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Re: Le Malentendu

Posté : 16 juin25, 01:58
par ronronladouceur
akay a écrit : 16 juin25, 00:13 Ces versets affirment que personne n'a jamais vu Dieu :
Hébreux 7: 18 ''Il y a ainsi abolition de la règle précédente à cause de son impuissance et de son inutilité, 19 puisque la loi n'a rien amené à la perfection. Mais par ailleurs, il y a l'introduction d'une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu.''

D'où l'on voit qui a emprunté à qui...

Re: Le Malentendu

Posté : 20 juin25, 20:55
par akay
18 Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé.

Matthieu 5:18

Le prophète Jésus, que la paix soit sur lui,
est venu compléter la loi des anciens prophètes.

45 Ne pensez pas que moi je vous accuserai devant le Père; celui qui vous accuse, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.

46 Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit de moi.

47 Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles?

Jean 5:45-47



Jésus n'a pas révélé de loi, il a dû lui-même en appeler à une (la Torah).


Il est vrai que le prophète Jésus est venu compléter la loi révélée par Dieu au prophète Moïse (que la paix soit sur lui).

Mais il est également venu corriger ce que les Juifs avaient corrompu dans la loi originelle.













En réalité, les chrétiens délaissent les versets clairs qui confirment la non-divinité du Christ.

Ils s'attachent aux versets qui sont des exemples et des preuves qu'il est un prophète et non un dieu.

Malheureusement, les chrétiens ne suivent pas les véritables paroles du Christ.

62 « 62 Jésus répondit: Je le suis. Et vous verrez le Fils de l'homme assis à la droite de la puissance de Dieu, et venant sur les nuées du ciel. » (Marc 14:62).

Jésus répondit : « 68 et, si je vous interroge, vous ne répondrez pas.

69 Désormais le Fils de l'homme sera assis à la droite de la puissance de Dieu. »

Luc mentionne Dieu et Jésus à ses côtés.

Le Fils de l'homme, comme on le dit souvent dans les Évangiles, est Jésus. La Puissance ici est « Dieu ». Jésus sera donc assis (selon le texte) à la droite de Dieu. Dieu et Jésus sont donc deux, puisque Jésus sera à la droite de Dieu. Cela prouve l'invalidité de la Trinité et de l'Incarnation.

Et cela prouve que Dieu est (le Père)
Et Jésus, fils de Dieu, est métaphorique et n'est pas égal à Dieu (le Père) dans ses capacités.

Notez que le dialogue de l'Évangile de Luc est complètement différent de celui de Matthieu et de Marc, sans compter l'absence de tout dialogue similaire dans l'Évangile de Jean !




سؤال في القرآن يدخل فرنسي الإسلام -#بالقرآن_اهتديت٢ ح٦ A Question Turned Shakir into a Muslim
https://www.youtube.com/watch?v=JFVIQdQh0xc

آية في القرآن سبب إسلام فرنسي مؤثر #بالقرآن_اهتديت٢ ح٢٤ One Verse Made Loïc Convert

https://www.youtube.com/watch?v=7su_Dd36_4c

Re: Le Malentendu

Posté : 21 juin25, 02:27
par ronronladouceur
akay a écrit : 20 juin25, 21:06 Le Fils de l'homme, comme on le dit souvent dans les Évangiles, est Jésus. La Puissance ici est « Dieu ». Jésus sera donc assis (selon le texte) à la droite de Dieu. Dieu et Jésus sont donc deux, puisque Jésus sera à la droite de Dieu. Cela prouve l'invalidité de la Trinité et de l'Incarnation.
Là, il est plutôt question d'un duo... Où donc est passé l'Esprit Saint?

Re: Le Malentendu

Posté : 27 juin25, 22:40
par akay
Le Saint-Esprit Dans L'Islam Et Le Christianisme-Zakir Naik

https://www.youtube.com/watch?v=URuYeurB5nE






La hijrah, en l’an 622

Pendant que les musulmans fuyaient la Mecque par petits groupes, le Prophète, en compagnie de quelques proches, attendait l’ordre divin qui lui permettrait d’aller rejoindre les autres à Yathrib. Quand l’ordre descendit enfin, il donna son manteau à Ali et le fit étendre sur son lit de sorte que quiconque aurait l’idée de regarder à l’intérieur croirait le voir, lui. Les assassins devaient frapper au moment où il sortirait de chez lui, durant la nuit ou tôt le matin. Il savait qu’ils ne feraient aucun mal à Ali. Ils entouraient déjà sa maison lorsqu’il en sortit en douce, sans être vu. Il se rendit chez Abou Bakr et ils allèrent tous deux se réfugier dans une caverne située dans une montagne déserte; ils y restèrent cachés jusqu’à ce que l’agitation et les clameurs s’estompent. À la tombée de la nuit, le fils, la fille et le berger d’Abou Bakr leur apportaient de la nourriture et les informaient des dernières nouvelles. Une fois, un groupe de recherche ennemi passa si près de leur cachette qu’ils arrivaient à saisir leurs paroles. Abou Bakr eut peur et dit : « Ô Messager de Dieu! Si l’un d’eux vient à regarder vers le bas, il nous verra! » Mais le Prophète répondit :

