IIuowolus a écrit :
Oui les droit de l'homme c'est ça biensur, faudras commencez par les lire... Même le Dalaï Lama est contre la violence et que dit le dernier article de la charte...
Mais bon passons sur cette confusion entre "sauvez le tibet" et "les droit d e l'homme"
Tu compare la Palestine au Tibet...
Ben tu ne doute de rien !
J'ai manifester pour le tibet et contre la guerre en Irak et avant je me rangais dans les sympatisant à la cause Palestinien.
J'ai toujours fais ça dans l'esprit de non-violence.
Maintenant c'est différent parce quand on mets fin volontairement à une trêve, on démontre clairement que l'on est pour la violence.
Ça serrait peux-être le moment que tu t'interesse a Gandhi !
les plalestinien ont etais depouillés de leur terres et de leur liberté , il méne le plus noble des combats . il gagnerons tot ou tard j'en ai les certitudes . Le temps est en leur faveur . Ceux qui les soutienne n'aurront plus les moyens d'agir en dehors de leur frontier a l'avenir. Il croule sous les dettes et les deficits budgetaire et commercial , il sont en etat de faillite , pour le moment il ont les "moyens" entre guillemets d'acheter la paix sociale , mais jusqu'a quand ?
lis plutot ca , je pense que tu est assez intelligent pour ne pas te faire manupilé par les médiats , les médiats eux meme le sont par les politiques , souviens toi les armes de destruction massif .
voici une source israelienne , Haaretz un des grand journal israelienne
Selon Haaretz, l’attaque de Gaza a été préparée depuis six mois, et la trêve signée avec le Hamas avait pour objet de gagner le temps nécessaire à la collecte des informations sur l’infrastructure de l’organisation. De fausses nouvelles, destinées à intoxiquer le Hamas, ont également permis de le prendre par surprise et d’accroître le nombre des victimes de l’organisation lors des premières frappes.
Par Barak Ravid, Haaretz, 31 décembre 2008
Une préparation de longue durée, une collecte minutieuse d’informations, des discussions secrètes, des opérations visant à tromper et induire en erreur l’opinion publique - tels sont les éléments à l’arrière plan de l’opération « Plomb Durci » menée par l’armée israélienne contre des cibles du Hamas dans la bande de Gaza qui a débuté samedi matin.
L’effort de désinformation, selon des responsables de la défense nationale, a pris le Hamas par surprise et a permis d’accroître de manière significative le nombre de ses victimes durant les bombardements.
Des sources appartenant à l’appareil de la défense nationale indiquent que le ministre de la Défense Ehud Barak a chargé l’armée israélienne de se préparer à l’opération voilà plus de six mois, bien qu’Israël ait commencé à négocier un accord de cessez-le-feu avec le Hamas. Selon ces sources, Barak avait affirmé que si cette trêve permettrait au Hamas de se préparer à une confrontation avec Israël, l’armée israélienne avait elle aussi besoin de temps pour s’y préparer.
Barak a donné l’ordre de procéder à une vaste collecte de renseignements pour cartographier l’infrastructure des services de sécurité du Hamas, ainsi que celles des autres organisations de militants opérant dans la bande de Gaza.
Cet effort dans la collecte de renseignements a permis d’obtenir des informations sur les bases permanentes, les silos d’armes, les camps d’entraînement, les maisons de hauts fonctionnaires et la localisation d’autres installations.
Le plan d’action qui a été mis en œuvre pour l’opération « Plomb Durci » était encore à l’état de projet il y a encore un mois de cela, lorsque les tensions ont augmenté après que les forces armées aient effectué une incursion dans la bande de Gaza durant le cessez-le-feu. L’opération visait un tunnel qui, selon l’armée, avait pour but de permettre aux militants palestiniens d’attaquer les soldats israéliens.
Le 19 novembre, après que des dizaines de roquettes Qassam et d’obus de mortier aient explosé sur le sol israélien, le plan a été soumis à Ehud Barak pour approbation finale. Jeudi 18 décembre, le Premier ministre Ehud Olmert et le ministre de la Défense se sont réunis au quartier général de l’armée, au centre de Tel-Aviv, pour approuver l’opération.
