Re: Quelle religion peut nous sauver?
Posté : 16 déc.09, 08:55
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A ceux qui ont des oreilles...
Ainsi parle le Fils de l'homme:
Le blé et l’ivraie
(11) La circoncision du cœur montre les saints d’esprit. C’est pourquoi, je vous dis ouvertement qu’on ne peut fondre les sept éléments de la sainteté sur le visage de ceux qui gouvernent le monde, vous trompent, vous tyrannisent et vous soumettent de force à la servitude et à la rançon, quand ils ne vous envoient aux abattoirs de leurs guerres qu’ils estiment nécessaires à leur domination. Ils ont établi leurs lois depuis le matin du monde, et dévastent la Terre sans scrupules. Ils ne font aucun cas des conditions de vie naturelles des créatures. Mais, même avec leurs scandales, ils étaient indispensables au monde ; parce qu’ils sont l’ivraie qui devait pousser, fleurir et prospérer, pour servir d’exemple et être extraite à jamais de la Terre. C’est ici la promesse de Dieu pour les jours de la moisson à la fin des temps dans lesquels vous êtes arrivés, et le sens de la parabole du blé et de l’ivraie qu’expliquait Jésus et que voici :
Jésus leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l’ivraie parmi le blé, et s’en alla. Lorsque l’herbe eut poussé et donné du fruit, l’ivraie parut aussi. Les serviteurs du maître de la maison vinrent lui dire : Seigneur, n’as-tu pas semé une bonne semence dans ton champ ? D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ? Il leur répondit : C’est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l’arracher ? Non, dit-il, de peur qu’en arrachant l’ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croître ensemble l’un et l’autre jusqu’à la moisson et, à l’époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d’abord l’ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier.
Quelque temps après, ses disciples lui demandèrent avec insistance :
Explique-nous la parabole de l’ivraie du champ. Il répondit : Celui qui sème la bonne semence, c’est le Fils de l’homme ; le champ, c’est le monde ; la bonne semence, ce sont les fils du royaume (les élus) l’ivraie, ce sont les fils du malin (les impies) l’ennemi qui l’a semé c’est le diable ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges (vous qui comprenez). Or, comme on arrache l’ivraie et qu’on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde. Le Fils de l’homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité ; et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende !
(12) Tâchez donc d’entendre ! Tirez aussi de cette parole le fait que Jésus annonce la fin du monde, et que l’Eden (que d’autres appellent aujourd’hui le paradis) existe depuis toujours sur la Terre, mais qu’il a été détruit par les incirconcis qui se sont levés pour le piétiner. N’en soyez point désolés cependant, parce qu’il resurgira naturellement dès qu’ils ne seront plus. La séparation des hommes est donc nécessaire pour que les incirconcis disparaissent dans la fournaise ardente qu’ils ont eux-mêmes amenée. Après quoi les justes resplendiront et régneront sur la Terre entière qui leur fut promise depuis toujours.
(13) Avec cette nouvelle conscience sur la sainteté, donnée par la circoncision, vous pouvez déjà fixer votre raison sur ce qui est véritable et certain. Cela est peu certes, mais toutefois essentiel pour s’ouvrir sur la vérité et s’apercevoir que la moitié des hommes se repaît de l’autre moitié. Sachez donc maintenant faire la différence entre ce monde qui est le règne des ténèbres, et le nouveau monde qui arrive et qui est le contraire même de la façon dont vous vivez – Il m’est ordonné aujourd’hui d’agir avec force sur l’homme, pour faire disparaître à jamais tout ce qui porte atteinte à la Terre, aux êtres et aux générations à venir – Tout saint d’esprit est en parfait accord avec cet ordre de Dieu car, pour celui qui est rempli de sagesse et de bonté, les êtres vivants prévalent sur les œuvres humaines et les méchantes façons de jouer des hommes. Or, quiconque accepte la disparition de tout ce qui nuit à la Terre et à ses habitants, accepte forcément la condamnation de plusieurs.
(14) Ne vous troublez pas cependant, parce que je ne vous demanderai point de lever la main contre qui que ce soit, ni de faire la guerre à quiconque. Je vous demanderai seulement de vous lever et de vous retirer quelques jours là où je vous le conseillerai. Sinon, vous péririez avec les incirconcis, par les fléaux qu’ils ont apportés et que vous ne concevez pas encore. Nous montrerons cela. Après quoi, vous saurez que la fin du monde annoncée par Jésus est inévitable, et qu’elle ouvrira les portes au règne de Dieu. Et, d’une extrémité à l’autre de la Terre, tous les peuples sont concernés.