« Que penses-tu de deux personnes dont le troisième compagnon est Dieu? Ne crains rien, car Dieu est avec nous. » (Sahih al-Boukhari)

Lorsque le groupe de recherche s’éloigna, Abou Bakr envoya demander qu’on apporte des chameaux et un guide à la tombée du jour, puis ils entreprirent le voyage jusqu’à Yathrib.

Après avoir voyagé durant plusieurs jours en empruntant des chemins peu fréquentés, ils atteignirent une banlieue de Yathrib appelée Qoubaa. À cet endroit, comme les gens avaient entendu dire que le Prophète avait quitté la Mecque, ils sortaient chaque matin, grimpaient sur les collines pour guetter au loin sa venue, jusqu’à ce que la chaleur insupportable les force à rentrer. Le Prophète et ses compagnons de voyage arrivèrent en milieu de journée, après que les gens se soient retirés chez eux. Un juif qui était à l’extérieur les vit approcher et informa les musulmans que ceux qu’ils attendaient étaient enfin arrivés. Les musulmans sortirent les accueillir.

Le Prophète resta quelques jours à Qoubaa, où il établit les fondations de la première mosquée de l’histoire de l’islam. Entre-temps, Ali, qui avait quitté la Mecque à pied trois jours après le Prophète, était lui aussi arrivé. Le Prophète, ses compagnons de la Mecque et les « alliés » de Qoubaa se rendirent avec lui à Médine, où les gens attendaient leur arrivée avec impatience.

Les habitants de Médine (Yathrib) n’avaient jamais connu un jour plus heureux que celui-là. Anas, un proche compagnon du Prophète, a raconté :

« J’étais présent le jour où le Prophète arriva à Médine et je n’ai jamais connu un jour meilleur et plus heureux que celui-là. J’étais présent, également, le jour où il quitta ce monde et je n’ai jamais connu un jour plus sombre que celui-là. » (Ahmed)

Chaque famille de Médine espérait que le Prophète viendrait s’installer chez elle et certaines personnes tentèrent même de diriger sa chamelle vers leur maison. Mais il les arrêta et dit :

« Laissez-la, car elle est guidée par Dieu. »

Elle dépassa plusieurs maisons, puis elle s’arrêta et s’agenouilla sur la terre de Banou Najjaar. Le Prophète n’en descendit pas tout de suite; elle se releva, marcha un peu, puis se retourna et revint au même endroit et s’agenouilla de nouveau. Alors le Prophète en descendit. Il était satisfait du choix de sa chamelle, car Banou Najjaar comptait ses oncles maternels parmi ses membres et il souhaitait les honorer en allant chez eux. Lorsque des membres de la famille commencèrent à sortir de leur maison pour l’inviter à y entrer, un certain Abou Ayyoub s’avança vers sa monture et la guida vers sa maison. Le Prophète dit :

« Un homme suit sa monture. » (Sahih al-Boukhari, Sahih Mouslim)

La première tâche qu’il entreprit, à Médine, fut la construction d’une mosquée. Il envoya chercher les deux garçons qui possédaient la palmeraie qui occupait le terrain qu’il avait choisi pour sa construction et leur en demanda le prix. Ils répondirent : « Nous t’en faisons cadeau, ô prophète de Dieu! ». Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) refusa toutefois leur offre, les paya et construisit une mosquée à cet endroit, participant lui-même aux travaux. Tout en travaillant, les gens l’entendirent prononcer les paroles suivantes :

« Ô Dieu! La seule vie est celle de l’au-delà. Pardonne aux alliés et aux émigrants. (Sahih al-Boukhari)

La mosquée servait de lieu de prière pour les musulmans. La prière, qui avait jusque-là été un acte individuel accompli en secret, était maintenant accomplie ouvertement et elle était devenue le symbole de la société musulmane. L’époque où les musulmans et l’islam étaient opprimés et écrasés était révolue. Maintenant, le adhan, c’est-à-dire l’appel à la prière, serait prononcé à voix haute et son appel retentirait jusque dans chaque maison afin de rappeler à chaque musulman de respecter ses obligations envers son Créateur. En plus d’être un lieu de prière, la mosquée était une école où les musulmans apprenaient les divers éléments de leur religion, un lieu de rencontre où les différends de divers groupes étaient résolus et un lieu administratif à partir duquel on gérait les affaires sociales; c’était un véritable symbole de la façon dont l’islam englobe toutes les facettes de la vie quotidienne. On s’acquittait de toutes ces tâches en ce lieu que l’on avait construit à partir des troncs des palmiers qui y étaient déjà et dont le toit avait été fait à partir des branches de ces mêmes palmiers.

