Résultat du test :

Auteur : manouche
Date : 15 mai18, 08:34
Message : est ce que ya t'il un pro palestinien qui peut m'expliqué cest 2 video qui & pour moi une reconstitution :interroge:

https://www.youtube.com/watch?v=enplUyF5rEo


Mise en place d’une scène de “palestiniens morts” à destination des journalistes loll
https://www.youtube.com/watch?v=GI4VYNWtt7c
Auteur : Seleucide
Date : 15 mai18, 09:07
Message : Je vois mal comment on peut être pro-israélien, aujourd'hui.
Auteur : nausic
Date : 15 mai18, 09:11
Message :
Seleucide a écrit :Je vois mal comment on peut être pro-israélien, aujourd'hui.
Je le suis et cela ne me pose pas de problèmes
Auteur : manouche
Date : 15 mai18, 09:22
Message : JE SUIS NY LES 2 BREF SA REPOND PAS @ MA QUESTION LOLLL
Auteur : Yacine
Date : 15 mai18, 09:40
Message :
manouche a écrit :est ce que ya t'il un pro palestinien qui peut m'expliqué cest 2 video qui & pour moi une reconstitution :interroge:
https://www.youtube.com/watch?v=enplUyF5rEo

Mise en place d’une scène de “palestiniens morts” à destination des journalistes loll
https://www.youtube.com/watch?v=GI4VYNWtt7c
Ce sont juste des reconstitutions pour des tournages ou que sais je. Le première n'a d’ailleurs rien à voir avec la Palestine.
Auteur : Arzew
Date : 15 mai18, 09:47
Message :
Seleucide a ecrit : Je vois mal comment on peut être pro-israélien, aujourd'hui.
nausic a ecrit : Je le suis et cela ne me pose pas de problèmes

[...]
Auteur : nausic
Date : 15 mai18, 09:49
Message :
Arzew a écrit :
C est ca ! Comme Muhammad, ton faux prophète !
Auteur : Arzew
Date : 15 mai18, 09:56
Message : quel lâcheté ??!! :sourcils:

dis moi un peu , c'est toujours de cette facon que tu agit quand tu es face a tes adversaires ? :wink:
Auteur : nausic
Date : 15 mai18, 09:59
Message :
Arzew a écrit :quel lâcheté ??!! :sourcils:

dis moi un peu , c'est toujours de cette facon que tu agit quand tu es face a tes adversaires ? :wink:
Comment cela "quelle lâcheté" .? Donc tu reconnais que Mahomet ton faux prophète , l était ?
Auteur : Arzew
Date : 15 mai18, 10:02
Message : changes pas de sujet , tu veux !

je serai curieux de te voir a l'acte face a ton adversaire ! je donnerai tout pour voir ca ..

on doit pas s'ennuyer avec toi ! :lol:
Auteur : nausic
Date : 15 mai18, 10:03
Message :
Arzew a écrit :changes pas de sujet , tu veux !

je serai curieux de te voir a l'acte face a ton adversaire ! je donnerai tout pour voir ca ..

on doit pas s'ennuyer avec toi ! :lol:



L’ascendance de Mahomet est un secret bien gardé par les oulémas, car, en réalité, beaucoup d’incertitudes planent sur l’identité de son père biologique, prétendument ‘Abdullah bin ‘Abd al-Mouttalib. Cette problématique n’est pas sans conséquences, puisque si Mahomet a délibérément menti sur ses origines en revendiquant son appartenance à la noblesse alors qu’il n’était que le fils d’un roturier, son ministère prophétique n’était-il pas une imposture totale ? Les théologiens musulmans ne conçoivent pas qu’un serviteur de Dieu puisse être issu de la fornication, à l’instar de Jephté, dans la Bible, né d’une union illégitime (Juges 11.1-2) et dont la vie ne fut pas exempte de tout reproche, bien qu’il fût un vaillant héros. On a donc attribué au Prophète de l’islam une lignée non souillée par le péché afin de dissimuler au mieux la « tare » de Mahomet, « j’ai écrit pour le Prophète cinq cents mères, rapporte le père d’Hichâm bin Mohammed al-Kalbi, et je n’ai pas trouvé parmi elles de fornicatrice, et rien de ce qui se pratiquait pendant la période préislamique »1.

La prétendue conception du Prophète
‘Abd al-Mouttalib faisait partie du clan des Bani Hâchim, il eut onze fils, et parmi eux, ‘Abdullah. Un beau jour, il décida de marier son jeune fils à une notable d’un autre clan répondant au nom d’Amina, fille de Wahb, descendant direct d’Abd Manâf, tout comme Hâchim, le père d’Abd al-Mouttalib. En chemin, ‘Abdullah rencontra près de la Maison sacrée une femme d’une beauté exquise qui lui fit des avances, et qui était même prête à payer une centaine de chameaux en échange d’une relation sexuelle avec lui, mais il la repoussa gentiment :

Puis ‘Abd al-Muttalib partit, prenant en mission son fils ‘Abd Allah. On prétend qu’ils passèrent par une femme de Banû ‘Asad b. ‘Abd al-‘Uzzah bin Qusayy bin Kilâb b. Murrah b. Ka’b b. Lu’ayy b.Ghâlib b. Fihr. Elle est la sœur de Waraqah b. Nawfal b. ‘Asad b. ‘Abd al-‘Uzzah. Elle était auprès de la Ka’bah. Elle dit, quand elle regarda son visage : « où vas-tu, Ô ‘Abd Allah ? » Il dit : « avec mon père ». Elle dit : « couche avec moi maintenant, et tu auras autant de chameaux que ceux qui ont été égorgés en sacrifice pour toi ». Il répondit : « je suis avec mon père ; je ne peux pas lui désobéir, ni le quitter ».2

‘Abdullah poursuivit son chemin avec son père jusqu’à atteindre leur destination, le clan de Wahb. Arrivé sur place, ‘Abd al-Mouttalib en profita pour demander la main d’Hâla bint Wouhayb, la cousine d’Amina. Les deux couples se marièrent alors « dans la même assemblée »3. ‘Abdullah consomma le mariage le jour même et ‘Amina tomba enceinte de l’Envoyé de Dieu. Tout de suite après, le fils d’Abd al-Mouttalib partit retrouver la femme qui l’avait abordé près de la Ka’ba en vue de commettre l’adultère avec elle. Le physique probablement disgracieux d’Amina n’avait pas su retenir l’attention de notre jeune étalon :

On prétend que ‘Abd Allah coucha avec ‘Âminah tout de suite après son mariage avec elle et elle conçut l’Envoyé d’Allah, puis il sortit de chez elle, et alla à la femme qui s’était offerte à lui auparavant. Il lui dit : « pourquoi tu ne m’offres pas aujourd’hui ce que tu m’as offert hier ? » Elle répondit : « la lumière qui était avec toi hier t’a quitté ; c’est pourquoi je n’ai plus besoin de toi aujourd’hui ».4

La lumière, qui est censée représenter l’arrivée du Messager de Dieu, serait passée d’Abdullah à ‘Amina après la consommation du mariage.

La mort d’Abdullah
On dit que le mari d’Amina a succombé à une maladie à son retour de Gaza, on affirme également qu’il trouva la mort à Médine lorsque son père l’y envoya afin de se ravitailler en dattes.

‘Abdullah bin ‘Abd al-Muttalib est parti avec une caravane commerciale des Qoraych qui allait en direction de la Syrie, vers Gaza. Quand ils eurent terminé leur commerce, ils sont repartis en passant par Médine qui était sur le chemin du retour. ‘Abdullah bin ‘Abd al-Muttalib est ce jour-là tombé malade, il a dit : « je vais rester derrière avec mes oncles de Bani ‘Adi bin an-Najjâr ». Il y est donc resté pendant un mois et il souffrait. Ses compagnons ont poursuivi et sont arrivés à la Mecque. ‘Abd al-Mouttalib a demandé des nouvelles d’Abdullah et ils lui ont dit : « nous l’avons laissé derrière avec ses oncles de Bani ‘Abi bin an-Najjâr, car il était malade ». ‘Abd al-Mouttalib a envoyé son fils ainé al-Hârith qui l’a trouvé mort et enterré dans la maisonnette d’an-Nâbigha, un homme de Bani ‘Adi an-Najjâr. La maisonnette est un petit bâtiment qui se trouve à votre gauche quand vous entrez dans l’habitation. Ses oncles l’ont informé de sa maladie, de son séjour, et de son traitement, et qu’ils l’ont enterré. Il est retourné voir son père et lui a rapporté cela. ‘Abd al-Mouttalib l’a pleuré. Ses frères et ses sœurs étaient aussi très affligés. Le Messager de Dieu était toujours dans le ventre de sa mère au moment de sa mort. ‘Abdullah avait vingt-cinq ans.5

Cette version est la plus correcte d’après les historiens. Certains prétendent que le Prophète était âgé de sept ou vingt-huit mois à ce moment-là, mais « la première version est la plus sûre, écrit Ibn S’ad (m. 845), il est décédé quand le Messager de Dieu était dans le ventre de sa mère »6. Suite au décès de son époux, ‘Amina est allée vivre chez ‘Abd al-Mouttalib.

La naissance de Mahomet
Il serait né vers 570, un lundi, le 2, le 10, ou le 12 du mois de rabi’ al-awwal durant « l’année de l’éléphant », en référence à la tentative d’invasion de La Mecque par Abraha, roi du Yémen. Dieu a envoyé contre l’armée d’Abraha des centaines d’oiseaux qui eurent pour tâche de lapider les soldats ainsi que l’éléphant du roi, nommé Mahmoud, de manière à éviter la destruction de la Ka’ba. La sourate 105 intitulée sourat al-fîl fut révélée en rapport avec cette légende. Jalâl ad-Dîn al-Mahalli (m. 1459) en fit le commentaire : « Dieu a détruit chacun d’eux avec une pierre qui lui est propre, où son nom y est inscrit, plus grande qu’une lentille mais plus petite qu’un pois chiche, capable de transpercer un œuf, un homme, ou un éléphant, et de se loger dans le sol. Ceci eut lieu dans l’année de la naissance du Prophète »7. Cette histoire à dormir debout fut conçue dans le but de trouver un sens à la sourate 105 dont nous ignorons toujours à quel évènement elle fait allusion. Le fait qu’elle soit inspirée de faits réels lui donnait à l’époque une certaine crédibilité.

