Auteur : Gorgonzola Date : 23 juil.22, 23:54 Message : Jésus incarnation du Verbe n'est pas seulement venu du Ciel pour nous parler, il est venu pour faire Justice et ainsi poser le dernier jalon afin d'ouvrir aux hommes la voie de la repentance et du pardon.
Cela ne s'est pas fait sans mal puisque justice devait être faite et non des moindres : vaincre Satan. Jésus n'a pas seulement essuyé une mort atroce sur la croix mais a subi toutes sortes d'offenses qui sont relatées dans les évangiles :
- agonie dans la jardin des oliviers
- flagellation
- couronne d'épines
- portement de la croix
- mort sur la croix
Sans parler des soldats romains qui se disputent sa tunique en la tirant aux dés.
Jésus a été crucifié nu rappelons-le.
Humiliation, coups, crachats, invectives de la part du peuple alors qu'il a opéré des miracles et autres exorcismes pour son peuple, ce jour de la passion et du chemin de croix est l'apogée de la mission terrestre du Christ.
Question simple de ce sujet que j'ai placé dans le sous-forum christianisme, qui rejette et nie cette épisode de la vie du Christ appelé Passion du Christ que nul ne pouvait opérer à sa place (rappelons cette Parole à Pierre qui ne voulait pas que Jésus fût saisi et arrêté : "passe derrière moi Satan, tu es pour moi une occasion de chute : tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes").
Auteur : prisca Date : 24 juil.22, 00:13 Message : Plus l'atrocité de la mort de Jésus est considérable excessive extrême et plus le péché fait par les catholiques est proportionnel car puisque les catholiques disent que Jésus s'offre à D.IEU et plus ils auraient dû tourner leur langue dans leur bouche plusieurs fois avant de le dire car ce serait dire que D.IEU "s'offre" de surcroit (c'est comme un scénario monté de toutes pièces) puisque rien n'est le fruit du hasard de la vie, comme si Jésus vient pour être pacifique et que les gens soient pacifiques à son contact, mais non là tout ne se déroule pas comme prévu car il n'y a rien qui ne soit imprévisible pour le Seigneur, il était prévu que Jésus soit crucifié puisque le Sang de l'Alliance sera le pacte que D.IEU conclue avec nous............... et par conséquent les catholiques auraient dû renoncer à dire que D.IEU s'offre en Sacrifice Jésus devant l'atrocité de sa mort avec tous les détails que tu as apportés, véridiques puisque Bibliques.........
Volontairement par conséquent D.IEU a voulu que Jésus meurt dans d'horribles souffrances pour votre bien afin que vous renonciez à dire que "c'est une Offrande pour LUI D.IEU" mais cela ne vous a pas fait reculer, vous avez au contraire amplifié votre désamour de D.IEU pour aimer davantage Jésus car même si vous dites du bout des lèvres que vous aimez D.IEU non vous n'aimez pas D.IEU car si vous aviez aimé D.IEU vous n'auriez pas dit que D.IEU s'offre la torture pour se donner quelque occasion de pardonner.....
Vous appesantir sur "la passion du Christ" ne fait qu'aggraver votre cas.
Auteur : lafrisée Date : 19 août22, 21:01 Message : Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (évangile d'aujourd'hui)
En ce temps-là,
Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples,
et il déclara :
« Les scribes et les pharisiens enseignent
dans la chaire de Moïse.
Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire,
faites-le et observez-le.
Mais n’agissez pas d’après leurs actes,
car ils disent et ne font pas.
Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter,
et ils en chargent les épaules des gens ;
mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt.
Toutes leurs actions, ils les font pour être remarqués des gens :
ils élargissent leurs phylactères
et rallongent leurs franges ;
ils aiment les places d’honneur dans les dîners,
les sièges d’honneur dans les synagogues
et les salutations sur les places publiques ;
ils aiment recevoir des gens le titre de Rabbi.
Pour vous, ne vous faites pas donner le titre de Rabbi,
car vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner,
et vous êtes tous frères.
Ne donnez à personne sur terre le nom de père,
car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est aux cieux.
Ne vous faites pas non plus donner le titre de maîtres,
car vous n’avez qu’un seul maître, le Christ.
Le plus grand parmi vous sera votre serviteur.
Qui s’élèvera sera abaissé,
qui s’abaissera sera élevé. »
Auteur : lafrisée Date : 21 août22, 12:35 Message : évangile du jour :
"Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus disait :
« Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites,
parce que vous fermez à clé le royaume des Cieux
devant les hommes ;
vous-mêmes, en effet, n’y entrez pas,
et vous ne laissez pas entrer
ceux qui veulent entrer !
Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites,
parce que vous parcourez la mer et la terre
pour faire un seul converti,
et quand c’est arrivé,
vous faites de lui un homme voué à la géhenne,
deux fois pire que vous !
Malheureux êtes-vous, guides aveugles,
vous qui dites :
“Si l’on fait un serment par le Sanctuaire,
il est nul ;
mais si l’on fait un serment par l’or du Sanctuaire,
on doit s’en acquitter.”
Insensés et aveugles !
Qu’est-ce qui est le plus important : l’or ?
ou bien le Sanctuaire qui consacre cet or ?
Vous dites encore :
“Si l’on fait un serment par l’autel,
il est nul ;
mais si l’on fait un serment par l’offrande posée sur l’autel,
on doit s’en acquitter.”
Aveugles ! Qu’est-ce qui est le plus important :
l’offrande ?
ou bien l’autel qui consacre cette offrande ?
Celui donc qui fait un serment par l’autel
fait un serment par l’autel
et par tout ce qui est posé dessus ;
celui qui fait un serment par le Sanctuaire
fait un serment par le Sanctuaire
et par Celui qui l’habite ;
et celui qui fait un serment par le ciel
fait un serment par le trône de Dieu
et par Celui qui siège sur ce trône. »
En ce temps-là,
Jésus disait :
« Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites,
parce que vous payez la dîme
sur la menthe, le fenouil et le cumin,
mais vous avez négligé ce qui est le plus important dans la Loi :
la justice, la miséricorde et la fidélité.
Voilà ce qu’il fallait pratiquer
sans négliger le reste.
Guides aveugles ! Vous filtrez le moucheron,
et vous avalez le chameau !
Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites,
parce que vous purifiez l’extérieur de la coupe et de l’assiette,
mais l’intérieur est rempli de cupidité et d’intempérance !
Pharisien aveugle, purifie d’abord l’intérieur de la coupe,
afin que l’extérieur aussi devienne pur. »
Auteur : Gorgonzola Date : 22 août22, 23:11 Message :Mes petits enfants, je vous écris cela pour que vous évitiez le péché. Mais si l’un de nous vient à pécher, nous avons un défenseur devant le Père : Jésus Christ, le Juste.
C’est lui qui, par son sacrifice, obtient le pardon de nos péchés, non seulement les nôtres, mais encore ceux du monde entier.
-
Le menteur n’est-il pas celui qui refuse que Jésus soit le Christ ? Celui-là est l’anti-Christ : il refuse à la fois le Père et le Fils ;
quiconque refuse le Fils n’a pas non plus le Père ; celui qui reconnaît le Fils a aussi le Père.
Quant à vous, que demeure en vous ce que vous avez entendu depuis le commencement. Si ce que vous avez entendu depuis le commencement demeure en vous, vous aussi, vous demeurerez dans le Fils et dans le Père.
Auteur : lafrisée Date : 23 août22, 13:33 Message : évangile du jour
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
En ce temps-là,
Philippe trouve Nathanaël et lui dit :
« Celui dont il est écrit dans la loi de Moïse et chez les Prophètes,
nous l’avons trouvé :
c’est Jésus fils de Joseph,
de Nazareth. »
Nathanaël répliqua :
« De Nazareth
peut-il sortir quelque chose de bon ? »
Philippe répond :
« Viens, et vois. »
Lorsque Jésus voit Nathanaël venir à lui,
il déclare à son sujet :
« Voici vraiment un Israélite :
il n’y a pas de ruse en lui. »
Nathanaël lui demande :
« D’où me connais-tu ? »
Jésus lui répond :
« Avant que Philippe t’appelle,
quand tu étais sous le figuier,
je t’ai vu. »
Nathanaël lui dit :
« Rabbi, c’est toi le Fils de Dieu !
