zippy a écrit :
Pas du tout. L'immortalité n'est jamais directement défini dans la Bible, on doit donc l'interpréter dans le sens commun: ne jamais mourir.
Par contre la vie éternelle est directement définie dans la Bible, Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. - Jean 17:3
Ah je regrette de te le dire mais elle est clairement définit : l'immortalité est d'être vivant à tout jamais, que la seconde mort n'a pas de pouvoir sur la personne qui possède l'immortalité, et par conséquent qu'elle possède la puissance d'une vie indestructible.
zippy a écrit :
Du coup un mortel qui connaitrait Dieu et Jésus-Christ à la vie éternelle, mais mourra quand même. Et un immortel qui ne les connais pas ne mourra jamais mais n'à pas la vie éternelle, il à simplement l'immortalité.
la vie éternelle c'est de ne pas être sous la mort, et l'immortalité c'est ne pas pouvoir mourir; donc l'immortalité inclus la vie éternelle tout simplement.
zippy a écrit :Tu à raison, l'example n'est pas parfait, mais c'est l'un des plus frappant puisque Siddhārtha vivait dans des conditions, artificiel certes, mais très similaire à ceux du jardin, au moins le plus proche que ce que l'homme puisse recréer....
Siddhārtha n'avait aucune formation judo-chrétienne, il est né environ 500 ans avant Jésus-Christ en Chine, pour qu'elles ai du sens il faut comprendre ses paroles en regard de la tradition oriental de l'époque non de notre formation judéo-chrétienne ou de nos préjugés sur les traditions oriental contemporaine. Du coup ta tentative de rapprochement se voit impossible.
Surtout la comparaison entre Siddhartha avec Adam n'est pas raison, en effet Adam était un homme parfait hors de toute corruption et non soumis à la mort, le seul cas qui peut être comparé strictement à Adam c'est Jésus car tel qu'il est mentionné il est le dernier Adam, celui qui devait venir. - romains 5:13,14; 1Co 15:45.
Puisque il(Jésus) est lui est semblable et cela en raison de sa naissance miraculeuse. La question est donc : Jésus appris-t-il la joie, le plaisir à travers les souffrances ? Car tu postules sur le fait qu'il fallait la transgression pour avoir des sentiments et émotions et connaître le bien par le moyen de ce qui est mal; et donc connaitre la joie par la moyen de la tristesse, l'amour par le moyen de la haine.
Or Jésus n'a pas péché, déjà; mais incontestablement il éprouvait de la joie, de l'amour, de la compassion, etc...
Alors ?