L’histoire de l’Arabie du Sud, maintenant mieux connue, ne s’accorde pas complètement avec la présentation de la tradition musulmane. Certes, la région était bien sous domination éthiopienne depuis que le négus l’avait envahi vers 525 à l’instigation des Byzantins pour venir au secours des communautés chrétiennes locales que persécutait un souverain yéménite converti au judaïsme. Le deuxième représentant du pouvoir abyssin au Yémen, Abraha, se rendit indépendant de son souverain et repris la titulature traditionnelle des souverains himyarites. C’est ce qui ressort des inscriptions qu’il a laissées et qui permettent de situer son règne vers le milieu du VIe siècle : le texte dans lequel Abraha commémore les réparations qu’il a fait exécuter sur la digue de Ma’rib porte ainsi la date de 549. En 553, dans une autre inscription, il raconte une expédition qu’il a envoyée vers l’Arabie centrale et vers le nord de la péninsule. Mais son activité semble cesser vers cette époque et il paraît douteux qu’il ait pu entreprendre vers 570 contre La Mecque une entreprise de ce genre. Son fils, Yaksûm, qui lui a succédé, règne brièvement, et dans les années 570 les Persans qui ont été appelés par un prince yéménite chassent les Éthiopiens et occupent l’Arabie du Sud. La chronologie des évènements, telle que l’ont établie les historiens du Yémen préislamique, ne permet donc pas de maintenir l’interprétation des commentateurs musulmans traditionnels.8

D’après la tradition, Abraha aurait lancé une attaque contre La Mecque au milieu du mois de mouharram, cinquante jours avant que le Messager de Dieu ne vienne au monde.

Au moment de l’accouchement, le vagin d’Amina fit temporairement office de centrale nucléaire en éclairant une vaste étendue grâce à la lumière transmise par ‘Abdullah : « quand j’ai accouché de lui, dit-elle, une lumière est sortie de moi qui a illuminé les palais de Syrie. Il était propre quand je lui ai donné naissance. J’ai accouché de lui comme l’agneau qui nait sans impureté. Il est tombé sur le sol et il s’est assis par terre avec ses mains »9.

‘Amina s’occupa de son fils pendant six ans, puis elle rendit l’âme. Deux ans plus tard, ce fut au tour d’Abd al-Mouttalib de rejoindre ses ancêtres, c’est alors l’oncle du Prophète, Abou Tâlib, qui prit en charge le jeune orphelin.

Problème de chronologie
Hamza est issu de l’union entre ‘Abd al-Mouttalib et Hâla bint Wouhayb, il était l’oncle paternel de Mahomet et son frère de lait. Par conséquent, il devrait logiquement avoir le même âge que le Prophète ou être plus jeune que lui, étant donné qu’Abd al-Mouttalib et ‘Abdullah se sont mariés le même jour et que Mahomet fut conçu juste après les festivités. Or, ce n’est pas le cas. Hamza était plus âgé que le Prophète, alors comment cela est-il possible ? Ibn Hajar al-‘Asqalâni (m. 1448) pense qu’Hamza « est né deux ans avant le Prophète. Et on dit : quatre ans. Il s’est converti durant la deuxième année de la mission »10. L’oncle de Mahomet fut tué durant la bataille de Ohod en l’an 3 de l’hégire, et d’après Ibn Sa’d, « il avait ce jour-là cinquante-neuf ans et il était âgé de quatre ans de plus que le Messager de Dieu »11. Si l’Envoyé de Dieu est né en 570, alors il avait cinquante-cinq ans lorsqu’Hamza mourut, ce qui fait une différence d’âge de quatre ans entre les deux comparses. Cependant, en se basant sur plusieurs traditions relatives à l’allaitement, les oulémas penchent pour un écart de deux ans. Ibn Sayyid an-Nâs (m. 1333), auteur renommé pour sa biographie du Prophète, a abordé ce sujet dans son livre ‘Ouyoun al-‘Athar :

Az-Zoubayr a mentionné qu’Hamza est plus âgé que le Prophète de quatre ans. Abou ‘Omar a rapporté quelque chose de semblable de lui et il a dit : « ceci n’est pas vrai en ce qui me concerne, car dans le hadith de Thâbit, Hamza et ‘Abdullah bin ‘Abd al-‘Asad ont été allaités par Thawayba avec le Messager de Dieu, toutefois, leur allaitement s’est fait en deux temps ». Je dis : le plus correct est ce que nous avons rapporté d’Ibn Ishâq par la voie d’al-Bakkâ’i, il est plus âgé que le Messager de Dieu de deux ans. Et Dieu sait mieux.12

À vrai dire, il semblerait qu’Amina ait eu au moins deux enfants à en juger par le hadith d’Ishâq bin ‘Abdullah : « la mère du Prophète a dit : j’ai porté des enfants et je n’ai pas eu de grossesse plus lourde que lui »13. On peut supposer que l’enfant à qui elle a donné naissance en 570 est mort-né ou décédé en bas-âge, car le taux de mortalité infantile était à cette époque très élevé, c’est pourquoi son court passage sur Terre ne marqua pas les mémoires d’hommes, si bien que « Mohammed bin ‘Omar al-‘Aslami a dit : c’est quelque chose qui n’est pas connu de nous ni des gens de science, car ni ‘Amina bint Wouhayb, ni ‘Abdullah bin ‘Abd al-Mouttalib n’ont eu d’enfant à part le Messager de Dieu »14. ‘Amina aurait accouché quelques années plus tard de Mahomet, né hors mariage, vers 573. Il est possible que les premiers traditionnalistes aient pu profiter du vide laissé par le demi-frère du Prophète pour décaler sa naissance de quelques années en arrière, et purifier ainsi sa lignée du péché de fornication. Par ailleurs, Mohammed ibn Jarir at-Tabari (m. 923) rapporte que certains disent que le Prophète nous a quittés à l’âge de soixante ans15, contrairement à d’autres qui prétendent qu’il a disparu à soixante-trois ans, or, il est admis que Mahomet est mort en 632.

Les rumeurs vont bon train
L’imam Moslim bin al-Hajjâj (m. 875) a enregistré que le Messager de Dieu se vantait d’être le descendant d’Hâchim, le grand-père d’Abdullah bin ‘Abd al-Mouttalib : « Dieu a élu Kinâna parmi la descendance d’Ismaël, et il a élu Qoraych parmi Kinâna, et il a élu les Bani Hâchim parmi Qoraych, et il m’a élu parmi les Bani Hâchim »16, mais, comme nous le verrons ci-après, Mahomet savait qu’il n’était pas lié par le sang à ce clan, qui représentait en réalité sa tribu adoptive. Il arrivait parfois que les mecquois discutaient de leurs ancêtres respectifs, et lorsque le nom du Prophète était évoqué, on le tournait en dérision. L’Envoyé de Dieu avait beau feindre être le fils d’Abdullah devant ses adeptes, ses véritables origines étaient connues de tous les païens. Beaucoup de savants ont rapporté ces ragots dans leurs ouvrages, et certaines traditions sont très anciennes et uniques en leur genre. Parmi les corpus canoniques, Abou ‘Isa at-Tirmidhi (m. 892) a collecté le rapport d’al-‘Abbâs bin ‘Abd al-Mouttalib :

J’ai dit : « Ô Messager de Dieu ! Les Qoraychites se sont rassemblés et ils se remémorent leurs ancêtres entre eux, et ils font de ton exemple, l’exemple d’un palmier au milieu d’une terre défraîchie ». Le Prophète a dit : « Dieu a créé les créatures, il a fait de moi la meilleure d’entre elles, le meilleur de leur groupe et le meilleur des deux groupes. Ensuite, il a choisi les tribus, et il a fait de moi la meilleure tribu. Puis, il a choisi les maisons, et il a fait de moi la meilleure de leurs maisons. Je suis le meilleure d’entre eux en tant que personne et le meilleur d’entre eux par la famille ».17

Le Cheikh ‘Abd ar-Rahman al-Moubârakfouri (m. 1934) a expliqué la tradition de la manière suivante : « l’exemple d’un palmier au milieu d’une terre défraîchie », c’est-à-dire, comme l’exemple d’un palmier qui pousse dans les balayures sur le sol. Le sens est qu’ils dénigrent ton nom de naissance. (…) Quelqu’un a dit : « les balayures », cela vient des noms manquants »18. Ce quelqu’un d’autre, c’est Abou Mansour, tel que l’a précisé Ibn Manzour (m. 1311) dans son fameux dictionnaire Lisân al-‘Arab19. Le grand juriste Ahmad ibn Hanbal (m. 855) a lui aussi rassemblé dans son Mosnad plusieurs traditions à ce sujet :

Des gens parmi les Ansâr sont venus voir le Prophète. Ils ont dit : « on entend dire de la part de certaines personnes de ton peuple que l’exemple de Mohammad est comme l’exemple du palmier qui pousse dans les balayures ». Houssayn a dit : « al-kibâ’ ce sont les balayures ». Le Messager de Dieu a dit : « Ô hommes ! Qui suis-je ? » Ils ont répondu : « tu es le Messager de Dieu ». Il a dit : « je suis Mohammad bin ‘Abdullah bin ‘Abd al-Mouttalib… ».20

At-Tabarâni (m. 918) a de même consigné une tradition analogue dans Al-Mou’jam al-Awsat, à la différence que ce sont les mots plus crus d’Abou Sofyân, fils d’al-Hârith, fils d’Abd al-Mouttalib, qui y sont directement rapportés. Abou Sofyân était un ennemi acharné du Prophète et membre des Bani Hâchim par le sang.