C’est toi le roi d’Israël ! »
Jésus reprend :
« Je te dis que je t’ai vu sous le figuier,
et c’est pour cela que tu crois !
Tu verras des choses plus grandes encore. »
Et il ajoute :
« Amen, amen, je vous le dis :
vous verrez le ciel ouvert,
et les anges de Dieu monter et descendre
au-dessus du Fils de l’homme. »
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
« Veillez,
car vous ne savez pas quel jour
votre Seigneur vient.
Comprenez-le bien :
si le maître de maison avait su
à quelle heure de la nuit le voleur viendrait,
il aurait veillé
et n’aurait pas laissé percer le mur de sa maison.
Tenez-vous donc prêts, vous aussi :
c’est à l’heure où vous n’y penserez pas
que le Fils de l’homme viendra.
Que dire du serviteur fidèle et sensé
à qui le maître a confié la charge des gens de sa maison,
pour leur donner la nourriture en temps voulu ?
Heureux ce serviteur
que son maître, en arrivant, trouvera en train d’agir ainsi !
Amen, je vous le déclare :
il l’établira sur tous ses biens.
Mais si ce mauvais serviteur se dit en lui-même :
“Mon maître tarde”,
et s’il se met à frapper ses compagnons,
s’il mange et boit avec les ivrognes,
alors quand le maître viendra,
le jour où son serviteur ne s’y attend pas
et à l’heure qu’il ne connaît pas,
il l’écartera
et lui fera partager le sort des hypocrites ;
là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. »
Auteur : lafrisée Date : 26 août22, 18:50 Message :"Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens
Frères,
le Christ ne m’a pas envoyé pour baptiser,
mais pour annoncer l’Évangile,
et cela sans avoir recours au langage de la sagesse humaine,
ce qui rendrait vaine la croix du Christ.
Car le langage de la croix est folie
pour ceux qui vont à leur perte,
mais pour ceux qui vont vers leur salut, pour nous,
il est puissance de Dieu.
L’Écriture dit en effet :
Je mènerai à sa perte la sagesse des sages,
et l’intelligence des intelligents, je la rejetterai.
Où est-il, le sage ? Où est-il, le scribe ?
Où est-il, le raisonneur d’ici-bas ?
La sagesse du monde,
Dieu ne l’a-t-il pas rendue folle ?
Puisque, en effet, par une disposition de la sagesse de Dieu,
le monde, avec toute sa sagesse, n’a pas su reconnaître Dieu,
il a plu à Dieu de sauver les croyants
par cette folie qu’est la proclamation de l’Évangile.
Alors que les Juifs réclament des signes miraculeux,
et que les Grecs recherchent une sagesse,
nous, nous proclamons un Messie crucifié,
scandale pour les Juifs,
folie pour les nations païennes.
Mais pour ceux que Dieu appelle,
qu’ils soient Juifs ou Grecs,
ce Messie, ce Christ, est puissance de Dieu
et sagesse de Dieu.
Car ce qui est folie de Dieu est plus sage que les hommes,
et ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes.
– Parole du Seigneur.
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évangile du jour
"Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples cette parabole :
« Un homme qui partait en voyage
appela ses serviteurs et leur confia ses biens.
À l’un il remit une somme de cinq talents,
à un autre deux talents,
au troisième un seul talent,
à chacun selon ses capacités.
Puis il partit.
Aussitôt, celui qui avait reçu les cinq talents
s’en alla pour les faire valoir
et en gagna cinq autres.
De même, celui qui avait reçu deux talents
en gagna deux autres.
Mais celui qui n’en avait reçu qu’un
alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître.
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint
et il leur demanda des comptes.
Celui qui avait reçu cinq talents
s’approcha, présenta cinq autres talents
et dit :
“Seigneur,
tu m’as confié cinq talents ;
voilà, j’en ai gagné cinq autres.”
Son maître lui déclara :
“Très bien, serviteur bon et fidèle,
tu as été fidèle pour peu de choses,
je t’en confierai beaucoup ;
entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi
et dit :
“Seigneur,
tu m’as confié deux talents ;
voilà, j’en ai gagné deux autres.”
Son maître lui déclara :
“Très bien, serviteur bon et fidèle,
tu as été fidèle pour peu de choses,
je t’en confierai beaucoup ;
entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi
et dit :
“Seigneur,
je savais que tu es un homme dur :
tu moissonnes là où tu n’as pas semé,
tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain.
J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre.
Le voici. Tu as ce qui t’appartient.”
Son maître lui répliqua :
“Serviteur mauvais et paresseux,
tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé,
que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu.
Alors, il fallait placer mon argent à la banque ;
et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts.
Enlevez-lui donc son talent
et donnez-le à celui qui en a dix.
À celui qui a, on donnera encore,
et il sera dans l’abondance ;
mais celui qui n’a rien
se verra enlever même ce qu’il a.
Quant à ce serviteur bon à rien,
jetez-le dans les ténèbres extérieures ;
là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !” »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Ajouté 1 minute 13 secondes après :
évangile du jour
"Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples cette parabole :
« Un homme qui partait en voyage
appela ses serviteurs et leur confia ses biens.
À l’un il remit une somme de cinq talents,
à un autre deux talents,
au troisième un seul talent,
à chacun selon ses capacités.
Puis il partit.
Aussitôt, celui qui avait reçu les cinq talents
s’en alla pour les faire valoir
et en gagna cinq autres.
De même, celui qui avait reçu deux talents
en gagna deux autres.
Mais celui qui n’en avait reçu qu’un
alla creuser la terre et cacha l’argent de son maître.
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint
et il leur demanda des comptes.
Celui qui avait reçu cinq talents
s’approcha, présenta cinq autres talents
et dit :
“Seigneur,
tu m’as confié cinq talents ;
voilà, j’en ai gagné cinq autres.”
Son maître lui déclara :
“Très bien, serviteur bon et fidèle,
tu as été fidèle pour peu de choses,
je t’en confierai beaucoup ;
entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi
et dit :
“Seigneur,
tu m’as confié deux talents ;
voilà, j’en ai gagné deux autres.”
Son maître lui déclara :
“Très bien, serviteur bon et fidèle,
tu as été fidèle pour peu de choses,
je t’en confierai beaucoup ;
entre dans la joie de ton seigneur.”
Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi
et dit :
“Seigneur,
je savais que tu es un homme dur :
tu moissonnes là où tu n’as pas semé,
tu ramasses là où tu n’as pas répandu le grain.
J’ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre.
Le voici. Tu as ce qui t’appartient.”
Son maître lui répliqua :
“Serviteur mauvais et paresseux,
tu savais que je moissonne là où je n’ai pas semé,
que je ramasse le grain là où je ne l’ai pas répandu.
Alors, il fallait placer mon argent à la banque ;
et, à mon retour, je l’aurais retrouvé avec les intérêts.
Enlevez-lui donc son talent
et donnez-le à celui qui en a dix.
À celui qui a, on donnera encore,
et il sera dans l’abondance ;
mais celui qui n’a rien
se verra enlever même ce qu’il a.
Quant à ce serviteur bon à rien,
jetez-le dans les ténèbres extérieures ;
là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !” »
Un jour de sabbat,
Jésus était entré dans la maison d’un chef des pharisiens
pour y prendre son repas,
et ces derniers l’observaient.
Jésus dit une parabole aux invités
lorsqu’il remarqua comment ils choisissaient les premières places,
et il leur dit :
« Quand quelqu’un t’invite à des noces,
ne va pas t’installer à la première place,
de peur qu’il ait invité un autre plus considéré que toi.
Alors, celui qui vous a invités, toi et lui,
viendra te dire : ‘Cède-lui ta place’ ;
et, à ce moment, tu iras, plein de honte, prendre la dernière place.
Au contraire, quand tu es invité,
va te mettre à la dernière place.
Alors, quand viendra celui qui t’a invité, il te dira :
‘Mon ami, avance plus haut’,
et ce sera pour toi un honneur
aux yeux de tous ceux qui seront à la table avec toi.
En effet, quiconque s’élève sera abaissé ;
qui s’abaisse sera élevé. »
Jésus disait aussi à celui qui l’avait invité :
« Quand tu donnes un déjeuner ou un dîner,
n’invite pas tes amis, ni tes frères,
ni tes parents, ni de riches voisins ;
sinon, eux aussi te rendraient l’invitation
et ce serait pour toi un don en retour.
