GdA1915 = un crime contre laDhimmaArménienne. SeraitCondamné parTout CalifeHonnête >> AbolitionduCalifat en1924parAnkara

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GdA1915 = un crime contre laDhimmaArménienne. SeraitCondamné parTout CalifeHonnête >> AbolitionduCalifat en1924parAnkara

Ecrit le 15 oct.22, 18:22

Message par InfoHay1915 »

Merci de signaler ici des articles sérieux concernant

~ l'abolition du Califat en 1924 par la Turquie kémaliste

~ ses invidences et rëpercussions à l'époque auprès de l'Islam non turc.
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)

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Re: GdA1915 = un crime contre laDhimmaArménienne. SeraitCondamné parTout CalifeHonnête >> AbolitionduCalifat en1924parAn

Ecrit le 27 nov.22, 05:29

Message par InfoHay1915 »


Si le Califat n'avait pas été supprimé par la Turquie kémaliste, il y a un siècle, il y aurait bien eu un Calife érudit en Sciences islamiques, honnête et autonome, qui aurait reconnu le GdA1915 comme un crime anti-islam à l'encontre de la dhimma arménienne.

En tout cas, aujourd'hui, chaque entité religieuse ou laïque de l'ISLAM DE FRANCE peut reconnaître le GdA1915 et désapprouver son négationnisme // comme l'a fait le 5 mai 2015, le Dr Dalil Boubakeur, ancien Recteur de l'Institut musulman de la Grande Mosquée de Paris :
~ Page.Pdf.2 du Site de l'Anacra / http://www.anciens-combattants-armenien ... 202015.pdf
. (Association Nationale des Anciens Combattants et Résistants Arméniens de France)

Entités de l'ISLAM DE FRANCE :
~~ https://www.lescahiersdelislam.fr
~~ https://umfrance.fr
~~ http://institut-al-ghazali.fr
~~ https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Liste_d ... _de_France
~~ https://www.imarabe.org/fr ~~ https://www.institut-cultures-islam.org
~~ https://fondationdelislamdefrance.fr ~~ https://www.ifcm-lyon.org
~~ https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Forum_d ... _de_France
~~ https://www.interieur.gouv.fr/actualite ... e-pouvoirs
~~ et d'autres sites à trouver-contacter...

Image

# Photo du Cheikh Mohammed Kabbani, Grand Moufti de la République du Liban avec Sa Sainteté Aram Ier, le 26 May 2014 :

~ https://www.armenianorthodoxchurch.org/en/archives/7647
~ Page.HY avec photos : https://www.armenianorthodoxchurch.org/archives/7624

InfoHay1915
#100
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)

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Re: GdA1915 = un crime contre laDhimmaArménienne. SeraitCondamné parTout CalifeHonnête >> AbolitionduCalifat en1924parAn

Ecrit le 18 déc.22, 10:55

Message par InfoHay1915 »


~ Le Saint-Siège de Cilicie de l’Église arménienne au Liban
condamne énergiquement le blocage par l’Azerbaïdjan du « corridor de Latchine »
- https://www.armenews.com/spip.php?page= ... icle=99046

Merci de faire connaître la situation critique du Karabagh arménien autour de vous.

Il ne s'agit pas d'un conflit religieux -mais d'une entreprise en nettoyage ethnique suite à l'idéologie turquiste à l'encontre des peuples autochtones. Ma grand-mère me le disait et elle ajoutait que c'était suite à la politique des Allemands.

Je rappelle l'interview de Sa Sainteté Aram Ier au journal La Stampa lié au Vatican :
- https://www.lastampa.it/vatican-insider ... .35272395/


Si le couple Ankara~Bakou le pouvait,
il ferrait de même avec les Kurdes dernier peuple autochtone / mais les Kurdes sont trop nombreux avec au moins 20 millions. De plus il faudrait des conditions de guerre sur place pour profiter et perpétrer ainsi un tel génocide.

Toutefois Ankara & Bakou vont tous deux profiter de la Guerre en Ukraine.

InfoHay1915
#180
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)

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Re: GdA1915 = un crime contre laDhimmaArménienne. SeraitCondamné parTout CalifeHonnête >> AbolitionduCalifat en1924parAn

Ecrit le 06 janv.23, 21:53

Message par InfoHay1915 »


En lisant ce document si bien documenté-référencé de 35 pages sur le GdA1915 :

~ Témoignages de rescapés et connaissance du génocide de 1915-1916 La constitution des fonds d’archives arméniens et leurs usages historiographiques de Boris Adjemian, Raymond Kévorkian (Paris 2015)
- https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01510105/document

on peut comprendre pourquoi la Turquie kémaliste a aboli le Califat (en 1924) :
~ pour ne pas qu'un nouveau Calife, érudit en sciences islamiques, honnête et autonome,
~ puisse condamner le GdA1915 comme un crime anti-islam à l'encontre de la Dhimma arménienne.