Lorsque la construction de la mosquée fut terminée, il construisit également des maisons de chaque côté de celle-ci pour sa famille, encore une fois à partir des troncs de palmiers. La mosquée et la maison du Prophète à Médine sont toujours là, de nos jours.

La hijrah était terminée. C’était le 23 septembre 622 et l’ère islamique (le calendrier musulman) commence à partir de ce jour-là. C’est également ce jour-là que Yathrib fut rebaptisée : on lui donna le nom de Madinat-oun-Nabi, c’est-à-dire la Cité du Prophète, communément appelée Médine.

C’est ainsi que se déroula la hijrah, l’émigration de la Mecque à Yathrib. Les treize années d’humiliation, de persécution, de succès mitigé et d’une mission prophétique difficile à mener faisaient maintenant partie du passé.

C’était le début de dix années de succès à venir, du plus grand succès ayant jamais couronné les efforts d’un homme. Jusque-là, il n’avait été qu’un prêcheur. Mais à partir de ce moment, il devint le dirigeant d’un État, d’abord un tout petit État qui, en l’espace de dix ans, allait devenir l’empire d’Arabie. La hijrah marque une division claire dans l’histoire de la mission du Prophète, division que l’on retrouve également dans le Coran. Les révélations de Dieu dont lui et ses fidèles avaient besoin, maintenant, n’étaient pas du même genre que celles dont ils avaient eu besoin lorsqu’ils étaient opprimés, à la Mecque. C’est pourquoi, dans le Coran, les sourates révélées à la Mecque diffèrent de celles révélées à Médine; les premières s’adressent aux individus et à leurs états d’âme, de même qu’au Prophète en tant qu’avertisseur, tandis que les autres s’adressent surtout aux musulmans en tant que communauté sociale et politique et au Prophète en tant qu’exemple à suivre, législateur et réformateur.
La Sirah du Prophète Muhammad (saw) - Les leçons de l'hégire | Les bienfaits de Médine (Ep 27)

https://www.youtube.com/watch?v=_GK0BnXXoEo
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La Vie du Prophète Muhammad (SAW) en 21 Minutes – Le Dernier Messager qui a Changé l’Histoire

https://www.youtube.com/watch?v=nISqIWdpYQ8

Re: Le Malentendu

Posté : 04 juil.25, 21:43
par akay
Le concept de péché originel dans le christianisme

Le concept de péché originel n'existe tout simplement pas dans l'islam, et n'a jamais existé. Pour les lecteurs chrétiens, la question n'est pas de savoir si le concept de péché originel existe aujourd'hui, mais s'il existait à l'époque des origines du christianisme. Plus précisément, Jésus l'a-t-il enseigné ?

Apparemment non. Quiconque a imaginé ce concept n'est certainement pas Jésus, car il aurait enseigné : « 14 Et Jésus dit: Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur » (Matthieu 19:14). On peut se demander comment « car à ceux qui leur ressemblent » pourrait être « le royaume des cieux » si les non-baptisés sont voués à l'enfer. Les enfants naissent soit avec le péché originel, soit voués au royaume des cieux. L'Église ne peut pas tout avoir. Ézéchiel 18:20 déclare : « 20 L'âme qui pèche, c'est celle qui mourra. Le fils ne portera pas l'iniquité de son père, et le père ne portera pas l'iniquité de son fils. La justice du juste sera sur lui, et la méchanceté du méchant »
La vision islamique du péché : non héritée, mais méritée

Deutéronome 24:16 le répète. On pourrait objecter qu'il s'agit de l'Ancien Testament, mais il n'est pas plus ancien qu'Adam ! Si le péché originel datait d'Adam et Ève, il ne serait désavoué dans aucune Écriture, quelle que soit son époque !

L'islam enseigne que chaque personne naît dans un état de pureté spirituelle, mais que l'éducation et l'attrait des plaisirs terrestres peuvent nous corrompre. Néanmoins, les péchés ne sont pas héréditaires et, d'ailleurs, même Adam et Ève ne seront pas punis pour leurs péchés, car Dieu les a pardonnés.

