-azuphel- a écrit :
Réveillez vous,.......
Deviendrais tu témoin de Jehovah ?
Bon, laissons le "menteur" et l'agressivité et autres gamineries que tu démontres a chaque fois que tu t'excites tout seul sur ton clavier au placard....-Stéphane je remarque qu'en personne correcte n'emploie pas le même ton ni les mêmes termes... réfléchis à cela aussi- et lis ce "tafsir" des versets qui t'interpellent:
Dont tu peux retrouver et l'original et la suite ici
http://epelorient.free.fr/ba/ba.html
Ce récit d'une fraîcheur et d'une beauté littéraire remarquables appartient au document jéhoviste. Nous y admirons l'intimité dans laquelle Abraham vit avec l'Eternel. Il intercède hardiment auprès de lui en faveur des villes du pays menacées de ruine ; et l'Eternel le renseigne sur le jugement qu'il va accomplir. Ce sont ces rapports familiers avec l'Eternel qui ont valu à Abraham le titre d'ami de Dieu (Esaïe 46.8 ; Jacques 2.23).
1 1-8. Trois êtres célestes acceptent l'hospitalité d'Abraham. Cette visite de l'Eternel a eu lieu dans le même temps que la révélation du chapitre 17, c'est-à-dire un an avant la naissance d'Isaac. Comparez 17.21 et 17.10. Après treize ans de silence (entre les chapitres 16 et 17), les communications divines se multiplient, car l'accomplissement est proche.
La première partie du verset 1 est le sommaire de tout le récit. De là vient que l'auteur nomme déjà l'Eternel, tandis que dans le récit même il ne le désigne comme tel que dès le moment où Abraham le reconnaît.
Dans la chênaie de Mamré : près d'Hébron ; c'était son domicile habituel depuis son retour d'Egypte (13.18 ; 14.13).
2 Se tenant devant lui. S'arrêter à quelque distance de l'entrée de la tente est encore aujourd'hui chez les Arabes une manière de demander l'hospitalité.
Se prosterna en terre. Forme ordinaire de la salutation orientale.
3 Abraham reconnaît immédiatement la prééminence de l'un des trois hommes sur ses deux compagnons, et c'est à lui qu'il s'adresse.
Seigneur. Les copistes du texte hébreu, estimant qu'Abraham a dès l'abord reconnu l'Eternel, ont écrit ce mot avec l'orthographe spéciale qui convient au nom d'Adonaï, le Seigneur. Mais Abraham n'a point encore reconnu son hôte ; car il continue à le traiter comme un simple homme.
4 Ici Abraham s'adresse à tous les trois : ils ont tous besoin de repos et de nourriture.
Vous laverez vos pieds. Comme on ne, portait que des sandales, laver les pieds des voyageurs était le premier devoir de l'hospitalité.
5 Un morceau de pain. Manière délicate d'offrir un repas complet.
C'est pour cela... : C'est Dieu qui a dirigé ainsi votre marche, afin que j'eusse le privilège de vous héberger.
6 L'offre acceptée, Abraham se hâte. Le pain, la viande, le beurre et le lait sont encore aujourd'hui les aliments habituels des bédouins du désert. Abraham veille à l'excellence et à l'abondance des mets.
Trois mesures : en hébreu, séim. Le séa valait un tiers d'épha. C'est à dessein qu'Araham ne dit pas un épha, mais trois séas : un pour chaque voyageur. D'après les indications des rabbins, l'épha était à peu près l'équivalent de vingt de nos litres.
Des gâteaux : de petits gâteaux ronds, cuits sur des pierres plates chauffées, comme on les fabrique encore aujourd'hui chez les Arabes.
7 Au bétail. Le terme employé désigne le gros bétail.
8 Lui se tenait debout. Encore à cette heure, quand le scheik arabe reçoit un hôte de distinction, il se tient debout près de lui pour le servir.
Mais que dénote ton agressivité -alors que tu parles de haine en te référant a me critiques de tes textes... - justement une gêne.
Un gêne qui par la suite va faire que tu dises "c'est falsifié"....
Comment ? Dieu descend, parle avec Abraham... et mange avec lui !!!!!!
Quel est l'affreux personnage qui écrit cela de Dieu !!!!! de t'exclamer...
Dieu... pour les croyants est pourtant Omnipotent et il fait ce qu'il veut.
Qui serais tu pour affirmer qu'il n'a pas pu s'assoir avec Abraham.. lui parler et manger... ainsi que les deux anges qui l'accompagnent ?
Une autre traduction de ton livre dit quoi ?
25. Lorsqu'ils entrèrent chez lui, ils lui dirent : Paix ! et Abraham leur dit : Paix. - Ce sont des étrangers,
26. Dit-il à part aux siens, et il apporta un veau gras.
27. Il le présenta à ses hôtes, et leur dit : N'en mangerez-vous pas un peu ?
Déjà.. cela change... lui aussi offre a manger a ses hôtes, comme tout bon maître de maison, tout comme le dit la bible.
Une autre traduction dit encore :
27. Il le leur présente et dit:
« Ne mangerez-vous pas ? »
28. Il éprouve devant eux de la crainte.
28 Ils disent: « Ne crains pas »,
et ils lui annoncent la naissance d’un garçon sage.
Alors dis moi dans le verset que TOI tu cites et dans ces deux autres traductions
OU VOIS TU qu'ils ne mangent pas ?
Car nulle précision n'est apportée, car à l'évidence elle n'est pas très importante, elle est un détail.
Ce n'est pas parceque ton livre saute allègrement du coq à l'âne et ne donne pas un récit complet, peu clair la plupart du temps, que les faits ne se sont pas déroulés comme décrits des centaines d'années avant dans la Bible, bien étayés et décrits.
Je me souviens d'un musulman parmi mes 7000 et quelques messages a qui je faisais remarquer ce peu de précision qui me répondit -
au moins il eut une réponse logique et sage, même si je pense qu'elle n'est pas correcte...
- "comme le Coran demande de se référer aux autres livres... les détails sont déjà donnés sur ceux-ci ....Allah n'a pas trouvé indispensable de les répéter"
Et puis si j'en viens a une réflexion théologique: cela change quoi qu'ils mangent ou ne mangent pas ?
Dieu n'est il pas OMNIPOTENT ? Le mettrais tu en doute ? Toi le croyant ?.
Mais dis moi... dans le fond... ce qui te gêne ne serait pas justement le fait que Dieu.. n'ait pas fait de même avec ton prophète, qu'il ne l'ait pas visité en personne, qu'il n'ait pas partagé sa table... et qu'il se soit contenté de lui envoyer... un ange ?
Là tu vas me ressortir la "haine" et "l'islamophilie" et tutti quanti... mais tes réponses a Stéphane me l'inspirent plutôt.
Salam... Shalom... Vaya con Dios.