InfoHay1915
#220
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)

Saint Glinglin

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Re: GdA1915 = un crime contre laDhimmaArménienne. SeraitCondamné parTout CalifeHonnête >> AbolitionduCalifat en1924parAn

Ecrit le 06 janv.23, 23:55

Message par Saint Glinglin »

Toi, tu es un sacré dhimmi !

InfoHay1915

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GdA1915 = un crime contre laDhimmaArménienne. SeraitCondamné parTout CalifeHonnête >> AbolitionduCalifat en1924parAnkara

Ecrit le 20 juin23, 02:54

Message par InfoHay1915 »

L'internaute 'Saint Glinglin', qui est actuellement sur ma liste de membres ignorés, a posté son message.
ImageNahda & post-abolition du Califat
Transcription des chapitres, ses sous chapitres et ses notes bibliographiques (Coran et Hadiths).
Page signalée dans la liste des transcriptions faites à partir des autres publications de Fondapol-Islam et se trouvant dans la page :
~ Instituts islamiques, musulmans ou araboculturels de France?
-- viewtopic.php?p=1506793#p1506793

~ Islam et Démocratie : face à la Modernité, Mohamed Bedi Ebnou, mars 2015
-- https://www.fondapol.org/app/uploads/20 ... -Déf-1.pdf

~ ISLAM ET DÉMOCRATIE : FACE À LA MODERNITÉ, Mohamed BEDDY EBNOU, Directeur de l’Institut des études épistémologiques, Europe (IESE-Bruxelles), 2015

### INTRODUCTION
-1. Ibn Khaldûn, al-Muqaddima, éd. ‘Alî ‘Abd al-Wâhid, Lajnat al-bayân al-‘arabî, Le Caire, t.2, p. 711-712. Ibn Khaldûn (m. 1406) est un historien et philosophe majeur. Sa Muqaddima a été traduite dans de très nombreuses langues. En France, elle a fait l’objet de trois traductions : Les Prolégomènes, trad. William Mac Guckin de Slane, Paris, Librairie orientaliste Paul Geuthner, 1934 [1863] ; Discours sur l’histoire universelle - Al-Muqaddima, trad. Vincent Monteil, Actes Sud, 1997 [1967-1968] ; Le Livre des exemples, trad. Abdesselam Cheddadi, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2 vol., 2002 et 2012.
-2. Voir Itzchak Weismann et Fruma Zachs, Ottoman Reform and Muslim Regeneration. Studies in Honour of Butrus Abu-Manneb, éd. I.B. Tauris, Londres, 2005, p. 27-41, et Anne F. Broadbridge, Royal Authority, Justice, and Order in Society. The Influence of Ibn Khaldûn on the Writings of al-Maqrîzî and Ibn Taghrîbirdî, Middle East Documentation Center, The University of Chicago, 2012, p. 2.
-3. Ibn Khaldûn, al-Muqaddima, p. 712.
-4. Dans Arabic Thought in the Liberal Age, 1798-1939, Cambridge University Press, 1983, Albert Hourani renvoie bien entendu à la période ainsi désignée dans le titre mais l’expression « Liberal Age » y est aussi entendue dans un sens bien plus large. Elle évoque les tendances réformistes et « libérales » dont l’arrière-plan remonte au début du XIXe siècle.
-5. Voir Jean-François Legrain, L’Idée de califat universel et de congrès islamique face à la revendication de souveraineté nationale et aux menaces d’écrasement de l’Empire ottoman. À propos du Traité sur le califat de Rashîd Ridâ, Maison de l’Orient et la Méditerranée, Lyon, 2006, p. 21-30.
-6. Ibn Khaldûn, op. cit., p. 286-290.
-7. Ibid.
-8. Pour qu’un peuple recouvre son « intrépidité fondatrice » et sa « capacité primordiale de résistance », il faut, selon Ibn Khaldûn, qu’une nouvelle génération puisse émerger et s’éduquer en dehors de toute domination. C’est le sens qu’il donne au passage des Hébreux par le Sinaï après la sortie d’Égypte (Ibn Khaldûn, op. cit., p. 293).
-9. Ibn Khaldûn, op. cit., p. 288.
-10. Entré dans l’usage avec les écrits de Malek Bennabi (m. 1973), le terme de «colonisabilité» veut dire chez cet auteur que le monde musulman est devenu en lui-même colonisable avant qu’il ait été réellement colonisé. L’expansion étrangère n’aurait fait que rendre effectif ce qui était déjà latent. Voir, par exemple, Malek Bennabi, Vocation de l’islam, Seuil, 1954.

