Tome 2

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Prophètedel'éternel

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Tome 2

Ecrit le 11 oct.16, 17:50

Message par Prophètedel'éternel »

Tome 2 Qui est votre Dieu?

Je m’appelle Iéovys fils de Iéomil. Mon père est mort en défendant l’honneur de sa femme lors de la vengeance de notre village contre celui voisin. Ce dernier avait fait un raid sur le notre, enlever certaines de nos femmes, dont ma mère, nos outils, et notre nourriture. Mon père, le chef et les anciens avaient décidé de contre attaquer. La victoire revînt à notre village, mais plusieurs de nos chasseurs trouvèrent la mort dans la bataille, dont mon père. N’étant pas né lorsque mon père fût tué, dès ma naissance j’eut droit à un traitement spécial : fils du démon( du village d’en face...). Ma mère y croyait aussi. Mes frères et soeurs aussi. Je n’était pas né que j’étais déjà mort...

Le temps passait. Le temps de mon entrée officielle dans la tribu approchait. J’avais été remisé à l’écart des autres. Personne ne m’avait appris à construire des abris. Aussi j’avais appris en regardant les autres construire le leur. Voyant mon attitude le chef de notre village, un ancien ami de mon père, m’avait sembler ralentir et décomposer chaque étape de la construction : Des os, du bois, du boyau sécher, et des peaux tanés, assemblés méticuleusement pour en faire une structure résistante à l’eau, au vent. Les tempêtes pouvant tout souffler, j’avais décider depuis le jour ou notre chef m’avais consciemment ou inconsciemment soutenu, de bâtir un modèle plus résistant, sans savoir vraiment où j’allais...
Je passais donc beaucoup de temps à observer ce qui se faisait dans la nature autour de moi. De toute façon, la tribu me reprochait de me méler de ses affaires, moi le paria, et me reprochait également de ne pas m’en occuper. Donc, autant m’éloigner. Les jours de tempêtes je sortais pour observer les effets sur nos demeures, et comparer les effets sur la nature environnante. J’en étais arriver à la conclusion que des pierres seraient la solution. Mais trouver des pierres de taille idéale ne serait pas facile. J’allais donc à la rivière voir si l’esprit de la rivière aurait quelque chose à me sugeggérer. Je m’agenouillais dans la boue, et commençait à creuser, je sentais que ce jour de pluie me serais bénéfique pour demander l’aide de notre dieu protecteur, l’esprit de la rivière. La pluie faisait gonfler la rivière, aussi j’utilisait de la boue la où il n’y en avait pas habituellement.
Après toute une journée de dur labeur, le tas de boue était bien haut lorsque la pluie cessa et que le soleil allait prendre du repos. Je rentrais, non sans avoir pris un bain dans l’eau sacré de l’esprit de la rivière, le priant de m’aider à trouver un indice, voire une solution... Mais rien ne vînt.
Je retournait au village, et entrais dans ma tente.
« As-tu passer une bonne journée Iévis ? Je sursautais.
- Ne t’inquiète pas ce n’est que moi, me dis le chef.
- Chef ! que puis-je faire pour vous ?
- Dis moi que tu prépares ton entrée correctement, dis moi ce que tu as fait aujourd’hui.
- Hé bien, mon entrée, vous le savez, est déjà ma sortie. Quant a ce que j’ai fait aujourd’hui, j’ai demandé à l’esprit de la rivière de m’aider pour solidifier nos tentes pour qu’elles résistent aux tempêtes.
- Tu es bien comme ton père, enchaîna-t-il, toujours à essayer d’ améliorer nos vies.
- Merci chef, je commençais à pleurer, c’étais la première fois que l’on me parlais comme à un vrai membre de la tribu.
- Je comprends ce que tu ressens poursuivit-il. Quand j’avais ton age, j’ai été traiter de la même manière.

Je restais sans voix devant cette nouvelle perspective.

- Je suis devenu le chef car j’étais le meilleur chasseur de la tribu.
- Que dois-je faire alors ?
- Montres ta force. Ton esprit est fort. Ton corps est fort. Il faut que tu le montres. De plus tu as quelquechose que peu d’entre nous ont.
- Ah bon ? Quoi ?
- Un esprit vif. J’ai bien observer tes expériences pour améliorer nos tentes. Souviens toi quand même que nous devons pouvoir bouger vite. Les pierres se transporte mal tu sais ?
- Je comprends,répondis-je -ce n’était pas vrai, mais j’avais matière à réflexion-.
- Alors tu seras prêt pour la grande chasse ! Affirma le chef avant de partir.


