Auteur : Chrétien Date : 11 juil.15, 20:17 Message : Après avoir condamné un prêtre à 18 ans de réclusion criminelle pour actes de pédophilie sur 20 enfants, l'Eglise catholique c'est vu jugée à des dommages et intérêts de 120 millions de dollars aux Etats Unis ( http://www.lemonde.fr/religions/article ... 53130.html)...
Depuis l'année 2000, l'Eglise catholique lutte contre la pédophilie et cette année un conseil interne est chargé d'étudier les cas de pédophilie en son sein et de dénoncer à la justice les prêtres qui commettent cet acte odieu...
Espérons que toutes les Eglises et mouvements religieux suivent cet exemple !
Auteur : medico Date : 09 juin22, 01:54 Message : Abus sexuels : au Chili, l’Église catholique a perdu de son crédit
Enquête Le 11 juin 2018, le pape acceptait les premières démissions des évêques chiliens après qu’ils avaient tous remis leur charge sur fond de gestion calamiteuse des abus sexuels dans le pays. Quatre ans plus tard, l’Église apparaît embourbée dans une crise de confiance et de légitimité dont elle ne voit pas l’issue.
Marguerite de Lasa (à Santiago), le 09/06/2022 à 11:37
Lecture en 3 min.
Abus sexuels : au Chili, l’Église catholique a perdu de son crédit
Sur le chemin des 7 mots, qui représente les 7 dernières phrases que prononça Jésus lors de sa crucifixion, à Santiago (Chili), le 27 octobre 2019.
ADRIEN VAUTIER/LE PICTORIUM/MAXPPP
Lorsqu’elle fait une course dans le centre de Santiago, la capitale chilienne, Gina, 67 ans, s’arrête toujours à la cathédrale. Elle y reste vingt minutes, remercie le Seigneur pour sa santé, et confie son fils qui habite loin. Elle prie aussi tous les soirs chez elle. Mais à la messe, elle n’y va plus depuis une dizaine d’années. « Après tout ce qui s’est passé, tous les abus sexuels, nous n’avons plus confiance, s’exclame-t-elle. Comment aller à
Auteur : Marmhonie Date : 17 juin22, 20:53 Message : Je dirai plutôt que de la paranoïa chez ces témoins de Jéhovah radicalisés, de la haine formatée. La Watchtower est au bord de la ruine mondiale en préférant payer sous la table dix fois plus les victimes des pédophiles témoins de Jéhovah que de payer certes bien moins, mais officiellement devant un tribunal public de Justice pénale.
Les annonces sont illusoires, pour limiter la fuite des témoins de Jéhovah qui quittent la Watchtower en se moquant comme de l'an 40 des menaces sur les apostats. Ils sont désormais plus nombreux, organisés, protégés par les lois civiques des Droits de l'Homme.
Alors la Watchtower fait des annonces de progression constante. Mais quoi ? Le nombre de langues traduisant la plus mauvaise traduction du monde nouveau 2013 anglaise, dans, non plus des langues, mais des dialectes rares, voire inconnus. Derrière il n'y a aucun Béthel qui imprime, et on conçoit mal le natif perdu en pleine forêt équatoriale vierge, se connecter sur JW.ORG.
Il ne reste donc plus que la diffamation continuelle contre l'Eglise Catholique. Medico ressort de vieilles affaires alertées par les catholiques eux-mêmes. Pitoyable...
au fait, je n'ai toujours pas entendu le moindre témoin de Jéhovah demander pardon ici chez Eliaqim. Chez nous, les regrets sont là, écrits. Il y a bien diverses sortes de témoins de Jéhovah. Restez humains !
Auteur : medico Date : 17 juin22, 22:48 Message : Mais il faut dire ça au rédacteur du journal La Croix .
Auteur : Saint Glinglin Date : 17 juin22, 22:53 Message : La religion de Medico se limite à haïr les non-TJ.
Auteur : d6p7 Date : 17 juin22, 22:54 Message : Et à recopier des textes.
Auteur : medico Date : 18 juin22, 00:53 Message : Donc le journal La Croix n'aime pas les catholiques ?
Auteur : Marmhonie Date : 18 juin22, 17:46 Message :
medico a écrit : 18 juin22, 00:53
Donc le journal La Croix n'aime pas les catholiques ?
Je ne vois dans ce questionnement qu'une hypocrisie de plus pour cogner sans cesse sur la sainte Église.
Le groupe Bayard Presse auquel appartient le journal La Croix est œcuménique, mettant à égalité Bouddha, Mahomet, Jésus, etc. Il n'est pas catholique, évidemment. Je n'ai encore jamais vu un prêtre offrir d'anciens numéros au sortir de son église.
Auteur : RT2 Date : 19 juin22, 00:09 Message :
Marmhonie a écrit : 18 juin22, 17:46
Je ne vois dans ce questionnement qu'une hypocrisie de plus pour cogner sans cesse sur la sainte Église.
Le groupe Bayard Presse auquel appartient le journal La Croix est œcuménique, mettant à égalité Bouddha, Mahomet, Jésus, etc. Il n'est pas catholique, évidemment. Je n'ai encore jamais vu un prêtre offrir d'anciens numéros au sortir de son église.
Tu veux dire que à tes yeux cee journal représente une part totalement corrompue que tu ne peux pas considérer comme faisant partie de ton Eglise ?
Bien entendu ces journalistes qui sont cités sont tous d'horribles profanateurs. Après tout vive la guerre mondiale puisque tout va se résumer en un gigantesque rapport de forces.
Pourtant il ne me semble pas que te sois montré si véhément quand ça s'appliquait aux TJ. Deux poids deux mesures chez toi ?
Auteur : Marmhonie Date : 19 juin22, 18:22 Message :"La Croix est un quotidien de langue française, assez souvent considéré comme le journal officieux de l’épiscopat français, et qui n'est plus catholique depuis des décennies." (Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne) Source
Auteur : medico Date : 27 juin22, 03:13 Message : Donc tu ne vas pas croire que c'est devenu un journal anti catholique primaire.
Auteur : medico Date : 09 oct.22, 04:06 Message : Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage en haut à droite de celui-ci.
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Un an du rapport Sauvé sur la pédocriminalité dans l’Eglise : ce qui a été fait, ce qu’il reste à faire
Le 5 octobre 2021 était publié un rapport accablant sur les violences sexuelles dans l’Eglise. Depuis, si de nombreux chantiers avancent, certaines associations dénoncent les lenteurs de l’institution, notamment en matière d’indemnisation.
