Bonjour MLP,
Farore97 a écrit :Entre ta notion d'amour et l'indifférence ... il va bien falloir que tu m'explique entre les deux la différence.
MonstreLePuissant a écrit :L'amour impose que tu protèges la liberté des plus faibles. Tu ne peux pas laisser quelqu'un abuser de sa liberté. C'est un acte d'amour que de mettre fin à cet abus. Si tu es indifférent, alors tu passes ton chemin sans regarder et sans intervenir.
ah ! Interessant, déjà il y a une notion de servitude et de devoir qui rentre en jeu dans ta notion, et en plus une notion qui est limité par une capacité, parce qu'elle demande à être respécté au mieux. La je suis d'accord.
Et le plus faible, peux tu lui permettre d'être asservi par un manque dont les autres en sont la cause ? Un manque d'amour ?
Tu sais un Mon topic prends le Nom de devoir aimer (et je risque de le dire aussi à Navam). Mais le devoir, ne permet il pas à quiconque d'avoir le droit d'être aimé des autres ? N'est ce pas là une forme de liberté que je permet au travers un devoir ?
Farore97 a écrit :Sache que l'amalgame que tu lances est très grave et absolument subjectif. C'était l'argument utilisé justement par Hitler pour amorcer le génocide alors qu'il n'en savais foutrement rien. Dit toi que j'ai mis ça sur copie de dissertation et bien je m'en suis rappelé parce que j'ai eu zéro à cause de diffamation.(je dois encore l'avoir avec un peu de chance...)
Mais si l'argument de la finance est le seul soutien de ton disours (qui n'est pas le tien d'ailleurs), sache que le reste de l'aristocratie de l'empire qui s'est effondré avant la naissance de la république de Weimar, aurait très bien pu faire le job. Ca été le cas en Russie. Ca a été le cas en France. Pourquoi ça n'a pas été le cas en Allemagne ?
Tu sais les choses n'ont parfois pas d'explication autre que le simple facteur de la liberté humaine, c'est tout...
MonstreLePuissant a écrit :La question n'est pas de savoir si c'était vrai ou pas, mais si c'est ce que les allemands ont cru, et qui les a motivé. Les discours politiques servent toujours des intérêts particuliers.
Mais tu ne m'explique toujours pas pourquoi on a hait les juifs et pas les aristocrates de l'ancien Empire Germanique.
Farore97 a écrit :C'est bien habilement parlé pour faire oublier le sujet de départ tout ça mais tu passe à côté de ce que j'essaye de te montrer : malgré nos différence, je te montre qu'on a une origine commune et que malgré nos différences, nous avons tous un même but que nous accomplissons à travers nos diverses destinée. Et si le sgens s'aimait, cela ne pourrai que mieux allé.
MonstreLePuissant a écrit :Avec des "et si", on peut tout imaginer. Mais dans le monde réel, comme je te l'ai déjà dit, les ressemblances ne sont pas suffisantes. Nous vivons dans un monde de dualité et de contraste. Notre monde est construit sur des oppositions, que tu le veuilles ou non. L'homme et la femme ont beaucoup de ressemblances, mais il est impensable d'imaginer que l'un fonctionne de façon identique à l'autre. Cette simple réalité devrait te faire prendre conscience que la différence est à la base de notre développement intellectuel. Ca s'appelle l'identité.
L'Homme et la femme se complète : c'est en ce sens qu'il se ressemblent, et qu'ils accomplissent ensemble une destinée commune. Notre Monde est construit sur des oppositions : c'est cela que je lui reproche effectivement. Et c'est cela que je souhaiterais changer. La menace a toujours su fédérer les Hommes.
Regarde les ciel étoilé. C'est dans les plus grandes ténèbres que les étoiles brillent le plus. Et pourtant, ce paysage ne peut être plus pacifique et plus harmonieux, même si le contraste en émerge !
Pourquoi ?
Parce qu'il est imbriqué de sorte qu'il participent à quelque chose de commun ; l'univers !
L'humanité, lorsqu'elle lève les yeux le soir vers le firmamant, ne cherche qu'à ressembler à ce ciel, MLP.
Farore97 a écrit :A l'exception du fait que devenir heureux ne se choisit pas
MonstreLePuissant a écrit :Première erreur ! Le bonheur ne tombe pas du ciel. Tu as intérêt à travailler pour, sinon tu pourras toujours attendre.