La grande chasse, aller vite. Je m’endormais en pensant à ma discussion avec notre chef. La seule personne à s’intéresser à moi pour ce que je suis. Cependant, il me dis de le montrer. Le paraître. Ca ne me plaît pas.
Le soleil se réveillait peu après moi. Je me préparais pour la grande chasse. Assis devant ma tente, je regarde les autres se lever pour les festivités du jour. Certains se lèvent tremblotant, d’autres s’affèrent à entretenir les feux du village. Ceux qui, comme moi, vont participer à la grande chasse prépare leur lances, assemblant, vérifiant, vérifiant de nouveau que leur pointe de pierre ou d’os sont solidement attaché. Tous, nous vérifiions également nos arcs ; la solidité des boyaux, les boyaux de rechange, les attaches des arcs.
Cette nuit-là, j’avais fait un rêve, que je me remémorais en vérifiant le point d’attache de ma lance. Ce rêve me frappa ; j’étais caché derrière un arbre, le sanglier courait droit dans ma direction, je sortais de ma cachette une flèche montait et descendait sur le cuissot arrière de la bête, je m’agenouillait ma lance tendue, je faisait front à la course du sanglier, qui aveuglé par la douleur continuait sa course droit sur moi. Le sanglier allait s’embrocher lui-même sur la lance, mais au moment du contact avec la pointe, celle-ci se dévissa, avant de tomber. Dans sa course le sanglier plia la lance sans pointe jusqu’à la rompre, le sanglier m’embrocha, je me renversait et il me piétinait.
La lance m’échappa des mains, me sortant de ma léthargie. Une lance ne suffirait pas. J’allais dans le sous bois adjacent au village, avec ma lame de pierre. Je repérai une grande branche, épaisse, 3fois plus épaisse qu’une lance classique. J’eu tout juste le temps de la couper et d’en affûter un bout, avant de me joindre au groupe des jeunes chasseurs. Déjà objet de railleries à cause de l’apparence de ma lance, écaillée de morceaux d’écorces.
Le chef stoppa les railleries en commençant son discours. Je ne l’écoutais pas, trop occupé à vérifier mon matériel. L’arc semblait en bon état. Le boyau de remplacement. Mes pointes de lance me servirait de couteaux, et j’avait pris des carrés de cuir pour protéger mes mains.

Quoi de mieux pour le « paraitre » ? Yumal, le plus admiré des gens de mon age me bouscula alors que je parachevais l’affûtage de ma lance, évidemment, l’esprit des arbres ne manqua pas l’occasion de se venger de ce que j’avais fait subir à son protégé quelques temps plus tôt, et je trébuchais sur une racine. Malgré les rires du plus grands nombre, certains n’avaient pas manquer le fait que j’avais failli être embroché par ma nouvelle arme, et que le sang commençait à couler de mon épaule gauche.En me relevant, je me rendis compte que je ne pouvais presque plus bouger le bras gauche.
Les « chasseurs » vinrent vers moi, et me dire que pour moi c’était déjà fini, que l’esprit de la forêt avait déjà décidé que je ne devais pas devenir un « chasseur ». J’avais l’habitude de ce genre de remarques, mais cette fois, quelque chose m’empêchait de simplement les laisser divaguer :

- L’esprit de la forêt vous a-t-il parler ? NON que je saches !!! En aucun cas l’esprit de la forêt ne s’abaisserai à parler à des gens comme vous !! Alors s’il a décidé de me blesser, ce n’est pas à vous de décider de quelle est sa décision finale !!, j’irai, et nous verrons !!

Devant un tel blasphème, le sorcier du village fût chercher du regard par les « chasseurs » et à peu près toutes les personnes du village.
Le sorcier dit :

- Iéovis. Tu as raison. Aucun ici n’as entendu les paroles de l’esprit de la forêt. Alors va, et tu verras.

Sur ce coup là le vieux il ne prenait pas de risque, mais au moins, il n’était pas contre moi...je pourrais aller à la chasse.

Les jeunes partirent au devant, je devais panser ma blessure pour en minimiser les effets. L’ongan de soin qui m’avait pris 3 jours à confectionner était déjà épuisé. Je retrouvais cependant un peu de la motricité de mon bras. Je me mît en route.
J’avançais dans les bois, mes sens à l’affût. Celui qui ramènera le plus gros animal recevrai l’insigne du courage. Seules 3 personnes dans le village sont vivantes qui l’arborent.

Mon bras me fait souffrir, tellement souffrir qu’il me semble ressentir tout ce qui frémit dans la forêt, aucune pensée ne viens troubler mon esprit. Je marche vers les voix des autres. Ils vont faire fuir le petit gibiers, mais également les plus gros, les imbéciles... Tout ce qu’il va rester ce sont les plus dangereux... Le vent fait bruisser les feuilles dans les arbres. J’observe le plus attentivement possible dans quelle sens il va. Les voix viennent du nord. Les voix viennent du sud. Me voilà à jouer les appats si les prédateurs sont entre eux et moi. « Vent du nord cache toi derrière la mousse arbres », cette phrase du poème de la forêt retentit dans ma tête. J’avance désormais caché du vent par les arbres. Les voix se rapprochent de moi par le sud. Des brindilles se brisent au nord, à une « 100 aine » de pas. Un grouinssement retentit. Un sanglier. Plusieurs groins se montre. Une femelle et sa portée. Manquait plus que ça. Quand la femelle entendra les autres, elle chargera. J’aurai préféré une meute de loups, au moins, j’aurai pût les prévenir du danger.
Ils se rapprochent. Les rejetons sont tout à leurs repas, mais la mère de la taille de 3 hommes, elle, lève son groin. 30 pas.
Yumal a repérer la femelle. Yuval est à ses cotés. Aucuns des protagonistes de la tragédie que je vois se dessiner ne semble m’avoir remarquer.
Yumal et Yuval échangent quelques mots. Yuval n’a pas vu la femelle, et se dirige droit vers elle., La femelle ne sent heureusement pas son odeur mais reste à l’affût du bruit
Yuval avance, je commence à me demander si je suis invisible ? Apparement non, il me regarde. Je lui fait signe de ne pas ouvrir la bouche et lui indique qu’une famille de groins se trouve là. Yumal hurle alors :

-Tais-toi bon à rien !!
- Vite vers moi, lancé-je à Yuval.

