Entre le cercle de Conway et celui de ma frangine...

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
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aerobase

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Entre le cercle de Conway et celui de ma frangine...

Ecrit le 22 avr.22, 04:33

Message par aerobase »

Donc je faisais un petit hommage à John Conway
https://les-mathematiques.net/vanilla/i ... way#latest
Ce que je n'ai pas osé dire là-bas c'est que dans les faits (et les faits sont importants) entre le cercle de Conway et celui de ma frangine ... il me semble que la différence n'est pas mince... parce que oui bon ok il aurait bien aimé celui de Conway mais dans les faits qu'a t-il aimé le plus?
Celui de Conway ou celui de ma frangine?
Ce que je n'ai pas osé dire là-bas mais bon ici c'est un forum spirituel donc ça passe...
C'est même pas certain que la modération saisisse le propos en ce qui concerne ma frangine qui je le rappelle* est une passionnée de chimie.

*C'est toujours utile de rappeler ce genre de truc

aerobase

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Re: Entre le cercle de Conway et celui de ma frangine...

Ecrit le 23 avr.22, 05:17

Message par aerobase »

Chaurien dit:
"C'est incroyable, et réjouissant, de constater qu'on fait encore des découvertes en géométrie élémentaire, dans la géométrie du triangle ! Jean Dieudonné, malgré son génie mathématique indiscutable, avait bien tort de décréter la mort du triangle ..."

