La grippe aviaire… un canular

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
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gzabirji

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Re: La grippe aviaire… un canular

Ecrit le 08 mars23, 18:31

Message par gzabirji »

prisca a écrit : 08 mars23, 08:31 celui qui a rédigé le texte sur Wikipédia a tout simplement inversé en écrivant 1912 au lieu de 1921.
Si Wikipedia affirme que la guerre de 14-18 s'est terminée en 1912, alors c'est forcément vrai car Wikipedia ne ment jamais et ne fait jamais d'erreur. Wikipedia est la parole divine du XXIe siècle et la remettre en question est du blasphème.

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prisca

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Re: La grippe aviaire… un canular

Ecrit le 08 mars23, 21:57

Message par prisca »

Nous ne sommes pas à l'abri de subir de nouveau l'équivalent de la grippe espagnole qui était déjà disséminatrice, mais plus forte encore.

Les interdictions alimentaires de Lévitique 11 n'ont pas été suivies nous en payons les conséquences.

Tout le monde sait que ce sont les animaux qui sont porteurs.

Grippe aviaire et autres grippes zoonotiques
13 novembre 2018

Principaux faits
L’homme peut être infecté par des virus grippaux aviaires et d’autres virus grippaux zoonotiques, tels que les virus de la grippe aviaire des sous-types A(H5N1), A(H7N9) et A(H9N2) et les virus de la grippe porcine des sous-types A(H1N1) et (H3N2).
La majorité des cas humains d’infection sont associés à des contacts directs avec des animaux ou des environnements contaminés, mais ils n’entraînent pas de transmission interhumaine efficace de ces virus.
Les virus grippaux aviaires, porcins et autres virus grippaux zoonotiques chez l'homme peuvent causer des infections bénignes des voies respiratoires supérieures (fièvre et toux), une production précoce d'expectorations pouvant rapidement évoluer vers une pneumonie grave, un choc septique, un syndrome de détresse respiratoire aigu voire le décès. La conjonctivite, les symptômes gastro-intestinaux, l'encéphalite et l'encéphalopathie ont également été signalés à des degrés divers selon le sous-type.
La majorité des cas humains d’infection à A(H5N1) et à A(H7N9) sont associés à des contacts directs ou indirects avec des volailles contaminées, vivantes ou mortes. La lutte contre la maladie chez l’animal est essentielle afin de réduire le risque pour l’homme.
En raison de l’énorme réservoir silencieux que représentent les oiseaux aquatiques, les virus grippaux sont impossibles à éradiquer. Des cas d’infection à virus grippaux zoonotiques peuvent continuer à survenir. Afin de réduire autant que possible le risque pour la santé publique, il est essentiel d’assurer une surveillance de qualité dans les populations humaines et dans les populations animales en étudiant chaque cas d’infection humaine et en établissant une planification fondée sur le risque de pandémie.
L'homme peut être infecté par des virus grippaux zoonotiques tels que les virus de la grippe aviaire ou porcine.

L’agent pathogène
Il existe 4 types de virus grippaux: A, B, C et D:

Les virus grippaux du type A infectent l’homme et de nombreux animaux. L'émergence d'un nouveau virus grippal A très différent, capable d'infecter les individus et d'induire une transmission interhumaine durable, peut provoquer une pandémie de grippe.
Les virus grippaux du type B ne circulent que dans les populations humaines et entraînent des épidémies saisonnières. Selon des données récentes, les phoques peuvent également être infectés.
Les virus grippaux du type C peuvent infecter l’homme et le porc mais ces infections sont généralement bénignes et sont rarement notifiées.
Les virus grippaux de type D touchent principalement les bovins et on sait qu'ils infectent les êtres humains et causent des maladies.
Les virus grippaux du type A sont les plus importants en termes de santé publique car ils peuvent entraîner une pandémie de grippe. Ils sont classés en sous-types selon la combinaison de 2 protéines de surface – l’hémagglutinine (H) et la neuraminidase (N). Il existe 18 sous-types d’hémagglutinine et 11 sous-types de neuraminidase. Selon l’hôte d’origine, les virus grippaux du type A sont classés comme virus aviaires, virus porcins ou autres virus animaux.

Par exemple, les virus des sous-types A(H5N1) et A(H9N2) sont des virus aviaires (de la «grippe du poulet») tandis que les virus des sous-types A(H1N1) et A(H3N2) sont des virus porcins (de la «grippe du porc»). Tous ces virus grippaux du type A qui infectent les animaux sont différents des virus grippaux humains et ils ne se transmettent pas facilement d’une personne à l’autre.