Trop tard la femelle charge, 20 Pas, je vais moins vite qu’elle elle renverse Yuval pris par surprise
Parfait ! hurle Yumal alors que Yuval se fait piétiner...

Je me lance sur le sanglier avec ma lance, j’utilise mes 2 bras malgré la douleur.
Yumal se met en position pour embrocher la bête ; La situation ne peut m’empêcher de me faire penser à mon rêve. Je me jette sur le dos de la bête et lui cloue sur le dos ma lance, Elle perd de la vitesse et commence à se débattre en hurlant et fini par s’embrocher sur la lance de Yumal qui se plie, se rompt et la moitié de lance finit par s’enfoncer dans la bête qui s’agite avant de s’effondrer. Je me précipite alors vers Yuval. Yumal se remet de sa peur.
Yuval ne s’est pas fait piétiner la tête, mais a un bras cassé, et de nombreuses contusions. Je prends deux branches pour faire une atèle de fortune au bras de Yuval qui a perdu connaissance, mais dont le souffle est régulier. J’apose soigneusement le peu de baume q’uil me reste sur les contusions les plus sérieuses.

J’entends Yumal qui hurle sa gloire aux autres qui s’approchent, Yuval est toujours en train de dormir. Les autres sont soit en quête des petits, soit ils félicitent Yumal de sa grande habileté.
Je n’en reviens pas ; il comptait sur le fait que Yuval se fasse renverser tout en blessant la bête pour en tirer toute la gloire.
Je m’assois à coté de Yuval, reprenant mon souffle, mon bras gauche me faisant toujours autant souffrir.

Yumal me toise :

-La gloire est mienne, l’esprit de la forêt est avec moi !!!
Les autres l’applaudissent, hormis certain qui voit ma lance planté dans le dos de la bête
- Ce lâche a planter sa lance dans le dos après que j’ai abattu la bête lance Yumal. Même les sceptiques me lancent un regard noir désormais.

Je regarde sans rien dire- sa lâcheté n’a d’égale que son habileté au mensonge, le pire est sûrement que les autres puisse le croire-. Je ne réponds rien.

- Ton silence veut dire que Yuval dis la vérité !! lance un idiot – ils le sont tous à ce que je vois-
- Si tu veux lui répondis-je...
- Qu’est-ce que ça veut dire, me lance-t-il, les yeux rouges de colère, Duguil fait s’abattre sa lance sur ma tête, je m’écroule sur le coté. Voleur et faible hurle-t-il
- En effet surenchérit Yumal...Laissons ce voleur à sa place. Je ne crois qu’il le sache, mais il viens de me sauver la vie...

Je veille sur Yuval, que tous semble avoir oublier...Ils vont même jusqu’à le laisser dans la forêt en rapportant leurs trophées au village.
Au bout de quelques heures Yuval se réveille. Le soleil se couche.
- Comment te sens-tu Yuval ? lui demandé-je ?
- Je ne sais pas me répond-il.
- Ton bras est cassé, j’y ai mit une atèle pour le soutenir, je n’avait pas assez de baume pour toutes tes blessures.
- Où sont les autres ?
- Partis, rentrés au village.

Il scrute la cime des arbres.
- Ils m’ont abandonné ? bredouille-t-il
- Console toi, il ne t’ont pas abandonné, ils ont abandonné l’homme qui s’est fait soigner par le faible voleur...
- Qu’est-ce que tu dis ? il veut hurler mais la douleur l’en empêche.
- De quoi te souviens-tu ? lui demandé-je.
- Eh bien, Yumal m’as dis d’aller tout droit et que lui prendrais plus loin sur la droite en direction du nord... Il marque un instant d’hésitation avant de reprendre ; ensuite tu m’as dis de venir vers toi, je t’ai vu avec ta lance dans la main droite et la pointais vers le sanglier que j’ai vu en regardant ce que tu visais... et puis plus rien...
- Je vois, lui répondis-je.
- Et après, que s’est-il passer après ? me demande-t-il ?
- Après... Tu ne croiras pas la vérité, tu sera comme les autres à croire Yumal...
- Qu’a-t-il dis ?
- Rien qui ne me feras pas bannir...Je voulais juste être sûr que tu puisse rentrer au village. Je vais partir si tu peux marcher.
- Pas sans toi, me répond-il.
- Désolé mais j’ai pas envie de me faire tuer par mon propre village. Alors peux-tu marcher ?
- Non, répond-il froidement. – Sûrement veux-t-il ma mort, au point où j’en suis finalement ce n’est plus très important-
- Très bien je te raccompagne à la lisière du village alors...

Le soleil a retrouver sa hutte, mais les feux du village nous guide.

Je crie que Yuval est ici, je m’apprête à partir, mais Yuval me retiens de toutes ses forces – c’était couru d’avance-
- Je suis désolé me dit-il, mais j’ai besoin de toi

Je retourne à mon silence.