Personne, ni toi même n'est garrant de ton propre bonheur. Tu peux y traviller. Tu peux garder espoir de un jour le trouver. Mais être heureux c'est quand on a trouvé le bonheur qui se trouve dans un état de stabilité... Et le monde d'aujourd'hui est loin d'être équilibré.
Car tout le monde n'a pas forcément droit à l'amour, vois tu !
Farore97 a écrit :Je suis heureux quand il m'est donné d'admirer l'autre dans sa singulière incarnation. Mais je vois aussi des gens qui se morfondent dans le manque. Et qui n'ont que faire du bonheur de l'autre parce qu'il pense comme toi : moi d'abord et les autres ensuite ! Et qui ne voit rien autour que eux même. Et ils veulent le devenir mais ils attendent patiemment le miracle, parce qu'ils sont desespérés et ne savent que faire. Ils appellent inconsciemment à l'aide, MLP. Mais nul n'aura le courage de te dire en face je suis malheureux que dois-je faire, sous peine de se prendre un "que veux tu que j'y fasse ?".
MonstreLePuissant a écrit :Deuxième erreur : j'aide des gens qui sont malheureux justement, et quand je l'étais moi même, je suis allé vers des gens qui m'ont appris comment trouver mon bonheur. Ils ne m'ont jamais rejeté, bien au contraire. Car c'est très gratifiant de pouvoir montrer le chemin après l'avoir soi même trouvé.
A l'exception du fait que dans ta vision à toi, tu mène le collectif vers une voie autre que l'unité : tu l'amène à se démenteler en individus autosuffisants. C'est une forme de "je montre mes différence avant tout et respecter les !". Je ne dis pas, je n'ai rien contre la différence, mais j'ai horreur quand on veut les mettre au premier plan. Ce n'est en rien constructif, et ça met des bâtons dans les roues de partout. C'est un recul très fort pour ce qui est de l'ensemble humain, car il perd de sa force et de sa cohésion. Il est toujours possible de les faire coexister avec les autres, mais il faut avoir la sagesse surtout de les mettre de côté et de les sortir en temps voulu.
Farore97 a écrit :La plus grande liberté est celle où la part de servitude envers autrui existe : c'est le principe du droit et du devoir. La liberté est une chose importante... mais elle ne fait pas tous dans la vie.
MonstreLePuissant a écrit :
Si tu veux être esclave des autres, ça te regarde. Moi ce genre de relation à autrui ne m'intéresse pas et ne m'apporte rien.
Je ne suis pas du genre à penser que j'ai tous les droits et aucun devoir. Je suis du genre à penser que ma liberté vaut celle des autres. Les autres n'ont donc pas plus de devoir envers moi que je n'en ai envers eux. Je ne peux que les aimer, et ça c'est gratuit.
Et pourtant tu en as envers eux comme eux en ont envers toi. Le devoir est la servitude, que tu le veuille ou non. S'il n'y a pas de servitude alors, il n'y a, ni devoir, ni droit, ni liberté !
Farore97 a écrit :

Non ! attends tu dérape HS : soit tu es en train de fuir soit tu ne comprends pas très bien. Je réitère ma question pour exiger une réponse claire de toi. Je suis riche et je laisse les Hommes pauvres... Conclusion : Je les aime ?
MonstreLePuissant a écrit : Oui, dans la mesure où je ne les prive pas de leur liberté. Tu crois vraiment qu'aimer signifie faire devenir riches ceux qui sont pauvres?
Non effectivement ! J'ai la liberté de passer pour le plus gros des cons qui n'en a rien à foutre, garder la tune rien que pour moi, et les laisser crever de faim. Et pourtant n'avait il pas le droit de vivre, eux ? Au fond, ce genre de personne se sent dévaloriser, mépriser par les regards fuyants. Penses tu vraiment qu'ils vont demander de l'aide en pensant qu'ils abuseront de la vie d'autrui ? Ces gens sont bien trop modestes pour se relever tout seul, mais il le sont assez dès qu'ils sont mis en confiance.
Tout ne se fait pas à la demande MLP. Certaines choses, doivent se faire sans un mot.
Farore97 a écrit :L'amour ne fait pas mal quand il est présent en soi : je fais des raccourcis dsl. L'amour en général tu ne t'en pas compte quand il est présent autour de toi. Par contre le jour où il disparaît avec la personne là tu t'en rends compte. Et ce jour là, quoique tu fasse t'as l'air du plus gros des cons de toute la terre.
MonstreLePuissant a écrit :Ce n'est pas l'amour qui fait mal, mais ta dépendance vis à vis de cette personne. Pour moi, ce genre de relation manque de maturité.
