Le personnage

[gzabirji]

En vérité, seul le Soi existe. Le monde, l’âme individuelle et Dieu ne sont que des apparences dans le Soi, comparable à l’argent dans la nacre. Ils apparaissent et disparaissent simultanément. Le Soi est là où il n’y a pas la moindre pensée ‘je’. Cela est appelé « Silence ». Le Soi lui-même est le monde ; le Soi est ‘je’ ; le Soi est Dieu ; tout est Shiva, le Soi.

Sri Ramana Maharshi.

[SophiaSofia]

Je ne crois pas, mais bon... Tout comme l'amour conditionnel pointait l'amour inconditionnel, le jugement humain pointe le non-jugement divin... En outre, comme je l'ai lu ailleurs et selon l'expérience de certains, il y aurait des conséquences, mais pas de jugement au sens où on l'entend habituellement avec sanctions, ce genre de trucs... Pour vous dire, même Hitler serait au ciel... C'est dans la logique de l'amour inconditionnel et du pardon au-delà du 77 fois 7 fois, comme je l'ai déjà mentionné, etc. J'ajouterais qu'au coeur du divin, nous sommes dans un tout autre paradigme...

Christ vous en dira peut-être plus à ce sujet... Et peut-être alors me croirez-vous...

Oui, j'ai déjà vu ce genre d'image, rien de vraiment nouveau pour moi...

À propos de la kundalini, je ne sais pas si c'est toujours pertinent pour moi... Pour info, j'ai vécu les événements décrits à une période de ma vie où je naviguais dans les eaux des sciences occultes... Ayant fait la transition dans un groupe religieux et participant à des retraites, on a même tenté de m'exorciser (rien de très formel), mais il semblerait que ça n'ait pas fonctionné, même avec l'aide d'un évêque présumément spécialiste... J'ai l'impression que toutes ces personnes travaillaient dans le vide vu qu'il n'y avait rien à exorciser... Je me rappelle maintenant que cet épisode d'exorcisme est venu assez longtemps après m'être confessé à la toute fin de mon aventure...

Ce (toutes choses) en quoi l'on croit est appelé à advenir (voir le jour) afin de savoir, l'ayant connu. Ton langage évolue, tu emploies les mots "il y aurait" "serait", "j'ajouterais", suppositions. Ce à quoi je t'invite, c'est de faire l'expérience de tout ce qui demeure en toi à l'état de "croire" et de "suppositions" afin de passer au savoir.

Tu pourras ainsi comprendre en l'expérimentant toi-même que je ne reviendrai pas sur le langage que j'ai tenu (sauf de manière évolutive le confirmant et non l'infirmant), parce que j'ai expérimenté ces choses, je les ai connues et je les connais, je les sais. Tu viendras ensuite nous tenir le même langage : tu ne reviendras pas sur le langage que tu tiendras parce que tu auras expérimenté les choses dont tu parleras, tu les auras connues, ce sera ton savoir, la "croyance" et les "suppositions" auront disparu.

Confirmant cette évolution, Christ Jésus en moi, mon Soi, hier je croyais le connaitre parfaitement, ce matin il m'a encore montré une nouvelle chose de lui, pendant son passage terrestre, je le connais encore un peu plus ce jour, et je le connaitrai encore un peu plus demain. Il me montre toutes les choses qui sont nécessaires que je sache, pour que je le connaisse parfaitement comme il m'a lui-même connue parfaitement : qu'ainsi je connaisse parfaitement mon Soi, moi-même ou mon face à face c'est à dire mon animus dont je suis l'anima. Le Fils, j'étais infiniment à l'aise avec lui autant que peuvent l'être deux jumeaux entre eux, complices en toutes choses. Quant il est entré dans son règne me montrant le Père, dans un premier temps, j'étais infiniment heureuse de le voir sous sa face du commencement, l'Ange de l'Eternel, le Merveilleux. Toutefois inconsciemment, sans que j'en prenne vraiment conscience, j'ai mis une distance à la complicité atteinte par respect, tellement impressionnée et me ressentant si minuscule face à Sa Majesté Divine. J'avais connu le Fils de l'homme puis le Fils de Dieu et je connaissais maintenant Dieu le Créateur de toutes choses, le Père de tous. Distance qu'il a donc œuvré à diminuer pour l'effacer en me montrant qui je suis au commencement à son côté et en lui pareillement, donc sans différence de complicité ainsi retrouvée, puisque mon Soi. Si mon Soi m'impressionne, c'est que je ne me connais pas encore parfaitement, il fallait donc qu'il rétablisse les choses, le temps du rétablissement de toutes choses.

