yacoub a écrit :
PBSL n'était pas du tout sincère et il a changé les versets des sourates selon sa fantaisie
par exemple les versets relatifs au vin.
1)le seul hypocrite ici c'est toi,le vin tout comme presuqe n'importe quelle autre interdit a été fait progressivement car la réligion n'était pas encore complete.
2)Mohamed-paix et bénédiction sur lui n'est pas l'auteur du coran:
MOHAMMED EST-IL L’AUTEUR DU CORAN?
Certaines preuves démontrant qu’il est impossible que Mohammed ait lui-même écrit le Coran.
Qui a écrit le Coran? Quelqu’un doit bien l’avoir composé. Après tout, combien d’hommes du désert se sont levés pour donner au monde un livre comme le Coran? Ce livre contient d`incroyables détails sur les nations, les prophètes et les religions du passé, de même que des informations scientifiques justes et précises qui étaient tout à fait inconnues à l’époque. Quelle est donc la source de tout cela? Si nous nions l’origine divine du Coran, il ne reste que quelques possibilités, à savoir :
- Que le prophète Mohammed a lui-même rédigé le Coran
- Qu’il l’a emprunté de quelqu’un d’autre.
Dans ce dernier cas, il l’a emprunté soit d’un juif, soit d’un chrétien, ou peut-être d’un des étrangers vivant en Arabie à l’époque. Les Mecquois, pourtant, n’ont jamais pensé à l’accuser de l’avoir emprunté chez l’un d’eux.
En réponse à ces accusations, Dieu dit :
« Et ils disent : « Ce sont des légendes anciennes qu’il se fait écrire. On les lui dicte matin et soir! » Dis-leur, (ô Mohammed) : « C’est Celui qui connaît les secrets des cieux et de la terre qui l’a révélé. Et Il est certes Pardonneur et Miséricordieux. » (Coran 25:5-6)
C’était un fait connu, par ses détracteurs, que Mohammed, qui avait été élevé parmi eux, n’avait jamais appris ni à lire ni à écrire. Ils savaient qui il avait côtoyé et où il avait voyagé; ils reconnaissaient son intégrité et son honnêteté, au point où ils l’avaient surnommé « Al-Amin », qui signifie le digne de confiance, celui qui est honnête. Mais dans leur haine du message qu’il prêchait, ils l’accusaient d’être un sorcier, un poète, et même un imposteur. Bref, ils l’accusaient de tout ce qui leur passait par la tête. Dieu dit :
« Vois ce à quoi ils te comparent ! Ils s’égarent, donc, et sont incapables de trouver un chemin [vers la vérité]. » (Coran 17:47-8)
La vérité est que Dieu est parfaitement au courant de tout ce qui se passe dans les cieux comme sur la terre; Il connaît le passé et le présent, et Il révèle la vérité à Son prophète.
Mohammed aurait-il pu l’écrire?
Il est impossible que Mohammed ait écrit le Coran et ce, pour les bonnes raisons suivantes :
Premièrement, de nombreuses occasions se sont présentées où il aurait pu, s’il avait eu de mauvaises intentions, inventer une « révélation ». Par exemple, après la première révélation, les gens voulurent connaître la suite; mais le Prophète ne reçut rien d’autre durant des mois. Les Mecquois se mirent à rire de lui en disant « son Seigneur l’a abandonné! » et ce, jusqu’à ce que la sourate 93, ad-Doha, soit révélée. Durant l’intervalle, le Prophète aurait bien pu inventer quelque chose pour mettre fin aux moqueries dont il était l’objet, mais il n’en fit rien. Aussi, au cours de sa mission, certains hypocrites accusèrent son épouse ‘Aisha de débauche. Le Prophète aurait facilement pu inventer des versets pour la disculper, mais il dut subir une attente insoutenable qui dura des jours et des jours, durant lesquels il fut l’objet de moqueries et d’angoisse, jusqu’à ce que vienne la révélation de Dieu la disculpant de toute accusation.