### LE LIBERAL AGE ET L’HOMOLOGIE DÉMOCRATIE/SHÛRÂ
-11. Rifâ‘a al-Tahtâwî (m. 1873) a joué un rôle majeur dans les réformes éducatives en Égypte au XIXe siècle.
-12. Medhat Pasha (m. 1883) est un leader politique et homme d’État ottoman. Il est, entre autres, connu pour le rôle qu’il a joué dans les réformes constitutionnelles de 1876.
-13. Syed Ahmad Khan (m. 1898) est un juriste réformiste. Il est le fondateur de l’université islamique d’Aligarh, en Inde.
-14. Khayr al-Dîn al-Tûnsî, ou Kheireddine Pacha (m. 1890), est un auteur et homme d’État tunisien et ottoman. Son engagement réformiste se traduisait aussi bien dans ses écrits que dans les réformes administratives et éducatives qu’il a introduites en Tunisie et à Istanbul.
-15. Jamâl al-Dîn al-Afghânî (m. 1897) est originaire d’Afghanistan. Il est connu en tant que maître à penser du courant néo-réformiste musulman.
-16. Medhat Pasha, La Turquie. Son passé, son avenir, Paris, A. Michalon, 1901, p. 6.
-17. Littéralement « approuver ou désapprouver selon le jugement rationnel », cette expression désignait chez les théologiens et philosophes ceux pour qui les valeurs morales peuvent être établies objectivement par la raison. Étaient ainsi désignés des courants aussi bien philosophiques que théologiques, partiellement ou radicalement jusnaturalistes.
-18. Al-Tahtâwî, Takhlîs al-ibrîz, Le Caire, Kalimât ‘arabiyya, s.d., p. 113.
-19. Plusieurs institutions ont historiquement été investies de la charge de la shûrâ (« consultation », « délibération ») dont le conseil de shûrâ mis en place par le calife ‘Umar (m. 644) pour élire son successeur. Au sens strictement religieux, la shûrâ est fondée sur les versets coraniques 3 : 159, et 42 : 38. « Parmi les principes coraniques relatifs à l’exercice du pouvoir, gure celui de la “ délibération collective ” al-shûrâ. Ce principe est à la base du contrat politique qui lie les gouvernants aux gouvernés. L’islam n’ayant stipulé pour ses adeptes aucune forme particulière de pouvoir, toutes les formes sont alors possibles, à condition de respecter ce principe de base sans lequel tout pouvoir perd sa légitimité. » (Voir Abdulhamid Ahmad Abu Sulayman, Manifeste contre le despotisme et la corruption. Le printemps arabe et l’impératif de réforme, L’Harmattan, 2014, p. 11.)
-20. Albert Hourani, op. cit., p. 114.
-21. Muhammad ‘Abdû, al-A‘mâl al-kâmila, éd. Muhammad ‘Imâra, Dâr al-shurûq, Beyrouth, 1993, p. 310.
-22. Ibid.
-23. Ibid.
-24. Ibid.
-25. Ibid.
-26. Ibid., p. 311.
-27. Al-Kawâkibî, Tabâ’î‘ al-istibdâd, Kalimât ‘arabiya, Le Caire, s.d., p. 7. 28. Ibid.
-29. Ibid.
-30. Muhammad ‘Abdû, al-Islâm bayna al-‘ilm wa-l madaniyya, Mu'assasat hindâwî, Le Caire, 2012, p. 133-136.
-31. Limâdhâ ta’akhkhara al-muslimûn wa taqaddama ghayruhum ? (« Pourquoi les musulmans ont-ils pris du retard tandis que les autres se développent ? »), Kalimât ‘arabiyya, Le Caire, 2012, p. 29.
-32. Cité par Nâzim Khayrî, in al-Ightirâb al-thaqâfî, Dâr al-‘âlam al-thâlith, Le Caire, 2006, p. 43.
-33. Medhat Pasha, op. cit., p. 7.
-34. Ibid.
-35. Al-‘Urwa al-wuthqâ, no 1, 13 mars 1884, p. 9.
-36. Marcel Colombe, « Pages choisies de Djamal al-dîn al-Afghani », Orient, no 22, 2e trim. 1962, p. 125-158.
-37. Rashîd Ridâ (m. 1935) est le fondateur d’al-Manâr, sous l’égide de Muhammad ‘Abdû. Figure centrale des transformations post-califales du néo-réformisme, il consacre une bonne partie de son œuvre à montrer que la démocratie libérale est en son essence propre identique au concept de la shûrâ islamique. Voir notamment Jean-François Legrain, op. cit., p. 55.
-38. Al-Manâr, 22 mars 1898, p. 1.