Au contraire, quand tu donnes une réception,
invite des pauvres, des estropiés,
des boiteux, des aveugles ;
heureux seras-tu,
parce qu’ils n’ont rien à te donner en retour :
cela te sera rendu à la résurrection des justes. »
En ce temps-là,
Hérode avait donné l’ordre d’arrêter Jean le Baptiste
et de l’enchaîner dans la prison,
à cause d’Hérodiade, la femme de son frère Philippe,
que lui-même avait prise pour épouse.
En effet, Jean lui disait :
« Tu n’as pas le droit
de prendre la femme de ton frère. »
Hérodiade en voulait donc à Jean,
et elle cherchait à le faire mourir.
Mais elle n’y arrivait pas
parce que Hérode avait peur de Jean :
il savait que c’était un homme juste et saint,
et il le protégeait ;
quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ;
cependant il l’écoutait avec plaisir.
Or, une occasion favorable se présenta
quand, le jour de son anniversaire,
Hérode fit un dîner pour ses dignitaires,
pour les chefs de l’armée et pour les notables de la Galilée.
La fille d’Hérodiade fit son entrée et dansa.
Elle plut à Hérode et à ses convives.
Le roi dit à la jeune fille :
« Demande-moi ce que tu veux,
et je te le donnerai. »
Et il lui fit ce serment :
« Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai,
même si c’est la moitié de mon royaume. »
Elle sortit alors pour dire à sa mère :
« Qu’est-ce que je vais demander ? »
Hérodiade répondit :
« La tête de Jean, celui qui baptise. »
Aussitôt la jeune fille s’empressa de retourner auprès du roi,
et lui fit cette demande :
« Je veux que, tout de suite,
tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste. »
Le roi fut vivement contrarié;
mais à cause du serment et des convives,
il ne voulut pas lui opposer un refus.
Aussitôt il envoya un garde
avec l’ordre d’apporter la tête de Jean.
Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison.
Il apporta la tête sur un plat,
la donna à la jeune fille,
et la jeune fille la donna à sa mère.
Ayant appris cela,
les disciples de Jean vinrent prendre son corps
et le déposèrent dans un tombeau.
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : Saint Glinglin Date : 28 août22, 19:51 Message : Des messages pour les statistiques.
Auteur : lafrisée Date : 29 août22, 18:10 Message :évangile du jour
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
Jésus descendit à Capharnaüm, ville de Galilée,
et il y enseignait, le jour du sabbat.
On était frappé par son enseignement
car sa parole était pleine d’autorité.
Or, il y avait dans la synagogue
un homme possédé par l’esprit d’un démon impur,
qui se mit à crier d’une voix forte :
« Ah ! que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ?
Es-tu venu pour nous perdre ?
Je sais qui tu es :
tu es le Saint de Dieu. »
Jésus le menaça :
« Silence ! Sors de cet homme. »
Alors le démon projeta l’homme en plein milieu
et sortit de lui sans lui faire aucun mal.
Tous furent saisis d’effroi et ils se disaient entre eux :
« Quelle est cette parole ?
Il commande avec autorité et puissance
aux esprits impurs,
et ils sortent ! »
Et la réputation de Jésus se propageait dans toute la région.
En ce temps-là,
Jésus quitta la synagogue de Capharnaüm
et entra dans la maison de Simon.
Or, la belle-mère de Simon
était oppressée par une forte fièvre,
et on demanda à Jésus de faire quelque chose pour elle.
Il se pencha sur elle,
menaça la fièvre, et la fièvre la quitta.
À l’instant même, la femme se leva
et elle les servait.
Au coucher du soleil,
tous ceux qui avaient des malades atteints de diverses infirmités
les lui amenèrent.
Et Jésus, imposant les mains à chacun d’eux,
les guérissait.
Et même des démons sortaient de beaucoup d’entre eux en criant :
« C’est toi le Fils de Dieu ! »
Mais Jésus les menaçait et leur interdisait de parler
parce qu’ils savaient, eux, que le Christ, c’était lui.
Quand il fit jour, Jésus sortit
et s’en alla dans un endroit désert.
Les foules le cherchaient ;
elles arrivèrent jusqu’à lui,
et elles le retenaient pour l’empêcher de les quitter.
Mais il leur dit :
« Aux autres villes aussi,
il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle du règne de Dieu,
car c’est pour cela que j’ai été envoyé. »
Et il proclamait l’Évangile
dans les synagogues du pays des Juifs.
– Acclamons la Parole de Dieu.
Ajouté 21 heures 37 secondes après :
- - - - - -
évangile d'aujourd'hui
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
la foule se pressait autour de Jésus
pour écouter la parole de Dieu,
tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth.
Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ;
les pêcheurs en étaient descendus
et lavaient leurs filets.
Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon,
et lui demanda de s’écarter un peu du rivage.
Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.
Quand il eut fini de parler,
il dit à Simon :
« Avance au large,
et jetez vos filets pour la pêche. »
Simon lui répondit :
« Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ;
mais, sur ta parole, je vais jeter les filets. »
Et l’ayant fait,
ils capturèrent une telle quantité de poissons
que leurs filets allaient se déchirer.
Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque
de venir les aider.
Ceux-ci vinrent,
et ils remplirent les deux barques,
à tel point qu’elles enfonçaient.
à cette vue,
Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant :
« Éloigne-toi de moi, Seigneur,
car je suis un homme pécheur. »
En effet, un grand effroi l’avait saisi,
lui et tous ceux qui étaient avec lui,
devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ;
et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, les associés de Simon.
Jésus dit à Simon :
« Sois sans crainte,
désormais ce sont des hommes que tu prendras. »
Alors ils ramenèrent les barques au rivage
et, laissant tout, ils le suivirent.
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : Saint Glinglin Date : 31 août22, 19:54 Message : Il n'y a pas que Prisca pour troller ce forum.....
En ce temps-là,
les pharisiens et les scribes dirent à Jésus :
« Les disciples de Jean le Baptiste jeûnent souvent
et font des prières ;
de même ceux des pharisiens.
Au contraire, les tiens mangent et boivent ! »
Jésus leur dit :
« Pouvez-vous faire jeûner les invités de la noce,
pendant que l’Époux est avec eux ?
Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé ;
alors, en ces jours-là, ils jeûneront. »
Il leur dit aussi en parabole :
« Personne ne déchire un morceau à un vêtement neuf
pour le coudre sur un vieux vêtement.
Autrement, on aura déchiré le neuf,
et le morceau qui vient du neuf
ne s’accordera pas avec le vieux.
Et personne ne met du vin nouveau
dans de vieilles outres ;
autrement, le vin nouveau fera éclater les outres,
il se répandra
et les outres seront perdues.
Mais on doit mettre le vin nouveau dans des outres neuves.
Jamais celui qui a bu du vin vieux ne désire du nouveau.
Car il dit : “C’est le vieux qui est bon.” »
Auteur : Saint Glinglin Date : 01 sept.22, 20:03 Message : C'est cela, oui.
Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs ;
ses disciples arrachaient des épis et les mangeaient,
après les avoir froissés dans leurs mains.
Quelques pharisiens dirent alors :
« Pourquoi faites-vous
ce qui n’est pas permis le jour du sabbat ? »
Jésus leur répondit :
« N’avez-vous pas lu ce que fit David
un jour qu’il eut faim,
lui-même et ceux qui l’accompagnaient ?
Il entra dans la maison de Dieu,
prit les pains de l’offrande, en mangea
et en donna à ceux qui l’accompagnaient,
alors que les prêtres seulement ont le droit d’en manger. »
Il leur disait encore :
« Le Fils de l’homme est maître du sabbat. »
En ce temps-là,
de grandes foules faisaient route avec Jésus ;
il se retourna et leur dit :
« Si quelqu’un vient à moi
sans me préférer à son père, sa mère, sa femme,
ses enfants, ses frères et sœurs,
et même à sa propre vie,
il ne peut pas être mon disciple.
Celui qui ne porte pas sa croix
pour marcher à ma suite
ne peut pas être mon disciple.
Quel est celui d’entre vous
qui, voulant bâtir une tour,
ne commence par s’asseoir
pour calculer la dépense
et voir s’il a de quoi aller jusqu’au bout ?
