medico a écrit :
ça prouve que la terre n'est pas plate comme certains l'affirmaient dans les temps passés . donc la remarque de JOB est scientifiquement exacte.
Comme d'habitude Mr Medico ne lit pas ou plutot ne comprend pas (ce n'est pas de sa faute) les messages postés
Mr Medico prefere répeter comme un perroquet ce que dit la WT, qu'il considère comme parole d'évangile
Enfin pour sortir des phrases convenues, pour rappel :
il suffit de replacer le verset dans son contexte immédiat :
«…. jusqu’à la limite entre la lumière et les ténèbres.
Les colonnes du ciel s’ébranlent et s’étonnent à sa menace. » (v.10 et 11),
et plus généralement dans le contexte du livre de Job tout entier, où l’univers physique est décrit dans une
conception ancienne :
le firmament (Job 37:18) : « Peux–tu comme lui étendre une voûte de nuées, aussi
solides qu’un miroir de fonte ? »,
la demeure de Dieu dans les cieux des cieux (Job 36:29),
les piliers de la terre (Job 9:6, 38:4-6) : « Où étais–tu quand je fondais la terre ? Déclare–le, si tu le sais avec ton intelligence. Qui en a fixé les mesures, le sais–tu ? Ou qui a étendu sur elle le cordeau ? Dans quoi
ses bases sont–elles enfoncées ? Ou qui en a posé la pierre angulaire.»
Medico enlevez les lunettes de la WT

et lisez et tentez de comprendre.
Ainsi l’idée de la terre sphérique apparaît pour ce qu’elle est véritablement : une projection de nos connaissances actuelles sur le texte.
Le
cercle dont il est question dans Job 26 :7 est bien
un cercle en deux dimensions et non une sphère. Ce verset décrit la terre telle que les anciens peuples du Proche Orient la voyaient :
un disque plat sur un océan (les eaux d’en bas).
« De plus, le verbe talah, qui est traduit par «
suspendre » dans Job 26 :7, apparaît dans le contexte de la suspension d’un objet comme celle d’un
ustensile à un piton (Esaïe 22 :24), d’armes sur un mur (Ez 27 :10) ou d’une lyre sur un arbre (Ps 137 :2). Ce verbe ne fait pas référence à une suspension dans l’espace vide, mais au fait d’accrocher quelque chose au bout d’une perche. » (
Denis Lamoureux Evolutionary Creation p133.)