Les chasseurs arrivent
- Tu es vivant ? lance le père de Yumal qui arrive en premier – quelle aubaine, décidément l’esprit de la forêt me tiens dans son coeur- à Yuval
- Oui, lui réponds Yuval

Deux autres chasseurs arrivent lances pointés vers nous, Yushka leur dis de baisser leurs armes.

- Et toi !! Comment oses tu revenir ? hurle-t-il me toisant
- Comment ça ? il ose ? dis-tu « Grand Chasseur » avec tout le respect qui t’es dû, il m’a sauver, et ton fils m’as laisser pour mort, il ose dis-tu ?

Un autre chasseur arrive, avec une torche
- Mon fils, tu es vivant !! Lâches le toi !!
- Père, je suis vivant, et c’est grâce à celui que tu dis de me lâcher !
- Tu t’égard mon fils, l’esprit de la forêt t’as sauvé pas ce lâche !

Je ne peux m’empêcher de dire :

- Merci !! Merci à vous tous qui parler au nom des esprits

Une bourrasque éteint la flamme
Tout en tentant de me dégagez de l’emprise de Yuval qui m’étreint je poursuit
- Voilà que l’esprit du vent éteint ton feu tu es aveugle

Une brise légère viens attiser les braises de la torche qui se rallume
J’ai réussi à me dégagez de l’étreinte de Yuval qui gît à terre – 3 pas voilà donc tout ce qui m’est offert- Mon dos est à leur merci
- Et maintenant tu vois...

Un coup vînt s’écraser sur ma tête. L’obscurité se faisait et je m’effondrait.

Je me réveillais en sursaut. J’étais dans une hutte que je ne reconnaissais pas.
Le « Grand Sorcier » me regardais :
- Comment vas-tu ? me demanda-t-il
- Vivant.

Il se mît à rire.
- Comment se fait-il que la tribu ne m’ai pas mis à mort ?
- Te mettre à mort ? Pourquoi donc devrions-nous te mettre à mort ?
- Pour rien, du moins, il n’y a rien dans le code du village qui prévoit que je meurt...
- Alors pourquoi veux-tu que nous te mettions à mort ?
- Je ne le veux pas, mais les villageois m’ont toujours considérer comme le fils du « Démon », même ma famille, alors l’histoire de Yumal aurait dû suffire...
- « L’histoire de Yumal » dis-tu ?
je hoche la tête, me rendant compte qu’elle bourdonne

- Peux-tu me la raconter cette « histoire » ?

Je lui raconte alors ce que j’ai vu. Soulignant que les seuls détenteurs de la vérité sont Yumal et moi, et qu’il y avait fort à parier que ces histoires ne coïncident pas. Et surtout que je ne m’attendais pas à ne serait-ce que pouvoir raconter mon histoire.

- Merci de m’avoir écouté « grand sorcier »
- Tu n’as pas tout raconter. Me reprend-il
- Comment ça ?
- La flamme, Iéovis, la flamme – c’était donc ça la raison-

Je lui raconte vaguement, car je n’ai moi-même pas tout compris.

- Les esprits t’ont choisit, Iéovis. Plus tard, tu me succéderas...
- Pardonnez-moi, « Grand Sorcier », mais c’est un peu...
- Tu dois te reposer à présent, nous commencerons ta formation dès que tu ira mieux.
- A ce propos, comment va Yuval ?

Un grand sourire aux lèvres, il me dit qu’il allait bien, avant de sortir. Ma tête se remît à bourdonner, je me rallongeais essayant d’écouter ce qui se passait dehors, mais je n’entendais rien, hormis le fait que la fête était probablement terminée, avant de m’endormir.

Le matin je me réveillais. J’étais seul dans la hutte du « grand sorcier ». Assez surprenant. Je sortai. Les feux étaient allumés, les petits de la truie était en train de cuire. Déjà le temps de manger ?

Yuval arrivait vers moi avec un sourire en coin, le bras en écharpe, bien mieux soigner que je ne l’avais fait la veille.
- Comment vas –tu Iéovis ?
- Et toi ?
- Grâce à toi, je suis vivant.
- Grâce à toi j’ai failli me faire tuer... lui répondis-je.
- Désolé, j'ai eu peur que Yumal me tue, j’avais besoin de toi- c’est donc pour ça qu’il m’as retenu-
- Pourquoi t’aurait-il tuer ?
- Il savait que le sanglier étais en face de moi, et m’y a envoyer. Il l’a fait une fois, il recommencera, ensuite il m’a laisser pour mort, il l’as fait une fois il recommencera. Et si j’étais revenu sans toi, que j’étais tomber sur lui, il m’aurai tuer.- moins stupide que je le croyais-
- Tu risques ma vie pour sauver la tienne.
- Je te demande pardon, mais tu es le futur « grand sorcier » maintenant, cela valait coup !
- Ne le prend pas mal, mais bientôt tu m’aura sauver la vie si je te laisse continuer.
- Me pardonneras-tu un jour ?
- Je te pardonnerai peut-être une nuit...
- Déjà un vrai futur « grand sorcier ». Avec un sourire triste, il partait
- Attends un instant s’il te plait !
- Oui, tout ce que tu veux...
- Où ..., enfin, que.... je ne trouve pas vraiment les questions, mais Yuval avait compris et il commence à m’informer sur ce qui se passe et c’est passé.

