Arlitto a écrit : ↑09 janv.20, 03:16Darwin Échec et Mat
Pierre Rabischong est un brillant scientifique :
Pierre Rabischong est professeur émérite et doyen honoraire de la Faculté de Médecine de Montpellier. Il a dirigé l'Unité 103 de l'INSERM consacrée à la biomécanique et à son application au handicap moteur. Coordinateur du projet européen S.U.A.W. (stand up and walk), il est vice-président de l'Académie mondiale des technologies biomédicales à l'UNESCO.
On nous ment depuis trop longtemps,ils utilisent la micro-évolution qui est simplement une adaptation à l'environnement pour nous faire avaler la macro-évolution qui est le changement d'une espèce a une autre et expliquer logiquement l'origine de l'homme, hors les preuves évidentes vont à l'encontre de la macro-évolution. Un chien ne produit que des chiens et une banane ne se transforme pas en cerise, et pourtant c'est ce que l'évolution enseigne.
Les naturalistes ont donc été contraints, devant la réalité de la non-validité de leurs théories, d’introduire un dogme qui leur permettrait de faire survivre leurs croyances. Le temps est devenu leur « baguette magique ».
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Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 03 févr.20, 08:25
par Happy79
San Sanchez a écrit : ↑03 févr.20, 08:07
Tu m'accuses sans preuves d'être un faux prophète.
Combien d'innocents se sont fait exécuté à cause de ce genre d'accusations sans preuves?
Je pense à Jésus par exemple.
Ça veut dire que si tu avais été un contemporain de Jésus, tu aurais fait partie des coupables de son exécution injuste.
Voilà la vérité.
Je te retourne le commentaire.TU n,a aucune preuve d'être un vraie prophète.
UN prophète est un messager de Dieu et il a conscience de son état inférieur. Il demeure humble. Tout le contraire de toi.
Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 03 févr.20, 11:13
par San Sanchez
Les pharisiens et autres ennemis de Jésus l'ont accusé d'être un faux prophète parce qu'il ne ressemblait pas à l'idée qu'ils se faisaient d'un prophète.
Ce qui te fait un second point commun avec eux.
Lors de son procès où il était accuser d'être un faux prophète, Jésus a garder le silence, il n'a pas essayer de prouver quoi que se soit alors je ferais la même chose que lui aujourd'hui.
Et comme tu m'as accuser sans preuve, sous prétexte que j'en ai pas donné à tes yeux, quand je dis que si tu avais été un contemporain de Jésus tu aurais été l'un des complices de son exécution injuste, je ne fais que dire la vérité, tout simplement parce que tu as agi comme eux.
Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 04 févr.20, 00:00
par Arlitto
Arlitto a écrit : ↑09 janv.20, 01:25Toumaï, une imposture "pseudo scientifique" de plus
L’histoire du fémur de Toumaï
Seize ans après la découverte du crâne du plus ancien hominidé, pourquoi son fémur n’a-t-il jamais été publié ?
C’est un secret de Polichinelle. Tous les chercheurs qui travaillent sur les origines de l’homme savent bien qu’une des plus grandes découvertes de ces dernières décennies est entachée d’une part d’ombre.