Les oiseaux aquatiques sont le principal réservoir naturel de la plupart des sous-types de virus grippaux du type A. Chez l’oiseau, la plupart de ces virus entraînent des infections asymptomatiques ou bénignes, l’éventail des symptômes dépendant des propriétés du virus. Les virus grippaux qui provoquent des maladies graves chez l’oiseau et qui sont responsables d’une forte mortalité sont dits «hautement pathogènes». Ceux qui entraînent des flambées chez les volailles sans provoquer de maladies graves sont dits «faiblement pathogènes».

Signes et symptômes chez l'homme
Chez l’homme, les virus grippaux aviaires, porcins et autres virus grippaux zoonotiques peuvent causer des infections bénignes des voies respiratoires supérieures (fièvre et toux), une production précoce d'expectorations pouvant rapidement évoluer vers une pneumonie grave, un syndrome de détresse respiratoire aigu, un choc septique voire le décès.

Des symptômes gastro-intestinaux tels que nausées, vomissements et diarrhée ont été signalés plus fréquemment dans l'infection A(H5N1). La conjonctivite a également été rapportée pour la grippe A(H7). Les caractéristiques de la maladie telles que la période d'incubation, la sévérité des symptômes et l’issue clinique varient en fonction du virus provoquant l'infection mais se manifestent principalement par des symptômes respiratoires.

Chez de nombreux patients infectés par des virus grippaux aviaires A(H5) ou A(H7N9), la maladie présente une évolution clinique particulièrement brutale. Les premiers symptômes sont, en général, une forte fièvre (égale ou supérieure à 38°C) et une toux suivie d'atteinte des voies respiratoires inférieures, y compris une dyspnée ou une difficulté à respirer. Les symptômes liés à une atteinte des voies respiratoires supérieures (maux de gorge ou rhinite) sont moins courants.

D’autres symptômes, tels que diarrhée, vomissements, douleurs abdominales, saignements du nez ou des gencives, encéphalite et douleurs thoraciques, ont également été décrits chez certains patients. Les complications sont une pneumonie sévère, l’hypoxémie, le syndrome de défaillance multiviscérale, un choc septique et des surinfections bactériennes et fongiques. Le taux de létalité des infections dues aux virus des sous-types A(H5) et A(H7N9) est beaucoup plus élevé que celui de la grippe saisonnière.

Pour les infections à virus grippal aviaire A(H7N7) et A(H9N2), les manifestations chez l’homme sont généralement bénignes voire infracliniques. Seul un cas humain mortel de grippe A(H7N7) a été notifié aux Pays-Bas. La plupart des cas humains de grippe porcine ont été bénins, quelques personnes ont dû être hospitalisées et très peu de décès ont été signalés.

Épidémiologie des infections humaines
Des infections à virus grippaux aviaires et à autres virus grippaux zoonotiques chez l’homme, bien que rares, ont été signalées sporadiquement. La majorité des cas humains d’infection sont associés à des contacts directs avec des animaux ou des environnements contaminés, mais ils n’entraînent pas de transmission interhumaine efficace de ces virus.

En 1997, des cas d’infection humaine par le virus A(H5N1) hautement pathogène ont été notifiés lors d’une flambée touchant la volaille à Hong Kong (région administrative spéciale de Chine). Depuis 2003, ce virus aviaire s’est propagé de l’Asie à l’Europe et à l’Afrique et s’est durablement enraciné dans les populations de volailles de certains pays, provoquant des millions d’infections chez ces oiseaux, des centaines de cas humains et de nombreux décès.

Les flambées épidémiques affectant la volaille ont eu de graves répercussions sur les moyens de subsistance, l’économie et le commerce international dans les pays touchés. D’autres virus grippaux aviaires du sous-type A(H5) ont également entraîné des flambées touchant la volaille et des infections chez l’homme.

En 2013, des infections à virus A(H7N9), faiblement pathogène, ont été signalées chez l’homme en Chine. Depuis, ce virus s’est propagé dans les populations de volailles du pays et a entraîné plus de 1500 cas humains et de nombreux décès.

D’autres virus grippaux aviaires, dont les virus A(H7N7) et A(H9N2), ont provoqué des infections sporadiques chez l’homme. Certains pays ont également notifié des infections humaines sporadiques par des virus grippaux porcins, en particulier ceux des sous-types A(H1) et A(H3).

