrais que vous fussiez sans inquiétude. Celui qui n’est pas marié s’inquiète des choses du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur ; 33 et celui qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de plaire à sa femme.
Inversement, il est difficile de lire chez saint Paul la même valorisation du mariage que dans le Judaïsme.
Clairement le mariage est présenté par le saint apôtre Paul comme un "moindre mal", si l'on ne peut pas faire autrement.
Petite remarque : Les Églises Orientales retiennent encore que l'épiscopos ou le diakonos est "mari d'une seule femme" et que ce lien est indéfectible. Dans ces Églises le mariage des prêtres est inconcevable. Ou bien sont ordonnés des moines ou bien sont ordonnés des homme mariés (et les prêtres célibataires non-moines sont de l'ordre de l'exception) dès lors les prêtres ne peuvent pas se marier.
Vous pouvez contester cette interprétation.
Mais si j'étais catholique et que je m'engageais dans une vie consacrée j'ai le sentiment que je ne pourrais pas prétendre ignorer cette Tradition et que, dès lors, mon engagement libre et éclairé vaudrait acceptation.
De part mon expérience personnelle, j'ai la plus grande compassion pour toutes celles et tous ceux qui ne parviennent pas à tenir leurs promesses faites à D.ieu, béni soit-Il.
Toutefois, bien que fort nombreuses, mes chutes ne m'encouragent pas à faire endosser une part de responsabilité ni à mon Église ni à D.ieu, béni soit-Il.
très cordialement
votre sœur
pauline
Auteur : medico
Date : 09 mars14, 03:04
Message : Attend le célibat des prêtres et un commandement de l'église.Au début les prétres pouvaient se marier.
la preuve.
Qualités demandées à l’évêque et aux diacres
1 Timothée •3 1 Une chose est sûre : si quelqu’un aspire à la charge d’évêque, il poursuit un but très noble. 2 Il faut donc que l’évêque soit sans reproche, homme d’une seule femme, chaste, maître de lui-même, correct, hospitalier, capable d’enseigner.
bible des peuples
Auteur : pauline.px
Date : 09 mars14, 03:21
Message : Bonjour Medico
medico a écrit :mais il n'est question de divorce dans se sujet.
Dans les Très Saintes Écritures, les relations matrimoniales ou, à l'inverse, l'adultère et la prostitution sont des figures fréquentes de la relation que vit l'humain à l'égard de D.ieu, béni soit-Il.
Pour décrire la fidélité à D.ieu, béni soit-Il, ou à l'Alliance, les Très Saintes Écritures parlent volontiers de Fiancé(e), d'Époux et d'Épouse...
Je crois que les religieux Catholiques reçoivent une alliance lors de la prononciation de leur vœux perpétuels.
Je ne crois pas inconvenant de dire que dans l'Église Catholique le prêtre est considéré comme un époux de l'Église et que les religieuses sont considérées comme fiancées du Christ.
Voilà pourquoi je n'hésite pas à voir dans cette rupture de vœux perpétuels une analogie avec le divorce.
Très cordialement
votre sœur
pauline
Auteur : pauline.px
Date : 09 mars14, 03:24
Message : Bonjour Medico,
medico a écrit :Attend le célibat des prêtres et un commandement de l'église.Au début les prétres pouvaient se marier.
la preuve.
Qualités demandées à l’évêque et aux diacres
1 Timothée •3 1 Une chose est sûre : si quelqu’un aspire à la charge d’évêque, il poursuit un but très noble. 2 Il faut donc que l’évêque soit sans reproche, homme d’une seule femme, chaste, maître de lui-même, correct, hospitalier, capable d’enseigner.
bible des peuples
Votre soi-disant "preuve" n'autorise nullement le
mariage des prêtres mais l'inverse :
l'ordination d'hommes mariés.
Très cordialement
votre sœur
pauline
Auteur : medico
Date : 09 mars14, 03:33
Message : voila le commentaire de la bible de Maredsous concernant 1Timothée 3:1
une fois marié ; le célibat des prêtres n'est devenu une loi que plus tard.
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