Deuxièmement, le Coran contient lui-même des preuves démontrant que Mohammed ne peut en être l’auteur. Certains versets lui reprochent certaines choses qu’il a faites, parfois durement. Comment un imposteur se serait-il lui-même blâmé, risquant de perdre le respect et la loyauté de ses fidèles? Voici quelques exemples :
« Ô Prophète! Pourquoi t’interdis-tu ce que Dieu t’a rendu licite dans le but de plaire à tes épouses? Dieu est Pardonneur et Miséricordieux. » (Coran 66:1)
« … tu cachais en toi-même ce que Dieu allait rendre public. Tu craignais les gens alors que Dieu est plus digne d’être craint. » (Coran 33:37)
« Il n’appartient pas au Prophète ni aux croyants d’implorer le pardon pour les polythéistes – même s’il s’agit de proches parents – après qu’il leur soit devenu clair que ce sont les gens de l’Enfer. » (Coran 9:113)
« Et celui qui s’empresse vers toi, mû par la crainte (de Dieu), tu ne lui portes pas attention. Non! En vérité, ce [Coran] est un rappel. » (Coran 80:8-11)
S’il avait tenté de dissimuler quoi que ce soit, ç’aurait certainement été ces versets; mais il les a fidèlement récités.
« Et il ne garde pas pour lui-même, avec avarice, ce qui lui a été révélé. Et [ce Coran] n’est point la parole d’un démon banni. Où donc allez-vous? Ceci n’est autre qu’un rappel à toute la création, pour ceux d’entre vous qui veulent suivre le droit chemin. » (Coran 81:24-27)
Dans les versets suivants, le Prophète reçoit un avertissement :
« Certes, Nous t’avons révélé le Livre avec la vérité, afin que tu juges entre les gens selon ce que Dieu t’a appris. Ne te fais pas l’avocat des traîtres et implore le pardon de Dieu, car Dieu est certes Pardonneur et Miséricordieux. Et ne plaide pas en faveur des gens qui se trahissent eux-mêmes. Certes, Dieu n’aime pas le traître et le pécheur. Ils cherchent à se cacher des gens, mais ils ne cherchent pas à se cacher de Dieu. Or, Il est avec eux quand, la nuit, ils tiennent des discours qui Lui déplaisent. Dieu cerne parfaitement ce qu’ils font. Certes, c’est vous qui plaidez en leur faveur dans la vie d’ici-bas. Mais qui plaidera en leur faveur auprès de Dieu, au Jour de la Résurrection, et qui sera alors leur défenseur? Quiconque agit mal ou se fait du tort à lui-même puis implore aussitôt le pardon de Dieu, trouvera Dieu Pardonneur et Miséricordieux. Quiconque commet un péché ne le commet qu’à son propre détriment. Et Dieu est Omniscient et Sage. Et quiconque commet une faute ou un péché puis en jette le blâme sur un innocent se charge du fardeau du mensonge et d’un péché manifeste. Et n’eut été de la grâce de Dieu et de Sa miséricorde sur toi, (ô Mohammed), une partie d’entre eux t’aurait volontiers égaré; mais ils n’égareront qu’eux-mêmes et ne peuvent en rien te nuire. Dieu t’a révélé le Livre et la sagesse, et t’a enseigné ce que tu ne savais pas. Et la grâce de Dieu, sur toi, est infinie. » (Coran 4:105-113)
Ces versets font allusion à un musulman de Médine qui avait volé une pièce d’armure et l’avait cachée sur la propriété de son voisin juif. Lorsque les propriétaires de l’armure l’attrapèrent, il nia tout, mais l’armure fut trouvée chez son voisin. Ce dernier accusa son voisin musulman, qui continuait de nier. Les autres musulmans de la tribu à laquelle appartenait l’homme allèrent trouver le Prophète afin que ce dernier le défende et le Prophète commençait à pencher en leur faveur lorsque les versets mentionnés ci-haut furent révélés, acquittant le juif du crime qui avait été commis. Et tout cela en dépit du refus du juif de croire en la mission prophétique de Mohammed. Les versets ordonnaient au prophète Mohammed de ne pas se faire l’avocat de celui qui avait cherché à tromper.
« … Ne te fais pas l’avocat des traîtres et implore le pardon de Dieu » et « Et n’eut été de la grâce de Dieu et de Sa miséricorde sur toi, (ô Mohammed), une partie d’entre eux t’aurait volontiers égaré. »
Si Mohammed avait été un imposteur et avait lui-même rédigé le Coran, il se serait assuré de ne rien écrire qui aurait risqué de compromettre la possibilité que des gens se convertissent à sa religion. Le fait que le Coran réprimande Mohammed à diverses reprises au sujet de mauvaises décisions qu’il a prises dans des circonstances particulières est en soi une preuve qui démontre qu’il ne pouvait en être l’auteur.
source:
http://www.islamreligion.com/fr/article ... -du-coran/
LES PROPHÉTIES DU CORAN
La réalisation des prophéties contenues dans le Coran prouve clairement que ce Livre est de source divine.