Par Gaétan Supertino(avec AFP)
Publié le 05 octobre 2022 à 16h30
Temps deLecture 4 min.
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Il y a un an était publié le rapport choc de la « commission Sauvé », démontrant l’ampleur de la pédocriminalité dans l’Eglise catholique depuis 1950. Au total, selon l’estimation de la commission, 216 000 personnes aujourd’hui majeures auraient été agressées par un prêtre ou un religieux alors qu’elles étaient mineures.
Le chiffre monte à 330 000 si l’on inclut les victimes de laïcs liés à l’Eglise catholique (catéchistes, encadrants scolaires ou de mouvements de jeunes, etc.). « Séisme », « ouragan », « commotion » : lors de la diffusion de ces chiffres, les responsables catholiques ne manquaient pas de qualificatifs pour témoigner de leur consternation.
Un an plus tard, l’heure est au premier bilan. Si un certain nombre de mécanismes de réparation ont été mis en place, le rythme est trop lent aux yeux de certaines victimes et associations.
Ce qui a déjà été mis en place
Le rapport Sauvé avait émis quarante-cinq recommandations. Certaines ont été immédiatement suivies d’effet : l’Eglise a par exemple, dès novembre 2021, reconnu sa « responsabilité institutionnelle », ainsi que le caractère « systémique » des violences.
L’institution a également « décidé d’engager un processus de reconnaissance de la qualité de victime et de réparation des dommages commis en son sein ». Un processus qui répond au fait que, dans de nombreux cas, les victimes n’ont aucun recours, en raison de la mort de l’agresseur ou de la prescription des faits.
Lire aussi : Article réservé à nos abonnés « Pour les victimes de la pédocriminalité dans l’Eglise, la réparation financière est nécessaire et doit être systématique »
Une Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (Inirr) a été créée pour identifier et indemniser les victimes de prêtres et de laïcs. Les évêques ont « pris la mesure de l’ampleur du phénomène », assure aujourd’hui Eric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France (CEF). Ils « se sont mis au travail ».
« Les institutions ont aussi fait leur travail », abonde sœur Véronique Margron, présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France (450 congrégations), qui a également mis sur pied une Commission reconnaissance et réparation (CRR), chargée de faire de la médiation entre victimes et instituts religieux, fixant à ces derniers d’éventuelles réparations financières.
45 victimes ont eu ou vont bientôt recevoir une réparation, sur un total de 1 004 demandes de réparation
Un an après la publication du rapport, quarante-cinq victimes ont eu ou vont recevoir prochainement une réparation financière, sur un total de mille quatre demandes de réparation, a annoncé vendredi 30 septembre la présidente de l’Inirr, Marie Derain de Vaucresson. Côté CRR, sur quatre cents dossiers relevant de sa compétence, « au moins quinze victimes ont été payées par les congrégations religieuses », dont quatre portent sur la tranche 50 000-60 000 euros.
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Auteur : Saint Glinglin Date : 09 oct.22, 04:12 Message : Naturellement, il n'y a pas de pédophilie chez les JT sinon Medico piétinerait la parole du Christ sur la paille et la poutre...
Auteur : medico Date : 09 oct.22, 04:57 Message : Le problème c'est que ce sujet concerne l'église catholique.
Mais comme a ton habitude maladive tu fais dévier le sujet.
Auteur : Saint Glinglin Date : 09 oct.22, 07:10 Message : C'est toi qui a une haine maladive de l'Eglise.
medico a écrit : 09 oct.22, 04:57
Le problème c'est que ce sujet concerne l'église catholique.
Mais comme a ton habitude maladive tu fais dévier le sujet.
Certe le sujet dérive ... perso je le reconnais volontier !
Mais regarde toi attentivement dans un miroir ... et plonge ton regard dans tes propres miasmes !
Parce que ce qui nous fait réagir c'est ton attitude !!!
Je pense que nous condamnons toutes et tous les crimes et délit que certains commette et particulièrement ceux odieux de cette sous section
la pédophilie !
Nonobstant cela , chacun peut constater que toi , tu n'as de cesse que te salir et taper sur les seules religions qui te déplaisent car lorsqu'il s'agit de la Watchtower et des Témoins de Jéhovah tu es alors aux abonnés absents !!!!
Si tu etais plus juste dans tes jugements , nous serions bien moins enclins à te montrer ta propre merde mon ami ...
d'ailleurs en parlant de justice ... il me semble bien que tu as du zappé la "Justice" à la sauce Jéhoviste des semaine qui viennent ...
Je cite
4 Certains se considèrent comme justes alors qu’ils sont orgueilleux ou critiques envers les autres, ou qu’ils pensent être mieux qu’eux. Mais Dieu déteste ces traits de caractère. Quand Jésus était sur terre, il a condamné les chefs religieux, qui établissaient leurs propres normes de justice (Eccl. 7:16 ; Luc 16:15). Une personne qui se croit plus juste que les autres est donc tout sauf juste.
Cependant, il me semble bien que depuis quelques temps je t'averti de la poutre dans ton oeil .. mais come tu te trouve juste à tes yeux qui oblitère allégrement ce détails .....
Sacré médico ....
Cordialement
Auteur : medico Date : 10 oct.22, 01:06 Message : Un an après la Ciase, la force du déni
Le travail de vérité dans l’Église sur la question des abus se heurte encore à de fortes résistances spirituelles dans les diocèses comme dans les communautés.
Florence Chatel, le 05/10/2022 à 09:54
Lecture en 4 min.
Un an après la Ciase, la force du déni
A believer reacts while praying during a mass in the Cathedral of Lucon, western France, on March 14, 2021, organised after the unveiling ceremony of a plaque in tribute to children victims of sexual abuse by priests. (Photo by LOIC VENANCE / AFP)
« Certains réagissent de manière violente quand on reprend ce qu’a montré la Ciase », s’étonne le dominicain Gilles Berceville. Même si, comme il le reconnaît, « les choses ont profondément changé, la parole s’est libérée », et si « l’on ne considère pas aujourd’hui qu’une révélation d’abus et d’agression sexuelle est une attaque contre l’Église de la part de personnes malveillantes », il n’en demeure pas moins des formes de déni dans l’Église, un an après la publication du rapport Sauvé. D’où viennent ces résistances au travail de vérité ?