Tu ne te sens dépendant de personne et cela est en soi digne d'un caratèe peu mature. Je t'invite à regearder l'envers du décors de ta vie et de jeter un œil derrière ce qui est autour de toi.
Farore97 a écrit :Le simple devoir d'amour mon ami, ne demande que juste a se donner le mal de connaître l'autre en poussant la porte qui ouvre sur son univers. Et le reste, tu ne peux qu'aimer. Parce que c'est l'aventure qui t'attend, l'imprévu et le miracle.
MonstreLePuissant a écrit :Je te souhaite bon courage pour aimer le pédophile qui a violé ta fille, quand tu te seras donné le mal de le connaître et d'ouvrir la porte de son univers de pédophile. J'imagine qu'après, tu ne pourras que l'aimer et qu'une grande aventure t'attendra.
Si il avait eu le droit d'être aimé normalement, rien de tout cela ne se serai passé !
Le pedophile est le produit de la société : une carrence affective, ou même encore un viol qu'il a lui même vécu. C'est ma haine envers le monde que je hurlerais de manière impuissante, car ça sera trop tard ! Parce que c'est un monde qui n'a pas écouté mes prières et mes solutions et qui a préférer vivre pleinement sa liberté de manière égoiste, alors que la vie d'un enfant, et la santé d'un homme malade étaient en jeu !
Et si je parle aujourd'hui, c'est pour les millions d'être et de futurs êtres qui ne finiront jamais de souffrir, et de voir leur vie où de ceux à qui ils tiennent être anéanti : tant que ne leur sera pas accordé les droits qui leur permettrons de vivre leur liberté, il y aura toujours des abus.
Donné la liberté, c'est donné aussi le droit ! Et s'est par conséquent savoir s'infliger le devoir !
mais je crois avoir lu au début me semble-il
MonstreLePuissant a écrit :L'amour impose que tu protèges la liberté des plus faibles. Tu ne peux pas laisser quelqu'un abuser de sa liberté.
Si tu aimes, fait le en leur en donnant le droit ! Fais le en accomplissant ton devoir !
cdt
Navam :
Bonjour Navam que tu es marrant, espérons seulement que tu sache mieux corriger mes fautes d'orthographe que tu ne sais lire ET comprendre.
Farore97 a écrit :
Je n'ai pas dis qu'il n'y avait pas cause a la montée du nazisme, au contraire je te l'ai dit ici. Par contre je t'ai dit que la haine envers les juifs n'a pas plus de raison d'exister que la haine envers les protestants. Toi même tu me pose la question pouruqoi pas les esquimaux. Mais en vérité c'est a toi de me repondre a cette question : parce que moi je pense qu'il n'y en a tout simplement pas.
Navam a écrit :Oui c'est ce que je disais plus haut à savoir que la haine découle de l'ignorance, qui amène à la peur qui amène à la haine ... Tu lis ce que j'écris de temps en temps ?
... Et qui amène à la souffrance et qui amène enfin aux côté obscurs de la force ^^. Mais tu ne réponds toujours pas à ma foutu question ! Pourquoi les juifs et pas d'autres personnes ? Pourquoi pas les aristocrates et noble de l'empire germanique qui sont responsabe de la misére entre 24 et 36 ?
Trouve moi une réponse et parès on reparle ^^.
Farore97 a écrit :
Mais que de faiblesse dans ton argumentation c'est incroyable. Tu ferais mieux de me corriger sur mes fautes d'orthographes, tu ecrirait des choses qui ont un intérêt sensiblement plus grands que ces paroles vides de toutes valeurs intellectuelles.
L'emission de télé que je t'ai donné n'est qu'un exemple parmis tant d'autres.
Et constitue un preuve que l'amour n'est pas scientifiquement démontable. Je peux être stimulé, sentir tout de suite une envie, un désir parce que j'ai besoin d'atteindre. Mais suis je nécessairement amoureux ? L'amour ne se fait pas que à travers les sens navam.
Navam a écrit :C'est vrai que je ferai mieux de corriger tes fautes. Au moins cela aurait un intérêt plutôt que d'essayer de comprendre ce que tu dis ... Tu te relis de temps en temps ? Bah non suis-je bête sinon il y aurait certainement moins de fautes ... Comme tu ne cesses de te contredire c'est difficile d'avancer mais bon pour l'instant je ne désespère pas encore !

