a écrit :Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: tout juif qui verse le sang d'incroyants (non-juifs) revient à la même chose qu'une offrande à dieu.
Talmud, Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de mort.
Talmud, Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à dieu.
Talmud, Sanhedrin 57a: si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu'un juif vole d'un non-juif, il peut le garder.
Talmud, Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un Non-juif, ce n'est pas un
péché.
Talmud, Zohar I, 25a : Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres.
almud, Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la vie d'un non-juif.
Talmud, Zohar II, 43a : L'extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu.
Talmud, Zohar I, 25a : Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres.
Talud, Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres.
anhédrin, 67a : Jésus est désigné comme le fils de Pandira (Panthera).
– Kallah, 1b. (18b) : Jésus, fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère.
– Sanhedrin, 67a : Jésus, pendu la veille de la Pâque.
– Toldath Jeschu : Naissance de Jésus relatée dans les circonstances les plus honteuses.
– Abhodah Zarah II : Désigné comme le fils de Pandira, un soldat romain.
– Schabbath XIV : À nouveau désigné comme le fils de Pandira, le Romain.
– Sanhedrin, 43a : À la veille de Pâque, ils pendirent Jésus.
– Schabbath, 104b : « C’était un imbécile, et personne ne doit prêter attention aux imbéciles. »
– Toldoth Jeschu : Judas et Jésus se disputent dans une querelle où volent les obscénités : « (...) Juda a pissé sur Jésus. ».
– Sanhedrin, 103a : On suggère qu’il corrompt sa moralité et se déshonore.
– Sanhedrin, 107b : Séducteur, corrupteur et destructeur d’Israël.
– Zohar III, (282) : Jésus, mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente.
– Hilkoth Melakhim : Maïmonide tente de prouver combien les chrétiens s’égarent dans le culte de Jésus.
– Abhodah Zarah, 21a : Référence au culte de Jésus ne devant pas être accepté dans les maisons, car les idoles ne doivent pas être acceptées[2].
– Orach Chaiim, 113 : Il ne faut pas donner l’impression qu’on pourrait avoir du respect pour Jésus.
– Iore dea, 150, 2 : Ne pas donner par accident l’impression d’avoir du respect pour Jésus.
– Abhodah Zarah (6a) : C’est un faux enseignement de rendre un culte à Dieu le premier jour suivant le sabbat.
– Sanhedrin (58b) : Frapper un Juif, c’est comme gifler la face de Dieu lui-même.
– Chagigah (15b) : Un Juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.
– Gittin (62a) : Un Juif ne doit pas entrer dans la maison d’un chrétien un jour de fête.
– Choschen Ham. (26, 1) : Un Juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal chrétien, par un juge chrétien, ou par des lois chrétiennes.
– Choschen Ham (34, 19) : Les chrétiens et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès.
– Iore Dea (112, 1) : Ne pas manger avec les chrétiens, cela engendre la familiarité.
– Abhodah Zarah (35b) : Ne pas boire du lait tiré par un chrétien.
– Iore dea (178, 1) : Ne jamais imiter les coutumes des chrétiens, même simplement par la coiffure.
– Abhodah Zarah (72b) : Il faut jeter le vin s’il a été touché par un chrétien.– Iore Dea (120, 1) : La vaisselle acheté à des chrétiens doit être jetée.
– Abhodah Zarah (2a) : Il faut stopper tout contact avec les chrétiens trois jours avant le début de l’une de leurs fêtes.
– Abhodah Zarah (78c) : Les fêtes de ceux qui suivent Jésus sont de l’idolâtrie.
– Iore Dea (139, 1) : Il est interdit d’avoir le moindre contact avec les idoles qu’utilisent les chrétiens pour leur culte.
– Abhodah Zarah (14b) : Il est interdit de vendre aux chrétiens des articles qu’ils pourraient utiliser pour leur culte.
– Iore Dea (151, 1) H. : Ne pas vendre de l’eau à un chrétien, s’il va l’utiliser pour un baptême[7].
– Abhodah Zarah (2a, 1) : Ne faire aucun commerce avec les chrétiens pendant leurs jours de fête.
– Iore Dea (148, 5) : S’il est connu que le chrétien n’est pas pratiquant, on peut lui envoyé des cadeaux.
– Hilkoth Akum (IX, 2) : Il ne faut envoyer de présent à un chrétien que s’il est irréligieux.
En tout cas ces écrits sentent l'humain rempli de haine à plein nez et certainement pas le Dieu de miséricorde.
Si vous en avez une copie afin que je me frotte le derrière avec, je suis preneur.
Non je plaisante, ce serait un usage encore trop noble...