Car, si jamais il pose les fondations et n’est pas capable d’achever,
tous ceux qui le verront vont se moquer de lui :
‘Voilà un homme qui a commencé à bâtir
et n’a pas été capable d’achever !’
Et quel est le roi
qui, partant en guerre contre un autre roi,
ne commence par s’asseoir
pour voir s’il peut, avec dix mille hommes,
affronter l’autre qui marche contre lui avec vingt mille ?
S’il ne le peut pas,
il envoie, pendant que l’autre est encore loin,
une délégation pour demander les conditions de paix.
Ainsi donc, celui d’entre vous qui ne renonce pas
à tout ce qui lui appartient
ne peut pas être mon disciple. »
Un jour de sabbat,
Jésus était entré dans la synagogue et enseignait.
Il y avait là un homme dont la main droite était desséchée.
Les scribes et les pharisiens observaient Jésus
pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat ;
ils auraient ainsi un motif pour l’accuser.
Mais lui connaissait leurs raisonnements,
et il dit à l’homme qui avait la main desséchée :
« Lève-toi, et tiens-toi debout, là au milieu. »
L’homme se dressa et se tint debout.
Jésus leur dit :
« Je vous le demande :
Est-il permis, le jour du sabbat,
de faire le bien ou de faire le mal ?
de sauver une vie ou de la perdre ? »
Alors, promenant son regard sur eux tous,
il dit à l’homme :
« Étends la main. »
Il le fit, et sa main redevint normale.
Quant à eux, ils furent remplis de fureur
et ils discutaient entre eux
sur ce qu’ils feraient à Jésus.
– Acclamons la Parole de Dieu."
Auteur : Saint Glinglin Date : 05 sept.22, 10:00 Message :Jésus Christ dit aux apôtres
Suivez-moi marchez sur l'eau
Sans se mouiller les uns les autres
Les voilà qui suivent aussitôt
Jésus Christ a donc c'est comique
inventé le ski nautique
Alleluia
Alleluia
Jésus Christ dit qu'on m'apporte
Quelques pains quelques poissons
Je les multiplie par millions
Et les Hébreux se réconfortent
Jésus Christ a donc, quelle malice
Inventé le self-service
Alleluia
Alleluia
Jésus Christ dans le silence
Du Jardin des oliviers
Dit je voudrais m'accuser
De ma désobéissance
Jésus Christ a donc, c'est unique
Inventé l'autocritique
Alleluia
Alleluia
Jésus Christ dit à ses sbires
Je suis le sauveur attendu
Et lorsque vous ne m'aurez plus
Vous pouvez vous attendre au pire
Jésus Christ a donc, quel cynisme
Inventé l'après-gaullisme
Alleluia
Alleluia
En ces jours-là,
Jésus s’en alla dans la montagne pour prier,
et il passa toute la nuit à prier Dieu.
Le jour venu,
il appela ses disciples et en choisit douze
auxquels il donna le nom d’Apôtres :
Simon, auquel il donna le nom de Pierre,
André son frère,
Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy,
Matthieu, Thomas,
Jacques fils d’Alphée,
Simon appelé le Zélote,
Jude fils de Jacques,
et Judas Iscariote, qui devint un traître.
Jésus descendit de la montagne avec eux
et s’arrêta sur un terrain plat.
Il y avait là un grand nombre de ses disciples
et une grande multitude de gens
venus de toute la Judée, de Jérusalem,
et du littoral de Tyr et de Sidon.
Ils étaient venus l’entendre
et se faire guérir de leurs maladies ;
ceux qui étaient tourmentés par des esprits impurs
retrouvaient la santé.
Et toute la foule cherchait à le toucher,
parce qu’une force sortait de lui
et les guérissait tous.
En ce temps-là,
Jésus, levant les yeux sur ses disciples, déclara :
« Heureux, vous les pauvres,
car le royaume de Dieu est à vous.
Heureux, vous qui avez faim maintenant,
car vous serez rassasiés.
Heureux, vous qui pleurez maintenant,
car vous rirez.
Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent
et vous excluent,
quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable,
à cause du Fils de l’homme.
Ce jour-là, réjouissez-vous, tressaillez de joie,
car alors votre récompense est grande dans le ciel ;
c’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les prophètes.
Mais quel malheur pour vous, les riches,
car vous avez votre consolation !
Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant,
car vous aurez faim !
Quel malheur pour vous qui riez maintenant,
car vous serez dans le deuil et vous pleurerez !
Quel malheur pour vous
lorsque tous les hommes disent du bien de vous !
C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : ronronladouceur Date : 07 sept.22, 06:43 Message :
lafrisée a écrit : 06 sept.22, 17:58
- - - - - - -
"Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
[...]
Mais quel malheur pour vous, les riches,
car vous avez votre consolation !
Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant,
car vous aurez faim !
Quel malheur pour vous qui riez maintenant,
car vous serez dans le deuil et vous pleurerez !
Quel malheur pour vous
lorsque tous les hommes disent du bien de vous !
Était-ce une lecture en surface? Mal connaître la nature humaine?
Faut-il plutôt croire que les temps n'ont pas changé même après toutes ces années?
Généalogie de Jésus, Christ,
fils de David, fils d’Abraham.
Abraham engendra Isaac,
Isaac engendra Jacob,
Jacob engendra Juda et ses frères,
Juda, de son union avec Thamar, engendra Pharès et Zara,
Pharès engendra Esrom,
Esrom engendra Aram,
Aram engendra Aminadab,
Aminadab engendra Naassone,
Naassone engendra Salmone,
Salmone, de son union avec Rahab, engendra Booz,
Booz, de son union avec Ruth, engendra Jobed,
Jobed engendra Jessé,
Jessé engendra le roi David.
David, de son union avec la femme d’Ourias, engendra Salomon,
Salomon engendra Roboam,
Roboam engendra Abia,
Abia engendra Asa,
Asa engendra Josaphat,
Josaphat engendra Joram,
Joram engendra Ozias,
Ozias engendra Joatham,
Joatham engendra Acaz,
Acaz engendra Ézékias,
Ézékias engendra Manassé,
Manassé engendra Amone,
Amone engendra Josias,
Josias engendra Jékonias et ses frères
à l’époque de l’exil à Babylone.
Après l’exil à Babylone,
Jékonias engendra Salathiel,
Salathiel engendra Zorobabel,
Zorobabel engendra Abioud,
Abioud engendra Éliakim,
Éliakim engendra Azor,
Azor engendra Sadok,
Sadok engendra Akim,
Akim engendra Élioud,
Élioud engendra Éléazar,
Éléazar engendra Mattane,
Mattane engendra Jacob,
Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie,
de laquelle fut engendré Jésus,
que l’on appelle Christ.
Voici comment fut engendré Jésus Christ :
Marie, sa mère, avait été accordée en mariage à Joseph ;
avant qu’ils aient habité ensemble,
elle fut enceinte
par l’action de l’Esprit Saint.
Joseph, son époux,
qui était un homme juste,
et ne voulait pas la dénoncer publiquement,
décida de la renvoyer en secret.
Comme il avait formé ce projet,
voici que l’ange du Seigneur
lui apparut en songe et lui dit :
« Joseph, fils de David,
ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse,
puisque l’enfant qui est engendré en elle
vient de l’Esprit Saint ;
elle enfantera un fils,
et tu lui donneras le nom de Jésus
(c’est-à-dire : Le-Seigneur-sauve),
car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. »
Tout cela est arrivé
pour que soit accomplie
la parole du Seigneur prononcée par le prophète :
Voici que la Vierge concevra,
et elle enfantera un fils ;
on lui donnera le nom d’Emmanuel,
qui se traduit : « Dieu-avec-nous ».
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples en parabole :
« Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ?
Ne vont-ils pas tomber tous les deux dans un trou ?
Le disciple n’est pas au-dessus du maître ;
mais une fois bien formé,
chacun sera comme son maître.
Qu’as-tu à regarder la paille dans l’œil de ton frère,
alors que la poutre qui est dans ton œil à toi,
tu ne la remarques pas ?
Comment peux-tu dire à ton frère :
“Frère, laisse-moi enlever la paille qui est dans ton œil”,
alors que toi-même ne vois pas la poutre qui est dans le tien ?
Hypocrite ! Enlève d’abord la poutre de ton œil ;
alors tu verras clair
pour enlever la paille qui est dans l’œil de ton frère. »
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
« Un bon arbre ne donne pas de fruit pourri ;
jamais non plus un arbre qui pourrit ne donne de bon fruit.