Les choses qui sont advenues après le commencement ne seront plus jamais parce que tout est accompli. J'ai pris le chemin au commencement et je suis allée jusqu'à la fin, revenant ainsi au commencement et désormais je m'y tiens : Je suis celui qui suis, celui qui était, qui est et qui vient, il est venu, je suis celui qui suis. Rien ni personne ne peut changer cela, aucun discours, aucune parole, seule la Parole de Dieu qui est en moi le peut, mon Soi, et elle ne revient pas sur sa Parole, elle est la même hier, aujourd'hui et éternellement, et jusqu'à ce que tout soit accompli ici-bas.

Tu écris : "J'ajouterais qu'au coeur du divin, nous sommes dans un tout autre paradigme", je le confirme, mais as tu fait le chemin, le connais-tu de l'alpha à l'omega, résumé dans les 4 lignes précédentes ?

Ajouté 8 minutes 44 secondes après :
Mon Soi est en moi et il est ce que je suis, il est Esprit (Dieu) et donc Parole (Dieu), il ne demeure pas dans le silence : il me donne sa pensée, la pensée de Christ qui est la pensée de Dieu parce qu'il est la Parole de Dieu, le Créateur. Ainsi je témoigne, ou je parle en tant que passante, mais je parle comme il me parle.

Ajouté 36 minutes 35 secondes après :
Dieu est Amour et il est Justice parfaite, il rend donc à chacun selon ses oeuvres : chacun sème, chacun récolte ce qu'il sème. Tu ne prendras pas la récolte de ton prochain parce qu'il a bien semé et que toi, tu as semé dans les épines et les ronces et ta récolte a été mauvaise. Aucun ne prendra la part de personne, qu'elle soit bonne ou mauvaise, chacun rend compte à Dieu pour lui-même selon ce qu'il sème car chacun est responsable de lui-même. Juge toi-même ta récolte, avec équité, puis repens toi si tu la juges mauvaise, détruis là, brûle là. Et sème à nouveau, une bonne semence dans la bonne terre, une terre nouvelle.

[gzabirji]

Celui qui s’abandonne au Soi, ou Dieu, est l’adorateur le plus parfait. S’abandonner à Dieu signifie demeurer fermement dans le Soi, sans laisser la place à une autre pensée que celle du Soi.
Tout fardeau que nous remettons à Dieu, Il le portera. Puisque le pouvoir suprême de Dieu anime tout, pourquoi ne pas nous y soumettre, plutôt que de nous tracasser pour ce qui doit être accompli et comment il le sera. Sachant que le train transporte toute lourde charge, pourquoi devrions-nous continuer à porter nos bagages sur les genoux, pour notre plus grand inconfort, au lieu de les poser à terre dans le train et d’être à l’aise ?

Sri Ramana Maharshi.

[ronronladouceur]

Ce (toutes choses) en quoi l'on croit est appelé à advenir (voir le jour) afin de savoir, l'ayant connu. Ton langage évolue, tu emploies les mots "il y aurait" "serait", "j'ajouterais", suppositions. Ce à quoi je t'invite, c'est de faire l'expérience de tout ce qui demeure en toi à l'état de "croire" et de "suppositions" afin de passer au savoir.

