Posté : 13 oct.06, 00:50
ce n'est pas en menaçant que tu va aller loin... (alors pourquoi les musulmans associent-ils le coran et mahomet à allah?)
Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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Si le paradis existe, l'enfer aussi, libre a toi de croirre ou non.Andalou a écrit : Je ne crois pas a l'enfer ...
Et ça c'est le point de vue de ta dictature religieuse qu'est l'Islam...
Je ne crois pas non plus au paradis tel que vu dans le christianisme ou l'islam.FRANCOIS84 a écrit : Si le paradis existe, l'enfer aussi, libre a toi de croirre ou non.
J'ai pas compris...zered a écrit :ce n'est pas en menaçant que tu va aller loin... (alors pourquoi les musulmans associent-ils le coran et mahomet à allah?)
http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/une_app ... igines.aspOn voit que le discours historique sur les débuts de l'islam n'est pas anodin. Il ne cherche pourtant aucunement à donner des leçons de religion. C'est aux communautés croyantes de gérer leur destin. Mais comme toutes les grandes religions, l'islam a une histoire réelle faite de développements, de ruptures et de fractures dont on n'aime guère à se souvenir, quitte à s'inventer, dans un certain nombre de cas, un passé de substitution. Pour moi, la tâche des historiens est d'investir le champ d'une histoire tout simplement humaine.
Pourriez-vous nous indiquer quelques exemples historiques ?
Ainsi en va-t-il également de certains rituels dont on s'imagine à tort qu'ils sont primitifs alors que c'est la pratique collective dominante qui a fini par les imposer. L'actuel sacrifice du mouton qui clôt le pèlerinage musulman est censé commémorer le sacrifice d'Abraham ; il correspond en fait à une pratique proche-orientale qui s'est vraisemblablement imposée seulement après la conversion des populations concernées. Les Arabes d'Arabie, en tant que grands pasteurs, sacrifiaient des chameaux ! Quant à la connexion abrahamique du sacrifice et du pèlerinage, elle est ignorée par le Coran.
Tu fais bien de le dire... il ne faut surtout pas prendre au pied de la lettre les mythes islamiquesFRANCOIS84 a écrit :
Tous dépend de la personne qui nous transmet l'histoire.
Tu veux faire croire a qui encore cette histoire de gros sous ?FRANCOIS84 a écrit :
Oui, il refuser car sinon l'empire aurait pu se ruiner, plus d'impot.
Y compris les djinns sans douteFRANCOIS84 a écrit :
La protection contre tous type de dangers.
Certains ? Dis plûtot que depuis le premier jour c'est bien plus l'appât du gain que la diffusion de la "nouvelle religion" qui a mu les armées arabes oui...FRANCOIS84 a écrit :
C'est l'une des plus grosse erreur qu'on fait les musulmans certain ont été attiré par le gain.
Je ne défend pas les "excès" de la reconquista, maintenant en tant qu'espagnol je la trouve légitime, elle n'est que la reconquête d'un territoire perdu a un envahisseur illégitime, et donc la reconquista était le bon droit du peuple espagnol.antique a écrit :Je n'ai pas dit que TU défendais la reconquista ou l'inquisition. Et je n'ai pas eu le loisir de visiter ton site de référence ni de me renseigner ces auteurs éminents que tu cites pour savoir ce qu'ils en pensent.
Mais je tenais à le préciser car c'est un travers "latent" assez fréquent. Il y a tellement de non-dits si lourds de sens dans ce monde. Un peu de clarté explicite ne fera jamais de mal.
Il faudrait mieux parler des excès... d'après la fin de la Reconquista.antique a écrit :Uoi, pardon. les exces de la reconquista. Pas la reconquète militaire et territoriale elle-même. Mais justement reconquista est un mot valise qui en dit bien plus long que le mot lui même.
Saint Rodrigue
Martyr de Cordoue (+ 857)
et saint Salomon de Cordoue. Ils étaient trois frères vivant à Cordoue sous la domination arabe. Deux étaient chrétiens et le troisième était musulman. L'un des deux se prit de querelle avec le musulman. Le troisième qui est prêtre, cherche à les réconcilier, mais les deux, à leur tout, le prennent à partie et le laissent sans connaissance. Le musulman répand alors le bruit de la conversin de Rodrigue. Revenu à lui, Rodrigue va cacher sa honte dans la montagne. Mais les diffciultés familiales ne sont pas pour autant terminées. Un jour qu'il descend en ville, son frère musulman le reconnaît et cherche à le convertir à l'Islam. Devant son refus, il l'accuse devant les tribunaux d'être un apostat. Ce qui lui vaut d'être condamné à mort. En prison, Rodrigue fait connaissance d'un autre chrétien, Salomon, lui aussi condamné à mort. Ils sont tous deux décapités le même jour.