Chaque arbre, en effet, se reconnaît à son fruit :
on ne cueille pas des figues sur des épines ;
on ne vendange pas non plus du raisin sur des ronces.
L’homme bon tire le bien
du trésor de son cœur qui est bon ;
et l’homme mauvais tire le mal
de son cœur qui est mauvais :
car ce que dit la bouche,
c’est ce qui déborde du cœur.
Et pourquoi m’appelez-vous en disant : “Seigneur ! Seigneur !”
et ne faites-vous pas ce que je dis ?
Quiconque vient à moi,
écoute mes paroles et les met en pratique,
je vais vous montrer à qui il ressemble.
Il ressemble à celui qui construit une maison.
Il a creusé très profond
et il a posé les fondations sur le roc.
Quand est venue l’inondation,
le torrent s’est précipité sur cette maison,
mais il n’a pas pu l’ébranler
parce qu’elle était bien construite.
Mais celui qui a écouté
et n’a pas mis en pratique
ressemble à celui qui a construit sa maison
à même le sol, sans fondations.
Le torrent s’est précipité sur elle,
et aussitôt elle s’est effondrée ;
la destruction de cette maison a été complète. »
En ce temps-là,
les publicains et les pécheurs
venaient tous à Jésus pour l’écouter.
Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs,
et il mange avec eux ! »
Alors Jésus leur dit cette parabole :
« Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une,
n’abandonne-t-il pas les 99 autres dans le désert
pour aller chercher celle qui est perdue,
jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
Quand il l’a retrouvée,
il la prend sur ses épaules, tout joyeux,
et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins
pour leur dire :
‘Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé ma brebis,
celle qui était perdue !’
Je vous le dis :
C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel
pour un seul pécheur qui se convertit,
plus que pour 99 justes
qui n’ont pas besoin de conversion.
Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une,
ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison,
et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ?
Quand elle l’a retrouvée,
elle rassemble ses amies et ses voisines
pour leur dire :
‘Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue !’
Ainsi je vous le dis :
Il y a de la joie devant les anges de Dieu
pour un seul pécheur qui se convertit. »
En ce temps-là,
lorsque Jésus eut achevé de faire entendre au peuple toutes ses paroles,
il entra dans Capharnaüm.
Il y avait un centurion
dont un esclave était malade et sur le point de mourir ;
or le centurion tenait beaucoup à lui.
Ayant entendu parler de Jésus,
il lui envoya des notables juifs
pour lui demander de venir sauver son esclave.
Arrivés près de Jésus,
ceux-ci le suppliaient instamment :
« Il mérite que tu lui accordes cela.
Il aime notre nation :
c’est lui qui nous a construit la synagogue. »
Jésus était en route avec eux,
et déjà il n’était plus loin de la maison,
quand le centurion envoya des amis lui dire :
« Seigneur, ne prends pas cette peine,
car je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit.
C’est pourquoi je ne me suis pas autorisé, moi-même,
à venir te trouver.
Mais dis une parole,
et que mon serviteur soit guéri !
Moi, je suis quelqu’un de subordonné à une autorité,
mais j’ai des soldats sous mes ordres ;
à l’un, je dis : “Va”, et il va ;
à un autre : “Viens”, et il vient ;
et à mon esclave : “Fais ceci”, et il le fait. »
Entendant cela,
Jésus fut en admiration devant lui.
Il se retourna et dit à la foule qui le suivait :
« Je vous le déclare,
même en Israël, je n’ai pas trouvé une telle foi ! »
Revenus à la maison,
les envoyés trouvèrent l’esclave en bonne santé.
En ce temps-là,
Jésus se rendit dans une ville appelée Naïm.
Ses disciples faisaient route avec lui, ainsi qu’une grande foule.
Il arriva près de la porte de la ville
au moment où l’on emportait un mort pour l’enterrer ;
c’était un fils unique, et sa mère était veuve.
Une foule importante de la ville accompagnait cette femme.
Voyant celle-ci, le Seigneur fut saisi de compassion pour elle
et lui dit :
« Ne pleure pas. »
Il s’approcha et toucha le cercueil ;
les porteurs s’arrêtèrent,
et Jésus dit :
« Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi. »
Alors le mort se redressa
et se mit à parler.
Et Jésus le rendit à sa mère.
La crainte s’empara de tous,
et ils rendaient gloire à Dieu en disant :
« Un grand prophète s’est levé parmi nous,
et Dieu a visité son peuple. »
Et cette parole sur Jésus se répandit
dans la Judée entière et dans toute la région.
En ce temps-là,
Jésus disait à Nicodème :
« Nul n’est monté au ciel
sinon celui qui est descendu du ciel,
le Fils de l’homme.
De même que le serpent de bronze
fut élevé par Moïse dans le désert,
ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé,
afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle.
Car Dieu a tellement aimé le monde
qu’il a donné son Fils unique,
afin que quiconque croit en lui ne se perde pas,
mais obtienne la vie éternelle.
Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde,
non pas pour juger le monde,
mais pour que, par lui, le monde soit sauvé.
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : lafrisée Date : 15 sept.22, 20:34 Message :"Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens
Frères,
je vous rappelle la Bonne Nouvelle
que je vous ai annoncée ;
cet Évangile, vous l’avez reçu ;
c’est en lui que vous tenez bon,
c’est par lui que vous serez sauvés
si vous le gardez tel que je vous l’ai annoncé ;
autrement, c’est pour rien que vous êtes devenus croyants.
Avant tout, je vous ai transmis ceci,
que j’ai moi-même reçu :
le Christ est mort pour nos péchés
conformément aux Écritures,
et il fut mis au tombeau ;
il est ressuscité le troisième jour
conformément aux Écritures,
il est apparu à Pierre, puis aux Douze ;
ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois
– la plupart sont encore vivants,
et quelques-uns sont endormis dans la mort –,
ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres.
Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis.
Car moi, je suis le plus petit des Apôtres,
je ne suis pas digne d’être appelé Apôtre,
puisque j’ai persécuté l’Église de Dieu.
Mais ce que je suis,
je le suis par la grâce de Dieu,
et sa grâce, venant en moi, n’a pas été stérile.
Je me suis donné de la peine plus que tous les autres ;
à vrai dire, ce n’est pas moi,
c’est la grâce de Dieu avec moi.
Bref, qu’il s’agisse de moi ou des autres,
voilà ce que nous proclamons,
voilà ce que vous croyez.
En ce temps-là,
il arriva que Jésus, passant à travers villes et villages,
proclamait et annonçait la Bonne Nouvelle du règne de Dieu.
Les Douze l’accompagnaient,
ainsi que des femmes
qui avaient été guéries de maladies et d’esprits mauvais :
Marie, appelée Madeleine,
de laquelle étaient sortis sept démons,
Jeanne, femme de Kouza, intendant d’Hérode,
Suzanne, et beaucoup d’autres,
qui les servaient en prenant sur leurs ressources.
En ce temps-là,
comme une grande foule se rassemblait,
et que de chaque ville on venait vers Jésus,
il dit dans une parabole :
« Le semeur sortit pour semer la semence,
et comme il semait, il en tomba au bord du chemin.
Les passants la piétinèrent,
et les oiseaux du ciel mangèrent tout.
Il en tomba aussi dans les pierres,
elle poussa et elle sécha parce qu’elle n’avait pas d’humidité.
Il en tomba aussi au milieu des ronces,
et les ronces, en poussant avec elle, l’étouffèrent.
Il en tomba enfin dans la bonne terre,
elle poussa et elle donna du fruit au centuple. »
Disant cela, il éleva la voix :
« Celui qui a des oreilles pour entendre,
qu’il entende ! »
Ses disciples lui demandaient ce que signifiait cette parabole.
Il leur déclara :
« À vous il est donné de connaître les mystères du royaume de Dieu,
mais les autres n’ont que les paraboles.
Ainsi, comme il est écrit :
Ils regardent sans regarder,
ils entendent sans comprendre.
Voici ce que signifie la parabole.
La semence, c’est la parole de Dieu.
Il y a ceux qui sont au bord du chemin :
ceux-là ont entendu ;
puis le diable survient
et il enlève de leur cœur la Parole,
pour les empêcher de croire et d’être sauvés.