‘Abdullah bin ‘Omar a rapporté :
Je me suis assis dans la cour du Messager de Dieu quand une femme est passée. Des gens ont dit : « c’est la fille de Mohammad ». Abou Sofyân a dit : « l’exemple de Mohammad dans les Bani Hâchim est comme l’exemple du basilic au milieu de la puanteur », ou il a dit : « du foin ». La femme est allée voir le Messager de Dieu et l’en a informé. Il est sorti et on lisait la colère sur son visage. Il a dit : « qu’ont-ils ces gens à dire de telles choses sur moi au sujet de ma famille ? »21

Qui est le mieux placé pour parler des origines hasardeuses de Mahomet si ce n’est un membre des Bani Hâchim ? Al-‘Abbâs faisait partie de cette tribu comme son neveu Abou Sofyân. Ils se sont convertis tous deux tardivement à l’islam, le premier ayant contraint le second à devenir musulman sous peine d’être exécuté par décapitation, la scène se déroula sous le regard complice du Prophète22. La famille, autrefois soudée, s’entre-déchirait à cause du fauteur de troubles Mahomet qui prêchait une religion qui n’était pas celle de leurs ancêtres. Al-‘Abbâs et Abou Sofyân soutenaient que le père de cet agitateur était originaire de la tribu de Kinda. Un jour, des hommes issus de cette tribu vinrent le trouver pour lui parler des liens de parenté qui les unissaient. Ceci ne plut pas du tout à Mahomet qui s’empressa de démentir ces accusations et tenta de discréditer les propos d’al-‘Abbâs et d’Abou Sofyân. Ibn Kathir (m. 1373) a transcrit ce récit dans son livre Al-Bidâya wa-n-Nihâya :

Des hommes de Kinda sont allés voir le Prophète en prétendant qu’il était des leurs. Il a répondu : « c’est al-‘Abbâs et Abou Soyân bin Harb qui ne disait cela que pour être en sécurité. Je ne désavoue pas nos pères, nous sommes de Banou an-Nadir bin Kinâna ». Le Prophète a prêché et a dit : « je suis Mohammad bin ‘Abdullah bin ‘Abd al-Mouttalib bin Hâchim bin ‘Abd Manâf bin Qousayy bin Kilâb bin Mourra bin Ka’b bin Louayy bin Ghâlib bin Fihr bin Mâlik bin an-Nadir bin Kinâna bin Khouzayma bin Moudrika bin ‘Ilyâs bin Moudar bin Nizâr. Quand les gens se divisaient en deux groupes, Dieu me mettait dans le meilleur. Je suis sorti de mes deux parents et je ne suis pas issu de la fornication dans la période préislamique. Je suis sorti du mariage et je ne suis pas sorti de la fornication, depuis Adam jusqu’à mon père et ma mère. Je suis le meilleur parmi vous et le meilleur par le père ».23

Par chance, une tradition rarissime conservée par ‘Alâ ad-Dîn al-Mouttaqi al-Hindi (m. 1568) et at-Tabarâni confirme ces rumeurs en faisant passer le Prophète aux aveux : « mon exemple et l’exemple de ma famille, dit-il, est comme l’exemple d’un palmier qui pousse dans un tas de fumier »24. Le Messager de Dieu était en effet tout à fait conscient de son état de bâtard. Très embarrassé, le savant du hadith Abou Bakr al-Haythami (m. 1566) a qualifié le hadith de « mounkar », c’est-à-dire qu’il contredit les traditions jugées authentiques, et présume que ce sont là les mots d’az-Zoubayr et non ceux du Prophète25.

On dénombre quatre sortes de mariage pendant la période préislamique. Le premier est le mariage traditionnel tel qu’il est célébré actuellement dans la religion musulmane, le second, appelé al-istibdâ’, invite le mari à trouver une personne issue de la noblesse qui couchera avec sa femme dans le but d’avoir un enfant d’une noble lignée. Concernant le troisième et le quatrième, ‘Aïcha les a ainsi décrits :

Un autre mariage consiste à rassembler un groupe de moins de dix hommes. Ils entrent tous chez une femme et couchent avec elle. Si elle tombe enceinte et accouche, et que plusieurs nuits soient passés après son accouchement, elle les fait tous venir et aucun homme ne peut refuser. Quand ils sont rassemblés devant elle, elle leur dit : « vous connaissez votre affaire et j’ai donné naissance à un enfant. C’est le tiens Ô untel ! », en appelant par son nom qui elle veut, et son enfant le suivra et l’homme ne peut refuser. Le quatrième mariage est beaucoup d’hommes qui entrent chez une femme et elle ne refuse personne qui vient à elle. Ce sont des prostitués. Elles mettaient des drapeaux sur leurs portes pour qu’on le remarque. Celui qui les désirait, entrait chez elles. Si l’une d’entre elles tombait enceinte et qu’elle donne naissance, les hommes se rassemblent pour elle et ils appellent pour eux le physionomiste. Puis, ils donnent son enfant à celui qui a été reconnu. Elle le lui confie et il sera appelé son fils. Il ne pourra refuser cela. Quand Mohammad a été envoyé avec la vérité, il a aboli tous les mariages de la période préislamique excepté le mariage des gens d’aujourd’hui.26

Mahomet a créé en plus un autre type de mariage, qu’on appelle le « mariage de jouissance » ou « mariage temporaire » (zawâj al-mout’a). Il s’agit pour un homme de rémunérer une femme dans l’intention d’avoir des rapports sexuels avec elle durant une période prédéterminée établie au préalable par contrat, c’est une autre forme de prostitution guère éloignée de la jâhiliya. Le Coran y fait référence dans la sourate an-Nisâ’ (4.24). Les chiites continuent de pratiquer le mariage temporaire, tandis que les sunnites le considèrent comme abrogé, néanmoins, Ibn Kathir a noté dans son Tafsir qu’Ibn ‘Abbâs et un groupe de compagnons estiment qu’il est licite en cas de nécessité.

La mère de Mahomet ne s’est vraisemblablement pas livrée à la prostitution puisqu’Abd al-Mouttalib gagnait de l’argent en quantité suffisante pour subvenir aux besoins d’Amina et de son fils, c’est donc le troisième type de « mariage » de la période préislamique qui correspond le plus à la situation d’Amina. Le Prophète aurait alors été conçu lors de ce « gang-bang » (forme particulière de sexualité de groupe). ‘Amina aurait ensuite désigné un homme de Bani Kinda comme étant le père de Mahomet, mais pour une raison inconnue, l’enfant ne fut pas recueilli par la tribu. Peut-être le père est-il mort peu de temps après, ce qui justifierait son absence lorsque des hommes de Kinda sont allés à la rencontre du Prophète. Quoiqu’il en soit, il est certain que le Prophète ne fut pas le fruit d’une union scellée par les liens sacrés du mariage à moins de trouver une explication surnaturelle.

Durée de la grossesse
En cherchant bien, il est possible d’expliquer, notamment grâce au fiqh islamique, l’accouchement tardif d’Amina, des années après la mort d’Abdullah, car selon les juristes les plus expérimentés, une femme peut être enceinte pendant plusieurs années. L’hanbalite Ibn Qoudâma (m. 1223) a développé un chapitre en rapport avec ce sujet au sein de son célèbre ouvrage Al-Moughni :

Selon l’école zahirite, la durée maximale de la grossesse est de quatre ans. C’est aussi le point de vue d’ach-Châfi’i et l’opinion la plus connue de Mâlik. Il a été rapporté d’Ahmad que la durée maximale est de deux ans. On a aussi rapporté cela d’Aïcha et c’est l’avis d’ath-Thawri et d’Abi Hanifa. Jamila bint Sa’d a rapporté d’Aïcha que les femmes ne sont pas enceintes plus de deux ans (…). La mère d’ad-Dahâk bin Mouzâhim et d’Harim bin Hayyân a été enceinte de chacun d’entre eux ou de l’un d’eux pendant deux ans. Al-Layth a dit que la durée maximale est de trois ans. L’esclave affranchie d’Omar bin ‘Abdullah a été enceinte pendant trois ans.

‘Abbâd bin al-‘Awwâm a dit : cinq ans. Et az-Zouhri a dit : les femmes peuvent être enceintes six ou sept ans (…). Al-Walîd bin Moslim a rapporté : « j’ai raconté à Mâlik bin Anas le hadith de Jamila bint Sa’d d’après ‘Aïcha qui a dit : les femmes ne sont pas enceintes plus de deux ans. Mâlik a dit : « Soubhân Allah ! Qui a dit cela ? » - « C’est notre esclave ». La femme qui a porté Mohammed bin ‘Ajlân fut enceinte durant quatre ans avant de donner naissance. Ach-Châfi’i a dit : Mohammed bin ‘Ajlân est resté dans le ventre de sa mère pendant quatre ans.

Ahmad a dit : les femmes de Bani ‘Ajlân sont enceintes quatre ans et une femme ‘Ajlân possède trois estomacs, chaque grossesse est de quatre ans. Mohammed bin ‘Abdullah bin al-Hassan bin al-Hassan bin ‘Ali est resté dans le ventre de sa mère quatre ans, ainsi qu’Ibrâhîm bin Najîh al-‘Oqayli, ceci a été rapporté par Abou al-Khattâb.27

L’imam al-Qortobi (m. 1273) a lui aussi fait mention de cela dans son exégèse. Il précise que d’après un rapport attribué à Mâlik ibn Anas (m. 795), on peut atteindre une durée de dix ans28. Le cadi de Séville, Ibn al-‘Arabi (m. 1148), ajoute que la grossesse peut excéder dix années suivant l’avis du grand juriste égyptien de rite malékite, ‘Achhab bin ‘Abd al-‘Azîz (m. 819)29. Citons en dernier lieu le biographe ‘Ali bin Bourhân ad-Dîn al-Halabi (m. 1634) qui, dans As-Sira al-Halabiya, a rapporté plusieurs autres grossesses extraordinaires30. En conséquence, les musulmans argueront que Mahomet est resté deux, trois, ou quatre ans dans le ventre de sa mère conformément à la science islamique.

Le Coran n’évoque pas de grossesse aussi longue, toutefois, il signale que la durée moyenne est de six mois : « Nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers ses père et mère. Sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché, et sa gestation et sevrage durant trente mois » (46.15). Le sevrage étant de deux ans (2.233 ; 31.14), soit 24 mois, 30 – 24 = 6 mois de grossesse. Les moufassirin rétorquent qu’il s’agit là de la durée minimale de gestation, cependant, de grands prématurés naissent au bout de cinq mois et survivent.