À lire aussiIl y a un an, la déflagration du rapport Sauvé
« Des chrétiens ont du mal à admettre que cela interroge notre manière de vivre dans l’Église. Leurs repères sont ébranlés », avance le père Gilles Berceville. « On touche à la figure du prêtre dont ils ont une expérience heureuse. C’est comme si l’on attaquait leurs parents », poursuit ce théologien.
Une conception naïve de la sainteté de l’Église a aussi pu générer de l’incompréhension. Des personnes ont ainsi vécu la remise en cause de leur représentation de l’Église comme si leur foi était attaquée. « Nous devons comprendre le déni. Ce qui est moins acceptable, c’est quand il provient de catholiques ayant les moyens de vérifier les choses dans des groupes qui gardent ainsi une forme d’emprise sur les personnes ; ou quand cela vient d’Églises, ailleurs qu’en France, qui éprouvent beaucoup de réticence à l’idée de faire la même opération vérité chez elles », exprime le père Gilles Berceville.
À lire aussiVéronique Margron : « Nous sommes devant une multitude de chantiers »
Ainsi, peu après la sortie du rapport, des membres de l’Académie catholique de France ont remis en cause la méthodologie de la Ciase, notamment les évaluations chiffrées du rapport de l’Inserm en annexe du rapport Sauvé. « Pourtant, le père Hans Zollner, directeur de l’Institut d’anthropologie de l’Université grégorienne à Rome, a confirmé que ces résultats étaient tout à fait plausibles parce que correspondant à la situation du catholicisme dans le monde », note encore le dominicain.
Ce type de déni met en colère le jésuite Thierry Dobbelstein, adjoint du Provincial d’Europe occidentale francophone jusqu’en juillet dernier. « J’ai rencontré une centaine de victimes, témoigne-t-il. J’ai l’intime conviction que ce n’est que la pointe de l’iceberg. Combien faut-il de rapports, de témoignages pour que les gens arrêtent de minimiser les faits et de discuter les chiffres ? Quand bien même, il n’y aurait eu que 50 victimes, c’est 50 de trop. Il ne s’agit pas de chicaner sur des chiffres, mais de reconnaître des torts qui ne sont pas seulement individuels. »
À lire aussiJean-Marc Sauvé : « Nous avons été confrontés au mystère du mal »
La révélation du caractère systémique des abus et des agressions sexuelles dans l’Église est en effet ce qui suscite le plus de résistance. « La dimension systémique remet en cause le fonctionnement de l’Église, donc les structures, et la place des uns et des autres en leur sein. C’est pourquoi on rencontre autant de résistance du côté des ministres ordonnés que des fidèles laïcs », explique Frédérique Poulet, vierge consacrée du diocèse d’Angers qui enseigne la théologie aux Bernardins.
Également professeur de théologie à l’ICP et aux Bernardins, et vicaire à Saint-Jacques du Haut-Pas, le père David Sendrez remarque en paroisse « beaucoup de bonne volonté pour faire mieux, mais une difficulté à appréhender cette réalité traumatique en profondeur et à réagir ». Et de détailler plusieurs raisons à cela dont « l’absence de contre-pouvoirs dans l’Église qui provoque un système de cour complaisante à peu près partoutetla persistance d’une attente messianique de la personne providentielle du fait de la baisse des effectifs ».
Dans une communauté touchée en ses racines par un fondateur déviant et coupable d’agressions sexuelles, il est ainsi très douloureux et difficile de reconnaître que le fondateur a pu nuire autant parce qu’il existait autour de lui un système complice. « Les personnes doivent se délivrer d’un lien d’emprise exercé par la figure du fondateur voire par le groupe tout entier. Cela représente un effort considérable », reconnaît le père Gilles Berceville.
Religieuse dans un tel institut, une sœur, victime d’agression sexuelle par un frère de sa congrégation, témoigne : « Nous avons du mal à accepter qu’il s’agisse d’un système. On a parfois l’impression qu’il faut enlever trois pommes pourries du panier pour que tout rentre dans l’ordre. Nous avons peur de regarder la vérité de ce qui s’est passé dans notre communauté par crainte de nous effondrer et de n’être plus sûres d’un avenir possible. On est sorti du déni absolu. Mais un autre déni est présent : la minimisation. » Par exemple, elle a pu entendre dire que les victimes exagèrent, sont fragiles psychologiquement ; c’est pourquoi elles se sont fait avoir.
VIDÉO.« Certaines propositions des fidèles m’ont surpris », l’après-rapport Sauvé dans une paroisse
Cette minimisation se fonde, pour certaines sœurs, sur une ignorance de la réalité des faits. « Je comprends que mes supérieures soient dans une position délicate et que chaque sœur avance à son rythme. Je regrette qu’on n’ait pas organisé d’écoute officielle de témoignages de sœurs victimes en communauté. Les sœurs qui le voulaient ont pu lire des témoignages ou entendre des verbatims anonymes, mais ces derniers sont informatifs, pas performatifs ».
Pour sortir du déni, il faut, à ses yeux, « se laisser toucher aux tripes ». « Quand j’ai osé témoigner devant ma communauté locale, des sœurs m’ont exprimé que cela changeait tout. Entendre leur indignation m’a fait beaucoup de bien. En revanche, certaines de mes supérieures m’ont dit : “Nous sommes contentes que tu sois passée de victime à témoin. Après la croix vient la lumière” », confie-t-elle en dénonçant une utilisation abusive du langage spirituel qui est une autre manière de ne pas vouloir voir. « On n’arrive pas à regarder la réalité crue de ce qui s’est passé si on spiritualise trop, constate-t-elle encore. La recherche de l’unité et de la paix prime encore trop sur la justice. Il faut sauver la communauté en essayant de marcher sur une troisième voie entre celle du déni et celle des victimes. Mais l’Évangile n’a jamais été une troisième voie entre les pharisiens et les petits. C’est la voie des fragiles et des victimes. Je ne comprends pas que l’on n’arrive pas à l’intégrer. » Changer de regard est une affaire de conversion.
En clair: il ne s'agit pas d'un phénomène d'église mais d'un phénomène de société.
Mais si vous allez voir les violences sexuelles en afrique, vous comprendrez la différence de société !
