Oui je suis de l'Outaouais, et fière de l'être
Bien sûr!
Je suis moi-même né à Ottawa… par contre, j’ai grandi près de Québec.
En Outaouais, faut faire sûr de pas se faire lutter!
en passant, vient voir nos beaux musé, nous avons celui de la civilisation, et un autre l'autre bord de la rivière qui est plein d'ossement et de squelettes, et de dinausores !
Ah si seulement j’avais le temps! Mais je passe pas par là très souvent. Parfois pour allez voir des amis et de la famille…
En ce qui a trait au 'timing' et à la 'datation', j'ai déjà un poste à ce sujet. De plus, il serait fort intéressant que tu puisse aussi poster un de tes propres recherche sur les méthode de datations des plus récentes, telles celles du lazer, et des nouvelles recherches sur la datation par carbon qui est cause de soit rapporcher, ou de soit repousser les dates. Elle est de nos jours un gros sujet de controverse parmis les antropholoques, les archéologues, et les érudits religieux.
Les méthodes de datation ne sont pas si controversée que ça…
Voici 11 méthodes de datation différentes :
« Méthodes de datation
tiré de l'encyclopédie Encarta 1997 de MicroSoft
(voir aussi le site de Planète Terre)
Stratigraphie
L'échelle relative était conçue d'après les principes de la stratigraphie ; par exemple, la loi de superposition décrit simplement que, dans une succession non perturbée de strates, les lits de roches supérieurs sont plus récents que les lits inférieurs.
Les strates de roches de différentes régions ont été mises en corrélation selon les fossiles qu'elles contiennent. En réalisant une multitude de corrélations, les géologues ont pu créer de grands groupes de strates, qui sont devenus la base de la division des temps géologiques. Ainsi, l'histoire de la Terre a été divisée en quatre grandes ères : le Précambrien, le Paléozoïque, le Mésozoïque et le Cénozoïque. Ces ères ont été à leur tour divisées en plusieurs périodes.
Dendrochronologie
Cette méthode, qui date les événements du passé récent, utilise le nombre, la profondeur et la densité de la croissance annuelle des cercles dans le bois des arbres les plus anciens. Des index permettent aux dendrochronologues de dater avec précision les événements et les conditions climatiques des dernières 3 000 à 4 000 années.
Analyse de varves
L'une des méthodes les plus anciennes de datation, l'analyse de varves, a été mise au point par des scientifiques suédois au début du XXe siècle. Une varve est un lit sédimentaire, ou succession de lits, déposé au cours d'une année dans une étendue d'eau immobile. Le nombre de varves et leur corrélation entre différents sites ont été utilisés pour déterminer les âges des dépôts glaciaires du Pléistocène. En connaissant le taux de sédimentation et le nombre de strates déposées après un événement géologique, les géologues peuvent déterminer l'âge de cet événement.
Datations absolues
Hydratation de l'obsidienne
Cette méthode est employée pour calculer les âges en années d'objets en obsidienne, ou de verres volcaniques récents, en déterminant l'épaisseur des couches (hydratées) produites par la vapeur d'eau qui a diffusé dans le verre lorsque sa surface a été exposée pour la première fois à l'air (fracture du verre volcanique, ou sculpture pour les objets). Cette méthode est applicable à ces types de verres vieux de 200 à 200 000 ans.
Thermoluminescence
Cette méthode utilise le phénomène des radiations ionisantes naturelles. Celles-ci peuvent créer des électrons libres dans les minéraux qui sont piégés dans des défauts de leur structure cristalline. Ces électrons piégés s'échappent par thermoluminescence lorsqu'ils sont chauffés à une température inférieure à celle de l'incandescence. En enregistrant la thermoluminescence d'un minéral qui a été exposé à un niveau de radiation constant, le dernier drainage des électrons piégés peut être ainsi daté sur plusieurs centaines de milliers d'années. Pour dater de la poterie, par exemple, le spécimen est chauffé : il restitue alors par thermoluminescence l'énergie qu'il a stocké dans ses défauts cristallins depuis le moment où il a été cuit.
Datations radiométriques
Les techniques radiométriques ont été mises au point après la découverte de la radioactivité en 1896. On a découvert que les éléments radioactifs instables avaient des taux réguliers de désintégration et pouvaient ainsi constituer des « horloges » virtuelles des roches de la Terre qui les contiennent.
Théorie de base
Les éléments radioactifs comme l'uranium (U) et le thorium (Th) se désintègrent naturellement pour former d'autres éléments ou des isotopes.
Cette désintégration est accompagnée d'émission de particules (alpha ou bêta) et/ou de rayonnements (rayons X ou gamma). Certains isotopes se désintègrent en une seule étape en produits stables, nommés isotopes fille (par exemple, le carbone-14), alors que d'autres subissent de nombreuses étapes avant qu'un isotope stable soit formé. Les suites de désintégrations radioactives comprennent, par exemple, les familles de l'uranium-235, de l'uranium-238 et du thorium-232. Lorsqu'un isotope fille est stable, il s'en forme jusqu'à ce que l'isotope parent se soit totalement désintégré. Cependant, si un isotope fille est radioactif, l'équilibre est atteint lorsque la vitesse de formation de l'isotope fille est égale à la vitesse de désintégration de l'isotope parent.
La désintégration radioactive peut prendre différentes formes : désintégration alpha, bêta, par capture d'électron. Ces différents modes de désintégration s'accompagnent parfois de l'émission d'ondes électromagnétiques (X ou gamma) de grande énergie.
Les scientifiques caractérisent la radioactivité d'un élément par son temps de demi-vie, ou période radioactive. C'est le temps au bout duquel la moitié des nucléides de l'élément se sont désintégrés. Par exemple, la période radioactive du carbone-14 est de 5 730 ans ; celle de l'uranium-238 est de 4,5 milliards d'années.