Ibrâhîm, de qui est-il le fils ?
Mahomet revendiquait la paternité d’Ibrâhîm, l’enfant de Maria la copte, son esclave et sa concubine, mais on murmurait dans son dos qu’il n’en était pas le père, et lui-même était enclin au doute. Ses soupçons se portaient sur le cousin de Maria, Mabour, qui était également un de ses esclaves. Al-Hâkim an-Naysâbouri (m. 1014), « l’imam des savants du hadith », est sans doute celui qui a rapporté le plus de détails concernant cette histoire :

‘Aïcha a rapporté :
On a fait don de Maria au Messager de Dieu et avec elle, un de ses cousins. Il a couché avec elle et elle est tombée enceinte. Il l’a isolée chez son cousin. Les diffamateurs et les calomniateurs ont dit : « il a tellement besoin d’un enfant qu’il s’est approprié l’enfant d’un autre ». Sa mère avait peu de lait. Elle achetait pour lui du lait d’agnelle et elle le nourrissait avec ce lait. Cela le faisait grossir. Un jour, le Prophète est entré avec l’enfant et dit : « comment voyez-vous ? » J’ai répondu : « celui qui se nourrit de graisse de mouton prend de l’embonpoint ». Il a dit : « pas de ressemblance ? » J’étais jalouse comme les autres femmes et j’ai répondu : « je ne vois rien ». Le Messager de Dieu a entendu ce que disaient les gens, alors il dit à ‘Ali : « prends cette épée et va frapper le cou du cousin de Maria où qu’il se trouve ». Il est parti. Il se trouvait dans un puits de la palmeraie en train de se rafraîchir. Quand il a vu ‘Ali avec son épée, il l’a accueilli tout tremblant. Son cache-sexe est tombé et Dieu Tout-puissant n’a pas créé pour lui ce quelque chose que les hommes ont.31

Ibn Sa’d a pareillement touché un mot de cette affaire32, et Moslim bin al-Hajjâj en a donné la chute dans son Sahih :

Anas a rapporté qu’un homme avait été accusé avec la Oumm Walad du Messager de Dieu (Oumm walad : esclave ayant eu un enfant de son maître). Le Messager de Dieu a dit à ‘Ali : « vas lui frapper le cou ». ‘Ali est allé jusqu’à lui. Il était dans un puits en train de se rafraichir. ‘Ali lui a dit : « sors », il lui a donné sa main et il l’a sorti. Il était dépourvu de pénis. ‘Ali a renoncé et il est allé voir le Prophète. Il a dit : « Ô Messager de Dieu ! Il n’a pas de pénis ! ».33

Ibn Kathir a brièvement parlé de cette anecdote : « quant au garçon castré, c’était Mabour, il entrait chez Maria et Chîrîn sans permission comme à son habitude en Égypte. Certaines personnes ont dit des choses à cause de cela, et ils n’imaginaient pas qu’il était castré, jusqu’à ce que l’on découvre son état »34. Curieusement, le Prophète ne s’était pas rendu compte que Mabour était un eunuque, alors qu’il le servait tous les jours comme les soixante autres esclaves en sa possession. Peu de temps après qu’Ali lui ait annoncé la nouvelle, qui calma ses inquiétudes, il fit croire à une révélation divine innocentant Maria et son cousin : « Gabriel est venu me voir et il m’a informé que Dieu avait absout Maria et son cousin. Il m’a annoncé une bonne nouvelle, le garçon dans son ventre est de moi »35. Mais le doute semble avoir toujours subsisté dans l’esprit de Mahomet, en effet, Abou Dâwoud (m. 888) a répertorié dans ses Sunan « qu’Ibrâhîm, le fils du Prophète, est mort à l’âge de dix-huit mois et le Messager de Dieu n’a pas prié sur lui »36. On dit aussi qu’il est mort à seize mois. Cette tradition a fait jurisprudence puisque les fouqahâ’ ont déterminé que la prière funéraire n’est pas obligatoire pour un enfant mort en bas-âge. En revanche, le Prophète a fait la prière pour ‘Abdullah bin ‘Obayy, bien connu pour son hypocrisie, et qui complotait contre lui !

En temps normal, Mahomet aurait dû infliger cent coups de fouet à Mabour pour fornication (24.2) au lieu d’ordonner son exécution, ceci est une infraction évidente à la loi islamique, et les savants se sont efforcés de disculper le Prophète. Ibn Qayyim al-Jawziyya (m. 1350) suggère « qu’en réalité, il ne voulait pas le tuer, mais il voulait lui faire peur »37, tandis qu’an-Nawawi (m. 1278) a rédigé en commentaire du hadith de Moslim :

On a dit : c’était peut-être un hypocrite qui méritait d’être tué par une autre voie. Il en a fait un mobile pour le tuer à cause de son hypocrisie ou autre chose, mais pas pour fornication. ‘Ali a renoncé à la décision de le tuer pour œuvre de chair, car il sut qu’il n’y eut pas de fornication. Et Dieu sait mieux.38

Effectivement, le Prophète refusait de liquider les hypocrites de peur d’être blâmé par le peuple pour le meurtre de ses compagnons39. L’image de la nouvelle religion en aurait grandement souffert, déjà qu’elle n’était pas très reluisante étant donné que les Arabes de la péninsule arabique le surnommaient lui et ses disciples « les brigands de Médine ». Certains savants chiites croient que ces évènements sont liés à la descente du verset 24.11 : « ceux qui sont venus avec la calomnie sont un groupe d’entre vous. Ne pensez pas que c’est un mal pour vous, mais plutôt, c’est un bien pour vous. À chacun d’eux ce qu’il s’est acquis comme péché. Celui d’entre eux qui s’est chargé de la plus grande part aura un énorme châtiment », mais la majorité tient l’affaire de la calomnie impliquant ‘Aïcha pour la seule cause de révélation40.

Il va de soi qu’Ibrâhîm n’était pas le fils du Messager de Dieu. Parmi ses nombreuses épouses, aucune ne lui a donné d’enfant excepté Khadija, sa toute première femme : « il n’y a pas de divergence quant au fait que tous ses enfants sont de Khadija bint Khouwaylid, souligne Ibn Kathir, sauf Ibrâhîm qui est de Maria bint Cham’oun, la copte »41. Il s’est donc passé quelque chose après la mort de son premier amour qui l’a rendu stérile, et nous savons qu’il a souffert pendant un moment de troubles de l’érection. Si on ajoute à cela le fait qu’Ibrâhîm ne lui ressemble en rien, en plus des bruits qui couraient sur l’identité du père du fils de Maria, on obtient trois éléments à charge contre Mahomet.



Les accusations sur la filiation du Prophète et d’Ibrâhîm sont fondées, tous deux n’ont jamais connu leur père biologique. Les savants ont fait des pieds et des mains pour conserver les cadavres dans le placard, mais les Arabes ont la langue bien pendue, et garder sous silence ce genre de confidence n’est pas chose aisée dans le Hedjaz où le commérage est presque un sport national.


1 Al-Bidâya wa-n-Nihâya, Ibn Kathir, volume 3, p.364, Dâr ‘Âlam al-Kotob, 2003

2 La vie du Prophète Muhammad, Ibn ‘Ishaq, Tome I, p.120-121, traduction d’Abdurrahmân Badawî, Éditions Albouraq, 2001

3 At-Tabaqât al-Kobra, Ibn Sa’d, volume 1, p.95, Dâr as-Sâdir, 1968

4 La vie du Prophète Muhammad, Ibn ‘Ishaq, Tome I, p.121

5 At-Tabaqât al-Kobra, volume 1, p.99

6 Ibid. p.100

7 Tafsir al-Jalâlayn, Jalâl ad-Dîn al-Mahalli et Jalâl ad-Dîn as-Souyouti, p.822, sourate 105 verset 5, Dâr al-Ma’rifa –Beyrouth

8 Dictionnaire du Coran, sous la direction de Mohammad Ali Amir-Moezzi, p.8-9, Éditions Robert Laffont, 2007

9 At-Tabaqât al-Kobra, volume 1, p.102

10 Al-‘Isâba fi Tamyiz as-Sahâba, Ibn Hajar al-‘Asqalâni, volume 2, p.122, Dâr al-Jîl, 1412

11 At-Tabaqât al-Kobra, volume 3, p.10

12 ‘Ouyoun al-‘Athar fi Founoun al-Maghâzi wa-ch-Chamâ’il wa-s-Siyar, Ibn Sayyid an-Nâs, volume 1, p.41, Dâr al-Qalam, 1993

13 At-Tabaqât al-Kobra, volume 1, p.98

14 Ibid.

15 The History of al-Tabari, Mohammed Ibn Jarir at-Tabari, volume 9, p.207-208, translated and annotated by Ismail K. Poonawala, State University of New York Press, 1988

16 Sahih Moslim 2276

17 Sunan at-Tirmidhi 3607. Abou ‘Isa a dit : « ce hadith est hassan ».

18 Tohfa al-‘Ahwadhi bi-Charh Jâmi’ at-Timidhi, ‘Abd ar-Rahman al-Moubârakfouri, volume 10, p.54, Dâr al-Kotob al-‘Ilmiyya

19 Lisân al-‘Arab, Ibn Manzour, volume 15, p.213, Dâr as-Sâder

20 Mosnad Ahmad 17063, voir également le 1791. Concernant le premier hadith, al-Haythami a dit : « ses hommes sont des hommes sûrs » (Majma’ az-Zawâ’id wa-Manba’ al-Fawâ’id, Abou Bakr al-Haythami, volume 8, p.216, n°13824, Maktabat al-Qoudsi, 1994), quant au second, Ibn Kathir a déclaré : « son isnâd est bon » (Jâmi’ al-Masânîd wa-s-Sunna al-Hâdi li-‘Aqawm Sunan, Ibn Kathir, volume 4, p.655, n°5936, Maktabat an-Nahda al-Hadîtha, 1998).

21 Al-Mou’jam al-Awsat, at-Tabarâni, volume 7, p.104, n°6178, Maktabat al-Ma’ârif, 1985. Al-Haythami considère que la présence d’Hammâd dans l’isnâd l’affaibli : « il y a Hammâd bin Wâqid qui est considéré faible mais le reste de ses hommes sont dignes de confiance » (Majma’ az-Zawâ’id wa-Manba’ al-Fawâ’id, volume 8, p.215, n°13823).

22 La vie du Prophète Muhammad, Ibn ‘Ishaq, Tome II, p.340-341

23 Al-Bidâya wa-n-Nihâya, volume 3, p.361-362. Le savant commente : « c’est un hadith très étrange de Mâlik, isolé et très ancien, il est faible, mais nous mentionnerons des preuves par d’autres voies ». Ibn Kathir cite ensuite d’autres traditions qui viennent corroborer ce hadith.