Ils ont toutefois décidé de mettre l’opération en attente afin de voir si le Hamas cesserait ses tirs après l’expiration du cessez-le-feu. Ils ont donc remis à plus tard la soumission de ce plan à l’approbation du Conseil des Ministres, mais ont cependant informé le ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni de l’évolution de la situation.
Cette nuit-là, s’adressant aux médias, des sources proches du Premier Ministre ont déclaré que « si les tirs depuis la bande de Gaza continuent, la confrontation avec le Hamas serait inévitable. » Durant le week-end, plusieurs ministres du cabinet Olmert se sont dressés contre lui et contre Barak, leur reprochant de ne pas riposter aux tirs de roquettes Qassam du Hamas.
« Ce genre de bavardage aurait rendu Entebe ou la guerre des Six Jours impossible », avait alors déclaré Barak en réponse à ces accusations. Le Conseil des Ministres a finalement été convoqué le mercredi suivant, mais le cabinet du Premier ministre a désinformé les médias en leur indiquant que le débat porterait sur le djihad mondial. Les ministres n’ont appris que le matin que le débat aurait effectivement trait à l’opération dans la bande de Gaza.
Dans son compte rendu du débat, le cabinet du Premier ministre n’a consacré qu’une ligne à la situation dans la bande de Gaza, contre une pleine page concernant la mise hors la loi de 35 organisations islamiques.
Ce qui s’est effectivement déroulé durant la réunion du Conseil des Ministres, c’est une discussion cinq heures au sujet de l’opération, au cours de laquelle les ministres ont entendu un exposé sur les différents projets et plans d’action. « Ce fut un examen très détaillé », a déclaré un ministre.
Il ajoutait : « Tout le monde comprenait parfaitement dans quel genre de période nous entrions et à quel genre de scénarios cela pouvait conduire. Nul ne peut dire qu’il ou elle ne savait pas ce sur quoi il votait ». Ce ministre a également indiqué que la discussion avait montré que les leçons de la Commission Winograd sur la performance des décideurs au cours de la Deuxième guerre du Liban en 2006 avaient été « complètement intégrées. »
À la fin de la discussion, les ministres ont voté à l’unanimité en faveur de l’attaque, laissant au Premier ministre, au ministre de la Défense et au ministre des Affaires étrangères le soin de déterminer le moment choisi.
Alors que Barak travaillait sur les derniers détails avec les responsables de l’opération, Livni s’est rendue au Caire pour informer le président égyptien, Hosni Mubarak, qu’Israël avait décidé de frapper le Hamas.
En parallèle, Israël a continué à émettre des messages de désinformation en annonçant qu’il ouvrirait les points de passage de la bande de Gaza et que Olmert devrait décider de l’opportunité de lancer les frappes après trois délibérations supplémentaires devant prendre place le dimanche - soit le lendemain du jour où l’ordre de lancement de l’opération a été donné.
« Le Hamas avait évacué tout le personnel de son quartier général après la réunion du Conseil des Ministres du mercredi, » indique un fonctionnaire du ministère de la défense, « mais l’organisation a rappelé ses gens quand ils ont entendu dire que tout avait été mis en attente jusqu’au dimanche. »
La décision finale a été prise le vendredi matin, lorsque Barak s’est entretenu avec le chef d’état-major Gabi Ashkenazi, le chef de la sécurité du Shin Bet, Yuval Diskin et le chef de la Direction du Renseignement Militaire, Amos Yadlin. Barak a tenu une réunion avec Olmert et Livni plusieurs heures plus tard pour une dernière réunion, durant laquelle le trio a donné ses ordres à l’armée de l’air.
Le vendredi soir et le samedi matin, les dirigeants de l’opposition et des personnalités politiques ont été informés de l’imminence de l’attaque, y compris le président du Likoud Benjamin Netanyahu, Avigdor Liebermen pour Yisrael Beuiteinu, Haim Oron pour le Meretz et le Président Shimon Peres, ainsi que la Présidente de la Knesset Dalia Itzik.