Il y a ceux qui sont dans les pierres :
lorsqu’ils entendent, ils accueillent la Parole avec joie ;
mais ils n’ont pas de racines,
ils croient pour un moment
et, au moment de l’épreuve, ils abandonnent.
Ce qui est tombé dans les ronces,
ce sont les gens qui ont entendu,
mais qui sont étouffés, chemin faisant,
par les soucis, la richesse
et les plaisirs de la vie,
et ne parviennent pas à maturité.
Et ce qui est tombé dans la bonne terre,
ce sont les gens qui ont entendu la Parole
dans un cœur bon et généreux,
qui la retiennent
et portent du fruit par leur persévérance. »
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
« Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose
est digne de confiance aussi dans une grande.
Celui qui est malhonnête dans la moindre chose
est malhonnête aussi dans une grande.
Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête,
qui vous confiera le bien véritable ?
Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance,
ce qui vous revient, qui vous le donnera ?
Aucun domestique ne peut servir deux maîtres :
ou bien il haïra l’un et aimera l’autre,
ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre.
Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »
En ce temps-là,
Jésus disait aux foules :
« Personne, après avoir allumé une lampe,
ne la couvre d’un vase
ou ne la met sous le lit ;
on la met sur le lampadaire
pour que ceux qui entrent voient la lumière.
Car rien n’est caché
qui ne doive paraître au grand jour ;
rien n’est secret
qui ne doive être connu
et venir au grand jour.
Faites attention à la manière dont vous écoutez.
Car à celui qui a,
on donnera ;
et à celui qui n’a pas,
même ce qu’il croit avoir sera enlevé. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : Saint Glinglin Date : 18 sept.22, 19:53 Message : Le flood, c'est bon pour le classement sur Google.
Auteur : lafrisée Date : 21 sept.22, 19:43 Message :évangile d'aujourd'hui :
"Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
la mère et les frères de Jésus vinrent le trouver,
mais ils ne pouvaient pas arriver jusqu’à lui
à cause de la foule.
On le lui fit savoir :
« Ta mère et tes frères sont là dehors,
qui veulent te voir. »
Il leur répondit :
« Ma mère et mes frères
sont ceux qui écoutent la parole de Dieu,
et qui la mettent en pratique. »
En ce temps-là,
Jésus sortit de Capharnaüm
et vit, en passant, un homme, du nom de Matthieu,
assis à son bureau de collecteur d’impôts.
Il lui dit :
« Suis-moi. »
L’homme se leva et le suivit.
Comme Jésus était à table à la maison,
voici que beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts)
et beaucoup de pécheurs
vinrent prendre place avec lui et ses disciples.
Voyant cela, les pharisiens disaient à ses disciples :
« Pourquoi votre maître mange-t-il
avec les publicains et les pécheurs ? »
Jésus, qui avait entendu, déclara :
« Ce ne sont pas les gens bien portants
qui ont besoin du médecin,
mais les malades.
Allez apprendre ce que signifie :
Je veux la miséricorde, non le sacrifice.
En effet, je ne suis pas venu appeler des justes,
mais des pécheurs. »
En ce temps-là,
Hérode, qui était au pouvoir en Galilée,
entendit parler de tout ce qui se passait
et il ne savait que penser.
En effet, certains disaient que Jean le Baptiste
était ressuscité d’entre les morts.
D’autres disaient :
« C’est le prophète Élie qui est apparu. »
D’autres encore :
« C’est un prophète d’autrefois qui est ressuscité. »
Quant à Hérode, il disait :
« Jean, je l’ai fait décapiter.
Mais qui est cet homme dont j’entends dire de telles choses ? »
Et il cherchait à le voir.
Auteur : Saint Glinglin Date : 21 sept.22, 21:14 Message : Continue. C'est bon pour les stats :
En ce jour-là, Jésus était en prière à l’écart.
Comme ses disciples étaient là,
il les interrogea :
« Au dire des foules, qui suis-je ? »
Ils répondirent :
« Jean le Baptiste ; mais pour d’autres, Élie ;
et pour d’autres, un prophète d’autrefois qui serait ressuscité. »
Jésus leur demanda :
« Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? »
Alors Pierre prit la parole et dit :
« Le Christ, le Messie de Dieu. »
Mais Jésus, avec autorité,
leur défendit vivement de le dire à personne,
et déclara :
« Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup,
qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes,
qu’il soit tué,
et que, le troisième jour, il ressuscite. »
En ce temps-là,
Jésus disait aux pharisiens :
« Il y avait un homme riche,
vêtu de pourpre et de lin fin,
qui faisait chaque jour des festins somptueux.
Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare,
qui était couvert d’ulcères.
Il aurait bien voulu se rassasier
de ce qui tombait de la table du riche ;
mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères.
Or le pauvre mourut,
et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham.
Le riche mourut aussi,
et on l’enterra.
Au séjour des morts, il était en proie à la torture ;
levant les yeux, il vit Abraham de loin
et Lazare tout près de lui.
Alors il cria :
‘Père Abraham, prends pitié de moi
et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau
pour me rafraîchir la langue,
car je souffre terriblement dans cette fournaise.
– Mon enfant, répondit Abraham,
rappelle-toi :
tu as reçu le bonheur pendant ta vie,
et Lazare, le malheur pendant la sienne.
Maintenant, lui, il trouve ici la consolation,
et toi, la souffrance.
Et en plus de tout cela, un grand abîme
a été établi entre vous et nous,
pour que ceux qui voudraient passer vers vous
ne le puissent pas,
et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous.’
Le riche répliqua :
‘Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare
dans la maison de mon père.
En effet, j’ai cinq frères :
qu’il leur porte son témoignage,
de peur qu’eux aussi ne viennent
dans ce lieu de torture !’
Abraham lui dit :
‘Ils ont Moïse et les Prophètes :
qu’ils les écoutent !
– Non, père Abraham, dit-il,
mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver,
ils se convertiront.’
Abraham répondit :
‘S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes,
quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts :
ils ne seront pas convaincus.’ »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : lafrisée Date : 26 sept.22, 18:05 Message :"Lecture du livre de Job
Le jour où les fils de Dieu se rendaient à l’audience du Seigneur,
le Satan, l’Adversaire, lui aussi, vint parmi eux.
Le Seigneur lui dit :
« D’où viens-tu ? »
L’Adversaire répondit :
« De parcourir la terre et d’y rôder. »
Le Seigneur reprit :
« As-tu remarqué mon serviteur Job ?
Il n’a pas son pareil sur la terre :
c’est un homme intègre et droit,
qui craint Dieu et s’écarte du mal. »
L’Adversaire riposta :
« Est-ce pour rien que Job craint Dieu ?
N’as-tu pas élevé une clôture pour le protéger,
lui, sa maison et tout ce qu’il possède ?
Tu as béni son travail,
et ses troupeaux se multiplient dans le pays.
Mais étends seulement la main,
et touche à tout ce qu’il possède :
je parie qu’il te maudira en face ! »
Le Seigneur dit à l’Adversaire :
« Soit ! Tu as pouvoir sur tout ce qu’il possède,
mais tu ne porteras pas la main sur lui. »
Et l’Adversaire se retira.
Le jour où les fils et les filles de Job étaient en train de festoyer
et de boire du vin dans la maison de leur frère aîné,
un messager arriva auprès de Job et lui dit :
« Les bœufs étaient en train de labourer
et les ânesses étaient au pâturage non loin de là.
Les Bédouins se sont jetés sur eux et les ont enlevés,
et ils ont passé les serviteurs au fil de l’épée.
Moi seul, j’ai pu m’échapper pour te l’annoncer. »
Il parlait encore quand un autre survint et lui dit :
« Le feu du ciel est tombé,
il a brûlé troupeaux et serviteurs, et les a dévorés.
Moi seul, j’ai pu m’échapper pour te l’annoncer. »
Il parlait encore quand un troisième survint et lui dit :
« Trois bandes de Chaldéens se sont emparées des chameaux,
ils les ont enlevés et ils ont passé les serviteurs au fil de l’épée.
Moi seul, j’ai pu m’échapper pour te l’annoncer. »
Il parlait encore quand un quatrième survint et lui dit :
« Tes fils et tes filles étaient en train de festoyer
et de boire du vin dans la maison de leur frère aîné,
lorsqu’un ouragan s’est levé du fond du désert
et s’est rué contre la maison.
