Religions du monde :: forum religion

et on peut très bien s'adapter (ou pas) aux conditions changeantes et variés... sans ''mutation génétique'', au cours de sa vie

Bien si on est adapté à l'environnement, on est moins handicapé par lui, on ne souffre pas de lui, on a les bonnes mutations et on a plus de chance de se reproduire pour transmettre la mutation, ses genes. C'est l'évolution par la sélection naturelle.

la souffrance n'a rien à voir avec tout ca

@Kapdehendel en réalité , tu devrais te rendre compte que l'évolution favorise surtout la diversification

Une malformation c'est handicapant et donc ça fait souffrir c'est pourquoi c'est handicapant

@Kapdehendel qu'entends tu par le mot ''souffrance''?

https://www.cnrtl.fr/definition/souffrance

Souffrance. Douleur physique ou morale. Même si les douleurs morales ont toujours un lien avec des menaces de douleurs physiques. @indian

@Kapdehendel et qu'est-ce qu'une douleur morale au juste?

et la douleur elle? c'est quoi? une sentiment?

@indian une douleur morale c'est la menace d'une douleur physique. La douleur est activée par les nocicepteurs.

Kapdehendel a écrit : ↑09 déc.24, 08:15 @indian une douleur morale c'est la menace d'une douleur physique. La douleur est activée par les nocicepteurs.

désolé, j'y comprends rien

@indian la douleur est activée par les nocicepteurs.

Un nocicepteur (ou récepteur nociceptif) est un récepteur sensoriel de la douleur qui fait naître un message nerveux lorsqu’il est stimulé.

La douleur morale est une menace de douleur physique.

Kapdehendel a écrit : ↑09 déc.24, 08:18 @indian la douleur est activée par les nocicepteurs.

comme une brulure cutanée?

indian a écrit : ↑09 déc.24, 08:21 comme une brulure cutanée?

Oui.

Kapdehendel a écrit : ↑09 déc.24, 08:18 La douleur morale est une menace de douleur physique.

comme avoir peur que le ciel nous tombe sur la tête?

Oui

Kapdehendel a écrit : ↑09 déc.24, 08:21 Oui.

comme un bras cassé?

Ben oui sti évident dès que l'on se fait mal, de la douleur.

que faire des maladies dont on ne sait rien mais qui sont tout de même existantes?

Kapdehendel a écrit : ↑09 déc.24, 08:23 Ben oui sti évident dès que l'on se fait mal, de la douleur.

lol non

certaines personnes ne sont pas sensibles

on peut même s'auto-anesthésier... comme avec l'adrénaline

Mais elle dépend d'un environnement fait de personnes sensibles.

il est donc question de perceptions cognitives essentiellement

de ''traitement de l'information au sein du cortex cérébral''

@Kapdehendel la sensibilité, c'est très , mais très relatif.

Si il y a de la souffrance la vie ne vaudrait pas la peine d'être vécue et personne ne voudrait se reproduire pour laisser ses enfants dans une vie de souffrance. Les gens mourrait donc on peut dire que la vie est avec la contrainte de la sélection qui élimine seulement la souffrance et ce qui fait souffrir.

quand avons nous commencé à diagnostiquer ce que l'on nomme les '' troubles du spectre de l'autisme'' (TSA) ?

@Kapdehendel la vie, c'est le processus qu'est l'univers

indian a écrit : ↑09 déc.24, 08:29 quand avons nous commencé à diagnostiquer ce que l'on nomme les '' troubles du spectre de l'autisme'' (TSA) ?

et ca existait au temps de la bible?

et au temps de Muhamed?

https://comprendrelautisme.com/lautisme ... -lautisme/

L’histoire de l’autisme telle que définit actuellement débute dans les années 1940 avec les travaux de Léo Kanner et Hans Asperger. Il me semblait important de retracer cette histoire de l’autisme d’en aborder les origines et l’émergence de cette notion ainsi que son évolution jusqu’à nos jours.

La première fois que l’autisme a été décrit avec des caractéristiques qui correspondent encore en partie à celles en vigueur de nos jours, c’est lorsque Léo Kanner publie son étude « Autsitic disturbances of affective contact » (Les perturbations autistiques des contacts affectifs) en 1943. Dans cet article, il précise que depuis 1938, il porte attention à des enfants dont les comportements diffèrent radicalement de leurs pairs et il propose de développer le détail de ces particularités en rendant compte de 11 cas d’enfants.

La suite de son article égrène un après l’autre les comportements de chacun de ces enfants ayant tous en dessous de 11 ans. Son échantillon comporte 8 garçons et 3 filles. Contrairement à la croyance générale qui définie les « autistes de Kanner » comme des personnes autistes avec un retard mental, ca n’est pas le cas de tous les enfants étudiés par Léo Kanner : le cas n°6 Virginia atteint un QI non verbal de 94 à l’échelle de Binet, le cas n°8 Alfred atteint un QI global de 140.

Après la présentation des comportements des 11 enfants, Léo Kanner explique leurs particularités et dit que malgré un panel très diversifié d’attitudes :

These caracteristics form a unique « syndrome », not heretofor reported, which seems to be rare enough, yet is probably more frequent than is indicated by the pausity of observed cases. It is quite possible that some of such children have been viewed as feebleminded or schizophrenic.

traduction libre : Ces caractéristiques forment un syndrome unique, jusqu’à présent non signalé, qui semble être assez rare, encore qu’il est probablement plus fréquent que ce qui est indiqué par la carence des cas observés. Il est tout à fait possible que certains de ces enfants aient été vu comme ayant un retard mental ou schizophrènes.

Il remarque les caractéristiques suivantes : les enfants sont en grande difficulté pour développer des relations, ils arrivent à interagir plus facilement avec les objets qu’avec les êtres humains. Il note aussi que le langage est non acquis ou acquis avec difficulté et lorsque c’est le cas, il y a une utilisation peu social de celui-ci. Les autres signes qu’il relève à l’époque sont le besoin de sameness (traduction libre : l’absence de changement) et le fait que l’ensemble de ces signes particuliers apparait durant les deux premières années de la vie de l’enfant.

L’histoire de l’autisme montre qu’en parallèle des travaux de Léo Kanner, un autre psychiatre travaille sur l’autisme, presque durant la même année : Hans Asperger. Il publie en 1944 son article Autistic psychopathy in childhood (traduction libre : Les psychopathies autistiques dans l’enfance).

A priori ces deux psychiatres ne se sont jamais rencontrés et il est admis que leurs travaux respectifs n’ont pas été en contact à cette période, l’article de hans Aperger se présente exactement comme celui de Léo Kanner. Il y décrit quatre enfants : Fritz, Harro, Ernst et Helmut, puis détaille les schémas de comportement de ces enfants.

https://comprendrelautisme.com/lautisme ... -lautisme/ beaucoup plus intéressant que tout ce que raconte RFK jr l'escroc

https://childrenshealthdefense.org/defe ... tism-risk/

Michael Nevradakis, Ph.D., ... is a senior reporter for ... and part of the rotation of hosts for CHD.TV's "Good Morning CHD." For 10 years, he produced and hosted the "Dialogos" radio program and podcast, and he has previously been published by The Guardian, the Huffington Post, the Daily Kos, Truthout, Mint Press News and other outlets.

He completed his Ph.D. in media studies at the University of Texas in 2018 and holds a masters degree in public policy from Stony Brook University. He has taught at various institutions of higher education in Greece and the U.S.

https://childrenshealthdefense.org/vacc ... -diseases/

sacrés raccourcis intellectuels vont