En fait Yumal, avec l’appui des autres as dis que tu avais fuit devant la charge du sanglier, et qu’à cause de ta lâcheté, le sanglier m’avait piétiner et tuer...-La fête était ternie, mais pour un brave perdu, le « fils du démon » s’en était enfin allé- Alors à la surprise de nous voir arriver vivant je risquai effectivement de me faire tuer, mais le coup de la flamme et du vent m’avait tout bonnement sauver la vie. En me racontant cette partie des évènements il pleura et me redemanda pardon ; avant de poursuivre :

Ensuite, son père l’avais amener chez le « Grand sorcier » pour le faire soigner, pendant que j’étais remiser dans un sac près d’un feu, en attendant de savoir à quelle sauce ils allaient me « manger ». Yuval m’expliqua ensuite que pendant qu’il se faisait soigner par le « Grand sorcier » il raconta ce qui c’était passé lors de la chasse, ainsi que l’histoire avec la torche en arrivant ce que les chasseurs confirmèrent hormis le père de Yumal... Le chef , le « Grand Sorcier », et l’assemblée des chasseurs étaient actuellement réunis pour trouver ce qu’il convenait de faire. Je le remerciais pour les informations.

Je partit dans la forêt. J’allais retrouver l’arbre auquel j’avais pris une grosse branche, et le regardais. Je le touchais, puis baissait mes yeux pour voir le sol qui l’avait vu naitre et croitre. Je me dirigeais vers la rivière par cette belle journée ensoleillée. Là bas je retrouvais mon tas de boue vieux de 2 jours désormais. Avec la pluie, le tas de boue s’était écouler en une couche qui se mêlaient à des herbes. La boue était sèche, compacte, et, dans une certaine mesure solide. Je m’assis à coté du tas de boue, écoutant la rivière qui coulait paisiblement. J’espérais entendre l’esprit de la rivière me parler. Peut-être que le son de la rivière est sa voix. Tout simplement je ne la comprend pas...
Je regarde la boue sèche. Je veux en saisir un morceau , mais le bloc entier viens dans ma main. Je la remue, mais le bloc ne se brise pas. Je l’amène à la rivière et le trempe dans l’eau. après une farouche lutte, l’eau l’emporte sur le bloc qui se dissipe dans l’eau transparente.
Je récapitule mes trois dernier jours. L’esprit de la rivière ; l’esprit de la forêt ; l’esprit du vent...et l’esprit du feu.
Prendre la boue de l’esprit de la rivière, l’herbe de l’esprit de la forêt, faire sécher le mélange dans le vent, et enfin en faire don à l’esprit du feu...

Je regardais autour de moi, tous mes soucis ailleurs, un des autres tas de boue est du même tenant que le précédent, je prenais la boue délicatement, mais celle-ci se brisa en 2 morceaux - le mélange ne sera donc pas simple-. Préparant un feu près du sous bois, je réfléchissais à la meilleure manière de faire don de cette boue à l’esprit du feu. Des braises ardentes m’indiquait que l’esprit du feu avait faim. Je lui donnait le morceau de boue. Après un moment de cuisson le morceau commença à se fendiller, avant d’éclater – Directement dans l’estomac n’est pas un don très appréciable semble-t-il - . Je vais prendre l’autre morceau après avoir méticuleusement préparer un réceptacle d’offrande constituer de pierres. Je pose le bloc sur les pierres chauffés par le feu dont j’alimente le ventre de bois.
Le soleil s’apprêtait à se coucher lorsque me revînt l’incident, le conseil, le « Grand Sorcier ».

Je rentrais au village. Les regards, hier encore, noirs qui accompagnaient mon retour depuis 13 neiges laissait place à des yeux hébétés. Je ne comprenais pas. Je me dirigeais vers ma hutte où je m’endormît. A mon réveil, l’ssemblé des chasseur, le chef, et le grand sorcier étaient là. Je me levais sur le champs, droit comme un I, j’observais les yeux des chasseurs – apparement ils ne sont pas là pour me tuer, c’est déjà ça-

- Que penses-tu de notre présence Iéovis ? demanda le grand sorcier
- Que les chasseurs ne souhaitent plus ma mort.
- Quoi d’autre ?
Comme le soir avec la flamme je ressenti une chose bizarre
- Que celui qui a menti soit banni, ôni, ne serait que flatterie

Puis je m’effondrais au sol, je tentais de lever ma main gauche mais la blessure m’en empêchait. Avant de m’évanouir sentant la brise se lever.

Je me reveillais quelques minute plus tard. Le père de Yuval me portait ;
- C’est bon pour moi, lui dis-je
- Ne t’inquiète pas, je te conduis chez le « grand-sorcier » - je ne suis pas inquiet, je veux juste marcher-
- Je... Je peux marcher... bredouillais-je – finalement j’ai beau le dire, j’en suis plus si sur-
- Que dis-tu ?
- Rien...
- Reposes-toi sur moi, comme mon fils s’est reposer sur toi, je te demande pardon en son nom.
- On est la nuit, lui demandé-je
- Oui, étouffant un rire
- Alors il l’est... pardonné...