Et comment l'humanité peut-elle hériter de quelque chose qui n'existe plus ? Non, en termes islamiques, nous serons tous jugés selon nos actes, car « l'homme ne peut rien obtenir que ce à quoi il s'efforce » (39-53), Chacun sera responsable de ses actes, mais aucun enfant n'ira en enfer pour n'avoir pas été baptisé et avoir été accablé par le péché, un droit de naissance – ou devrions-nous dire un tort de naissance ?

En supposant qu'il s'agisse d'un péché, supposons, pour les besoins de l'argumentation, qu'il s'agisse d'un péché, pourquoi en serions-nous tenus responsables ? Si votre grand-père a tué quelqu'un, est-il acceptable que quelqu'un vous poursuive en justice et affirme que votre grand-père a tué quelqu'un, vous en êtes responsable ? Est-ce compatible avec la justice divine ? L'islam dit que c'est incompatible avec la justice divine. « qu'aucune [âme] ne portera le fardeau (le péché) d'autrui, » (38:53)

Le Coran est très clair. Vous êtes responsable de vos actes, et non de ceux de votre père, de votre mère ou de vos grands-parents. Imaginons qu'Adam et Ève aient commis un péché. Pourquoi leurs enfants, leurs descendants et l'humanité entière devraient-ils en hériter ? Cela n'a aucun sens. Pourquoi ? Pourquoi l'humanité est-elle tenue responsable de quelque chose qu'elle n'a pas commis ? De quelque chose que ses grands-parents ont commis ? L'islam rejette donc l'idée du péché originel.

Le concept de péché originel par Dr Zakir Naik
https://www.youtube.com/watch?v=zW8Mo6oBSFA


"Je n’en Peux Plus... Je Veux Mourir" | Ce que l’Islam dit sur le Su*cide

https://www.youtube.com/watch?v=l3J-hBOl_Rw

Les hijabis seront-elles les seules à aller au paradis ? - Ali Dawah/ vers l'éternité

https://www.youtube.com/watch?v=qk1fEg4E2PE

J’ai Supplié Dieu que l’Islam Ne Soit Pas Vrai ! – Un Allemand Se Convertit à l’Islam | Marcel Krass

https://www.youtube.com/watch?v=6IxhsjchSZY&t=18s

Re: Le Malentendu

Posté : 05 juil.25, 11:04
par ronronladouceur
akay a écrit : 04 juil.25, 21:43 L'islam enseigne que chaque personne naît dans un état de pureté spirituelle, mais que l'éducation et l'attrait des plaisirs terrestres peuvent nous corrompre. Néanmoins, les péchés ne sont pas héréditaires et, d'ailleurs, même Adam et Ève ne seront pas punis pour leurs péchés, car Dieu les a pardonnés.
Un dieu qui pardonne à des marionnettes? Voyez-vous ça!
Et comment l'humanité peut-elle hériter de quelque chose qui n'existe plus ? Non, en termes islamiques, nous serons tous jugés selon nos actes, car « l'homme ne peut rien obtenir que ce à quoi il s'efforce » (39-53), Chacun sera responsable de ses actes, mais aucun enfant n'ira en enfer pour n'avoir pas été baptisé et avoir été accablé par le péché, un droit de naissance – ou devrions-nous dire un tort de naissance ?
Si tu vas jusqu'au bout du raisonnement, personne ne mérite d'aller en enfer, car quelle valeur y aurait-il à naître si c'est pour risquer l'enfer... D'aileurs as-tu choisi de naître?
Le Coran est très clair. Vous êtes responsable de vos actes, et non de ceux de votre père, de votre mère ou de vos grands-parents.
Le problème, c'est que t'es même pas libre... Tu peux le penser ou le croire, mais le croire ne change rien au truc... As-tu choisi d'être musulman? Et le Chrétien? Et puis qui tu voudras?
Cela n'a aucun sens. Pourquoi ? Pourquoi l'humanité est-elle tenue responsable de quelque chose qu'elle n'a pas commis ? De quelque chose que ses grands-parents ont commis ? L'islam rejette donc l'idée du péché originel.
Je ne suis pas responsable d'être né... Alors comment me décrire vraiment? Qu'est-ce qui me constitue? Comment suis-je constitué? Y a-t-il même quelque chose de véritablement original en moi, qui m'appartiendrait en propre? D'où vient que je sois né ici plutôt qu'ailleurs? Qu'est-ce qui fait que je suis moi? Qu'est-ce qui m'a fait?

À moins que je ne naisse tout simplement pas?