Ébranlée aux quatre coins,
elle s’est écroulée sur les jeunes gens,
et ils sont morts.
Moi seul, j’ai pu m’échapper pour te l’annoncer. »
Alors Job se leva, il déchira son manteau et se rasa la tête,
il se jeta à terre et se prosterna.
Puis il dit :
« Nu je suis sorti du ventre de ma mère,
nu j’y retournerai.
Le Seigneur a donné,
le Seigneur a repris :
Que le nom du Seigneur soit béni ! »
En tout cela, Job ne commit pas de péché.
Il n’adressa à Dieu aucune parole déplacée.
Comme s’accomplissait le temps
où il allait être enlevé au ciel,
Jésus, le visage déterminé,
prit la route de Jérusalem.
Il envoya, en avant de lui, des messagers ;
ceux-ci se mirent en route
et entrèrent dans un village de Samaritains
pour préparer sa venue.
Mais on refusa de le recevoir,
parce qu’il se dirigeait vers Jérusalem.
Voyant cela, les disciples Jacques et Jean dirent :
« Seigneur, veux-tu que nous ordonnions
qu’un feu tombe du ciel et les détruise ? »
Mais Jésus, se retournant, les réprimanda.
Puis ils partirent pour un autre village.
En ce temps-là,
en cours de route, un homme dit à Jésus :
« Je te suivrai partout où tu iras. »
Jésus lui déclara :
« Les renards ont des terriers,
les oiseaux du ciel ont des nids ;
mais le Fils de l’homme
n’a pas d’endroit où reposer la tête. »
Il dit à un autre :
« Suis-moi. »
L’homme répondit :
« Seigneur, permets-moi d’aller d’abord enterrer mon père. »
Mais Jésus répliqua :
« Laisse les morts enterrer leurs morts.
Toi, pars, et annonce le règne de Dieu. »
Un autre encore lui dit :
« Je te suivrai, Seigneur ;
mais laisse-moi d’abord faire mes adieux
aux gens de ma maison. »
Jésus lui répondit :
« Quiconque met la main à la charrue,
puis regarde en arrière,
n’est pas fait pour le royaume de Dieu. »
En ce temps-là,
lorsque Jésus vit Nathanaël venir à lui,
il déclara à son sujet :
« Voici vraiment un Israélite :
il n’y a pas de ruse en lui. »
Nathanaël lui demande :
« D’où me connais-tu ? »
Jésus lui répond :
« Avant que Philippe t’appelle,
quand tu étais sous le figuier,
je t’ai vu. »
Nathanaël lui dit :
« Rabbi, c’est toi le Fils de Dieu !
C’est toi le roi d’Israël ! »
Jésus reprend :
« Je te dis que je t’ai vu sous le figuier,
et c’est pour cela que tu crois !
Tu verras des choses plus grandes encore. »
Et il ajoute :
« Amen, amen, je vous le dis :
vous verrez le ciel ouvert,
et les anges de Dieu monter et descendre
au-dessus du Fils de l’homme. »
– Acclamons la Parole de Dieu."
Auteur : Marmhonie Date : 28 sept.22, 21:35 Message : Je préfère "La passion 2" , version Mel Gibson qui sortira en 2023.
https://youtu.be/OutMlzNNoPM
Un bon film d'actions stimulantes me parle plus que la sempiternelle lecture du jour de la messe ordinaire qui nous a vidé les églises alors que la foi persiste.
En ce temps-là, Jésus disait :
« Malheureuse es-tu, Corazine !
Malheureuse es-tu, Bethsaïde !
Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous
avaient eu lieu à Tyr et à Sidon,
il y a longtemps que leurs habitants
auraient fait pénitence, avec le sac et la cendre.
D’ailleurs, Tyr et Sidon
seront mieux traitées que vous lors du Jugement.
Et toi, Capharnaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel ?
Non, jusqu’au séjour des morts tu descendras !
Celui qui vous écoute
m’écoute ;
celui qui vous rejette
me rejette ;
et celui qui me rejette
rejette celui qui m’a envoyé. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : ronronladouceur Date : 30 sept.22, 04:36 Message :
lafrisée a écrit : 29 sept.22, 19:24évangile d'aujourd'hui :
"Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, Jésus disait :
« Malheureuse es-tu, Corazine !
Malheureuse es-tu, Bethsaïde !
Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous
avaient eu lieu à Tyr et à Sidon,
il y a longtemps que leurs habitants
auraient fait pénitence, avec le sac et la cendre.
D’ailleurs, Tyr et Sidon
seront mieux traitées que vous lors du Jugement.
Et toi, Capharnaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel ?
Non, jusqu’au séjour des morts tu descendras !
Tant qu'à être HS...
Jésus aurait dû simplement suivre ses propres préceptes et secouer la poussière de ses pieds... Mieux, savoir dans toute sa science infuse que le déplacement n'en valait pas la peine...
En outre, sachant ou supposant savoir comment allaient réagir les habitants de Tyr et Sidon, comment ne savait-il pas comment allaient réagir ceux de Corazine et Bethsaïde?
En ce temps-là,
les 72 disciples que Jésus avait envoyés
revinrent tout joyeux, en disant :
« Seigneur, même les démons
nous sont soumis en ton nom. »
Jésus leur dit :
« Je regardais Satan tomber du ciel comme l’éclair.
Voici que je vous ai donné le pouvoir
d’écraser serpents et scorpions,
et sur toute la puissance de l’Ennemi :
absolument rien ne pourra vous nuire.
Toutefois, ne vous réjouissez pas
parce que les esprits vous sont soumis ;
mais réjouissez-vous
parce que vos noms se trouvent inscrits dans les cieux. »
À l’heure même, Jésus exulta de joie sous l’action de l’Esprit Saint,
et il dit :
« Père, Seigneur du ciel et de la terre,
je proclame ta louange :
ce que tu as caché aux sages et aux savants,
tu l’as révélé aux tout-petits.
Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance.
Tout m’a été remis par mon Père.
Personne ne connaît qui est le Fils, sinon le Père ;
et personne ne connaît qui est le Père, sinon le Fils
et celui à qui le Fils veut le révéler. »
Puis il se tourna vers ses disciples
et leur dit en particulier :
« Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez !
Car, je vous le déclare :
beaucoup de prophètes et de rois
ont voulu voir ce que vous-mêmes voyez,
et ne l’ont pas vu,
entendre ce que vous entendez,
et ne l’ont pas entendu. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : Coemgen Date : 01 oct.22, 04:13 Message :
Marmhonie a écrit : 28 sept.22, 21:35
Je préfère "La passion 2" , version Mel Gibson qui sortira en 2023.
https://youtu.be/OutMlzNNoPM
Un bon film d'actions stimulantes me parle plus que la sempiternelle lecture du jour de la messe ordinaire qui nous a vidé les églises alors que la foi persiste.
Bonjour,
C'est vrai que les copier-collers de lafrisée ne sont pas très appropriés, un lien suffirait, pour ceux qui veulent lire ces textes.
Oui Marmhonie, la suite du film de M.Gibbson sera probablement intéressante à regarder.
Cordialement,
Auteur : prisca Date : 01 oct.22, 04:22 Message :
Marmhonie a écrit : 28 sept.22, 21:35
Je préfère "La passion 2" , version Mel Gibson qui sortira en 2023.
https://youtu.be/OutMlzNNoPM
Un bon film d'actions stimulantes me parle plus que la sempiternelle lecture du jour de la messe ordinaire qui nous a vidé les églises alors que la foi persiste.
Vraiment ce film est un appel à la haine anti Juifs.
Tout est concentré sur la Crucifixion de Jésus, comme le font les catholiques à chaque Paque, lorsqu'ils font le chemin de Croix accompagnés des fidèles qui suivent et qui à chaque arrêt répètent ce que le prêtre dit, mais rien ne se dit sur la raison du Sacrifice de Jésus, ce qui augmente l'obscurité ténébreuse du manque chez les catholiques qu'ils appellent "le mystère Pascal" comme si le monde devait soudainement se venger de ceux qui ont été les auteurs du crime contre Jésus. Ayant vu le premier film j'ai vu à quel point son producteur Mel Gibson a orienté sa manipulation pour montrer l'horreur du supplice afin que les Juifs soient autant lacérés que ne le fut le Seigneur....