D'après un sondage établi par l'ONU entre 1998 et 2000, l'Afrique du Sud a le plus fort taux mondial de viol par habitant1. Ce sondage estime qu'une femme née en Afrique du Sud a plus de risque d'être violée que de chance d'apprendre à lire. En 1998, une femme sur trois sur les 4 000 femmes interrogées à Johannesburg a été violée, selon CIET Afrique.
Plus de 25 % des hommes sud-africains interrogés en 2009 par le Conseil de recherche médicale d'Afrique du Sud admettent avoir déjà violé quelqu'un. Et parmi eux, presque la moitié dit avoir violé plus d'une personne.(https://fr.wikipedia.org/wiki/Violence_ ... que_du_Sud)
L'un n'excuse pas l'autre.
Les pays européens ont fait de remarquable progrès en la matière ces 200 dernières années et en font encore.
Auteur : medico Date : 11 oct.22, 16:37 Message : Le prêtre soupçonné de pédophilie à Lourdes est-il toujours au contact d’enfants ?
ABONNÉS
Vue de l'extérieur de la maison Saint-Ignace.Vue de l'extérieur de la maison Saint-Ignace. DDM - Gaëtane Rohr
Faits divers, Lourdes, Hautes-Pyrénées
Publié le 11/10/2022 à 16:23 , mis à jour à 18:03
l'essentielL’abbé G., soupçonné d'actes de pédophilie au sein de la mission de la Fraternité Saint Pie X au Gabon, est réfugié à Lourdes. Un appel anonyme l’accuse d’être toujours au contact d’enfants. https://www.ladepeche.fr/2022/10/11/lou ... 729040.php
Auteur : keinlezard Date : 11 oct.22, 20:26 Message : Hello
les anciens réintégré apres une fautes reconnu d'abus sur enfant .. voir la liste du CRA en australie
étaient ils toujours au contacts avec des enfants ...
réponse de la WT OUI !! Car ils se sont sincérement repentis .. et donc ont été pardonné
les Pédophiles TJ qui ne reconnaissent pas leur crimes sont ils toujours au contacts des enfants ?.
Réponse de la WT oui ! Car il faut 2 témoins pour qu'un cas soit jugé !!!
Hypocrite !!!
LA POUTRE DANS TON OEIL MEDICO !!!
Tu te trouve juste à tes propres yeux !!!
Cordialement
Auteur : medico Date : 14 oct.22, 01:54 Message : Pédocriminalité dans l’Église : « L’État doit s’en saisir »
Reportage Un an après la déflagration du rapport Sauvé qui dénombrait 330 000 victimes de pédocriminalité dans l’Église, le mouvement Be Brave France a dénoncé l’inaction du gouvernement, devant le ministère de la justice.
Margo Magny, le 13/10/2022 à 19:56
Lecture en 3 min.
Pédocriminalité dans l’Église : « L’État doit s’en saisir »
En France, le rapport de la Ciase du 4 octobre 2021 a dénombré 330 000 victimes de pédocriminalité dans l’Église depuis les années 1950.
THOMAS COEX/AFP
« J’ai été victime de pédocriminalité de la part d’un prêtre de mes 8 ans à mes 11 ans. Aujourd’hui je souffre d’une pathologie cardiaque et respiratoire. On veut notre mort, c’est ça ? » Arnaud Gallais, cofondateur du mouvement Be Brave France, commence à répondre aux questions des journalistes, la voix tremblante. Il fait partie des 330 000 victimes de pédocriminalité dans l’Église, comptabilisées par le rapport Sauvé .
La Croix
200 % d'accord avec toi ... le problème est que sous ta plume ce genre d'article ne concerne
que ce qui n'est pas TJ ...
Car pour ce qui est du jéhovisme force est de constater que les gourous fuient lachement
leur rôle sur ce sujet
Geritt Loesch qui affirme ne rien savoir allant jusqu'à affirmer que la WT "n'a pas et n'a jamais eu aucune autorité sur lui"
Stephen Lett affirmant "ce sont des mensonges d'apostat et d'opposant" quand avec Herd ou Sanderson
ce n'est pas des "mensonges des médias"
Que dire de Geoffrey Jackson qui doit être menacé d'emprisonnement pour pouvoir témoigner devant la Commission Australienne et répondant souvent à coté des questions des juges présent et cela même sur des "vérités" bilblique à croire que son Dieu était occupé ailleurs ... et cela sans ommettre les mensonges des Responsable TJ australien pour tenter de soustraire Jackson à la CRA !!!
Cela Dit , totalement d'accord avec toi !!
Pédocriminalité dans l’Église : « L’État doit s’en saisir »
Reportage Un an après la déflagration du rapport Sauvé qui dénombrait 330 000 victimes de pédocriminalité dans l’Église, le mouvement Be Brave France a dénoncé l’inaction du gouvernement, devant le ministère de la justice.
Margo Magny, le 13/10/2022 à 19:56
Lecture en 3 min.
Pédocriminalité dans l’Église : « L’État doit s’en saisir »
En France, le rapport de la Ciase du 4 octobre 2021 a dénombré 330 000 victimes de pédocriminalité dans l’Église depuis les années 1950.
THOMAS COEX/AFP
et soyons même plus exigeant , les "Eglises" qui n'ont pas été en mesure de proteger les enfants , doivent voir leur status exemptoire d'impots retiré ...
Pas seulement , l'église catholique , mais l'ensemble des "Eglises" et des "associations" concernées !!
Cordialement
Auteur : medico Date : 24 oct.22, 00:33 Message : Abus dans l’Église : les évêques désemparés par l’affaire Santier
Enquête Alors que de nouvelles victimes de Mgr Michel Santier se manifestent, les évêques de France sont partagés entre la colère et la détermination. Toujours engluée dans une culture du secret, l’Église peine à trouver un mode de communication adapté à la crise de confiance qu’elle traverse. https://www.la-croix.com/Religion/Abus- ... 1201238819
Auteur : medico Date : 28 oct.22, 01:55 Message : Abus sexuels : une sanction visant un prêtre de Versailles révélée quelques jours après sa mort
Enquête Le 13 octobre, l’évêché de Versailles annonçait à ses prêtres qu’une figure du diocèse, le père Jean-Jacques Villaine, décédé quatre jours plus tôt, avait fait l’objet de « sanctions canoniques » après une plainte pour des violences sexuelles. La victime exprime sa « révolte » devant une communication restreinte et tardive qui résonne avec l’affaire Santier.