Pensez-vous vraiment que je ne sache pas tout cela, que je n'en sois pas conscient? Vous n'avez vraiment pas l'intelligence des personnes... Et je n'ai pas besoin de me faire dire régulièrement d'expérimenter... L'invitation est lancée, j'accepte, et voyez ce qui se passe!

Maintenant cessez de me taper sur la tête avec votre je-me-moi-Christ, qu'on en dirait un plaisir sadique...

Confirmant cette évolution, Christ Jésus en moi, mon Soi, hier je croyais le connaitre parfaitement, ce matin il m'a encore montré une nouvelle chose de lui, pendant son passage terrestre, je le connais encore un peu plus ce jour, et je le connaitrai encore un peu plus demain. Il me montre toutes les choses qui sont nécessaires que je sache, pour que je le connaisse parfaitement...

Et vous en apprenez aussi... Tiens donc! C'est exactement ce que je vous disais, je crois hier... Et il est triste qu'on n'en sache pas plus, on pourrait en savoir un peu plus quant à nos connaissances respectives, apprises par peu importe le canal... Ainsi moi aussi, j'en apprends, et quand le fruit sera mûr, peu importe le moment, eh bien je le cueillerai... Il faudrait que vous vous rendiez compte que l'arbre n'est simplement pas en saison. Comment pouvez taper dessus pour lui demander du fruit? Ferez-vous comme Christ et l'assécherez-vous?

Vous en apprenez par votre voie... Moi aussi j'en apprends et par des voies qui m'appartiennent. Mon intention d'expérimenter est formulée, la commande est passée, ça fait déjà un bon moment, svp tenez-en compte... Comprenez le processus...

À vous lire, il m'apparaît évident qu'il vous en reste encore beaucoup à apprendre, à comprendre, à intégrer... Un peu d'humilité comme fruit à mûrir aussi...

Tu écris : "J'ajouterais qu'au coeur du divin, nous sommes dans un tout autre paradigme", je le confirme, mais as tu fait le chemin, le connais-tu de l'alpha à l'omega, résumé dans les 4 lignes précédentes ?

Je n'ai pas de souci à dire que je ne sais pas trop comment ça arrive; ça arrive... Et ça arrive depuis de nombreuses années... Pensez ce que vous voulez... D'ailleurs qui sait quelle voie il emprunte pour me toucher, m'inspirer, me garder près de lui, se faire connaître à moi, grandir en moi, etc.

Faut-il croire qu'il me travaille selon ce que je suis, là où j'en suis?

J'en suis là où j'en suis... En quoi ça vous dérange tant?

Ajouté 6 minutes 37 secondes après :

Celui qui s’abandonne au Soi, ou Dieu, est l’adorateur le plus parfait. S’abandonner à Dieu signifie demeurer fermement dans le Soi, sans laisser la place à une autre pensée que celle du Soi.
Tout fardeau que nous remettons à Dieu, Il le portera. Puisque le pouvoir suprême de Dieu anime tout, pourquoi ne pas nous y soumettre, plutôt que de nous tracasser pour ce qui doit être accompli et comment il le sera. Sachant que le train transporte toute lourde charge, pourquoi devrions-nous continuer à porter nos bagages sur les genoux, pour notre plus grand inconfort, au lieu de les poser à terre dans le train et d’être à l’aise ?

Sri Ramana Maharshi.

Je souligne simplement : ''Puisque le pouvoir suprême de Dieu anime tout, pourquoi ne pas nous y soumettre, plutôt que de nous tracasser pour ce qui doit être accompli et comment il le sera.''

Aussi : ''pourquoi devrions-nous continuer à porter nos bagages sur les genoux, pour notre plus grand inconfort, au lieu de les poser à terre dans le train et d’être à l’aise ?

Cette dernière me rappelle ce que j'écrivais plus tôt au sujet de la croix : Plutôt que de la porter, nous laisser porter par elle...

Merci, ces paroles me réconfortent...