SelDeLaMer dit:
À présent, viens et vois comment le Seigneur protège le
simple, et comment se vérifie la parole de l’Écriture « si
quelqu’un croit connaître une chose, alors il ne connaît pas encore
comment il faut connaître ».
Le « centre », c’est là où tous les corps se rendent pour y
trouver le repos, c’est-à-dire la cessation de mouvement.
L’image est celle d’une pierre qui tombe : une fois qu’elle a
atteint le point le plus bas, elle demeure en repos. Par
adaptation psychologique à ces réalités naturelles, le « centre »
idéal devient le lieu où je suis en repos, où ma personne se
trouve toujours sans en sortir, c'est-à-dire mon lieu : là où je
suis. « Je suis » au centre de l’univers pour toute la physiologie
de mon être, de même que la totalité des choses depuis les
éléments jusqu’aux abîmes des cieux n’est que le cocon de
notre conscience.
Le « naïf », qui ne croit qu’en ses sens et qui ne voit que le
spectacle que Dieu a voulu qu’il voit, met au centre avec lui un
corps tranquille et fertile : la terre. Tout son être s’en ressent,
puisque son « centre » véhicule l’image du repos, et de
l’obscurité compagne du sommeil, de vie au jour le jour,
d’immobilité et de réceptivité aux sensations de l’éternité.
C’est en gros la mentalité primitive ou archaïque.
Le « savant », qui croit qu’avoir percé l’atmosphère lui a fait
percer le ciel tout entier, met au centre un corps stérile et
brûlant : le soleil. Pour lui comme pour l’autre, la psyché
s’adapte mais produit cette fois un « centre » tumultueux,
lumineux, plein d’éveil, qui incite à l’activité perpétuelle et ne
connaît pas le repos. L’illustration la meilleure est celle du
monde moderne, pleinement héliocentrique : des gens qui ne
savent pas rester tranquilles, et pour cause.
Nous sommes atterrés quand nous voyons que des
intellectuels, et des religieux, sans s’en rendre compte,
appellent « Dieu » le soleil héliocentrique, tandis que Moïse
l’appelle « veau d’or », tandis que saint Jean le nomme « lac de
soufre et de feu », c'est-à-dire « enfer de feu » : là où seront
jetés les suppôts du Diable et le Diable lui-même. Quel
mauvais piège !
Platon, quant à lui, avait signalé cet écueil lumineux dans son
allégorie de la Caverne : le feu de bois qui projette sur les
parois les ombres des marionnettes et qu’il faut passer outre
est le soleil héliocentrique, la caverne étant le ciel nocturne. Et
le « vrai » soleil, notre soleil, géocentrique, qui illumine le
paysage et permet l’agriculture, réside en dehors de ce lieu clos
Pour nous, le soleil héliocentrique n’est pas Dieu. Rituellement,
il est le lac ardent des consciences éveillées, le foyer des esprits,
la source du pluriel autour de laquelle tout tourne secrètement
et se rassemble, ce que nous appelons le « Nous », et que
l’Évangile appelle « Légion » ou « Église », selon qu’il le
considère dans sa réalité démoniaque ou divine.
Voila pourquoi ceux qui prennent le corps du soleil pour Dieu
se révèlent à l’homme averti malgré eux, en disant « Dieu c’est
nous » (mais c’est un « nous » fait de « moi-moi-moi... », un
« nous » sans « toi » ni « lui ») : Dieu c’est moi, et les miens, et
mon clan, et ma tradition, et ma race, c’est ce que nous en
savons, c’est ce que nous pratiquons. Dieu c’est nous, rien que
nous, et à part nous, tout se vaut, tout est égal. L’orgueil est le
partage de tous ces gens. C’est le « nous d’abord », alors que le
« Nous » divin n’oublie personne, pas même le Nous Tous.
Il faut bien se pénétrer de ceci où gît enchaînée la multitude des hommes
La Vérité n’est pas complexe : elle est simple et évidente. Gare
à ceux qui ont fermé la porte et perdu la clé.
Le soleil géocentrique, celui que l’on voit dans notre ciel,
maître de l’Heure, qui révèle par sa lumière chaque chose dans
sa diversité, quant à lui, est la correcte image du Soleil
intelligible qui illumine toute la Création.
Il est appelé aussi « disque (ou face) du soleil », « soleil
vertical », « soleil chevelu », « petit soleil », « soleil du jour »,
« Samson », « Samuel », par opposition à « l’autre » soleil,
l’héliocentrique, celui qui est dans l’espace, qui est quant à lui
appelé « corps du soleil », « soleil chauve », « soleil
horizontal », « soleil de la nuit » et « Goliath ».
Ce n’est pas parce qu’elles sont immenses que les choses
cessent d’être simples, ou de faire partie du livre d’images
voulu par le Créateur, et le système solaire est plus petit que
l’esprit.
Lecteur, sois averti : la sagesse du Simple surpasse la condition
humaine. Entre deux excès : naïveté et rigorisme se situe la
Candeur, qui a accès aux mystères des cieux. « Bienheureux les
simples d’esprit : le Royaume des Cieux est à eux » « Soyez comme
des petits enfants : car c’est à leurs pareils qu’appartient le Royaume
des Cieux. »
Nos motifs de foi conditionnent notre sort, ici et au-delà :
« Ce que l’homme pense, il le devient. Voilà l’antique secret. »
C’est une phrase des Upanisads. Selon le Vedanta, et
l’évidence du bon sens, au « naïf » le repos, et la nuit après la
mort au sein d’un rêve bon, mauvais, selon la vie qu’il a mené,
et dans l’attente du Jugement, et au « savant » l’éveil perpétuel
à la conscience du bien, du mal, l’insomnie qui ne cessera que
ce Jour-là. C’est le « fleuve de feu » qui terrifiait St Antoine,
l’épreuve de ceux qui ont vu la nudité du Ciel. Même pour les
saints, qui ne se brûlent pas à cette flamme, et n’en ressentent
que lumière, extase et douceur, pas d’alternance, pas de
diversité, mais un éveil perpétuel à une même réalité
immanente. Ô Seigneur, quelque neuvième jour après celui du
Jugement, donneras tu la Vie, la douce alternance des temps, à
cette éternité ?
Pour nous, la vision héliocentrique est la vision acquise, et la
vision géocentrique la vision innée. Nous faisons
alternativement référence aux deux visions, considérant
qu’aucune des deux n’infirme l’autre, et croyant tout au
contraire qu’elles se complètent.
Une authentique connaissance de l’univers, une « Magie », à
cause de ces impuretés psychiques, ces « adaptations au
monde », qui souillent malgré nous notre intellect, ne peut
ainsi être enseignée que par le Seigneur ou un de ses anges
bénis. Car comme on l’a vue, dans cet exemple du centre, de la
terre et du soleil, la considération des choses fait que ces
choses nous pénètrent et influencent malgré nous notre
jugement, et de lui tout notre être et tous nos actes. Notre
adhésion à une fraction avant d’avoir compris l’ensemble des
choses est une souillure pour la raison, c'est-à-dire une
conformité vicieuse dans le rapport à la vie, par
l’assujettissement de l’intellect aux éléments du monde.
Les modèles traditionnels de compréhension de l’univers, tels
que le Géocentrisme, les Quatre Éléments, la Tétractys ou
l’Arbre de Vie ne purifie pas en eux même l’âme de celui qui
les aborde, et il ne faut en aucun cas y assujettir sa pensée : ce
sont au contraire des outils dans nos mains, qui d’ailleurs, ne
se laissent manier que par l’âme pure. La purification de
l’intellect est l’œuvre de nos mœurs et de notre amour pour Dieu.

aerobase

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Re: Entre le cercle de Conway et celui de ma frangine...

Ecrit le 16 mai22, 23:55

Message par aerobase »

j'ai l'impression de chercher ici à caser ma frangine mais lol je m'y prends vraiment mal!
Les prétendants ne courent pas les rues (j'ai reçu aucun mp me demandant un rencart avec elle)
Bon moi faut que je pense à aller au cimetière spirituel et placer ce dessin sur la tombe de mon ex-beau frère (c'est que ma frangine est plus dangereuse que Poutine et elle serait capable d'aller le hanter même jusque là-bas lol)
Image

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