La République et le génocide

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Ken le survivant

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La République et le génocide

Ecrit le 07 oct.17, 12:28

Message par Ken le survivant »

Suite a la révolution dites "Française" l'église catholique a été persécutée ,les prêtres dit "réfractaire" ceux qui refuser de prêter serment en faveur de la république étaient déportés ,remplacer par des "prêtres" fidèle a la république ,cette action a été un des ferments de la révolte des chrétiens de Vendée, peuple très attaché a la royauté catholique qui avait un statut bienveillant concernant l’impôt sous le règne de l'église ,le nouveau régime annula dans les premières heures ce "privilège",les vendéens de sexe masculin furent obliger de servir l'armée républicaine,tout ses ingrédients explosif ont conduit a la révolte mais le détonateur fut la persécution des prêtres.


Les vendéens ont constitués une armée pour lutter contre ce régime avec l'aval de l'église,L'Armée catholique et royale, dite la Grande Armée, est le nom de l'armée insurgée vendéenne pendant la guerre de Vendée. Elle regroupe alors les trois armées vendéennes, bien que celle du Bas-Poitou ne s'y joigne qu'occasionnellement. ,les généraux étaient des nobles car formés militairement ,les victoires dans la région sont éclatante ,il faut rappeler que les combattants étaient des paysans ,la république décide d'envoyer des troupes pour vaincre cette "rébellion"stupeur a Paris une division bien équipé est écrasés par les "paysans" le général rentrant rendre des comptes est guillotiné car une telle défaite fut considéré comme un complot et le général assimilé a un traite ,sanction arbitraire car  cette défaite cuisante devait être expliquer par un autre récit que celui de la grande bravoure de l'armée catholique ! les dirigeants de la république face a cette humiliation et voyant un grand danger pour leur révolution prirent la décision d'exterminer les vendéens ,homme, femmes, enfants, vieillard  ,des décrets existent encore de nos dans les archives ,un génocide d'état contre une partie de son propre peuple ,les décrets appellent explicitement a l'extermination de la race impur de Vendée malgré la résistance acharnée de ce peuple il fut bien exterminé

Quand les armées républicaine entrent dans les villes de Vendée,c'est un carnage ! le boucher de vendée fier de son action ,le général Westermann Francois-Joseph déclara"

"Il n'y a plus de Vendée, écrivait le général Westermann à la Convention en novembre 1993, après sa victoire de Savenay. Elle est morte sous notre sabre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l'enterrer dans les marais et les bois de Savenay. J'ai écrasé les enfants sous les pieds de nos chevaux, massacré les femmes qui, au moins celles-là, n'enfanteront plus de brigands. Je n'ai pas un prisonnier à me reprocher. J'ai tout exterminé... Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n'est pas révolutionnaire.



Un autre général Louis Marie Turreau déclara

Tous les brigands qui seront trouvés les armes à la main, ou convaincus de les avoir prises pour se révolter contre la patrie, seront passés au fil de la baïonnette. On en agira de même avec les filles, femmes et enfants qui seront dans ce cas.Tous les villages, bois, genêts et généralement tout ce qui peut être brûlé sera livré aux flammes. Pour faciliter cette opération, on fera précéder chaque colonne de quarante ou cinquante pionniers ou travailleurs qui feront les abattis nécessaires dans les bois ou forêts pour préparer l'incendie


La défaite de l'armée royale Catholique de Vendée rend encore plus vulnérable les quelques milliers de vendéens vivant encore dans les villes ,ils sont persécutés ,exécutés pour des prétextes fallacieux , ,Les noyades à Nantes sont un épisode de la Terreur qui a eu lieu entre novembre 1793 et février 1794 à Nantes. Pendant cette brève période, des milliers de personnes, suspectes aux yeux de la République, notamment des gens d'Église, ont été noyées dans la Loire sur ordre de Jean-Baptiste Carrier. Des milliers d'hommes, de vieillards, de femmes, d’enfants meurent ainsi dans ce que Carrier appelle la « baignoire nationale »