Les techniques de datation radiométrique sont basées sur des suites de désintégration d'isotopes avec des taux constants. Lorsqu'un élément radioactif s'est incorporé dans un minéral en formation, l'élément commence à se désintégrer à un taux constant, avec un pourcentage défini de « produits filles » pour chaque intervalle de temps. Ces « horloges rocheuses » sont les montres des géologues.
Carbone-14
Les techniques de radiochronologie au carbone, mises au point pour la première fois par le chimiste américain Willard Libby et ses associés de l'université de Chicago en 1947, ont été fréquemment utilisées en archéologie, en anthropologie, en océanographie, en pédologie, en climatologie et en géologie.
À travers l'activité métabolique, le taux de carbone-14 dans un organisme vivant est constamment en équilibre avec le taux de carbone-14 dans l'atmosphère et/ou l'océan. À la mort d'un organisme, le carbone-14 commence à se désintégrer à une vitesse connue, et il n'est plus remplacé par le carbone atmosphérique. La désintégration rapide de carbone-14 limite généralement la période de datation approximativement à 50 000 ans, bien que cette méthode soit parfois étendue à 70 000 ans. L'incertitude sur la mesure augmente avec l'âge de l'échantillon.
La précision de la datation dépend de la mesure de la période radioactive, des variations des taux de carbone-14 atmosphérique et de la pollution : le temps de demi-vie du radiocarbone a été redéfini de 5 570 ± trente ans à 5 730 ± quarante ans en 1962 ; on a montré dernièrement que la quantité de carbone-14 produite en haute atmosphère avait subi des variations au cours du temps, liées aux variations du champ magnétique terrestre. L'échelle de temps du radiocarbone présente d'autres inconvénients : des erreurs, de 2 000 à 5 000 ans, peuvent se produire. Enfin, une pollution de l'échantillon, qui est le problème le plus grave, peut être causée par des infiltrations d'eaux souterraines par l'incorporation de carbone plus ancien ou plus récent. Ainsi, les datations au carbone sont donc difficiles à établir avec précision.
Potassium-argon
La désintégration radioactive d'isotopes de potassium en argon est très utilisée pour dater les roches. Les géologues sont capables de dater de nombreux types de roches de cette façon, car le potassium-40 est abondant dans les micas, les feldspaths et les hornblendes. L'évaporation de l'argon peut poser un problème si la roche a été exposée à des températures supérieures à 125 °C. En effet, l'âge mesuré reflète le dernier épisode d'exposition à la chaleur plutôt que l'âge originel de formation de la roche.
Rubidium-strontium
Utilisée pour dater les roches magmatiques et les roches métamorphiques ainsi que les échantillons lunaires, cette méthode est fondée sur la désintégration bêta du rubidium-87 en strontium-87.
Thorium-230
La méthode des proportions de thorium permet de dater les sédiments océaniques plus anciens que ceux accessibles par les méthodes de datation au carbone. L'uranium présent dans l'eau de mer donne lieu à une suite de désintégrations qui aboutit au thorium-230 (également nommé ionium), dérivé de l'uranium-238, qui a une demi-vie de 80 000 ans, et au protactinium-231, dérivé de l'uranium-235, qui a une demi-vie de 34 300 ans. Tous deux radioactifs, ils sont précipités dans les sédiments marins dans les mêmes proportions mais à des taux différents. Leur proportion respective change régulièrement avec le temps, montrant des différences d'autant plus importantes que les sédiments sont anciens. Une échelle de temps peut être mise au point de cette manière.
Dans la méthode utilisant le déficit en thorium-230, l'âge des coquillages ou des coraux fossilisés datant de 10 000 à 250 000 ans est fondé sur le fait que l'uranium-238 et l'uranium-224, entrés dans la composition du carbonate lors de sa formation ou de son enfouissement, ne sont pas encore à l'équilibre avec le thorium. Des relations de déséquilibre identiques peuvent être utilisées pour dater les carbonates dans les sols. Cette méthode est un complément à celle du carbone-14.
Plomb
La datation plomb-alpha, ou de Larsen, est estimée par spectrographie en déterminant le contenu total de plomb et l'activité alpha (teneur en uranium-thorium) de la zircone, de la monazite ou de la xénolite. Elle est appliquée aux roches formées après le Précambrien. Dans la méthode uranium-plomb, l'âge d'un matériau géologique est calculé d'après les taux de désintégration radioactive connus de l'uranium-238 en plomb-206 et de l'uranium-235 en plomb-207. Couplé aux taux de désintégration du thorium-232 en plomb-208, trois âges indépendants peuvent être obtenus pour le même échantillon. Cette méthode s'applique principalement aux matériaux d'âge précambrien.
Traces de fission
La méthode de datation par traces de fission concerne les dommages radioactifs causés par des particules nucléaires dans un minéral (ou verre) par la fission spontanée des impuretés d'uranium-238. La datation est calculée en comparant la densité de traces de fission spontanée avec des traces de fission induite volontairement. Cette méthode s'applique bien aux micas, aux tectites et aux météorites. Elle a été employée pour permettre de dater des périodes allant de 40 000 années à 1 million d'années, intervalle qui n'est pas couvert par le carbone-14 ou les méthodes potassium-argon. Cependant, les roches soumises à des températures élevées ou exposées au bombardement des rayons cosmiques à la surface de la Terre peuvent donner des âges erronés. »
En Alberta, nous avons des puits béthumineux ! L'on y retrouve de fossils. Évidemment.
Des faits supplémentaires appuyant l’évolution finalement…
A+
Sherkan