La Croix.
Ajouté 22 heures 26 minutes 14 secondes après :
Auteur : medico Date : 30 oct.22, 05:05 Message : Au rassemblement d’Agir pour notre Église, le constat que « rien n’a vraiment changé »
Reportage À l’initiative du collectif Agir pour notre Église, un rassemblement a eu lieu samedi 29 octobre à Paris pour « interpeller » les évêques sur les cas d’abus sexuels et leur traitement par l’Église, à quelques jours de leur Assemblée plénière à Lourdes. Un an après la Ciase, les participants regrettent le manque de changements au sein de l’institution.
La Croix.
Auteur : Marmhonie Date : 04 nov.22, 08:00 Message : À matraquer systématiquement l'Église catholique d'une haine incroyable, tu as effondré tout simplement ton propre forum des Témoins de Jéhovah parce qu'il arrive un moment où il faut savoir aussi balayer devant le pas de sa porte avant de regarder chez les autres. J'avoue que je ne comprends absolument pas ta stratégie suicidaire. Tu as fini d'écœurer tout ton monde. J'ai donc seulement envie de te répondre sur ce sujet de matraquage contre l'Église catholique qui est ton fond de commerce : Et chez les Témoins de Jéhovah ?
Sur ce porte-toi bien, et moi aussi.
Auteur : indian Date : 04 nov.22, 08:10 Message : Des parallèles intéressants peuvent être tirés entre le schisme qui entraina la ''formation'' de la secte qu'est l'église catholique et le schisme qui donna ''naissance'' à la secte des témoins de Jehovah.
Il s'agit de deux hérésies théologiques... mais qui ont leur propre parcours indépendants.
Les dogmes, cultes et doctrines ne sont pas les meme certes..mais les deux sectes se revendiquent du '''christianisme''..
Il est clair qu'aucune de ces théologies serait ''acceptée'' par Jesus, aujourd'hui. Il les chasserait de leurs ''temples'' respectifs , c'est sûr.
Auteur : medico Date : 07 nov.22, 07:19 Message : Lors d'une conférence de presse, Mgr Eric de Moulins-Beaufort a fait lecture d'un communiqué du cardinal Ricard dans lequel celui-ci reconnait une « conduite répréhensible » à l'encontre d'une jeune fille de 14 ans alors qu'il était curé dans le diocèse de Marseille.
Alors que l’Eglise est secouée depuis plusieurs semaines par l’affaire Santier, Mgr Éric de Moulins-Beaufort a souhaité tenir une conférence de presse à Lourdes dédiée à la lutte contre les abus. Le président de la Conférence des évêques de France a révélé un communiqué du cardinal Ricard où celui-ci avoue avoir eu une « conduite répréhensible » il y a 35 ans à l’encontre d’une jeune fille de 14 ans alors qu’il était vicaire en paroisse à Marseille, avant d’en être le vicaire général. Le cardinal précise « lui avoir demandé pardon » pour les conséquences graves et durables que son comportement a pu causer dans sa vie, et lui renouvelant cette demande de pardon. L'ancien archevêque de Bordeaux annonce se mettre à la disposition de la justice.
Le communiqué du cardinal Ricard
L’Église de France dans la tourmente des abus
Ces révélations interviennent au cœur d’une assemblée plénière d'automne des évêques de France déjà bouleversée par plusieurs affaires. Les révélations sur les sanctions et la mauvaise gestion de l'affaire Santier ont suscité l'indignation de nombreux fidèles qui ont appelé à manifester leur colère sur les réseaux sociaux et dans leurs diocèse. Durant cette assemblée, le diocèse de Bayeux a aussi annoncé le retrait de son vicaire général en raison de faits « contraires à ses engagements ecclésiastiques »
Abus dans l’épiscopat : 11 cas révélés
Mgr de Moulins-Beaufort a aussi annoncé l'existence d'autres cas d'abus au sein de l'épiscopat français. Outre huit cas désormais connus du public, y compris ceux concernant Mgr Santier et le cardinal Ricard, deux enquêtes civiles et canoniques sont en cours concernant des évêques « plus en fonction ». Un autre prélat français fait actuellement l’objet d’un signalement au procureur de la République et a reçu des mesures de restriction de son ministère de la part du Saint-Siège.
Mgr Ricard, archevêque émérite de Bordeaux depuis 2019
Mgr Ricard est né le 25 septembre 1944. Il étudie la philosophie au Grand séminaire de Marseille, avant d’étudier à Paris au Séminaire universitaire des Carmes (1964) et à l’Institut catholique de Paris. Il effectue une année de coopération à Bamako au Mali.
Ordonné prêtre à 24 ans, le 5 octobre 1968, il est vicaire puis curé dans différentes paroisses de Marseille entre 1970 et 1989. En parallèle, il est, de 1975 à 1981, chargé de l’enseignement religieux et de la formation des prêtres et des laïcs. Après avoir été vicaire épiscopal de la zone Marseille-Sud, il est nommé vicaire général du diocèse de Marseille, fonction qu’il occupe de 1988 à 1993.
C’est le 17 avril 1993 qu’il reçoit sa première nomination épiscopale. Consacré évêque le 6 juin 1993, il devient évêque-auxiliaire de Grenoble de 1993 à 1996. Il est ensuite nommé évêque-coadjuteur de Mgr Louis Boffet, évêque de Montpellier de 1996 à 2001, puis archevêque de Bordeaux et Bazas de 2001 à 2019. Mgr Ricard est créé cardinal le 24 mars 2006.
Le pape François accepte la démission pour raison d’âge de Mgr Ricard (75 ans), le 1er octobre 2019. Il se met au service du diocèse de Digne.
Responsabilités
Le cardinal Ricard a exercé plusieurs missions dans l’Église. Au sein de la Conférence des évêques de France, dont il assure la présidence de 2001 à 2007, il est membre de différents comités et commissions comme le Comité épiscopal des migrants (1990-1993), la Commission épiscopale des ministères ordonnés (CEMIOR), évêque accompagnateur du comité national du diaconat (1994-1996), Commission épiscopale pour l'Unité des chrétiens (1996-1997), membre du Conseil permanent en 1997, membre du Comité épiscopal pour l'information et la communication, membre du Comité épiscopal de la Mission de France.