Il éclata de rire, je lui souris faiblement et me laissais porter.
Nous arrivions près de la hutte du « Grand Sorcier ». Un siège m’avait été préparer à l’assemblée des chasseurs – IN...CRO...YA...BLE-
- Bien, dis le « Grand Sorcier » devant les chasseurs, j’ai décidé que Iéovis sera mon successeur en tant que « Grand Sorcier ». Cela fait longtemps que j’ai pris cette décision, mais il fallait que vous puissiez l’accepter.
- En effet, le « Grand sorcier » m’en parle depuis 3 neiges déjà, annonça le chef, avant de poursuivre ; nous en avons tous eu la preuve à 2 reprises. De plus les accusations de lâcheté ont été réfutées sans qu’aucun doute ne soit permis.
- Pour nous cela est une évidence, mais le village l’acceptera-t-il ? lança un des chasseurs.
- Tu as bien parler. En effet, tous l’ont rejeter jusqu’ici, mais quand son père était vivant, c’était lui qui devait me succéder, annonça le « Grand Sorcier », car il montrait les même signes de communion avec les esprits que lui...
- Alors, il n’y a plus aucun doute, il est bien le fils de Iéomil ?
- Non, plus aucun... répondirent de concert le Chef et le « Grand sorcier »

Des larmes se mirent à couler de mes yeux, sans même que je ne m’en rende compte. Yugal, le père de Yuval me frotta sympathiquement les cheveux – ils savent enfin ce que je sais depuis toujours-

2 neiges passèrent.

Yuval était devenu mon ami. Yumal ne se permettait plus de me maltraiter, mais n’en pensais pas moins. Désormais, avec l’aide du « Grand sorcier » nous étions parvenu à utiliser le mélange de boue cuite que nous appelions « brique ». Il nous suffisait de les assembler et de les coller entre elles avec une forme de boue particulière dont le « grand sorcier » m’avait parler, puis enseigner à utiliser. Le chef avait trouver la mort lors d’une grande chasse et Yugal, le père de Yuval l’avait remplacer. Le village depuis la dernière neige avait changer de forme, les huttes avaient laisser place a des bâtisses de « briques ». Les colères des esprits ne faisant plus s’envoler nos huttes, nous avions tous plus de temps pour les autres activitées. Le village était dans l’opulence.
Je travaillais à l’études des soins avec le « grand sorcier » et sur un don de l’esprit de la roche, une forme de pierre, qui, donner à l’esprit du feu, fondait. Et j’étudiais également les plantes donner par les esprits de la rivière et de la forêt. Les grains de ces plantes une fois broyés, mélangés, malaxer et donner à l’esprit du feu donnait une pâte au goût exquis, qui parfois se gonflait de bulle et parfois non...

Un jour, le « Grand sorcier », me semblait troubler :
- Iéovis, je veux que tu participes à la grande chasse qui s’annonce.
- Mais, « Grand sorcier »...
- Ne m’appelle plus comme cela désormais, pas toi... Tu seras bientôt le « grand sorcier »
- ...
- L’esprit de la forêt semble me dire de te protéger, les signes me semble clairs.
- Très bien, j’irai, mais, je n’ai rien vu pour ma part...
- Tu communiques trop avec l’esprit du feu en ce moment pour t’en rendre compte. Redevient attentif à tous les esprits. Pour cela va à la grande chasse.
- Très bien, j’irai.

Je restais sceptique quant aux réelles motivations du « Grand sorcier », mais il avait raison sur le fait que j’étais trop concentrer sur l’esprit du feu... La grande chasse me permettrai sûrement de rentrer de nouveau en communion avec tous les esprits et c’était mon devoir désormais – désormais ?-

La grande chasse se déroula, nous étions à une demi-lune du village, et la neige revenait. Nous avions de nombreuses prises, Ce fût difficile de ramener autant de prises, mais nous y sommes parvenu. Mais, à notre arrivée, le village avait été piller.

- C’était ça qu’il voyait... lachais-je en pleurant –
- De quoi parles-tu Iéovis ? me demanda Yugal qui était à mes cotés
- Le « Grand sorcier » m’avait dis qu’il lui fallait me mettre à l’abri et m’a envoyer à la grande chasse
- Il me l’as dis aussi m’annonça Yugal., Maintenant allons.

Nos lances en avant, nous nous dirigeâmes vers le village, certaines huttes de briques étaient effondrées, les feux s’éteignaient. Personne dans le village.
- Partez à la recherche des survivants Hurla Yugal