Le fémur, photographié en 2004 par Aude Bergeret
Un réveil brutal
9h du soir, février 2004, dans le laboratoire de Poitiers. L’enseignant qui avait aidé l’étudiante, Roberto Macchiarelli, s’apprête à partir. Il ferme son bureau. La lumière s’allume à l’autre bout du couloir. Apercevant Michel Brunet et des membres de son équipe tout juste rentrés du Tchad, il s’approche pour les saluer. Sans un mot, ils lui lancent un regard noir, lourd de reproches. « Ce regard, c’est l’histoire de ma vie, se rappelle-t-il, avec un peu de fatalisme. Il a changé à jamais le fil de ma carrière. »
L’affaire, en effet, s’est vite ébruitée. Le scientifique italien est coupable, selon l’équipe, d’avoir trop parlé. Le divorce sera consommé un peu plus tard, lors d’une réunion du conseil de laboratoire, en présence du doyen de la faculté. Certains participants s’y émeuvent d’une fuite d’informations, un événement qu’ils jugent gravissime. « Il y a des gens qui profitent de notre absence sur le terrain pour fouiller dans nos collections » accuse un autre. Car les os sur lesquels travaillait l’étudiante étaient en effet entreposés dans le bureau de ce dernier, parti au Tchad. C’est là qu’elle travaillait et c’est là qu’elle avait discuté avec son enseignant, Roberto Macchiarelli. Celui-ci est un coupable d’autant plus désigné qu’il est en effet alors le seul spécialiste des hominidés du laboratoire, que Michel Brunet a fait venir de Rome juste avant la découverte de Toumaï. Sa spécialité : les membres…
Sans le nommer, Michel Brunet prend alors la salle à témoin :comment imaginer le laboratoire capable d’une telle erreur d’identification ?Il propose de voter une motion de soutien, adoptée à une large majorité. De toute façon, comme le pointait à mots couverts l’agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur chargée d’évaluer le laboratoire en 2011, la démocratie interne ne semble pas être alors au premier rang des préoccupations. « Il s’agit d’une petite structure au fonctionnement « familial ». Les discussions intéressant les grandes orientations du laboratoire se font souvent lors de discussions informelles et le conseil de laboratoire/assemblée générale n’a pas de réels pouvoirs. »
Rideau ? Un article publié peu après, semble néanmoins témoigner d’un certain embarras. Envoyé à une revue française en 2003, il est accepté en avril 2004. Deux mois après l’identification du fémur, Michel Brunet et son équipe y affirment bizarrement : « L’absence de restes osseux des membres ne permet pas de dire si Toumaï était bipède. » Pourtant, rien ne les empêchait de retirer cette phrase, devenue obsolète.
En septembre, lorsqu’ils envoient à la revue Nature un article décrivant d’autres fossiles tchadiens inédits, attribués à la même espèce que Toumaï, ils choisissent de ne pas y ajouter le fémur. En avril 2005 − peut-être pour répondre à des rumeurs ? −, Michel Brunet semble l’évoquer implicitement lorsqu’il déclare au journal Libération, « Toumaï ne se déplaçait pas comme moi et il nous faudra décrire des os post-crâniens [de membres] pour prouver la bipédie, mais c’est prévu. Je serais surpris que l’on conclue qu’il n’est pas un bipède. »
Quant à l’étudiante, un de ses encadrants au laboratoire passe la voir. « Il m’a dit, en prenant en main le fémur : cette pièce, tu l’oublies, tu ne l’as jamais vue. » se souvient Aude Bergeret, aujourd’hui directrice du muséum d’histoire naturelle Victor Brun de Montauban. Puis elle part quelques jours au Tchad début mars 2004, et en rentrant, elle a la surprise de constater que son matériel d’études (les os) a disparu. Les explications peu crédibles qu’on lui fournit, la convainquent de ne pas chercher à en savoir plus. « Je n’étais qu’étudiante, et je me suis résignée » Elle terminera son mémoire sans revoir les os. « Plus vraiment en odeur de sainteté au laboratoire », elle n’obtient pas de bourse de thèse, et quitte sans regret un tel « panier de crabes ». Un témoin de cette époque décrit d’ailleurs une « ambiance délétère », avec un « clan » dans le laboratoire qui « ostracise » certains, comme Roberto Macchiarelli. Il relate également des comportements surprenants, qui lui ont laissé penser que les résultats d’examens de DEA, dont Michel Brunet est alors le responsable pour l’université de Poitiers, étaient moins destinés à évaluer le niveau des candidats qu’à entériner un classement défini à l’avance (et par conséquent l’obtention des bourses de thèses prévues à Poitiers).
Trois ans plus tard, Roberto Macchiarelli et l’université de Poitiers finissent par trouver une solution à une situation devenue intenable : il accepte de changer de laboratoire, et d’abandonner ses enseignements de paléoanthropologie en master. Ses lettres demandant des nouvelles du fémur, envoyées au CNRS ou à l’université de Poitiers, les années suivantes, ne changent rien. Les autorités font la sourde oreille, quand elles n’accusent pas Roberto Macchiarelli de mettre en péril le laboratoire.