Au Vatican, Mgr Ricard est intègre la commission pontificale Ecclesia Dei le 15 juillet 2002. Nommé cardinal par le pape Benoît XVI, le 24 mars 2006, il devient membre du Conseil pontifical pour la culture le 17 janvier 2009, du Dicastère pour la Promotion de l’Unité des Chrétiens le 21 janvier 2010, puis du Dicastère pour la Doctrine de la Foi et membre du Dicastère pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements le 6 juillet 2010 et enfin du Conseil cardinalice pour les questions administratives et économiques du Saint-Siège le 22 octobre 2011. De 2014 à 2020, il est nommé membre du Conseil pour l’économie par le pape François. https://www.ktotv.com/article/abus-card ... une%20conférence%20de,dans%20le%20diocèse%20de%20Marseille
Auteur : medico Date : 10 nov.22, 02:04 Message : Un prêtre mis en examen pour viol aggravé sur un adolescent et écroué
Par Le Figaro avec AFP
Publié il y a 31 minutes, mis à jour il y a 22 minutes
Le prêtre mis en examen dimanche 6 novembre à Paris pour viol aggravé sur un adolescent, officiait dans le diocèse de Rennes.
Le prêtre mis en examen dimanche 6 novembre à Paris pour viol aggravé sur un adolescent, officiait dans le diocèse de Rennes. Brian Jackson / stock.adobe.com
Le parquet de Paris a également annoncé une mise en examen pour «pour mise en danger d'autrui et usage illicite de produits stupéfiants» pour ce même prêtre.
Un prêtre a été mis en examen dimanche à Paris pour viol aggravé sur un adolescent et provocation de mineur à l'usage de stupéfiants et placé en détention provisoire, a indiqué jeudi 10 novembre le parquet de Paris, confirmant une information de RTL.
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Ce prêtre qui officie au sein du diocèse de Rennes, né en 1970, a également été mis en examen pour mise en danger d'autrui et usage illicite de produits stupéfiants, pour des faits commis dans la nuit du 3 au 4 novembre 2022, selon cette source.
À lire aussiAffaire Ricard : Éric de Moulins-Beaufort nie toute dissimulation
Il est soupçonné d'avoir administré une substance à l'adolescent à son insu afin d'altérer son discernement et le contrôle de ses actes. Selon une source proche du dossier, le prêtre et le mineur, âgé de 15 ans, auraient fait connaissance sur l'application de rencontres Grindr et se seraient retrouvés dans la capitale.
Ils seraient montés dans une chambre d'hôtel dans laquelle le prêtre aurait proposé plusieurs drogues au jeune garçon qui l'auraient rendu malade. Après avoir eu une relation sexuelle, l'adolescent aurait alerté des amies qui sont parvenues à le géolocaliser grâce à son portable, permettant aux pompiers de le secourir, selon RTL. En garde à vue, le prêtre aurait assuré ignorer l'âge du garçon, ce dernier ayant indiqué être majeur sur l'application Grindr, indique la radio. https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... e-20221110
Auteur : Marmhonie Date : 10 nov.22, 10:47 Message :
medico a écrit : 10 nov.22, 02:04Un prêtre mis en examen pour viol aggravé sur un adolescent et écroué.
Ce n'est que le strict minimum qu'il fallait faire et qu'il aurait fallu faire depuis très longtemps en France. Les nouvelles technologies apportent des sécurités accrues.
Nous ne demandons rien d'autre que l'application publique de la loi, et pleurons d'abord les victimes, les familles de victimes, car c'est toujours épouvantable… Laissons l'enquête judiciaire suivre son cours, pour la remise du dossier final complet au pénal.
Il y a en parallèle un autre pas décisif à mettre en place. Bon nombre de pédophiles furent enfants des victimes de viols. Il me semble que (1) le suivi psychiatrique sous contrôle est nécessaire avec des (2) obligations évidentes de résultats.
Ce n'est évidemment qu'un avis personnel qui n'engage que ma pauvre personne qui n'est rien
Auteur : medico Date : 01 déc.22, 21:56 Message : Violences sexuelles : des catholiques de France, entre colère et accablement
Après les révélations sur des agressions commises par des évêques, des fidèles racontent un ras-le-bol généralisé, la méfiance envers les prêtres qui grandit et leur espoir d’une reconstruction de l’Eglise.
Auteur : Saint Glinglin Date : 01 déc.22, 22:02 Message : Mt 7.5 Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton oeil, et alors tu verras comment ôter la paille de l'oeil de ton frère.
Saint Glinglin a écrit : 01 déc.22, 22:02
Mt 7.5 Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton oeil, et alors tu verras comment ôter la paille de l'oeil de ton frère.
Il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir parait-il.
Mais avec nos amis TJ non seulement, ils ne veulent pas voir, pas entendre , ni même s'exprimer sur ce sujet qui les touche tout autant que les autres.
A ce niveau là ce n'est même plus de l'hypocrisie , je ne suis même pas sur que cela porte un nom.
Je suis partagé entre l'effarement le plus complet et l'incrédulité
Et dire que cela ne leur pose aucun problème , mais alors vraiment aucun, ce soir nos amis pourront se regarder dans la glace en pensant le plus """""honnêtement"""" du monde "j'ai glorifier le nom de mon Dieu" !
Cordialement
Auteur : medico Date : 02 déc.22, 07:31 Message : Scandales sexuels dans l’Eglise : « La situation est vraiment critique », décrit la sociologue Céline Béraud
Les récentes affaires de violences sexuelles qui frappent l’Eglise de France unissent les différents courants du catholicisme autour de la même indignation, et sapent toute légitimité de l’épiscopat à se faire entendre, estime la sociologue dans un entretien au « Monde ». https://www.lemonde.fr/idees/article/20 ... 7059162465
Auteur : Saint Glinglin Date : 02 déc.22, 07:45 Message :
Jésus a écrit :
Mt 7.5 Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton oeil, et alors tu verras comment ôter la paille de l'oeil de ton frère.
Auteur : medico Date : 08 déc.22, 04:52 Message : Abus sexuels : tenir dans la foi
Spiritualité Une crise qui n’en finit pas. Après les récentes révélations qui touchent la tête de l’Église de France, comment ne pas quitter la barque ? Pourtant, des chrétiens témoignent de leur volonté de tenir bon.
Christophe Henning, le 08/12/2022 à 16:35.