"Le canonnier Wailly, de faction sur le ponton La Samaritaine, dans la nuit du 16 au 17 novembre, laisse l’unique témoignage sur cette première noyade :

« Environ minuit et demi, huit particuliers de moi inconnus se sont approchés du bord dudit pontons montés sur un canot ; je les ai hélés, et, au mot de qui vive ! il m’a été répondu : Commandant, nous allons à bord. En effet, ils se sont approchés et m’ont demandé la liberté de passer avec un gabareau, qu’ils me dirent être chargé de 90 brigands, que j’ai su depuis être 90 prêtres. Je leur ai répondu que la consigne qui m’était donnée était de ne laisser passer aucun bâtiment, que l’on ne m’apparaisse d’ordre supérieur. Sur ma réponse, l’un de ces individus, nommé Fouquet, me menaça de me couper en morceaux, parce que, ajouta-t-il, lui et sa troupe étaient autorisés à passer partout sans qu’on pût les arrêter. Je leur demandai à voir leurs pouvoirs, ils obéirent et me présentèrent un ordre conçu à peu près en ces termes, et signé Carrier, représentant du peuple : « Permis aux citoyens Fouquet et Lamberty de passer partout ou besoin sera avec un gabareau chargé de brigands, sans que personne puisse les interrompre ni troubler dans ce transport. » Muni de l’ordre du représentant Carrier que Fouquet et Lamberty venaient de me présenter, je ne crus pas devoir insister davantage ; en conséquence, les particuliers montant le canot et le gabareau contenant les individus passèrent sous la batterie du ponton où j’étais en faction, et un quart d’heure après j’entendis les plus grands cris partir du côté des bateaux qui venaient de se séparer de moi, et à la faveur du silence de la nuit, j’entendis parfaitement que les cris de ceux que j’avais entendus auparavant étaient ceux des individus renfermés dans le gabareau, que l’on faisait périr de la façon la plus féroce. Je réveillai mes camarades du poste, lesquels, étant sur le pont, ont entendu les mêmes cris, jusqu’à l’instant où tout fut englouti4. »


Un des crimes les plus "symbolique" de la nature du régime républicain  est celui de 90 prêtres réfractaire a la république noyés

"Environ 90 prêtres périssent victimes de la première noyade. On compte cependant trois survivants qui sont recueillis par des matelots de L’Imposant qui leur donnent de l’eau-de-vie pour les réchauffer. Informé, le Comité révolutionnaire ordonne au capitaine Lafloury, commandant du navire, de faire transférer les trois prêtres dans une galiote hollandaise le 19 novembre, selon Fourier, directeur de l’hospice révolutionnaire « Ces prêtres furent repris et noyés le lendemain, le fait m’a été certifié par Foucault, qui était présent à la noyade5. ».

Le 17 novembre, Carrier rend compte à la Convention nationale de l’opération en termes voilés :

« Un événement d’un genre nouveau semble avoir voulu diminuer le nombre des prêtres ; 90 de ceux que nous désignons sous le nom de réfractaires, étaient renfermés dans un bateau sur la Loire. J’apprends à l’instant, et la nouvelle en est très-sûre, qu’ils ont tous péri dans la rivière5. »"




La seconde noyade de prêtres est encore le fait de Guillaume Lamberty. Plusieurs hommes de la compagnie Marat conduits par Foucauld détroussent méthodiquement les 58 prêtres arrivés d'Angers. Les prêtres sont transférés sur une gabare spécialement aménagée et emmenés loin du port, à l'entrée de l'estuaire où il est procédé à leur submersion. Cette fois il n'y a aucun survivant.



