Patrice1633 a écrit :Jesus aurais bien ete capable d'appeler plusieurs légions d'anges pour le proteger, il a encourager Pierre a ne pas se battre mais a àimer ses ennemie, dans ses disciples il y. A qui on ete emprisonner aussi, ils ne se sont pas battu, meme que leur menotte et les portes se sont debarrer il ne se sont pas délier tout seul, il peut nous délivrer comme il veux ...
Il a meme dir que nous seront emprisonner, battu etc, la resurection et le monde nouveau nous redonnera des couleur mais nous resterons en paix dans ce monde
A vrai dire, Jésus n'aurait eu besoin de personne pour l'aider, car Jésus a voulu montrer l'exemple, et même si Jésus a été contraint de mourir car les hommes n'ont pas montré les signes d'acquiescement, Jésus n'a pas reculé devant la mort.
Le sacrifice de Jésus est bien ce qui a convaincu des milliers d'hommes lesquels se sont dit, et se disent encore, Jésus a souffert, est mort, moi je dois donner de moi jusqu'à mes limites supportables pourvu que je vienne en aide à mon prochain.
Aimer son ennemi revêt plusieurs sens, déjà rien ne sert à haïr un ennemi parce que la haine n'amène pas la solution. Ensuite devant la colère de son ennemi, répondre par la colère multiplie le grief et ne le résout pas. Tourner les talons et s'avouer vaincu face à l'ennemi c'est aussi le désemparer, car un ennemi ne s'attend pas à une telle réaction paisible, et la paix engendre la paix souvent.
Aimer son ennemi c'est surtout avec sérénité comprendre pourquoi il est "ennemi" cet ennemi. Sans lui donner de circonstances atténuantes, ni aggravantes, c'est déjà ouvrir le dialogue, et le dialogue est source de lumière, la lumière elle peut donner à l'ennemi le sentiment qu'il peut être entendu, car un ennemi est souvent quelqu'un qui crie un mal être, un désespoir, et cet ennemi crie seul car face à lui ses ennemis ne l'entendent pas mais le combattent.
Aimer son ennemi c'est ouvrir le dialogue, et même si le dialogue n'est pas possible avec l'ennemi, c'est donner le sentiment de trouver une solution.
Dire de l'ennemi la liste des incongruités qu'il commet, c'est le mettre face à sa malfaisance, et la réaction ne se fait pas attendre, il continue parce qu'il prend sa criminalité comme un transfert d'une personnalité qu'il trouvera bienséante pour lui car il est au devant d'une scène qui lui donne un spectacle.
Comme aujourd'hui si un terroriste commet un acte terroriste les journalistes disent : "un terroriste attaché à daech a commis un acte terroriste". Le terroriste va prendre l'annonce comme le déploiement d'un signe de notoriété pour lui, car dire de lui qu'il est un terroriste lui fait honneur car l'acte il l'a commis pour que le monde ait le regard sur lui, lui qui est "un terroriste". Or si les journalistes avaient dit : "un criminel a encore sévi et cet abruti a tué tant de personnes" Là bien sûr sa réaction ne se fait pas attendre, mais la catégorie dans laquelle il est affublé ne va pas lui plaire car il ne sera pas celui qu'il veut paraitre "un terroriste de daech" mais "un abruti criminel qui n'a rien dans la tête pour avoir commis ces crimes affreux inhumains et à l'encontre de toute doctrine divine".
Il faut nommer à leur valeur les gens, et non pas les affubler de noms qui les enorgueillis.
C'est aussi ça aimer son ennemi, avoir assez de discernement pour le contraindre à renoncer, par l'utilisation des principes psychologiques qui sont moteur chez lui.