24 Kanz al-‘Oummâl fi Sunan al-‘Aqwâl wa-l-‘Af’âl, ‘Alâ ad-Dîn al-Mouttaqi al-Hindi, volume 11, p.453, n°32128, Mou'assassa ar-Risâla, 1981

25 Majma’ az-Zawâ’id wa-Manba’ al-Fawâ’id, Abou Bakr al-Haythami, volume 8, p.216, n°13825, Maktabat al-Qoudsi, 1994

26 Sahih al-Boukhâri 4834

27 Al-Moughni, Ibn Qoudâma, volume 8, p.98, Dâr Ihyâr at-Tourâth al-‘Arabi, 1985

28 Al-Jâmi’ li-Ahkâm al-Qor’ân, Al-Qortobi, volume 9, p.251, sourate 13 verset 8, Dâr al-Fiker

29 Ahkâm al-Qor’ân, Abou Bakr Ibn al-‘Arabi, volume 4, p.236, Dâr al-Kotob al-‘Ilmiyya

30 As-Sira al-Halabiya, ‘Ali bin Bourhân ad-Dîn al-Halabi ach-Châfi’i, volume 2, p.110, Dâr al-Kotob al-‘Ilmiyya, 1427

31 Al-Moustadrak ‘ala as-Sahihayn, Al-Hâkim an-Naysâbouri, volume 4, p.41, n°6821, Dâr al-Kotob al-‘Ilmiyya, 1990

32 At-Tabaqât al-Kobra, volume 1, p.137

33 Sahih Moslim 2771. Rapporté également dans le Mosnad Ahmad 13577.

34 Al-Bidâya wa-n-Nihâya, volume 8, p.228

35 Kanz al-‘Oummâl fi Sunan al-‘Aqwâl wa-l-‘Af’âl, volume 11, p.471, n°32214

36 Sunan Abi Dâwoud 3187. Sahih, voir Al-Mouhalla bi-l-‘Athâr, Ibn Hazm, volume 3, p.385, Dâr al-Fiker.

37 Zâd al-Ma’âd fi Hadi Khayr al-‘Ibâd, Ibn Qayyim al-Jawziyya, volume 5, p.15, Mou'assassa ar-Risâla, 1994

38 Al-Minhâj Charh Sahih Moslim bin al-Hajjâj, Yahya bin Charaf an-Nawawi, volume 17, p.119, Dâr Ihyâ’ at-Ttourâth al-‘Arabi, 1392

39 Sahih al-Boukhâri 4624

40 Tafsir al-Qoummi, ‘Ali bin Ibrâhîm al-Qoummi, volume 2, p.99, sourate 24 verset 11, Maktabat al-Houda, 1397

41 Al-Bidâya wa-n-Nihâya, volume 8, p.237
Auteur : Arzew
Date : 15 mai18, 10:06
Message : dommage !
a bon entendeur :wink:
Auteur : Saint Glinglin
Date : 15 mai18, 10:31
Message :
nausic a écrit :Je le suis et cela ne me pose pas de problèmes
Et entre le Yankee et le Peau-rouge, tu choisis le Yankee ?
Auteur : YehoshuaEl Shaddai
Date : 18 mai18, 10:41
Message :
Arzew a écrit :

FILS DE P*********
Des gens du forum sont censuré pour moins que ça !
Que font les modérateurs ?

*********************************************************

Maintenant concernant la Palestine et bien je renvois les ignorants à l'histoire de L'Islam

Encore une histoire refaite !
Les Juifs expulsés de toute l'Arabie tout comme les chrétiens ! qui s'en insurge ?
Les Juifs expulsés de l'Algérie qui s'en insurge ?
Les chrétiens persécutés en terre d'Islam qui s'en insurge ?
Les Juifs chassés de toute cette partie que l'on appelle aujourd'hui Israël puis cette partie du monde est Islamisé
Un jour quand ses même Juifs reviennent on les traitent d'envahisseurs
Le seul élément que je trouve déplorable c'est l'usage d'armes létales quand ont à en face des frondes et des pierres

Il faudrait croire que seuls les musulmans auraient le droit de chasser des communautés puis se victimiser derrière
Auteur : Athanase
Date : 18 mai18, 11:10
Message :
https://www.facebook.com/24365682234409 ... 849843642/
si c'est vrai c'est assez lamentable.
Auteur : Seleucide
Date : 18 mai18, 21:35
Message :
YehoshuaEl Shaddai a écrit :Des gens du forum sont censuré pour moins que ça !
Que font les modérateurs ?
Les modérateurs ne sont pas toujours là et ne peuvent surveiller chaque post du forum.
ibid a écrit :Les Juifs expulsés de toute l'Arabie tout comme les chrétiens ! qui s'en insurge ?
Les Juifs expulsés de l'Algérie qui s'en insurge ?
Les juifs ont été expulsés de partout dans l'histoire.

Cf Bernard Lazare, Léon Poliakov, etc.
Auteur : Arzew
Date : 19 mai18, 03:15
Message :
imperiocristo a ecrit :

Les Juifs expulsés de toute l'Arabie tout comme les chrétiens ! qui s'en insurge ?
Les Juifs expulsés de l'Algérie qui s'en insurge ?
Les chrétiens persécutés en terre d'Islam qui s'en insurge ?
Les Juifs chassés de toute cette partie que l'on appelle aujourd'hui Israël puis cette partie du monde est Islamisé
Un jour quand ses même Juifs reviennent on les traitent d'envahisseurs
Le seul élément que je trouve déplorable c'est l'usage d'armes létales quand ont à en face des frondes et des pierres

Il faudrait croire que seuls les musulmans auraient le droit de chasser des communautés puis se victimiser derrière
arrêtes ton baratin le juif !
vous pompez l'air a tout le monde avec vos histoires d'holocauste et le massacre des juifs par les nazis !
et maintenant , tes semblables les sionistes , colonisez un pays qui ne vous as jamais appartenu et ne vous appartient toujours pas !
islarel n'existe que depuis 70 ans reconnut officiellement par l'Onu ....

une question alors s'impose : depuis des siècles durant , ou ta race d'envahisseurs envahissaient la planète entière en y semant sa gangrène , pourquoi avoir attendu tout ce temps a réclamer le droit de citoyenneté ? (qui plus est , par la violence et l'oppression que vous perpétrez aux palestiniens avec les quels vous viviez en communauté sans le moindre problème )


https://youtu.be/5D5N3KkQN98

Images extrêmement rares de la Palestine entre 1880 et 1896. Pour déconstruire le mythe : “une terre sans peuple, pour un peuple sans terre”. Contrairement aux allégations du sionisme, en Palestine il existait bien une population, des villes, des champs cultivés… en résumé une vie avant la colonisation.

Auteur : Elimélec
Date : 19 mai18, 03:33
Message :
Arzew a écrit :[
islarel n'existe que depuis 70 ans reconnut officiellement par l'Onu ....
Si on écoute la propagande médiatique, il semble qu’en 1948, les juifs ont volé et occupé une terre qui appartenait aux palestiniens arabes.
Pourtant tous les faits historiques démontrent que cette terre a toujours été juive depuis des milliers d’années,
et que les arabes y sont les réels envahisseurs.

La création du royaume d’Israël sur cette terre date de 3000 ans.
Après l’exode des juifs d’Egypte, ils sont arrivés sur cette terre qui était pratiquement désertique.
Pendant les milliers d’années qui ont suivi, les grands empires ont conquis plusieurs territoires, y compris cette terre.
Malgré les conquérants, la population est resté majoritairement juive et par la suite en partie chrétienne.

La région a été gouvernée successivement par les grecs, maccabéens, romains, byzantins, arabes, égyptiens, croisés,
mamelouks et finalement l’empire ottoman, avant d’être délogés par les britanniques durant la 1ère guerre mondiale (1914-18).
Mais même toutes les invasions n’ont pas changé la population en place, qui restait très majoritairement juive.
C’est pendant l’occupation Romaine que le territoire, que cette terre a été renommée « Syria Palaestina »,
un nom dérivé de « Philistin » (peuple du Nord est de l’égypte qui n’existe plus aujourd’hui).
Une façon pour les conquérants d’humilier les juifs et tenter de minimiser leur connection avec cette terre.
Bien que mentionné dans le coran, les musulmans pour des raisons politiques ne veulent pas utiliser le mot "israël"
ils préfèrent garder le mot païen de Palestine donné par les Romains, bien que ce nom ne figure ni dans la bible,
ni dans le coran.

En 70 après J.-C., des juifs de Palestine se révoltent contre la domination romaine.
Le général Titus réprime le soulèvement, saccage Jérusalem et détruit le second Temple.
De cet édifice, il reste aujourd’hui le mur des Lamentations. Cet événement marque le début de la diaspora :
les juifs se dispersent en une multitude de communautés à travers le monde
mais entretiennent des liens religieux et, souvent, familiaux malgré les distances.

De sa conquête par les Arabes en 637 à la fin de la Première Guerre mondiale en 1918,
la Palestine est presque exclusivement dominée par des puissances musulmanes.
Seule une parenthèse chrétienne interrompt cette continuité au XIIe siècle
: la Première croisade permet en effet aux chrétiens de prendre la « Terre sainte » en 1099.
Ils la dominent jusqu’à leur défaite face à Saladin en 1187. Du XVIe au début du XXe siècle,
Jérusalem passe sous domination ottomane.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 19 mai18, 03:47
Message :
Elimélec a écrit :Pourtant tous les faits historiques démontrent que cette terre a toujours été juive depuis des milliers d’années,
et que les arabes y sont les réels envahisseurs.
Et ces envahisseurs arabes ont humilié par des discriminations juridiques et fiscales les non-musulmans qu'ils avaient subjugués jusqu'à ce que ceux-ci se convertissent à l'islam.

Et les Judéens juifs sont devenus des Judéens musulmans.
Auteur : nausic
Date : 19 mai18, 03:53
Message :
Saint Glinglin a écrit : Et ces envahisseurs arabes ont humilié par des discriminations juridiques et fiscales les non-musulmans qu'ils avaient subjugués jusqu'à ce que ceux-ci se convertissent à l'islam.

Et les Judéens juifs sont devenus des Judéens musulmans.
Non . Ces judéens juifs ont tous été tués . C était un génocide
Auteur : Saint Glinglin
Date : 19 mai18, 04:01
Message : Dans quel roman ?
Auteur : nausic
Date : 19 mai18, 04:05
Message :
Saint Glinglin a écrit :Dans quel roman ?
Voyons .. Tu veux nous faire croire tes romans musulmans ?
Auteur : Saint Glinglin
Date : 19 mai18, 04:27
Message : Ce ne sont pas les musulmans qui ont inventé cette histoire d'exil.
Auteur : Arzew
Date : 19 mai18, 09:50
Message : edit ...
Auteur : Arzew
Date : 19 mai18, 09:50
Message : edit...
Auteur : Arzew
Date : 19 mai18, 09:50
Message :
Elimelk a ecrit :
Si on écoute la propagande médiatique, il semble qu’en 1948, les juifs ont volé et occupé une terre qui appartenait aux palestiniens arabes.
Pourtant tous les faits historiques démontrent que cette terre a toujours été juive depuis des milliers d’années,
et que les arabes y sont les réels envahisseurs.
:hum: ce n'est pas ce m'apprend l'islam et l'histoire de la Palestine dans le coran !
désolé pour ta bible ! mais avec toutes les énormités faramineuses qu'on y trouve je serai plus tendance a croire a une vérité émanant de l'unique seigneur plutôt qu'a un allier des juifs sionistes .

tu vas donc comprendre et connaitre la vraie histoire de la Palestine antique et religieuse mon cher zami :

-Les premiers Habitants
I L’antiquité de la Palestine


Personne ne sait avec exactitude quand eurent lieus les premiers peuplements en terre de Palestine, et il n’existe aucune preuve qui permette de dater l’évènement. Néanmoins, les premiers restes et témoignage archéologique conduisent à penser que les premiers à peupler la Palestine furent les Natoufiyyoun au XX°siècle avant J.C. ; il s'agissait d'un ensemble tribus comme en témoignent certains vestiges. Mais on ne sait ni qui ils furent, ni d’où ils vinrent.