[gzabirji]

Merci, ces paroles me réconfortent...

C'est parce qu'elles viennent de toi.

[ronronladouceur]

C'est parce qu'elles viennent de toi.

Encore là. Merci.

[gzabirji]

Encore là. Merci.

Bon, on va pas commencer à pleurer non plus.
(pourquoi pas en fait )

[SophiaSofia]

Pensez-vous vraiment que je ne sache pas tout cela, que je n'en sois pas conscient? Vous n'avez vraiment pas l'intelligence des personnes... Et je n'ai pas besoin de me faire dire régulièrement d'expérimenter... L'invitation est lancée, j'accepte, et voyez ce qui se passe!

Maintenant cessez de me taper sur la tête avec votre je-me-moi-Christ, qu'on en dirait un plaisir sadique...

Et vous en apprenez aussi... Tiens donc! C'est exactement ce que je vous disais, je crois hier... Et il est triste qu'on n'en sache pas plus, on pourrait en savoir un peu plus quant à nos connaissances respectives, apprises par peu importe le canal... Ainsi moi aussi, j'en apprends, et quand le fruit sera mûr, peu importe le moment, eh bien je le cueillerai... Il faudrait que vous vous rendiez compte que l'arbre n'est simplement pas en saison. Comment pouvez taper dessus pour lui demander du fruit? Ferez-vous comme Christ et l'assécherez-vous?

Vous en apprenez par votre voie... Moi aussi j'en apprends et par des voies qui m'appartiennent. Mon intention d'expérimenter est formulée, la commande est passée, ça fait déjà un bon moment, svp tenez-en compte... Comprenez le processus...

À vous lire, il m'apparaît évident qu'il vous en reste encore beaucoup à apprendre, à comprendre, à intégrer... Un peu d'humilité comme fruit à mûrir aussi...

Je n'ai pas de souci à dire que je ne sais pas trop comment ça arrive; ça arrive... Et ça arrive depuis de nombreuses années... Pensez ce que vous voulez... D'ailleurs qui sait quelle voie il emprunte pour me toucher, m'inspirer, me garder près de lui, se faire connaître à moi, grandir en moi, etc.

Faut-il croire qu'il me travaille selon ce que je suis, là où j'en suis?

J'en suis là où j'en suis... En quoi ça vous dérange tant?

Hier, tu m'as écrit que tu n'avais pas besoin de moi, mais que tant que j'étais là, tu en profitais. Ce à quoi je t'ai répondu que tant que tu demeureras dans le jugement sur moi, tu ne profiteras pas vraiment de moi puisque je ne peux rien écrire qui ne soit jugé.

Tu le confirmes à nouveau dans ta réponse, je prends le temps de te répondre ce matin, te disant où j'en suis exactement pour ma part et tu y vois un plaisir sadique. Quel accueil à ma réponse tu as fait ? ton message parle de lui-même, j'ai mis en gras.

Quand je ne suis pas acceptée, je le constate dans les réponses que l'on me fait, pourtant je ne force personne à accepter ce que j'écris, soit ça passe, soit ça ne passe pas, te concernant, ça ne passe pas et ce n'est pas récent. Tu sais pertinemment que la seule chose qui me dérange est que tu te penses éternel (corps et âme) ici et maintenant sans avoir eu à naître de nouveau, rien de plus. Si de plus tu penses que je ne suis là que pour te taper dessus alors que je n'ai aucune mauvaise intention à ton égard, qu'ai je à ajouter ?

