Stop ! a écrit : ↑06 nov.22, 22:55
Un argument unique pour détruire les religions ?
Le dieu des monothéismes est un dieu qui sait ce qu'il veut, au vu de l'extrême précision de ses commandements. Et qui l'a fait savoir, de façon parfois tonitruante et avec force menaces explicites. Il est également omnipotent et donc, normalement, capable de se faire comprendre de ses créatures une bonne fois pour toutes.
Or, qu'observe-t-on ?
Qu'il s'est manifesté aux hommes de trente-six façons différentes (c'est un énorme euphémisme) qui, la plupart du temps, ne concordent pas entre elles, se contredisent, conduisent les hommes à s'entretuer et à prétendre détenir individuellement la vérité. On observe aussi qu'il a eu de nombreux congénères jusqu'à ce qu'il pratique une sorte d'épuration céleste pour pouvoir rester seul à donner des ordres disparates.
Tout cela serait à mourir de rire si ce n'était pas tragique au plus haut degré par l'abrutissement de peuples entiers recherché par des dominants terrestres sans scrupules.
Pas vraiment
Les religions sont des fleuves qui se jettent dans le même Océan
Si on cherche la quintessence des religions elles se rejoignent tellement
Prière ou méditation, aumône, jeûne, et bon comportement
La Règle d’or commune à toutes les civilisations
Et l’amour du prochain
Ajouté 58 secondes après :
Judaïsme : « Tu ne te vengeras pas, ou tu ne porteras aucun grief contre les enfants de ton peuple, tu aimeras ton prochain comme toi-même : Je suis le Seigneur. » – Torah, Lévitique 19M18. (v. 538 av. J.-C.) ;
« Christianisme : « Toutes les choses donc que vous voulez que les hommes vous fassent, faites-les-leur, vous aussi, de même ; car cʼest là la loi et les prophètes.
» (Matthieu 7M12[1]), et aussi Matthieu 22M39, Luc 6M31, Luc 10M27 - Jésus de Nazareth (environ 5 av. J.- C./32) »
Islam « Aucun d'entre vous ne croit vraiment tant qu'il n'aime pas pour son frère ce qu'il aime pour lui-même. », Hadîth 13 de al-Nawawi - Muhammad
* Bouddhisme : « Ne blesse pas les autres de manière que tu trouverais toi-même blessante. » – Udana-Varga 5M18 (environ 500 av. J.-C.) ; * Confucianisme : « Ce que tu ne souhaites pas pour toi, ne l'étends pas aux autres. » – Confucius (environ 551 - 479 av. J.-C.) ;
* Hindouisme : « Ceci est la somme du devoir ; ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'ils te fassent. » – Mahabharata (5M15M17) (environ 500 av. J.-
C.)
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* Philosophie en Grèce antique : « Ne fais pas à ton voisin ce que tu prendrais mal de lui » – Pittacos de Mytilène[4] (640 - 568 av. J.-C.) et « Évite de faire ce que tu blâmerais les autres de faire » – Thalès[5] (624 - 546 av. J.-C.)
* Taoïsme : « Regarde le gain de ton voisin comme ton propre gain, et la perte de ton voisin comme ta propre perte » T'ai Shang Kan Ying P'ien, « Le sage n'a pas d'intérêt propre mais prend les intérêts de son peuple comme les siens. Il est bon avec le bon ; il est également bon avec le méchant, car la vertu est bonne. Il est croyant avec le croyant ; il est aussi croyant avec l'incroyant, car la vertu est croyante. » – Dao de jing (environ Années 600 av. J.- C.), Chapitre 49 ;
* Zoroastrisme : « La nature est bonne seulement quand elle ne fait pas aux autres quoi que ce soit qui n'est pas bon pour soi-même. » – Dadistan-i-Dinik 94M5 (environ Années 700 av. J.- C.).