Le 22 décembre 1793, lecture est faite d'un courrier de Carrier lors d'une séance du Comité de salut public, ici retranscrite :

« Carrier représentant du peuple près l'armée de l'ouest donne avis au Comité que tout le continent et le marais sur la rive gauche de la Loire sont au pouvoir de la République. Westermann a poursuivi le noyau des brigands qui s'était porté à Châteaubriant ; que cette bande a évacué ce poste et a marché à Savenay. Il ajoute un mot du miracle de la Loire qui vient encore d'engloutir 360 contre-révolutionnaires de Nantes ; que depuis qu'ils ont disparu les armées brigandines ont été battues et ont manqué de tout8. »

Quelques jours après la noyade des prêtres d'Angers, une importante exécution est effectuée avec deux bateaux à Chantenay vers le 3 nivôse an II, soit le 23 décembre 1793. Celle-ci est rapportée lors du procès de Carrier par plusieurs témoins, dont Fréteau et le canonnier Wailly. 800 personnes périssent lors de cette noyade, dont des femmes et des enfants. Parmi les condamnés figurent également de nombreux Allemands, déserteurs de la Légion germanique, qui avaient rallié les Vendéens.

« Environ huit cents individus, de tout âge et de tout sexe, et beaucoup d'Allemands, furent conduits sur deux bateaux, entre la Sécherie et Trentemoult ; l'un des deux bateaux fut coulé dans l'endroit, sur le second il se trouva des marins qui n'étaient pas liés, ils firent aller le bateau en dérive, lequel fut s'échouer sur l'île Cheviré. Beaucoup d'entre eux se sauvèrent sur cette île, alors Affilé et un autre furent chercher la garde pour achever ceux qui n'étaient achevés et noyés9. »

— Témoignage du marinier Colas Fréteau
« Deux gabares, chargés d'individus, s'arrêtèrent à un endroit nommé la Prairie-au-Duc ; là, moi et mes camarades, nous avons vu le carnage le plus horrible que l'on puisse voir : plus de 800 individus de tout âge et de tout sexe furent inhumainement noyés et coupés par morceaux. J'entendis Fouquet et ses satellites reprocher à quelques-uns d'entre eux qu'ils ne savaient pas donner de coups de sabre, et leur montrait par son exemple comment il fallait s'y prendre. Les gabares ne coulaient pas assez vite au fond, on tirait des coups de fusils sur ceux qui étaient dessus. Les cris horribles de ces malheureuses victimes ne faisaient qu'animer davantage leurs bourreaux. J'observai que tous les individus qu'on a noyés dans cette nuit furent préalablement dépouillés nus comme la main. En vain les femmes réclamaient-elles qu'on leur laissât leurs chemises, tout leur fut refusé et elles périrent. Leurs hardes, leurs bijoux, leurs assignats furent la proie de ces anthropophages, et, ce qu'on aura peine à croire, c'est que ceux qui les avaient ainsi dépouillés vendaient le lendemain matin ces dépouilles au plus offrant10. »

— Témoignage du canonnier Wailly
« Environ huit jours après [la noyade des prêtres d'Angers] ils furent sommés comme ci-dessus, par Fouquet et Robin, de tenir prêts deux grands bateaux, et, le même jour, sur les dix heures du soir, lesdits Fouquet, Robin et autres chargèrent environ huit cents individus de tout âge et de tout sexe sur ces deux bateaux, qui furent conduits vis-à-vis de Chantenay, lesquels furent noyés comme à la précédente noyade, et le déclarant et une douzaine de mariniers qui lui aidaient ne reçurent pas de paye11. »

— Témoignage du batelier Pierre Robert
Le 26 décembre 1793, à Nantes, le commissaire civil Benaben écrit aux administrateurs du Maine-et-Loire :

« Ici on emploie une toute autre manière de nous débarrasser de cette mauvaise engeance. On met tous ces coquins-là dans des bateaux qu'on fait couler ensuite à fond. On appelle cela « envoyer au château d'eau ». En vérité, si les brigands se sont plaints quelquefois de mourir de faim, ils ne pourront pas se plaindre au moins qu'on les fasse mourir de soif. On en a fait boire aujourd'hui environ douze cents. Je ne sais qui a imaginé cette espèce de supplice, mais il est beaucoup plus prompt que la guillotine qui ne paraît désormais destinée qu'à faire tomber la tête des nobles, des prêtres et de tous ceux qui, par le rang qu'ils occupaient autrefois, avaient une grande influence sur la multitude12. »


