RT2 a écrit : ↑19 oct.21, 12:12Alors vous croyez encore en l'existence de Dieu et plus précisément qu'il est aussi le Père (le seul Créateur pour faire simple) et qu'il a produit un être de nature divine dont les relations sont filiales, à son image, parce qu'il a voulu qu'il soit en quelque sorte non le Dieu de la Création mais le premier ministre ou le chef sur cette création ?
C'est l'un ou l'autre, inutile de tourner autour du pot.
Bonjour,
Le problème RT2 c'est que vous lisez ce que vous voulez et après vous accusez les autres de ceci ou cela.
Par exemple où ai-je dit que je croyais encore à l'existence de Dieu ? Nulle part !
Alors je répète, je refuse toute croyance, je m'en tiens aux faits.
Dire que Dieu existe est une croyance
Dire que Dieu n'existe pas est une croyance.
Je refuse ces deux croyances, je dis que je n'en sais rien.
Par contre, je sais que certaines choses dans la Bible ne correspondent pas à la réalité, ça, ce n'est pas une croyance mais des faits donc je ne peux pas la prendre pour un récit littéral ni pour un écrit inspiré ce qui ne m'empêche pas de respecter la Bible pour ce qu'elle est.
Maintenant, parlons du baptême de l'Esprit.
Beaucoup ici opposent ce qui est le produit d'une réflexion et ce qui ne l'est pas.
Le baptême de l'Esprit est il le produit d'une réflexion ? Non, c'est une certitude qui vient sans faire appel au raisonnement.
Donc, on peut très bien avoir d'un coté cette certitude et de l'autre, par le raisonnement intellectuel, ne plus la regarder comme une certitude.
Pour faire simple, prenons l'exemple d'un mirage dans le désert, la personne voit de l'eau, c'est un fait, cette eau est là devant elle à quelques centaines de mètres. Oui, mais voila, la carte dit qu'il n'y a aucun point d'eau.
La personne va donc comprendre qu'il n'y a pas d'eau et pourtant, cela ne change rien à ce qu'elle voit ! Ce sont les informations qu'elle a et sa réflexion qui font qu'elle considère comme erronée la certitude que lui donnent ses yeux.
En tant qu'handicapé visuel, je suis habitué à me méfier de ce que je perçois comme une réalité parce que cela n'est pas toujours le cas. Je vais donc faire appel à la réflexion, à l'observation de plusieurs facteurs pour corriger ce que mes yeux envoient comme information.