Le Coran contient plusieurs prophéties qui se sont réalisées, mais nous ne parlerons que de cinq d’entre elles dans cet article.
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Le Coran contient plusieurs prophéties qui se sont réalisées, mais nous ne parlerons que de cinq d’entre elles dans cet article. Les deux premières sont remarquables : contrairement au autres Écritures, le Coran fait une prédiction à son propre sujet lorsqu’il affirme que, par la volonté de Dieu, il sera préservé de toute altération. Ci-dessous, nous expliquerons comment cela s’est réalisé.
La protection du Coran contre toute forme de corruption
Le Coran fait une affirmation que ne fait aucun autre texte religieux : que Dieu Lui-même protègera son texte contre toute altération. Dieu dit :
« En vérité, c’est Nous qui t’avons révélé le Rappel et c’est Nous qui le garderons, certes, (contre toute altération). » (Coran 15:9)
La facilité à mémoriser le Coran
Dieu a fait du Coran un texte facile à mémoriser :
« Nous avons fait en sorte que ce Coran soit accessible et facile à mémoriser, [afin qu’il serve de rappel]. Mais y a-t-il quelqu’un pour y réfléchir? » (Coran 54:17)
La facilité avec laquelle le Coran peut être mémorisé est inimitable. Il n’existe aucun texte ni aucune écriture religieuse, en ce monde, qui soit aussi facile à mémoriser. Même les non-arabes et les enfants arrivent à le mémoriser facilement. Pratiquement chaque savant musulman connaît tout le Coran par cœur, de même que des centaines de milliers de musulmans partout à travers le monde. Chaque musulman connaît au moins quelques sourates par cœurs, qu’il récite lors de ses prières quotidiennes.
La double prophétie
Avant la venue de l’islam, les Romains et les Perses étaient deux puissances ennemies. Les Romains avaient pour chef Héraclius (règne de 610 à 641), un empereur chrétien, tandis que les Perses étaient des zoroastriens dirigés par Khosro Parviz (règne de 590 à 628), sous lequel l’empire connut sa plus importante expansion.
En 614, les Perses conquirent la Syrie et la Palestine, prenant Jérusalem et détruisant le Saint-Sépulcre et la Vraie Croix. Puis, en 619, ils occupèrent l’Égypte et la Lybie. Héraclius les rencontra en Thrace (en 617 ou 619), mais ils tentèrent de le capturer et il revint à toute vitesse à Constantinople, poursuivi par ses ennemis.
Les musulmans furent déçus de la défaite romaine car ils se sentaient spirituellement plus proches de la Rome chrétienne que de la Perse zoroastrienne, tandis que les Mecquois se réjouirent de la victoire de la Perse païenne. Pour les Mecquois, l’humiliation romaine représentait un présage de la défaite des musulmans aux mains des païens. C’est alors que la prophétie de Dieu apporta un réconfort aux croyants :
« Les Romains ont été vaincus dans le pays voisin; mais après leur défaite, ils seront à leur tour les vainqueurs, dans quelques années. C’est à Dieu qu’appartient le commandement, dans le premier cas comme dans le deuxième – et ce jour-là, les croyants se réjouiront du secours de Dieu. Il aide qui Il veut [à atteindre la victoire], et Il est le Tout-Puissant, le Tout Miséricordieux. » (Coran 30:2-5)
Le Coran prophétisa deux choses :
(i) La future victoire romaine, chose inimaginable à l’époque;
(ii) La joie des croyants suite à cette victoire sur les païens.
Ces deux prophéties se réalisèrent.
En 622, Héraclius quitta Constantinople tandis que des sanctuaires, s’élevaient des prières suppliant Dieu de leur accorder une victoire sur les Perses et la reconquête de Jérusalem. Il consacra les deux années suivantes à diverses campagnes en Arménie. En 627, il rencontra les Perses près de Ninive. Là, il tua trois généraux perses et leur commandant au cours du même combat et fit fuir l’armée persane. Un mois plus tard, il entra dans Dastagird et son fantastique trésor. Khosro fut renversé par son propre fils, qui fit la paix avec Héraclius. Ce dernier, retournant à Constantinople triomphant, fut accueilli en héros.