Du 29 décembre 1793 (9 nivôse an II) au 18 janvier 1794 (29 nivôse an II) ce furent les « noyades des galiotes », des navires hollandais restés à Nantes par suite du blocus et qu'on déplaça pour la circonstance vers la prison de l'Entrepôt des cafés. Impossible de dire s'il y eut deux ou trois expéditions. À chaque fois, deux cents à trois cents victimes, hommes, femmes et enfants mêlés. Il semble que l'ultime noyade organisée sous la direction de Carrier, destinée à vider la prison de l'Entrepôt des cafés, ait été perpétrée dans la nuit du 29 au 30 janvier 1794 (10-11 pluviôse an II) et ait concerné quatre cents détenus environ.


L'ultime noyade eut lieu le 9 ventôse de l'an II (27 février 1794). Selon des pièces officielles lues à la Convention, le 21 vendémiaire de l'an III (12 octobre 1794), cette dernière noyade fut ordonnée par l'Adjudant-Général Lefebvre et aurait provoqué la mort de 41 personnes : 2 hommes, dont un vieillard aveugle de 78 ans, 12 femmes, 12 filles et 15 enfants, dont 10 de 6 à 10 ans et 5 enfants à la mamelle. L'opération eut lieu dans la baie de Bourgneuf.


Les moyens d'extermination

Les Noyades de Nantes sont un des moyens d'extermination proto-industriels mis en œuvre par les Républicains.

Le massacre des Lucs-sur-Boulogne n'a pas épargné les enfants comme le montre ce vitrail.
Reynald Secher énumère les différents moyens proto-industriels mis en œuvre par les émissaires du Comité de Salut Public et de la Convention montagnarde :

tannerie de peau humaine

aux Ponts-de-Cé des sacs sont réalisés en peau d'homme ou de femme, des pantalons de gendarmes sont confectionnés en peau humaine.


four crématoire


les fours à pain sont utilisés pour brûler vif les villageois, à Les Lucs-sur-Boulogne la crémation a lieu dans l'église.

camp d'extermination

des camps d'extermination sont établis à Noirmoutier.

gazage

des essais infructueux sont réalisés par le chimiste-député Antoine-François Fourcroy, puis par le pharmacien Joseph Louis Proust qui a mis au point un dispositif utilisant une boule de cuir.

noyade collective
des bateaux sont coulés dans la Loire ce sont les « noyades des galiotes », les « mariages républicains » consistent à dévêtir puis à lier par couple hommes et femmes avant de les noyer à Nantes.

utilisation de graisse humaine

à Clisson la graisse est extraite par carbonisation des villageois, elle est utilisée pour faire du savon.


a l'école républicaine ceci n'est point enseigné ,combien de Français connaissent réellement l'histoire de la révolution? a méditer

Bertrand

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Re: La République et le génocide

Ecrit le 08 oct.17, 03:42

Message par Bertrand »

