'mazalée' a écrit : ↑02 oct.21, 00:41
Toute cette guimauve autour de l'amour, me rappelle le sketch de Dieudonné sur la fine équipe du 11.
ça a été fait par amour aussi
Ecoutez au moins le début, ça parle de vous "les amoureux"
https://www.youtube.com/watch?v=QucwSU_ArbA
Dieudonné quel comique le meilleur
Après il y a eu quelques errements mais c’est un autre sujet
Quel talent en tout cas
Pour revenir à l’Amour
Déjà il faudrait penser éducation.
Le Prophète Muhammad saws disait que les actes comptent par leurs intentions.
C’est vrai aux yeux de Dieu.
La pureté de l’intention.
Mais dans les actes Pol Pot avait il de bonnes intentions?
Vouloir construire le « paradis » communiste?
C’est toujours délicat l’idée de faire le bien d’autrui voir des fois contre sa volonté
C’est l’éternel débat du fait par exemple de libérer un esclave quand il ne le veut pas, les abolitionnistes américains dans certains états du Sud des USA ont eu à faire à des esclaves qui voulaient rester avec leurs maîtres.
C’est pareil à l’échelle d’états: peut on intervenir dans un pays étranger pour libérer un peuple d’un système politique pensant que nous avons la capacité d’en établir un meilleur?
Pas sûr que l’Afghanistan justement nous montre l’efficacité du procédé.
Faire le bien d’autrui.
Mais l’Autre doit décider par lui même.
Je pourrais dire la même chose des chouans en Vendée qui d’un point de vue révolutionnaire voulait rester dans la monarchie mais eux ils aimaient leur Église et refusaient le jacobinisme triomphant...
Pas simple.
Dès lors la Règle d’or est à manier avec précaution
« Faire aux autres ce que vous aimeriez qu’on vous fasse »
J’aimerais que tous goûtent au bonheur du Paradis communiste...
Cette règle magnifique poussé à l’extrême peut se retourner contre elle.
Alors pour finir je pense que finalement la plus belle des choses est l’autocritique au final
Que cela n’empêche pas d’agir bien sûr
Mais quand Jésus dans ce moment sublime l’un des plus beau voir le plus beaux de l’Evangile pour sauver la femme adultère « qui n’a jamais péché lui jette la première pierre » il renvoie chacun à ses propres failles ses propres manquements du coup à l’humanité de chacun d’entre nous à la fragilité de nos âmes.
À notre humilité.
Et en renvoyant à chacun notre humanité, notre dignité.
Le Prophète Muhammad saws disait que les actes comptent par leurs intentions.
C’est vrai aux yeux de Dieu.
La pureté de l’intention.
Mais dans les actes Pol Pot ou Mao peut être avaient ils de bonnes intentions?
Vouloir construire le « paradis » communiste?
C’est toujours délicat l’idée de faire le bien d’autrui voir des fois contre sa volonté
C’est l’éternel débat du fait par exemple de libérer un esclave quand il ne le veut pas, les abolitionnistes américains dans certains états du Sud des USA ont eu à faire à des esclaves qui voulaient rester avec leurs maîtres.
C’est pareil à l’échelle d’états: peut on intervenir dans un pays étranger pour libérer un peuple d’un système politique pensant que nous avons la capacité d’en établir un meilleur?
Pas sûr que l’Afghanistan justement nous montre l’efficacité du procédé.
Faire le bien d’autrui.
Mais l’Autre doit décider par lui même.
Je pourrais dire la même chose des chouans en Vendée qui d’un point de vue révolutionnaire voulait rester dans la monarchie mais eux ils aimaient leur Église et refusaient le jacobinisme triomphant...
Pas simple.
Dès lors la Règle d’or est à manier avec précaution
« Faire aux autres ce que vous aimeriez qu’on vous fasse »
J’aimerais que tous goûtent au bonheur du Paradis communiste...
Cette règle magnifique poussé à l’extrême peut se retourner contre elle.
Alors pour finir je pense que finalement la plus belle des choses est l’autocritique au final
Que cela n’empêche pas d’agir bien sûr
Mais quand Jésus dans ce moment sublime l’un des plus beau voir le plus beaux de l’Evangile pour sauver la femme adultère « qui n’a jamais péché lui jette la première pierre » il renvoie chacun à ses propres failles ses propres manquements du coup à l’humanité de chacun d’entre nous à la fragilité de nos âmes.
À notre humilité.
Et en renvoyant à chacun notre humanité, notre dignité.