Re: Des livres sur l'historicité de Jésus, quels enjeux ?
Posté : 27 oct.13, 01:51
@ Septour:
Je ne pense pas que cela soit aussi simple... Le cerveau fait le gros du boulot.
@ Noonalepsyne:
Je repense à un truc bête: en quoi une partie lésée et la perte associée de fonctionnalité constatée au niveau de la conscience serait une preuve que cette dernière se réduise entièrement aux différentes zones actives du cerveau et ne soit pas que corrélée à elles?
Pour quoi une "autre structure" ne prendrait-elle pas le relais du cerveau après la destruction de la partie de cet organe qui ferait le lien avec la conscience?
Une théorie possible (c'est de la science fiction, j'en suis conscient
): Il y a trois instances structurelles qui ne se situent pas dans les mêmes "replis du réel", ces différentes "couches" n'étant reliées entre elles que par des flux restreints d'informations. Le cerveau mourant libérerait une "entrée-sortie" de la conscience, qui serait reprise par cette "instance structurelle autre", dont la principale caractéristique serait de pouvoir intégrer de l'information. J'imagine un super-ordinateur quantique cosmique naturel, dont la nature serait simplement liée à des conditions "physiques" [je ne pense pas que le terme soit très bien adapté] différentes de celles qui règnent dans notre Univers accessible [restreint à ce que nos méthodes expérimentales actuelles permettent d'observer]. Mais qui serait également dans l'ordre du champ du possible.
@ Saint Glinglin:
D'un point de vue subjectif l'anesthésie n'est pas une perte de conscience, car comme tu l'a observé de son point de vue propre elle ne s'interrompt pas. Les expériences relatives aux NDE-EMI (ce n'est pas le sujet ici) pourraient être liées à une perte ou interruption de "connexion" entre le cerveau et la ou les structure(s) non accessible(s) mais hypothétiquement réelle(s) et hors du champs habituel de l'expérience, qui sont à l'origine ou forment - pourquoi pas? - la conscience subjective. Il y a des expériences par stimulation ou neutralisation de zones cérébrales par stimulations magnétiques transcraniennes qui peuvent être interprétées dans ce sens. Certaines substances chimiques pourraient aussi laisser penser de telles choses.
Amicalement.
Je ne pense pas que cela soit aussi simple... Le cerveau fait le gros du boulot.
@ Noonalepsyne:
Je repense à un truc bête: en quoi une partie lésée et la perte associée de fonctionnalité constatée au niveau de la conscience serait une preuve que cette dernière se réduise entièrement aux différentes zones actives du cerveau et ne soit pas que corrélée à elles?
Pour quoi une "autre structure" ne prendrait-elle pas le relais du cerveau après la destruction de la partie de cet organe qui ferait le lien avec la conscience?
Une théorie possible (c'est de la science fiction, j'en suis conscient

@ Saint Glinglin:
D'un point de vue subjectif l'anesthésie n'est pas une perte de conscience, car comme tu l'a observé de son point de vue propre elle ne s'interrompt pas. Les expériences relatives aux NDE-EMI (ce n'est pas le sujet ici) pourraient être liées à une perte ou interruption de "connexion" entre le cerveau et la ou les structure(s) non accessible(s) mais hypothétiquement réelle(s) et hors du champs habituel de l'expérience, qui sont à l'origine ou forment - pourquoi pas? - la conscience subjective. Il y a des expériences par stimulation ou neutralisation de zones cérébrales par stimulations magnétiques transcraniennes qui peuvent être interprétées dans ce sens. Certaines substances chimiques pourraient aussi laisser penser de telles choses.
Amicalement.