Forum Inter-Religieux de sociologie religieuse francophones
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Par extension, on utilise aussi le terme flood pour ...Arké a écrit :Ce mot signifierait donc "répéter" ?
Si vous ne revenez pas au sujet, le flood définit tout à fait ce qui se passe ici. Merci donc de cesser cette pratique.Arké a écrit :Et bien cette définition ne correspond pas à mon action
Ca s'appelle Règle d'Or, on n'a pas besoin de croire en Dieu pour s'y raccrocher.Gaetan a écrit :La loi de Dieu c'est d'aimer ton prochain comme toi même.
Ce n'est pas respecter la Règle d'Or que mettre tout le monde, ou toute une catégorie, dans le même sac ! Je n'aime pas qu'on me dise que parce que je (ne) crois (pas) en telle chose je suis comme tous ceux qui (n')y croient (pas).Gaetan a écrit :Ni les musulmans, ni les juifs, ni ceux qui se disent chrétiens ne respectent cette loi, donc ces religions sont des leurres du diable.
Qu'est ce que tu en sais?Gaetan a écrit :Ni les musulmans, ni les juifs, ni ceux qui se disent chrétiens ne respectent cette loi, donc ces religions sont des leurres du diable.
Quand on invoque la Règle d'Or, on ne doit pas oublier qu'elle n'est pas facile à appliquer, qu'elle ne dispense pas de réfléchir (tous les besoins, et toutes les expressions de besoins, ne se valent pas). Et donc, d'après elle-même, on ne doit pas exiger plus des autres que de soi-même...Etoiles Célestes a écrit :Qu'est ce que tu en sais?
Tu connais personnellement les 7 milliards d'humains sur la planète?
Un exemple avec la Chrétienté?spin a écrit :Pour aller quand même un peu dans le sens de Gaetan, les religions qu'il cite ont quand même bien alourdi la morale de prescriptions qui n'ont pas grand-chose à voir avec la Règle d'Or, donc qui en compliquent encore l'application.
Etoiles Célestes a écrit : Un exemple avec la Chrétienté?
http://m.parismatch.com/Actu/Internatio ... sse-162343Paris Match a écrit :Pendant plus de 70 ans, des milliers de jeunes filles ont été placées en détention dans ces couvents. Certaines parce qu’elles avaient eu des relations sexuelles hors mariage -y compris des femmes violées-, d’autres parce qu’elles déshonoraient leur famille, parce qu’elles souffraient de problèmes physiques, mentaux ou qu’elles étaient sans-abri. Envoyées là-bas par leurs parents, des juges, des prêtres et des membres de la police, elles ont été forcées à travailler gratuitement par des nonnes de quatre congrégations. Réduites à l’état d’esclave, ces jeunes filles, dont la plus jeune avait 9 ans, ont subi les pressions psychologiques et physiques des religieuses.