En l’an 624 de notre ère, les musulmans vainquirent les Mecquois au cours de la première et décisive bataille de Badr.
Ainsi parla un savant indien :
« … une seule ligne de prophétie était reliée à quatre nations et au sort de deux grands empires. Tout cela prouve que le Coran est bel et bien le Livre de Dieu. »[2]
La prophétie de la défaite des païens
Le Coran prédit la défaite des mécréants de la Mecque alors même que le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) et ses compagnons étaient toujours persécutés par eux :
« Ou bien disent-ils [les Mecquois mécréants] : « Nous sommes un groupe victorieux » ? Ils seront bientôt mis en déroute et fuiront. » (Coran 54:45)
Cette prophétie fut révélée à la Mecque, mais se réalisa au cours de la bataille de Badr, deux ans après la migration du Prophète à Médine.
Le sort de certains individus
Walid bin Moughira était un ennemi acharné de l’islam, qui ridiculisait ouvertement le Coran :
« Ensuite, il s’est détourné, plein d’arrogance, et a dit : « Ce n’est là que magie apprise chez les anciens ; ce n’est rien de plus que le discours d’un mortel. » (Coran 74:24-25)
Le Coran prédit que jamais il n’embrasserait l’islam :
« Je le lancerai dans le feu intense de Saqar. Et qui te dira ce qu’est Saqar ? Il ne laisse rien et n’épargne rien ; il brûle la peau et la noircit. » (Coran 74:26-28)
Et effet, Walid mourut mécréant, tel que l’avait prophétisé le Coran.
Un autre ennemi acharné de l’islam, Abou Lahab, fut l’objet d’une prophétie semblable :
« Que périssent les mains d’Abou Lahab, et que lui-même périsse! Ni sa fortune ni tout ce qu’il a acquis ne lui serviront à rien. Il sera plongé dans un Feu ardent… » (Coran 111:1-3)
Trois prophéties furent révélées au sujet d’Abou Lahab :
(i) Que ses complots contre le Prophète seraient voués à l’échec;
(ii) Que ses biens et ses enfants ne lui seraient d’aucun bénéfice;
(iii) Qu’il mourrait en ennemi de l’islam et entrerait dans le Feu.
Abou Lahab mourut en mécréant, comme l’avait prédit le Coran. Si Walid ou Abou Lahab avaient accepté l’islam, même hypocritement, ils auraient démontré la fausseté de ces prophéties et, par là même, de leur source divine!
Par ailleurs, Abou Lahab avait quatre fils, dont deux moururent en bas âge de son vivant. Ses deux autres fils, de même que sa fille, embrassèrent tous l’islam, décevant tous ses espoirs! Il mourut de la peste et personne ne voulut toucher son corps par peur d’être contaminé; les gens jetèrent donc de la boue et des pierres à l’endroit même où il mourut pour en faire une tombe improvisée.
Un des principes de base pour savoir si une écriture provient réellement de Dieu est la présence de vérité interne, qu’elle soit relative à des événements du passé ou contemporains. Le Coran mentionne plusieurs prophéties relatives à des événements à venir, d’autres à des événements qui ont déjà eut lieu à l’époque du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) et d’autres encore qui se sont réalisés après sa mort.
FOOTNOTES:[1] Pour d’autres prophéties coraniques, voir ‘Mercy For the Worlds,’, de Qazi Suliman Mansoorpuri, vol.3, p. 248–313.
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‘Mercy For the Worlds,’ de Qazi Suliman Mansoorpuri, vol.3, p. 312.
source:
http://www.islamreligion.com/fr/article ... -du-coran/
LE CORAN MIRACULEUX (PARTIE 9 DE 11): UNE PROPHÉTIE UNIQUE
Une prophétie relative à un événement échappant totalement au contrôle du Prophète et des Arabes : la conquête des Perses.
En tant que chrétien, à l’époque, j’avais hâte de voir quel genre de prophéties étaient relatées dans le Coran ou avaient été émises par le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui). On m’avait appris que si les prophéties d’un prophète ne se réalisaient pas, c’est qu’il n’était pas un véritable prophète de Dieu.