### LES CONTROVERSES POST-CALIFALES
-39. La Saqîfa des Banî Sâ‘ida est le lieu médinois où l’élection d’Abû Bakr comme premier calife (reconnue par les sunnites et contestée par une partie des shiites) eut lieu en 632. Par extension, Saqîfa est couramment utilisée pour signi er les délibérations qui eurent lieu comme acte fondateur du califat.
-40. Hasan al-Bannâ, al-Rasâ'il, Dâr al-tawzî‘ wa l-nashr, Le Caire, 1971, p. 146.
-41. Ibid.
-42. Ibid., p. 146.
-43. Ibid.
-44. Ibid.
-45. Ibid.
-46. Ibid.
-47. Shahrastânî, al-Milal wa al-nihal, éd. Ahmad Fahmî, Dâr al-kutub al-‘ilmiyya, Beyrouth, 1992, p. 13. 48. Ibid., p. 18.
-49. ‘Ali ‘Abd al-Râziq, al-Islâm wa usûl al-hukm, éd. Mi‘mâra, al-Mu'assasa al-‘arabiyya lil-dirâsât wa-l-nashr, Beyrouth, 1972 ; éd. fr. : L’islam et les fondements du pouvoir, La Découverte, Paris, 1994.
-50. ‘Ali ‘Abd al-Râziq, op. cit., p. 37.
-51. La Grande Discorde ou al- tna al-kubrâ (litt. « grande épreuve/sédition ») désigne la guerre civile qui a opposé différentes factions musulmanes en 657. Voir Hichem Djaït, La Grande Discorde. Religion et politique dans l’Islam des origines, Gallimard, 1989.
-52. Al-Hilâl, juillet 1925, p. 13 (cité par Muhammad ‘Imâra, in Ma‘rakat al-islâm wa usûl al-hukm, Dâr al-shurûq, Le Caire, 1997, p. 61).
-53. Al-Muqtataf, août, 1925, p. 332 (également cité par Muhammad ‘Imâra, op. cit. p. 62).
-54. La veille de l’abolition, Rashîd Ridâ venait lui-même de composer un plaidoyer pour le maintien du califat
(al-Khilâfa wa l-imâma, al-Manâr, Le Caire, 1922). 55. Voir M. ‘Imâra, op. cit., p. 14-22.

LE PARADIGME ANTI-DÉMOCRATIE LIBÉRALE
-56. Sayyid Qutb (m. 1966) est un essayiste et critique littéraire. Il rejoint les Frères musulmans au milieu des années 1950 et devient le théoricien de leur aile radicale.
-57. Abû al-‘Alâ al-Mawdûdî (m. 1979) est le fondateur du parti pakistanais Jamaat-e-Islami. -58. Sayyid Qutb, Ma‘âlim fî al-tarîq, Dâr al-shurûq, Le Caire, 1979, p. 97-98.
-59. Ibid., p. 100.
-60. Olivier Carré, Mystique et Politique, Cerf, 1984, p. 196. 61. Ibid.
-62. Sayyid Qutb, op. cit., p. 3.
-63. Ibid., p. 4.
-64. Ibid.
-65. Ibid.
-66. Ibid., p. 5.
-67. Ibid., p. 6.
-68. Olivier Carré, op. cit., p. 197.
-69. Sayyid Qutb, Ma‘âlim fî al-tarîq, op. cit., p. 6.
-70. Ibid, p. 8. 71. Ibid.
-72. Ibrahim Nûr, al-Haraka il-islâhiyya mâdhâ baqiya minhâ, al-ma‘had al-‘âlamî li-l- kr al-islâmî, Amman, 1999, p. 20.
-73. Ibid., p. 21.
-74. Ibid.
-75. Ibid.
-76. 1st Earl of Cromer (m. 1917) a été le consul général britannique en Égypte après la conquête de celle-ci en 1882 par la Grande-Bretagne.
-77. Ibrahim Nûr, op. cit., p. 22.
-78. On a souvent souligné le caractère paradoxal de la « fusion » entre le néo-qutbisme (ou post-qutbisme) et le néo-wahhâbisme. Rappelons, d’une part, que très tôt, dès les années 1930, les relations entre l’Arabie saoudite et les Frères musulmans furent complexes et parfois tumultueuses. D’autre part, ce qui était interprété dans les années 1950 comme des rivalités entre « gauche panarabe » et « droite panislamique » correspondait en partie aux rivalités prosaïques entre l’Égypte de Nasser et l’Arabie des Saoud (traduites à la n des années 1960 par les hostilités opposant Nasser, président de l’Égypte, et Fayçal, roi de l’Arabie saoudite). L’accueil en nombre important par l’Arabie saoudite de militants Frères musulmans radicalisés dans les prisons nassériennes, notamment après la mort de Nasser en 1970, a été décisif sur le plan des évolutions idéologiques. Pour les néo-qutbites et néo-wahhâbites, le terrain militaire afghan des années 1980 a été la seconde étape, favorisant aussi bien les frictions que les convergences. Les dissensions internes en Arabie saoudite, auxquelles les « Arabes afghans » ont activement pris parti, au sujet de l’arrivée massive de troupes américaines en préparation de la guerre du Golfe de 1991 a accéléré le processus. On connaît la suite et les terrains se sont multipliés depuis, notamment au gré de la prolifération des interventions étrangères et des foyers de tension.
-79. Parmi les littératures abondantes sur cette question, voir notamment l’ouvrage de Burhan Ghalioun, Le Malaise arabe. L’État contre la nation, La Découverte, Paris, 1991, qui présente une vue synthétique encore édi ante.
-80. Mohamed Abed Al-Jabri (m. 2010) était un philosophe et politologue marocain.
-81. Al-Jabri, al-Ittihâd, no 7, juin 2008, p. 14. 82. Ibid.
-83. Ibid.
-84. Ibid.