Ce que Gzab a posté, c'est là où j'en suis. Qu'ai-je à désirer de plus dans cet abandon à mon Seigneur et Dieu, sinon le salut de toutes les âmes ? mais pourquoi me tracasser pour ces âmes ? révélation de ce matin même que j'ai évoquée dans mon message sans en dire le contenu, lui-même Jésus homme ne se tracassait pas pour le salut de toutes les âmes mais seulement de celles que le Père lui a données. Je lui remets ce fardeau, plutôt que de me tracasser pour ce qui doit être accompli pour les autres et comment il le sera, puisque pour ma part, tout est accompli. Je pose donc ce dernier bagage à terre dans le train, et je profite du reste du voyage en me consacrant à l'adoration de Celui qui vit en moi, en Esprit et en vérité. S'il me confie une âme, je m'en occuperai, il me la désignera, je n'irai plus au devant des autres car je ne laisserai plus la place à une autre pensée que la sienne. Bon voyage Ronron.

[gzabirji]

Le non-attachement signifie la destruction des pensées à l’endroit même où elles naissent et ce, sans laisser aucune trace. Tout comme le pêcheur de perles attache des pierres à sa taille et plonge au fond de la mer pour s’emparer des perles, de même chacun de nous devrait se munir de non-attachement, plonger en lui-même et obtenir la Perle du Soi.

Sri Ramana Maharshi.

[ronronladouceur]

Tu sais pertinemment que la seule chose qui me dérange est que tu te penses éternel (corps et âme) ici et maintenant sans avoir eu à naître de nouveau, rien de plus.

Je pense le contraire... Si ce n'est pas dans cette vie, ce sera après. Ou pas...

Je n'ai pas dit que le corps était éternel au même titre que l'âme. Le corps est laissé derrière et recyclé par la vie. Rien ne se perd... Si vous ne l'avez pas entendu en ce sens, vous ne m'avez pas compris...

mais pourquoi me tracasser pour ces âmes ?

Vous ne savez à peu près rien de moi, comme je l'ai expliqué dans mon récent message...

Ce que je puis dire, c'est que vous n'avez pas la manière...

Sophia : ''je peux trouver un langage qui ne le blessera pas, comme j'ai moi-même été si souvent blessée autrefois Il suffit que l'on me montre ouvertement sa propre sensibilité, et mon langage s'adapte en fonction de chacun.''

Bon voyage Ronron.

À vous également...

[gzabirji]

Je pense le contraire... Si ce n'est pas dans cette vie, ce sera après. Ou pas...

Seul l'être véritable est éternel, qu'on l'appelle "âme" ou autrement ne change rien à cette vérité évidente. Mais visiblement tu sais déjà cela.

[SophiaSofia]

Ce que je puis dire, c'est que vous n'avez pas la manière...

La manière ne peut être qu'avec un coeur qui se dévoile.

[ronronladouceur]

La manière ne peut être qu'avec un coeur qui se dévoile.

Et un accueil de l'autre là où il en est... Comme je l'ai exprimé maintes fois...

(Encore à l'autre la faute...)

La manière ne peut être qu'avec un coeur qui se dévoile.

Ça veut dire quoi compte tenu de ce que vous savez de moi? En quoi pourrais-je me dévoiler plus encore?

[SophiaSofia]

Ça veut dire quoi compte tenu de ce que vous savez de moi? En quoi pourrais-je me dévoiler plus encore?

Tu me reproches (ma faute) de ne pas avoir la manière, je te réponds que la manière ne peut être qu'avec un coeur qui se dévoile, je ne t'ai pas en face de moi pour sonder ton coeur dans ton regard (et même un regard peut se voiler pour ne pas montrer l'âme).

[ronronladouceur]

Tu me reproches (ma faute) de ne pas avoir la manière, je te réponds que la manière ne peut être qu'avec un coeur qui se dévoile, je ne t'ai pas en face de moi pour sonder ton coeur dans ton regard (et même un regard peut se voiler pour ne pas montrer l'âme).

''Vous n'avez pas la manière'', s'expliquerait par votre manque avoué de connaissance à mon égard? Mais c'est justement avouer que vous n'avez pas la manière!

En fait, l'explication est toute simple : vous n'avez juste pas tenu compte de ce que savez déjà de moi...

Votre nouvel objectif : intégrer et tenir compte de ce que vous savez déjà...