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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 26 sept.17, 19:33
par universel
Si vraiment Un athée est digne de son athéisme ne doit pas aller au toilette pour se débarrasser de ses poisons-Bio .
Et quant il rentre au toilette Là il doit choisir entre Dieu Ou de quitter sa cabane sans faire ses besoins , Alors s'il choisit le deuxième Cas Là il a raison et il a la légitimité de dire que Dieu n'existait pas.
Si moi personnellement j'ose un jour dire que Dieu n'existait plus , alors je prie mon dessinateur mon concepteur de me rendre a ma Première inexistence .
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 26 sept.17, 22:56
par yacoub
Teo a écrit :
Pour moi, les religieux de différentes religions tentent d'avoir un teint de pêche pour plaîre à ceux qui sont dans les pommes cuites.Ils pensent qu'à leur pomme et ramènent leur fraise alors qu'ils sont haut comme 3 pommes et qui refusent de couper la poire en deux, car ils veulent que l'on soit dispo& travaillent pour des prunes,Ils nous prennent vraiment pour des jambons.Evidemment ,ils sont tellement choux ,on se fends la pêche certains la poire et d'autres la pipe.La FIN DES HARICOTS pour toutes ces religions, car s'isoler équivaut à se prendre une châtaigne.
Bref, je raconte des salades … EUH … comme eux:-)
La Genèse ?
Une pomme, deux poires et des pépins.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 28 sept.17, 06:38
par jeudi
Le visible est fait d'invisible.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 06 oct.17, 03:38
par REDlion
Si on réduisait à L échelle d une année
Du big bang à nos jours, L homme serait arrivé sur terre le 31/12 à 23h45
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 06 oct.17, 04:58
par yacoub
Bienvenue Redlion sur ce forum, il n y a pas de véritables athées, même Marx n'était pas athée.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 06 oct.17, 05:14
par REDlion
Le problème des gens envers dieu c qui L porte plus attention au messager qu au message!!!
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 06 oct.17, 05:25
par indian
REDlion a écrit :Si on réduisait à L échelle d une année
Du big bang à nos jours, L homme serait arrivé sur terre le 31/12 à 23h45
L'être humain n'est pas arrivé sur terre... le monde biologique, celui de la matiere organique , s'est transformé, complexifié, diversifié... pour donné le regne minéral, le regne vegetal, le regne animal, le regne humain, l'homme, la femme les autres genres et tout le reste...que nous avons sous les yeux encore aujourd'hui.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 02 nov.17, 01:13
par Karlo
Encore une fois, le "règne minéral", ca n'existe pas.
Cesse d'utiliser n'importe comment des termes qui ont un sens.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 02 nov.17, 09:44
par Inti
Karlo a écrit :Encore une fois, le "règne minéral", ca n'existe pas.
Cesse d'utiliser n'importe comment des termes qui ont un sens.
Évitons la désinformation.
http://www.afblum.be/bioafb/animalia/animalia.htm
Pour le reste....
L'Homme a d'abord été exclu du Règne animal pour des raisons religieuses sans fondement scientifique (voir Buffon 1799, par exemple). Il a ensuite été intégré à ce Règne, à la suite d'une longue période d'hésitations aboutissant à la reconnaissance d'une filiation évolutive avec les grands Primates (Kaverznev 1775, in Nestourkh 1960, apparaît comme un précurseur ; Cuny 1965 ; Mayr 1989). Toutefois, l'existence d'une filiation n'implique pas l'intégration dans un même groupe de l'ascendant et du descendant, si un caractère montre une nouveauté tout à fait essentielle. Sinon, il nous faudrait ne reconnaître qu'un seul Règne vivant.
L'Homme est un animal intelligent, et c'est cette intelligence et ses conséquences qui déterminent un caractère tout à fait nouveau dans l'évolution des espèces. Nous considérons que ce caractère pourrait justifier la classification de l'Homme (au sens strict, c'est à dire de l'espèce Homo sapiens) dans un Règne particulier, le Règne des Hommes (en latin : Hominis) ou humain. Bien que celui-ci réhabiliterait des idées inspirées par les religieux des siècles passés, mais pour des raisons très différentes de celles invoquées à l'époque, il ne changerait rien à la classification phylogénétique (Lecointre et Le Guyader 2001
http://www.futura-sciences.com/sante/ac ... imal-7740/
Possible que je sois un peu trop en avance sur l'évolution des théories.

Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 02 nov.17, 09:47
par Karlo
Ou alors possible que tu aies besoin de lunettes.
Ou que tu confondes les mots "minéral" et "animal" ?
Sinon, ne t'inquiète pas : tu ne risques pas d'être "en avance" sur grand chose en construisant ta culture scientifique sur futura-sciences

Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 02 nov.17, 11:01
par Inti
Karlo a écrit :Ou alors possible que tu aies besoin de lunettes.
Ou que tu confondes les mots "minéral" et "animal" ?
Ah! C'est mon erreur de lecture. Il reste le lien comme source en dépit de mon coup d'épée dans l'eau.
Karlo a écrit :Sinon, ne t'inquiète pas : tu ne risques pas d'être "en avance" sur grand chose en construisant ta culture scientifique sur futura-sciences
Sciences futures.
Car 'c'est bien le petit catéchisme zézé ( un socle) mais sans prospection et interrogations perspicaces la science serait semblable aux saintes écritures.
Pour ce qui est de "règne humain" il faut éviter les crisettes d'athéologie provoquées par le préjugé religieux qui sépare homo sapiens sapiens du reste de la nature sous prétexte d'une intelligence supérieure. La pertinence du requestionnement se fait dans le sens d'un continuum biologique et naturel. Car confiner homo sapiens au règne animal c'est donner des munitions au créationnisme tant comme déni d'une espèce à l'impact anthropologique sur la planète sans commune mesure et valider la nécessité d'une " transcendance" pour sortir l'homme de son animalité.
On voit bien que cette question est une prolongation du contentieux idéologique naturel/surnaturel qui opposerait culture scientifique et culture religieuse. Oui cette contradiction est réelle mais la science dans ses avancés ne doit pas servir a des fins d'athéologie ou théologie.

Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 02 nov.17, 11:11
par Karlo
Tu essayes de te rattraper aux branches mais ton "règne humain" n'a absolument aucun sens en biologie.
Pleure sur la vilaine athéologie si ca t'amuse, ca n'y changera rien

Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 02 nov.17, 11:21
par Inti
Karlo a écrit :Tu essayes de te rattraper aux branches mais ton "règne humain" n'a absolument aucun sens en biologie.
Pleure sur la vilaine athéologie si ca t'amuse, ca n'y changera rien

Comme tu veux. Mais le créationnisme a encore de beaux jours et arguments pour se draper de "sens moral" face à la "bête humaine". Finalement tu aimes bien nourrir la mystique toi aussi.

Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 02 nov.17, 11:32
par Karlo
La biologie ne s'embarrasse pas de "sens moral" . Elle décrit le vivant.
Et l'Homo sapiens fait bel et bien partie du règne animal et en aucun cas de ton "règne humain" sorti de ton chapeau. C'est un fait. Get used to it

Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Posté : 02 nov.17, 11:40
par Inti
Karlo a écrit :La biologie ne s'embarrasse pas de "sens moral" . Elle décrit le vivant.
Et l'Homo sapiens fait bel et bien partie du règne animal. C'est un fait. Get used to it

Réponse de "vilain scientiste". Tu parles de biologie ( fait naturel) , les mécanismes du vivant, ou de la conscience ( observateur) qui l'étudie, la biologie comme science? Parce que la biologie qui tente de décrire le vivant c est la conscience ....morale ou humaine choisis ton angle.
La biologie ne s'embarrasse pas de "sens moral" .
Ça c'est le genre de phrase qui fait plaisir aux spiritualistes de la part d'un athée.
Je testais seulement ta propension au questionnement. Finalement tu ressembles assez à un croyant qui a foi en la culture scientifique. Tu n'es pas le premier apôtre de la science que je croise.