Jéricho

AU VIII° siècle avant Jésus-Christ, les premiers témoignages archéologiques signalent l'existence de vestiges d'une ville connue sous le nom de [*]Jéricho.[/color]
Certains chercheurs considèrent qu'il s'agit de la plus ancienne ville au monde.
Autrefois, les peuples vivaient en nomade à la recherche d'eau et de terres fertiles.
Néanmoins, le mode de vie sédentaire apparut dès l'Antiquité, laissa ses premières traces à Jéricho comme nous venons de le dire, bien que nous le sachions rien du peuple en question, de ses origines, ni de sa provenance.
Les Cananéens
Les premières découvertes archéologiques mises au jour en Palestine remontent au cananéen et aux amorites. Ces peuples étaient des tribus qui émigrèrent de l'Arabie vers le nord et s'installèrent en terre de Syrie (Ash-sham), et concrètement en Palestine. Ceci a été clairement démontré dans l'histoire de la Palestine et confirmée aussi bien par les historiens orientaux occidentaux. Par conséquent, les premiers faits historiques enregistrés sur les premiers habitants de la Palestine remontent aux Arabes cananéens et aux Amorites. Quant aux juifs, ils ne sont pas mentionnés dans cette histoire. Qui plus est, ils ne firent leur première apparition que plusieurs siècles plus tard, comme le démontrent de nombreuses évidences historiques corrélatives.
Les Jébusites

Nombreuses furent les tribus arabes de la péninsule arabique qui émigrèrent vers le nord. Là-bas, elles se dispersèrent entre la Syrie et l'Irak (Mésopotamie). Parmi celles-ci, se trouvaient les cananéens qui peuplèrent les vallées de la Palestine. D'autres, les Jébusites s'installèrent dans la région d'Al Qods (Jérusalem), avant même son édification. D'autres peuples se séparèrent et peuplèrent les montagnes : il s'agissait des Phéniciens et des Am-mourriyyoun. Ainsi les tribus se répartirent de la terre de Palestine. Les livres d'histoire, s'appuyant sur les documents archéologiques sur la réalité manifeste, citent les noms de tous ces peuples en fonction de leur distribution géographique en Palestine.



« Pour les archéologues, la Palestine est connue sous le nom de terres de Canaan, faisant référence au cananéen. »



La terre de Canaan a été clairement mentionnée dans l'Ancien Testament et le nouveau testament ainsi que dans les livres d'histoire de l'époque sans qu'aucune référence aux israélites ait été faite.
2) l'origine du mot Palestine
« Baalist »



Le nom de Palestine est surtout attribué à d'autres peuples venus d’îles méditerranéennes, et notamment de Crêtes. Il semblerait que les peuples de ces îles, pour cause de famine ou d'un événement particulier, aient été contraints à plusieurs reprises d’attaquer les côtes de Syrie et d'Égypte. Ils furent contenus une première fois par Ramsès III dans la célèbre bataille de « luzin » qui se déroula en Égypte. Ramsès refusa leur installation en Égypte. Après négociations, ils émigrèrent en Palestine. Ramsès leur ordonna de s'établir au sud, dans une région appelée « Baalist ». Ainsi le stipulent livres d'histoire et textes sacrées citant le nom « Baalist » comme étant à l'origine de « Al balistiy-yun », habitant de « Baalist ». Voici d’où provient le terme de Palestine, connu alors sous le nom de Balestin, et qui au cours du temps se transforma en Palestine. Cependant, ces peuples furent voisins aussi bien avec les cananéens qu’avec les « Yabisiyun » qui furent les premiers habitants de la région. C'est ainsi que leurs langues se rapprochèrent et se confondirent, et que les habitants s’unirent au peuple originaire de cette région qui, en outre, était à la fois plus nombreux et plus civilisé. Le temps aidant, les »Balistiniyun » fusionnèrent avec les cananéens. Cette unification effaça toute trace de ce peuple en tant que tel qui peu à peu cessa de constituer une référence historique en soi.



Ces données nous permettent de constater que jusqu'alors, il n'a jamais été fait mention des juifs. Où se trouvait-il à cette époque, comment arrivèrent-ils en terre de Palestine ? Tous les documents archéologiques, les livres d'histoire et les livres sacrés, ainsi que les livres occidentaux corroborent que les habitants originaires de la Palestine sont bel et bien les cananéens et les Jébusites.
II Les israélites en Palestine
1) l'émigration des israélites en Palestine
Jacob
L'histoire nous raconte que les deux fils d'Abraham, Isaac et Ismaël, naquirent en Palestine. Ils étaient issus d'une famille d'immigrants et ne faisait pas partie de la population de résidents de souche. Jacob, appelé aussi Israël, était le fils d'Isaac. L'un de ses fils se prénommait Joseph. Le Coran parle de Joseph comme un homme qui arriva en Égypte comme esclaves, jusqu'à ce que Dieu lui enseigne la sagesse et l'art d'interpréter les rêves. Il devint un personnage important en Égypte où il devint ministre des finances. C'est alors qu'il chercha son père ainsi que tous les siens afin de les faire venir auprès de lui en Égypte. « Yusuf » (93)



C'est ainsi que Jacob réunit toute sa famille ainsi que ses fils est parti s'établir définitivement en Égypte. L'histoire ainsi que tous les ouvrages s'accordent a confirmer l'exactitude de ces faits. Aucun des descendants de Jacob ne vécurent ne serait-ce qu'une seule génération en Palestine. Dans ce cas, comment les israélites peuvent-ils prétendre que la Palestine soit leur terre, utilisant comme prétexte le fait que Jacob y résidait pendant une certaine période de temps ?
Moïse
Les israélites vécurent une autre phase migratoire vers la Palestine avec Moïse, lorsque celui-ci émigra d'Égypte avec son peuple, fils d'Israël, fuyant le pharaon et son armée. Nous voyons clairement que les israélites n’entrèrent en Palestine qu'en qualité d'immigrants. Quant aux véritables autochtones de la Palestine, il s'agissait bien des cananéens. Comme j'ai pu le vérifier, et non pas dans les livres arabes, mais dans des livres saints et ouvrages occidentaux, les israélites émigrèrent majoritairement d’Égypte en Palestine. Et ce, car la Palestine dépendait administrativement de l'Égypte mais aussi du point de vue politique et historique depuis l’édification du temple fondé par Jacob. À cette époque, les pharaons avaient commencé à s'étendre sur ces territoires et finir par occuper la Palestine, concrètement la région qui se trouvait sous la domination des Hicsos. Lorsqu'elle fut annexée à l'Égypte, il ne fut mentionné à aucun moment que les israélites en firent leur terre ou qu'ils la peuplèrent pendant une longue période de temps. Ce furent de courtes périodes d'émigration et il est définitivement prouvé que les premiers possesseurs de cette terre furent les cananéens et les Jébusites.
Revenons à l'immigration de Moïse et à l'intervention de Dieu pour sauver les fils et d'Israël en noyant en mer les partisans du pharaon et son armée. Avec cette histoire, nous détenons les arguments et disposant d'un réel point de vue permettant de révéler qui sont réellement les israélites, le peuple d'Israël ; avant son histoire, et celle de son prophète Moïse, je fournis tous les exemples et offre toutes les mises en garde nécessaires à tous ceux qui voudront découvrir par eux-mêmes à quel point la cause de ce peuple est illégitime, et le voir tel qu'il est en réalité.
2) Moïse et les israélites
Moïse en Égypte




Moïse fit son apparition en Égypte. Cet événement remonte à 1250 avant Jésus-Christ. Dieu l'aida en réalisant de nombreux miracles éblouissants. Il commença tout d'abord par inspirer sa mère pour qu'elle le jette à l'eau et qu'il soit éduqué par le tirant pharaon qui tenait sous son joug tout le peuple d'Égypte. Le Coran raconte que lorsqu'il grandit, Moïse tua par erreur un Égyptien et se réfugia à Madian fuyant le pharaon et son conseil de notables. Il fut alors inspiré par une mission que Dieu lui ordonna de remplir, afin que les gens cessent d'adorer le pharaon pour se tourner exclusivement vers Lui, et afin que les fils d'Israël puissent fuir d'Égypte où ils étaient opprimés par le pharaon ; de nombreux miracles l’aidèrent dans sa mission. L'un de ces miracles fut celui du bâton qui se transforma en serpent et sa main qui devint blanche, démontrant ainsi qu'il était un grand magicien. Cette histoire a été maintes fois racontée. Moïse défia le pharaon devant les fils Israël et l'assemblée de son peuple. Et le pharaon fut alors venir ces magiciens pour affronter le défit. Finalement, de nombreux fils Israël et de magiciens s'unirent à Moïse et crurent en sa mission et en le Seigneur de moïse et Aaron, se détournant ainsi du pharaon et de ses sbires. Alors Dieu inspira Moïse, il le prévint que le pharaon allait le tromper, ils quittèrent donc l'Égypte en direction de la Palestine. Le pharaon les poursuivi et fut sur le point de les rattraper au bord d'un des deux bras de la mer Rouge, le gauche très exactement.



