Re: Origine des espèces
Posté : 12 juil.25, 16:16
Bonjour à tous,
J'ai parlé de génétique et d'épigénétique et j'ai cité un généticien dont le livre se nomme "de la génétique à Dieu" (the language of God en anglais)
Il ne s'agit en aucun cas d'étude de fossiles, d'archéologie ou je ne sais quoi d'autre mais de l'étude des ADN existants, actuels et cette étude a permis, justement, de reconstituer l'arbre du vivant, l'origine des espèces.
https://lifemap.cnrs.fr/tree?efficiency-mode=false
Francis S Collins s'appuie notamment sur l'étude des RVE (rétrovirus endogène) et des ERA ( éléments Répétitifs Anciens) pour parler de preuves irréfutables.
"Le fait que l'on puisse trouver un ERA tronqué précisément au même emplacement et dans le génome de l'homme et dans celui de la souris est la preuve irréfutable que cette insertion doit avoir eu lieu chez un ancêtre commun à l'homme et à la souris."
"L’étude des génomes conduit inexorablement à la conclusion selon laquelle nous, les humains, partagerions un ancêtre commun avec les autres êtres vivants."
Encore une fois, il est question ici de l'étude des ADN actuels, quelque chose de totalement concret et étudié par de nombreux spécialistes à travers le monde.
???? Désolé mais mon commentaire n'a strictement rien à voir avec l'archéologie et a tout à voir avec le sujet.
J'ai parlé de génétique et d'épigénétique et j'ai cité un généticien dont le livre se nomme "de la génétique à Dieu" (the language of God en anglais)
Il ne s'agit en aucun cas d'étude de fossiles, d'archéologie ou je ne sais quoi d'autre mais de l'étude des ADN existants, actuels et cette étude a permis, justement, de reconstituer l'arbre du vivant, l'origine des espèces.
https://lifemap.cnrs.fr/tree?efficiency-mode=false
Francis S Collins s'appuie notamment sur l'étude des RVE (rétrovirus endogène) et des ERA ( éléments Répétitifs Anciens) pour parler de preuves irréfutables.
"Le fait que l'on puisse trouver un ERA tronqué précisément au même emplacement et dans le génome de l'homme et dans celui de la souris est la preuve irréfutable que cette insertion doit avoir eu lieu chez un ancêtre commun à l'homme et à la souris."
"L’étude des génomes conduit inexorablement à la conclusion selon laquelle nous, les humains, partagerions un ancêtre commun avec les autres êtres vivants."
Encore une fois, il est question ici de l'étude des ADN actuels, quelque chose de totalement concret et étudié par de nombreux spécialistes à travers le monde.