Facteurs de risque d’infection
Pour les virus grippaux aviaires, le principal facteur de risque d’infection humaine semble être l’exposition directe ou indirecte à des volailles infectées, vivantes ou mortes, ou à des environnements contaminés tels que les marchés d’oiseaux vivants. Les activités consistant à abattre, à plumer ou à manipuler des carcasses de volailles infectées ou à préparer ces volailles en vue de leur consommation, en particulier dans le cadre familial, sont probablement des facteurs de risque.

Il n’existe aucune donnée permettant de penser que les virus grippaux A(H5) et A(H7N9) ou d’autres virus grippaux aviaires peuvent être transmis aux êtres humains par des volailles ou des œufs, s’ils sont convenablement préparés. Quelques cas humains de grippe A(H5N1) ont été liés à la consommation de plats préparés avec du sang de volaille cru contaminé.

Pour réduire le risque d’infection chez l’homme, il est essentiel de lutter contre la circulation des virus de grippe aviaire dans la volaille. Compte tenu de la persistance des virus A(H5) et A(H7N9) dans certaines populations de volailles, la lutte requiert un engagement à long terme de la part des pays et une bonne coordination entre les autorités responsables de la santé animale et celles responsables de la santé publique.

En ce qui concerne les virus de la grippe porcine, la plupart des cas humains sont dus à la proximité de porcs infectés. Toutefois, la transmission interhumaine est rare.

Pour les infections à virus grippal aviaire A(H5N1) chez l’homme, les données actuelles indiquent que la période d’incubation est de 2 à 5 jours en moyenne et peut atteindre 17 jours. Pour les infections à virus grippal aviaire A(H7N9) chez l’homme, la période d’incubation est comprise entre 1 et 10 jours et est de 5 jours en moyenne. Pour ces 2 virus, la période d’incubation moyenne est plus longue que pour les virus de la grippe saisonnière (2 jours). Pour les infections à virus grippal porcin chez l’homme, on a signalé que la période d’incubation allait de 2 à 7 jours.

Diagnostic
Des tests en laboratoire sont nécessaires pour diagnostiquer l'infection humaine par un virus grippal zoonotique. L'OMS, par l'intermédiaire de son Système mondial de surveillance et d'intervention en cas de grippe (GISRS), met périodiquement à jour les protocoles d'orientation technique pour la détection de la grippe zoonotique chez l'homme en utilisant des molécules, par exemple RT-PCR et autres méthodes.

Les tests de diagnostic rapide de la grippe (RIDT) ont une sensibilité inférieure à celle de la PCR et leur fiabilité dépend largement des conditions dans lesquelles ils sont utilisés. Les tests de diagnostic rapides disponibles dans le commerce ne peuvent pas en général fournir d'informations sur le sous-type. Les RIDT sont parfois utilisés en milieu clinique, mais leur utilisation dans la détection des virus zoonotiques est limitée.

Des échantillons adéquats et appropriés pour le dépistage de la grippe doivent être prélevés sur les patients et traités avec des outils de diagnostic selon les protocoles et les recommandations pertinents.

Traitement
Les données dont on dispose tendent à prouver que certains antiviraux, notamment les inhibiteurs de la neuraminidase (oseltamivir, zanamivir), peuvent réduire la durée de réplication du virus et améliorer les chances de survie. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires. Des cas de résistance à l'oseltamivir ont été rapportés.

Pour les cas présumés et confirmés, des inhibiteurs de la neuraminidase doivent être prescrits aussi vite que possible (idéalement dans les 48 heures suivant l’apparition des symptômes) pour maximiser les effets thérapeutiques. Toutefois, compte tenu de la forte mortalité actuellement associée à l’infection par les virus des sous-types A(H5) et A(H7N9) et des données indiquant une réplication prolongée du virus dans ces maladies, l’administration de ce médicament doit aussi être envisagée chez les patients qui consultent à un stade plus tardif de l’évolution de la maladie.
Le traitement est recommandé pour une durée de 5 jours au minimum, toutefois il peut être prolongé jusqu'à ce que l'on observe une amélioration clinique satisfaisante.
Les corticoïdes ne devraient pas être administrés systématiquement, à moins qu'ils ne soient indiqués pour d'autres raisons (par exemple pour le traitement de l'asthme et d'autres affections spécifiques) car leur utilisation a été associée à une élimination virale prolongée et à une immunosuppression entrainant une surinfection bactérienne ou fongique.
Les virus grippaux les plus récents de type A(H5) et A(H7N9) sont résistants aux antiviraux appartenant à la classe des adamantanes (par exemple l'amantadine et la rimantadine) dont l'administration par monothérapie n'est donc pas recommandée.
On peut constater chez les patients dans un état critique la présence d'une co-infection par des agents pathogènes bactériens.
Prévention
Hormis le traitement antiviral, la prise en charge en santé publique comporte l'application de mesures individuelles de protection telles que les suivantes:

Se laver systématiquement les mains et les sécher correctement.
Respecter une bonne hygiène respiratoire: se couvrir la bouche et le nez lorsque l’on tousse ou éternue, utiliser des mouchoirs en papier et les jeter avec soin.
Placer en auto isolement précoce les personnes qui ne se sentent pas bien, qui sont fiévreuses et qui présentent d'autres symptômes de la grippe.
Éviter les contacts proches avec des malades.
Éviter de se toucher les yeux, le nez ou la bouche.
Les agents de santé exécutant des actes générant des aérosols doivent appliquer les précautions aériennes. Durant les épidémies il faut appliquer les précautions standard contre les gouttelettes et pour éviter le contact, et mettre à disposition et utiliser les équipements de protection individuelle adaptés.

Les voyageurs qui se rendent dans des pays où sévissent des flambées de grippe aviaire et les habitants de ces pays doivent, dans la mesure du possible, éviter de visiter des marchés de volailles vivantes, de pénétrer dans des zones où peuvent s’effectuer des abattages de volailles ou de toucher des surfaces apparemment contaminées par des déjections de volailles ou d’autres animaux. Il faut respecter les bonnes pratiques de sécurité sanitaire des aliments et d’hygiène alimentaire, par exemple se laver les mains à l’eau et au savon. Les voyageurs de retour de régions affectées doivent prévenir les services de santé locaux en cas de symptômes faisant présumer une infection par un virus grippal zoonotique.

Un traitement prophylactique préexposition ou postexposition par des antiviraux est possible mais dépend de plusieurs facteurs, par ex. des facteurs individuels, le type d'exposition et le risque associé à l'exposition.

Potentiel pandémique
Les pandémies de grippe sont des épidémies qui affectent une grande partie du monde en raison de l’émergence d'un nouveau virus. Elles sont imprévisibles, mais des épisodes récurrents peuvent avoir des conséquences sanitaires, économiques et sociales dans le monde entier. Une pandémie de grippe se produit lorsqu'un nouveau virus grippal apparaît capable de provoquer une transmission interhumaine soutenue et que la population humaine est peu ou pas immunisée contre ce virus. Avec l’essor du commerce mondial et des voyages internationaux, une épidémie localisée peut se transformer rapidement en pandémie, laissant peu de temps pour préparer une riposte de santé publique.

La circulation de certains sous-types de virus aviaires, tels que le A(H5) et le A(H7N9) dans la volaille sont un problème de santé publique car ces virus entraînent en général des manifestations graves chez l’homme et ils ont la capacité de muter et ainsi de se transmettre plus facilement d’une personne à l’autre.

À ce jour, on estime que la transmission interhumaine de ces virus est rare et qu’elle survient en cas de contact très proche et prolongé entre un patient très malade et les personnes qui s’en occupent, par exemple les membres de sa famille, mais qu’il n’y a pas de transmission interhumaine durable.

On ignore si les virus grippaux aviaires et les autres virus grippaux zoonotiques qui circulent actuellement entraîneront une pandémie à l’avenir. Cependant, la diversité des virus grippaux aviaires et des autres virus grippaux zoonotiques qui ont provoqué des infections chez l’homme est inquiétante et il faut renforcer la surveiller des populations animales et humaines, étudier de près chaque cas d’infection chez l’homme et établir une planification sur la base du risque de pandémie.

Action de l’OMS
L’OMS, dans son rôle de chef de file sur les questions de santé publique internationale, surveille très étroitement la grippe aviaire et les autres grippes zoonotiques dans le cadre de son système mondial de surveillance de la grippe et de riposte (GISRS).

En collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), elle effectue la surveillance à l'interface homme-animal, évalue les risques associés et coordonne la réponse aux flambées de grippe zoonotique et aux autres menaces pour la santé publique.

Sur la base des résultats de l’évaluation des risques, l’OMS fournit des orientations, met au point et ajuste des stratégies de surveillance, de préparation et de riposte face à la grippe, saisonnière, zoonotique ou pandémique, et informe les États Membres en temps voulu des résultats des évaluations des risques et des recommandations en matière d'interventions afin de renforcer l'état de préparation et la riposte à l'échelle nationale et mondiale.