Là, Dieu ouvrit un passage au beau milieu de l'eau à Moïse et à ses compagnons, et ils traversèrent sur la terre ferme. Lorsque le pharaon et ses soldats les atteignirent, ils coulèrent. C'est ainsi que Dieu lui offrit la sécurité et la tranquillité au peuple de Moïse, après que celui-ci ait été persécuté et terrorisé.
Moïse au Sinaï
Lorsque Moïse et ses compagnons arrivèrent au Sinaï, ils trouvèrent un peuple qui adorait les idoles. Ses compagnons dirent à Moïse : « désignes-nous des dieux comme les leurs ». Moïse s'étonna de leur attitude et les traita d’ignorants. Comment est-il possible, qu’après vous avoir montré 10 miracles, parmi lesquels l'ouverture d'un chemin de terre ferme au beau milieu de la mer, vous demandiez à en adorer un autre, alors que Dieu lui-même vous a invité à le vénérer ? Ceci démontrait à quel point le manque de conviction dans leur foi était enraciné dans leurs âmes et provoqua chez Moïse et son frère Aaron, un grand étonnement. De fait, les israélites s'étaient imprégnés d'ingratitude et de subjugation tout au long de ces années passées au service des pharaons d'Égypte.
Le mont Sinaï



Moïse décida d'aller au devant de son peuple au mont Sinaï (jabalut-tor), pour dialoguer avec son seigneur. Il s'absenta 40 jours pendant lesquels il délégua le commandement à son frère Aaron. Lorsqu'il revint, il les trouva en adoration devant un veau d’or au lieu de Dieu. Cette désobéissance fut le péché le plus grand et le plus grave. Dieu les Châtia en exigeant leur suicide comme repentir, puisque les lois canoniques stipulaient que le repentir pour avoir associé Dieu à des créatures terrestres et pour ingratitude passait par le suicide. Le suicide était la pénitence qui conduisait au paradis. Malgré tout ce qui fut dit, ils refusèrent d'obéir. Alors il leur dit : « écoutez et obéissez ». Ils répondirent : « nous avons écouté mais nous désobéissons. » Un avertissement divin leur parvint alors, les menaçant de châtiment. Ils virent comment le mont Sinaï se souleva tout entier au-dessus de leur tête. Moïse leur dit : « écoutez et obéissez », alors obligés ils répondirent « nous écoutons et nous obéissons ».



Ensuite, Moïse choisit 70 des meilleurs hommes de son peuple pour la rencontre avec Dieu sur le mont Sinaï, et demander pardon au seigneur pour la désobéissance de ses brebis égarées, alors qu'ils avaient vu de leurs propres yeux le 11eme miracle ou l'ébranlement du mont Sinaï. Lorsqu'ils entendirent Moïse parler à Dieu, ils vinrent lui dire qu'ils ne croiraient en lui que lorsqu'il verrait Dieu face-à-face. La réponse fut un coup de foudre fulminant. Néanmoins, Moïse supplia son seigneur, car ces hommes étaient les meilleures de son peuple, et Dieu par générosité pour Moïse les ressuscita. Celui-ci devait être le deuxième miracle. Et ainsi se succédèrent les miracles de moïse devant son peuple sans que s’apaisent l'arrogance et l'ingratitude de celui-ci.



Moïse en Palestine

Lorsque les compagnons de moïse arrivèrent aux portes de la Palestine, celui-ci les informa que Dieu leur ordonnait d'entrer dans Jérusalem. Leur réponse fut que là-bas, vivait un peuple très puissant et qu'ils n'entreraient que lorsque celui-ci fût dehors. Moïse et Aaron leur conseillèrent d'y entrer tout de même car Dieu leur garantissait la victoire. Ils persistèrent dans le refus et dirent à moïse d'y entrer avec son Dieu et de lutter pour eux, car ils n'avaient pas l'intention de suivre les ordres de Dieu. ‘’Al Ma-ida’’ (26)
L'histoire de la vache les israélites



Au cours de leur périple, eut lieu l'épisode de la vache qui leur fut ordonnée d’égorger. Ils ne cessèrent de poser une question après l'autre, cherchant à se rebeller de façon tenace contre tout type d'ordre divin transmis par la bouche de leur prophète. Mais à peine eurent-ils égorgé la vache, que Moïse en prit un morceau et le jeta sur le cadavre d'un homme assassiné dont on ne connaissait pas l'assassin. Le mort ressuscita entre ses mains et révéla le nom de son assassin. Il s'agissait du 13e miracle. Mais, pensez-vous qu'une brèche se soit ouverte dans leur cœur, qu'ils se soient adoucis pour autant, les sensibilisant aux cultes et à l'obéissance ? Non. Ce fut même le contraire. Leurs cœurs se durcirent comme la pierre et plus encore. « Al Baqara » (74)



L'exode



Ils vécurent 40 ans dans la misère désobéissant aux commandements de Dieu. Parmi eux se trouvaient leur prophète Moïse. Dieu lui envoya l'ange de la mort pour le faire choisir entre la vie et la mort. Moïse choisit la mort près des lieux saints. À un jet de pierre de Jérusalem, où s'était formée une dune de sable rouge, l'ange de la mort remplie sa mission et emporta son âme. Cependant son peuple ne trouva pas son chemin jusqu'à cet endroit et continua à errer, incapable de sortir du désert et de la misère. Après 40 ans d'errance, Dieu les guida à travers un disciple de moïse, le prophète qui se chargea de les mener jusqu'en Jordanie. Toutes ces histoires témoignent des préoccupations et tourments que Moïse a dû souffrir avec son peuple.



« Le fait que les israélites vécurent dans l'errance et la misère pendant 40 ans, permis d'en finir avec une génération de rebelles infidèles et voir arriver une autre génération, éduqués par les prophètes.»
3. les israélites après Moïse
Josué



A cette époque, ce fut Josué qui les guida vers la terre sainte. Ils allèrent en Palestine mais pas à Jérusalem, d’après les versions les plus fidèles. En réalité, ils vécurent à Jéricho où ils livrèrent bataille contre les puissants géants, les cananéens cités à plusieurs reprises dans le Coran. Les fils d'Israël conquirent Jéricho et l'habitèrent. Les livres d'histoire et la tradition enseigne cet événement tout comme le fait le Coran : ‘’Al Baraqa ‘’ (58)



Entrez dans la ville



Leur prophète leur ordonna d'entrer dans la ville et de manger tout ce qu'ils trouveraient à condition de passer la porte prosternée et en disant : « pardonnez » (het-tah), c'est-à-dire : notre seigneur, pardonnez-nous nos péchés, ou pardonne –nous. Tandis qu’eux, plongée dans leur rébellion, transformèrent le mot et dirent hentah, c'est-à-dire « blé » par pure arrogance et orgueil. Ils se moquèrent de Josué et déclarèrent qu'ils étaient sortis victorieux grâce à leur seule et unique force. ’’Al Baqara’’ (59)
L'aberration des fils d'Israël
Les israélites restent en Palestine. Jéricho devint leur capital jusqu'à la mort de Josué. Alors, ils se désunirent, se dispersèrent, et leurs guerres firent des ravages parmi eux. Ils eurent beaucoup de prophètes, c'est effectivement le peuple qui en a eu le plus. Il y eut jusqu'à trois prophètes pour la même ville. « Chaque fois qu'un prophète mourait, il en apparaissait un autre » Dit le prophète Mohammed. Le Coran raconte même comment deux prophètes discrédités étaient renforcés par un troisième.’’Yassin ‘’ (13_14).
La plupart d'entre eux continuaient de leur désobéir et plus tard, ils devaient même les assassiner ‘’An-nisae’’ (155)



Ainsi s’enracinèrent infidélités et arrogances dans les cœurs des rebelles qui s'habituaient à associer Dieu à d'autres créatures vivant dans le péché. Ils continuèrent à protester avec ténacité, désobéissant et tuant leurs prophètes. Après avoir tué leurs prophètes qui étaient de la même foi qu’eux, de la même famille, plus aucun être humain n'avait d'importance pour eux. Ils méritaient alors la colère et le châtiment de Dieu ‘’Al Baqara’’ (61)



L'oppression des fils d'Israël



A Jéricho, les géants cananéens des dominèrent et leur infligèrent tous types de châtiment, humiliations et d'esclavagisme. Il est primaire de leurs droits sacrés et de leurs biens. Ils les privèrent de leurs droits sacrés et de leurs biens. Parmi ceux-ci, ils emportèrent l'arche alliance, bien qu'il leur était le plus sacré. Il s'agissait d'une arche qui renfermait les tables détaillées des commandements divins : ‘’Al Airf’’ (145)



Cependant, plus tard, un groupe de rabbins rebelles falsifièrent les tables, et on raconta qu'il ne restait que dans l'arche que deux des 10 commandements qui se trouvaient près du baton de moïse et des vêtements de son frère Aaron : ‘’Al Baqara’’ (248)



Talout, le nouveau roi




Ils continuèrent ainsi jusqu'à l’époque où le roi cananéen Goliath gouverna Jérusalem. Les fils d'Israël, déroutés, dispersés et déchirés, n'avaient personne pour les gouverner ni les réunir dans leur pire moment. Ils demandèrent alors à leur prophète qu’il rendît leur gloire et leur grandeur, et qu'ils les sortent de l'humiliation dans laquelle il vivait en leur désignant un roi pour les guider jusqu'à la victoire. Leur prophète leur dit avec une histoire et un passé aussi noir, si Dieu accédait favorablement à leur demande, il se demandait jusqu'à quel point il lui serait obéissant, soumis, sans contester ses ordres. Ils dirent : « et pourquoi ne lui obéirait-on pas, nous qui aujourd'hui sommes les plus humiliés, comment pourrions-nous nous opposer à ses ordres si son désir est de rendre à notre peuple sa gloire et sa grandeur ».
Leur prophète les informa que Dieu leur avait choisi un roi. Il s'appelait Talout. Ils manifestèrent aussitôt leur désapprobation car Talout n'était pas de souche israélite et que celle-ci ne manquait pas de roi. Ils considéraient qu'ils étaient plus en droit de revendiquer le droit le titre de roi que Talout, refusant ainsi catégoriquement la décision divine : ‘’Al Baqara’’ (247)



La récupération de l’arche




Lorsque le prophète les informa de l'assignation de leur nouveau roi, il leur dit que Dieu leur enverrait un signe est une épreuve. Il s'agissait du retour de l'arche portée par des anges : ‘’Al Baqara’’ (248)



Lorsqu'ils virent l'arche portée par les anges, ils eurent beaucoup de mal à croire ce qu'il voyait, jusqu'à ce qu'ils la tinrent entre leurs mains. Ils l’ouvrirent alors et purent vérifier qu'il s'agissait effectivement de l'arche perdue. Ils s'en réjouirent et acceptèrent la désignation de Talout comme roi.
Dans les restes archéologiques, on trouva des images et des dessins d'une arche portée par des anges ailés. Cet épisode est documenté dans l'histoire des juifs ainsi que dans leurs livres. En réalité, ils ne virent pas les anges (bien évidemment), mais les imaginèrent et les dessinèrent. Il s'agit d'un fait bien connu d’eux, mais ce miracle les fit-il se soumettre à leur roi pour autant ?



