Re: Scénario divin
Posté : 20 sept.25, 21:18
Les Égyptiens vénéraient des divinités comme Rê, Osiris, Isis, Horus, Anubis… Le Pharaon lui-même était vu comme un dieu vivant.
Mais ne pas oublier que Melchisédech est venu et qu'Abraham est le pilier de la religion monothéiste qui vient de naitre.
Pharaon donc est hostile au monothéisme, il continue l'idolâtrie des multiples dieux.
Cette idolâtrie (de Pharaon) est associée à l’oppression : Pharaon s’oppose à D.IEU non seulement politiquement, mais théologiquement. Il refuse de reconnaître YHWH comme souverain.
Le monothéisme Hébreu se forge dans cette confrontation. La sortie d’Égypte n’est pas seulement une fuite, mais une rupture avec un système religieux et politique idolâtre.
Les Juifs sont désormais sous la coupole de D.IEU, finie l'idolâtrie.
Les Juifs c'est fait, maintenant il y a le reste du monde.
Le reste du monde est 100% païen.
Puisque Pharaon refuse le monothéisme malgré que MELCHISEDECH soit envoyé du Ciel et veut établir la Paix sur terre en apportant "nourriture spirituelle" par le Vin et le Pain, et malgré qu'ils savent qu'ABRAHAM ait eu avec l'ETERNEL un lien renforcé, et bien pour les païens du monde entier, comment cela va t il se passer ?
Et bien l'ETERNEL ne va pas faire comme pour Pharaon, à savoir répandre le sang et détruire ces païens sinon il ne reste plus personne sur terre, mais l'ETERNEL va utiliser un Plan stratégique.
…Ce Plan stratégique consiste à utiliser dans la Bible un langage qui parle à l’imaginaire païen, qui entre dans ses codes, ses symboles, ses récits, afin de l’attirer, de l’éveiller, de le préparer à une révélation plus haute.
L’ÉTERNEL, dans sa sagesse, ne commence pas par imposer une abstraction pure, mais parsemé dans les textes, il emploie des figures que les peuples païens peuvent reconnaître : rois, temples, sacrifices, alliances, visions célestes, combats cosmiques. Il parle dans un langage que les nations peuvent entendre, même s’il les conduit peu à peu vers autre chose.
Ce langage est parfois celui du mythe, parfois celui du rite, parfois celui de la royauté ou de la guerre — mais toujours avec une intention cachée : faire passer du multiple à l’un, du visible à l’invisible, du pouvoir à la sainteté.
Ainsi, les païens ne sont pas rejetés, mais convoqués. L’ÉTERNEL ne les détruit pas comme Pharaon, car leur ignorance n’est pas une rébellion consciente. Il les enveloppe dans une pédagogie divine, une lente montée vers l’unité.
Et c’est pourquoi les prophètes parleront aux nations, pourquoi les sages d’Israël dialogueront avec les rois étrangers, pourquoi même les textes bibliques contiennent des échos de récits mésopotamiens, égyptiens, grecs — non pour les valider, mais pour les transfigurer.
Ce langage païen devient alors un tremplin : il prépare les peuples à recevoir une lumière qu’ils ne pouvaient encore concevoir. Il est le voile avant la révélation, l’ombre avant le feu.
Ces versets ci dessous en sont la démonstration :
5 Car, s'il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs, 6 néanmoins pour nous il n'y a qu'un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous sommes.
Ce verset illustre parfaitement que l’ÉTERNEL utilise un langage qui entre dans les catégories mentales du monde païen — non pour les valider, mais pour les redéfinir.
Paul, dans un monde saturé de divinités gréco-romaines, ne commence pas par nier leur existence brute. Il les nomme, les situe, les encadre. Puis il les dépasse :
Il affirme un DIEU unique, source de tout.
Il divulgue la présence d'un Seigneur (Jésus-Christ), médiateur de la création et de la rédemption.
Ce n’est pas une négation brutale du polythéisme, mais une subversion intérieure : il parle dans les termes du monde pour le conduire ailleurs.
D.IEU interpelle les païens en leur faisant croire que plusieurs dieux existent, ainsi ils vont mettre au dessus des autres dieux l'ETERNEL qui les gouverne.
Ces formulations sous formes de versets polythéistes ne valident pas le polythéisme mais utilisent ses catégories pour les subvertir. Elles parlent aux païens dans leur propre langage : celui des panthéons, des hiérarchies célestes, des trônes multiples — pour mieux les conduire vers l’UNIQUE DIEU l'ETERNEL qui remplace désormais Zeus dans leur panthéon.
Après pour que tout soit rétabli entrent en scène les évêques catholiques qui eux vont mettre à plat sous forme de discours toute la stratégie divine en disant que tout a été organisé pour que les païens croient en l'ETERNEL seulement et que toute cette stratégie était pour les transformer de l'intérieur.
Une fois que les évêques catholiques ont procédé à cette mise à jour, et bien l'ETERNEL aurait conduit le monde avec eux dans cet EDEN retrouvé.
Mais comme vous pouvez le constater les évêques n'ont rien fait de tout ça, ils ont préféré comme PHARAON fermer toute communication avec D.IEU pour ne donner satisfaction qu'au serpent Constantin.