Références
Control of Communicable Diseases Manual 20th Edition.
American Public Health Association (2015). APHA Press, Washington DC. ISBN: 978-0-87553-018-5

Monthly Risk Assessment Summary - en anglais
Manual for the laboratory diagnosis and virological surveillance of influenza - en anglais
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Re: La grippe aviaire… un canular

Ecrit le 08 mars23, 23:08

Message par Estrabosor »

Bonjour à tous,

Contrairement au mensonge répété à de multiples reprises sur ce forum, non, le respect de la loi mosaïque n'aurait rien évité puisque sont autorisés par la loi tous les oiseaux se nourrissant de graines et donc, le canard, l'oie, le poulet, la pintade, le dindon, le pigeon, tous réservoirs naturels d'agents pathogènes transmissibles à l'homme, peuvent être élevés et consommés.
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Re: La grippe aviaire… un canular

Ecrit le 09 mars23, 03:46

Message par prisca »

Estrabosor a écrit : 08 mars23, 23:08 Bonjour à tous,

Contrairement au mensonge répété à de multiples reprises sur ce forum, non, le respect de la loi mosaïque n'aurait rien évité puisque sont autorisés par la loi tous les oiseaux se nourrissant de graines et donc, le canard, l'oie, le poulet, la pintade, le dindon, le pigeon, tous réservoirs naturels d'agents pathogènes transmissibles à l'homme, peuvent être élevés et consommés.
17 le chat-huant, le plongeon et la chouette; 18 le cygne, le pélican et le cormoran; 19 la cigogne, le héron et ce qui est de son espèce, la huppe et la chauve-souris.

Parce que ce sont les fientes qui donnent les maladies (voir l'article plus haut).

Fientes de plongeons = fientes de canard ou fientes de pigeon ou fientes de poules et poulets.

Les fientes et la putréfaction du corps du plongeon qui rend malade, et comme le dit le verset "ce qui est de son espèce" au chat huant, au plongeon à la chouette, au cygne, au pélican, au cormoran, à la cigogne, au héron......

Ce n'est pas "ce qui est de son espèce" au héron seulement, mais à tous les animaux cités.

Tenir un plongeon dans ses bras ou un canard ou même une chauve souris ça ne rend pas malade.

C'est le corps mort de ces animaux qui peut rendre malade puisqu'il faut désinfecter les ustensiles en contact avec leurs corps morts dit Lévitique.

Si quand bien même le canard est fautif de la grippe espagnole, c'est donc que le canard peut transmettre des maladies.
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Re: La grippe aviaire… un canular

Ecrit le 09 mars23, 10:19

Message par Estrabosor »

Voila maintenant que le Lévitique demande de désinfecter :rolling-on-the-floor-laughing:

Alors pour info, toucher un animal vivant malade représente le même risque qu'avec un animal mort. La contagiosité n'a aucun rapport avec le fait qu'un être vivant soit mort ou vif.
D'autre part, toute personne qui élève des volailles se retrouve en contact avec les agents pathogènes de ces animaux, fort heureusement, la plupart ne sont pas transmissibles à l'homme.
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Re: La grippe aviaire… un canular

Ecrit le 09 mars23, 21:59

Message par prisca »

Estrabosor a écrit : 09 mars23, 10:19 Voila maintenant que le Lévitique demande de désinfecter :rolling-on-the-floor-laughing:

Alors pour info, toucher un animal vivant malade représente le même risque qu'avec un animal mort. La contagiosité n'a aucun rapport avec le fait qu'un être vivant soit mort ou vif.
D'autre part, toute personne qui élève des volailles se retrouve en contact avec les agents pathogènes de ces animaux, fort heureusement, la plupart ne sont pas transmissibles à l'homme.
Tu as tort car la putréfaction se fait à partir d'enzymes. Le processus de décomposition fait intervenir une succession de micro-organismes tels que les champignons et les bactéries qui, s'ils entrent en contact avec le métabolisme humain, provoquent des maladies.

La viande est un terrain fertile pour les bactéries telles que Staphylococcus, Salmonella, Bacillus, Clostridium et Escherichia coli. Le ministère de l’Agriculture des États-Unis indique que la quantité de bactéries dans la viande peut doubler toutes les 20 minutes lorsqu’elle est laissée à des températures de 4 degrés Celuis à 60 degrés, devenant un risque dangereux pour votre santé. La température de cuisson et la manipulation sont aussi des facteurs clés dans la sécurité de manger de la viande. L’USDA recommande également l’élimination de toute viande qui est laissée à des températures chaudes pendant plus d’une heure.
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