Leur désobéissance à Talout




A nouveau, ils firent acte d'apostasie et s'opposèrent à leur roi avec force. Seul un petit groupe de fidèles convaincus lutta aux côtés de son roi. Celui-ci se mit à la tête des israélites fidèles qui en chemins, durent passer par un fleuve. Il leur ordonna alors de ne pas boire de son eau. Il les prévint en leur disant que quiconque boirait de cette eau ne ferait plus parti des siens et que ceux qui s'abstiendraient d'en boire continueraient à ses côtés. C'était une manière d'éprouver leur patience et leur volonté de pouvoir tenir et supporter la lutte. Cependant la plupart en but, ne pouvant montrer plus de désobéissance et d'opposition :’’Al baqara’’ (249)



La minorité croyante




Malgré tout, le petit groupe se dirigeait vers la bataille, ce qui signifiait qu'ils allaient devoir affronter les corpulents géants. La majorité qui refusa de participer à la lutte par manque de courage, vit comment la minorité des israélites fidèles eut la force suffisante pour battre les géants supérieurs en nombre, grâce à Dieu, à la patience qui leur inspira et à la prière. ‘Al baqara’’ (249/250)



David




« Dieu honora les fils Israël en lors offrant la vie voir contre leurs ennemis, par la main de leurs prophètes David. Se montrèrent-ils reconnaissant pour autant ? »



Les historiens parlent d'un groupe de 70 guerriers israélites, qui s'engagea dans cette bataille contre les vigoureux géants. Goliath sorti les défis et en duel, mais aucun soldat n’eut le courage de relever le défit. C'est alors qu'un jeune homme de 16 ans osa sortir. Il s'agissait de David. Goliath refusa à cause de son âge et par mépris, et continua À encourager les israélites à accepter le duel. Il alla jusqu'à promettre de marier sa fille au vainqueur de ce duel armé afin de qui lui succédât au trône. Finalement, voyant que sa proposition n'avait pas plus de succès, il permit à David de s'affronter avec lui.



David sorti avec une fronde à la main, armé d'une pierre. Son ennemi se lança contre lui, mais David lança son projectile et lui écrase à la tête. Ainsi mourut Goliath, son armée fut dérouté et expulsé. La victoire de Dieu par la main de leur prophète David fut sans appel pour les juifs.



4. l’ère de David et Salomon



La mort de Talout



Après cette victoire, David épousa la fille de Talout. Celui-ci mourut en l'an 1004 avant Jésus-Christ ; sa mort provoqua discordes et divisions. Certains se rallièrent au fils de Talout, d'autres à David, suivant ainsi les conseils de leur roi défunt, qui sentait son gendre plus capable de régner que son propre fils.



Le roi David



Par la suite, David consolida son pouvoir au-delà du royaume de Judée. Sa capitale était la Galilée. Pendant ce temps, le fils de Talout gouvernait sur Jérusalem et ses alentours.



En l’an 1000 il y eut une bataille entre David et son adversaire, le fils de Talout, dont David sorti vainqueur. Il entra dans Jérusalem et en fit la capitale d'Israël. Son règne s'étendait sur une grande partie de la Palestine, les cananéens continuant à gouverner sur la côte.



Le premier royaume des fils d'Israël



Il est important de préciser que le premier royaume juif naquit en Palestine en 995 avant Jésus-Christ. Mais nous savons que les cananéens les Yabysiy-yun furent les premiers à peupler et à gouverner la Palestine durant une longue période de temps qui remonte jusqu'en 2700 avant Jésus-Christ. Cette date est si lointaine qu'elle se perd dans l'Antiquité, cela revient à dire que ces peuples habitèrent la Palestine 1200 ans avant l'arrivée des juifs. Une telle évidence dénie tout type de droit de la part des juifs sur la Palestine ou de revendications de la racine sur cette terre, sachant que l’ère durant laquelle David puis son fils Salomon gouvernèrent sur la Palestine, ne dura pas plus de 90 ans au terme desquelles les juifs se démembrèrent et se disperser à travers le monde.


Le roi Salomon



Cette année la, David mourut, son fils Salomon, dont les célèbres histoires sont contées dans le Coran, succéda à la tête de la dynastie. Dieu lui assujettit les forces de la nature comme le vent mis à son service les génies, les oiseaux et tous les animaux qui réalisaient tout ce qu'il leur commandait, comme par exemple, la construction d'autels, statues et palais entre autres. ‘’Saba’ ’’(13). À la mort de Salomon, la dynastie se morcela entre ses fils et s'affaiblit.

Le soi-disant temple



1) de nombreux soldats et MASSON se chargèrent la construction du soi-disant temple. On les reconnut plus tard comme franc-maçon c'est-à-dire, MASSON. De là vient le terme de franc-maçon qui à l'origine signifiait constructeur de temple.
2) les textes indiquent que le temple fut construit en un lieu près de la mosquée de Jérusalem, mais il n'existe aucune date précise ni aucune preuve du lieu où il fut construit. Il n'existe dans les ouvrages des juifs qu'une description fantasmée



3) La description de la construction de ce temple dans les livres relèvent de l'imaginaire que de la réalité. On remarquera l'exagération et le remplissage qui parle d'un palais tout en lors. Dans le livre sacré, les juifs se vantent de la minutieuse description de l'édifice, doté d'un Mihrab ou sancta sanctorum de 10 m de long, 10 de large et 10 épaisseurs, devant lequel se trouvait l'autel principal. Le tout baignant dans l'or. Il y avait également de grandes chaînes devant le sancta sanctorum, ainsi que des statues d’anges dotés d’ailes d'une envergure de 10 bras, également tout4 En or.
4) l'arche fut placée dans le sancta sanctorum à l'intérieur du temple, au beau milieu de grandes festivités données pour l'occasion, et au cours desquelles on sacrifia un nombre incalculable de tête de bovins et d'ovins.
5) les historiens mettent en doute la véracité des faits exposés relatifs au temple, car les livres sacrés furent 'écrits 700 ans après la mort de Moïse. Pendant ce temps, les écrits subirent de nombreuses altérations des modifications reconnues par les prêtres juifs eux-mêmes.




6) aujourd'hui, les juifs cherchent le temple et organise des fouilles dans le but de le mettre au jour. Pendant ce temps, dans les livres et autres sources, comme les manuels d'histoire, on insiste sur le fait que le temple fut détruit, brûlé, et qui n'en resta pas une pierre.



7) les livres d'histoire précise que les colonnes des temples n'étaient pas faites d'or comme le dirent les juifs, mais de pierres et de cuivres.
Ces faits avaient été historiquement documentés et révélés dans les livres sacrés des juifs ainsi que dans les livres occidentaux, avant même d'apparaître dans les livres arabes ; il va sans dire que le Coran et la Sounna avait déjà apporté beaucoup de détails concernant ces événements.
Les tribus arabes qui émigrèrent depuis la péninsule arabique s'installèrent en Palestine 1000 ans avant l'arrivée des israélites, période pendant laquelle régnait à David et son fils Salomon.

Auteur : Elimélec
Date : 19 mai18, 22:11
Message :
Arzew a écrit : je serai plus tendance a croire a une vérité émanant de l'unique seigneur
Moi aussi, c'est pour ça que je me réfère à la Bible, qui parle justement de l'Eternel l'unique Seigneur,
et pas du dieu païen Allah de la kaaba et de la pierre noire dont les récits mythologiques sont relatés dans le coran.
Auteur : YehoshuaEl Shaddai
Date : 20 mai18, 08:25
Message :
Arzew a écrit : arrêtes ton baratin le juif !
vous pompez l'air a tout le monde avec vos histoires d'holocauste et le massacre des juifs par les nazis !
et maintenant , tes semblables les sionistes , colonisez un pays qui ne vous as jamais appartenu et ne vous appartient toujours pas
Calme toi le haineux
Je te parle pas de l'holocauste moi je te parle de ce qui c'est passe en Orient
Visiblement le plus traumatiser de l'holocauste c'est toi

Les Juifs ont de tout temps été en Palestine mon ami mais comme d'habitude vous occultez l'histoire
Quand Mahomet a chassé a coup d'épée les tribus Juives et les chrétiens de l'Arabie il leur a pas demandez leur avis et l'histoire s'est perpétuée dans tous les pays voisins
N'oublie pas qu'avant ton prophète priait vers Jérusalem pépito c'est après qu'il en a décidé autrement

Vous refaite l'histoire et le monde s'est impressionnant
Bientôt il faudra quitter la terre vous allez nous pondre que c'est à vous, bah c'est ça, c'est votre mission d'ailleurs c'est d'islamisé le monde, dans quelques années vous allez nous sortir que la France vous appartient etc.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 20 mai18, 09:07
Message : 1099 : prise de Jérusalem par les croisés - fondation des états latins d'Orient
1291 : prise de Saint Jean d'Acre par les musulmans - fin des états latins d'Orient

1948 : fondation de l'état d'Israël
2099 : prise de Jérusalem par les musulmans et fin de l'état d'Israël
Auteur : Yacine
Date : 20 mai18, 09:33
Message : Non ça sera entre 2022 et 2023.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 20 mai18, 09:56
Message : Il faut d'abord que les Arabes deviennent majoritaires à l'ouest du Jourdain.
Auteur : Yacine
Date : 20 mai18, 10:03
Message : On sait pas comment, mais tout laisse à penser que ça sera cette date. Wait and see...
Auteur : Arzew
Date : 20 mai18, 20:12
Message :
Yacine a écrit :On sait pas comment, mais tout laisse à penser que ça sera cette date. Wait and see...
salam ,

tu peux donner des détails stp ?
Auteur : Yacine
Date : 20 mai18, 21:20
Message : Il y a d'innombrables indices numériques coraniques qui convergent vers la date 2022. Le secte juive antisioniste Neturei Karta qui n'ont rien à voir avec l'Islam et le Coran, prédisent que ça sera en 2023. Henry Kissinger lui même prédit que la fin est très proche. Ce qui est sûr est que les années à venir foisonneront d'événements.

Celui qui a mené le plus de recherche coranique en ce propos est Bassam Jarrar, je te laisse avec cette vidéo traduite en français : https://www.youtube.com/watch?v=7Zthp894Tz4

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