Des solutions pour le monde, serait par exemple de proposer la gratuité d'accès à la psychiatrie pour tous les croyants du Monde.
Après, pour combattre "la fin du monde" en elle même, je ne suis qu'un misérable petit insecte à la merci de la nature... Ainsi, si la planète explose ou augmente de température subitement à une heure précise, j'aurais bien du mal à contenir de telles manifestations par moi même avec des pouvoirs que je n'ai pas.
Je suppose que tu proposes la solution de s'agenouiller devant une entité x ou y. Le problème est que ces entités n'existant pas ou sont point du tout concernées par la vie de leurs créations (cf le Dieu des Hébreux qui a laissé son peuple crevé dans des chambres à gaz...), je me contenterais de leur faire un bras d'honneur circonspect et d'exercer mon esprit critique.
Hors, que me dit mon travail de reflexion ?
_ Que la "fin du monde" est annoncée par les Mayas. Si les Mayas sont effectivement en avancé sur pas mal de point avant nous d'un point de vue scientifique, ce ne sont que des prophéties faîtes par eux. Hors une prophétie n'est basée sur rien de concret, cf Paco Rabanne...
_ Que la "fin du monde" est surtout soutenue par des croyants qui nous assènent des passages de la bible. Ce machin étant d'une fiabilité douteuse, rempli de mythes, d'erreurs et de contradictions, on ne peut se baser dessus car il peut faire erreur également au sujet de ce qui nous concerne...
_ Que certains croyants se servent de "l'économie de marché" comme ici:
Intransichiants) et d'autres de simples prophéties de "famines", de "maladies" et de "guerres". Faudrait savoir: c'est a cause des guerres, de la famine et des maladies ou à cause de l'économie de marché ?
_ Car, pour ce qui est de "l'economie de marché", il suffit de voter a gauche plutôt qu'a droite et t'auras un système, basé sur la solidarité et l'echange, qui tiendra à peu près la route lors d'un effondrement de marché. Pour ce qui est des guerres, des maladies et de la famine on peut non seulement les combattre politiquement, mais en plus ont toujours existé à travers les siècles...
Enfin bref, je peux continuer à rire de tes sotises, petite fleur...