A ceux qui ont des oreilles...
Ainsi parle le Fils de l'homme:
Le blé et l’ivraie
(11) La circoncision du cœur montre les saints d’esprit. C’est pourquoi, je vous dis ouvertement qu’on ne peut fondre les sept éléments de la sainteté sur le visage de ceux qui gouvernent le monde, vous trompent, vous tyrannisent et vous soumettent de force à la servitude et à la rançon, quand ils ne vous envoient aux abattoirs de leurs guerres qu’ils estiment nécessaires à leur domination. Ils ont établi leurs lois depuis le matin du monde, et dévastent la Terre sans scrupules. Ils ne font aucun cas des conditions de vie naturelles des créatures. Mais, même avec leurs scandales, ils étaient indispensables au monde ; parce qu’ils sont l’ivraie qui devait pousser, fleurir et prospérer, pour servir d’exemple et être extraite à jamais de la Terre. C’est ici la promesse de Dieu pour les jours de la moisson à la fin des temps dans lesquels vous êtes arrivés, et le sens de la parabole du blé et de l’ivraie qu’expliquait Jésus et que voici :
Jésus leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l’ivraie parmi le blé, et s’en alla. Lorsque l’herbe eut poussé et donné du fruit, l’ivraie parut aussi. Les serviteurs du maître de la maison vinrent lui dire : Seigneur, n’as-tu pas semé une bonne semence dans ton champ ? D’où vient donc qu’il y a de l’ivraie ? Il leur répondit : C’est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l’arracher ? Non, dit-il, de peur qu’en arrachant l’ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croître ensemble l’un et l’autre jusqu’à la moisson et, à l’époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d’abord l’ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier.
Quelque temps après, ses disciples lui demandèrent avec insistance :
Explique-nous la parabole de l’ivraie du champ. Il répondit : Celui qui sème la bonne semence, c’est le Fils de l’homme ; le champ, c’est le monde ; la bonne semence, ce sont les fils du royaume (les élus) l’ivraie, ce sont les fils du malin (les impies) l’ennemi qui l’a semé c’est le diable ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges (vous qui comprenez). Or, comme on arrache l’ivraie et qu’on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde. Le Fils de l’homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité ; et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende !
(12) Tâchez donc d’entendre ! Tirez aussi de cette parole le fait que Jésus annonce la fin du monde, et que l’Eden (que d’autres appellent aujourd’hui le paradis) existe depuis toujours sur la Terre, mais qu’il a été détruit par les incirconcis qui se sont levés pour le piétiner. N’en soyez point désolés cependant, parce qu’il resurgira naturellement dès qu’ils ne seront plus. La séparation des hommes est donc nécessaire pour que les incirconcis disparaissent dans la fournaise ardente qu’ils ont eux-mêmes amenée. Après quoi les justes resplendiront et régneront sur la Terre entière qui leur fut promise depuis toujours.
(13) Avec cette nouvelle conscience sur la sainteté, donnée par la circoncision, vous pouvez déjà fixer votre raison sur ce qui est véritable et certain. Cela est peu certes, mais toutefois essentiel pour s’ouvrir sur la vérité et s’apercevoir que la moitié des hommes se repaît de l’autre moitié. Sachez donc maintenant faire la différence entre ce monde qui est le règne des ténèbres, et le nouveau monde qui arrive et qui est le contraire même de la façon dont vous vivez – Il m’est ordonné aujourd’hui d’agir avec force sur l’homme, pour faire disparaître à jamais tout ce qui porte atteinte à la Terre, aux êtres et aux générations à venir – Tout saint d’esprit est en parfait accord avec cet ordre de Dieu car, pour celui qui est rempli de sagesse et de bonté, les êtres vivants prévalent sur les œuvres humaines et les méchantes façons de jouer des hommes. Or, quiconque accepte la disparition de tout ce qui nuit à la Terre et à ses habitants, accepte forcément la condamnation de plusieurs.
(14) Ne vous troublez pas cependant, parce que je ne vous demanderai point de lever la main contre qui que ce soit, ni de faire la guerre à quiconque. Je vous demanderai seulement de vous lever et de vous retirer quelques jours là où je vous le conseillerai. Sinon, vous péririez avec les incirconcis, par les fléaux qu’ils ont apportés et que vous ne concevez pas encore. Nous montrerons cela. Après quoi, vous saurez que la fin du monde annoncée par Jésus est inévitable, et qu’elle ouvrira les portes au règne de Dieu. Et, d’une extrémité à l’autre de la Terre, tous les peuples sont concernés.