Posté : 27 janv.08, 21:58
Les publications de la ‘Watch Tower’ présentent les personnes n’acceptant plus les enseignements de l’organisation comme des gens prompts à l’émotion négative, fiers, rebelles, trop orgueilleux pour participer au porte à porte.
‘Si tu pars, tu es un homme mort (spirituellement parlant).’ Pourquoi brandir une telle menace ? En faisant ainsi, on isole la personne en pleine réflexion à propos de l’organisation. En [b]‘éliminant’ la personne entretenant des doutes on évite toutes discussions[/b] entre elle et les membres encore sains ; plus de dangers d’amener d’autres individus de penser librement, d’évoquer des thèmes considérés comme impensables par l’organisation.
Des hommes et des femmes se sont permis de contester certaines règles de l’organisation ou certains enseignements ; ils ont été privé de leur droit d’expression auprès d’amis ou de parents témoins comme eux, leur nom et leur réputation ont été entachés, souillés ; ils ont été dépouillés de l’affection et du respect acquis au cours de leur vie. Parfois ils ont même vu leur propre famille leur tourner le dos. Tout cela est justifié par les règles de l’organisation.
Il n’y a pas d’effusion de sang, ni de meurtre au sens stricte du terme, mais des hommes et des femmes, bien inoffensif ont été comme ‘poignardés’ dans le dos par des accusation malveillantes ressemblant fort à du lynchage, laissés pour, morts spirituellement, aux yeux de leurs connaissances ; leur crime est d’avoir suivi leur conscience.
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‘Si tu pars, tu es un homme mort (spirituellement parlant).’ Pourquoi brandir une telle menace ? En faisant ainsi, on isole la personne en pleine réflexion à propos de l’organisation. En [b]‘éliminant’ la personne entretenant des doutes on évite toutes discussions[/b] entre elle et les membres encore sains ; plus de dangers d’amener d’autres individus de penser librement, d’évoquer des thèmes considérés comme impensables par l’organisation.
Des hommes et des femmes se sont permis de contester certaines règles de l’organisation ou certains enseignements ; ils ont été privé de leur droit d’expression auprès d’amis ou de parents témoins comme eux, leur nom et leur réputation ont été entachés, souillés ; ils ont été dépouillés de l’affection et du respect acquis au cours de leur vie. Parfois ils ont même vu leur propre famille leur tourner le dos. Tout cela est justifié par les règles de l’organisation.
Il n’y a pas d’effusion de sang, ni de meurtre au sens stricte du terme, mais des hommes et des femmes, bien inoffensif ont été comme ‘poignardés’ dans le dos par des accusation malveillantes ressemblant fort à du lynchage, laissés pour, morts spirituellement, aux yeux de leurs connaissances ; leur crime est d’avoir suivi leur conscience.
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