Le Coran contient plusieurs prophéties qui se sont réalisées, mais je ne soulignerai qu’une seule d’entre elles (en fait, j’en ai déjà mentionné une autre, celle affirmant que le Coran serait préservé jusqu’à la fin des temps. D’ailleurs, bien que les ennemis du Prophète souhaitant sa mort aient été nombreux, Dieu avait également promis de le protéger jusqu’à la fin de sa mission. Et en effet, le Prophète n’est mort qu’après la révélation du verset « Aujourd’hui, J’ai parfait votre religion pour vous… (5:3).)
Si je souligne cette prophétie en particulier, c’est qu’elle a trait à un événement qui était totalement hors du contrôle du Prophète et des Arabes de l’époque.
Il y a un verset du Coran qui dit :
« Les Romains ont été vaincus dans le pays voisin; mais après leur défaite, ils seront à leur tour les vainqueurs, dans quelques années. C’est à Dieu qu’appartient le commandement, dans le premier cas comme dans le deuxième – et ce jour-là, les croyants se réjouiront du secours de Dieu. Il aide qui Il veut [à atteindre la victoire], et Il est le Tout-Puissant, le Tout Miséricordieux. » (Coran 30:1-5)
Le Prophète a reçu cette révélation durant une période où les musulmans étaient lourdement persécutés à Médine, vers l’époque de la première migration des musulmans de la Mecque vers l’Abyssinie. Cela se passait en l’an 615. Au même moment, l’empire byzantin était totalement dominé par les Perses. Les idolâtres de la Mecque s’identifiaient aux Perses, qui étaient zoroastriens et qui adoraient un dieu de lumière et un dieu des ténèbres, tandis que les musulmans s’identifiaient aux chrétiens byzantins qui eux, croyaient en une révélation provenant de Dieu et aux prophètes. En fait, la guerre entre l’empire byzantin et les Perses a été décrite comme une croisade car de nombreux lieux saints chrétiens furent détruits. Les mécréants de la Mecque se réjouissaient donc beaucoup de ce qui arrivait aux Byzantins. C’est dans ce contexte que le Prophète reçut cette révélation de Dieu.
En fait, même après cette révélation, les Byzantins continuèrent de perdre du terrain face aux Perses. La situation devint si critique que l’empereur byzantin fut forcé de déménager sa capitale de Constantinople à Tunis, en Afrique du Nord. Cependant, Dieu avait affirmé qu’ils seraient vainqueurs entre trois et neuf années plus tard.
Bref, comme l’écrit l’historien britannique Gibbon : « Même sept-huit ans après la prédiction du Coran, les conditions étaient telles que nul ne pouvait imaginer que l’empire byzantin puisse prendre le dessus sur l’Iran. Dans ces circonstances, et sans même parler de gagner la domination sur son ennemi, nul ne croyait voir l’empire ne serait-ce que survivre. »[1]
Mais, à partir de l’Arménie, Héraclius amorça une contre-attaque en 623 et, en 624, ravagea le principal temple du feu d’Iran et vainquit les Perses. Cela se passa la même année où eut lieu la bataille de Badr. Après que les musulmans se soient vus forcés de fuir à Médine et que le Prophète lui-même les eût suivi afin d’y établir un état islamique, les mécréants de la Mecque continuèrent de persécuter les musulmans, voulant à tout prix anéantir l’islam. Le premier conflit militaire entre les deux camps eut lieu lors de la bataille de Badr. N’étant qu’un tout petit nombre et possédant très peu d’armes, les musulmans réussirent à remporter une étonnante victoire sur les polythéistes de la Mecque. Maudoodi écrit : « Ibn 'Abbas, Abou Sa'id Khoudri, Soufyan Thaouri, Souddi et d’autres ont raconté que la victoire des Romains contre les Iraniens et celle des musulmans contre les polythéistes, à Badr, eurent lieu au même moment. Les musulmans furent donc doublement enchantés. On retrouve les mêmes faits dans les histoires de Byzance et d’Iran. La bataille de Badr eut lieu en 624, la même année où l’empereur byzantin détruisit le lieu de naissance de Zoroastre et ravagea le principal temple de feu d’Iran. »[2]
FOOTNOTES:[1] Gibbon, Decline and Fall of the Roman Empire (New York: Modern Library), Vol. II, p. 788. Tiré de l’ouvrage de S. Abul A’la Maudodl, The Meaning of the Quran (Lahore, Pakistan: Islamic Publications Ltd., 1981), vol. IX, p. 184.
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Ibid., vol. IX, p. 191.
source:
http://www.islamreligion.com/fr/article ... e-9-de-11/