Donc pas d'EDEN mais un monde déclinant de plus en plus jusqu'à l'avènement de D.IEU dans sa colère.
Mais ne pas oublier que Melchisédech est venu et qu'Abraham est le pilier de la religion monothéiste qui vient de naitre.
Pharaon donc est hostile au monothéisme, il continue l'idolâtrie des multiples dieux.
Cette idolâtrie (de Pharaon) est associée à l’oppression : Pharaon s’oppose à D.IEU non seulement politiquement, mais théologiquement. Il refuse de reconnaître YHWH comme souverain.
Le monothéisme Hébreu se forge dans cette confrontation. La sortie d’Égypte n’est pas seulement une fuite, mais une rupture avec un système religieux et politique idolâtre.
Les Juifs sont désormais sous la coupole de D.IEU, finie l'idolâtrie.
Les Juifs c'est fait, maintenant il y a le reste du monde.
Le reste du monde est 100% païen.
Puisque Pharaon refuse le monothéisme malgré que MELCHISEDECH soit envoyé du Ciel et veut établir la Paix sur terre en apportant "nourriture spirituelle" par le Vin et le Pain, et malgré qu'ils savent qu'ABRAHAM ait eu avec l'ETERNEL un lien renforcé, et bien pour les païens du monde entier, comment cela va t il se passer ?
Et bien l'ETERNEL ne va pas faire comme pour Pharaon, à savoir répandre le sang et détruire ces païens sinon il ne reste plus personne sur terre, mais l'ETERNEL va utiliser un Plan stratégique.
…Ce Plan stratégique consiste à utiliser dans la Bible un langage qui parle à l’imaginaire païen, qui entre dans ses codes, ses symboles, ses récits, afin de l’attirer, de l’éveiller, de le préparer à une révélation plus haute.
L’ÉTERNEL, dans sa sagesse, ne commence pas par imposer une abstraction pure, mais parsemé dans les textes, il emploie des figures que les peuples païens peuvent reconnaître : rois, temples, sacrifices, alliances, visions célestes, combats cosmiques. Il parle dans un langage que les nations peuvent entendre, même s’il les conduit peu à peu vers autre chose.
Ce langage est parfois celui du mythe, parfois celui du rite, parfois celui de la royauté ou de la guerre — mais toujours avec une intention cachée : faire passer du multiple à l’un, du visible à l’invisible, du pouvoir à la sainteté.
Ainsi, les païens ne sont pas rejetés, mais convoqués. L’ÉTERNEL ne les détruit pas comme Pharaon, car leur ignorance n’est pas une rébellion consciente. Il les enveloppe dans une pédagogie divine, une lente montée vers l’unité.
Et c’est pourquoi les prophètes parleront aux nations, pourquoi les sages d’Israël dialogueront avec les rois étrangers, pourquoi même les textes bibliques contiennent des échos de récits mésopotamiens, égyptiens, grecs — non pour les valider, mais pour les transfigurer.
Ce langage païen devient alors un tremplin : il prépare les peuples à recevoir une lumière qu’ils ne pouvaient encore concevoir. Il est le voile avant la révélation, l’ombre avant le feu.
Ces versets ci dessous en sont la démonstration :
5 Car, s'il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs, 6 néanmoins pour nous il n'y a qu'un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous sommes.
Ce verset illustre parfaitement que l’ÉTERNEL utilise un langage qui entre dans les catégories mentales du monde païen — non pour les valider, mais pour les redéfinir.
Paul, dans un monde saturé de divinités gréco-romaines, ne commence pas par nier leur existence brute. Il les nomme, les situe, les encadre. Puis il les dépasse :
Il affirme un DIEU unique, source de tout.
Il divulgue la présence d'un Seigneur (Jésus-Christ), médiateur de la création et de la rédemption.
Ce n’est pas une négation brutale du polythéisme, mais une subversion intérieure : il parle dans les termes du monde pour le conduire ailleurs.
D.IEU interpelle les païens en leur faisant croire que plusieurs dieux existent, ainsi ils vont mettre au dessus des autres dieux l'ETERNEL qui les gouverne.
Ces formulations sous formes de versets polythéistes ne valident pas le polythéisme mais utilisent ses catégories pour les subvertir. Elles parlent aux païens dans leur propre langage : celui des panthéons, des hiérarchies célestes, des trônes multiples — pour mieux les conduire vers l’UNIQUE DIEU l'ETERNEL qui remplace désormais Zeus dans leur panthéon.
Après pour que tout soit rétabli entrent en scène les évêques catholiques qui eux vont mettre à plat sous forme de discours toute la stratégie divine en disant que tout a été organisé pour que les païens croient en l'ETERNEL seulement et que toute cette stratégie était pour les transformer de l'intérieur.
Une fois que les évêques catholiques ont procédé à cette mise à jour, et bien l'ETERNEL aurait conduit le monde avec eux dans cet EDEN retrouvé.
Mais comme vous pouvez le constater les évêques n'ont rien fait de tout ça, ils ont préféré comme PHARAON fermer toute communication avec D.IEU pour ne donner satisfaction qu'au serpent Constantin.
Donc pas d'EDEN mais un monde déclinant de plus en plus jusqu'à l'avènement de D.IEU dans sa colère.