ALORS qu'en vérité D.IEU a instrumentalisé les Juifs afin que la Crucifixion arrive car c'est grâce à elle que le monde est sauvé et que tout réside dans le message : JESUS RANCON trouvez les otages et le preneur d'otages et vous comprendrez la Vérité, et le bien fondé du don de Jésus !
Mais les prêtres se gardent bien d'en parler, et le producteur Mel Gibson aussi.
Deux sons de cloche, deux églises.
L'une qui comprend que c'est un prescient plan divin la Crucifixion de Jésus et l'autre église qui veut faire comprendre que les Juifs sont des brutes épaisses à l'instar de Mel Gibson qui a créé ce film et qui donne la nausée car tout le monde s'est dit, mais les Juifs sont ignobles.
Surement pas un bon film, un navet oui.
Sinon profitons pour comprendre pourquoi la Crucifixion est si dure à voir à travers ce film qui retrace néanmoins les évènements tels qu'ils furent vécus.
Et bien pour augmenter la faute des catholiques d'avoir dit que JESUS s'offre au Père pour que le Père en échange donne son Pardon, donc D.IEU a voulu d'un plan si sanguinaire pour se donner l'occasion de donner son Pardon aux humains ? Messieurs les catholiques la question vous est adressée.
En ce temps-là,
les Apôtres dirent au Seigneur :
« Augmente en nous la foi ! »
Le Seigneur répondit :
« Si vous aviez de la foi,
gros comme une graine de moutarde,
vous auriez dit à l’arbre que voici :
‘Déracine-toi et va te planter dans la mer’,
et il vous aurait obéi.
Lequel d’entre vous,
quand son serviteur aura labouré ou gardé les bêtes,
lui dira à son retour des champs :
‘Viens vite prendre place à table’ ?
Ne lui dira-t-il pas plutôt :
‘Prépare-moi à dîner,
mets-toi en tenue pour me servir,
le temps que je mange et boive.
Ensuite tu mangeras et boiras à ton tour’ ?
Va-t-il être reconnaissant envers ce serviteur
d’avoir exécuté ses ordres ?
De même vous aussi,
quand vous aurez exécuté tout ce qui vous a été ordonné,
dites :
‘Nous sommes de simples serviteurs :
nous n’avons fait que notre devoir’ »
En ce temps-là,
voici qu’un docteur de la Loi se leva
et mit Jésus à l’épreuve en disant :
« Maître, que dois-je faire
pour avoir en héritage la vie éternelle ? »
Jésus lui demanda :
« Dans la Loi, qu’y a-t-il d’écrit ?
Et comment lis-tu ? »
L’autre répondit :
« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu
de tout ton cœur, de toute ton âme,
de toute ta force et de toute ton intelligence,
et ton prochain comme toi-même. »
Jésus lui dit :
« Tu as répondu correctement.
Fais ainsi et tu vivras. »
Mais lui, voulant se justifier,
dit à Jésus :
« Et qui est mon prochain ? »
Jésus reprit la parole :
« Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho,
et il tomba sur des bandits ;
ceux-ci, après l’avoir dépouillé et roué de coups,
s’en allèrent, le laissant à moitié mort.
Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ;
il le vit et passa de l’autre côté.
De même un lévite arriva à cet endroit ;
il le vit et passa de l’autre côté.
Mais un Samaritain, qui était en route,
arriva près de lui ;
il le vit et fut saisi de compassion.
Il s’approcha, et pansa ses blessures
en y versant de l’huile et du vin ;
puis il le chargea sur sa propre monture,
le conduisit dans une auberge
et prit soin de lui.
Le lendemain, il sortit deux pièces d’argent,
et les donna à l’aubergiste, en lui disant :
“Prends soin de lui ;
tout ce que tu auras dépensé en plus,
je te le rendrai quand je repasserai.”
Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain
de l’homme tombé aux mains des bandits ? »
Le docteur de la Loi répondit :
« Celui qui a fait preuve de pitié envers lui. »
Jésus lui dit :
« Va, et toi aussi, fais de même. »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : lafrisée Date : 03 oct.22, 19:01 Message :évangile du jour :
"Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
Jésus entra dans un village.
Une femme nommée Marthe le reçut.
Elle avait une sœur appelée Marie
qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur,
écoutait sa parole.
Quant à Marthe, elle était accaparée
par les multiples occupations du service.
Elle intervint et dit :
« Seigneur, cela ne te fait rien
que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ?
Dis-lui donc de m’aider. »
Le Seigneur lui répondit :
« Marthe, Marthe,
tu te donnes du souci et tu t’agites
pour bien des choses.
Une seule est nécessaire.
Marie a choisi la meilleure part,
elle ne lui sera pas enlevée. »
– Acclamons la Parole de Dieu."
Auteur : ronronladouceur Date : 04 oct.22, 05:36 Message :
lafrisée a écrit : 03 oct.22, 19:01évangile du jour :
"Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là,
Jésus entra dans un village.
Une femme nommée Marthe le reçut.
Elle avait une sœur appelée Marie
qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur,
écoutait sa parole.
Quant à Marthe, elle était accaparée
par les multiples occupations du service.
Elle intervint et dit :
« Seigneur, cela ne te fait rien
que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ?
Dis-lui donc de m’aider. »
Le Seigneur lui répondit :
« Marthe, Marthe,
tu te donnes du souci et tu t’agites
pour bien des choses.
Une seule est nécessaire.
Marie a choisi la meilleure part,
elle ne lui sera pas enlevée. »
– Acclamons la Parole de Dieu."
C'est bizarre que Marthe n'ait pas tout lâché et laissé là son activité... Ou alors elle aurait pu se joindre aux deux autres pour aussi profiter de la meilleure part... Ou alors Jésus aurait pu offrir son aide tout en instruisant les deux femmes... Et les trois auraient été gagnants...
Pourquoi l'un aurait-il empêché l'autre?
Auteur : d6p7 Date : 04 oct.22, 07:15 Message :
ronronladouceur a écrit : 04 oct.22, 05:36
C'est bizarre que Marthe n'ait pas tout lâché et laissé là son activité... Ou alors elle aurait pu se joindre aux deux autres pour aussi profiter de la meilleure part... Ou alors Jésus aurait pu offrir son aide tout en instruisant les deux femmes... Et les trois auraient été gagnants...
Pourquoi l'un aurait-il empêché l'autre?
Oui, bien sûr, parce que c'était pas la situation qui se prêtait à ça tout simplement.
Auteur : lafrisée Date : 04 oct.22, 19:28 Message :"Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
Il arriva que Jésus, en un certain lieu, était en prière.
Quand il eut terminé,
un de ses disciples lui demanda :
« Seigneur, apprends-nous à prier,
comme Jean le Baptiste, lui aussi, l’a appris à ses disciples. »
Il leur répondit :
« Quand vous priez, dites :
“Père,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne.
Donne-nous le pain
dont nous avons besoin pour chaque jour
Pardonne-nous nos péchés,
car nous-mêmes, nous pardonnons aussi
à tous ceux qui ont des torts envers nous.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation.” »
– Acclamons la Parole de Dieu.
Auteur : Saint Glinglin Date : 05 oct.22, 01:59 Message :
ronronladouceur a écrit : 30 sept.22, 04:36
Tant qu'à être HS...
Jésus aurait dû simplement suivre ses propres préceptes et secouer la poussière de ses pieds... Mieux, savoir dans toute sa science infuse que le déplacement n'en valait pas la peine...
En outre, sachant ou supposant savoir comment allaient réagir les habitants de Tyr et Sidon, comment ne savait-il pas comment allaient réagir ceux de Corazine et Bethsaïde?
Il aurait surtout dû s'abstenir de condamner des villes dans lesquelles il n'avait jamais mis les pieds.
Auteur : d6p7 Date : 05 oct.22, 02:01 Message :
Saint Glinglin a écrit : 05 oct.22, 01:59
Il aurait surtout dû s'abstenir de condamner des villes dans lesquelles il n'avait jamais mis les pieds.
Sur quels critères se basent le jugement de Jésus ??!
Auteur : ronronladouceur Date : 05 oct.22, 03:36 Message :
Saint Glinglin a écrit : 05 oct.22, 01:59
Il aurait surtout dû s'abstenir de condamner des villes dans lesquelles il n'avait jamais mis les pieds.
Oui... Ce qui revient à se demander pourquoi il ne s'est-il pas abstenu...