CONCLUSION
-85. Ibid.
-86. Hanafî est probablement le seul à avoir formellement revendiqué cette étiquette de « gauche islamique » (al-yasâr al-islâmî). Les tendances incarnées par le Soudanais Hasan al-Tûrabî et le Tunisien Râshid al-Ghannûshî sont souvent considérées comme faisant partie de cette « gauche ».
-87. Hasan Hanafî, al-Yamîn wa l-yasâr fî l- kr al-dînî, Manshûrât dâr ‘alâ al-dîn, Damas, 1996, p. 7.
-88. Pour al-Turâbî, « la démocratie – pas la démocratie occidentale, mais la démocratie en tant que telle dans son concept » est incluse dans le concept de la shûrâ. Mais l’usage des termes modernes ne doit pas selon lui être considéré comme problématique. Il semble adopter sur cette question une position sinon plus libérale du moins sensiblement identique à celle du néo-réformisme. Mais son engament politique e ectif sur le terrain soudanais et régional parait évidemment beaucoup plus di cile à interpréter. Voir al-Turâbî, al-Islâm, al-dîmuqrâtiyya, al-dawla, al-gharb, Dâr al-jadîd, Beyrouth, 1995, p. 15-28.

InfoHay1911
#424

Ajouté 18 heures 30 minutes 8 secondes après :
Re: GdA1915 = un crime contre laDhimmaArménienne. SeraitCondamné parTout CalifeHonnête >> AbolitionduCalifat en1924parAnkara

~ Page.16 l’abolition du califat en 1924. Celle-ci a en effet été vécue dans le monde musulman sunnite en général comme un cataclysme. Depuis la Saqîfa 39, voici que l’unité symbolique était rompue.

-39. La Saqîfa des Banî Sâ‘ida est le lieu médinois où l’élection d’Abû Bakr comme premier calife (reconnue par les sunnites et contestée par une partie des shiites) eut lieu en 632. Par extension, Saqîfa est couramment utilisée pour signi er les délibérations qui eurent lieu comme acte fondateur du califat.

~ Page.18 L’islam et les fondements du pouvoir, La Découverte, Paris, 1994.

~ Page.19 Le traumatisme de l’abolition du Califat

Dans ce texte très intéressant et très bien référencé, le GdA1915 et son déni sont omis. Omission intentionnelle ou non intentionnelle ? Par ignorance, sans saisir les conséquences politico-anthropologiques arabisantes en proximité pour la l'Iraq-Syrie-le Liban-la Palestine-la Jordanie, par non-qualification ? Ou bien serait-ce en intentionnel politico-diplomatico-proAnkara ? Ce que je ne crois pas pour cette dernière.

Il y aura à signaler cette publication (et les autres de la Collection Fondapol)
~ aux arabisants de l'Université d'Érévan
-- https://yerevan.academia.edu/Departments/Arabic_Studies
et
~ de l'Institut oriental de l'Académie des Sciences d'Arménie.
-- http://orient.sci.am/about.php?id=2&langid=2

InfoHay1915
#472
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)

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