toute une histoire !! Merci...
vers l'an 1530.... L’histoire de France prend une tournure de pouvoir...Le mariage de Catherine de Médicis... nièce du Pape !!!!
son marie Henri !! son mari devint roi...Catherine devint veuve et partage le pouvoir avec le Cardinal Richelieu...Les conflits devienne violent...L'église veut une reine italienne sur le trône de France... D'Espagne et d'Angleterre...
C'est l'époque des guerre de religion...Henri 1V fait la guerre au pouvoir...Catherine offre sa fille Margo a Henri pour la paix...
1572;; le mariage se fait;;;; durant la fête;;; Catherine organise le Massacre de St Barthélémy...des millier de morts...
Henri révolté réussit a fuir la Cour 1576... la guerre reprend...
1580 +- Henri rencontre une francaise Gabrielle D'Estrées..;; et espéere en faire sa reine....elle met au monde Pierre Pépin et Alexandre et Élisaeth...
Mais l,Église veut qu'Henri épouse Marie de Médicis...Gabrielle est alors empoisonnée...la presque reine...
Pour satisfaire les autorités... Henri épouse Marie de Médicis...
1600 naisse de son fils celui qui devint Louis X111...
Les enfants de Henri et Gabrielle
Pierre marié vers 1606.... Naissance de Louis 1607...
1609; Louis X111 devint l’héritié du trône
1610 Henri est égorgé...
1617 Louis X111 prends le pouvoir... Chasse sa mère de la cour et fait assassiner ses amis les Concinie...Louis aimait son père Henri...
Les enfants de Henri et Gabrielle sont chassé de la cour... ruiné etc..
1630 Pierre sorti de prison fuit en Hollande ou il devint le roi ces mers... écriteau...
Louis change son nom et s'introduit dans les bateaux vers la Nouvelle France...et devient Guillaume Pépin..
.1645 mariage;;;
1646... Naissance de Jacques...De grand explorateurs vers US sur le Mississippi....et le nord du Québec...48 * parallèle...
2017... Une ligné francaise est chassé depuis 1617.... 400 ans

1599 Gabrielle est empoisonné chrz un Banquier Italien
1610 Henri est égorgé par un italien...

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Re: La République et le génocide

Ecrit le 28 mai23, 03:09

Message par InfoHay1915 »

Dans le cadre de la dicussion initiée par 'Ken le Survivant' concernant les massacres organisés de la population civile lors des Guerres de Vendée, voici un livre intéressant à ce sujet :

Vendée : du génocide au mémoricide, ReynardSecher, 2011
-- https://www.amazon.fr/Vendée-génocide-m ... B0161U7CX0

Il y a une post-face de la psychanalyste Hélène Piralian : Mécanique d'un crime légal contre l'humanité,

>> Postface numérisée :
https://www.france-pittoresque.com/spip ... ticle14746

Image . Image

-- http://www.acam-france.org/bibliographi ... ian-helene

Image
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#117
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)

paulau

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Re: La République et le génocide

Ecrit le 20 juil.23, 02:10

Message par paulau »

La Vendée vaut bien une chanson.
.

https://lesalonbeige.fr/quand-on-partait-de-bon-matin/

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La République et le génocide

Ecrit le 29 août23, 07:13

Message par InfoHay1915 »

~ La Vendée, après la Terreur, la reconstruction, actes du colloque tenu à La Roche-sur-Yon les 25, 26 et 27 avril 1996 (Paris : Perrin, 1997 ; in-8°, 672 pages).
-- https://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237 ... e+Piralian

~ Le mémoricide : un crime toujours à l’œuvre ? Postface du livre par Hélène Piralian
A Artem Piralian, mon grand-père, délégué au traité de Sèvres où fut pour la première fois inscrit, dans la loi, le crime contre l’humanité.
-- https://www.genocide.fr/vendee-postface.htm

~ Éditions L'Harmattan -- https://www.editions-harmattan.fr/index ... te&no=4006

~ Chercheurs et professionnels sur 1915 > Hélène Piralian
-- http://www.globalarmenianheritage-adic. ... ralian.htm

~~~

L'Histoire trouée : négation et témoignage
Colloque international de l'AIRCRIGE : 16-17-18 & 19 Septembre 2002
-- http://www.globalarmenianheritage-adic. ... nnonce.htm
Face au déni de 1915 : l'Histoire post-génocide et son vécu

- Janine Altounian : « Emprise et démantèlement du déni. L’importance des délimitations dehors /dedans »
- Krikor Beledian : Le retour de la Catastrophe
- Martine Hovanessian : Anthropologie narrative : être témoin de la survie
- Marc Nichanian : Négation et témoignage : la question de l'archive
- Hélène Piralian : Rupture de généalogie et identité perdue
- Yves Ternon : Processus de négation des génocides du XXe siècle.

InfoHay1915
#205
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)

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