Ensuite ? Ensuite, plus rien, à part la publication de photos du fémur en 2009 par Alain Beauvilain, un ancien collaborateur de Michel Brunet, que celui-ci refusera de commenter. Jusqu’à cette révélation à la radio, qui n’a toujours pas débouché sur une publication.
Il y a quelques mois, trouvant que ce silence avait assez duré, Roberto Macchiarelli décide de sortir du bois. Alors qu’en 2009, il avait requis l’anonymat, il évoque publiquement l’existence du fossile à un colloque en 2017 et réclame sa publication. Puis il propose à l’ancienne étudiante de publier les données qu’elle avait relevées à l’époque sur le fémur. « Bien sûr que j’ai du ressentiment vis-à-vis de certains, mais j’ai tout de même réussi à mener ma carrière scientifique, raconte Roberto Macchiarelli. Aujourd’hui, j’ai 63 ans, je n’ai plus rien à prouver, et je suis simplement en colère qu’un fossile aussi important pour l’histoire de l’humanité reste dans un tiroir, suscitant les rumeurs et les fausses informations » Son idée n’était pas, à partir de ces informations limitées, de trancher sur la bipédie de Toumaï, mais de donner quelques indices sur les différences de ce fossile avec d’autre un peu moins anciens, et surtout pousser à ce qu’il soit enfin publié.
Seulement, en octobre 2017, la communication est refusée par le comité scientifique. Le président de la société d’anthropologie de Paris, Gilles Bérillon, du CNRS, s’abrite aujourd’hui derrière une réponse standardisée. Difficile de ne pas se demander si le lieu où se déroule la conférence n’est pas entré en ligne de compte : elle a lieu… à Poitiers et commence mercredi prochain. Peut-être serait-ce l’occasion de déplorer, publiquement s’entend, cette rétention d’information peu glorieuse pour la science française ?
Il ni a pas d'evolution et la therorie tant espérer de Darwin est rester une theorie et aucune preuve na ete ajouter, sans la moindre trace du chaînon manquant
Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 04 févr.20, 06:40
par l_leo
Un peu de paléontologie pour éclairer nos lanternes.
Patrice1633 a écrit : ↑04 févr.20, 06:26
Il ni a pas d'evolution et la therorie tant espérer de Darwin est rester une theorie et aucune preuve na ete ajouter, sans la moindre trace du chaînon manquant
Oui, c'est vrai Patrice, et comme ils n'ont pas trouvé le fameux "chaînon manquant", ils ont inventé un ancêtre commun imaginaire
"Le crâne virtuel de notre ancêtre commun"
La première modélisation du crâne de l'ancêtre commun d'Homo Sapiens et autres actualités scientifiques.
Modélisation virtuelle de l’ancêtre commun de l'Homo Sapiens. • Crédits : Aurélien Mounier, CNRS/MNHN
Grâce à une étude parue hier dans Nature Communications, on sait à quoi ressemble l’ancêtre commun d’Homo Sapiens. L’Homme moderne, Homo Sapiens, est apparu en Afrique entre 300 000 et 200 000 ans avant notre ère, mais il reste peu de fossiles de ces premières époques. Pour combler ce manque de matériel d’étude, les paléoanthropologues du CNRS et de l’Université de Cambridge ont créé un fossile virtuel, une modélisation 3D, pour mieux comprendre l’origine d’Homo Sapiens. La méthode est assez novatrice : ils se sont appuyés sur l’analyse morphologique de 263 crânes de toutes les époques et du monde entier - associées à des données génomiques. Selon ce modèle, cet ancêtre commun a déjà les caractéristiques de notre espèce : une voûte crânienne arrondie et très haute, et quelques caractéristiques plus archaïques, il est plus prognathe. Dans un second temps, ce crâne virtuel a été comparé à de vrais fossiles africains : les résultats suggèrent de nouvelles hybridations entre les populations humaines.
