Re: Le personnage
Posté : 15 déc.24, 03:59
En réalité tout est parfait.
On ne parle de "problème" qu'à un niveau de langage proche du zéro.
On ne parle de "problème" qu'à un niveau de langage proche du zéro.
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
https://forum-religion.org/
Le niveau zéro est ici atteint...
Ce qui se passe à Gaza ou tout comme pour les vaccins...
À la réflexion, tiens, tu me donnes une idée...On ne parle de "problème" qu'à un niveau de langage proche du zéro.
L'expression "niveau zéro" semble péjorative, j'en conviens, mais aucun niveau n'est meilleur qu'un autre. Le meilleur niveau, si vraiment on veut employer ce terme, c'est celui qui est le plus adapté à l'interlocuteur.
Ça dépend toujours de qui en décide...
Comme dit Rupert Spira, "on fait de notre mieux"...
Je ne sais pas trop ce que tu veux dire par là, mais de ce que j'ai pu observer, lorsque l'interlocuteur pose une question profonde, c'est qu'il est prêt à entendre la réponse.Quoi qu'il en soit, il n'y a personne pour répondre à quelque question puisqu'elle répond toute seule...
ronronladouceur a écrit :
Ça dépend toujours de qui en décide...
C'est aussi une idée que j'exprime à ma façon...
ronronladouceur a écrit : Quoi qu'il en soit, il n'y a personne pour répondre à quelque question puisqu'elle répond toute seule...
Encore là, ça dépend de quel personnage en toi est touché par la question... Et la réponse ne convient pas nécessairement toujours puisqu'elle est relative à là où tu en es (cf. Spira).Je ne sais pas trop ce que tu veux dire par là, mais de ce que j'ai pu observer, lorsque l'interlocuteur pose une question profonde, c'est qu'il est prêt à entendre la réponse.
J'inventerais des définitions contraires à celles du CNRTL ou de Philosophie Magazine..
Tu vois du "rien" toi ? Moi non.
La réponse est relative à là où en est celui qui pose la question, et non à celui qui y répond, comme cela a été illustré par l'histoire du sage à l'entrée du village.ronronladouceur a écrit : ↑15 déc.24, 08:18 la réponse ne convient pas nécessairement toujours puisqu'elle est relative à là où tu en es (cf. Spira).
J'inventerais des définitions contraires à celles du CNRTL ou de Philosophie Magazine..
Tu vois du "rien" toi ? Moi non.
Oui, voilà, c'est bien ça.J'm'interroge a écrit : ↑15 déc.24, 20:00 J'inventerais des définitions contraires à celles du CNRTL ou de Philosophie Magazine..
Notamment, tu inventes une définition de trois kilomètres du mot "concept" pour tenter de justifier ton affirmation selon laquelle "les concepts ne sont pas mentaux" alors que le CNRTL et Psychologie Magazine affirment noir sur blanc le contraire.J'm'interroge a écrit : ↑15 déc.24, 20:09 Parce que tu l'as dit ? Toi le clown qui ne comprends rien et racontes n'importe quoi ?
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Vraiment ?
La compréhension n'est pas mentale ?J'm'interroge a écrit : ↑15 déc.24, 20:12 Vraiment ?
Un concept = une définition en compréhension.
En effet, ce n'est pas mental.
C'est toi le trou du cul Lol. Une compréhension c'est intellectuel et logique. Et c'est avec le cerveau que l'on comprend des choses, avec certaines capacités cognitives que d'évidence tu n'as pas.