• indianil y a 4 minutes
    ʿAbd-al-Bahāʾ épousa Munīra Ḫānum (1848-1938), fille de Mīrzā Muḥammad ʿAlīy-i Nahrī, dans la maison de ʿAbbūd à Acre le 8 mars 18731. De leur union naquirent neuf enfants, dont seulement quatre filles parvinrent à l’âge adulte : Ḍīyāʾiyya Ḫānum (la future mère de Shoghi Effendi), Tūbā Ḫānum, Rūḥā Ḫānum et Munavvar Ḫānum2.
  • indianil y a 3 minutes
    C’est après le décès de son père, que ʿAbbās Effendi prit le titre de ʿAbd-al-Bahāʾ. Il resta prisonnier de l’Empire ottoman, mais à travers ses lettres et un contact direct avec les premiers croyants occidentaux qui se rendaient en Palestine, il contribua à la propagation de la religion nouvelle hors du Moyen-Orient. ʿAbd-al-Bahāʾ a joué un rôle clé en explicitant la vision planétaire de son père et en faisant de la foi baha’ie, petit mouvement né au Moyen-Orient, une religion étendue loin des frontières de son berceau d’origine.
  • indianil y a 3 minutes
    Après la révolution des Jeunes-Turcs, ʿAbd-al-Bahāʾ retrouva sa liberté et put voyager. En août 1911, il quitta la wilaya de Beyrouth3 pour se rendre en Europe où il séjourna quatre mois, notamment à Londres et à Paris. Il y rencontra à nouveau les croyants occidentaux et donna chaque jour des conférences sur la Foi baha’ie et ses principes.
  • indianil y a 2 minutes
    Le printemps suivant, ʿAbd-al-Bahāʾ entama un long voyage d’un an, à nouveau en Europe, aux États-Unis et au Canada. Ce voyage aida considérablement à la propagation de la foi baha’ie dans ces deux derniers pays.
  • indianil y a 2 minutes
    À la déclaration de la Première Guerre mondiale, ʿAbd-al-Bahāʾ était de retour au Proche-Orient. Dans ses messages à l’Occident, il lança un avertissement, revenant constamment sur la nécessité d’établir la fédération mondiale souhaitée par son père pour prévenir une telle guerre.
  • indianil y a 2 minutes
    Pendant la guerre, ʿAbd-al-Bahāʾ passa son temps à appliquer les principes défendus par son père et par lui-même. Par exemple, il organisa personnellement près de Tibériade un vaste projet de développement agricole qui fournit une importante récolte de blé à la région et empêcha la population de mourir de faim. Pour son action, ʿAbd-al-Bahāʾ fut nommé chevalier (Sir) par le gouvernement britannique le 27 avril 1920.
  • indianil y a 1 minute
    Il mourut à Haïfa le 28 novembre 1921, après quarante ans d’emprisonnement, d’exil et de souffrances, et toute une vie de dévouement et de service, non sans avoir désigné comme successeur, dans la fonction de gardien de la foi baha’ie, son petit-fils Shoghi Effendi (1897-1957).

    Sa dépouille repose actuellement dans le mausolée du Bāb sur le mont Carmel à Haïfa, en attendant la construction prévue de son propre mausolée.
  • indianil y a 1 minute
    Enfance
    ‘Abdu’l-Bahá connut une enfance privilégiée jusqu'à ce que les disciples du Báb ‒ dont Bahá’u’lláh était le plus connu ‒ soient soumis à de sévères persécutions. L'emprisonnement de Bahá’u’lláh pour le simple fait d'être bábí marqua un tournant pour sa famille. La vue de Bahá’u’lláh en prison, les cheveux et la barbe hirsutes, le cou tuméfié par le lourd carcan d’acier, le corps courbé sous le poids des chaînes, laissa une trace indélébile dans l'esprit de son fils de huit ans.
  • indianà l’instant
    En décembre 1852, Bahá’u’lláh fut relâché après avoir passé quatre mois en prison. Presque immédiatement, il fut banni d'Iran avec sa famille. Ils n'allaient plus jamais revoir leur terre natale. Pendant la longue marche vers Bagdad, ‘Abdu’l-Bahá souffrit d'engelures et fut affligé de la séparation d'avec son petit frère encore bébé, Mihdí, qui n'était pas en assez bonne santé pour entreprendre cet épuisant voyage.
  • indianà l’instant
    Leur arrivée à Bagdad fut suivie peu après d’une nouvelle et douloureuse séparation, lorsque Bahá’u’lláh se retira dans les montagnes du Kurdistan pendant deux ans. Son père bien-aimé parti, ‘Abdu’l-Bahá occupa son temps à lire et méditer sur les Écrits du Báb

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Une aventure qui bouscule
Geneviève Comeau "Le dialogue interreligieux est une aventure qui ne laisse pas indemnes ceux qui y participent : elle bouscule, élargit, enrichit, et peut aussi déranger, irriter, déstabiliser. Le dialogue interreligieux a sa dignité en lui même, il « n’est pas la conséquence d’une stratégie ou d’un intérêt », disait Jean-Paul II dans l’Encyclique Redemptoris Missio, mais « il est demandé par le profond respect qu’on doit avoir envers tout ce que l’Esprit, qui “souffle où il veut”, a opéré en l’homme »."

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