La CROIX
Auteur : medico Date : 11 déc.22, 21:05 Message : Gestion des abus, secret des sanctions… la présidence des évêques français doit rencontrer le pape ce lundi
Analyse Trois évêques français se rendent à Rome du lundi 12 au mercredi 14 décembre, un mois après l’Assemblée plénière de Lourdes, au cours de laquelle les affaires concernant Mgr Santier et le cardinal Ricard avaient monopolisé toute l’attention. Mgr de Moulins-Beaufort, Mgr Blanchet et Mgr Jordy souhaitent soumettre au Vatican un certain nombre de « dysfonctionnements » de la Curie dans la gestion de ces cas.
Loup Besmond de Senneville (à Rome), le 11/12/2022 à 12:2
La Croix.
medico a écrit : 11 déc.22, 21:05
Gestion des abus, secret des sanctions… la présidence des évêques français doit rencontrer le pape ce lundi
Analyse Trois évêques français se rendent à Rome du lundi 12 au mercredi 14 décembre, un mois après l’Assemblée plénière de Lourdes, au cours de laquelle les affaires concernant Mgr Santier et le cardinal Ricard avaient monopolisé toute l’attention. Mgr de Moulins-Beaufort, Mgr Blanchet et Mgr Jordy souhaitent soumettre au Vatican un certain nombre de « dysfonctionnements » de la Curie dans la gestion de ces cas.
Loup Besmond de Senneville (à Rome), le 11/12/2022 à 12:2
La Croix.
La poutre dans ton oeil médico ... ah satané poutre ...
combien de TJ sont aux courants dans les congrégations de la faute commises par un TJ excommunié puis réintégré ?
Combien Médico toi qui est ancien et particie donc pleinement à cette masquarade !!!
Et tu as le culot de nous copier coller ce genre d'accusation sur les autres obédiences ?
Ici visiblement ce n'est plus par accident ou aveuglement .. ton attitude est réfléchie et voulue ... c'est ce que tu es !!!!
Cordialement
Auteur : ESTHER1 Date : 11 déc.22, 23:47 Message : Avec la Papauté on nous mène en bateau depuis plus de 2ooo ans. . . . . . . .
ESTHER1 a écrit : 11 déc.22, 23:47
Avec la Papauté on nous mène en bateau depuis plus de 2ooo ans. . . . . . . .
Le problème ici n'est pas vraiment la papauté, il me semble , à tout le moins ce n'est pas celui que tente de nous vendre médico
Il est plutot dans une attitude de "je dénonce à tout va" et dans le même temps oublies de se regarder dans un miroir
Quant à la Papauté c'est le cas de toutes les religions ... pas seulement les Cathos.
Toutes les religions avec un pouvoir accordé à des hommes qui le détourne à leur profit ...
Rien que le fait de considérer que les hommes tuent ou persécutent d'autres avec l'excuse de la religion est déjà bien curieux ... comme si leur Dieu , le mec qui a selon eux
créé l'Univers , pas le clafouti de tante Berthe , mais bien tout l'Univers ... ce mec là à besoin des hommes pour faire "respecter sa parole" ...
Si personne ne trouve cela curieux ... que dire ?
Cordialement
Auteur : Saint Glinglin Date : 11 déc.22, 23:57 Message :
ESTHER1 a écrit : 11 déc.22, 23:47
Avec la Papauté on nous mène en bateau depuis plus de 2ooo ans. . . . . . . .
Cela donne envie de trouver un article sur les pédophiles mormons.
Auteur : medico Date : 15 déc.22, 21:19 Message : Sanctions de l’Église contre les prêtres : faut-il les publier ?
Explication L’« affaire Santier » a relancé le débat sur l’opportunité de révéler aux fidèles les sanctions canoniques dont font l’objet prêtres, religieux, évêques… Le droit de l’Église ne prévoit pas toujours le secret des sentences. Cette culture de non-divulgation des sanctions – qui s’est imposée par la pratique – est désormais remise en question.
Héloïse de Neuville avec Clément de La Vaissière, le 15/12/2022 à 12:07 https://www.la-croix.com/Religion/Sanct ... 1201246699
Toujours cette Satané poutre ... mon pauvre ami médico ...
Je reprend en l'adaptant, ta citation
Sanctions de La Watchtower contre les Anciens : faut-il les publier ?
Explication L’« affaire Conti/Lopez ... Commission Royale Australienne » a relancé le débat sur l’opportunité de révéler aux fidèles les sanctions canoniques dont font l’objet les anciens , ministres du cultes, Témoins de jéhovah de base ... Le droit de la Watchtower ne prévoit pas toujours le secret des sentences. Cette culture de non-divulgation des sanctions – qui s’est imposée par la pratique – est désormais remise en question.
Ah non en fait non la remise en question ... justement chez les TJ il n'en est toujours pas question .... voir par exemple la déclaration des pontes TJ expliquant qu'ils ne remettrait jamais en cause la règle "des deux témoins"
Cordialement
Auteur : medico Date : 18 déc.22, 13:32 Message : Le Père Rupnik a été temporairement excommunié
Le Père Arturo Sosa, supérieur général des jésuites, a admis le 14 décembre 2022 que le prêtre-artiste Marko Rupnik, accusé d’abus sexuels sur des religieuses, avait été temporairement excommunié en rapport à une autre affaire. Selon le média espagnol Vida Nueva, le pape François n’a pas intercédé en faveur du mosaïste.
Les développements qui se sont faits jour le 14 décembre sur l’affaire Rupnik noircissent encore un peu plus le tableau de l’artiste jésuite. Trois médias italiens avaient déjà révélé début décembre 2022 des accusations selon lesquelles il aurait abusé spirituellement et sexuellement de religieuses dans une communauté de Slovénie, alors qu’il en était le directeur spirituel, dans les années 1990.
La «légèreté» des sanctions pointées du doigt
Les informations des sites italiens ont été confirmés peu après par les jésuites dans une déclaration. La Compagnie de Jésus y admettait qu’une plainte avait été reçue en 2021. Elle indiquait en même temps que les allégations étaient prescrites sur le plan pénal comme canonique et que l’affaire avait été classée par le dicastère pour la Doctrine de la foi (DDF). Les jésuites relevaient également que Marko Rupnik était sous le coup de «mesures préventives» lui interdisant d’entendre des confessions, de donner une direction spirituelle ou de diriger des exercices spirituels.