Des corps sans souffle gisaient sur le sol. Nos richesses avaient disparûent.- Voilà donc la motivation-
J’apportais le sacrement des esprits à nos morts, comme l’exigeait mon poste. Dix morts en tout. Les chasseurs revinrent avec plusieurs femmes, enfants et sages. Nombre d’entre eux manquait à l’appel.
Les sages nous racontèrent que 2 soleils avant notre retour, la tribu des loups des montagnes avait attaquer, ils avaient emmener les réserves, de nourriture, d’outils et d’armes. Pris quelques femmes et enfants, et avaient emmener également le « grand sorcier » pour connaître le secret des « briques » - Tout est de ma faute donc... fils du démon peut être- Ma mère, une de mes soeurs faisait parti du voyage, et j’avais apporter le sacrement des esprits à son « mari » qui était resté au village.
Yuval vînt me voir :
- Que te disent les esprits, mon ami ?
- Même s’ils me parlent, je ne les entends pas pour le moment...
- Je ne sais pas comment ça fonctionne, mais je sais qu’un coeur blessé a l’oreille sourde...
- Le « grand sorcier » t’avais dis cela à toi aussi ?! dis je, cela me remontait le moral
- Il m’as surtout demander de te le rapeller chaque fois que tu n’entendrais plus les esprits...
- Nous devons aller le libérer ! affirmai-je, Tous les libérer !
- Oui, et nous le ferons...quand nos coeur seront guérient, n’est-ce pas ? dit-il posant sa main sur mon épaule
- Oui, je posais ma main sur la sienne, je dois aller à la rivière....
- Fais ce que tu dois, j’informerai le reste du village, tu es le « grand sorcier » alors fait ce que tu dois...

J’allais à la rivière, hurlais ma colère, me roulant dans la boue, hurlant de nouveau, pour finir, le calme revînt je m’allongeais sous les arbres, dans le vent après m’être baigner dans la rivière, le soleil se réveillait, brillant de mille feux...
Je retournais au village.
L’assemblée des chasseurs avaient veillé toute la nuit. Je prît place dans le cercle et regardais le chef pour connaître le résultat de leurs délibérations. Mais je n’obtînt pas de réponse...
- Iéovis, les esprits t’ont-il parler ? me demanda le chef. Tous les chasseurs avaient les yeux rivé sur moi
- Ce n’est pas clair, si le grand sor...
- C’est toi maintenant ! me coupa sèchement Yugal, alors que t’ont dis les esprits ?
- Très bien. Voilà ce que j’ai entendu : Que la colère soit dans la nuit, l’esprit du feu nous éclairera...

Après un court instant de réflexion Yugal repris :
- Nous attaquerons la nuit, et récupèreront les nôtres !

L’assemblée des chasseurs se leva et hurla le cri du combat !
- Attendez un instant, dis-je, il nous faut attendre qu’un soleil passe...

Donc l’attaque ne serait pas pour cette nuit, mais pour la suivante. Chacun rongeait son frein cette nuit. J’allais dans la hutte du grand sorcier, il me fallait récupérer ce qui pouvais l’être, ce liquide que l’esprit du feu semblait préféré comme repas, me semblait être la clé de la bataille, pourvu qu’il y soit toujours...
Heureusement il y était. Il ne restait plus qu’un pot sur les 3 que nous avions confectionné avec le « grand sorcier ». J’en remplit une sacoche de cuir, prenant soin du pot, résultat hasardeux de notre travail sur les « briques ».Peu solide, je tranvasait le liquide restant dans un sac de cuir tanné, une partie serait perdue, mais le reste serait plus en sécurité.
J’allait rejoindre les chasseurs autour du feu, pour leur soumettre mon idée.
- je vous prie de ne pas m’interrompre avant la fin, annoncé-je, tous acquièscérent par un hochement de tête.
- Avec une attaque de nuit, tous avec nos torches, nous serons vite repérer, et nous aurons affaire à fort parti. Le » grand sorcier et moi avons mis ceci au point ; je leur montrais le petit sac de cuir avant de dessiner un cercle avec le liquide. Je prît une torche et la plaça près du liquide qui s’enflamma sur tout le cercle. Après cela je jetais le petit sac dans le feu. Après un instant il se produit une explosion. Voilà ce que je vous propose pour les prendre par surprise. J’ai fini.

Les chasseurs fûrent impressionner par la démonstration. Je leur montrait ce qu’il restait comme liquide, l’équivalent de 2 outres.
La journée du lendemain fût consacré à utiliser au mieux les ressource du liquide, à la préparation du matériel, aux sacrements par les esprits protecteurs.
Je m’imposait pour l’expédition, non sans difficultés
- Tu es le « grand sorcier » et le grand sorcier ne prend pas part à ces combats, un chef peut se remplacer, mais le grand sorcier est un don des esprits me dis Yugal, soutenu par Yuval
- Alors je dois aller le sauver...souligné-je
- Mais c’est toi !!- Tout le monde le dit, mais je n’y prête pas attention- surenchéri Yuval
- Rien que pour le liquide, vous aurez besoin de moi – je mentais, mais je me devais de libérer le « grand sorcier »-

Cet argument acheva leurs argumentations.- Ils ne peuvent savoir que je n’en sais guère plus qu’eux sur le liquide, ni d’ailleurs qui que ce soit d’autre à ma connaissance-
Le soleil s’apprêtant à retourner au lit, nous commençâmes notre avancé sur le village des montagnes qui ne se trouvait qu’à quelques milliers de pas...

Au milieu de la nuit, des nuages firent leur apparition dans le ciel. L’esprit du vent nous soutiens annoncé-je, en montrant les nuages qui dissimulait de plus en plus d’étoiles et s’approchait de la demi-lune...Le moral des chasseurs augmentait, mais ils gardaient le silence car nous étions très proche de l’ennemi, dont nous voyions les feux.
Un chasseur gardait notre unique torche en retrait. Les autres partait au devant pour voir la situation. Le chef m’ordonna de rester près de la torche. Je n’avait d’autre choix que de m’y soumettre à sa décision – de toute façon ce n’est pas le moment de discuter les ordres, l’enjeu est trop important-.