Interview avec Aurélien Mounier, chercheur CNRS au laboratoire "Histoire naturelle de l’Homme préhistorique" et co-auteur de cette étude avec Marta Mirazón Lahr.
Nous avons la CHRONOLOGIE HUMAINE qui remonte jusqu'au PREMIER HUMAIN,
L'homme et sa femme ...
On ne manque rien, nous avons toutes les preuves la sous nos yeux
Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 04 févr.20, 07:03
par Happy79
San Sanchez a écrit : ↑03 févr.20, 11:13
Les pharisiens et autres ennemis de Jésus l'ont accusé d'être un faux prophète parce qu'il ne ressemblait pas à l'idée qu'ils se faisaient d'un prophète.
Ce qui te fait un second point commun avec eux.
Lors de son procès où il était accuser d'être un faux prophète, Jésus a garder le silence, il n'a pas essayer de prouver quoi que se soit alors je ferais la même chose que lui aujourd'hui.
Et comme tu m'as accuser sans preuve, sous prétexte que j'en ai pas donné à tes yeux, quand je dis que si tu avais été un contemporain de Jésus tu aurais été l'un des complices de son exécution injuste, je ne fais que dire la vérité, tout simplement parce que tu as agi comme eux.
Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 04 févr.20, 07:08
par Arlitto
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Les datations et les autres impostures "scientifiques"
Les datations et les autres impostures pseudo-scientifiques que l'on nous fait croire.
Comment des dinosaures sont devenus des oiseaux
L'archaeopteryx, considéré comme le lien entre les reptiles et les oiseaux.
Il aura fallu 50 millions d'années pour que la miniaturisation des géants de l'ère secondaire leur donne des ailes.
Pourquoi et comment certains dinosauresont-ils «choisi» de devenir aériens et de donner finalement naissance à nos oiseaux actuels? L'origine des volatiles modernes n'est plus guère contestée: ce sont bien les géants de l'ère secondaire qui leur ont donné naissance en se miniaturisant. Les oiseaux sont donc bien les descendants des dinosaures.
Combien de temps a-t-il fallu pour passer des 163 kg d'un animal vivant au sol (tous les dinosaures ne pesaient pas des tonnes) au moins de 1 kg de l'archéoptéryx, un dinosaure à ailes et à plumes vivant il y a quelque 150 millions d'années? Tel est le cas de figure sur lequel une équipe internationale (Australie, Italie, Grande-Bretagne et Hongrie) s'est penchée, en utilisant à la fois les données paléontologiques et des équations mathématiques (travaux publiés dans la revue Science). Ils ont ainsi pu proposer des clés pour comprendre ce qui s'était passé dans ces temps anciens où l'homme n'était pas encore dans le tableau du vivant.
Les modèles mathématiques utilisés servaient à la base à simuler la vitesse de mutation de virus
Ils ont pu explorer, grâce aux fossiles découverts, une période de plus de 160 millions d'années, allant d'il y a 230 millions d'années avec les premiers théropodes connus (une branche des dinosaures) jusqu'à 67 millions d'années, âge auquel on situe le premier oiseau moderne.
Ils ont sélectionné 1549 éléments morphologiques de squelettes de 120 espèces bien documentés de théropodes fossiles ou d'oiseaux modernes et ont mixé leurs caractéristiques avec leur âge. Par exemple, ils ont utilisé la longueur des fémurs chez tous ces animaux et ont pu suivre leur évolution.
Les modèles mathématiques utilisés ont à l'origine été développés pour simuler la dispersion géographique et la vitesse de mutation, donc d'évolution, de virus.
Les chercheursont constaté que les théropodes ayant engendré les oiseaux ont commencé à rapetisser 50 millions d'années avant l'apparition de l'archéoptéryx. Alors que, dans le même temps, d'autres branches de dinosaures ne présentaient pas de changement de taille, voire, pour certains, la voyaient augmenter.
Les arbres représentaient un espace où l'on pouvait manger se mettre à l'abri Autre constatation des chercheurs, la vitesse des changements chez les dinosaures allant donner les oiseaux a été quatre fois plus importante que les changements évolutifs chez les autres.