«La légèreté» des sanctions et un manque de transparence sur cette affaire ont été pointées du doigt par de nombreux observateurs, également au sein des jésuites. D’autant plus que les abus auraient été commis lors de la confession, ce qui constitue une circonstance aggravante. Le Père Sosa avait, dans une précédente interview, insisté sur le fait que les restrictions étaient «préventives», relevant que l’enquête menée sur ces cas avait été «préliminaire» et non conclusive.
«Absolution du complice»
Mais le doute sur la culpabilité de Marko Rupnik s’est encore un peu plus estompé après les révélations faites par Arturo Sosa le 14 décembre 2022 à Rome, devant un panel de journalistes. Il a confirmé l’existence d’une accusation apparue en 2019, selon laquelle l’artiste aurait abusé d’autres femmes adultes sous sa responsabilité spirituelle, cette fois en Italie. Le supérieur des jésuites a précisé que Marko Rupnik avait été, dans ce cadre, frappé d’une excommunication.
Il aurait subi cette mesure maximale dans l’Eglise catholique après avoir été reconnu coupable de «l’absolution du complice». Il aurait en effet donné l’absolution à l’une des femmes dont il aurait lui-même abusé, pour avoir eu des activités sexuelles avec lui. «L’absolution du complice» implique, selon le droit canon, une excommunication latae sententiae (automatique). Une peine qui aurait toutefois été levée, après que le Père Rupnik se soit repenti de son crime, comme le prévoit le droit de l’Eglise, a souligné le Père Sosa.
Affaire classée?
Ces nouvelles révélations posent des questions encore plus insistantes sur les réponses données à la fois par le Vatican et la Compagnie de Jésus à ces affaires. L’Associated Press (AP), présente lors du point de presse à Rome, note qu’Arturo Sosa a contredit la déclaration antérieure des jésuites en affirmant que les mesures contre Marko Rupnik étaient liées aux accusations de 2019 et non à celles de 2021. L’excommunication se serait produite avant les nouvelles plaintes de 2021.
Aucune explication n’a été donnée sur la raison pour laquelle le DDF avait classé le dossier. L’AP relève que l’organe du Vatican renonce régulièrement à la prescription pour les crimes liés aux abus. Une décision d’autant plus incompréhensible que le dicastère était forcément au courant de l’excommunication et de l’existence d’un délit antérieur d’une extrême gravité commis par Marko Rupnik.
Le pape savait-il?
Autant d’éléments qui ont fait naître des soupçons de «passe-droits», eu égard à la grande influence du mosaïste au Vatican et dans la Compagnie de Jésus. «Le DDF est dirigé par un jésuite (le cardinal Luis Ladaria, ndlr), dispose d’un procureur jésuite chargé des crimes sexuels et avait pour numéro 2 à l’époque une personne qui vivait dans la communauté jésuite de Rupnik à Rome», note ainsi l’AP.
Certains ont même fait remarquer que, sur le trône de Pierre, siégeait encore un autre jésuite. La question de l’implication du pape François dans le classement de l’affaire a ainsi évidemment été soulevée, notamment lors de la conférence de presse romaine. Arturo Sosa a répondu qu’il «pouvait imaginer» que le préfet du dicastère, le cardinal Ladaria, avait informé le pape d’une telle décision. Le Vénézuélien a toutefois assuré que lui-même n’en avait pas parlé avec le pontife et que ce dernier n’était pas intervenu dans cette affaire.
Réouverture du dossier?
Des affirmations corroborées par Vida Nueva, qui assure que «le Saint Père est resté en dehors de l’enquête sur les deux allégations d’abus de l’artiste jésuite afin de respecter le processus judiciaire et le principe de non-ingérence». Le média hispanophone cite des sources vaticanes selon lesquelles François n’a pas eu accès au dossier Rupnik et ne connaît pas les détails des allégations. «Il lui aurait donc été impossible de se prononcer sur les mesures préventives ou les sanctions proposées tant par le DDF que par les jésuites eux-mêmes». Selon le droit canon (1355), la cessation d’une peine est entre les mains de l’ordinaire qui l’a imposée, qui pourrait être l’évêque ou le vicaire local, mais aussi le supérieur général de la congrégation, en l’occurrence Arturo Sosa.
Mais le pape pourrait-il intervenir pour, dans un souci de faire valoir sa politique de tolérance zéro, faire rouvrir le dossier pour obtenir une condamnation exemplaire du Père Rupnik? D’après Vida Nueva, cela pourrait arriver si, une fois les résolutions des deux affaires rendues publiques, on décidait a posteriori d’en appeler au pape en tant qu’instance supérieure. (cath.ch/ap/vidanueva/arch/rz)
Auteur : medico Date : 12 janv.23, 07:50 Message :https://www.lemonde.fr/international/ar ... -20230112-[dans-l-actu_titre_1]&M_BT=113977059162465
Mort du cardinal australien George Pell, réformateur du Vatican tombé pour une affaire de pédocriminalité
Auteur : medico Date : 18 janv.23, 01:18 Message : Violences sexuelles : le prêtre Tony Anatrella sanctionné par le Vatican
Les faits Le prêtre psychothérapeute, accusé d’abus sexuels par d’anciens patients, a fait l’objet de restrictions imposées par le Vatican au mois de décembre. Il est désormais privé de présider des célébrations, d’exercer comme thérapeute, de publier des livres et de confesser. https://www.la-croix.com/Religion/Viole ... t=20230118
Auteur : Marmhonie Date : 25 janv.23, 12:26 Message : Certainement, car vraiment j'ai rencontré dans ma vie quantité de Témoins de Jéhovah, et à part dans quelques forums sur internet, je n'ai jamais entendu l'un d'eux agresser, ni l'Église, ni les catholiques en général, ni aucune autre religion. Ils sont sincèrement ouverts, au monde de la moto par exemple, aux études universitaires, aux autres religions.
Pourquoi tant de haine ? Je ne comprends pas. Cette folie de mettre tout le monde dans le même panier...
Oui, les Témoins de Jéhovah sont sincères. J'admire leur courage, leur volonté dans leur foi. Il n'y a rien à redire.
Vous savez, il y a des sectaires partout... L'Opus Dei fut un temps très troublant, et s'il n'y avait que cela...
Partout il y a des gens charmant, et d'autres à l'opposé. L'important est de faire la part des choses.
N'entrons jamais dans un pugilat : un combat qui n'a pas lieu est un combat gagné.
La vie et belle !