Le feu me parle, bousculé par le vent, sur ce morceau de bois laissant couler de l’eau...
- Ma mort. Dis-je
- Quoi ? devons nous partir ? lança le chasseur qui tenais la torche
- Non, seul nos ennemis et moi mourrons ce soir... Les esprits le veulent ainsi
- Rentre au village, immédiatement ! m’ordonne-t-il.
- Cela ne se peux, c’est moi et nos ennemis, oubien vous tous, ne dis rien aux autres. Surtout ne dis rien Tuégal, ne dis rien aux autres

Des bruissements s’approchent de nous.

- Il y a 2 chasseurs qui montent la garde, les autres sont dans leurs huttes, nos compagnons sont dans une cage de bois , apparemment tous, sauf le « grand sorcier » qui lui est attaché à un poteau couvert de sang, mais vivant.
- Les esprits t’ont-ils parler Iéovis ?
- La colère dans la nuit, il faut attendre que les nuages cache la lune. Faites brûler votre colère dans les ombres, désolé je n’ai rien de plus précis...
- C’est plus que suffisant, répondit Yuval sourire aux lèvres, il regarda Tuégal :
- Tuégal ça ne va pas ? Je posai ma main sur Tuégal le regardant droit dans les yeux
- Non ça va...
- N’aie pas peur, nos deux « grands sorciers sont ici »
- Ou...i répondit-il hésitant, avant de se reprendre, Oui, tu as raison, que devons faire alors ?
- Dès que les nuages cachent la lune, mon père donnera l’assault !! Je m’en vais l’informer pour les nuages !

Les nuages cachent la lune. Tous ont terminé les préparatifs dissimulés par les nuages, et le bruissement des feuilles. Le village des montagnes est endormi.

-Tu crois que ceux la rivière vont vraiment venir ? cette bande de lâches n’as même pas bouger de la journée, ils jouait avec de l’eau parait-il !! lança un des deux chasseurs qui montait la garde...
J’eût l’honneur de lancer l’assault, à ma demande
- de l’eau dis-tu ?

Je lançais ma bourse de liquide dans le feux autour du quel ils étaient, j’avais demander àl’esprit de pierre de prêter sa force à l’esprit du feu et avait mis des cailloux dans le sac
- Alerte lança l’autre,
Notre unique torche alluma les flèches qui s’abatirent sur les flaques du liquide savamment disposé de façon que les huttes prennent feu. Le sac explosa et les cailloux volèrent dans toutes les directions, les deux gardes s’effondrèrent frappé à la tête, les poils de leurs peaux prenant feu. Nos compagnons fûrent délivrer, les chasseurs prîrent le contrôle du village face aux montagnards effrayés par cette magie dont ils ignoraient tout. Seule ma mère manquait à l’appel, sûrement se trouvait-elle dans l’une des huttes, elles étaient toutes en feu et sûrement abandonnés par les montagnards.
Je parti en quête de ma mère je fouillais chaque huttes, Quelques instants plus tard, Yuval me suivait comme mon ombre, j’eût beau lui demander de fouiller les autres tentes il me dit que Tuégal lui avait raconter. – Bien bien...-
C’est la dernière, la moins enflammé, j’entre comme une furie
Une lance me transperce directement le coeur alors que j’entre :
- Mère...dis-je en m’effondrant... Pour.....quoi.... ?

Au loin j’entends rire Tuégal qui dis que la victoire est totale est que je suis indemne contrairement à ce que je lui avait dis... Le grand-sorcier lui hurle dessus, mais je n’entends plus... le noir m’envahit, je m’enfonce, vaguement j’entends Yuval qui crie mon nom...

Pourquoi.... ????
Une chose à la fois, mon ami, une chose à la fois...


Intitulé : Pas trop d’un coup
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Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.

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Re: Tome 2

Ecrit le 11 oct.16, 20:14

Message par ultrafiltre2 »

EDIT erreur de post je répondais à l'autre histoire

Bonjour Prophète de l'éternel

je te remercie pour ce texte

"Eoël avait été tué car il avait tenté de nous assassiner Rona et moi. "

je ne suis pas convaincu par cette accusation ...ne serait-ce pas une impression plutôt ?

NB: "je bresouille" est une faute pas mal je suggère de la conserver mais en mettant des guillemets et un astérisque et un renvoie pour affirmer sa valeur
the sound - contact the fact l’hyper monde est un infty-simplexe triangulairement scalairisé
...ccnc ...et la lumière fut

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Re: Tome 2

Ecrit le 28 déc.16, 21:56

Message par Prophètedel'éternel »

des remerciements font toujours plaisir, dit l'éternel, mais pour l'auteur, ce sont pas des remerciement qu'il demande, c'est vous faire parler, il s'agit pour lui, des remerciement qui l'exauce, faire cas de ce qu'ils dit; car ce n'ets pas dans les pierres polies des torrents que se trouve son partage, dit l'éternel, qui t'instruit pour ton bien, qui a pitié de toi...
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