Et ce n'est apparemment pas un seul de ces changements qui a guidé la transformation, mais un ensemble de traits ayant coévolué en même temps. Par exemple, la tête des oiseaux est celle d'un dinosaure juvénile qui aurait conservé ces traits à l'âge adulte. Mis à part les pattes avant transformées en ailes, le squelette général reste le même jusqu'aux premiers oiseaux.
Avec des os allégés, un bec plus court, des yeux plus gros, de petites dents et des plumes isolantes. Mais finalement, le résultat est qu'un oiseau est un oiseau et pas un dinosaure volant. «Les différentes phases de miniaturisation de ces dinosaures ont de plus favorisé l'évolution de nouveautés liées à la petite taille, comme la redistribution de la masse du corps ou des aptitudes aériennes», explique Michael Lee, de l'université d'Adélaïde, l'un des auteurs de l'étude.
Qu'est-ce qui a favorisé le développement des créatures volantes? L'une des hypothèses les plus prisées est que les arbres, leur branchage et leur cime, représentaient un espace où l'on pouvait manger et où l'on était plus à l'abri des prédateurs.
Petit à petit, des animaux ont colonisé ces espaces et se sont adaptés à cet environnement spécial. D'abord en devenant plus léger, plus agile.
En apprenant à sauter de branche en branche, puis d'arbre en arbre, puis à planer, enfin à voler.
Ce sont les animaux les plus «débrouillards» qui se sont développés. Sur 50 millions d'années, cela laisse largement le temps aux mutations génétiques de jouer leur rôle.
Évidemment, la communauté des paléontologues est divisée sur l'interprétation à tirer de ces travaux. Certains saluent cette nouvelle pierre apportée à la connaissance de ces périodes anciennes, d'autres estiment que la méthodologie utilisée ne présente pas d'intérêt et qu'elle ne peut apporter que de la confusion.
La théorie de l’évolution est en déclin. La création s’accentue avec l’avancement de la science, notamment par la mise à jour des systèmes biologiques complexes et par l’étude de l’information qu’ils contiennent.
La vielle philosophie darwinienne qui visait à détruire l’idée d’un créateur n’a jamais rien produit :tant les fossiles que la biologie ne cessent d’aller dans le sens inverse depuis un siècle. Est-ce étonnant que les arguments servis par les évolutionnistes soient encore les vieux trucs du temps de Darwin ?
Les évolutionnistes n’ont pas évolué au même rythme que la science.
La découverte du code génétique qui se trouve dans les cellules humaines aussi bien que dans la bactérie la moins complexe qui soit démontre bien l’ampleur du changement de direction que la science demande : l’idée qu’il y ait des formes de vie simples qui auraient donné naissance à d’autres formes de vie plus complexes est exclue ; aucune forme de vie simple n’existe à la surface du globe.
L’idée de gradualisme dans le registre fossile est encore moins bien étayée qu’au temps de Darwin ; certains évolutionnistes adhèrent maintenant à une nouvelle théorie qui stipule très gratuitement que l’évolution se fait si vite entre deux espèces qu’aucun fossile transitionnel n’est laissé !
Alors que les évolutionnistes inventent des hypothèses non vérifiables, les croyants constatent que le registre fossile témoigne directement d’une création dont la prédiction centrale est bien la discontinuité du registre fossile pourtant admise dans la communauté paléontologique.
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Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 04 févr.20, 08:58
par MonstreLePuissant
Patrice1633 a écrit : ↑04 févr.20, 07:16
Vous n'avez pas trouver le squelette qui a patler.a eve,
Et la genealogie montre que il ni avait personne AVANT adam et eve
Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 04 févr.20, 09:08
par Happy79
Arlitto
Je dois saluer tout le travail réalisé.
Re: L'évolution, science ou croyance
Posté : 05 févr.20, 00:17
par l_leo
Évolution :
La mofication des techniques de fabrication: outillage lithique, depuis plusieurs centaines de milliers d'années est le marqueur indiscutable de l'évolution du genre humain.