Stop ! a écrit : ↑11 oct.23, 01:12
Ça sert précisément à comprendre
en pleine connaissance de cause que tout ce qui suit ton "puisque" est une simple fable.
Réponse qui confirme magnifiquement ses propres paroles, quelques mots peuvent parfois être très pertinents, car pour pouvoir dire "
en pleine connaissance de cause", encore faut-il le dire
en pleine lumière, sinon c'est le dire "sans connaissance de cause", Jean 3 :
"18 Celui qui croit en lui n'est point condamné, mais celui qui ne croit point est déjà condamné, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et la cause de cette condamnation, c'est que
la lumière est venue dans le monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient reprises. Mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu".
Et dans son langage de l'époque et de maintenant, ça donne ça :
"Qui croit en lui n'est pas jugé, mais qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru
dans le nom du Fils unique de Dieu. Ceci est le jugement :
la lumière est venue dans le monde, et les fils d'hommes ont aimé les ténèbres plus que la lumière car leurs oeuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait ce qui est haïssable hait la lumière et ne vient pas à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient blâmées. Mais celui qui pratique la vérité vient auprès de la lumière pour que ses oeuvres soient connues car elles sont faites en Dieu".
Jésus signifie "Dieu Sauveur" ou "Dieu sauve", Emmanuel, c'est Dieu avec nous. Venir à la lumière, c'est une question de choix, de choix éclairé, en connaissance de cause, ou pas, mais alors sans connaissance de cause. Ce n'est pas parce qu'on a pas cru qu'il a incarné Dieu sur la terre qu'on a raison, ainsi ceux qui ont cru en Lui l'ont fait parce qu'au plus profond d'eux, la lumière brillait dans les ténèbres les attirant, et ils y sont venus. Ceux là savent qu'ils ont eu raison d'y croire et aucun incroyant n'a le pouvoir d'insinuer le doute en eux (pure perte de temps) puisqu'ils ont reçu une preuve, personnelle, intime et inébranlable, le sceau de Dieu : ils sont scellés pour le jour de la rédemption de leur corps mortel et corruptible en corps céleste et incorruptible, comme lui-même est ressuscité corps glorieux, ils sont fils de la résurrection, par Lui.
Autrement dit, les fables des incroyants n'ont aucun impact sur les croyants, les véritables (je parle de croire Jésus-Christ, pas ce que les hommes en disent, exceptés ceux qui ont cru aussi). Comme l'écrit d6 : "
on a jamais mis autant d'effort à nier l'existence d'un personnage que Jésus Christ", et ce n'est pas sans raison, ceux qui le nient cherchent à se rassurer eux-mêmes, "
de peur que".