Que je m'amuses à te voir te débattre dans tes répliqes que même mon petit frère de 11 ans serai me faire ! Par chance j'adore les enfants ^^. Donc je t'aimes bien tout de même (il n'empêche que même si je dois aimer j'ai des préférence^^)
Farore97 a écrit :
Tu montre juste une fois de plsuq ue tu ne comprends rien.
Parce que quand tu auras compris que l'autre ici bas sur terre est un vrai miracle et qu'il est ce qu'il y a de plus innattendu, alors peut être que les gens commenceront a s'aimer. Mais pour l'instant, la plupart ne se concentrent que sur leur propre bonheur alors qu'il est déjà a leur table, a leurs côté pour travailler, pour discuter, pour rire, pour pleurer avec toi aussi,... non ?
Navam a écrit :Tu as déjà montrer plus haut que tu ne savais pas ce qu'était le bonheur ... La preuve encore ici quand tu dis que les gens ne se concentrent que sur leur propre bonheur. Pareil quand tu dis qu'il déjà à leur côté ...
Pour information le bonheur ne dépend que de la personne elle même. Il n'est pas à chercher autre part qu'en soi. Mais merci en tout cas car tu montres bien le problème de cette société et des personnes qui croient que le bonheur est dépendant des autres et se trouve à l'extérieur. Donc rien que pour ça merci !
Pourrais tu me montrer s'il te plaît où j'ai laisser penser que je ne savais pas ce qu'étais le bonheur : parce que j'ai ici une définition de cette notion : "c'est un état de stabilité où l'homme est comblé de tout manque, que Epicure surnomme ataraxie"
Farore97 a écrit :
Et c'est parce que l'autre est un vrai miracle de la vie qu'il est digne d'être estimé au plus haut point , d'où la légitimité d'un devoir d'aimer envers l'autre.
Le simple devoir d'amour mon ami, ne demande que juste a se donner le mal de connaître l'autre en poussant la porte qui ouvre sur son univers. Et le reste, tu ne peux qu'aimer. Parce que c'est l'aventure qui t'attend, l'imprévu et le miracle.
Comme tu ne peux que le constater ma démonstration ne tombent pas à l'eau. Tu n'as tout simplement pas compris ce que tu as souligné dans mon commentaire et ce que je ne cesse de répété depuis le début.
Navam a écrit :Bon il va falloir reprendre du début parce que ton discours n'a ni queue ni tête. Tu ne cesses de t'embrouiller. C'est normal quand on se base sur des mots dont on ne connaît pas la définition.
Alors reprenons si tu veux bien ?
Que signifie le devoir d'aimer ?
Définition du mot devoir :
Donc ici nous pouvons dire que le mot devoir peut être remplacé par le mot obligation.
Donc le devoir d'aimer signifie en d'autres termes : L'obligation d'aimer !
Hors tu disais plus haut que l'amour était quelque chose d'inattendu, un miracle ...
- D'un côté nous avons l'obligation d'aimer, donc dépendant de notre volonté ou de la volonté d'une autre personne. En gros c'est comme si je te montre une personne et que je te dis "Aime cette personne, c'est une obligation !"
- D'un autre tu dis que c'est inattendu, un miracle, donc indépendant de notre volonté.
Je pense que tu devrais réfléchir à tout ça et avant tout, avant même de continuer cette discussion, tu devrais surtout te mettre d'accord avec toi-même. Mettre au clair tes idées car tu me sembles perdu.
Au plaisir !
Navam, j'ai parlé de l'autre comme un miracle et le fait de ressentir de l'amour pour ce qui est d'inattendu. Or, l'autre est un miracle : donc inattendu, non ?
Or on aime ce qui est imprévu et ce qui nous pousse à l'aventure. L'autre nous pousse souvent à l'aventure (pas tout le temps parce que des fois nous le faisons nous même).
L'autre est miraculeux et l'amour est un sentiment qui advient par le miracle.
Comme tu peux le constater, rien n'est abérrant dans ce que j'ai écrit : ma logique tient toujours debout pour celui qui sais lire autrement que de manière linéaire.
Du coup la seule chose pour laquelle tu n'arrête pas d'ouvrir le bec c'est parce que dans devoir d'aimer il y a "devoir" qui te fait peur alors qu'il ne s'agit que de se donner le mal de connaître l'autre en poussant la porte qui ouvre sur son univers. Et le reste, tu ne peux qu'aimer. Parce que c'est l'aventure qui t'attend, l'imprévu et le miracle.
Bref ... je ne suis pas sûr que ce txt puisse être compris par un enfant, alors à toi de jouer
Bien à toi